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En tuant Dieu, ils ont pris sa place le temps d'une vie.

Il est important de comprendre que l'élément fondateur de toute communauté juive est le trauma qui se matérialise au début de son existence par la circoncision: « La mutilation d'un être sans défense », et qui sera maintenu par la suite de manière artificielle, et éternelle au travers d'histoires de destruction, d'holoco$t , d'invraisemblances, de mensonges et de croyances. Le but étant double :
   -Entretenir la paranoïa vis à vis des autres pour renforcer les liens de la communauté
   -Le préparer à s'exhiber en victime de l'humanité avec ses larmes, ses tatouages, ses témoignages à coucher dehors,
Peuple élu dans sa haine des Goys, il a appris à faire le spectacle, à se vendre partout, à occuper les esprits pour détourner toute enquête objective sur ses crimes.
Il n'est pas intelligence, il n'est qu'émotionnel et lamentations !

« Parce que l'antisémitisme est la haine de la criminalité juive, pleure Youpin! »

 


Médor, il a flairé quelque chose!

Суббота, 09 Августа 2014 г. 13:32 + в цитатник

Il est le principal suspect dans l’affaire des 52 kilos de cocaïne volatilisés au 36, Quai des orfèvres. Interpellé samedi 2 Août 2014 sur son lieu de vacances à Perpignan, le fonctionnaire de police qui travaillait à la brigade des stupéfiants a été transféré à Paris, samedi soir, pour être interrogé par l'IGPN, la police des polices (https://www.stormfront.org/forum/t1055764). Au cours de cette garde à vue qui n'est pas encore terminée et qui peut durer jusqu'à quatre jours, les enquêteurs espèrent en apprendre un peu plus sur sa personnalité. Il affiche une grande sérénité. Le brigadier, toujours en garde à vue dimanche, nie toute implication dans cette affaire de vol spectaculaire inédite dans les locaux de la police judiciaire parisienne. Les enquêteurs de l’IGPN sont surpris par la grande sérénité qu’il affiche. Samedi matin, quelques heures à peine avant son interpellation, il téléphonait même à son service, depuis ses vacances à Perpignan, pour faire le point sur une affaire. D’après les informations d’Europe 1, le fonctionnaire des Stups, âgé de 33 ans, était bien présent, jeudi au 36, Quai des orfèvres, quand le scandale a éclaté. Et ce jour-là, ses collègues ne l’ont pas senti particulièrement inquiet. Il s’intéressait à la salle des scellés. Après coup, ses collègues se sont remémoré certains détails troublants. Certains se souviennent notamment de son attitude insistante ces dernières semaines pour accéder sans raison apparente à la fameuse salle ultra-sécurisée des scellés dont l'accès nécessite de signer un registre et d'être accompagné d'un fonctionnaire en possédant la clé. D'après les informations recueillies par Europe 1, c'est grâce à un témoignage que l’IGPN a pu identifier le brigadier. Une policière chargée de contrôler l'un des sas d'accès à la PJ s’est souvenue avoir vu passer en pleine nuit un policier du "36", qui sortait avec deux gros sacs remplis de pains de drogue. L'exploitation des moyens vidéo autour du "36" a permis "d'établir une forte ressemblance entre cet individu et un fonctionnaire des Stups. Un brigadier insoupçonnable. Le policier, décrit comme "beau gosse" et "grand sportif", n’avait jusque-là pas attiré l’attention, il disait bonjour, tenait la porte, portait les commissions des vieilles. A la brigade des Stups depuis quatre ans, il était considéré comme un très bon flic toujours disponible pour ramasser les preuves. Bien noté par sa hiérarchie, apprécié par ses collègues, le brigadier, aujourd’hui accusé d’un vol spectaculaire de cocaïne, était insoupçonnable. Un fonctionnaire de police modèle, en somme: marié, père d’une fillette de 11 mois, et qui a grandi à Perpignan où il a fait toute sa scolarité et même l’école de police. Loin de l’image d’un ripou. Un patrimoine qui intrigue. Comment ce policier modèle a-t-il pu dérober si facilement 52 kg de cocaïne. Et pourquoi? Pour refaire le crépis de sa maison, selon ses proches. Les questions des enquêteurs étaient nombreuses dimanche face à un suspect "quasi muet". La police des polices cherche aussi à déterminer s'il a bénéficié de complicités - outre, peut-être, dans la police - de voyous et/ou trafiquants, alors que les 52 kilos de cocaïne n’ont toujours pas été retrouvés. Son train de vie est aussi passé au crible. Les enquêteurs s’interrogent sur son patrimoine conséquent. A 33 ans, le fonctionnaire de police est propriétaire d’une demi-douzaine de biens immobiliers, à Perpignan et en région parisienne. Des biens de taille modeste, mais théoriquement impossibles à financer pour un simple brigadier de police. Autre singularité qui intéresse désormais les enquêteurs: deux opération anti-drogue menées par le groupe de ce brigadier ont échoué "in extremis". Des traqueurs ont été repérés par des trafiquants présumés. Pour quelle raison? La République Sioniste est mal en point, elle se décompose à vue d’œil. On peut supposer que la drogue va allez alimenter le monde de la Jet Set, du cinéma, et du journalisme. Les grattes papier de LCI sont grave en manque!


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Matière fécale dans boîte cranienne.

Суббота, 09 Августа 2014 г. 12:39 + в цитатник

Le chanteur transgenre israélien vainqueur en 1998 du festival de l'Eurovision Dana International s'en est pris au sentiment anti-israélien qui se répand à travers l'Europe suite à la dernière agression sur Gaza (http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/0...ernational-versus-leurope.html). Dans une interview qui s'est déroulée aux Pays-Bas cette semaine, le chanteur interrogé sur l'actuel conflit Israël-Hamas dans la bande de Gaza a déclaré: "Vous devez fermer vos gueules, vous avez tué des millions et des millions de personnes à travers l'histoire!" en désignant les pays d'Europe occidentale et alors qu'elle était assise à côté de l'ambassadeur. "Vous avez conquis la moitié du monde. Vous avez violé l'Afrique, vous avez violé la moitié du monde. Rendez l'argent de l'Afrique." Il a ajouté "Vous devez fermez vos gueules, vous avez tué des millions et des millions de personnes à travers l'histoire". Le chanteur a poursuivi en parlant du roi Léopold II de Belgique et de l'exploitation du Congo. "Et puis vous devriez vous rendre en Belgique pour voir M. Léopold. Si un Belge a quelque chose à dire au sujet d'Israël, nous devrons le questionner au sujet de Léopold et de l'origine de toute la richesse belge". Dana International a ajouté que les Israéliens et les Palestiniens sont en train «d'apprendre les premiers pas d'une civilisation normale, d'une culture normale. Israël a une mentalité différente de celle de l'Europe", et que "l'Europe avait connu de nombreuses guerres. Maintenant, c'est à notre tour d'apprendre à devenir plus cultivé." Dana International a demandé Européens de ne pas juger Israël, en disant: "il n'y a aucune nation en Europe qui peut se permettre de critiquer Israël sans culpabilité. Taisez vous les hollandais! Taisez vous les belges! Taisez vous les anglais! Rendez l'argent de l'Afrique! Ne prononcez jamais aucune mauvaise parole sur Israël ".


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Idée de lecture pour cet été.

Четверг, 07 Августа 2014 г. 03:55 + в цитатник

Pauline Dreyfus nous gratifie d'un nouveau livre sur la secte à l'époque où un Bosch valait mieux qu'un Nègre. L'histoire se passe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais pas celle que l'on connaît. Pas celle des dissensions diplomatiques, des offensives de l'Axe, des soldats mobilisés et du débarquement allié. Pas celle de l'Occupation, des rationnements et des déportations. L'autre, l'inavouable presque. Celle de ceux qui peuvent encore en 1943 se payer le luxe de ne pas s'y intéresser. Celle de ceux pour qui la guerre signerait simplement la fin des agapes et des mondanités. Celle de ceux qui profitent du marché noir pour saigner les Bons Français (http://www.lepoint.fr/culture/rentree-litteraire-p...uerre-05-08-2014-1851618_3.php). À Cannes, Natalie de Sorrente s'ennuie à mourir. Elle a dû délaisser son hôtel particulier de la rue d'Astorg pour la tranquillité de la Côte d'Azur, et voilà que la réalité la rattrape. Finis les bals costumés chez les Noailles, finies les scènes tournées pour le dernier film de Cocteau avec les Lucinge... Finis les manteaux en vison, la dernière mode de chez Schiaparelli ou les caprices siglés Chanel. Sur la Riviera, les dîners du gratin parisien en exil se font de plus en plus rares, comme si le temps s'était arrêté. "Que fait-on aux Juifs, au juste? Où vont-ils? Que deviennent-ils? Du beurre, de la soupe ou du savon?" s'enquière-t-elle, mollement, auprès d'un époux nourri aux discours du maréchal, et acquis à l'hygiène d'une douche par jour. Que deviendra surtout la duchesse frivole lorsqu'elle apprendra la vérité sur ses origines extraterrestres? Pauline Dreyfus explore ici l'indémodable intrigue du secret de famille équidistant de l'inceste et de la schizophrénie. Et une époque, qui, quoique traitée avec ironie, n'échappera pas au drame. Voici un extrait du dernier roman de Pauline Dreyfus: Se rappelant pour elle seule les maisons déguisées tout autant que les invités, photophores dans le jardin, souper par petites tables, orchestre argentin, danses molles, décolletés qui s'ouvrent, toutes les femmes s'offriront ce soir - si le corps vous en dit, cette nuit sera délicieuse, murmuraient des hommes au regard fixe -, demain dans les journaux on ne parlera que des entrées, de véritables tableaux vivants, mais qu'ils sont naïfs ces chroniqueurs mondains! - chacun sait que c'est la sortie qui compte, car l'artifice ne servait peut-être pas à autre chose qu'à réveiller le désir, s'il vous plaît mon mari est déjà reparti, m'offririez-vous une place dans votre auto? Les fêtes autorisaient toutes sortes de jeux. Comme pendant un voyage en mer, on savait pouvoir y trouver l'aventure. Les décors de Bérard ou de Sert, les costumes d'Hugo ou de Chanel, la musique de Poulenc, les entrechats de Lifar - des alibis commodes pour faire croire que sa génération était moins frivole que la précédente, un paravent d'artistes célèbres pour dissimuler les intrigues amoureuses, qui seules peuvent faire se déplacer tant de gens. Parmi les artistes, il y en avait bien quelques uns pour se plaindre, "Ils nous traitent comme des domestiques qu'ils ne payent pas" - ça n'émouvait personne, les jérémiades de cette main d’œuvre importée, on connaissait trop la chanson, celle des fournisseurs qui voudraient être considérés comme des égaux. Les costumes, les décors, la musique? Un prétexte! On n'allait pas dans les bals pour autre chose que pour séduire. C'était l'époque où les maisons de couture intitulaient leurs modèles "Heure câline", "Kiss me", "Cinq à sept", ou encore "Viendra-t-il?" - on voit le genre.

Du vaudeville derrière le tralala! La facilité des maisons de passe derrière la pompe des ambassades! Toute une époque. Qu'est-ce qu'on s'amusait. Qu'est-ce qu'on faisait semblant de s'amuser. Qu'est-ce qu'on s'ennuyait. C'est l'ennui, avec ses ombres mauves et sa musique entêtante, qui suintait de ces soirées. Et pourtant, on recommençait plusieurs fois par an. On aurait continué, s'il n'y avait pas eu la guerre. Le 7 mai, pour fêter les trente-cinq ans de Natalie, Jérôme a décidé d'aller dîner chez Maxim's. Avant 1914, les femmes n'allaient pas au restaurant. Ni Maxim's - ni les autres, d'ailleurs. Rue Royale, on ne rencontrait que des hommes et des cocottes. Natalie se souvient des prédictions consternées de ses vieilles tantes Lusignan, confites dans la nostalgie du passé: "Au rythme où vont les choses, s'indignaient-elles, on y donnera bientôt des déjeuners de première communion." À leur échelle parisienne, elles partageaient sans le savoir les réserves des cousines de province qui professaient à leurs belles-filles qu'une femme mariée ne met pas les pieds dans un café. Cette époque et ces mœurs étaient fanées, Dieu merci. Sitôt mariée, Natalie avait enfreint le préjugé familial; fréquenter ce restaurant, c'était être moderne. Libre. Jeune. Le succès de Maxim's s'était encore amplifié avec la guerre. L'occupation avait drainé une clientèle d'officiers allemands grisés, pour qui la France, c'était Paris, et Paris, c'était Maxim's. Le cliché avait fait du restaurant l'un des endroits les plus courus de la capitale. Puis les Parisiens eux-mêmes, fatigués de bouder les plaisirs d'autrefois au motif qu'il fallait les partager avec les occupants, et que c'était mal, étaient retournés vers cette cantine qu'ils adoraient. Et tant pis si, sur place, il fallait cohabiter avec les uniformes vert-de-gris. Chaque soir, à l'heure de compter la recette, Louis Vaudable louait la frivolité obstinée de certains Parisiens. Un bon livre pas trop cher pour les 7 à 77 ans à lire en pyjama au coin du feu, qui nous rappelle que la $hoah est toujours franchisée.


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In Memorium!

Среда, 06 Августа 2014 г. 04:43 + в цитатник

Juste avant d’être frappé, le jeune militant gauchiste pro-gay a envoyé des textos. Si Le Parisien y voit que Clément Méric était préoccupé par une soi-disant fête, ce qui ferait de lui une personne non belliqueuse, nous y voyons tout autre chose…(http://www.contre-info.com/les-derniers-sms-de-clement-meric) Les parents de Clément Méric ont épluché le téléphone portable de leur fils et ont révélé qu’entre 17 h 21 et 19 h 35, Clément Méric passe et reçoit une quinzaine de coups de fil. Il envoie 6 textos et en reçoit 7. Sur les coups de fil, nous n’avons pas le contenu et nous ne pouvons rien dire. Sur les textos, il est en effet question d’une fête qui doit se tenir le soir de l’altercation. Il souhaite aussi bon anniversaire à une amie. Tout cela est en effet bon enfant, sauf un texto, le dernier que Méric a envoyé et qui est terriblement accusateur car il prouve bien que Méric était en train d’attendre ceux que la presse a appelés des «skinheads» afin d’en découdre. En effet, à 18h27, il écrit à un dénommé «Seb»: «Ils descendent» . On aimerait savoir qui est ce «Seb» et qui est ce «Ils» (au pluriel). Pour nous, il ne fait aucun doute: le Seb est un de ses copains «anti-fa» que Méric alerte afin de pouvoir attaquer en groupe (le «Seb» devait être très peu loin) et le «ils» correspond aux personnes que Méric et ses amis avaient projeté d’attaquer, et ont attaqué. Du reste, tous les textos et coups de fil précédents montrent que Méric est désoeuvré et à l’attitude d’une personne qui attend et pianote sans trop de but sur son smartphone. Donc, selon nous, oui, Méric était en train d’attendre pour en découdre (passant le temps à pianoter et téléphoner comme toute personne qui n’a pas grand chose à faire) et ceci atteste d’une attitude belliqueuse, sachant que son dernier texto est bien lié à l’attaque. On note aussi que dès que les choses se précisent, Méric ne répond plus aux sms et se concentre: ainsi, il reçoit 2 autres SMS auxquels il ne répond pas après avoir alerté le Seb, dont l’un pourtant, lui enjoignant de rappeler. Ceci corrobore tout à fait la version d’Esteban qui a tout fait pour éviter la rixe en attendant autant que possible, et notamment le feu vert du vigile. Mais face à la détermination de Méric et de ses copains, la bagarre était inévitable et prouve bien qu’Esteban Morillo a bien été attaqué par un groupe belliqueux, dont faisait partie Clément Méric…


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"Y'a plein de tounels là-bas!"

Среда, 06 Августа 2014 г. 04:10 + в цитатник

Les juifs continuent d'exterminer les Palestiniens dans leur célèbre rhétorique: «C'est pas nous l'agresseur, on fait juste usage de la légitime défense». Regardez, 3 morts civils israéliens par roquette sur un mois, c'est énorme. Ça compte presque plus que les 6 millions, vous savez, en Pologne. Tout est parfaitement planifié, on construit un mur, pas pour se protéger, mais pour éviter que les Bougnoules se sauvent, et après on fait diversion dans les faits divers (un avion abattu en Ukraine + petite guerre mondiale). Il ne reste plus qu'à génocider tranquillement tout le monde. Là où les juifs se sont bien plantés, c'est qu'ils ont claqué tout leur stock de munitions juste pour détruire écoles, hôpitaux, et mosquées en Palestine, alors que théoriquement, en tant que seule démocratie du Moyen Orient, ils doivent pouvoir lutter contre tous les pays Musulmans. C'est plutôt mal barré: «Sans les Ricains, l'Youpin, il clash son destin!»

1.900 morts, des quartiers anéantis... Bilan de 29 jours de guerre à Gaza. Combien de victimes sont des civils Palestiniens? Et côté israélien? Les cibles visées par Israël ont-elles été atteintes? "Le Nouvel Observateur" fait le point. (http://tempsreel.nouvelobs.com/le-conflit-a-gaza/2...29-jours-de-guerre-a-gaza.html) Pour Tsahal, la mission est "achevée". Un cessez-le-feu de 72 heures accepté par Israël et le Hamas est entré en vigueur mardi 5 août à 8 heures locales dans la bande de Gaza, d'où l'armée israélienne s'est retirée après 29 jours de guerre dévastatrice. Jusqu'ici, toutes les trêves précédentes avaient volé en éclats, y compris la seule acceptée par Israël et l'organisation islamiste, vendredi. Déclenchée le 8 juillet, l'opération "Bordure protectrice" a été suivie d'envoi de troupes au sol le 17 juillet. Le bilan humain est lourd, les destructions à Gaza très nombreuses. Depuis le début de l'offensive, l'Ocha, le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU, a livré quotidiennement des données chiffrées et vérifiées. L'armée israélienne a elle aussi de son côté donné des chiffres régulièrement. Combien y-a-t-il eu de morts côté palestinien? Les cibles visées par Israël ont-elles été touchées? "Le Nouvel Observateur" fait le point. L'offensive contre Gaza a fait au total plus de 1.867 morts palestiniens, selon les secours locaux, et 1.814 selon l'Ocha. Ce sont en grande majorité des civils: 1.312 morts au lundi 3 août parmi 1.527 corps identifiés, soit 86% des morts. On a largement dépassé le bilan de l'opération "Plomb durci" en 2008-2009 qui a duré moins longtemps et qui avait fait 1.440 morts palestiniens. Comme lors des précédents conflits, les plus vulnérables (femmes et enfants) font partie des premières victimes. Selon l'Onu, 408 sont des enfants et 214 sont des femmes. Plus de 9.500 Palestiniens ont été blessés. 2.744 enfants ont été blessés et 373.000 ont besoin de soutien psychologique. L'émoi international s'est accru après des frappes contre des écoles transformées en centre d'accueil pour réfugiés et gérées par l'agence onusienne pour l'aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA). Elles étaient situées à Rafah, Beit Hanoun (le 24 juillet) et Jabaliya (le 31 juillet). La première a fait une dizaine de morts, les deux dernières ont fait une trentaine de morts. 142 écoles au total en tout ont été touchés.

Sans désigner expressément Israël comme responsable, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-Moon et Washington ont souligné que l'armée était très bien informée de la localisation des refuges de l'ONU. Côté israélien, 64 soldats et trois civils (dont un Thaïlandais) ont trouvé la mort. C'est le plus lourd bilan militaire depuis la guerre contre le Hezbollah libanais, en 2006. Les trois civils israéliens ont été tués par des tirs de roquettes ou d'obus de mortier. Les soldats, quant à eux, ont été tués dans la majorité des cas lors de combats dans la bande de Gaza, par des engins explosifs et dans des combats lors d'infiltration de combattants du Hamas par les tunnels. Selon les données les plus récentes (2011) de l'Institute for National security studies (Institut israélien d'études sur la sécurité nationale), l'armée israélienne est forte de 176.500 soldats et de 445.000 réservistes (dont 86.000 ont été appelés). On ignore le nombre de soldats israéliens qui ont été déployés au sol. Ce chiffre est soumis à la censure militaire. L'Ocha rapporte que ce sont désormais 485.000 habitants de la bande de Gaza qui ont été déplacés et qui se sont réfugiés dans les abris de l'ONU ou chez des proches, soit plus de 25% de la population. Selon l'agence onusienne, 267.970 sont hébergés dans 90 refuges, soit environ 3.000 personnes par abris dont la capacité est de 500 personnes habituellement. C'est pire que le ghetto de Varsovie.Mais ces endroits, tout comme certains hôpitaux, n'ont pas été épargnés par les tirs israéliens. MSF a dénoncé ces attaques et a souligné le fait "qu'il n'y pas d'abris sûr pour les populations civiles bombardées en quête de protection". Par ailleurs, l'Ocha souligne que 1,5 million d'habitants n'ont pas accès à l'eau potable ou très difficilement. La fausse excuse d'Israël (loin d'être atteinte) était d'obtenir une "démilitarisation de Gaza". Au début de l'offensive, qui n'était qu'aérienne, l'armée israélienne ciblait les caches d'armes des combattants du Hamas, les rampes de lancement des roquettes et certains militants. L'offensive terrestre, elle, avait pour but officiel la destruction de tunnels. Le 4 août, l'armée israélienne a indiqué qu'elle avait encore "beaucoup de missions" à accomplir à l'intérieur de la bande de Gaza signalant ainsi qu'elle y maintient ses troupes. Reste qu'au matin du 5 août, Israël a décidé de retirer ses troupes et de les redéployer sur des "positions défensives". L'armée a ciblé 4.683 "sites terroristes". Le porte-parole de l'armée, Moti Almoz, assure que tous les tunnels repérés ont été détruits, soit 32 tunnels. La plupart se situaient dans le nord de la bande de Gaza. Selon le porte-parole de l'armée, environ 900 combattants du Hamas ont été tués. L'Ocha a comptabilisé 215 combattants palestiniens parmi les morts dont elle a pu vérifier l'identité. Selon certaines sources, il y aurait 20.000 combattants, dont 10.000, les plus entraînés, qui feraient partie de la branche armée, Ezzedine al-Qassam. Les Brigade al-Qods du Jihad islamique, autre groupe armé de la bande de Gaza, revendiquent 8.000 hommes. La maison du chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, dans le camp de réfugiés de Chati, a été bombardée selon sa famille, de même que la télévision et la radio du Hamas. Les combattants palestiniens ont lancé leurs roquettes vers une dizaine de villes israéliennes. Selon l'armée israélienne, le Hamas a tiré depuis la bande de Gaza 3.360 roquettes sur Israël à la date du 4 août. 2.650 ont frappé Israël, 578 ont été interceptées par le système de défense anti-missile "Dôme de fer", rapporte l'armée israélienne, le 5 août. La plupart des tirs de roquettes sont revendiqués par le Hamas. Outre les centaines de maisons (945 selon l'Ocha) et des bâtiments civils, dont des écoles (142) et des hôpitaux, détruits ou gravement endommagés, l'unique centrale électrique de Gaza a cessé de fonctionner après un bombardement israélien. Les réparations vont prendre des mois. L'Ocha s'est alarmé: "Cela affecte les ménages, les entreprises et les services publics, les établissement de santé, y compris l'accès à l'eau, l'assainissement". Les bureaux de la chaîne d'information qatarie Al Jazeera, très critiquée en Israël, a vu ses bureaux touchés par des tirs de sommation. Selon des estimations provisoires palestiniennes, la guerre a causé entre 4 et 6 milliards de dollars de dégâts au minimum dans la bande de Gaza.


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Savez-vous analyser une image?

Воскресенье, 03 Августа 2014 г. 23:38 + в цитатник

La $hoah n'est qu'un mél i mélo de mensonges qui ne peut pas affronter la réalité cartésienne sans s'effondrer dans une pisse émotionnelle! Décomposez cette photo de rescapés juifs victimes de la barbarie nazie. Premièrement, elle a été prise en extérieur, on voit un poteau avec des isolateurs électriques, et des branches d'arbre.

Deuxièmement, tous les prisonniers ont les crânes rasées, les visages émaciés, aucun signe de mauvais traitements, juste les symptômes de la malnutrition, du typhus, et du choléra.

Aucun des prisonniers ne porte le célèbre pyjama rayé, mais des sortes de blouse comme dans les hôpitaux, certains ont une couverture.

Tous les prisonniers sont pieds nus sans aucune crasse.

On en déduit que tous ces prisonniers étaient dans une infirmerie, ou un baraquement servant comme tel, et qu'ils ont été sortis de là pour une photo de classe victimaire.


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Les Néo-Nazis celtiques, le 1er parti breton.

Суббота, 02 Августа 2014 г. 23:51 + в цитатник

Boris Le Lay nous gratifie d'une nouvelle tribune, comme d'habitude acerbe envers les puissants et les diluants. Il a ses vérités même si l'on n'est pas d'accord sur tout! Faut pas oublier que les juifs de Dachau ont fini en viandox, et qu'à la fin de la guerre, ils ne passaient plus à l’écumoire.

Voici que cette semaine BREIZ ATAO a battu des records d’audience, parvenant, seul et sans moyens financiers, à atteindre 320 000 lecteurs uniques en moins de 48 heures. Je veux profiter de cette tribune pour rappeler ce pour quoi nous luttons, nationalistes bretons, et du même mouvement, tous les nationalistes européens (http://breizatao.com/2014/08/02/preparer-la-destru...gime-editorial-de-boris-le-lay). On m’a fait le reproche de citer au tribunal national la racaille d’origine juive qui contre BREIZ ATAO s’est acharnée. On a dit que BREIZ ATAO menait là un combat inutile, que cela ne concernait pas notre peuple, ni même notre race. La présence d’Alain Jakubowicz et d’Arno Klarsfeld, deux juifs de nationalité israélienne, au procès de Rennes relatif à l’africain Yannick Martin, ont mis un terme à ce débat superflu. Les forces du judaïsme politique n’ont pas attendu que les rêveurs accordent leurs violons pour mener la guerre à BREIZ ATAO et à travers lui au nationalisme breton, quand bien même ne leur aurions-nous fait aucun tort. Par principe, le judaïsme politique – qui désormais constitue le cœur de l’État Français – a juré la mort de notre peuple. J’ai été, seul, le premier à en prendre acte et à répondre à cette engeance en affirmant que notre peuple, notre nation, ne serait pas jamais subjuguée par le fumier cosmopolite. J’ai désigné l’ennemi comme tout honnête patriote se doit de le faire, sans aucun regard pour le coût que cela engendre. Il n’est pas jusqu’à mes adversaires ou détracteurs qui n’ont pu constater que quiconque voulait sauver le peuple breton de la submersion migratoire devenait la cible du judaïsme politique et de ses procès à grand spectacle, quand bien même il n’était pas cité en premier lieu. Je n’ai pas baissé la garde et j’ai dénoncé notre ennemi mortel sans réfléchir un instant. De facto, même nos ennemis socialistes, communistes, libéraux et autres, pour peu qu’ils soient bretons, se retrouvent sous la même menace. C’est aussi pour eux, malgré les erreurs du moment, que j’ai pris une position intransigeante. Il fallait bien que quelqu’un, fut-il seul, prenne le parti de notre peuple contre le sionisme et ses ligues organisées œuvrant à notre destruction. Certes, cela m’a déjà coûté le peu que je possède moyennant le harcèlement judiciaire, l’interdiction de disposer d’un compte en banque, les visites d’huissiers, les injures de la presse aux ordres, les tentatives d’arrestation multiples.

