Hollande nous rappelle que la seconde guerre mondiale n'est pas terminée. |
On a peut-être une chance de raffler la mise! La religion de l’holocauste a ses prêtres, Germaine Tillion en fait partie. C’est à ce titre que la république française, renaissant de ses cendres par le coup d’état gaullo-communiste et anti-américain de 1944, a décidé de faire entrer sa momie au Panthéon (http://breizatao.com/2014/02/20/les-bobards-resist...-et-autres-pourris-au-pantheon). Les bobards de Germaine Tillion. Pour juger de la crédibilité de Germaine Tillion, déportée et “témoin de la mémoire”, il faut se reporter à ce que dit d’elle Olga Wormser-Migot. Cette dernière est née en 1912 au sein d’une famille juive d’origine russe et a fait des études d’histoire puis commence à enseigner. Révoquée par Vichy, elle rejoint l’enseignement catholique mais reste liée au marxisme. En 1944 elle est désignée par le Ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés du nouveau gouvernement provisoire pour une enquête sur les camps de concentration ce qui, en 1945, l’amène en Allemagne. Elle sera une des premières à étudier le système concentrationnaire national-socialiste. Sa thèse est consacrée à ce sujet qui sera son principal thème d’étude. Elle a notamment été conseillère historique pour le film “Nuit et Feu de Brouillard”. Quand elle parle de Germaine Tillion et de son témoignage en tant qu’ancienne détenue à Ravensbrück, elle décrit sa méthode “historique” comme le fruit “d’un mécanisme psychologique quasi hallucinatoire relevant plus de la psychanalyse que du témoignage historique“. Germaine Tillion, en plus d’affirmer l’existence de deux chambres à gaz à Ravensbrück, maintint fermement l’existence d’une chambre à gaz à Dachau et que celle-ci fonctionna. L’historien Martin Broszat – une source officiellement reconnue comme faisant autorité par les tenants de l’histoire officielle – affirma en 1960 dans une lettre à un journal allemand: “Ni à Dachau, ni à Bergen-Belsen, ni à Buchenwald des juifs ou d’autres détenus n’ont été gazés. La chambre à gaz de Dachau n’a jamais été complètement terminée ni mise “en service”.” L’autre historien Pierre Vidal Naquet affirme lui qu’une chambre à gaz existait à Dachau mais “ne fonctionna jamais“, “même pas pour des tests“. L’entrée au Panthéon de Tillion et autres résistantialistes, c’est le processus de sanctification de l’Eglise du Progrès des figures qui la légitiment. Il s’agit, encore et toujours, de maintenir en vie la sacralité – dont découle l’autorité de l’Inquisition en place – des origines du nouvel ordre idéologique né en 1944 en France. Manuel Valls, ministre de la Police franco-espagnol se déclarant “lié de façon éternelle à Israël”, pouvait d’ailleurs déclarer récemment que l’État Français devait “sacraliser la $hoah”, usant sans équivoque du vocable religieux, et qu’à cette fin toute mesure coercitive était la bienvenue. Qu’il faille une loi – la loi Fabius-Gayssot, rédigée par un millionnaire juif et un communiste – pour imposer une vérité historique (mais point d’autres) relève du paradoxe intenable : la vérité, par définition, se suffit à elle-même pour être. Mais nombreux sont ceux qui comprennent qu’il ne s’agit plus là de science, l’histoire en est une, mais de “croyance”, d’un mythe devenu religion. Une religion qui a son clergé et qui par définition ne peut être questionnée puisqu’elle ne relève pas de la raison mais de l’acte de foi. Au terme de nombreux débats contre l’historien révisionniste Robert Faurisson, des historiens orthodoxes dont Léon Poliakov, tenant acharnés de la ligne officielle, pouvaient ainsi commettre cette imposture logique: «Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu» (Le Monde, 21 février 1979, p. 23). On passe sur le fait qu’il était demandé aux scientifiques que sont les historiens de ne pas démontrer la réalité matérielle du fait étudié – “Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible” – pour en venir à cette imposture logique: la conséquence – “un tel meurtre de masse” – précède la cause – “il a été possible techniquement” dans la démonstration scientifique. La thèse – c’est-à-dire la proposition subjective abstraite – succède à la