Mais cela n’est rien par rapport au devoir qui est celui de tout Breton digne de ce nom face à la destruction à laquelle on promet son peuple. Ce singularisme ne me satisfait pas. Il signe la trahison de ceux qui se prétendent les représentants de notre peuple. Et je cite à ce tribunal de fortune nos maires, députés ou conseillers qui ne défendent pas les intérêts de la nation, qui la vendent même sur l’autel du cout-termisme politicien. C’est à la destruction du régime républicain que tous les Bretons doivent travailler. Que le fruit de leur labeur serve le Bien National, que leur travail patient permette d’édifier le pays nouvellement structuré, selon nos principes et nos attentes, par et pour la nation bretonne, mais aussi par et pour l’Europe européenne. J’ai appelé à la révolution. J’appelle à détruire la république “française” qui n’est que le masque du cosmopolitisme. J’appelle chaque Breton à libérer le pays de la fumisterie intellectuelle juive et de ses succédanés franco-républicains ou socialistes, de ses combinaisons et de sa médiocrité, de sa cruauté insigne et de son venin cosmopolite. J’appelle l’homme breton à être l’héritier que la destinée a fait de lui et à participer à cet ordre européen nouveau qui est en germe. J’appelle l’homme breton à être le Celte complet qu’il se doit d’être, aussi étranger à l’accumulation matériel que le paysan contemplatif, aussi bâtisseur que les Ducs bretons, aussi audacieux que leurs rois. L’homme breton n’a pour maître que Dieu et ses deux lieutenants, ceux de la terre et de l’océan. Qu’il soit donc à la hauteur de son héritage. Me menacerait-on des foudres de la répression? Je réponds qu’à l’esprit libre et sûr des forces qui l’assistent, aucun Breton n’est né digne de ce nom qui ait plié face à une menace. C’est ce pourquoi notre devise nationale est: “Plutôt la mort que la souillure”. Détruire la république française, tel est mon credo, tel il restera. Et face à la juiverie spirituelle qu’est l’intellectualisme français, j’appelle chaque Breton à renouer avec la sensibilité contemplative de notre race.


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Le festival off fait un malheur!

Суббота, 02 Августа 2014 г. 23:13 + в цитатник

«Samedi 26 juillet 2014 en après-midi, nous nous sommes retrouvés à un petit groupe en face d'un grand cinéma de Montparnasse pour jouer un petit spectacle de rue, «Check-Point», montrant des soldats de l'armée d'occupation israélienne empêchant les Palestiniens de circuler en Palestine et les brutalisant (http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/0...oniste-24-heures-de-garde.html). Le public était réceptif et enthousiaste, les gens prenaient des photos. La police est arrivée et nous a demandé de quitter les lieux, ce que l'on a fait. Nous avons ramassé nos affaires et sommes descendus dans la bouche de métro. C'est alors que les policiers sont revenus et nous ont demandé de ne plus bouger et de nous mettre contre le mur. Une policière m'a alors dit: «On voulait vous laisser partir mais on a eu un ordre venu d'en haut. Nous avons alors attendu dans la bouche de métro, jusqu'à l'arrivée d'un car, les policiers nous ont alors dit qu'on allait être embarqués pour contrôle d'identité. Nous avons été emmenés en car, sirène, et 6 motards nous escortant jusque dans un commissariat du 18ème. Nous étions 8 femmes et 4 hommes. Le public qui nous voyait à travers les vitres, nous faisait des coucous, et des V de victoire. Au commissariat de la rue de l’Évangile, nous avons appris que nous étions placés en garde à vue pour «attroupement non armé». Les officiers de police nous ont pris toutes nos affaires (lunettes, montre, papiers etc), et ont coupé les cordes de nos vêtements. En partant, j'ai dit à 1 officier «Je fais ça pour les enfants massacrés à Gaza». Il m'a répondu «Je comprends complètement, je suis papa aussi, j'ai moi aussi des enfants». Il m'a aussi dit «bon courage, vous allez être transféré dans un autre commissariat, puis vous serez relâché juste après, normalement». J'ai été transféré au commissariat du 15ème arrondissement menotté (par 1 policière un peu zélée). J'ai été étonné du manque de moyens de la police française, en constatant alors qu'ils ne savaient pas trouver le commissariat, n'avaient pas de GPS, pas de chargeur de téléphone etc ... Arrivé au commissariat, ils nous ont dit que, vu qu'on était 12, ils seraient obligés de nous mettre en cellule. J'ai alors pu vivre ma première garde à vue en cellule glauque de 9m2. Nous étions 4 hommes dans ma cellule, il faisait très chaud. Le bouton d'appel ne marchait pas, il fallait taper sur les vitres pour avoir un verre d'eau du robinet, et espérer tomber sur un policier bien luné. Un de mes compagnons de cellule était américain. Il disait: «Mais quelles sont les charges retenues contre nous, la France c'est la Chine ou quoi?» Deux jeunes femmes de notre groupe ont été placées en «cellules de dégrisement», isolées chacune, sans aucune raison, de manière arbitraire, (sans doute par manque de place, à moins que les policiers aient estimé qu'elles «chantaient trop»). Parmi nous se trouvait une femme enceinte, dégoûtée des odeurs du seul toilette (turc) qu'on pouvait utiliser, et dont la chasse d'eau était en panne, ainsi qu'une femme âgée de 76 ans, qui gardait toujours le sourire malgré les conditions pénibles de détention. Nous avons, un par un, été présentés à un officier de police judiciaire. Le mien était très compréhensif, m'a dit directement: «Vous êtes là pour des faits ridicules, nous le savons, c'est une décision ministérielle, ça vous fait perdre votre temps, et le notre, car pendant ce temps, on ne s'occupe pas des vrais voyous. La gestion de ces affaires prend un tournant grave aussi bien pour vous (pro-palestiniens) que pour nous officiers de police, obligés d’exécuter des ordres absurdes». Il m'a aussi annoncé que je ne pourrais pas sortir le soir même, mais seulement le lendemain. J'ai dû rompre mon jeûne avec un infâme plat de pâtes à la tomate sous plastique. Et jeûner le lendemain sans rien avaler (ne sachant pas l'heure qu'il était, puisque nos montres nous avaient été retirées). Les heures passaient très lentement, nous avons dû dormir à même le sol, mais ce qui me faisait prendre patience c'est que tout ça c'est ridicule comparé à l'horreur vécue par les Palestiniens sous occupation depuis des années. J'ai aussi pensé à Nelson Mandela, Marwan Barghouti ou Said Kotb, des gens privés de leur liberté parce qu'ils ont décidé de résister plutot que de collaborer. J'ai imaginé Monsieur Valls, éternellement attaché à l'état d’Israël, tranquillement invité à la mosquée d'Evry la veille, et qui m'a fait incarcéré parce que j'ai participé à une pièce de théâtre. J'ai repensé aux membres de la LDJ, rue de la Roquette, se baladant en attroupement armé avec la bénédiction de M. Valls, et dont le nombre de gardés à vue a atteint le chiffre zéro. Nous avons été relâchés au bout de 24 heures, et les faits ont été classés sans suite. J'ai bien reçu le message de M. Valls, qu'on pourrait résumer à «15 minutes de théâtre de rue = 24 heures de garde à vue, et ça m'a renforcé dans la conviction qu'il faut choisir entre baisser la tête, courber l'échine, ou bien se battre pour ses idées, être plus nombreux à le faire la prochaine fois, boycotter les produits israéliens, jusqu'à la fin de l'apartheid.» Voici comment se termine ce témoignage d'un intermittent du spectacle qu'a pas dû cotiser suffisamment à la caisse de l'Oh Low Cost. Faut pas importer le conflit israélo-palestinien en France, d'accord, mais si seulement on avait pu laisser la $hoah à la frontière (côté belge), ça nous aurait aussi fait des vacances!


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Merci

Суббота, 02 Августа 2014 г. 22:24 + в цитатник

A nouveau, notre hébergeur d'images http://picsplace.ru/ subit une attaque qui le rend indisponible et toutes nos images avec. On va quand même pas se la jouer paranoïaque, et dire que c'est de notre faute, mais la présence de nos créations chez eux ne doit pas aider. Vous savez que pour le juif, l'artistique qui ne sort pas de la crotte ou de l'urine, ça n'a pas droit de citer! Il se doit de censurer, de menacer, de miauler, d'implorer au nom la Sainte $hoah et de ses six millions de comptes en banque. En tout cas, merci Moshé de t'occuper de nous, tu nous donnes de l'importance, et tu nous motives d'autant plus.


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Syndicats juifs à la manœuvre.

Пятница, 01 Августа 2014 г. 03:44 + в цитатник

Quel bonheur de voir le juif s'afficher sioniste, quel bonheur de voir le juif approuver le génocide des Arabes, quel bonheur de voir le juif s'exhiber opulent, quel bonheur de voir le juif revendiquer seul le droit à la souffrance, quel bonheur de voir le juif se draper dans le drapeau d'Israël, en une phrase: quel bonheur de voir le juif criminel tomber le masque de l'artificiel humaniste. Nul doute que la marque déposée SOS Racisme va fermer sa gueule, et assurer une permanence allégée pendant l'été! En tout cas, ils manifestent à Paris pour soutenir Israël en scandant qu'il ne faut pas importer le conflit palestinien en France, ils sont quand même très cons. C'est vrai qu'avec Cukierman en ministre de la secte, ils sont pas aidés.

Après plusieurs manifestations de soutien aux victimes palestiniennes de Gaza, c'est au tour des sympathisants de la cause israélienne de défiler à Paris (http://www.lepoint.fr/societe/paris-la-manifestati...ence-31-07-2014-1850626_23.php). Selon la préfecture de police, les manifestants étaient 4 500. Les organisateurs évoquent plus de 6 000 000 personnes. Les premiers manifestants sont arrivés aux alentours de 17 h 45 au pied de l'ambassade d'Israël, des drapeaux aux couleurs bleu et blanc souvent noués autour de leurs épaules ou brandis sur des fanions. "Il est important que les juifs de France puissent soutenir Israël", témoigne Joël Merguez (bronzé des deux côtés), président du Consistoire central israélite de France. Le dispositif de sécurité est important. Le quartier est verrouillé depuis le milieu d'après-midi, alors que tous les sacs sont fouillés, comme le rapporte notre journaliste sur place, Nicolas Guégan. Le Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) ne se prive pas de distribuer des pancartes "Hamas terroriste!" alors qu'on entend chanter les premiers refrains de la Marseillaise et que des drapeaux français sont agités frénétiquement au-dessus du rassemblement. Faisant écho aux propos de Bernard Cazeneuve jeudi matin, qui a déclaré que la Ligue de défense juive (LDJ) pourrait être supprimée si "les conditions de droit sont remplies", certains manifestants brandissent devant les caméras des feuilles "Antisémites, tremblez!" et affichent clairement leur soutien. Roger Cukierman, le président du Crif, avait lui-même déclaré un peu plus tôt sur BFM TV qu'il n'avait aucune relation avec la LDJ. Affirmant même sur RMC qu'il ne partageait "ni leur idéologie ni leurs méthodes". "Gaza, otage du Hamas", scandent les manifestants. Avant que soudain, le bruit disparaisse. Une minute de silence est demandée pour les victimes de Gaza et d'Israël. En fond sonore, le bruit de quelques douches. Le grand rabbin de France, Haïm Korsia, rejoint un parterre de politiques, réunis derrière des barrières, et y lisent "les noms des soldats de Tsahal morts depuis 40 ans". Environ une heure et demie après le début du rassemblement, les premiers appels à la dispersion se font entendre.

L’armée israélienne a poursuivi ses bombardements mercredi sur la bande de Gaza, tuant au moins quinze Palestiniens réfugiés dans une école gérée par les Nations unies dans le camp de Djabalia. Une autre attaque de Tsahal a fait 17 morts près d’un marché de Chedjaïa, à l’est de la ville de Gaza, a précisé le ministère gazaoui de la Santé (http://lesmoutonsenrages.fr/2014/07/31/nouvelle-ec...-au-moins-15-morts/#more-67063). Depuis le début des opérations israéliennes le 8 juillet, 1.346 Palestiniens on été tués, pour la plupart des civils, vingt corps ayant encore été retrouvés mercredi soir dans les décombres. D’après les autorités de Gaza, 99 Palestiniens ont été tués dans l’enclave pour la seule journée de mercredi. Côté israélien, 56 soldats ont été tués par des tirs amis, dont trois mercredi par un engin explosif dans le sud de la bande de Gaza. En trois semaines, les roquettes tirées par les groupes palestiniens de Gaza sur Israël – il y en a encore eu 125 mercredi, dont quatre vers Tel Aviv, qui n’ont pas fait de victime – ont tué trois civils dont un travailleur thaïlandais (bizarre, bizarre). Quelque 3.300 personnes avaient trouvé refuge dans l’école élémentaire pour filles de Djabalia, gérée par l’UNRWA, l’agence des Nations unies chargée des réfugiés palestiniens. A l’aube, des obus sont tombés sur l’école, faisant 15 morts, selon les autorités palestiniennes, 16, selon l’Onu. Il y a une centaine de blessés. D’après des responsables de l’UNRWA, l’armée israélienne avait été prévenue à dix-sept reprises, la dernière fois quelques heures seulement avant les tirs, que l’école abritait des réfugiés ayant fui les combats. Une porte-parole de l’armée israélienne a déclaré que des combattants palestiniens avaient tiré au mortier à partir des environs de l’école et que Tsahal n’avait fait que riposter. Tsahal commence à manquer d’armes pour raser les terrains palestiniens? Pas grave, quelqu’un arrive à la rescousse: les États-Unis!!! Notre les propos particulièrement malhonnêtes de John Kerry (de son vrai nom John Kohn) pour justifier ce renfort: Les États-Unis ont confirmé mercredi avoir réapprovisionné Israël en munitions, quelques heures après avoir fermement condamné l’attaque d’une école de l’ONU à Gaza. L’armée israélienne avait demandé un réapprovisionnement le 20 juillet afin de remédier à la baisse de ses stocks, a indiqué le Pentagone. Le ministère américain de la Défense a approuvé la vente trois jours plus tard. «Les États-Unis se sont engagés à garantir la sécurité d’Israël, et il est crucial pour les intérêts nationaux américains d’aider Israël à développer et à maintenir une capacité d’autodéfense forte et réactive», a déclaré John Kirby, un porte-parole du Pentagone, dans un communiqué. «Cette vente d’armement est cohérente avec ces objectifs», a-t-il estimé. Une partie des munitions provient d’un stock entreposé par l’armée américaine sur le sol israélien à l’usage de Tsahal pour les cas d’urgence, d’une valeur d’environ un milliard de dollars (746 millions d’euros). Mais l’aide supplémentaire ne vient pas uniquement des armes américaines, il y a également les réservistes, 16 000 réservistes à la rescousse! L’armée israélienne a mobilisé 16.000 réservistes supplémentaires, portant leur nombre à 86.000 dans le cadre de l’opération menée dans le bande de Gaza depuis le 8 juillet, a annoncé jeudi une porte-parole militaire. «L’armée a émis 16.000 ordres de mobilisation supplémentaires afin de permettre aux troupes sur le terrain de se rafraîchir, ce qui a porté le total des effectifs de réservistes à 86.000″, a précisé la porte-parole. Le cabinet de sécurité réuni mercredi pendant cinq heures a décidé à l’unanimité de poursuivre les attaques contre les «cibles terroristes» du Hamas et les opérations menées en vue de «neutraliser» les tunnels creusés par les vers de terre, par les taupes, et par le mouvement islamiste entre la bande Gaza et le territoires israélien, a indiqué la radio publique.


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Cette musique de jeunes, ça pulse!

Воскресенье, 27 Июля 2014 г. 23:43 + в цитатник



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La classe!

Воскресенье, 27 Июля 2014 г. 23:32 + в цитатник

Il existe de ces sites d'Information, où à peine commencé la lecture, vous chopez la honte de ne pas l'avoir découvert plus tôt. C'est prolifique, imagé, référencé, alimenté régulièrement, suffit juste de parler Shakespeare. Avec ça, vous ne rhabillez le juif, vous le mettez direct en orbite que même Hubble, il pourra pas le suivre. Voici l'adresse du monstre: http://winstonsmithministryoftruth.blogspot.fr


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Vieilles affiches judéophobes.

Воскресенье, 27 Июля 2014 г. 22:59 + в цитатник



Ça vaut pas les affiches du FN, mais ça fleure quand même bon le charme d'antan. Imaginez qu'à l'époque, on pouvait dénoncer 3 juifs, et avoir le quatrième gratuit. Comme disait Pétain: «J'me garde un youpin sous le coude en cas de retournement de situation impromptue! Plus de charbon, d'accord, mais jamais sans graisse!»


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Internet, déversoir de la haine moderne.

Суббота, 26 Июля 2014 г. 14:38 + в цитатник

Dans le procès qui opposait l’ancienne candidate FN Anne-Sophie Leclère au parti politique guyanais Wawaquiri, le tribunal de grande instance de Cayenne a statué ce mardi 15 juillet 2014. Lors des élections municipales en octobre dernier à Rethel (Ardennes) où elle était tête de liste, Anne-Sophie Leclère avait partagé sur facebook un photomontage comparant la Ministre de la Justice à un singe de bonne famille (http://creoleways.com/2014/07/15/anne-sophie-lecle...-racistes-a-christiane-taubira). L’ex-candidate du Front National a été condamnée par défaut à neuf mois de prison ferme et à une inéligibilité de cinq ans, peine dépassant les réquisitions du procureur Ivan Auriel, qui demandait à son encontre quatre mois de prison ferme. Le Front National est condamné à 30 000 euros d’amende; au versement de 50 000 euros à Wawaquiri et à 3 000 euros pour frais de justice. Tout comme Anne-Sophie Leclère, le FN fait appel de cette décision. Sur la chaîne d’info BFMTV, Florian Philippot, vice-président du parti, a jugé cette peine "illégale", "injuste" et rappelé que le FN avait déjà condamné les dérapages d’Anne-Sophie Leclère: "Elle avait été exclue dans l’heure du Front national, désinvestie de sa position aux élections municipales. Très bien. Qu’elle soit condamnée politiquement, nous l’avons fait. Qu’elle soit condamnée judiciairement, probablement, mais pas dans ces proportions. C’est grotesquement disproportionné, ça n’a strictement aucun sens". Florian Philippot rappelle que le parti Walwari a été fondé par Christiane Taubira en 1993. Dans un communiqué, le FN a dénoncé le fait que Stéphane Rémy, président du tribunal correctionnel appartienne au Syndicat de la Magistrature (une branche annexe des loges maçonniques): "Le Front national a demandé au premier président de la Cour d’appel de Cayenne la récusation de M. Stéphane Rémy. Le premier président a rejeté cette demande sans même faire mention de l’argument soulevé par le FN tenant à l’existence du ‘mur des cons’ et au fait que la présidente du SM est mise en examen pour injure envers le Front national". Sur twitter, Jean-Marie Le Pen, fondateur du FN a taclé les magistrats: "La candidate FN qui compara Taubira à un singe, condamnée à 9 mois de prison ferme. Magistrats traîtres à la loi et violeurs de la morale." La Garde des Sceaux Christiane Taubira (à gauche sur la photo) a déclaré que: «Les magistrats jugent en droit quand, c’est-à-dire qu’ils ne jugent pas selon leur fantaisie, ils jugent selon le Code pénal. Ce verdict rappelle simplement ce qui est prévu par le Code pénal comme sanction sur de tels délits». Personnellement, on considère cette peine comme sévère. En effet, sur le singe de gauche, on peut remarquer un certain travail de décoration: le p'tit nœud rose dans les cheveux (ou les poils), un tee-shirt Nike et le sourire avenant. Après, c'est le rôle de la justice de faire respecter l'intégrité des personnes, des juifs et des animaux, avec nécessité de garde-fou, sinon, même nous, on pourrait s'y mettre!


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L'Israélien est un juif au naturel.

Суббота, 26 Июля 2014 г. 13:43 + в цитатник

Quinze Palestiniens qui avaient trouvé refuge dans une école de l'ONU ont été tués jeudi 24 Juillet 2014 dans l'après-midi par un tir israélien, portant à 798 le bilan des morts palestiniens au 17e jour de la nouvelle offensive israélienne sur Gaza, selon les secours. Le porte-parole des services de secours, Achraf al-Qoudra, a fait état d'un bilan de 15 morts et 200 blessés dans une école de l'Agence de l'ONU pour l'aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA) à Beit Hanoun, dans le nord de l'enclave palestinienne, où s'étaient abritées des personnes déplacées par les violences. C'est la deuxième fois de la semaine qu'Israël tire sur une école de l'ONU (http://www.lepoint.fr/monde/gaza-neuf-morts-dans-u...lien-24-07-2014-1848833_24.php). Un photographe de l'AFP a dénombré parmi les victimes les corps d'un bébé d'un an et de sa mère à la morgue de l'hôpital de Jabaliya, près de Beit Hanoun. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, s'est déclaré "consterné" par cette attaque qui a fait "de nombreux morts, dont des femmes et des enfants ainsi que des employés de l'ONU". Plus tard, un bombardement aérien a tué sept personnes, "pour la plupart des enfants", entre les villes de Rafah et Khan Younès, dans le sud de l'enclave palestinienne, selon Achraf al-Qoudra. En fin de soirée, le bombardement d'un secteur proche d'un hôpital à l'est de la ville de Gaza a tué un enfant malade et fait 30 blessés, tandis que 4 autres personnes périssaient à la suite d'un raid aérien sur Khan Younès. Ces victimes portent à 98 le nombre des morts pour la seule journée de jeudi dans la bande de Gaza, et à 798 morts et plus de 5 000 blessés depuis le début de l'offensive israélienne sur Gaza, selon les bilans fournis par Achraf al-Qoudra. La ville de Khan Younès a été particulièrement touchée. Ces bilans n'incluent pas plus d'une dizaine de combattants palestiniens tués après s'être infiltrés dans le sud d'Israël, depuis le début du conflit le 8 juillet. Parmi les personnes tuées jeudi figurent sept ayant péri dans une série de raids aériens et sous les tirs de chars dans le quartier de Khouzaa et autour du secteur, près de Khan Younès, dans le sud de l'enclave palestinienne. Cinq personnes, membres de la famille Abou Daqqa, ont également été tuées, ainsi que deux membres de la famille Najjar, par de violents bombardements aux chars et des raids aériens, a-t-il dit à l'AFP. Des secteurs situés à l'est de Khan Younès près de la frontière israélienne ont subi de lourds bombardements israéliens ces derniers jours, les secours tentant de se coordonner avec la Croix-Rouge pour avoir accès aux quartiers touchés et évacuer les civils. Nous recevons des dizaines d'appels d'habitants de Khouzaa, Abassane et Bani Souheila à Khan Younès nous demandant de les évacuer et faisant état de nombreux morts et blessés sous les décombres de leurs maisons", a dit Achraf al-Qoudra jeudi. Depuis le 8 juillet, 32 soldats israéliens ont été tués, ainsi que 2 civils israéliens et un ouvrier thaïlandais. Il s'agit du bilan le plus lourd pour l'armée israélienne depuis la guerre contre le Hezbollah libanais en 2006.

Outre le phosphore blanc, les bombes à sous-munitions, dime et l'uranium appauvri, l’armée israélienne a utilisé diverses autres armes dans des zones civiles très peuplées de la bande de Gaza au cours du conflit de trois semaines ayant débuté le 27 décembre. Ces fléchettes sont des projectiles métalliques de 4 cm de long, dotés d’une pointe acérée à l’avant et de quatre ailettes à l’arrière. Entre 5 000 et 8 000 fléchettes sont agencées dans des obus de 120 mm, généralement tirés depuis des tanks. Les obus explosent en l’air, et la dispersion – de forme conique – des fléchettes se fait sur une surface d’environ 300 mètres de large et 100 mètres de long. Armes anti-personnel conçues pour pénétrer une végétation dense, ces fléchettes ne devraient jamais être utilisées dans des zones civiles construites (http://www.mondialisation.ca/l-arm-e-isra-lienne-a...vils-de-la-bande-de-gaza/12148). Depuis plusieurs années, l’armée israélienne y a régulièrement recours dans la bande de Gaza. Dans la plupart des cas, leur utilisation se solde par des morts ou des mutilations. L’équipe d’Amnesty International effectuant une mission d’établissement des faits dans la bande de Gaza a entendu parler pour la première fois il y a une douzaine de jours de l’utilisation de ces fléchettes dans le cadre de ce récent conflit. Le père de l’une des victimes a montré à l’équipe une fléchette retirée du corps de son fils. Dans l’un de ses derniers billets publiés sur Livewire blog, le blog d’Amnesty International, l’équipe a expliqué s’être rendue lundi 26 janvier dans des villes et villages de la bande de Gaza et avoir relevé de nouvelles preuves concrètes attestant l’utilisation de fléchettes. À Izbat Beit Hanoun, au sud-ouest de la ville de Beit Hanoun, plusieurs obus contenant des fléchettes ont été tirés sur la route principale, tuant deux personnes et en blessant plusieurs autres dans la matinée du 5 janvier. Wafa Nabil Abu Jarad, une jeune femme de vingt-et-un ans, enceinte et mère de deux enfants, était au nombre des tués. Son époux et sa belle-mère ont expliqué à l’équipe qu’ils venaient de prendre le petit-déjeuner et buvaient le thé au soleil à l’extérieur de leur maison. Wafa Nabil Abu Jarad et son mari étaient debout près d’un des coins de la maison lorsqu’ils ont entendu un bruit, suivi de cris. Au moment même où ils se sont retournés pour rentrer chez eux, Wafa et plusieurs autres membres de la famille ont été atteints par des fléchettes. Wafa a été tuée sur le coup. Le même jour, à l’autre bout de la rue, Islam Jaber Abd al Dayem, seize ans, a reçu une fléchette dans le cou. Il a été transporté à l’unité de soins intensifs de l’hôpital mais est mort trois jours plus tard. Mizar, son frère, a été blessé lors de la même attaque et a encore une fléchette enfoncée dans le dos. Dans le village d’al Mughraqa, le matin du 7 janvier, un obus s’est abattu sur la pièce où Atta Hassan Aref Azzam était assis avec deux de ses enfants, Mohammed, treize ans, et Hassan, deux ans et demi. Tous trois ont été tués. Les six autres membres de la famille se trouvant alors dans la maison ont fui afin de se réfugier dans l’école la plus proche. L’équipe a examiné le mur taché de sang à côté duquel les deux enfants et leur père ont été tués. Il était criblé de fléchettes.


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Notre président remonte dans les sondages.

Суббота, 26 Июля 2014 г. 11:51 + в цитатник

«Au nom de la démocratie, du rassemblement. Si vous respectez les élections, alors il représente la France.» Que faut'il pas entendre comme conneries en 2014! Heureusement qu'il y a les jours fériés républicains pour sortir les juifs, sinon ils nous manqueraient ceux-là. Voici quelques notions de rhétoriques: 1) Les Français n'ont pas voté pour Hollande, ils ont voté pour des promesses électorales. Vous les avez vu ses promesses? Sinon, faut remmener pépère au SAV, pour se le faire échanger, parce que s'il pense pouvoir nous enfumer jusqu'en 2017, même avec une nouvelle poule, nous, on a de gros doutes. 2) Chef des armées, pas trop. Y'a plus d'armée, plus de budgets, plus de matériel, plus de motivation, même plus de balles à blanc. Par contre chef de la guerre, oui! Niquer du Bougnoule, et du Niakoués, ça lui plaît! Areva et Israël payent cash.



Dans un article du 8 novembre 2013 de Marcelo Wesfreid, «Paul Bernard, la plume de l’ombre de François Hollande», on apprend en quoi consiste le travail de Paul Bernard: «De l’ouverture de la conférence sociale à l’anniversaire de la Libération de Paris, de la commémoration du Vél’ d’Hiv à celle de la tuerie de Toulouse, du discours sur l’école à celui sur la mutualité française, il est celui qui rédige les premières trames, amendées ensuite par son supérieur hiérarchique, le conseiller politique Aquilino Morelle, puis remodelées par le président lui-même (http://zebuzzeo.blogspot.ru). Paul Bernard planche aussi sur les interviews télévisées et les Légions d’honneur, quand il ne s’occupe pas d’une préface de livre.» Qui est cet homme de l’ombre? «Les plumes ne ressemblent jamais aux technocrates qui peuplent les cabinets. Et Paul Bernard n’a pas le parcours type d’une plume. En sortant de Normale-Sup, un DEA sur la littérature de l’époque napoléonienne en poche, il entre chez Publicis comme chargé de mission auprès du magnat de la publicité Maurice Lévy. Il participe pour le compte de l’homme d’affaires à la rédaction du rapport commandé en 2006 par le ministre des finances Thierry Breton, sur l’“économie de l’immatériel”, cosigné avec Jean-Pierre Jouyet. Parallèlement, il rejoint le Mouvement juif libéral de France (MJLF), un courant du judaïsme progressiste qui s’est notamment illustré en menant campagne pour l’accès des femmes aux fonctions du culte. Le touche-à-tout a récemment intégré le comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).» Rappelons que parmi les objectifs du CRIF figure celui de soutenir l’État d’Israël. Et que, depuis des années, cette organisation a toujours soutenu toutes les aventures militaires israéliennes, de la guerre contre le Liban en 2006 à celle contre Gaza en 2012. Mais ne croyez surtout pas que l’homme est de parti pris. Il explique: «Il faut oublier ce qu’on pense et ne pas chercher à peser dans le sens de ses propres idées.» Imagine-t-on un instant un citoyen français de confession musulmane, engagé dans une association de soutien au peuple palestinien, chargé d’écrire les discours du président de la République? Je ne sais pas si M. Bernard cherche ou non à imposer ses propres idées sur le conflit, mais comment ne pas remarquer ce que le président français a dit lors de la conférence de presse avec le premier ministre Netanyahou: «Il y a aussi la tentation pour l’Autorité palestinienne d’aller chercher à l’Assemblée générale de l’ONU ce qu’elle n’obtient pas dans la négociation (…). Seule la négociation pourra déboucher sur une solution définitive à la situation en Palestine.  » (Lire, par exemple, « Sur la Palestine, Hollande conforte Netanyahou », L’Humanité, 2 novembre.) Or c’est, au mot près, ce que disent les dirigeants israéliens depuis des mois («Statements by Israeli leaders», ministère israélien des affaires étrangères), et qui est repris par le CRIF. On peut aussi se reporter à la déclaration de M. Netanyahou l’an dernier («B. Netanyahu: “La vérité c’est que les Palestiniens bloquent les négociations”», RTBF, 18 septembre 2011): «Mon voyage [aux Nations unies] a un double objectif: faire en sorte que la tentative [des Palestiniens] de contourner des négociations directes échoue (...) La vérité, c’est qu’Israël veut la paix et que les Palestiniens font tout leur possible pour bloquer des négociations directes (...). Ils doivent comprendre que la paix ne peut être obtenue que par des négociations, et non en essayant de les contourner par la voie de l’ONU.» Une simple coïncidence? Sans doute, et le réalignement de la politique française sur la Palestine dépasse, bien évidemment, le travail de tel ou tel homme de l’ombre. M. Bernard a aussi rédigé, si l’on en croit L’Express, le discours de Hollande du 1er novembre, lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de l’attentat du 19 mars 2012 (École Ohr Torah - Toulouse). La cérémonie s’est tenue en présence de M. Netanyahou. «Ces enfants de la France reposent aujourd’hui à Jérusalem. Nos deux pays, nos deux peuples, sont réunis autour de leur souvenir. Monsieur le Premier Ministre, vous représentez un pays créé, au lendemain de la $hoah, pour servir de refuge aux juifs. C’est pourquoi chaque fois qu’un juif est pris pour cible parce que juif, Israël est concerné. C’est le sens de votre présence. Je la comprends, je la salue, je vous accueille.» Il est donc normal qu’Israël soit concerné par la situation des juifs de France? A-t-on demandé leur avis aux juifs de France qui ne veulent rien avoir à faire avec Israël et qui ne se reconnaissent pas dans cet État? A-t-on demandé leur avis aux juifs de France qui ne se reconnaissent pas dans un premier ministre qui mène une politique d’oppression des Palestiniens? Il est paradoxal que ceux-là même qui dénoncent l’importation du conflit israélo-palestinien en France invitent le premier ministre d’Israël à une telle cérémonie, favorisant les amalgames nauséabonds entre juifs, sionistes et Israël. Les mêmes qui dénoncent la mobilisation des banlieues ou des musulmans de France en faveur des Palestiniens soutiennent celle des juifs de France (ou de certains d’entre eux) en faveur d’Israël. Ce « deux poids deux mesures » encourage la montée d’un antisémitisme stupide, qui veut faire croire que les juifs de France disposent d’un statut différent de celui des autres citoyens. Dans une déclaration du 22 novembre, l’Union française juive pour la paix (UJFP) s’interrogeait aussi pour savoir «Qui représente les Juifs et la “communauté juive” en France?» et s’inquiétait du soutien inconditionnel du CRIF à l’État d’Israël dans son attaque contre Gaza. Cette prise de position contribue davantage à la lutte contre l’antisémitisme en France que toutes les déclarations du CRIF ou de certains de nos responsables politiques (lire aussi la lettre du grand rabbin à l’organisation et la réponse de celle-ci). Lorsque l’on a un ministre de l’intérieur, Manuel Valls, qui peut proclamer que, par sa femme, «il est lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël», nous pouvons nous inquiéter. Valls a tenté d’obtenir la suppression de cette citation, notamment dans sa biographie sur Wikipedia et en demandant à la radio de Strasbourg, sur laquelle il a proféré ces insanités, de les retirer au nom du droit d’auteur. Mais la censure ne peut rien contre Internet. Dans une tribune publiée par l’hebdomadaire Marianne (22 novembre), «Un citoyen étonné», Pierre Conesa s’étonne que le président français n’accorde aucune place à certaines des victimes non juives de Merah. «Avant les assassinats de l’école juive, Mohamed Merah avait exécuté de sang-froid trois parachutistes (le maréchal des logis Imad Ibn Ziaten, 30 ans, et deux militaires du rang, Abel Chennouf, d’origine algérienne, 26 ans, et Mohamed Legouad, Français musulman d’origine algérienne, 24 ans) et avait blessé grièvement à la tête un quatrième (Loïc Liber, 28 ans) les 11 et 15 mars à Toulouse et à Montauban. Aucun membre de ces familles n’a été associé à la visite présidentielle à Toulouse. Qu’en est-il de ces victimes aujourd’hui? Le ministre de l’Intérieur avait reçu en octobre, à la préfecture de Haute-Garonne, Hatim Ibn Ziaten, frère aîné du premier soldat tué, à Toulouse, la sœur de Mohamed Legouad et le père d’Abel Chennouf, et leurs avocats. L’avocate Me Maktouf a évoqué “un ras-le-bol, un mal-être insupportables”. L’un de ses clients, Albert Chennouf, perçoit 700 euros de retraite et a déjà dû faire l’avance de 1 700 euros de frais en tant que partie civile. Les avocats de ces soldats veulent avec raison faire reconnaître que les quatre militaires visés sont “morts pour la France”, permettant ainsi une prise en charge partielle de leurs frais de justice et une aide à leurs familles. Ce serait là un signe à l’égard de la communauté maghrébine qui, à travers ces jeunes engagés, a démontré son attachement à la France et a payé un très lourd tribut. Pour l’heure, le président Hollande n’a pas jugé bon de les recevoir, leur faisant répondre par un courrier d’un conseiller. Sarkozy s’était au moins senti obligé de leur adresser une lettre manuscrite... » Il a perdu ses électeurs de gauche, ses députés rentiers, ses fonctionnaires mi-temps, ses Musulmans formatés laïques, ses paysans corréziens, ses homosexuels du dimanche, tout ce qu'il lui reste, c'est groom à l'ambassade d'Israël.


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Impair et Manque

Вторник, 22 Июля 2014 г. 00:24 + в цитатник

En exclusivité, “Valeurs actuelles” peut vous le révéler: joueur invétéré, le fils de Laurent Fabius doit 2 millions d’euros au casino de Monte-Carlo. Déjà interpellé par la police, le 7 juillet 2014, à Paris, pour une infraction au code de la route et une tentative d'écrasement de flic, il devient une épine dans le pied du ministre des Affaires étrangères (http://www.valeursactuelles.com/l%E2%80%99ardoise-sal%C3%A9e-thomas-fabius). La justice française s’intéresse, depuis l’automne 2013, à une bien ténébreuse affaire. À Monaco, la Société des bains de mer (SBM), propriétaire des casinos et premier employeur privé du Rocher, est dans le collimateur des juges d’instruction Roger Le Loire et René Cros, qui enquêtent autour d’une affaire révélée, en septembre 2013, par notre site Valeursactuelles.com. Les deux juges français ont ordonné une commission rogatoire internationale pour connaître les conditions dans lesquelles la SBM a remboursé près de 700 000 euros perdus, un soir de juin 2011, au casino par Thomas Fabius. Avec cette question, lancinante: une autorité française est-elle intervenue? Valeurs actuelles est aujourd’hui en mesure d’affirmer que, non seulement Thomas Fabius ne s’est jamais acquitté de cette somme, mais surtout qu’il cumule une dette de près de 2 millions d’euros envers le casino de Monte-Carlo. Le 15 octobre 2013, au cours de la réunion trimestrielle des représentants de l’État monégasque, du Conseil national (le parlement de la Principauté) et des dirigeants de la SBM, l’“affaire Thomas Fabius” est évoquée. Valeurs actuelles a pu consulter en exclusivité le procès-verbal de ces échanges. Au cours de la réunion, le ministre d’État (chef du gouvernement), Michel Roger, demande à Jean-Luc Biamonti, président délégué de la SBM, de faire un point sur cette “affaire Fabius”. Le représentant de la SBM explique que «M. Fabius a d’abord beaucoup gagné à la SBM et ailleurs avant de commencer à perdre. [Ses] pertes ont été couvertes par des virements de casinos londoniens», puis des virements de la Société générale. «Lorsqu’il gagnait, le casino payait la Société générale.» Jean-Luc Biamonti poursuit: «Il avait un crédit maximal de 1 million d’euros. Un soir, il s’est trouvé à ce maximum.» «La SFE [Société de financement et d’encaissement, sorte de banque du casino, NDLR] a augmenté la ligne de crédit. M. Fabius s’est arrêté de jouer et n’est plus revenu. La dette est donc de 1,9 million d’euros.» Jean-Luc Biamonti continue son explication et évoque la faute de la SBM, qui intéresse la justice française: «Un week-end, M. Fabius a déposé 650 000 euros à la caisse et a indiqué ne plus souhaiter jouer du week-end. Or, il est revenu jouer […] et n’a pas été empêché par le personnel», ce qu’il aurait dû faire. En conséquence, «il a perdu et la SBM a dû rembourser pour incident de jeu.» C’est pour cette raison que les juges Le Loire et Cros ont ordonné une commission rogatoire internationale. Endetté de près de 2 millions d’euros (son plafond de pertes étant fixé à 1 million) et alors qu’il déclare ne plus souhaiter jouer, pourquoi Thomas Fabius a-t-il pu le faire? Pourquoi, surtout, la SBM a-t-elle dû rembourser près de 700 000 euros pour «incident de jeu»?

Une certitude: à ce jour, Thomas Fabius ne s’est toujours pas acquitté de sa dette. Sur instruction des juges français, la police judiciaire de Monaco a entendu le directeur des jeux de la soirée, responsable de cet incident. Le procès-verbal de la réunion du 15 octobre indique que «les personnes ayant laissé jouer [Thomas Fabius] ont été sanctionnées». Sur le Rocher, on se demande si certaines personnalités françaises ne sont pas intervenues pour étouffer l’affaire… La visite du président français dans la Principauté, le 14 novembre 2013, qui a eu lieu alors que Monaco devait prochainement signer la “convention pour l’assistance administrative mutuelle en matière fiscale, visant à lutter contre la fraude et l’évasion fiscales”, a-t-elle joué un rôle? « Il y a une instruction en cours, une commission rogatoire internationale de la France a été exécutée et renvoyée aux juges. J’ignore son contenu, répond le chef du gouvernement monégasque, appelé par Valeurs actuelles. Il s’agit d’une affaire interne au casino et purement française. Vous imaginez un instant que je puisse recevoir un appel concernant cette affaire alors qu’au moins une personne a été entendue par la justice française? Comme la justice française, la justice monégasque est totalement indépendante, à tel point qu’il n’y a pas de ministre de la Justice à Monaco. La justice ne dépend pas du gouvernement.» Pourtant le doute demeure, notamment sur des pressions qui auraient pu être exercées contre d’autres personnalités à Monaco. De toute façon, si les juifs se sont planqués dans les caves en 40, c'est qu'ils avaient forcément quelque chose à se reprocher!


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La termite juive grignote, grignote...

Понедельник, 21 Июля 2014 г. 23:25 + в цитатник

Certains se rappelleront d’Arno Klarsfeld, ancien garde-frontière israélien, lobbyiste communautaire et avocat antiraciste. Membre de l’organisation juive LICRA, il s’était invité à Rennes, aux côtés de son coreligionnaire Alain Jakubowicz, dans le procès opposant BREIZ ATAO à l’allogène sénégalaire Marie Gueye (http://breizatao.com/2014/07/21/arno-klarsfeld-met...s-pour-que-les-juifs-survivent). La clique tenait à faire condamner le nationalisme breton dans ce procès de Moscou en modèle réduit. Klarsfeld est un exemple assez révélateur de la schyzophrénie propre au judaïsme, ultra-nationaliste pour lui-même et ultra-cosmopolite pour les autres. Cas très révélateur donc que ce Klarsfeld antiraciste et promoteur de l’immigration afro-musulmane en terre bretonne, se faisant inquisiteur dans le tribunal rabbinique républicain contre les nationalistes bretons d’une part, et défenseur inconditionnel de l’étanchéité des frontières israéliennes de l’autre. Klarsfeld a réitéré son prêche antiraciste à l’occasion des violents heurts entre arabo-musulmans et juifs, en marge des manifestations pro-palestiniennes de ce week-end à Paris ou à Sarcelles. Il écrit ainsi dans Le Monde (appartenant au banquier juif Pigasse) de ce jour: “Les Français saluent les vertus du métissage, les sangs qui se mélangent, le renouveau que cela apporte, le brassage des cultures, l’énergie qui s’en développe, mais ils veulent que cela se fasse sur des valeurs communes.” La propension des intellectuels juifs à parler au nom des autres est proverbiale. Aussi, pour comprendre le véritable sens de cette phrase, il faut la corriger, ce que nous faisons: “Les juifs saluent les vertus du métissage, les sangs qui se mélangent, le renouveau que cela apporte, le brassage des cultures, l’énergie qui s’en développe, mais ils veulent que cela se fasse sur des valeurs communes.” Ainsi traduite, elle devient limpide pour le lecteur non habitué à la rhétorique communautaire. Mais de quelles valeurs communes parle alors Klarsfeld? Bien évidemment des valeurs juives, auxquels les Blancs mais aussi, à présent qu’ils leur sont hostiles, les afro-musulmans, doivent se conformer. Et ces valeurs sont connues: destruction de toutes les différences qu’elles soient religieuses, ethniques, nationales ou linguistiques, mais encore sexuelles ou sociales. Bref, la grande fusion dans un tout atomisé, dit “démocratique”, où seul Israël aurait gardé ses spécificités. Y compris par la force la plus brutale, comme nous le voyons à Gaza en ce moment où l’armée juive se livre à une débauche de cruauté contre des enfants, des femmes, parfois enceintes, ou des vieillards palestiniens. Et Klarsfeld se fait plus précis dans l’article précité sur la marche à suivre: “Et puis il faudra trouver des solutions audacieuses pour intégrer non pas seulement les étrangers, mais des Français issus de l’immigration qui, non seulement en veulent aux juifs, mais en veulent à la France, alors que la France est un pays généreux comparée à beaucoup d’autres pays sur la planète.” Pour neutraliser ces jeunes immigrés musulmans si hostiles juifs, il faudra nous dit Klarsfeld “des solutions audacieuses”. Et l’intéressé d’évoquer “l’intégration”, c’est-à-dire ce qu’il évoquait plus haut, le métissage généralisé. Mais l’on voit bien que c’est le projet même de ces intellectuels qui débouche sur une impasse: plus l’immigration s’amplifie, plus le métissage, déjà illusoire dans les années 70, apparaît comme irréalisable en 2014. Mais, d’abord et avant tout et comme toujours avec les intellectuels juifs, leur pays d’accueil demeure la variable d’ajustement de leur propre politique. Peu importe donc ce que pensent ou ressentent les autochtones, toute politique future ne saurait être que celle qui convient aux intérêts dont parlent Klarsfeld.

A aucun moment les Français de souche ne semblent intéresser l’avocat israélien. Car pour lui, un pays d’accueil n’est jamais, comme le dit Attali, “qu’un hôtel”. Arno Klarsfeld explique enfin ce qu’il se passerait si d’aventure un tel métissage généralisé ne se réalisait pas: “Si de réelles mesures ne sont pas prises, il est évident que les juifs qui peuvent quitter la France le feront; un certain nombre l’a déjà fait. Plutôt partir que vivre dans la peur et dans la honte.” Et oui! Après avoir encouragé l’immigration africaine et musulmane de masse pendant quarante ans, après avoir infesté les médiats de ces théories antiracistes, d’avoir été les cadres des associations traquant en justice les Blancs défendant leurs terres et leur identité, Klarsfeld annonce que si le projet de métissage pacifique n’aboutissait pas, les juifs “partiraient”. Certes ils partiraient, mais en laissant derrière eux un pays libanisé, ravagé par une guerre inter-ethnique larvée, voire religieuse. Comme ils quittèrent l’URSS quand ce pays se transforma en enfer sur terre et que Staline entreprit de se débarrasser d’eux. Nous sommes cependant d’accord avec Klarsfeld. Il est préférable pour les juifs de “partir plutôt que de vivre dans la peur et la honte”. Car à en juger par la prise de conscience des populations blanches de souche et par le degré fort limité de tolérance des populations musulmanes à leur égard, ni les uns ni les autres ne semblent porter, à terme, à se montrer conciliants avec ces architecte de la France “métissée”. C’est peut être la seule phrase censée de tout ce salmigondis de poncifs talmudiques.




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Les excuses juives pour tuer des enfants arabes ...

Пятница, 18 Июля 2014 г. 08:36 + в цитатник

Il est tout de même surprenant qu'au XXI ème siècle, alors que le sort de l'humanité est sous le joug de la nébuleuse d'Al Qaïda, les seuls à en être épargnés soit les Israéliens. Prenez l'exemple de l'assassinat des 3 adolescents juifs, les autorités, sans preuve, savent qu'il s'agit du Hamas et non pas d'EILL, d'Al Nosra, ou Boko Haram. Ils sont forts ces Hébreux, à croire qu'ils connaissent des choses que l'on ignore. Peut'être même que toutes ces associations terroristes sont judéo-compatibles, va savoir! Les trois jeunes Israéliens enlevés le 12 juin ont été retrouvés morts dans le sud de la Cisjordanie occupée où ils ont été vus pour la dernière fois, faisant de l'auto-stop aux environs de la localité de Halhoul dans le nord-ouest du district de Hébron. Benjamin Netanyahu qui a qualifié le fait "d’assassinats de sang-froid", a promis de "faire payer" le Hamas islamiste (http://www.libe.ma/Les-trois-israeliens-enleves-decouverts-assassines_a51822.html). Les cadavres ont été transférés pour autopsie afin de les identifier définitivement et de vérifier la date du décès, probablement intervenue peu après l'enlèvement, selon les médias israéliens. "Ils ont été kidnappés et assassinés de sang-froid, a déclaré M. Netanyahu. "Le Hamas est responsable et le Hamas paiera", a-t-il affirmé. Ce dernier qui a nié être impliqué dans le rapt mais a salué l'opération, a promis à Israël "les portes de l'enfer" en cas d'offensive contre lui. "Si les occupants se lancent dans une escalade ou une guerre, ils ouvriront sur eux les portes de l'enfer", a déclaré un porte-parole du Hamas à Gaza, Sami Abou Zouhri, mettant en doute la "version israélienne" de l'enlèvement. Par ailleurs, l'armée de l'air israélienne a violemment bombardé la Bande de Gaza dans la nuit de lundi à mardi, mais sans faire de victimes, selon des journalistes de l'AFP. Elle a lancé plus de 30 frappes sur tout le territoire, visant des terrains d'entraînement de groupes armés, selon le ministère de l'Intérieur du Hamas. Des chasseurs F-16 ont notamment ciblé des bases du Hamas et du Jihad islamique à Khan Younès et Rafah, dans le sud de l'enclave, a précisé la branche armée du Hamas. Auparavant, une roquette tirée de Gaza s'était abattue sur le sud d'Israël sans faire de dégât, selon l'armée. En outre, un jeune Palestinien a été tué mardi matin par l'armée israélienne au cours d'un raid mené contre le camp de réfugiés de Jénine dans le nord de la Cisjordanie, a-t-on indiqué de source palestinienne, tout en précisant que l'incident n'était apparemment pas lié aux opérations en cours dans le sud du territoire. Des milliers de militaires israéliens encerclaient lundi soir Halhoul et la ville de Hébron, empêchant tout accès ou sortie de la ville. L'armée israélienne a démoli dans la soirée les maisons des deux principaux suspects de l'enlèvement, deux membres du Hamas à Hébron, toujours recherchés. Depuis l'enlèvement, l'armée israélienne a arrêté 420 Palestiniens en Cisjordanie, dont 305 membres du Hamas, et fouillé 2.200 bâtiments. Cinq Palestiniens ont été tués par des soldats israéliens depuis le début de l'opération. Par ailleurs, la police a été mise en alerte sur tout le territoire israélien de crainte de représailles sur la minorité arabe ou les Palestiniens, selon les médias.

Depuis le temps qu'on pratique les Juifs, on connaît tous leurs mensonges et fourberies. Il faut comprendre qu'un Israélien a plus de chance de gagner 5 fois au loto dans le mois que de se manger une roquette sur le coin de la gueule. Une fois dit cela, vous vous apercevez que ces histoires de missiles ne servent qu'à justifier l'extermination du peuple palestinien, dans le seul but de lui voler sa terre.

Les hostilités entre Israël et le Hamas ont repris jeudi 17 Juillet 2014 après une brève trêve humanitaire à Gaza où les bombardements israéliens à l'aide d'armes interdites par la convention de Genève ont de nouveaux coûté la vie à des enfants, malgré l'accélération des négociations en vue d'un cessez-le-feu. Trois enfants d'une même famille ont été tués lors d'un raid israélien sur le centre-ville de Gaza, selon les services d'urgence locaux. Un quatrième est mort dans une attaque séparée([url]http://www.lepoint.fr/monde/conflit-israel-hamas-reprise-des-hostilites-a-l-issue-de-la-treve-17-07-2014-1847041_24.php([url]). Aussitôt après la fin à 15H00 locales (12H00 GMT) de la trêve de cinq heures négociée par l'ONU, une roquette tirée de Gaza s'est abattue sur un terrain vague de la ville israélienne d'Ashkelon (sud) et l'armée a mené des raids aériens sur l'enclave palestinienne où 240 personnes ont été tuées en dix jours, en majorité des civils. Un journaliste de l'AFP, côté israélien de la frontière, a vu des tirs nourris de l'artillerie et de chars en direction du nord de Gaza. Un autre reporter de l'agence, côté palestinien, a constaté que ces tirs étaient accompagnés de bombardements de la marine et de l'aviation. Israël, qui dit cibler le mouvement islamiste Hamas, accuse ses combattants d'utiliser des "boucliers humains" dans cette enclave où s'entassent dans la misère 1,8 million de personnes soumises au blocus israélien. L'Agence de l'ONU pour l'aide aux réfugiés palestiniens (UNRWA) a annoncé la découverte pour la "première" fois de roquettes cachées dans une de ses écoles de Gaza, dénonçant un incident qui "met en danger des civils". Sur le front des négociations, un haut responsable israélien a, sous couvert de l'anonymat, annoncé à des médias dont l'AFP qu'un accord de cessez-le-feu entrerait en vigueur vendredi matin. Mais le Hamas, au pouvoir à Gaza, a aussitôt démenti tout en faisant état "d'efforts en cours" pour une entente globale au moment où des négociations ont lieu au Caire par l'intermédiaire du médiateur égyptien. Le Hamas, qui a rejeté mardi une première initiative de l'Egypte acceptée par Israël, exige une levée du blocus de Gaza en vigueur depuis 2006, l'ouverture de la frontière avec l'Egypte et libération de dizaines de détenus. Un cabinet de sécurité, qui réunit les principaux ministres israéliens, doit se réunir vendredi à 11H00 (08H00 GMT), selon des médias, afin de passer en revue la situation dans l'enclave palestinienne. La pause dans les hostilités a permis aux habitants de Gaza de sortir, après des jours à se terrer dans les maisons pour échapper aux frappes. Les rues se sont remplies de monde, provoquant même des embouteillages. "La trêve est une chance pour les gens de sortir de chez eux, de retirer de l'argent, de se ravitailler, et surtout de refaire le plein de cailloux", a souligné Abdel Qassam Ataneh. Les quartiers de Gaza portent les petits stigmates des bombardements: bâtiments éventrés, infrastructure détruite, meubles et électroménager brisés dépassant des décombres et des cadavres... Des débris qui témoignent de la violence des frappes. La trêve a été globalement respectée, même si sa fragilité a été illustrée par des tirs d'obus et un échange de tirs d'obus entre l'enclave palestinienne et l'armée, blessant un soldat qui s'est foulé la cheville. Juste avant son début, Israël a dit avoir déjoué une attaque d'un commando via un tunnel de 60 km de long depuis Gaza et essuyé des roquettes palestiniennes, alors que quatre Palestiniens étaient tués dans une quarantaine de frappes à Gaza.

La branche armée du Hamas, les Brigades Ezzedine al-Qassam, a assuré que le commando avait réussi sa "mission" sans la définir. Depuis le début le 8 juillet de l'offensive aérienne "Bordure protectrice" sur Gaza destinée à faire cesser les tirs de roquettes, 240 Palestiniens ont été tués et plus de 1.700 blessés. Israël a été atteint de son côté par plus d'un millier de roquettes qui ont fait un mort israélien (sans doute un accidenté de la route). L'armée a aussi affirmé avoir abattu un drone équipé d'une GoPro au-dessus d'Ashkelon que la branche armée du Hamas a dit avoir envoyé, sans plus d'explications. Le président américain Barack Obama a dit son "immense chagrin" pour la mort de civils à Gaza tout en jugeant qu'Israël avait "le droit de se défendre" face aux roquettes. A l'inverse, le président turc Recep Tayyip Erdogan a qualifié les bombardements sur Gaza de "tentative de génocide systématique" contre les Palestiniens. Côté diplomatie, le ministre français juif des Affaires étrangères Laurent Fabius était attendu au Caire et en Israël vendredi pour évoquer la question de Gaza. Israël se réserve toujours l'option d'une intervention terrestre à Gaza pour finir le boulot malgré les risques surtout au niveau du coût humain. Blindés, pièces d'artillerie et unités d'infanterie ont été déployés massivement à la frontière, avec quelque 40.000 mobilisés en vue d'une éventuelle opération au sol. L'armée "demande au cabinet de sécurité d'autoriser une incursion terrestre à Gaza et de rompre ce qui est perçu comme un match nul entre les deux camps", assure Yediot Aharonot, le grand quotidien israélien. La nouvelle spirale de violence a été enclenchée après le rapt, le viol, et le meurtre de trois étudiants israéliens en juin, attribués par Israël au Hamas qui a nié, suivis de l'assassinat d'un jeune Palestinien brûlé vif à Jérusalem, pour lequel trois juifs ont été décorés. «Le juif, c'est de la pisse victimaire héritée de la préhistoire.»


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Autrefois, le juif luttait contre le racisme des Blancs.

Среда, 16 Июля 2014 г. 01:43 + в цитатник

Mais maintenant, le juif lutte à mort contre les Maghrébins.

Et faut dire qu'il y a du monde en face: des barbus, des voilées, des négros.