synthèse, c’est-à-dire à la réalité objective concrète. Pour simplifier : les faits sont subordonnés à l’opinion affirmée en premier lieu. Puisqu’il n’est nul besoin de démonstration matérielle et que la réalité découle de la conviction et non l’inverse, ces historiens demandaient à tous de simplement “croire” à cette “vérité” révélée. Le juif Jean Zay: le franc-maçon fuyard de 1940. Parmi les autres ordures canonisés par la Gueuse, le juif et franc maçon du Grand Orient Jean Zay, ministre de “l’Education” qui se chargea d’embrigader les jeunes dans une vaste entreprise de lavage de cerveaux anti-catholique. C’est en toute logique que le non moins juif et franc-maçon Vincent Peillon, actuellement en charge du même ministère, pouvait se placer sous son patronage en 2012: “Il est important que François (- Hollande, NDLR) s’inscrive dans une histoire, affirme le député européen, chargé des questions d’éducation auprès du candidat socialiste. Or à qui rendre hommage sur ces questions? Après Jules Ferry, un nom s’impose: Jean Zay.” (Source : Le Monde 9 février 2012). Réfugié à Bordeaux comme de nombreux politiciens français en 1940, Jean Zay s’embarque le 20 juin avec de nombreux juifs – dont Mendès France et Mandel – sur le Massilia pour fuir d’abord vers l’Angleterre contrairement à ce qu’ils déclareront par la suite, à savoir leur volonté de “continuer la guerre depuis l’Afrique du Nord”. Ce n’est que le 21 juin que le paquebot peut quitter le port du Verdon, après une grève d’une journée des marins, scandalisés par l’attitude des fuyards. Les Anglais refuseront les demandes des déserteurs de pouvoir rejoindre l’Angleterre. Déserteurs, ils le sont bien puisque le 21 juin, la France est encore en guerre, l’armistice n’étant signé que le lendemain. Vincent Auriol, ministre socialiste du Front Populaire et premier président de la IVème république, à son arrivée à Bordeaux qualifie de “fuyards” les membres de bande qui s’est égayée devant l’avance allemande à bord du Massilia (Source : Georges Monnet, 3 février 1949 devant une commission d’enquête, “Bordeaux Capitale tragique, p. 201). L’annonce de leur fuite atteint rapidement l’Afrique du Nord. Considérés comme des déserteurs, les juifs Mendès, Zay et Mendel sont accueillis au Maroc par une énorme foule en colère, prête à les lyncher. Le gouvernement du Maréchal Pétain doit les exfiltrer vers un grand hôtel de Casablanca pour leur éviter le lynchage. La bande en fuite, mobilisée comme tous les autres soldats, est mise aux arrêts pour “désertion devant l’ennemi” et condamnée. En 1944, la milice française liquide Jean Zay en laissant un écriteau évocateur: “Le juif paie toujours”.
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Beaucoup de sans-emplois ne sont pas comptabilisés comme ..... chômeurs! |
Vue de chez nous, la reprise économique américaine semble enviable. Une croissance de 2 à 3 %, près de 2 millions d'emplois créés en 2013, une dette publique qui baisse de près de 3 points de PIB sur cette même année - c'est fête et feux d'artifice (http://www.lepoint.fr/editos-du-point/francois-len...urs-13-02-2014-1791173_778.php). Au point que certains observateurs estiment que l'Amérique a enfin atteint, cinq ans après la Grande Récession, l'escape velocity. C'est-à-dire la vitesse de décollage qui permettrait au gros-porteur de l'Oncle Sam de naviguer dans les airs sans le soutien considérable de la banque centrale, sous la forme de dizaines de milliards de dollars mensuelles. Une énigme subsiste pourtant. Habituellement, le retour de la croissance ramène les chômeurs découragés sur le marché du travail, parce qu'ils reprennent espoir de se réinsérer. Tout comme, à l'inverse, lorsque la récession sévit, ils sont dissuadés de chercher un emploi, surtout s'ils n'ont pas le droit à une indemnité. A quoi bon aller pointer s'il n'y a ni job potentiel ni subsides à récupérer? La population participant au marché du travail est flexible, sa taille varie en fonction de la conjoncture, elle s'ajuste à l'offre de travail. En principe. Mais ce n'est pas du tout ce qu'on constate. Le taux de participation des Américains au marché du travail a bien commencé à chuter avec la récession, mais la reprise