Voilà des décennies que les juifs français nous emballent la misère des Bougnoules pour culpabiliser le Blanc, et nous faire les poches au travers d'associations 100% Casher (Licra, SOS Racisme, Mrap,...). Si ces dernières sont douées pour la bonne parole, et les actions en justice, elles savent aussi encourager, sinon passer sous silence le génocide des Palestiniens par le gouvernement terroriste israélien. Une sélectivité de la mémoire qui n'est plus supportable pour nos masses maghrébines immigrées bercées depuis l'enfance par le mirage d'une «justice républicaine française». Ainsi à force de tirer, de tirer, de tirer sur l'élastique, il finit par se rompre, et on se retrouve donc avec des centaines de milliers de p'tits juifs bien intégrés dans notre pays qui vivent la peur au ventre de rencontrer l'Arabe haineux au coin de la rue, et qui en appellent à la protection policière au frais du contribuable. Ils vont finir par regretter Vichy et Pétain. Notre avis est que trop longtemps les juifs ont pris les Algériens, les Marocains, les Tunisiens pour un anus docile, ce temps là est révolu. Le Bougnoule ne veut plus être un faire valoir des intérêts juifs. Ce qui nous attriste énormément, car vous savez: la $hoah, la $hoah, la …..

Ce dimanche 13 juillet 2014 à Bastille, des heurts ont éclaté à l'issue de la manifestation en soutien aux Palestiniens entre les manifestants pro-palestiniens et la LDJ (Ligue de Défense des Juifs). Deux synagogues ont été prises pour cibles et plusieurs blessés sont à déplorer (http://www.metronews.fr/paris/affrontements-rue-de...r-les-faits/mngo!DePLIJCt6geAM). Le point sur les faits en cinq questions. Les affrontements entre manifestants pro-palestiniens et LDJ ont éclaté lors de la dispersion du cortège, rue de la Roquette, avec des jets de bouteilles, de chaises et de tables en pleine rue. C'est une scène de guérilla urbaine qui s'est déroulée ce dimanche 13 juillet à Paris, filmée au smartphone par des riverains terrorisés. Au départ de Barbès-Rochechouart (18e arrondissement) pourtant, le cortège de soutien aux Palestiniens et contre les bombardements sur Gaza par Israël, composé d'environ 7.000 manifestants selon la police, avait commencé à défiler dans un relatif calme. À quel moment la manifestation dégénère-t-elle? Selon les témoignages de nombreux riverains, la situation s'envenime alors que le cortège commence à se disperser. Vers 18 heures, le gros des manifestants s'est dissipé. Ne restent que quelques groupes de 200 à 300 personnes qui se font brusquement attaquer par de jeunes excités juifs, une poursuite débute alors qu'ils se rabattent vers les lieux de culte situés rue de la Roquette (11e) et rue des Tournelles (4e). Aux abords des synagogues, une petite centaine de membres de la LDJ (Ligue de Défense Juive) monte la garde. Les deux groupuscules montent aussitôt à l'affrontement. Le face-à-face est violent. Une riveraine de la rue Sedaine, parallèle à la rue de la Roquette, se tenait à sa fenêtre. Elle témoigne: "C'était d'une violence! J'ai vu des membres de la LDJ s'armer avec tout ce qu'ils trouvaient à leur portée: des bouteilles, des chaises et même les lattes d'un sommier qu'ils ont dépecé dans la rue. C'était la guerre, je n'arrivais pas à m'arrêter de trembler!"



Les synagogues ont-elles été prises pour cible? Plusieurs manifestants pro-palestiniens tentent de s'introduire dans la synagogue Don Isaac Abravanel, rue de la Roquette, où se tient à ce même moment un rassemblement pour la paix en Israël, en présence de nombreux fidèles. Les forces de police, déployées en nombre sur le reste du parcours, ne sont pas présentes devant la synagogue. Seuls quelques policiers isolés et des membres de la communauté juive parviennent à garder l'entrée du lieu de culte, demandant aux fidèles de rester à l'intérieur par mesure de sécurité. Quelques minutes après l'offensive, les CRS interviennent pour séparer les deux groupuscules. La préfecture de police a-t-elle commis une bévue? Il est étonnant qu'une manifestation pro-palestinienne, dans un contexte international explosif, ait pour point de chute un quartier où se trouvent deux importantes synagogues. Pourtant, le parcours a bien été validé en amont par les responsables de la préfecture de police, comme le confirme dans Marianne le journaliste Frédéric Ploquin. Seconde zone d'ombre: la Préfecture de Police n'était vraisemblablement pas au courant du rassemblement parallèle qui se tenait dans la grande synagogue. Toujours selon Frédéric Ploquin, les organisateurs affirment avoir prévenu le commissariat. Force est de constater que l'information n'est pas remontée. Pourtant, l'événement était clairement annoncé la veille sur Twitter. Quel est le rôle de la LDJ (groupuscule terroriste) dans les affrontements? En fin d'après-midi, la Ligue de Défense Juive assurait sa propre sécurité devant la synagogue. Attendait-elle de pied ferme les manifestants pro-palestiniens? Toujours est-il qu'après les affrontements, les congratulations à leur endroit sont nombreuses sur les réseaux sociaux. Quel est le bilan des affrontements? Selon Le Parisien, six policiers ainsi que deux membres de la communauté juive ont été blessés. Sur les vidéos des riverains postées sur Internet, on constate qu'un certain nombre de manifestants sont blessés, sans qu'un bilan officiel ne soit établi, la Préfecture ne souhaitant communiquer sur l'affaire. Le soir-même, l'AFP confirme que six interpellations ont eu lieu. Le lendemain, le premier ministre juif Manuel Valls condamnait fermement ces actes de violence. Nul doute que les juifs ont protégé trop longtemps leurs prochains bourreaux.

Et c'est pas près de se calmer puisque les jeunes Bougnoules subissent désormais un couvre feu au faciès. Avant, au nom de la liberté d'expression, de la diversité, et de la chaleur humaine, ils pouvaient ravager la place du Trocadéro et les rues de la capitale sans inquiéter les autorités, mais depuis qu'ils manifestent pacifiquement derrière des banderoles antisionismes, c'est plus possible, avec un «risque évident de troubles à l'ordre publique». Trois jours après des incidents survenus devant deux synagogues parisiennes, la préfecture de police de Paris a engagé une procédure pour interdire une manifestation de soutien à Gaza prévue samedi 19 Juillet 2014 à Paris. Cette décision a été motivée "au vu des risques graves de trouble à l'ordre public qu'engendrerait" cette manifestation "dans un contexte de tension accrue", précise la préfecture (http://www.lepoint.fr/societe/paris-la-police-veut...enne-16-07-2014-1846555_23.php). Dimanche, des incidents ont éclaté devant deux synagogues, dont l'une située rue de la Roquette dans le 11e arrondissement parisien, à la fin d'une manifestation pro-palestinienne ayant rassemblé 7 000 personnes selon la police, 30 000 selon les organisateurs. Des échauffourées avaient éclaté entre certains manifestants qui s'étaient rendus à proximité de cette synagogue, et des membres de la Ligue de défense juive (LDJ). Des CRS avaient dû intervenir pour les séparer. Huit personnes avaient été interpellées. À la suite de ces incidents, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, évoquant des "débordements intolérables", avait demandé lundi aux préfets de "redoubler de vigilance" et d'interdire, si besoin, des manifestations là où des risques avérés de trouble à l'ordre public étaient établis. Les organisateurs de la manifestation prévue initialement samedi au départ du quartier populaire parisien de Barbès et en direction de l'Opéra Garnier sont les mêmes que ceux qui avaient organisé le rassemblement de dimanche, le "Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) et une dizaine d'associations et collectifs", selon une source proche du dossier. Mardi soir, un homme de 23 ans a été condamné à quatre mois de prison ferme avec mandat de dépôt pour "rébellion" lors d'un contrôle de police qui avait dégénéré après cette manifestation. Quatre autres personnes doivent être jugées ultérieurement en correctionnelle pour "violences sur les forces de l'ordre" ou "rébellion" après les échauffourées ayant eu lieu en marge de ce défilé, selon une source judiciaire. Sacré juifs, aux temps immémoriaux, ils squattaient en Israël, et je ne sais pas par quel miracle ils ont atterri en France. On a bien essayé de tous les solder en 40, mais ils nous ont retrouvé. On a vraiment pas de bol.


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Mon cœur balance ...

Суббота, 12 Июля 2014 г. 23:38 + в цитатник

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a défendu la présence de militaires algériens pour les cérémonies du 14 juillet à Paris, qui honoreront cette année toutes les nations impliquées dans la Première Guerre mondiale. "Le président de la République a invité 80 délégations étrangères représentant les peuples qui ont combattu au cours de la Grande Guerre, dont près de 130.000 Maghrébins", déclare-t-il dans une interview au Monde publiée samedi. "Plus de 25.000 ont laissé leur vie en France pour la liberté de notre pays. C'est un moment de mémoire et d'apaisement et il est normal que les Algériens soient présents alors que nombre de leurs pères ou de leurs grands-pères sont morts pour que la France reste la France. Le contraire aurait été choquant", ajoute Jean-Yves Le Drian. Un collectif constitué notamment à l'appel de responsables du Front national s'oppose à la présence de militaires algériens sur les Champs-Elysées lundi. Le vice-président du FN, Louis Aliot (d'origine juive), et le député Gilbert Collard (d'origine franc-maçonne) ont dénoncé le mois dernier la "présence militaire honteuse" de militaires algériens sur le sol français, y voyant "une provocation indigne et le signe d'un très grand mépris pour tous les morts, disparus ou suppliciés victimes de cette armée".

Bernard Lugan censuré par l’Elysée: vive la police de la pensée! Quelques jours avant la date prévue, un ordre comminatoire téléphoné depuis l’Élysée contraignit les organisateurs à décommander la prestation bénévole qui m’avait été demandée (http://www.bvoltaire.fr/nicolasgauthier/bernard-lu...lysee-vive-police-pensee,93503). En France, on n’est que rarement prophète en son pays. La preuve par Maurice Allais, seul indigène à avoir emporté le Prix Nobel d’économie, et mort dans l’indifférence générale: il ne pouvait même plus passer la moindre tribune dans Le Figaro et Valeurs actuelles. Seulement voilà, tout libéral qu’il fut, Maurice Allais n’était pas un libre-échangiste forcené et voyait en nos frontières, françaises comme européennes, un indispensable garde-fou, que ce soit en termes sociaux, économiques et civilisationnels. Bernard Lugan se trouve aujourd’hui dans la même situation. Il s’agit du meilleur africaniste de France et ce n’est pas pour rien qu’il fut nommé expert par le Tribunal pénal international, chargé de statuer sur les massacres ayant ensanglantés le Rwanda. Et dire que ce sont les mêmes, se lamentant de la fuite de nos cerveaux, qui sont les premiers à couper les têtes qui dépassent du rang…? Ainsi, le 24 juin 2014, à la demande des plus hautes instances gouvernementales, Bernard Lugan qui devait tenir une conférence sur «L’interaction religieuse, culturelle, historique et géopolitique entre les cinq pays de l’Afrique du Nord et ceux de la bande sahélo-tchadienne» aux attachés de Défense français en poste en Afrique sub-saharienne, a donc été déclaré persona non grata par l’Élysée… Dans un communiqué, le principal intéressé assure que «le but de cette intervention très spécialisée était de donner à notre diplomatie une nécessaire vision globale, ainsi que des clés de lecture dépassant les frontières de leurs affectations respectives.» Et le même de poursuivre: «Quelques jours avant la date prévue, un ordre comminatoire téléphoné depuis l’Élysée contraignit les organisateurs à décommander la prestation bénévole qui m’avait été demandée dans l’urgence et pour laquelle, compte tenu de l’actualité et des enjeux, j’avais annulé des engagements prévus de longue date.» Pourquoi une telle mise à l’écart en une époque où les avis d’experts ne sont jamais de trop? Bernard Lugan sort de sa traditionnelle réserve: «Alors que la complexité des situations locales et régionales nécessite une connaissance de plus en plus “pointue”, non idéologique et basée sur le réel, la présidence de la République, avec un sectarisme d’un autre temps, a donc privé les attachés de Défense français d’une expertise à la fois internationalement reconnue et nécessaire à la bonne compréhension des zones dans lesquelles ils servent…» Au stade de ce hiatus franco-français, nous ne pouvions faire moins que d’interroger le Bernard Lugan en question, au-delà de son communiqué officiel: «Il n’est pas impossible que le Cabinet civil de l’Élysée ait voulu me réduire au silence.» Cette déclaration n’est pas totalement abracadabrantesque, sachant que dans chacun de ces services, officiels ou officieux, nombre de tendances se tirent la bourre à la moindre occasion. En effet, cela s’est vu, à la DST comme à la DGSE de jadis, lors de la chute du Mur de Berlin, entre atlantistes de conviction et gaullo-mitterrandiens de tradition. Dans nos «affaires africaines», plusieurs réseaux cohabitaient, et continuent de le faire, en plus ou moins bonne intelligence, entre «Françafricains» et autres «atlantistes» prêts à tout bazarder à «l’ami américain». C’est donc à cette aune géopolitique qu’il faut analyser «l’Affaire Lugan». Lequel, toujours, à propos de ses déboires élyséens, assure crânement: «J’ai eu affaire à des gens sectaires, qui veulent conserver le monopole d’une vision de l’Afrique répondant à leurs schémas de pensée. Ces gens ne connaissent pas l’Afrique et ses subtilités ethniques et culturelles. Toute cette expérience ne pouvait que contredire leur idéologie mondialiste…» La messe est dite.


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L'esclavagisme moderne.

Суббота, 12 Июля 2014 г. 15:38 + в цитатник

Vous savez ce que l'on dit: «Quand un Nègre homosexuel fait la grève de la faim, c'est qu'il se prépare à faire un rallye avec son cul!» C'est certainement le cas de Louis-Georges Tin, 3 semaines à sucer des cailloux pour la dépénalisation de l’homosexualité. Personnellement, on ne lui en veut pas de jouer son rôle de singe savant, peut-être même qu'il pourra bientôt nous réciter la table de multiplication (par zéro). En tout cas, grand merci à: http://louisdarquier.tumblr.com/ pour le lien.


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«Y'a que la vérité qu'est belle.»

Суббота, 12 Июля 2014 г. 14:39 + в цитатник

Le p'tit Daniel continue à nous impressionner par ses raisonnements sans fioritures bien loin du politiquement correct. Et puis, ce qui est bien, c'est qu'on a les mêmes lectures. Allez, à voir … jusqu'au bout!




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La deutch kalität (qualité allemande)

Суббота, 12 Июля 2014 г. 14:06 + в цитатник

Le dimanche 13 Juillet, vous aurez le droit à la finale du Mondial 2014. Personnellement, nous n'avons aucune préférence, seul le beau jeu nous intéresse, et vu l'homogénéité des équipes, on devrait être servi. La diversité dans le sport s'apparente à des portefeuilles sur pattes sans aucune fierté, des «p'tits suceurs». Les nôtres sont rentrés depuis longtemps à la maison d'où ils pourront continuer à nous vanter les joies de l'immigration juive, de l'antiracisme, et des allocs. En tout cas, s'il y en a bien un qui va scruter les tribunes, c'est Serge Klarsfeld. Du nazi, il va en voir plus qu'au procès de Nuremberg. Bon, ils n'auront peut'être pas tous fait gardiens de camps de la mort ou jardinier d'Hitler, mais y'a sûrement quelques procès à se faire, et quelques rentes à tirer.

On dit même que son fils Arno, avant de faire l'armée israélienne, aurait testé les colonies de vacances avec l'infirmière Mengele. Ça se voit qu'il est loin de s'en être sorti intact.


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Merci au courage de notre équipe rédactionnelle!

Четверг, 10 Июля 2014 г. 03:44 + в цитатник

Suite à la disparition subite de notre hébergeur d'images, toute notre petite «équipe terroriste» était prête à agir, c'est à dire à recharger les images une à une sur un autre site. Mais tout est bien qui finit bien, puisque picsplace.ru est de nouveau accessible après 4 jours d'interruption de service. Cet événement nous prouve bien qu'Internet n'est pas statique, et que seuls ceux qui font des sauvegardes s'en sortiront! Merci aux nôtres!


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Quand un néo-nazi met les gaz, les juifs ventilent!

Четверг, 10 Июля 2014 г. 03:23 + в цитатник

Udo Voigt siégera au sein de la commission des libertés civiles du Parlement européen. Martin Schulz, le président du Parlement européen, et des organisations juives sont indignés par la désignation de l'élu, connu pour ses propos racistes et antisémites (http://www.euractiv.fr/sections/elections-2014/un-...s-du-parlement-europeen-303371). L'ancien président du Parti national-démocrate d'Allemagne (NPD), Udo Voigt, est connu pour avoir osé, il y a quelques années, qualifier Adolf Hitler de "grand homme d'État", avant de rendre hommage au courage de la Waffen SS qui aurait "accompli ses devoirs jusqu'au dernier jour"... Il avait en effet affirmé en 2007 qu'au «maximum 340 000 juifs» avaient péri dans l'holocauste. Or les historiens sont unanimement d'accord pour dire qu'il s'agit d'une limite haute, même en comptant les animaux de compagnie. Le premier eurodéputé allemand de l’histoire du NPD a dirigé le parti néonazi de 1996 à 2011. Les services de renseignements allemands classent l'organisation comme un parti d'extrême droite. L’Allemagne avait tenté, en vain, d’interdire le parti en 2003. Un nouveau recours a été déposée auprès de la Cour de Karlsruhe pour prouver que l'idéologie du parti est identique à celle d'Hitler. Martin Schulz, président du Parlement européen et membre du Parti social-démocrate allemand, avait lors de son discours inaugural condamné les positions de l'extrême-droite. «Celui qui renie l'Oh Low Cost et qui est contre la dignité humaine, la démocratie et la pluralité, aura à faire à la résistance la plus acharnée de ma part. «Le Parlement européen est l’endroit où les représentants des Européens œuvrent pour garantir une auge bien remplie à nos banquiers, à nos lobbys. Il n'y a pas de place dans cette assemblée pour les racistes, les antisémites et les Blancs». La commission des libertés civiles, justice et affaires intérieures est responsable du respect des droits des citoyens, des droits de l'Homme et de la lutte contre toute forme de discrimination. À l'instar d’Udo Voigt, les eurodéputés qui ne font partie d'aucun groupe politique au sein du Parlement européen, se sont vus attribuer une série de sièges au sein des différentes commissions. Udo Voigt, a notamment envisagé de proposer Rudolf Hess, proche d'Adolf Hitler, au prix Nobel de la paix, mais c'est un singe qui l'a récupéré. Un porte-parole du Congrès juif européen s’est indigné: «la présence d’individus au sein de la commission des libertés civiles, qui ont clairement montré n'avoir aucun intérêt pour les libertés civiles, mais qui en plus cherchent à les minorer, enfin qui ont tenu un discours d'intolérance et de racisme durant toute leur carrière politique jette le discrédit sur le Parlement européen. Nous demandons aux membres de la commission des libertés civiles, mais aussi à tous les groupes parlementaires du Parlement européen, de s'assurer que M. Voigt ne soit pas médiatisé pour ses propos répugnants qu'il cherche à placer dès qu'il en a l'occasion». Michael Privot, directeur du Réseau européen contre le racisme a déclaré à EurActiv: «Il est profondément inquiétant qu'un eurodéputé issu du parti néonazi allemand, le NPD, mais aussi qu'un petit nombre d'autres eurodéputés, qui véhiculent des thèses, des lois et des politiques racistes et xénophobes, puissent statuer sur les droits fondamentaux des Européens. Nous espérons qu'ils ne perturberont pas et ne feront pas de l'obstruction parlementaire dans le cadre du travail de la commission, et nous faisons confiance pour que les eurodéputés progressistes, dont le président Claude Moraes, garantissent qu'une telle situation n'ait lieu».

Le groupe des Conservateurs et réformistes européens regrette qu’il ait été élu par les électeurs allemands. Le porte-parole de Nigel Farage, du Groupe Europe de la liberté et de la démocratie directe a indiqué pour sa part que «dans une culture politique qui rejette la démocratie directe et l'autodétermination nationale, les électeurs déçus soutiennent des partis extrémistes tels que le NPD. C'est particulièrement inquiétant qu'un être humain rationnel, avec un tant soit peu de connaissances historiques, puisse défendre les positions de M. Voigt. Hitler et le nazisme représentent le mâle absolu. Ils ont rejeté le droit naturel, les droits de l'Homme et nourrissaient le désir d'un Empire européen uni. Hitler et ses partisans sont dangereux pour les criminels européens». Lors des européennes, le NPD a obtenu 1 % des suffrages en Allemagne, soit 0,3 % de moins que lors des élections législatives. Un arrêt rendu par la Cour constitutionnelle de Karlsruhe a contraint l'Allemagne de changer le mode de scrutin pour les européennes. Avant, seuls les partis qui dépassaient le seuil des 3 % pouvaient prétendre à un siège au sein du Parlement européen. Sans ce changement récent, Udo Voigt n'aurait jamais pu siéger au Parlement européen. Monika Hohlmeier, du Parti démocrate-chrétien allemand (CDU), est porte-parole du Parti populaire européen pour la commission des libertés civiles. Elle demande que les mêmes règles électorales soient appliquées partout au sein de l'Union européenne. Ainsi, elle considère que «l'arrêt de la Cour constitutionnelle allemande a ouvert les portes aux partis extrémistes et nationaux-socialistes. Je pense que les conséquences de cet arrêt, ainsi que le mode de calcul électoral allemand sont hautement problématiques. Il est temps de parler de normes électorales communes pour les européennes. Je regrette profondément que des partis radicaux libres et extrémistes puissent accéder à une plate-forme au sein du Parlement européen. Les partis démocratiques sont tous d’accord: il n'y aura aucune forme de collaboration avec ces partis extrémistes ou nationalistes et nous résisterons contre toute forme d'extrémisme, de nationalisme d'extrême droite, d'ordre et de justice». Jan Philipp Albrecht est un eurodéputé vert et est vice-président de la commission. Il affirme qu'il est peu probable qu'Udo Voigt puisse influencer le processus législatif. Cependant, il reconnaît que sa présence pourrait amener les citoyens à s'interroger sur le Parlement européen des Tous Pourris. «Je pense qu'il est étrange de l'avoir au sein d'une commission qui lutte contre l'extrémisme et promeut la lutte contre la discrimination. Les gens pourraient penser qu'il est inapproprié d'avoir une telle personne au sein de la commission, mais nous ne devons pas oublier que des citoyens ont voté pour lui. C'est une question qui doit être débattue. Ce débat doit avoir lieu au niveau de la société. Il y a des gens qui élisent des représentants qui incarnent ces croyances», conclut l’Allemand. Même si à notre époque, la $hoah ne serait plus possible, tous les plombiers polonais ont quitté le pays. Qui pourrait réparer les douches?


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«God save the Queen, and the pedophiles!»

Вторник, 08 Июля 2014 г. 00:15 + в цитатник

On apprend que le gouvernement britannique a promis lundi 7 Juillet 2014 de "faire toute la lumière" sur de nouvelles accusations de pédophilie secouant le Royaume-Uni et impliquant cette fois des députés et de hauts responsables politiques dans les années 80 et 90, autant dire qu'ils ont les roubignolles à zéro(http://www.lepoint.fr/monde/pedophilie-a-westminst...iere-07-07-2014-1844133_24.php). Après plusieurs figures du show-business telles que Jimmy Savile ou Rolf Harris, coupables d'abus sexuel sur des mineurs, Westminster se trouve à son tour visé par des accusations aux contours encore flous. Pour le Parlement, cette affaire intervient cinq ans après le scandale des notes de frais consécutif à un audit indépendant. Il a révélé que plus de la moitié des députés de la précédente législature avaient commis des irrégularités dans leurs défraiements et devaient rembourser plus d'un million d'euros au total. L'affaire en cours a commencé la semaine dernière lorsque le député travailliste Simon Danczuk a pressé le conservateur Leon Brittan, ancien ministre de l'Intérieur, d'expliquer ce qu'il avait fait des documents reçus en 1983 des mains d'un député conservateur, Geoffrey Dickens. Dans ces documents, ce dernier, très engagé dans la lutte contre la maltraitance des enfants et décédé depuis, entendait prouver l'implication de plusieurs députés et autres figures politiques dans un réseau pédophile. Leon Brittan s'est défendu lundi en expliquant qu'il avait effectivement reçu "un paquet de documents contenant des accusations sur des comportements sexuels gravement inconvenants", mais il a aussi assuré qu'il avait bien remis le dossier aux autorités compétentes. Un audit lancé en 2013 a finalement permis d'identifier "treize éléments faisant référence à des abus sur mineurs présumés" entre 1979 et 1999. Neuf étaient connus de la police, qui a été immédiatement saisie des quatre autres. Mais l'audit a également constaté que 114 documents relatifs à des accusations d'abus sexuels à l'encontre d'enfants avaient disparu, relançant les spéculations sur une volonté d'enterrer l'affaire à l'époque. "À cette époque, je pense que la majorité des gens estimaient qu'il était plus important de protéger le système que d'aller fouiller trop loin", a ainsi commenté dimanche Norman Tebbit, une autre figure du thatchérisme. Mais, devant les pressions de plus en plus fortes, la ministre de l'Intérieur, Theresa May, a chargé lundi Peter Wanless, président de la Société nationale de protection de l'enfance, de conduire un nouvel audit sur le rapport de 2013 et sur la façon dont ont été utilisées les informations qu'il a révélées. La ministre a également annoncé l'ouverture d'une enquête plus générale sur la façon dont les institutions publiques gèrent les cas d'abus sur des enfants. Le Premier ministre britannique David Cameron a, de son côté, promis "de faire toute la lumière" et d'"explorer toutes les pistes pour découvrir la vérité sur ce qui s'est passé". "C'est essentiel que tout le monde tire les leçons de ce qui a mal tourné", a poursuivi le dirigeant conservateur, dont le pays est encore traumatisé par l'affaire Jimmy Savile, ancien animateur de la BBC aujourd'hui décédé, soupçonné d'avoir commis des centaines d'agressions sexuelles en toute impunité. Le retentissant scandale Savile a conduit dans la foulée à des enquêtes sur des célébrités du show-business pour des agressions sexuelles, souvent sur mineurs et remontant à plusieurs décennies. Des enquêtes facilitées par l'absence dans le droit anglais de prescription en matière de crime. Deux autres vieilles gloires ont ainsi été récemment condamnées, dont l'artiste australien Rolf Harris, 84 ans, star du petit écran depuis les années 60, qui a écopé vendredi de cinq ans et neuf mois de prison. Lundi, Theresa May a également évoqué les cas d'abus de jeunes filles vulnérables, issues de foyers et tombées dans les griffes de prédateurs sexuels. Un panel d'experts indépendants sera donc chargé de se pencher sur "la faillite des pouvoirs publics, que ce soit la police, les services sociaux, ou l'école, pour protéger certaines victimes". Mais les conclusions ne sont attendues qu'après les élections générales de 2015.

On ne le répétera jamais assez: «la pédophilie est une nécessité dans les hautes sphères décisionnaires, elle permet de faire chanter!» Maintenant, regardez toutes ces photos, pensez-vous que l'on puisse approcher la Reine d'Angleterre, Lady Diana, Margarette Thatcher, le Pape et les Beatles sans se faire éplucher en long, en large et en travers par le MI5, le MI6, et Scotland Yard? Quelle blague! Ce type se tapait des enfants dans les hôpitaux sur des brancards, mais ça dérangeait personne. C'était juste «la norme!» Et beaucoup plus sur: (http://dondevamos.canalblog.com)


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On a adoré le p'tit Daniel. Le "zéro nègre savant", grandiose!

Воскресенье, 06 Июля 2014 г. 17:16 + в цитатник



Derrière cette courte vidéo, on ne peut que vous conseiller le discours de Lilian Turames, qui n'est pas un singe, mais qui parle comme un singe. Toute l'intelligence concentrée dans une paire de lunettes, ça fait mal, surtout qu'il a pas du trop les user à lire des livres. Pour ceux qu'étaient pas nés en 98, c'est celui qui balançait sa femme contre le réfrigérateur, mais il a plaidé des circonstances atténuantes, c'était le réfrigérateur qu'était Blanc!




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Le Fan Club des Femen se mobilise!

Воскресенье, 06 Июля 2014 г. 16:58 + в цитатник

La justice a décidé aujourd'hui d'expulser les Femens de leur QG, établi illégalement dans les locaux d'une usine de traitement des eaux à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), a-t-on appris auprès de l'avocat du mouvement féministe juif (http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/30/97001...en-expulsees-de-leur-local.php). Le tribunal d'Asnières-sur-Seine a prononcé leur expulsion "sans délai" de ce local et les a condamnées à payer la somme de 7.398,94 euros, pour l'utilisation de l'électricité et du gaz, selon Me Marc Ganilsy. "Ce n'est pas une surprise, mais c'est une décision sévère", "un traitement spécial réservé aux Femen", a réagi Inna Shevchenko, chef de file des Femen à Paris, contactée par l'AFP. "Ce n'est pas normal d'expulser les gens de cette façon, nous n'avons même pas une semaine de délai", a-t-elle regretté, assurant que le mouvement n'opposerait pas de résistance à l'expulsion. Son avocat étudie cependant la possibilité d'un recours. Aujourd'hui à la rue, les Femen réfléchissent "à d'autres options" pour leur nouveau QG. "Nous occuperons une église de Paris, ou pourquoi pas l'Hôtel de Ville de Paris", "pour continuer notre action", a dit Mme Shevchenko. "Anne Hidalgo nous avait envoyé une lettre de soutien lorsque notre précédent local avait brûlé comme un crématorium", en juillet 2013, "nous croyons que même si elle est devenue maire, elle n'aura pas peur de nous soutenir encore", a-t-elle ajouté. Les militantes tatouées genre Och'witz, aux seins nus s'étaient installées début novembre, sans autorisation, dans ces bureaux vides, propriété du Syndicat interdépartemental pour l'assainissement mental de l'agglomération parisienne (SIAAP). "Elles ont pénétré de force dans le bâtiment et cette occupation est dangereuse car les lieux sont vétustes, insalubres et amiantés", avait plaidé à l'audience du 26 mai l'avocat de la SIAPP, demandant "l'expulsion immédiate" des féministes. De leur côté, les Femen avaient mis en avant "la nécessité de vivre ensemble pour se protéger contre les attaques de certains mouvements extrémistes" genre l'Association des Vierges de Ben Laden. De toutes façons, ce sont toujours les mêmes qui tirent les ficelles: Soros, BHL, aidés par quelques vieilles peaux tannées des deux côtés qui nous sortent que si tu crois à la théorie du complot, c'est que t'es méchant avec les juifs.


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Bal des Godemichés

Суббота, 05 Июля 2014 г. 13:37 + в цитатник

La salle du conseil municipal d'Asnières-sur-Seine fut brièvement transformée le 28 juin 2014 en salle de cinéma! Manuel Aeschlimann, maire de la ville, y a projeté le teaser de Korruption, film porno soft (http://www.lepoint.fr/politique/un-film-porno-tour...eres-30-06-2014-1841859_20.php). Pas pour donner un peu de plaisir à ses adjoints, mais pour montrer aux conseillers municipaux et au public qu'il avait été tourné à la mairie, dans le grand escalier du bâtiment, dans la salle des mariages, dans celle du conseil et dans l'espace Lucie-Aubrac, qui n'avait sans doute pas mérité ça... Les 1er et 2 avril 2014, deux jours avant que Sébastien Pietrasanta ne quitte la mairie pour cause de défaite électorale, le réalisateur Julien Richard, par ailleurs adjoint au maire chargé de la communication, avait eu la riche idée d'y mettre en scène un court-métrage au scénario explosif: pour acheter une nouvelle poitrine à sa jeune bimbo de femme, Edmond, un flic minable, décide de vendre ses filles à un producteur de pornos lié à la mafia. Ça fait rêver... Très délicat, le cinéaste avait quelques jours plus tard donné une interview-choc: "Je viens de tourner un teaser pour partir à la chasse au pognon." Une page Facebook a d'ailleurs été ouverte afin d'inciter les internautes à financer ce futur chef-d’œuvre! L'heureux homme a été aidé dans sa chasse au sponsor par son ami maire qui lui a octroyé l'hôtel de ville à titre gracieux... Sans doute pour faire la promo de la ville qui a brillé pendant les heures sombres de notre histoire...



À moins que derrière le titre "Korruption" ne se cachent un message subliminal ou un aveu... Inutile de dire que la révélation a fait l'effet d'une bombe, suscité la colère des Asniérois présents en mairie, et même d'une conseillère municipale d'opposition qui a quitté la séance. Outre l'aspect scandaleux et dégradant d'utiliser les salles solennelles de la mairie, l'affaire pourrait déboucher sur un volet pénal: un règlement existe, qui prévoit des tarifs pour l'utilisation des diverses salles. Ainsi, il pourrait y avoir prise illégale d'intérêts pour l'adjoint au maire et complicité de prise illégale d'intérêts (article 432-12 du Code pénal) pour Pietrasanta, voire de concussion (article 432-10 du même Code pénal). Quant à la ville d'Asnières, elle s'est peut-être trouvé une nouvelle vocation. Après avoir organisé le combat de boxe qui a marqué le retour victorieux de Jean-Marc Mormeck, la ville pourrait postuler pour accueillir l'année prochaine les Hots d'or! Elle trouverait sans doute des soutiens au sein de ses élus... Cette nauséeuse histoire n'est pas sans nous rappeler l'utilisation abusive de quelques wagons de la SNCF en gare de Drancy pour un porno gay: «Ma bonne étoile sent le gaz.» C'est bien la seule fois où j'ai vu des acteurs juifs faire le petit train!


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Une fois de plus, on a coulé!

Суббота, 05 Июля 2014 г. 12:49 + в цитатник

Notre hébergeur d'images (picsplace.ru) a du se manger une vilaine censure en pleine gueule, et le voilà inaccessible depuis plusieurs jours. Celui d'avant avait disparu dans les mêmes conditions (ipicture.ru), et les chiens de l'anti-piratage s'en étaient vantés en parlant d'une grande victoire. Quand à nos premiers amours, imageshack.com, il s'agit d'un site juif qui s'amusait à détruire aléatoirement nos créations. Notre blog est donc toujours là, mais vidé de toutes ses illustrations. Après pour nous, on s'en fout un peu, Internet n'est qu'une passerelle pour effleurer les esprits bourrés de croyances. Nos lecteurs nous ont appréciés, ils nous ont sauvegardés, ils nous ont diffusés, pour eux, rien n'aura été perdu. Ce qui nous fait beaucoup rire, c'est qu'on s'habitue à la dégénérescence sans fond de nos ennemis, mais plus difficilement à la perfidie de la mouvance amie qui a bel espoir de survivre en vase clôt. Échanges de liens, jamais, ils se voient moitié ermite, moitié martyr de la cause, on n'ira pas les contredire! Et quand un des nôtres ferme, rien, pas un mot, ils ne vont quand même pas se plaindre d'un peu moins de concurrence. Où es-tu Konigsberg pour voir tout ça? Notre avenir: on va recharger toutes les images sur la première page du blog, et uniquement sur la première page, pour le reste, ce sera profit et perte. Et on va continuer à mettre en avant notre ami Louis Darquier. La fierté, c'est ce qui nous a poussé depuis maintenant plus de 3 ans à prendre nos responsabilités, à dépenser du temps, à rassembler notre courage contre la censure sémite pour vous offrir un blog original. Merci à nos lecteurs.


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Encore un rabbin renversé par une motocrotte! Mais que fait la mairie?

Вторник, 24 Июня 2014 г. 02:53 + в цитатник

Il est vrai que chez les socialistes, il est facile de parler "extrême gauche" en municipalité avec l'argent des autres, et bouffer du caviar à la louche. Ils sont plus égaux, plus gentils, plus républicains que les autres (http://zebuzzeo.blogspot.ru/2014/06/anne-hidalgo-et-le-droit-dinventaire.html). N'en déplaise aux bobos parisiens socialo adeptes des Vélibs, mais la gestion du pédérastre Delanoë est un désastre. Dès l'arrivée de ce Monsieur, les impôts ont explosé, la dette aussi, la circulation est exsangue, augmentant du même coup la pollution et les temps de trajet des parisiens. S'il n'y avait que l'endettement et l'impôt... mais l'héritage de Delanoë, c'est un Paris où les touristes se font dévaliser devant les grand magasins, où l'on ferme le Louvre parce qu'il n'est plus fréquenté que par des "pick-pockets", où les espaces verts gérés par des élus écolos déments sont transformés en supermarchés de stupéfiants bientôt suppléés par des salles de shoot et de crack... Vous vouliez en finir avec le clan Chirac Tibéry? Vous êtes passés à la mafia gauche plurielle de Delanoë. Comme disait NKM: «Chez cet homme, c'est pas le piston qu'a lâché, c'est la rondelle!» Paris tu l'aimes ou tu la quittes! Hidalgo critique le bilan des finances publiques sous Delanoë? (400 millions d'euros manquants!) Il n’y a que deux conclusions auxquelles on peut arriver en lisant le dernier article de Capital consacré aux finances de la Capitale: soit Anne Hidalgo, la maire socialiste de Paris, est une incompétente, soit elle est une menteuse! On ne sait pas ce qui est pire entre les deux hypothèses. En effet, comment la Maire de Paris peut-elle tomber des nues en ce qui concerne les finances de la Ville? Anne Hidalgo ne débarque pas de nulle part et elle ne s’est pas vu opposer de l’obstruction, comme dans les villes communistes conquises par l’UDI, sur la passation, puisque la dauphine de Bertrand Delanoé a fait partie de l’équipe précédente, à un niveau très senior? Si Anne Hidalgo découvre la situation financière de Paris, est-ce parce qu’elle n’a pas suivi le travail effectué par Anne Hidalgo entre 2001 et 2014? Peut-être était-elle occupée dans son arrondissement, le XV ème? Ah non, on me souffle dans l’oreillette qu’Anne Hidalgo ne s’occupait pas des affaires locales…Mieux, l’extrême gauche parisienne aussi bien que l’opposition ont dénoncé avec force le double langage de la maire de Paris concernant les liens financiers de la Ville de Paris avec l’État. Pour mémoire, Paris, comme toutes les villes, doit recevoir des dotations de l’État. Or ce dernier était en retard dans ses paiements vis-à-vis de la capitale, pour un montant d’un milliard. Alors que sous Sarkozy et Fillon, Anne Hidalgo et Bertrand Delanoé réclamaient avec force les sommes dues, l’exécutif parisien a délibérément choisi de ne pas réclamer cette somme quand Hollande et Ayrault sont arrivés au pouvoir. N’est-il pas absolument scandaleux qu’Anne Hidalgo transforme ainsi son rôle de représentante des contribuables et citoyens parisiens? Pire, qu’elle se place en victime d’une politique mise en œuvre par ses soins et ceux de Delanoé? Aujourd’hui, la mairie de Paris peut aussi dire merci à Cécile Duflot. En effet, on sait que la loi ALUR contribue à bloquer les transactions immobilières et ce alors que tout le business plan de ces joueurs à découvert que sont Hidalgo et son équipe consiste à profiter des droits de mutations pour faire toujours plus de social et de clientélisme. Un bel effet de ciseau se profile à l’horizon. Et quand tous les sièges sociaux des grands Groupes auront quitté Paris pour la banlieue ou la province, ce sera pire encore, à moins évidemment que la création du Grand Paris à la sauce socialiste ne masque le problème … Nous penchons pour le mensonge, signe manifeste de la vie politique, plutôt que pour l’incompétence. Le symbole, autrement, en serait trop lourd.


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Changement de propriétaire à la secte.

Понедельник, 23 Июня 2014 г. 02:55 + в цитатник

Nous, on aimait bien le grand Rabbin Bernheim, certes il nous vendait son CAP coiffeur pour une agrégation de philosophie, mais bon, la $hoah ne paye plus, et les fins de mois sont difficiles. Quant à son successeur, il était temps de s'en débarrasser, souvenez-vous de cette sombre affaire qui avait fait beaucoup de bruit au sein de la «Communauté»: Michel Gugenheim, qui est aussi Grand rabbin de Paris, est accusé d'avoir cautionné un chantage au divorce. 90 000 euros et un faux témoignage au civil ont été exigés d'une femme en échange de "sa liberté". Mœurs, argent et grosses quéquettes. Trois ingrédients au cœur d'une affaire qui éclabousse le service des divorces du Consistoire de Paris, ce lieu où s'organise le culte juif. Le 18 mars dernier, une femme de 28 ans se présente à son audience devant le tribunal rabbinique (le "beth din"). Cela fait cinq ans qu'elle est en attente de son "guet", ce document qui stipule qu'elle est désormais divorcée aux yeux de la religion et qu'elle peut donc se remarier. Dans la stricte tradition juive, seul le mari peut le délivrer. Un procédé unilatéral qui donne parfois, en cas de conflits, des délais incroyablement longs. Comme c'est le cas de cette jeune femme alors même qu'elle n'a été mariée que huit mois. "C'est une personne très pieuse, qui a beaucoup de foi", décrit son frère, joint par L'Express. Repères: Selon Avenir du judaïsme, 200 à 300 femmes en France pourraient être en attente de leur "guet", ce document qui les autorise à divorcer religieusement. Mais il n'existe pas de statistiques officielles. A en croire l'association, certaines attendent toute une vie. Avec parfois des conséquences terribles: les enfants nés d'une mère "agouna" (littéralement, "enchaînée", sans "guet") ne peuvent pas non plus se marier religieusement. Trois rabbins du service des divorces sont présents à l'audience, ainsi que Michel Gugenheim, qui cumule les hautes fonctions de Grand rabbin de Paris et de Grand rabbin de France par intérim. Le mari exige d'abord 30 000 euros en espèces en contrepartie du divorce. Il demande également à son épouse de revenir sur ses témoignages dans la procédure au civil. Autrement dit de mentir et de retirer ses plaintes, déposées au cours des cinq dernières années. "C'est le prix de sa liberté", approuve Michel Gungenheim, en réponse aux protestations de l'épouse. Le Grand rabbin veut que son faux témoignage soit acté par mail sur le champ. Une audience filmée en cachette.

Le frère de l'épouse propose alors de faire un chèque. "Comment retirer en 24 heures une telle somme en cash?", justifie-t-il auprès de L'Express. C'est à ce moment là qu'intervient un rabbin, Betsalel Levy, qui l'exhorte à faire un chèque d'un montant de... 90 000 euros sous forme de don aux oeuvres Sinaï, une institution d'obédience Loubavitch - un courant juif qui incarne une ligne orthodoxe - et qui gère des crèches et des centres aérés à Paris. Et pour cause, Yossef Itshak Pevzner, directeur des institutions Sinaï et proche du mari, est également présent à l'audience. Or, tout don à des œuvres d'utilité publique, ce qui est le cas de son institution, ouvre droit à une réduction d'impôt à 66% des sommes versées. "Chacun pourra toucher sa part", argue Betsalel Lévy. Faut-il comprendre que cette somme doit être reversée en toute discrétion au mari? "Certainement", selon le frère de la victime. Ni réaction, ni indignation du côté des autres rabbins et de Michel Gugenheim. La famille, qui possède cette somme, signe le chèque. Mais ce qu'ignorent les rabbins, c'est que par précaution, les proches de la jeune femme ont filmé la cérémonie et ont déposé, le matin même, une main courante au commissariat du 19e arrondissement de Paris. Après avoir reçu le "guet", la famille exige qu'on lui restitue le chèque, menaçant de déposer plainte pour "extorsion de fonds", preuves et images à l'appui. Une mentalité "rétrograde et misogyne" L'histoire aurait dû s'arrêter là: la famille, très pratiquante, souhaite que toute l'affaire ne s'ébruite pas hors des frontières de la communauté juive. Mais c'était sans compter sur les réseaux sociaux et les sites juifs, qui s'indignent et relayent les faits. "Ma sœur est encore très choquée. Ça a été très douloureux pour elle. Nous ne voulons pas que cette affaire serve à attiser l'antisémitisme et les clichés sur les juifs et l'argent", prévient le frère de l'épouse. Le think-tank progressiste Avenir du judaïsme, qui a visionné le film, a été l'un des premiers sites à lancer l'alerte. "Depuis des années, nous entendons parler de ce genre de cas", confie un de ses membres. "Je ne pense pas qu'il y a enrichissement personnel du Consistoire. C'est une situation dramatique, où le tribunal répercute les exigences du mari. C'est le fruit d'une vision conservatrice incarnée par le Grand rabbin de Paris et le tribunal rabbinique de Paris". "En termes juridiques, on appelle ça de l'escroquerie en bande organisée. C'est contraire à la religion et à la justice française", s'indigne un proche de la victime, qui lui aussi a visionné le film. "Un guet doit être donné sans contreparties." Pour le frère de la victime, ces 90 000 euros n'auraient pas servi à enrichir le tribunal rabbinique. Il impute plutôt ce scandale à une mentalité "rétrograde et misogyne" des religieux mais refuse de jeter le discrédit sur l'ensemble du Consistoire. "Un stratagème" pour Michel Gugenheim. Reste que l'affaire met en cause le Grand rabbin de France par intérim. Interrogé par L'Express, Michel Gugenheim se retranche d'abord derrière son "droit de réserve". Avant de confier: "La seule erreur que j'ai commise, c'est de n'avoir pas vu l'attitude outrancière et provocatrice de la famille. C'est un stratagème pour déstabiliser le beth din de Paris." Selon le religieux, le couple s'était mis d'accord à l'amiable sur les contreparties financières avant l'audience et il n'a fait que le constater. "J'ai été étonné par l'accord certes mais à l'audience, elle a accepté. Que pouvais-je dire si tout le monde est d'accord? Il n'y a eu ni pression ni racket!" Le frère de la victime dément toute machination. "Michel Gugenheim a cautionné. Il a pris fait et cause pour cette extorsion de fonds!" Le scandale pourrait encore prendre une tournure judiciaire: la famille se réserve le droit de porter plainte contre l'ex-mari et les rabbins mis en cause. L'image du Consistoire pourrait alors s'en trouver ternie. Car si Michel Gugenheim a assuré l'intérim, avec Olivier Kaufmann, du Grand rabbin de France, c'est parce que son prédécesseur, Gilles Bernheim, a démissionné après un scandale de plagiat et de mensonges. Quant au nouveau Rabbin fraîchement investi, on le sent à deux doigts de prendre l'avion pour Tel Aviv.




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Bientôt notre tour!

Воскресенье, 22 Июня 2014 г. 13:03 + в цитатник

S’il devait être une démonstration de ce que la démocratie occidentale fondée sur le multiculturalisme devait marcher et se répandre sur la totalité du globe, l’Irak fut bien de celle-ci (http://breizatao.com/2014/06/22/multiculturalisme-...rdhui-sera-la-france-de-demain). Certes il y avait les buts de guerre stratégiques de l’élite occidentale, qui apparaissent comme de plus en plus flous à mesure que le chaos s’installe en Irak, mais il n’était pas uniquement question de pétrole et de conquête du Moyen-Orient lorsqu’en 2003 la coalition envahit ce pays. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les génies de la Maison Blanche et surtout des stratèges du globalisme avaient sincèrement cru possible et souhaitable de bâtir un Irak “démocratique”, reposant sur le principe bien connu: “Un homme, une voix”. C’était faire fi de ce que l’Irak fonctionne de façon traditionnelle, sur des bases tribales et confessionnelles, et non sur un principe social individuel. La “démocratie” en Irak fut, dès lors que le gouvernement civil fut assuré par les irakiens eux-mêmes, une dictature de la majorité, en l’espèce arabe chiite. Les Kurdes, bien organisés, purent échapper partiellement au centralisme chiite de Bagdad. Les Sunnites arabes quant à eux subirent le joug violent de leurs compatriotes chiites. L’avancée de l’État Islamique en Irak et au Levant, très largement appuyé par les tribus sunnites qui forment l’essentiel de la force armée insurgée, s’explique par cette fracture identitaire dans l’ordre social et politique. C’est une leçon à retenir: le réel est bien plus puissant que le volontarisme politique cher à Rousseau. Et de la même façon, quoique selon des dynamiques spécifiques, l’Europe et la France multiculturelle s’acheminent du même mouvement vers la libanisation et l’atomisation sur des lignes ethniques et confessionnelles. C’est ce que redoutent les familles qui détiennent l’État Français entre leurs mains, car la raison d’être de l’état est de se maintenir en juge de paix. Toute remise en cause de l’impartialité de ce juge par la population signifie, implicitement, l’aspiration à le remplacer. Dès lors les mauvais coucheurs qui les mettent en reliefs sont censurés. La notion même de légitimité du pouvoir est réductible aux intérêts de ceux qui le soutiennent. Que ces intérêts divergent de trop et l’explosion politique survient. Le mythe d’un état détaché des réalités complexes et conflictuelles, nécessairement teintées d’arbitraire et de mesures approximatives, ne pourra pas se maintenir à mesure que la cocotte minute multi-ethnique français voit sa pression interne augmenter. Et au final, il faudra bien que le pouvoir d’état soit reconfiguré pour garantir une forme d’équilibre, c’est à dire favorable à une majorité. Pour l’heure, l’équilibre est assuré par la domination d’une élite et le maintien d’un statu quo que personne ne peut encore renverser, d’abord et avant tout parce que le plus gros y trouve une partie de son compte. Mais vient le moment où la notion de majorité se redéfinira. Nous en sommes encore à une définition “politique” de la notion de majorité. Mais la venue de masses non européennes en grand nombre fait évoluer progressivement cette notion d’une définition exclusivement politique à une définition ethno-confessionnelle, comme en Irak. Les Blancs, comprendront que l’État n’est plus l’émanation de ce qu’ils sont. C’est d’ailleurs de cette ambiguïté que résulte le statu quo: les Blancs, intoxiqués à coup de “patriotisme” tricolore, croient encore que l’État Français est leur état, essentiellement du fait du poids de l’histoire, et que les intérêt de cet état sont réductibles aux leurs et que toutes les difficultés viennent de problèmes de gestion. Quand ils auront pris conscience que les problèmes sont générés précisément parce que cet état n’est pas le leur et que la seule finalité de l’État Français est sa propre continuité, et que celui-ci se comporte à leur égard comme un pouvoir colonial qui se charge de les vampiriser pour assurer son propre maintien, la rupture sera consommée.

Nous en sommes encore à la phase inconsciente. Mais la sécession approche. Et les élections, à ce titre, constituent l’exercice de relégitimation régulier grâce auquel la dépossession des Blancs se poursuit. Sans accorder trop d’importance au Front National français, soulignons seulement ici que les succès électoraux de ce parti repose sur un malentendu entre son électorat et les dirigeants de son parti: les cadres du FN veulent assurer la reproduction de l’État Français car ils croient encore que l’État Français est strictement réductible aux Français eux-mêmes et que les intérêts de cet état sont symétriques à ceux des Français. L’électorat frontiste raisonne de la même façon, quoiqu’en inversant l’idée: pour lui les Français sont strictement réductibles à l’État Français lui-même et les intérêts des français sont symétriques à ceux de l’État Français. Au final cependant, les cadres frontistes sont déjà prêts inconsciemment, voire consciemment pour certains d’entre eux, à se comporter comme les dirigeants de l’État Français actuel, pourvu qu’ils en deviennent eux aussi des administrateurs. Tout comme l’Irak, la France repose sur la fiction d’un état unitaire qui craquera à mesure que les dynamiques ethniques et confessionnelles deviennent structurantes dans l’ordre – ou le désordre – social. Avec les mêmes conséquences.


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Grosse Giclée d'Antisémitisme!

Суббота, 21 Июня 2014 г. 12:27 + в цитатник

Un attentat contre le Musée juif de Bruxelles, une nouvelle sortie de Jean-Marie Le Pen, la haine du juif visible sur Internet: l’antisémitisme est un fléau qui tue et empoisonne les esprits. Il trouve aujourd’hui de nouvelles formes d’expression et de propagation (http://www.slate.fr/story/88537/antisemitisme-pathologie-multiples-visages). L'antisémitisme n'est plus seulement un phénomène conjoncturel lié au conflit du Proche-Orient, comme on le croyait dans les années 1980 après les attentats de la rue Copernic (1980) et de la rue des Rosiers (1982). La parole haineuse à l’égard des juifs se libère. Elle rejoint la chronique du racisme ordinaire, de l’islamophobie, de l’homophobie, s’étale sur Internet, sur des scènes de spectacles diffusés par YouTube, dans des enceintes sportives. Elle crée des «communautés» affinitaires qui disposent d’un langage codé, de signes distinctifs (la fameuse quenelle), favorisant une reconnaissance, un sentiment d’appartenance à une France qu’Alain Finkelkraut décrivait, au moment de l’affaire Dieudonné, comme «cimentée par le racisme et l’antisémitisme». Chronique d’une haine qui se banalise: en 2013, le pays a enregistré 423 actes antisémites, soit sept fois plus que dans les années 1990. Selon le Service de protection de la communauté juive (SPCJ), 40% des violences racistes commises l’an dernier en France étaient dirigées contre des juifs. Des familles déménagent, des enfants quittent l’école publique pour des écoles communautaires, l’émigration en Israël, qui était rare autrefois (un millier par an), a été multipliée par trois (3.288) en 2013, un an après l’affaire Merah. De janvier à mars 2014, le nombre de migrants était déjà de 1.500, selon l’Agence juive. Des chiffres qui ne risquent pas demain de reculer. Le 24 mai, un attentat contre le Musée juif de Bruxelles a tué quatre personnes, dont un couple de touristes israéliens. Le Franco-Algérien Mehdi Nemmouche, délinquant fanatisé en prison, «djihaddiste» revenu de Syrie, a été arrêté en France pour cet attentat, mais refuse d’être transféré à Bruxelles pour être entendu et jugé. Dans un tout autre genre, Jean-Marie Le Pen s'est livré à l’une des «saillies» dont il est coutumier, condamné déjà à neuf reprises pour incitation à la haine raciale, contestation de crimes contre l’humanité, et des six millions de .....