n'a pas interrompu la glissade, tant s'en faut (voir graphique ci-contre). Il faut remonter à 1978 pour retrouver un chiffre aussi bas qu'aujourd'hui: 62,8 % de la population en âge de travailler... Quelque 7 millions d'Américains ont tout bonnement disparu de l'économie officielle. Enfants retournés chez leurs parents, conjoints ayant renoncé à travailler, chômeurs en rupture de ban, nouvelles recrues de l'économie au noir... Parce que l'économie émergée n'offre pas assez d'opportunités. La chute du taux de participation explique autant la baisse du chômage aux États-Unis que les créations d'emplois, qui n'ont été que de 7 millions depuis le point bas de 2009. S'il n'y avait eu cette gigantesque échappée des sans-emploi découragés, le taux de chômage ne serait pas à 6,6 % de la population active, comme aujourd'hui, mais compris entre 8 et 8,5 %. Pas pareil. Sur notre rive de l'Atlantique, on observe des phénomènes comparables. Au Royaume-Uni, d'abord, le chômage a fortement baissé, mais la proportion de Britanniques au boulot n'a pas progressé autant qu'il aurait fallu pour l'expliquer intégralement. Sans doute de nombreux Anglais se sont-ils aussi fait la belle, désertant l'économie officielle. En Europe du Sud, il n'y a pas véritablement de reprise franche. Et la légère baisse du chômage en Espagne et en Italie s'explique justement par la disparition de centaines de milliers de nationaux en âge de travailler, qui eux aussi renoncent à chercher un job dans leur pays, soit qu'ils travaillent au noir, soit qu'ils migrent en Europe du Nord, en Allemagne particulièrement. Dans toute la zone méditerranéenne, c'est le taux d'emploi qui continue à chuter. En Italie, la population active au travail a diminué de 412 000 personnes sur la seule année dernière! En Espagne, elle s'est contractée de près de 500 000 individus. Dans ce dernier pays, il n'y a plus que 54 % des 15-64 ans au travail, contre 66 % avant la crise. En Grèce, seuls 49 % de cette tranche d'âge travaillent, contre 62 % en 2007. Le mouvement est également puissant au Portugal et en Irlande: dans toute l'Europe périphérique, l'économie se "démarchandise", dans un mouvement contraire à celui des premières années de l'euro, soufflées par la dette. Il y a deux exceptions à cette gigantesque rétraction des forces vives. L'Allemagne d'abord, qui a vu sa population active augmenter pour la seconde année consécutive, sous l'effet d'un bond de l'immigration méridionale. Et, encore plus étonnant, elle a vu son taux d'emploi progresser fortement, passant de 69 % avant la crise à plus de 73 % aujourd'hui... L'autre exception est la France, où le taux d'emploi ne bouge que peu. La glaciation économique - croissance zéro depuis deux ans - et les rigidités du marché du travail interdisent toute évolution forte, les plus mauvaises comme les meilleures. On peut essayer d'expliquer les raisons du phénomène en Europe par la crise des dettes publiques et les politiques d'austérité ; la raréfaction du crédit et la stagnation de la masse monétaire. En clair, l'Europe a choisi sa crise: quand on se tape délibérément la tête contre les murs, il ne faut pas s'étonner d'avoir mal. Sauf en Allemagne, la grande gagnante de l'union monétaire. Aux États-Unis, l'explication est plus malaisée. Certains y voient les prémices d'une "grande stagnation", qui ferait ralentir tous les pays occidentaux. Peut-être. Plus probablement, cette reprise est tout aussi inhabituelle que la crise qui l'a précédée; elle est anémiée par la persistance d'un endettement élevé et de l'érosion des revenus des non-qualifiés. Les riches vont mieux, mais ils ne suffisent pas à faire tourner à plein la machine économique... Comme le dit l'économiste Stephen Roach, il est encore un peu tôt pour sortir le champagne. Ce court article vous aide à comprendre que lorsque le gouvernement vous annonce 30 000 chômeurs de plus, il s'agit en vérité de 50 000 nouveaux chômeurs moins ceux qui sortent mécaniquement des statistiques au bout de 3 ans parce que toutes leurs aides sont échues, et qui ne se réinscrivent pas. En gros, moins l'ANPE est efficace à donner un peu d'espoir, plus le gouvernement est satisfait avec ses chiffres bidons!