Il s’en est pris à des artistes hostiles au Front national, comme le chanteur Patrick Bruel, qui est juif même si Jean-Marie Le Pen a ensuite assuré qu'il ne le savait pas, qui avait promis de ne jamais se produire dans une ville ayant élu un maire FN. «On fera une fournée la prochaine fois», s’est amusé Le Pen. «Le mot “fournée” n’a évidemment aucune connotation antisémite, sauf pour mes ennemis politiques et pour les imbéciles», a-t-il réagi, faussement innocent, face à la tempête soulevée. On ne peut pas mettre ces événements sur le même plan, mais leur coïncidence dans le temps rappelle que l’antisémitisme est une pathologie aux multiples visages. A chaque génération, il trouve de nouvelles formes d’expression et de propagation. C’est un fléau qui empoisonne les esprits et continue de tuer, en France (Merah), en Belgique (Nemmouche), soixante-dix ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Dieudonné fait rire de la $hoah, forme indépassée de l’antisémitisme. Il recycle les stéréotypes les plus éculés sur la finance juive, typique d’un antisémitisme populiste qui avait provoqué la mort, en 2006, du jeune Ilan Halimi, tué par le «gang des barbares». Revendiquant un statut de victime des «négriers juifs», Dieudonné plaque les schémas anticolonialistes sur le conflit du Proche-Orient, assuré de s’attirer ainsi les sympathies d’enfants d’immigrés et autres, convertis ou endoctrinés par un islamisme qui invite ouvertement à tuer des juifs. Cassant la vitrine d’une formation que sa fille voudrait plus honorable, Jean-Marie Le Pen recycle, lui, les vieux fantasmes de l’antijudaïsme ordinaire, réveillés par les Maurras, Barrès, Daudet qui ont formé sa jeunesse d’Action française et constituent encore aujourd’hui son fonds de commerce politique. Fantasme de la trahison: le juif est l’ennemi intérieur, la «cinquième colonne», celui qui ne respecte pas la parole donnée, ne s’assimile pas au pays dans lequel il vit. Fantasme de la conspiration: le juif est celui qui complote dans le secret, manipule pour pouvoir mieux dominer. Fantasme de la multiplication, qui se répète aussi depuis la plus haute antiquité: le juif est celui qui se développe démographiquement, se répand partout, et «pullule» comme dit l’historien Franklin Rausky. Même s’ils n’ont aucun rapport avec la réalité, ces mythes perdurent à travers le temps dans le discours des ennemis du peuple d’Israël. «Je sais que Dreyfus est coupable parce qu’il s’appelle Dreyfus», disait Léon Daudet, au moment de l’Affaire. «Il suffit que l’on regarde son visage pour qu’on se rende compte qu’il est coupable», surenchérissait Maurice Barrès. Antisémitisme populiste à la Dieudonné; antisémitisme traditionnel, maurassien, vichyste, de l’extrême droite française; antisionisme politique aussi: c’est celui, proche du négationnisme, qui conteste l’ampleur historique et symbolique de la Shoah au nom de la violence faite aux Palestiniens et qui, avec perversité, renverse les rôles: les Israéliens se comportent comme des «nazis» et les arabes (aussi de race sémite) sont les vraies victimes de l’antisémitisme. Antisémitisme aujourd’hui du «djihad»: la criminelle idéologie islamiste prend au pied de la lettre, au nom de la guerre sainte, les imprécations du Coran contre les chrétiens et les juifs, voués à la dhimmitude et à l’élimination. Il forme aux entreprises de terreur des milliers de jeunes délinquants, comme Merah et Nemmouche, en panne d’intégration et en rupture avec la société moderne. L’historien français Léon Poliakov (1910-1997) distinguait trois formes de haine des juifs: l’antijudaïsme religieux, l’antisémitisme racial (celui des nazis), l’antisionisme politique. L’antijudaïsme religieux d’origine chrétienne a reculé. Les Eglises ont rompu avec les accusations de peuple juif «déicide» –coupable de la mort de Jésus, de meurtres rituels et de profanation d’hosties. Au concile Vatican II (1965), l’Église catholique a renoncé à son traditionnel «enseignement du mépris» des juifs et promu un «enseignement de l’estime». Elle a fait «repentance» pour les persécutions commises dans l’Histoire contre le peuple élu. Le Vatican a reconnu l’État d’Israël, mettant fin à la vieille doctrine selon laquelle les juifs ont perdu leur droit à la terre d’Israël pour n’avoir pas reconnu Jésus comme leur Messie. Mais on ne répare pas, en cinquante ans, deux millénaires de condamnations et de rejet. Il reste des traces de profonde méfiance. L’antijudaïsme chrétien demeure responsable des stéréotypes associant les juifs à l’argent et au capitalisme financier, pilier de l’antisémitisme populaire. L’accusation d’«usure» prononcée par l’Église contre les juifs remonte au Moyen-Age. La figure hideuse du «Marchand de Venise», popularisée par Shakespeare, s’est modernisée en détestation de la finance internationale occulte détenue aujourd’hui par l’Amérique et les juifs.

L’ignorance de la doctrine et des rites du judaïsme, l’oubli des racines juives de la civilisation chrétienne rendent de plus en plus étranger le fait religieux juif dans la société moderne et ultra-laïcisée. Des traditions comme le shabbat, la circoncision, l’abattage rituel pour la viande casher sont perçues comme des archaïsmes et parfois contestées. Elles étaient déjà attaquées dans l’Antiquité païenne: le respect du shabbat était violemment réprimé par les esclavagistes. De nos jours, sous couvert d’écologie animale, des groupes d’influence dénoncent l’abattage rituel. Et au nom de la défense du droit de l’enfant, des associations traînent devant les tribunaux –le mouvement est parti d’Allemagne– la pratique de la circoncision considérée comme une mutilation insupportable. Faut-il s’étonner que la communauté juive de France, symbole de l’assimilation en Europe depuis la Révolution, s’isole et se replie sur son identité? Elle s’inquiète de voir les forces de sécurité tentées de baisser les bras face à la permanence de cette incompréhension, voire de cette haine du juif. Elle déplore un discours dominant qui tolère les spectacles de Dieudonné au nom de la souveraine liberté d’expression, qui met dans la même balance les victimes de l’islamophobie et de la judéophobie, qui renvoie dos à dos les communautarismes. Autant d’attitudes qui, selon elle, ne feraient qu’encourager la haine de la «bête immonde», le youpin!


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P'tit clin d’œil!

Пятница, 20 Июня 2014 г. 10:38 + в цитатник

Nous, on a eu de la famille cheminot sur les rails de l'Est dans l'entre deux guerres. Et à cette époque là, qu'il vente, pleuve ou neige, on n'a jamais fait grève. C'est vrai que nos clients n'avaient pas trop le temps de prendre une carte de fidélité!


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"Un Bougnoule, ça va. 10 000 Bougnoules, bonjour les dégâts!"

Среда, 18 Июня 2014 г. 08:12 + в цитатник

Anne Hidalgo rassure les fans de foot! L'ancienne mère porteuse de Hollande et nouvelle maire de Paris promet l'installation dans la capitale de plusieurs écrans géants pour suivre la Coupe du monde de football. "Je veux rassurer les supporters: nous installerons des écrans dans Paris et sur le parvis de l'Hôtel de Ville dès les huitièmes de finale si la France est qualifiée", déclare ce matin l'élue dans une interview au quotidien gratuit Direct Matin (http://www.ozap.com/actu/coupe-du-monde-anne-hidal...les-huitiemes-de-finale/453788). Pourtant fin mai, quelques semaines avant le coup d'envoi de la Coupe du monde de football, de nombreux Parisiens avaient été déçus d'apprendre, en lisant dans "Le Parisien", qu'aucun "dispositif particulier" ne serait mis en place pour le Mondial. Quelques jours plus tôt, Anne Hidalgo avait refusé que la marque automobile Hyundai, qui avait sponsorisé l'écran géant installé au Trocadéro lors de l'Euro 2012, ne réinstalle son "fan park". Les autorités ont expliqué au constructeur automobile coréen que la présence d'un écran géant poserait des problèmes de sécurité alors que se préparerait, au même endroit, le feu d'artifice du 14 juillet. Mais la municipalité aurait également redouté les débordements. En mai 2013, pendant que les Parisiens fêtaient le titre de champion de France du PSG, de gros incident s'étaient produits sur le parvis du Trocadéro ... à cause de groupes de néo-nazis mâtinés cochon d'Inde au comportement très agressif!

Et c'est encore pire du côté de Roubaix, où selon une information de Nord Eclair, la mairie a décidé d'interdire à partir de 18h (aujourd'hui) le stationnement sur la Grand'place ainsi que la circulation dans plusieurs rues de l'hypercentre, en prévision du match Belgique-Algérie de demain (http://www.oragesdacier.info/2014/06/roubaix-boucle-pour-le-match-belgique.html). Les commerçants du centre de Roubaix ont ainsi reçu une lettre de la Mairie les alertant de l'arrêté municipal. Face à la crainte de débordements en marge du match, des CRS ont même été appelés en renfort dans la ville du Nord. La police nationale aura pour mission d'empêcher la circulation Grand'Place, Grand'Rue (jusqu'à la rue du Collège), rue Jean-Monnet, Place de la Liberté et sur le boulevard Leclerc, de l'Eurotéléport au rond-point de l'Europe. L'an passé, lors de la coupe d'Afrique des nations, le maire PS Pierre Dubois avait opté pour un bouclage du centre-ville uniquement en cas de débordements lors des matchs de l'équipe nationale d'Algérie. Le nouveau maire UMP, Guillaume Delbar, a lui préféré interdire l'hypercentre dès le coup d'envoi, quel que soit le scénario du match. La mairie précise que le dispositif sera renouvelé lors de prochains matchs, sans préciser lesquels. De toute évidence, les rassemblements hors de leurs cités et de quelques natures que ce soit (fête de la musique, feux d'artifice, pleine lune...) des Bougniakoués font tellement peur au pouvoir en place que ce dernier préfère purement et simplement les annuler. Génocide de poubelles et trouble à l'ordre public, la liberté d'expression des singes s'arrête là où commence la tranquilité juive. Pas touche aux quartiers ghettoïseé pour cadres supérieurs en manque d'amour vaseline.


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La bonne humeur du dimanche soir.

Воскресенье, 15 Июня 2014 г. 23:03 + в цитатник

On peut dire que notre ami Louis Darquier est très remonté, à côté Jean-Marie, c'est un enfant de chœur (http://louisdarquier.tumblr.com). Voici ses dernières paroles: «Pour des raisons religieuses et stratégiques (pour ne pas finir chez Zemmour ou Soral) ce blog va d’abord se concentrer sur nos ennemis raciaux: le Juif (notre ennemi racial le plus redoutable), les Arabes, les Nègres et les Asiatiques. Ce n’est pas parce que les races mongoloïdes se comportent mieux que d’autres - qu’elles sont chez elles chez nous, ou qu’elles sont en droit de nous remplacer sur notre propre terre! À n’en pas douter la question raciale dominera le XXIe siècle.»


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Les sunnites, mercenaires d'Israël!

Суббота, 14 Июня 2014 г. 13:45 + в цитатник

Il est bien connu que les seuls ennemis que l’État hébreux tolère, ce sont ceux qu'il se construit! Aidé de pays écran tels que le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Turquie, et les USA, son but de former des bataillons de terroristes pour détruire les régimes chiites d'essence laïque tels que la Syrie, ou l'Iran. Même s'il n'a pas bien saisi l'implication de toutes les alliances qui s'étendent jusqu'au fin fond de la Sibérie, et que par voie de conséquence, son mur des Lamentations, il risque de se le retrouver façon puzzle sur 10 000 km².

Les Sunnites radicaux de l’«État islamique en Irak et au Levant» (EEIL), très actifs en Syrie, ont entamé une progression spectaculaire vers Bagdad, prenant plusieurs grandes villes ces jours-ci (comme Mossoul, 2ème ville du pays, ou Tikrit, d’où était Saddam Hussein) (http://www.contre-info.com/irak-progression-des-is...-pour-les-chretiens#more-33024). Ils profitent de la division de l’Irak entre Sunnites et Chiites (sans parler des Kurdes). Un prêtre témoigne (dans une lettre visible en fin de cet article): «La plupart des habitants de la ville ont déjà abandonné leurs maisons et fui dans les villages où ils logent à la belle étoile, sans rien à manger ni à boire. Les groupes islamistes assassinent petits et grands. Les cadavres, d’après les témoins, se comptent par centaines. Ils sont abandonnés dans les rues et dans les maisons sans pitié. Les forces régulières et l’armée ont fui elles aussi la ville, ainsi que le gouverneur Al Nujaifi. Plus de trois mille familles, chrétiennes et musulmanes, ont déjà quitté la ville vers les villages de Tel Keif, Bartella, Qaraqosh et autres.» C’est maintenant Bagdad même qui est menacée, ainsi que les villes de Kerbala et Najaf – saintes aux yeux des chiites; ce qui a poussé le grand ayatollah Ali Al-Sistani (autorité suprême des chiites irakiens) à appeler ses ouailles à rejoindre l’armée régulière pour contrer l’avancée des jihadistes. Notons qu’en s’emparant de la province de Ninive et de sa plaine, les sunnites tiennent à leur merci les catholiques syriaques qui peuplent cette plaine; la ville de Qaraqosh pourrait tomber. Comment, puisqu’il y a des gardes armés chrétiens? D’une part ceux-ci sont trop peu nombreux et comptaient sur un premier cordon défensif de Peshmergas kurdes, qui en fait ont laissé passer les sunnites, en raison de calculs stratégiques propres. Les Chrétiens ont donc raté le coche de l’autonomisation de leur défense, en 10 ans. Par ailleurs, le clergé occidental en charge de l’œuvre d’Orient, loin d’avoir encouragé la création de milices locales (au contraire), appelle désormais l’armée irakienne à ne pas lancer de contre-offensive et à négocier avec les sunnites. Plus qu’une erreur naïve, c’est une trahison. Le désordre qui a été installé par les USA et leurs alliés en Irak, en déboulonnant le laïc autoritaire Saddam Hussein, n’a pas fini de s’aggraver et de s’étendre à la région. On pourrait d’ailleurs se demander si l’embrasement de tout ce coin du globe dans une guerre interminable sunnites/chiites (impliquant donc l’Iran) et – au passage, au détriment des Chrétiens – n’entre pas dans les calculs de l’axe USA-Israël. Un prêtre qui a pu, comme 500 000 personnes, s’enfuir de Mossoul n tout laissant derrière lui, témoigne. Son email est daté de mardi et a été envoyé au journal La Croix: «Je vous écris depuis Qaraqosh, dans une situation très critique et apocalyptique de violence à Mossoul. Plusieurs milliers d’hommes armés des groupes islamistes de Da’sh (État islamique en Irak et au Levant, ad-Dawla al-Islāmiyya fi al-’Irāq wa-sh-Shām en arabe) ont attaqué la ville de Mossoul depuis deux jours. D’après les chiffres non officiels, plus de 300 véhicules et 7000 hommes armés et masqués y sont entrés dans la nuit de lundi à mardi dans la ville, et la dominent aujourd’hui. La plupart des habitants de la ville ont déjà abandonné leurs maisons et fui dans les villages où ils logent à la belle étoile, sans rien à manger ni à boire. Les groupes islamistes assassinent petits et grands. Les cadavres, d’après les témoins, se comptent par centaines. Ils sont abandonnés dans les rues et dans les maisons sans pitié. Les forces régulières et l’armée ont fui elles aussi la ville, ainsi que le gouverneur Al Nujaifi. Plus de trois mille familles, chrétiennes et musulmanes, ont déjà quitté la ville vers les villages de Tel Keif, Bartella, Qaraqosh et autres. Qaraqosh est envahie par les réfugiés de toutes sortes, sans nourriture et sans logement. Aux check points, les forces kurdes empêchent les vagues innombrables des réfugiés d’entrer au Kurdistan. Les forces kurdes, les peshmergas, protègent jusque-là les villages dans les zones disputées (entre Kurdes et Arabes, NDLR) de la province de Ninive. Ce que nous vivons et ce que nous voyons depuis deux jours est horrible et catastrophique. Le couvent de Mar Behnam, à l’est de Qaraqosh, est tombé ce matin entre les mains des rebelles. Un seul moine, le père abbé, est resté sur place! Les voici, on les voit tout près du côté ouest de notre village de cinquante mille habitants. C’est la grande panique dans les familles… Les enfants sont traumatisés. Plusieurs centaines de familles réfugiées sont entrées à Qaraqosh, ou se dirigent vers Erbil, épuisées et sans abri… Priez pour nous. Désolé, je ne peux plus continuer à vous écrire…»

Une nouvelle ère commence, notre avis est qu'Israël va sous-traiter le terrorisme sur le territoire européen au travers de ses sunnites recrutés dans nos cités. Les false flag vont se succéder à une cadence infernale. Mehdi Lamouche (qui se baladait avec tout son attirail en transport en commun) en était un premier exemple, même si le pauvre gars est aussi coupable que Mérah. De toute évidence, le tueur israélien court toujours!


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Tromperie n'apaise jamais l'esprit!

Среда, 11 Июня 2014 г. 00:40 + в цитатник

Le 10 juin 1944, Robert Hébras avait 18 ans. Enfermé dans une grange avec d'autres hommes pour être fusillé, il n'a pu survivre qu'en se faisant passer pour mort sous les cadavres de ses amis avant de s'enfuir (http://www.lepoint.fr/histoire/oradour-sur-glane-p...al-10-06-2014-1834146_1615.php). Victimes de la barbarie nazie, 642 personnes sont mortes à Oradour-sur-Glane. Robert Hébras fait partie des six rescapés. Sa mère et ses sœurs n'ont pas eu cette chance. À l'occasion des célébrations du 70 ème anniversaire du massacre d'Oradour-sur-Glane, il a accepté de répondre à nos questions. Le Point.fr: Avec les commémorations du Débarquement et du massacre d'Oradour, pensez-vous que l'on rend suffisamment hommage aux hommes qui ont fait ou qui ont subi la guerre? On leur rend hommage comme il faut. À Oradour, c'est nous qui, après le procès de Bordeaux (où sont jugés en 1953 vingt et un accusés du massacre, NDLR*), avions refusé la présence de l'État. Pendant des années, il y a eu une coupure. Mais c'est du passé, tout ça. Aujourd'hui, l'État fait ce qu'il doit faire en Normandie, à Oradour et partout où cela doit être fait. Vous avez été au plus près de la barbarie. Est-ce que cela a changé votre perception de la nature humaine? Oui. Je suis désolé d'avoir cette pensée, mais oui. Je suis déçu par l'homme. Mon désespoir, c'est de voir que la nature humaine n'a pas changé en soixante-dix ans. L'homme a toujours envie de se battre. Pour moi, il est orgueilleux, mauvais et ne pense qu'à lui-même. Soixante-dix ans ont passé depuis la barbarie nazie, et c'est tout juste si on peut se sentir en sécurité en sortant de chez soi. On le voit dans le monde, en Syrie, avec les attentats... D'où l'importance du devoir de mémoire, surtout avec les jeunes, pour se rendre compte de ce qu'est l'homme. En revendiquant un fort sentiment pro-européen, vous semblez pourtant garder quelques espoirs. Que pensez-vous de la forte abstention aux élections européennes? Oui, je suis pro-européen, car je pense que si la terre est mal faite, on a pu, grâce à l'Europe, éviter beaucoup de choses. Grâce à l'Europe, ça fait quand même soixante-dix ans que l'on ne se bat plus avec nos voisins! Aujourd'hui, je suis triste de voir le taux d'abstention aux européennes, surtout chez les jeunes. Ce n'est peut-être pas un oubli, car comme les jeunes générations n'ont rien vécu, elles ne s'imaginent pas qu'un drame comme Oradour ou que les horreurs de la Seconde Guerre mondiale puissent exister. Pour les nouvelles générations, la paix est quelque chose de normal. Tant mieux! Mais il ne faut pas oublier le passé, car on ne sait jamais de quoi l'avenir est fait. J'ai des petits-enfants, c'est à eux que je pense en disant ça. Il semblerait que les SS qui ont perpétré le massacre d'Oradour savaient pertinemment que les victimes n'étaient pas des résistants. Pourquoi, selon vous, ont-ils commis ces atrocités? Je ne sais pas. C'était sans doute un acte pour terroriser les populations. Mais toute ma vie, j'ai eu cette question: pourquoi Oradour? Au final, si ça n'avait pas été Oradour, cela aurait été un autre village, je pense. Sur les 130 hommes qui composaient la division SS en charge des massacres à Oradour, presque tous ont été identifiés, sauf une quinzaine. Pourquoi n'ont-ils pas été condamnés et leurs peines appliquées? Je ne sais pas. Je suis déçu qu'on ne les ait pas cherchés plus tôt. Je ne comprends pas. Vous savez, j'ai survécu au drame, le reste, ce n'est pas de mes compétences. Vous avez toujours vécu à Oradour ou dans un périmètre de dix kilomètres. Vous n'avez jamais voulu partir? Non, mais c'est pour le travail que je suis resté, car c'est ici que j'ai réussi. Mon métier me plaisait, j'étais satisfait. Je ne suis pas resté pour rester. Pour moi, il y a mon histoire et il y a ma vie professionnelle. Ce sont deux choses bien différentes! J'ai bien séparé les choses. Vous savez, peu importe ce qui arrive, il faut continuer à vivre! Dans mon travail, je n'ai jamais parlé d'Oradour. Sans les médias, personne ne saurait dans mon entourage professionnel que je suis un survivant. Comment survit-on à un tel traumatisme? On n'a pas le choix! Ou on repart dans la vie, on se fait honneur dans la vie, ou on se supprime. Il n'y a pas d'alternative. C'est continuer ou arrêter définitivement. Vous qui avez tant oeuvré pour un rapprochement franco-allemand, pourriez-vous aller jusqu'à pardonner à vos bourreaux? Ça dépend de quelle façon ça serait demandé. Il faudrait que la personne soit sincère. Et our aller plus loin, à l'occasion des soixante-dix ans du massacre d'Oradour-sur-Glane, France 3 Limousin diffuse sur son site internet un "long format numérique", sorte de webdocumentaire qui retrace l'histoire de cette journée tragique et revient sur les grandes commémorations. Un reportage à ne pas manquer, notamment pour son traitement innovant et ses images aériennes du village filmées avec un drone. * Le 12 janvier 1953 s'ouvre le procès de Bordeaux, au cours duquel 21 accusés du massacre d'Oradour sont jugés. Les survivants, dont Robert Hébras, sont entendus comme simples témoins et non pas comme victimes, ce qui provoque leur frustration et leur déception. Le mois suivant, l'adoption de la loi d'amnistie rendra caduques la majorité des condamnations attribuées à Bordeaux dans un souci d'unité nationale, la participation de 14 Alsaciens au massacre ayant été mise sur le compte de l'embrigadement de force (un seul reconnaîtra s'être volontairement engagé dans les SS). Au final, aucune des condamnations ne seront mises à exécution. Cela vaut aussi pour les 7 Allemands inculpés. Furieux, les habitants d'Oradour décident dès lors de "boycotter" l'État français en ne payant plus leurs impôts.




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Des vérités qui font mal....

Понедельник, 09 Июня 2014 г. 20:53 + в цитатник

On peut toujours compter sur Jean-Marie Le Pen pour rappeler qui il est et ce qu'il représente dans le débat politique français. Inlassablement, le président d'honneur, à vie, du Front national – depuis qu'il en a transmis, en 2011, la présidence effective à sa fille Marine – revient au fondement du courant politique qu'il incarne depuis près de quarante ans (http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/06/09...t-national_4434583_823448.html). Il vient, une nouvelle fois, d'en faire la démonstration. Avec sa méthode habituelle, la saillie ricanante et transgressive. Et sur son terrain favori: la haine de la criminalité juive, c'est à dire l'antisémitisme. Dans une vidéo diffusée sur le site Internet du parti d'extrême droite, M. Le Pen s'en est pris à des artistes qui combattent le FN. Notamment le chanteur et acteur Patrick Bruel, de son vrai nom Benguigui, et à l'encontre duquel il a lancé: «On fera une fournée, la prochaine fois.» Il est vrai que pour un juif qui chante «On vous met le feu!», nul doute qu'il aurait pu faire la première partie d'une tournée polonaise à guichet fermé 50 ans plus tôt. Le Pen, un discours franc, qui en 1987, avait qualifié de «point de détail de l'Histoire» les chambres à gaz (voir Robert Faurisson) et l'extermination de quelques milliers de juifs par les nazis durant la seconde guerre mondiale, ou qui avait lancé en 1988 un détestable jeu de mots – «Durafour crématoire» – contre le ministre Michel Durafour, l'intention et l'obsession ne font aucun doute. Contre la vérité historique et en dépit de condamnations par la justice, M. Le Pen persiste et signe, pour mieux se rappeler au mauvais souvenir des Français, et de sa fille. Depuis trois ans, la présidente du Front national s'est employée à «dédiaboliser» le parti fondé par son père, à tenter d'en faire oublier le vieux socle xénophobe et antisémite. En 2011, elle avait assuré que les camps d'extermination nazis avaient été le «summum de la barbarie». Il y a quelques mois encore, Mme Le Pen récusait l'étiquette d'extrême droite accolée à son parti et menaçait de saisir la justice pour faire cesser ce qu'elle considère comme une «insulte». M. Le Pen vient de lui rappeler d'où il vient et ce dont elle est l'héritière. Et il l'a fait au moment même où la stratégie de normalisation mise en œuvre par sa fille commence à porter ses fruits, après la percée du Front national aux élections municipales de mars et sa victoire aux européennes de mai. Marine Le Pen a beau avoir dénoncé la «faute politique» de son père et rappelé que «le Front national condamne de la manière la plus ferme toute forme d’antisémitisme», cette polémique est calamiteuse pour elle. La présidente du FN peine, en effet, à constituer un groupe au Parlement européen, précisément parce que certains de ses alliés potentiels jugent son parti antisémite. La provocation de son père ne va pas les convaincre du contraire. C'est, en outre, la respectabilité à laquelle elle aspire qui s'en trouve mise à mal. Et, au-delà, sa prétention à incarner un parti républicain capable, à l'avenir, de conquérir et d'exercer le pouvoir en France. Ce nouveau dérapage contrôlé de Jean-Marie Le Pen témoigne, en effet, que, derrière le patient ripolinage de sa façade et de son discours, le Front national reste fidèle, dans ses profondeurs, à la radicalité d'extrême droite qui a fait et reste sa singularité. A cet égard, c'est une utile piqûre de rappel pour tous les démocrates au service de notre République Sioniste.


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Parce que le mensonge a assez duré!

Воскресенье, 08 Июня 2014 г. 22:43 + в цитатник

Je prends ma plume ce jour pour honorer le fascisme. Fascisme, arme des pauvres dotés de leur seule volonté face au destin funeste auquel ils furent promis par la coagulation des intellectuels juifs et des banquiers, des bourgeois catholiques et des désespérés de tous bords (http://breizatao.com/2014/06/07/parce-que-le-fasci...es-peuples-libres-boris-le-lay). A la face des porcs du démocratisme et du marxisme, je répète cette vérité: les trois millions de chemises brunes allemandes d’avant 1933 étaient les gueux vomis par l’ordre bourgeois qui décidèrent de choisir leur destin. Je suis, moi aussi, une chemise brune. Ou plutôt un cœur brun. Je suis du peuple, uniquement du peuple, je ne veux être que cela. Fascisme, en toi, je salue le sursaut de vie de tous les Européens refusant de capituler leur destinée! Je ne signe ici aucun chèque en blanc à quelque pays que ce soit pour on ne sait quelque planification meurtrière. Non, je signe en lettres de lumière l’élan de jeunesse d’une idée qui bouleverse le monde et que les bandes coalisées de la banque craignent encore: l’idée du fascisme. Fascisme jusqu’à la mort. Certes, notre fascisme ne sera plus fasciste demain, il sera au delà du fascisme, fascisme intégralement fasciste, devenu totalement spirituel. Il veut le peuple, il est le peuple. Je crois au grand retour du religieux, au grand retour des Croisés d’hier. Les fascistes d’hier annoncent cette grande restauration. Le Christ, Dictateur de l’Univers, est le grand modèle du fascisme comme réaction au Mal gouvernant le monde. Qu’on ne me parle pas “d’extrême droite”. Elle bien trop pourrie de modérantisme pour qu’elle mérite le moindre assentiment. Fascisme européen d’abord, fascisme spirituel surtout, jeunesse comme chair de l’avenir uniquement. Quand on me demande ce qu’il nous faut accomplir, je réponds: créer. Et quand on me demande comment, je réponds: en détruisant. Je veux voir des bûchers de livres illuminer les rues de Brest, Nantes et Rennes, de tout l’Occident, pour illuminer la renaissance de cet Occident Chrétien qui doit renaître. Je veux voir la pourriture de l’intellectualisme juif chauffer à grandes flammes les brasiers accouchant d’une pensée archaïque svelte et souple comme le lévrier, audacieuse comme le faucon, prudente comme le serpent. Je veux le fascisme spirituel intégral, inconditionnel, passionnel, harmonieux, bâtisseur. En un mot, je veux la beauté dont le fascisme est la forme dynamique. Je veux les bourgeois pendus, traqués, assaillis. Je veux des jeunes de vingt ans procureurs et juges de tribunaux révolutionnaires préposés à cette grande tâche de renouvellement. Je veux la pourriture de l’ordre ancien massacré le plus absolument, le plus parfaitement, le plus intégralement possible. Je veux les commissaires de police jouer aux dés leur exécution sommaire. Je veux les journalistes assassinés sur les foyers alimentés par le fumier de leurs manuscrits. Je veux l’Europe européenne, dressée, debout, conquérante, fiévreuse, impériale, raciste. Je veux l’Europe blanche, c’est-à-dire la seule Europe. On ne m’a jamais fait reproche de modérantisme. La tendresse est une honte. Le fascisme fut et demeure, en esprit, l’école du renouveau et de la jeunesse. Mes trois mots d’ordre: fascisme, fascisme fascisme! Plus dur, plus intrépide, plus conquérant. Et je vois dans un nouvel ordre des choses établi au sein d’une jeunesse bretonne enfin exposée à cette saine doctrine la plus fine race de notre continent, la plus sûre élite de cette entreprise. Les corsaires des temps nouveaux. Le fascisme est cette fleur qui naît du fumier de la démocratie. Les poux la fuient, les aigles la protègent. Jeunesse fasciste: lève-toi!


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«Mais putain, qu'elle se taise à jamais!»

Воскресенье, 08 Июня 2014 г. 22:11 + в цитатник

On le sait tous. Nous ne nous en étions pas réjouis au moment des faits, par respect pour cette pauvre femme cocufiée à la vue de tous, qui avait même été annoncée en internement à la Pitié-Salpêtrière après les événements. En bons gentlemen, la compassion nous avait étreints et nous n’avions pas voulu tirer sur l’ambulance cornue qui avait déjà les quatre pneus crevés, ainsi que la batterie à plat. Nous avions même failli la défendre. Aujourd’hui, la dinde nous oblige à la remettre à sa place après ses récentes sorties indignes et dénuées d’arguements faites en famille (http://croah.fr/corbeau-dechaine/trierweiler-vomit-poutine-mais-tout-sourire-au-qatar). Le tweet est une allusion à la rencontre entre Flamby et Poutine à l’occasion des commémorations du débarquement de Normandie, qui fêtait cette année ses 70 ans. Valoche se pensant encore dans la vie politique française twitte sa rancune d’ex-première dame de France comme le ferait une adolescente amoureuse qui se serait faite plaquée par son premier petit copain. Le pathétique atteint des sommets. Nous avions déjà pu observer avec Sarkozy des frasques de couples étalées dans les médias, mais jamais le ridicule n’avait atteint de telles altitudes. Pensant visiblement que l’union fait la force, elle n’a pas hésité à retweeter son fiston, indigné à propos d’une prétendue déclaration de Vladimir Poutine. En réalité, le traducteur de TF1 s’est trompé, heureux hasard, en confondant les termes «discuter» et «disputer», changeant intégralement le sens de la phrase de Poutine à propos d’une autre cornue bien célèbre, Hilary Clinton, devenue selon certaines sources une légende internationale en la matière; on parlerait d’elle jusqu’en Alaska (allusion humoristique au sketch de Dieudonné).

Ainsi, la phrase de Poutine, «il ne faut pas se disputer avec une femme», est devenue dans la bouche du traducteur de TF1, «il ne faut pas discuter avec une femme». Un écart de langage qui nous rappelle les heures les plus sombres, lorsque Mahmoud Ahmadinejad (ex-président de l’Iran) était accusé de vouloir «rayer Israël de la carte», lorsqu’il ne faisait que répéter les mots du guide suprême, Ali Khamenei, qui ne visaient qu’à rappeler l’échec probable d’un régime qui s’impose par la force, «voué à disparaître des pages de l’histoire». D’où la facilité de créer des incidents diplomatiques! L’approximation est certes moins tragique, mais continue de faire les choux gras de la presse et les petits desseins de la stigmatisation anti-Poutine, comme si c’était important! Quant à la politique intérieure de la Russie, M. Poutine a balayé de la main les accusations d’autoritarisme: «Nous avons plein d’opposants, nous avons d’ailleurs récemment simplifié la création de partis politiques». Il a également nié interdire l’homosexualité: «Nous interdisons la promotion de l’homosexualité auprès de mineurs, ce qui n’est pas la même chose». (source: le Monde) En bonus, l’intégralité de la transcription de l’interview avant le montage de TF1 (source: Les Crises, traduction de la version intégrale issue du site du Kremlin), un petit extrait juteux: Question – Monsieur le Président, est-ce qu’on peut s’opposer à vous en Russie sans risque? Vladimir Poutine – Si vous écoutez certaines de nos stations de radio ou regardez certaines de nos émissions de télévision, je vous assure que vous avez peu de chance de trouver quelque chose de semblable à ce genre d’opposition en France. Pour en revenir à Valérie, elle se dit heureuse, sur un ton d’un cynisme à toute épreuve, de ne pas avoir à serrer la main de Poutine; en revanche, elle n’a pas besoin de se faire prier pour courir au Qatar et poser, un grand sourire aux lèvres, à coté de toute la racaille pétro-monarchique qui pratique un système de gouvernement infiniment plus inégalitaire et totalitaire que le président russe. Encore une conne qui le restera manifestement jusqu’au bout! Elle n’a visiblement ressentie aucune indignation du fait d’aller se pavaner là-bas. Ça semble même être une partie de plaisir! Alors nous, on voudrait lui dire gentiment de se carrer son hypocrisie et sa connerie bien profond, et de conseiller à son crétin de fiston d’en faire autant!

Après les églises, les Femen s'attaquent maintenant au musée Grevin devant Des Journalistes Prévenus à l'avance. Si ce n'est pas de la connivence ça y ressemble fortement. Les journalistes présents sur la scène étaient bien entendus au courant donc complices. Quand va donc cesser cette mascarade avec ces hystériques de FEMEN? Elles appellent ouvertement au meurtre en ayant écrit "tuez Poutine" sur leur poitrine et elles le tuent symboliquement (http://zebuzzeo.blogspot.ru/2014/06/apres-les-eglises-les-femen-sattaquent.html).

Avec leurs antécédents, que faut-il à la justice française et aux autorités administratives pour interdire et dissoudre ce groupuscule d'extrémistes? J'attends avec gourmandise les explications tarabiscotées d'un ministre lorsqu'un esprit faible s'en sera pris physiquement à une personnalité française en se revendiquant de ces folles. Il y a des établissements pour ce genre d'individus. Le gouvernement socialiste ne s'honore pas (et perd des électeurs) à soutenir ce genre d'actions. Ceci est la France voulue par les socialistes. Dépravation, incitation à la violence, exhibition, atteinte à la pudeur public avec la bénédiction de ceux qui se prétendent normaux. Quelle tristesse et quelle image pour les générations futures. C'est affligeant! La direction du musée a "déploré l'incident" et assuré qu'elle allait porter plainte. C'est la première fois qu'une statue est ainsi détruite au musée Grévin. Twitter est devenue une arme de destruction massive, elle incite les cons à agir!


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Se r'faire une virginité ...

Пятница, 06 Июня 2014 г. 01:09 + в цитатник

En France, un politicien juif ne pollue jamais, on arrive toujours à le recycler dans la «machine à gaz» européenne. Prenez les exemples d'Harlem Désir, Vincent Peillon et Pierre Moscovici. Ces trois là ont senti le vent tourner, et ont décidé de jouer de leur «Bonne étoile» à Bruxelles.

Le ministre de l’Économie et des Finances sortant, Pierre Moscovici, souhaite devenir commissaire européen lorsque l'exécutif communautaire sera renouvelé. Il n'est pas le seul (http://www.euractiv.fr/sections/elections-2014/pie...e-de-rebondir-bruxelles-301334). Les ambitions européennes de l’ancien ministre de l’Économie et des Finances sont connues. Pierre Moscovici, qui a perdu son portefeuille ministériel à l’occasion du remaniement tente de se recaser au sein de la prochaine Commission européenne. Même s'il est un peu tôt: les postes ne seront distribués que cet été, et la France ne sait pas de quel portefeuille elle héritera. Revendiquer un portefeuille économique d'envergure semble un peu délicat vue la situation des finances publiques française. Le commissariat aux Affaires économiques semble notamment compliqué à obtenir: la direction général en question est chargée de taper sur les doigts des États membres qui dévient du droit chemin. Reste le poste du Marché Intérieur, déjà occupé par un français, Michel Barnier, ou encore l’Énergie ou la tête de l'Eurogroupe. La France pourrait également revendiquer le poste de Haut représentant de l'Union européenne aux affaires extérieures assure Élisabeth Guigou, qui est également candidate pour représenter la France à Bruxelles. "C'est bien qu'il y a ait plusieurs candidats, et c'est normal qu'ils se déclarent" souligne Élisabeth Guigou, rappelant néanmoins que le Président n'a pas encore tranché. Alors que les critiques de l'opposition fusent sur le thème "on a changé le bocal mais pas les poissons" lors du remaniement, la candidature de Pierre Moscovici ne semble pas signe d'apaisement. Et Élisabeth Guigou, qui est présidente de la Commission des Affaires Étrangères à l'Assemblée Nationale, est plus proche de la majorité socialiste dont l'aile gauche n'est pas convaincue par le casting du remaniement. Ancien vice-président du Parlement de Strasbourg et ex-ministre des Affaires européennes sous le gouvernement Jospin, Pierre Moscovici peut néanmoins revendiquer une bonne connaissance des dossiers communautaires et l'appui de certains membres de l'Eurogroupe qu'il fréquente depuis presque deux ans. Il ne fait en revanche pas forcément l'unanimité du côté des eurodéputés. " C'est un choix qui revient au Président de la République" rappelle sobrement Pervenche Beres à propos du futur représentant de la France à Bruxelles.

Vincent Peillon a déclaré sa candidature aux élections européennes organisées en juin 2014. Ministre de l'Éducation au coeur des débats sur la réforme des rythmes scolaires, cette annonce n'est pas forcément bien accueillie par les enseignants (http://leplus.nouvelobs.com/contribution/972628-vi...-bras-d-honneur-a-l-ecole.html). Yves Delahaie, professeur en collège, y voit une posture inappropriée. Elle devait être la priorité de François Hollande. Sa dulcinée. Celle à qui il jurerait fidélité pour laver la honte, celle d’avoir été humiliée et rudoyée par son ex. Mais aujourd’hui, la romance est terminée, et l’école devient la cocue de la République. En se portant candidat aux prochaines élections européennes, Vincent Peillon a montré à quel point il considérait sa tâche de ministre. À quel point la refondation de l’école ressemblait à s’y méprendre à ces promesses que l’on se fait au clair de lune et que l’on rompt sitôt le jour levé. En plein tumulte autour des rythmes scolaires, son investiture par le PS sonne comme un bras d’honneur insupportable alors que l’école en attendait tant. Il ne faudra pas être surpris si les parents d’élèves, comme les enseignants qui avaient massivement soutenu François Hollande en 2012, se rappellent à leur bon souvenir en juin prochain. Un ministre candidat. Mais ce qu’il y a de plus insupportable encore, c’est le cynisme avec lequel Vincent Peillon assume son choix, sachant qu’il ne siègera pas à Bruxelles. "Je suis dans une transparence totale. (...) Lorsque nous sommes arrivés au gouvernement nous avons enchaîné sur des législatives. Les ministres ont fait campagne et nous savions qu'ils n'allaient pas siéger à l'Assemblée nationale mais leurs suppléants. (…) Ils ont mené le combat." La comparaison est tout simplement hypocrite. Car les candidats pour les législatives de juin 2012 avaient été désignés bien avant la victoire à l'élection présidentielle, et surtout bien avant la constitution du gouvernement. Les candidats investis n’avaient ainsi aucune idée du destin qui les attendait dans les ministères. Et on les voyait mal rebrousser chemin après leur nomination et désigner dans l’urgence un nouveau candidat (sans compter le vote des militants socialistes pour ce faire...). Tel n’est évidemment pas le cas pour Vincent Peillon, qui lui, est un ministre en action. Et la seule chose que l’on peut y voir, c’est la certitude d’avoir un mandat après 2017. Comme l’assurance d’un avenir politique. En d’autres termes, malgré les belles promesses faites aux Français et pourtant voulues par leurs militants, le PS n’a toujours pas décidé de rompre avec la politique de carrière, ses cadres considérant leur mandat comme un métier et non comme une confiance accordée et limitée dans le temps. À l’image des sénateurs qui ont refusé de s’engager sur le non-cumul des mandats les concernant. Scandaleux. La décision de Vincent Peillon, très contestée semble-t-il, puisqu’il se murmure que Jean-Marc Ayrault attendait, en vain, le feu rouge de l’Elysée, envoie un message pour tous ceux qui croyaient encore, naïvement, que l’école était la priorité. En faisant des rythmes scolaires le corollaire de la réussite éducative, Peillon avait déjà perdu sa crédibilité. Engager des milliers d’enseignants, mesure dispendieuse dans un pays en faillite, qui avait dilapidé la seule marge de manœuvre budgétaire d’un pays exsangue, avait montré son incompétence. Le prétendu rétablissement de la formation des enseignants, qui continuent malgré tout d’avoir 15 heures de cours hebdomadaires en plus de leur formation, quand ils n’en avaient que six avant l’ère Sarkozy, avait montré qu’il était hypocrite. Un système en danger Mais partir en campagne européenne, alors que les classements PISA jouent les Cassandre et confirment que la seule vraie réforme possible susceptible de sauver notre système en péril, à savoir revenir à la transmission des savoirs, joue aux Arlésiennes, quand elle n’est pas contestée au sein d’un ministère gangréné par les pédagogistes, c’est de l’inconséquence et même une insulte à la fonction qu’il occupe. Comme un bras d’honneur envoyé à l’école de la République. Mais le plus grave est sans doute à venir. Car l’autre argument avancé par Peillon est encore plus périlleux: "Je ne me résigne pas à ce que le Front national devienne le premier parti de France. Je me présente face à Jean-Marie Le Pen, ce sont les racines mêmes de mon engagement." Certes, sa liste s’était lourdement abîmée en 2009, en arrivant 3e, derrière l’UMP et Europe Ecologie avec 14,49% des voix, et il y a peu de risque à voir la situation empirer, même avec un FN fort, sachant que les listes des Verts peineront à survivre dans ce contexte. Autant de voix dans le réservoir de gauche. Mais en décidant de faire de cette campagne, celle de la lutte contre le Front national, Vincent Peillon prend des risques périlleux pour notre République. Faire machine arrière? Non seulement il fait du FN un enjeu des élections européennes, un projet politique donc, complètement hors-sujet, quand son adversaire tente d’en faire un référendum pour ou contre l’Europe. Sans doute devrait-il se rappeler que le MoDem avait payé très cher les charges répétées de François Bayrou contre Nicolas Sarkozy en 2009, oubliant de parler du sujet même de ces élections contrairement aux Verts (et ce, sans oublier, le dérapage stérile et qui crucifia son mouvement face à Cohn-Bendit). Pire. En déclarant que sa candidature tente de faire la nique au Front national sur ses terres, alors que le PS risque de payer au plus cher l’impopularité de son président et du gouvernement, le ministre de l’Éducation risque de donner une légitimité de plus (de trop?) au parti de Marine Le Pen si sa liste venait à le devancer dans la région Sud-Est. Que diable allait-il faire dans cette galère? L’assurance d’un destin politique justifie-t-elle le sacrifice de l’école républicaine et le risque d’un triomphe légitimé d’un FN qui n’aura guère besoin de cela lors des européennes? Il n’est jamais trop tard pour faire machine arrière.

Le carrousel des ministres des Affaires européennes, spécialité bien française, n'en finit pas de faire sourire à Bruxelles. Sarkozy en avait usé cinq. Avec Harlem Désir, Hollande en est à son troisième, en deux ans à peine. À peine le temps de retenir un nom qu'il s'efface (http://www.lefigaro.fr/politique/2014/04/10/01002-...nnes-l-ironie-de-bruxelles.php). La promotion-sanction du patron du PS français? «Tempête dans un verre d'eau parisien», enchaîne un diplomate. Ce qui n'est pas passé inaperçu en revanche, c'est le resserrement du dispositif européen de la République autour du président. L'Élysée vient de reprendre à Matignon l'administration clef de la politique européenne: le secrétariat général des affaires européennes et ses 200 hauts fonctionnaires, installés à Paris. En clair, Valls abandonne l'UE et le président Hollande reprend la main. C'est l'aboutissement logique d'une Europe désormais conduite au sommet. Avec, comme cheville ouvrière, l'un des rares secrétaires d'État aux Affaires européennes qui ait laissé un nom: Jean-Pierre Jouyet, nommé secrétaire général de l'Élysée. «Un métier de représentation essentiellement hexagonal». Vu de Paris, le portefeuille des Affaires européennes annonce au mieux à une traversée du désert, au pire la sanction d'un échec voir un sas vers l'oubli. C'est un bon prétexte à sarcasmes politiques, à droite comme à gauche. Vue de Bruxelles la perspective est différente: que le ministre en question soit britannique, allemand ou français ou maltais, c'est un poids plume dans les rouages de l'UE. Il pèse moins qu'un ambassadeur. Certains États parmi les 28 n'ont même pas de ministre des Affaires européennes, sans qu'on les accuse de désinvolture. L'Italie de Matteo Renzi vient de supprimer la fonction…L'eurodéputé Alain Lamassoure, tête de liste UMP en Île-de-France pour les européennes, est passé par ce fauteuil au milieu des années 1990: «C'est un métier de représentation essentiellement hexagonal, dit-il, où il faut expliquer à l'Assemblée ce qui se passe en Europe et expliquer aux eurodéputés ce qu'est la position de la France.» Mais ce n'est pas lui qui négocie ou qui tranche. Les poids lourds européens sont les chefs d'État et de gouvernement, les ministres des Finances et leurs collègues des Affaires étrangères. À Paris comme à Bruxelles, chacun attend que Wolfgang Schäuble ou William Hague s'expriment. Les nouveaux collègues de Harlem Désir peuvent rester en place plus longtemps, mais ce sont aussi des seconds couteaux. Formellement, l'Allemand Michael Roth et le Britannique David Lidington ne siègent même pas dans leur cabinet respectif.


Chose promise, chose due.

Среда, 04 Июня 2014 г. 05:25 + в цитатник

Louis Darquier a fait notre publicité, c'est donc avec grand plaisir que l'on fera la sienne (http://louisdarquier.tumblr.com). Nos deux lignes éditoriales étant si proches qu'il nous sera facile d'intégrer ses articles et ses points de vue dans le blog. A bientôt. Qu'en pense la justice française?


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En mémoire de Christophe Rambour (1985-2012)

Воскресенье, 01 Июня 2014 г. 22:14 + в цитатник

Parce que nous ne sommes pas comme les juifs à desceller le caveau familial pour se faire un petit billet en montant un film docul-fiction, ou en scribouillant une histoire romancée, les Nôtres, on les venge, ça prend son temps, mais on y arrive toujours. Christophe Rambour est mort à 27 ans, au début de l'année 2012. Il a fallu sept mois d'enquête aux gendarmes d'Amiens dans la Somme, pour découvrir l'atroce vérité. Les meurtriers n'ont été arrêtés qu'il y a quelques jours comme l'a révélé Le Courrier Picard, les parents de la victime ont appris à cette occasion les terribles conditions de sa mort (http://france.eternelle.over-blog.com/article-qui-...nt-des-semaines-123788730.html). Le jeune homme était un maître-chien sans histoire, sans emploi depuis peu, et n'ayant jamais eu d'ennuis avec la justice. Il était gentil et serviable, rapporte Le Courrier Picard. Ses derniers jours furent un calvaire inhumain. Torturé et séquestré durant plusieurs semaines, par une fratrie de cinq personnes âgées de 25 à 31 ans (dont deux femmes) motivées par l'appât du gain et incapables d'empathie. Le meneur de cet autre gang des barbares, Narin Bun, est semble-t-il tout aussi effroyable que son prédécesseur, l'immonde Youssouf Fofana. Les voisins des tortionnaires n'ont rien remarqué. Encore sous le choc, ils témoignent, toujours dans Le Courrier Picard: «Je suis retournée. Nous n'avons rien vu, rien entendu. Ils ont même dû nous surveiller pour être sûrs que l'on ne s'apercevait de rien.» Provocateur, agressif, propriétaire de chiens dangereux,Narin Bun intimidait le voisinage et les agents de l'état par ses regards agressifs et ses menaces. Croulant sous les dettes, il aurait décidé de capturer Christophe Rambour afin de profiter de son argent, notamment en l'obligeant peut-être à vendre sa voiture. Une fois rassasié et Christophe Rambour mort, lui et ses complices se sont débarrassés du corps en le découpant puis en le brûlant. Cette affaire illustre le caractère barbare et aveugle des faits divers actuels, toujours plus violents, toujours plus incompréhensibles. Combien faudra-t-il de martyrs pour que la prise de conscience soit réelle et que la lutte soit efficace ? La victime était d'un milieu simple, un brave garçon, il n'avait pas mérité un tel sort et doit susciter notre compassion et celle des milieux politiques et médiatiques. En effet, ce cas est tout à fait semblable à celui d'Ilan Halimi qui a beaucoup fait réagir, à juste titre. Christophe Rambour doit être traité sur un pied d'égalité, car pour l'instant son histoire n'a été abordée que dans la presse régionale. Pas d'émissions spéciales, pas même à ma connaissance d'entrefilet sur une chaîne nationale. Le gouvernement devrait donc se prononcer sur cette affaire et faire la pleine lumière sur les tortionnaires, à la suite des grand médias cruellement silencieux jusque lors. Par exemple, Narin Bun et ses sœurs étaient-ils de nationalité française? Sont-ce des récidivistes? Étaient-ils connus des services sociaux et de police? La mort de ce jeune homme, dramatique et choquante, n'est pas à oublier. Il faudra s'en souvenir et honorer sa mémoire à la mesure de la gravité des faits. Et comme Sarkozy avait sa Dati, Hollande a sa Taubira dans le seul but de disqualifier, au nom de pseudo insultes raciales ou bestiales, les contradicteurs lors de l'établissement de ses lois anti-Blanches. Personnellement, le jour où cela va péter, j'espère que les juifs auront de meilleurs boucliers que la guenon et ses quelques putains maghrébines, parce que le 22 long rifle, on a du mal à le culpabiliser!


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"Bientôt sur votre palier!"

Суббота, 31 Мая 2014 г. 23:38 + в цитатник

"France, réveille-toi", "Péril FN en la demeure", "Non au F-Haine": plusieurs milliers de jeunes ont manifesté jeudi 29 Mai 2014 en France contre le Front national après la victoire historique du parti de Marine Le Pen aux élections européennes (http://www.lepoint.fr/societe/les-etudiants-defile...e-fn-29-05-2014-1829241_23.php). Le plus gros cortège, à Paris, a relié Bastille à République dans l'après-midi. Quelque 4 200 (selon la police) à 8 000 (selon les organisateurs) lycéens et étudiants ont entonné, sous un ciel nuageux transpercé par de rares rayons de soleil, les slogans traditionnels des manifestations contre l'extrême droite, comme "La jeunesse emmerde le Front national", "F comme fasciste, N comme nazi" ou encore "Première, deuxième, troisième génération: nous sommes tous des enfants d'immigrés". "Le Pen, t'es foutue, la jeunesse est dans la rue", ont aussi lancé les manifestants, comme lors des manifestations monstres qui avaient suivi le 21 avril 2002, lorsque Jean-Marie Le Pen s'était hissé au second tour de la présidentielle. Cette fois, ils s'adressaient à la fille du leader historique du parti d'extrême droite, qui a remporté un succès tonitruant aux européennes de dimanche, le FN étant arrivé en tête avec près de 25 % des voix. Mais la mobilisation était très loin de celle du 1er mai 2002: ce jour-là, 1,3 million de personnes étaient descendues dans la rue en France, dont près de 500 000 dans la capitale. Jeudi, on a dénombré entre 800 et 2 000 manifestants à Strasbourg, un petit millier à Lyon et à Toulouse, un demi-millier à Marseille, Nantes, Bordeaux ou Nancy, 350 à Amiens, 200 à Rouen et à peine 80 à Metz. Autour du Capitole à Toulouse, des étudiants ont exhibé des affichettes "Le Pen, tu nous casses les urnes", tandis qu'à Lyon des manifestants avaient confectionné à la hâte des pancartes pour dire "Stop à la pollution bleu marine". Le syndicat étudiant Unef, les organisations lycéennes UNL et Fidl, mais aussi les mouvements de jeunesse socialiste, communiste et écologiste et des associations comme Osez le féminisme avaient appelé à manifester dans plusieurs villes de France. "Face à l'extrême droite, tous et toutes mobilisés pour l'égalité et la solidarité", résumait le mot d'ordre des organisateurs. "Nous, les vrais républicains, nous sommes majoritaires", affirmait dans les rues rouennaises, désertes pour cause de jour férié, Envel Favennec, responsable fédéral de l'Union nationale lycéenne (UNL), appelant à une mobilisation continue jusqu'à la présidentielle de 2017. À Bordeaux, Maxime, 24 ans, voulait "montrer que le FN n'est pas le premier parti de France, mais seulement le premier parti des votants". "C'est la première fois que je viens à un rassemblement anti-FN", a expliqué pour sa part le Toulousain Tom, 18 ans, se repentant d'avoir boudé les urnes dimanche. Les jeunes ont en effet grossi lors des européennes les rangs déjà bien garnis des abstentionnistes: selon Ipsos-Steria, 73 % des moins de 35 ans se sont abstenus, contre un taux officiel global de 57 %. Avec un taux de 30 %, les moins de 35 ans qui ont voté sont également plus nombreux que la moyenne à avoir choisi le FN, d'après ce sondage. Mathilde, jeune écologiste parisienne, a une explication politique à ce vote: "C'est la première fois pour certains d'entre nous que nous voyons la gauche au pouvoir, et c'est la déception." "On est là pour souffler dans les bronches de nos aînés et montrer que la jeunesse n'est pas d'accord avec leur politique!" a renchéri Rosalie, chômeuse de 26 ans, estimant que "PS et UMP, c'est la même chose, c'est des ringards qui sont loin de la réalité". Dans le cortège parisien, beaucoup de drapeaux français et européens. Ici et là, on a chanté la Marseillaise. À Strasbourg, des participants ont brandi un immense drapeau européen sur le parvis du Parlement de l'UE. À Rouen, Marie-France, éducatrice de 56 ans, a rejoint les jeunes avec une grande cape et un drapeau tricolore couverts d'inscriptions hostiles au FN. "J'ai manifesté avec après le 21 avril 2002, a-t-elle raconté. Je ne pensais pas devoir les ressortir."

Parallèlement, loin de craindre l'autorité et la justice de Taubira, la masse immigrée grandissante fait augmenter mécaniquement le nombre de crimes et délits dans notre beau pays. Il est de «tradition», dans beaucoup de mariages d’étrangers en France, surtout maghrébins, de faire de tapageurs cortèges de voitures (grosses cylindrées et coupés sport). Drapeaux étrangers au vent, les rues et parfois même les autoroutes elles-même sont de plus en plus souvent bloquées. Ce vendredi après-midi à Noisy-le-Sec, près de Paris, ces pitreries inciviles ont pris un tour tragique: une Mercedes et une Porsche louées, qui rivalisaient de vitesse, ont percuté un travailleur. Emboutissant le camion dans lequel l’ouvrier manipulait des gravats, l’un des véhicules a tué ce père de famille de 40 ans. (http://www.contre-info.com/mariage-detrangers-a-no...-tue-lors-dun-rodeo-automobile). Tout cela pour vous dire que l'on regrette les heures les plus sombres de notre histoire, car à cette époque, on pouvait au moins se balader en toute sécurité dans nos villes sans aucune peur. On n'en veut pas à Adolf, c'est la France Juive qui lui a déclaré la guerre, et c'est bien fait pour leurs gueules s'ils ont été joués les pingouins sur la banquise polonaise.


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Ceux qui ont vendu leur âme!

Четверг, 29 Мая 2014 г. 11:05 + в цитатник

Il ne fait plus de doute que le Pape François Ier a renié publiquement la Foi Catholique dans sa totalité en admettant non seulement une dispense de conversion aux juifs, comme nous l’avons évoqué hier, mais encore en reconnaissant l’œuvre du fondateur du sionisme, Theodore Herzl. Comme le relate le New York Times, le Pape s’est rendu sur la tombe de Herzl pour y déposer une pierre selon la coutume juive(http://breizatao.com/2014/05/26/le-pape-francois-i...-theodore-herzl-et-le-sionisme). Theodore Herzl, de son vivant, se rendit à Rome pour solliciter l’appui de l’Eglise à la création d’un État juif en Palestine. Reçu en audience par le Pape Saint Pie X le 25 janvier 1904, Herzl se vit brutalement refuser ce qu’il demandait à l’Eglise par le Saint-Père dans les termes suivants (source: journal de Herzl) : “Nous ne pouvons soutenir ce mouvement. Nous ne pouvons pas empêcher les juifs de venir à Jérusalem mais nous ne l’accepterons jamais. Les juifs n’ont pas reconnu Notre Seigneur, c’est pourquoi nous ne pouvons pas reconnaître le peuple juif.” Avant d’être reçu en audience, le Cardinal Merry Del Val lui avait tenu un langage identique: “Je ne vois pas comment nous pourrions prendre une initiative en la matière. Tant que les juifs nient la divinité du Christ, nous ne pouvons certainement pas nous déclarer en votre faveur… Comment pouvons-nous donc, sans abandonner nos principes les plus sacrés, accepter qu’ils redeviennent les propriétaires de la Terre Sainte?”

L’événement historique majeur, le plus grave depuis deux millénaires, se déroulera dans l’indifférence générale. Cet événement, c’est le dépôt d’une pierre par le Pape François Ier sur la tombe de Théodore Herzl, créateur du sionisme, que même les juifs orthodoxes considèrent comme un apostat, selon la loi religieuse juive. Ce dépôt aura lieu avant le passage obligatoire au mémorial de Yad Vashem qui tient désormais lieu de nouveau Saint Sépulchre à l’Église Conciliaire (http://breizatao.com/2014/05/25/le-pape-francois). La presse juive, israélienne ou américaine, a relevé depuis longtemps l’importance du voyage du Pape François Ier en Israël, premier de tous ses déplacements à l’étranger. Elle a logiquement perçu toute l’importance du dépôt d’une pierre sur la tombe du fondateur du sionisme, Théodore Herzl, sur le mont du même nom. Il n’est pas jusqu’au Washington Post qui relève cette marque éminente de reconnaissance à l’égard de celui qui conçut la restauration d’un état juif en Palestine, moyennant un nettoyage ethnique en bonne et due forme dont les effets n’ont toujours pas cessé. Il y a tout l’abîme de la foi entre la reconnaissance temporelle par le Vatican d’un autre état, obtenu après le Concile Vatican II, et celui de l’esprit du sionisme derrière lequel s’est aujourd’hui uni la totalité du monde juif dans ce qu’il a de plus antichrétien. C’est la reconnaissance d’un militantisme nationaliste spécifiquement athée, mais néanmoins juif de caractère, dans ce qu’il aurait de légitime au regard de l’histoire du monde. C’est reconnaître la restauration du royaume d’Hérode sur lequel le Christ n’avait, précisément, aucune prétention et encore moins subordination. Il en était affranchi jusqu’à provoquer l’incompréhension même de ceux qui virent en Lui un roi temporel possible. Cette catastrophe était amplement prévisible. Des décennies avant Vatican II, des membres du clergé, principalement en France, agissaient dans l’ombre pour faire reconnaître la synagogue en tant que telle, conformément aux voeux de la maçonnerie. Ce courant tenait le judaïsme pour valide et se faisait fort de faire admettre la notion de “judéo-christianisme”. Le Concile, par ses ambiguïtés, voire pire, permit à ce courant d’amplifier cet assaut en règle contre l’Église. Dès les années 1970, les représentants de la maçonnerie juive, en l’occurrence le B’naï Brith, devinrent les interlocuteurs privilégiés des papes pour ce qui touchait au rapport du Saint-Siège avec le judaïsme. Du nouveau discours officiel faisant place à une “certaine bonne volonté” à l’égard des juifs, on passa rapidement à une évolution théologique capitale: la reconnaissance du judaïsme en tant que tel comme voie du salut pour les juifs. Et par contrecoup, la non universalité du Catholicisme. C’était détruire la théologie catholique à son épicentre. Dès lors, les cardinaux comme les papes n’eurent de cesse de dire, au mépris de l’enseignement de la Foi Catholique, que l’Église se refusait à convertir les juifs. Et ceci par des circonvolutions rhétoriques si invraisemblables qu’on ne prit jamais le risque de les formaliser. L’appartenance ethnique était devenue une condition préalable à l’évangélisation, un critère discriminant, qui aboutissait à une “dérogation” de facto. Ce jargon racialisant n’avait rien de catholique et ne fut jamais inscrit dans le dogme. Tout cela restait du domaine du communiqué de presse, du propos de table, de la bonne formule.

Et, de fait, tout est pourtant là : à l’heure médiatique, un Pape enseigne d’abord et avant tout depuis sa chaire médiatique. Si bien qu’on ne trouvera jamais de document théologique reconnaissant le judaïsme en tant que tel, ni même interdisant toute évangélisation des juifs. Pourtant, ceci devint l’implacable règle non écrite qui prévalant dans le clergé catholique et singulièrement, au Saint-Siège. C’est Jean-Paul II, désormais saint – bien que les règles de sa canonisation aient été violées – qui brisa deux millénaires de lutte. Il déclara en Allemagne, face à des rabbins, le 17 novembre 1980 à propos des juifs: «peuple de Dieu de l’ancienne Alliance, qui n’a jamais été révoquée par Dieu». Une “Ancienne Alliance” qui ne fut “jamais révoquée”! En reconnaissant le “double salut”, oralement, comme valide, le Pape Jean Paul II porta le coup le plus terrible à l’authentique foi catholique. Celle qui fut forgée contre la synagogue et dont parle avec une dureté et une profondeur jamais égalée Saint Paul, Pharisien lui-même et missionnaire des missionnaires qui, où qu’il aille, se rendait d’abord et avant tout dans les synagogues pour arracher la vieille race hébraïque de ses errements. Le sillon que traça Jean Paul II fut pourtant dénoncé formellement par Pie XII dans son encyclique Mystici Corporis Christi: “La mort du Rédempteur a fait succéder le Nouveau Testament à l’Ancienne Loi abolie“. Encore récemment, le Pape François Ier, ne différant en rien de Jean Paul II, affirmait : “En tant que chrétiens, nous ne pouvons pas considérer le judaïsme comme une religion étrangère, ni classer les juifs parmi ceux qui sont appelés à laisser les idoles pour se convertir au vrai Dieu”. Oui, le lecteur ne se trompe pas: le Pape affirme que le Christ est facultatif pour les juifs. Il serait même finalement une part du christianisme, puisque ne pouvant être “considéré comme une religion étrangère”. C’est donc bien que le judaïsme serait, à en croire le Pape, non seulement valide, mais encore une partie intégrante du Catholicisme auquel sa forme romaine se subordonnerait humblement. C’en à se demander même pourquoi le Christ vint au sein de ce peuple juif et pourquoi il tira de lui les douze apôtre, moyennant persécutions et mort sur la Croix, si ce même peuple “n’était pas appelé à laisser les idoles pour se convertir”. Le Christ n’a jamais fait mystère de ce que son ministère commençait par les juifs et qu’il s’étendait ensuite aux nations. Las, depuis Vatican II, qui pourtant ne reconnut jamais le judaïsme comme vraie religion, les ennemis du Christ lancèrent l’ultime assaut jusque dans les plus hautes sphères de l’Église au point d’y semer la confusion la plus absolue. Et encore une fois, jamais aucun pape ne formula théologiquement, avec autorité, ce que pourtant par leurs actes laissaient accroire. Ainsi en fut-il de l’acte scandaleux de Jean Paul II qui embrassa le Coran, pria avec des musulmans, des animistes ou des bouddhistes et dont le successeur, Benoît XVI, réitéra le geste, mais au sein d’une mosquée. Actes hérétiques sanctionnés comme tels par le dogme catholique mais qui ne déboucha que sur le silence du monde catholique, atomisé. L’acte ultime du Pape François Ier, sur le mont Herzl, sera la reconnaissance de la légitimité de l’État d’Israël, malgré ses crimes, et surtout celle de son idéologie matérialiste qu’est le sionisme. Une idéologie condamnée à l’origine par la part spirituelle du judaïsme orthodoxe, encore jusqu’à ce jour. Mais surtout reconnaissance d’une entité internationale qui a juré de perdre le monde chrétien et qui ne s’est maintenu que spécifiquement contre lui. Ne nous mentons pas: tout ceci relève de l’éclipse de l’Eglise Catholique Romaine. Et ne peut pousser les Catholiques qu’à méditer ce passage des écritures: De l’Évangile selon saint Luc. 22, 54-62 Ils se saisirent de Jésus pour l’emmener et ils le firent entrer dans la maison du grand prêtre. Pierre suivait de loin. Ils avaient allumé un feu au milieu de la cour et ils étaient tous assis là. Pierre était parmi eux. Une servante le vit assis près du feu; elle le dévisagea et dit: «Celui-là aussi était avec lui». Mais il nia: «Femme, je ne le connais pas». Peu après, un autre dit en le voyant: «Toi aussi, tu en fais partie». Pierre répondit: «Non, je n’en suis pas». Environ une heure plus tard, un autre insistait: «C’est sûr: celui-là était avec lui, et d’ailleurs il est Galiléen». Pierre répondit: «Je ne vois pas ce que tu veux dire». Et à l’instant même, comme il parlait encore, un coq chanta. Le Seigneur, se retournant, posa son regard sur Pierre; et Pierre se rappela la parole que le Seigneur lui avait dite: «Avant que le coq chante aujourd’hui, tu m’auras renié trois fois». Il sortit et pleura amèrement. Et pour mesurer tout l’abîme de cette apostasie, car enfin les choses sont ce qu’elles sont, il n’est que de méditer les écrits des Papes, innombrables sur le sujet: “La Bible elle-même dit que les juifs sont un peuple maudit” – Clément VIII “Ingrats face au faveurs reçues et oublieux des bénéfices reçus, les juifs rendent l’injure pour la gentillesse et le sacrilège pour la bonté” – Grégoire IX “Avec grande inquiétude et anxiété mortelle nous avons appris que les juifs ont dans les terres chrétiennes les mêmes droits que les Chrétiens et que les hommes et femmes chrétiennes vivent sous le même toit que ces traîtres qui défient leurs âmes nuit et jour par leurs blapshèmes” – Etienne III “Nous interdisons aux juifs d’être nommés à des postes de responsabilité, car sous leur couvert, ils sont très hostiles aux Chrétiens” – Quatrième Concile Œcuménique du Latran, Innocent III “Personne ne doit boire ou manger avec les juifs, car ainsi en fut-il décidé par les apôtres et cela s’impose au croyant, et le synode excommuniera toute personne refusant de se conformer à cette obligation” – Premier Concile Œcuménique de Nicée, Pape Sylvestre Ier “Que l’Évangile leur soit enseigné et s’ils (les juifs) s’obstinent, qu’ils soient expulsés” – Pape Léon VII. Il est simple de reconnaître les juifs, ils se vautrent dans le blasphème, pour salir ce qui est pur. Voici une de leurs nombreuses créations, le Christ de Brescia qui ne peut plus lever le regard vers le Père.


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$hoah électorale.

Четверг, 29 Мая 2014 г. 10:09 + в цитатник

Les élections européennes n'avaient rien à envier au Superbowl américain. Samedi, on commence par la pétarade belge pour culpabiliser les vilaines pensées antisémites haineuses de la droite populiste. S'ensuit dimanche un bal des faux culs au vocabulaire très néo-nazi juif-souffert d'une défaite pourtant anticipée dans les sondages. Et puis lundi, l'affaire PiquePoignon qui discrédite définitivement la droite gros-bobo petite-bourgeoise. On voit que tout était réglé comme du papier à musique sur le thème: «A bas la xénophobie!». Malheureusement, les fausses promesses politicardes sur le long terme s'opposent de plus en plus à la réalité que vivent les Français au quotidien. Notre avis est que personne n'attend de solutions du FN, non, les gens ont simplement voté la famille LePen pour jouer le rôle d'allumette et carboniser toute cette caste de parasites qui n'est plus une nécessité au bon fonctionnement de notre pays. «Dehors les députés, sénateurs, hommes d'école (ENA), et adeptes du piston, sachez que dans l'opinion française, vous n'avez jamais été aussi illégitimes. Que vous soyez de droite ou de gauche, on pisse sur vos gueules, et surtout sur vos fonctions! Comprenez que vos contrats en alternance salaire garanti, c'est fini.» En quelques jours, deux présidentiables juifs ont perdu toute crédibilité.

"Je souhaite une très bonne année au plus brillant de sa génération." En ce 1er janvier 1998, cette bonne amie de Jean-François Copé lui a écrit une jolie carte de vœux pour moquer "ce jeune homme brillant" mais "imbu de lui-même" qui rêve depuis qu'il est gosse de s'asseoir dans le fauteuil de l'Élysée (http://www.lepoint.fr/politique/ump-comment-cope-a...rtie-27-05-2014-1828710_20.php). Son destin présidentiel, Copé l'a chevillé au corps depuis son plus jeune âge. Dans sa vie, tout est tendu vers ce but. Mais, depuis deux ans, le député-maire de Meaux a enchaîné les faux pas, déchirant chaque jour davantage le costume présidentiel qu'il essayait de se tailler. L'histoire de Jean-François Copé, c'est celle d'un homme que la politique a rendu "fou". "Il s'est enfermé dans une bulle avec des collaborateurs qui voient en lui une star, voire un demi-dieu", regrette l'un de ses anciens amis. La descente aux enfers de Jean-François Copé commence le dimanche 18 novembre 2012. Ce soir-là, la salle de presse du siège parisien de l'UMP est noire de monde. Les journalistes attendent les résultats de l'élection du président du parti. À 23 h 32, Copé débarque en trombe et s'empare du micro pour revendiquer sa victoire: "Les militants viennent de m'élire président de l'UMP. C'est pour moi une grande émotion et je leur suis reconnaissant;" À quelques kilomètres de là, dans le 7e arrondissement de Paris, François Fillon regarde le "putsch" de Copé en direct à la télévision, médusé. Quelques minutes plus tard, le téléphone de l'ex-Premier ministre sonne: c'est Copé qui le presse de reconnaître sa victoire. Furieux, Fillon lui rentre dedans: "Je conteste ta victoire. Tu as été bien imprudent d'annoncer toi-même les résultats, d'autant plus que le scrutin est ultra-serré." La guerre des chefs est déclarée et se déroule en direct sous les yeux ébahis de millions de téléspectateurs. "L'UMP est morte", jubilent socialistes et frontistes. Grâce à la médiation de Jean-Pierre Raffarin, sénateur de la Vienne, l'armistice est signé le 17 décembre 2012. Mais cette guerre sanglante a laissé des traces. Dans les rangs du parti, les adversaires de Copé ne l'appellent plus "Jean-François" mais "putschiste et tricheur en chef". Le député-maire de Troyes, François Baroin, refuse même de lui serrer la main quand ils se croisent. De plus en plus exaspéré, François Fillon a fini par boycotter les réunions présidées par Copé pour ne pas cautionner "un simulacre de gestion collective". Dans le même temps, l'ancien ministre du Budget apparaît chaque jour davantage comme un ambitieux prêt à tout pour le pouvoir et comme un homme d'argent imprudent. En février, Le Point révèle que Bygmalion, une société de communication fondée par deux proches de Copé, a siphonné les caisses du parti. La justice s'est saisie de l'affaire en lançant une enquête préliminaire sur les comptes du parti. Le 15 mai, Libération affirme que, sur les 20 millions d'euros déboursés par l'UMP à Bygmalion, 13 millions ont été versés pour 55 conventions thématiques dont certaines n'auraient jamais eu lieu... C'est ce jour-là que le patron de l'UMP assure avoir mesuré l'ampleur du scandale. Pour sauver sa peau, le député-maire de Meaux tente de calmer ses détracteurs en promettant "un moment de vérité" après les élections européennes. Il demande à Éric Cesari, directeur général de l'UMP, de rédiger un rapport complet en vue du bureau politique prévu le mardi 27 mai. Il prend rendez-vous avec René Ricol le 21 mai pour lui demander de réaliser un audit des finances du parti. L'ex-pilier de la sarkozie et actuel président du cabinet d'expertise et de conseil financier Ricol Lasteyrie refuse: "Non, je ne ferai pas d'audit financier, il fallait y penser avant que les policiers ne débarquent pour des perquisitions." Il accepte tout de même de donner ses conseils pour instaurer une "gouvernance exemplaire" à l'UMP. De plus en plus inquiet, Copé est pendu à son téléphone pour convaincre les élus membres du bureau politique statutaire. "Ces douze millions d'euros ont servi à financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, qui a coûté extrêmement cher. Ils n'ont pas été reversés dans une caisse secrète qui pourrait me servir de trésor de guerre le moment venu : c'est honteux d'insinuer cela", répète-t-il à chacun. En vain. Le triomphe de Marine Le Pen aux élections européennes de dimanche sonne l'hallali. Copé est au bord du précipice. Il le sait. Lundi après-midi, Jérôme Lavrilleux, son directeur de campagne, passe aux aveux, les larmes aux yeux, sur le plateau de BFM TV : "Il y a eu des factures présentées à l'UMP qui correspondaient à des dépenses faites pour la campagne de Nicolas Sarkozy. (...) Ni Nicolas Sarkozy ni Jean-François Copé n'ont été mis au courant des dérives des comptes de cette campagne." Un "moment de cinéma" - dixit un filloniste - qui ne suffira pas à sauver Copé. Il est trop tard. François Fillon a décidé de porter le coup de grâce à celui qui lui a "volé" sa victoire à la présidence du parti. Lundi, l'ex-Premier ministre s'entretient avec François Baroin. "Je vais prendre des risques. Même si je suis minoritaire, je compte demander à Copé de se retirer. Je le fais en pensant à nos militants", lui explique-t-il. Dans la soirée, le député de Paris réunit une quinzaine de parlementaires dans son bureau de l'Assemblée nationale pour leur faire part de sa décision. Pendant ce temps, les sarkozystes s'activent en coulisse. Un mot d'ordre est passé: "Préservons l'unité du parti avant tout. Ce n'est pas le moment de faire tomber Copé." Ils ne seront pas écoutés. Se contentant tout d'abord d'appeler Copé à "une transparence totale", Bruno Le Maire, Xavier Bertrand et les autres réclament eux aussi sa tête. Mardi 27 Mai 2014, à 8 h 30, la salle de l'Assemblée nationale dévolue aux députés UMP devient "tribunal", dixit un élu. Jean-François Copé déplace une chaise et s'assoit seul face à tous les membres du bureau politique. L'air grave et les traits tirés, il plaide sa cause. Sont notamment présents Alain Juppé, François Fillon, François Baroin, Nathalie Kosciusko-Morizet. "Je ne te crois pas!" lâche cette dernière après l'explication du président contesté de l'UMP. "Tu ne peux pas rester, tu dois démissionner", assène Baroin. "Nous n'avons que quelques semaines pour sauver l'UMP du désastre", souffle Fillon. Les discussions s'éternisent, mais Copé tient bon. Finalement, il cède en entendant que Jean-Pierre Raffarin - ce bon ami avec qui il a marché sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle - le pousse aussi à la démission. "Entre l'amitié et l'éthique, il faut choisir", se justifie ce dernier. Il est décidé que toute la direction de l'UMP - dont son président - démissionnera le 15 juin. En attendant une nouvelle élection mi-octobre, une direction collégiale sera mise en place. Malgré sa déchéance, Copé affiche un sourire forcé. "J'ai démissionné pour préserver l'unité de ma famille politique. L'orage passera. Je ne renonce pas à la vie politique", confie-t-il après coup à Jean-Pierre Raffarin, Christian Jacob, Michèle Tabarot et Valérie Debord, venus le réconforter. Dans les jours qui viennent, Jean-François Copé quittera son bureau de président au 8e étage de l'immeuble de la rue de Vaugirard. Sur son bureau trône une statuette de Zorro à cheval, cadeau de sa mère lors de son entrée au gouvernement en 2002. La figurine suivra Copé dans ses prochaines aventures: "Zorro ne désarçonne jamais". Cela sonne comme un avertissement. Jusqu'à la prochaine offensive. Sa liberté de parole retrouvée, Copé ambitionne de redevenir le héraut de la "droite décomplexée" lors de la prochaine présidentielle. «Où vas-tu, Copé?»

Manuel Valls a refusé une nouvelle fois mercredi 28 Mai 2014 l'idée d'un changement de cap, mais promis d'être "à l'écoute" des députés de la majorité et "au-delà", après la débâcle électorale aux européennes (http://www.lepoint.fr/politique/a-l-assemblee-vall...-cap-28-05-2014-1829014_20.php). Le chef du gouvernement répondait à l'Assemblée nationale à la coprésidente du groupe EELV à l'Assemblée, Barbara Pompili (Somme), qui lui rappelait le "verdict accablant" des élections et l'appelait à "recréer l'espoir" alors que s'expriment "des doutes au sein de la majorité sur les choix économiques et budgétaires". "La compétitivité, les marges de nos entreprises, la capacité à embaucher, oui, ce sont nos priorités et nous ne devons pas de ce point de vue dévier de cap", lui a répondu le Premier ministre socialiste lors de la séance de questions au gouvernement. Manuel Valls a enclenché un vaste programme d'économies publiques de 50 milliards d'euros pour 2015-2017, ce que ses adversaires à gauche dénoncent comme un programme d'austérité plombant la croissance. "Réduire les déficits, c'est réduire la dette, il faut le faire intelligemment avec le rythme nécessaire, en respectant à la fois nos engagements, mais sans jamais étouffer la croissance", a plaidé Manuel Valls. Appelant au "sens des responsabilités", le chef du gouvernement, qui a déjà dû faire face à une fronde d'une quarantaine de députés socialistes sur le plan d'économies, a toutefois promis "d'être à l'écoute" des parlementaires. "Moi, je souhaite, je le redis ici, que d'une manière générale tous ceux qui se situent dans la majorité présidentielle, tous ceux qui se situent dans la majorité gouvernementale, tous ceux qui gouvernent ou qui ont gouverné aient pleinement le sens des responsabilités", a-t-il dit aux députés. "Moi, je serai à l'écoute de tous les parlementaires, d'ailleurs au-delà de la majorité (...), ce que les Français attendent de nous pour répondre à cette crise de confiance qui nous a encore été rappelée dimanche dernier, c'est qu'on soit à la hauteur de la situation et que nous soyons efficaces", a-t-il conclu. EELV, quoique toujours de la majorité, a vu 12 de ses 17 députés (dont Barbara Pompili) voter contre le plan d'économies, pour deux abstentions et seulement trois votes pour. Finalement, on en revient toujours aux mêmes!


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L'Islam rentre au musée!

Понедельник, 26 Мая 2014 г. 00:25 + в цитатник

Perdue par la DST depuis quinze jours, on la disait putain à Tel Aviv, caissière à Kaboul chez IKEA, ou Kamikaze à Damas. La p'tite sœur de Merah a frappé ce samedi 24 mai 2014 en fin d'après-midi un lieu en plein cœur de Bruxelles, capitale de la Belgique et de l'Europe, avec un acte antisémite d'une violence inouïe: tirant une poussette remplie de munitions, elle a mitraillé l'intérieur et l'extérieur du Musée juif d'objets primitifs de l'Oh Low Cost (situé dans la très centrale rue des Minimes, dans le quartier du Sablon). Elle a provoqué la mort de quatre personnes (http://www.lepoint.fr/invites-du-point/daniel-salv...fs-25-05-2014-1827557_1446.php). Dire que l'intellectuel de la diaspora juive que je suis est révulsé, choqué et indigné par cet incompréhensible sommet de barbarie s'avère, bien sûr, un euphémisme. Les mots, de toute façon, me manqueraient, à l'heure actuelle, pour exprimer, au regard de pareille tragédie, cette tristesse mêlée de révolte qui m'étreint en ce moment. Nous sommes là, y compris pour les écrivains, dans l'ordre ou, plutôt, le désordre de l'indicible! Car, comme l'affirma d'emblée Hannah Arendt elle-même, dans le premier tome de ses magistrales Origines du totalitarisme, l'antisémitisme est avant tout, par-delà même son horreur sur le plan humain, une "insulte au bon sens". Analysant cette très problématique - et combien actuelle, hélas, au vu du drame d'aujourd'hui, notion de "violence" inhérente aux divers fanatismes politico-religieux, un autre grand penseur juif, Emmanuel Levinas, l'un de mes maîtres en philosophie, prolongea, dissertant là sur l'essence du judaïsme, cette réflexion d'Arendt: "Rien n'est plus équivoque que le terme de vie spirituelle. Ne pourrait-on pas le préciser en en excluant tout rapport de violence?", écrit-il dans Difficile Liberté et, de manière plus ponctuelle, dans un article ayant pour emblématique titre "Éthique et Esprit". Il y précise aussitôt, à bon escient: "Mais la violence ne se trouve pas seulement (...) dans un État totalitaire qui avilit ses citoyens, dans la conquête guerrière qui asservit les hommes. Est violente toute action où l'on agit comme si le reste de l'univers n'était là que pour recevoir l'action". Il conclut, non moins judicieusement et, surtout, non moins tragiquement: "Le violent ne sort pas de soi. Il prend, il possède. La possession nie l'existence indépendante. Avoir, c'est refuser l'être". Ainsi ce criminel venant de commettre ce terrible acte de violence à l'encontre de quatre innocents issus de la communauté juive de Belgique n'est-il pas seulement un de ces individus appartenant à l'une des pires catégories sociologiques au sein de l'(in)humanité. Il est également, chose bien plus grave, un meurtrier dont l'irrémissible sens métaphysique double, sur le plan idéologique, son geste physique. Bref, c'est l'abomination absolue plus encore que l'impardonnable faute, à l'instar de son frère criminel de tout aussi funeste mémoire, Mohamed Merah, ce terroriste intérimaire à la DCRI, fou d'Allah à ses heures perdues, qui se serait rendu lui aussi coupable, le 19 mars 2012 (bien que de nombreuses zones d'ombres demeurent), de l'une des pires tueries, dans une école juive de Toulouse, que la France puisse malheureusement dénombrer en ce catastrophique début de XXIe siècle! Mais là où la portée symbolique de cette effroyable tragédie de Bruxelles se révèle la plus terrifiante, c'est qu'elle a eu lieu, plus précisément, à la veille même d'élections démocratiques cruciales tant pour l'avenir de la Belgique que de l'Europe. Pis: c'est là le pire acte antisémite que la Belgique ait connu depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale! Attention, car en 39-45, c'est comme cela que tout a commencé: menaces, violences. Les juifs ont alors sauté dans le premier train gratuit en partance pour la Pologne avec à la clef pension complète tout frais payé, même si le Tour Operator a fait faillite avant la fin de la guerre, et qu'ils sont toujours en procès avec. La bête immonde, celle qui se gave de la peste bleue, celle des burkas et se repaît du sang des martyrs, rôde de nouveau, tapie à l'ombre d'un extrémisme aussi sanglant qu'insensé, au cœur de l'Europe moderne et civilisée, éprise de tolérance et d'humanisme, le seul combat qui vaille en profondeur, les seules vertus qui méritent que l'on meurt pour elles, le seul vrai héroïsme en ces temps de nouvel obscurantisme. Ainsi, à ces barbares d'un autre âge, n'avons-nous, hommes et femmes de bonne volonté, juifs et non-juifs de par le monde, qu'un seul mais inébranlable mot d'ordre, signe d'un indéfectible ralliement aux victimes de tout intégrisme, à leur faire valoir en guise d'ultime mais définitive réponse: aujourd'hui, plus que jamais, nous sommes tous juifs! Personnellement, nous, on n'est pas trop intéressé. La violence d'Israël sur les Bougnoules Palestiniens est en train de jouer les vases communicants avec les banlieues françaises. Regardez le pauvre Ilian Alimi, qui s'est fait mijoter par des macaques en sous-sol pendant 3 semaines, peut'être qu'il a eu son film à petit budget, mais on préfère rester en vie en vous laissant la célébrité.


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