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Les Putains d'Esther! |
Trois agents du service d'ordre de Notre-Dame de Paris, qui avaient expulsé des activistes des Femen (Bonnes Sœurs de la $hoah) menant une action dans la cathédrale il y a un an, sont poursuivis devant le tribunal pour violences, a-t-on appris jeudi de source judiciaire (http://www.bfmtv.com/societe/action-femen-a-notre-...ursuivis-violences-710212.html). Petit retour en arrière: Le 12 février 2013, neuf militantes avaient fait irruption dans la cathédrale. Au nombre de huit pour "fêter le départ du pape" mais elles ont fait du bruit. Entrées dans le flot des touristes, les huit jeunes femmes portaient de longs manteaux qu'elles ont ôtés à proximité de trois des neuf nouvelles cloches provisoirement déposées dans la nef. Elles les ont fait tinter avec des morceaux de bois, criant en anglais "Pope no more" ("Plus de pape"). Sur le torse et le dos, elles avaient inscrit des slogans au feutre comme "No homophobe", "Crise de la foi", "Bye bye Benoît!". Seins nus, elles avaient fait tinter les cloches, alors disposées provisoirement dans la nef, avec des morceaux de bois et scandé des slogans pour saluer à leur manière la démission du pape Benoît XVI et dénoncer l'homophobie. Des visiteurs de la cathédrale avaient exprimé leur consternation. "Ici c'est sacré, vous n'avez pas à vous dénuder ici", leur lança une touriste française outragée. Elles furent évacuées manu militari de l'édifice par le service d'ordre de Notre-Dame et restèrent devant la cathédrale une dizaine de minutes tout en continuant à scander des slogans comme "In gay we trust", ou "Dégage homophobe!" Les Femen sont connues depuis 2010 pour leurs actions "topless" en Russie, en Ukraine, à Londres ou encore récemment sur la place Saint-Pierre à Rome pendant que le pape récitait l'Angelus. En septembre 2012, elles ont installé à Paris "le premier centre d'entraînement" au "nouveau féminisme" financé par le richissime juif Soros. Accusées de dégradations sur l'une des cloches, les jeunes femmes devaient être jugées le 13 septembre 2013 devant le tribunal correctionnel de Paris, mais le procès avait été renvoyé en attendant l'issue de l'enquête portant sur les conditions de leur expulsion houleuse de l'édifice. Au terme de ces investigations, le parquet a décidé de faire citer devant le tribunal trois vigiles, poursuivis pour des violences passibles d'une contravention de 750 euros pour l'un, 1.500 euros pour les deux autres. L'une des jeunes femmes avait été tirée par les poils et avait eu une dent cassée. Et pendant ce temps-là, les zombies envahissent les ruelles.
Dans un communiqué, la ville de Metz a indiqué que Dominique GROS, Maire de Metz, et Raymond BELLER, Président de l’Union des Associations Cultuelles et Culturelles des Musulmans de Metz (UACM) avaient signé le bail du terrain de la future mosquée de Metz ce jeudi 6 février à 17h à l’Hôtel de Ville, en présence des représentants des cinq associations membres de l’UACM (http://tout-metz.com/signature-bail-grande-mosquee-metz-2014-339.php) Il s’agit du bail emphytéotique administratif du terrain, situé Boulevard de la défense, destiné à accueillir la future Grande Mosquée de Metz. «Le bail conclu, pour une durée de 99 ans, sera assorti d’une redevance annuelle de 15 euros. L’association disposera alors d’un délai de trois années pour faire aboutir le projet qui se concrétisera par le dépôt du permis de construire. Le coût de construction de la grande mosquée est estimé à 8 millions d’euros. Le projet comprendra des salles de prières d’une capacité de 1500 places pour les hommes et 500 places pour les femmes et des activités annexes telles que: garderie – crèche, exposition d’œuvres et bibliothèque, funérarium, restauration -self – salon de thé, salle de détente et relaxation, service d’accompagnement pour le pèlerinage.» La signature de ce bail intervient après plusieurs années d’atermoiements. C’est en octobre 2013 que le compromis avait été trouvé de façon définitive.
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Par ennui, ou par désespoir? |
Ce week-end de la Saint Valentin, des croix gammées et des inscriptions antisémites et homophobes ont été taguées sur plusieurs bâtiments du cœur de Toulouse, dont un centre destiné aux homosexuels, un cinéma et des locaux politiques, a-t-on appris dimanche de sources concordantes (http://www.lepoint.fr/societe/toulouse-des-tags-ho...ille-16-02-2014-1792357_23.php). Les faits remonteraient à la nuit de samedi à dimanche ou, pour certains d'entre eux, de vendredi à samedi. L'Espace des diversités et de la laïcité, qui a pour vocation d'accueillir les victimes de discriminations et qui héberge en particulier un centre LGBT (lesbiennes, gays, bi, transsexuels et pédophiles), a été visé, ainsi que le local de campagne du candidat du Parti de gauche aux municipales, celui du Front de gauche, le cinéma art et essais Utopia, l'entrée de l'université Toulouse-1 Capitole (droit, économie, gestion) et le cimetière de Salonique, a-t-on appris de sources municipales et policières. Tous sont situés dans le centre à peu de distance les uns des autres. Partout ont été peintes des croix celtiques, emblèmes de la droite ultra. Les inscriptions s'en prennent au Crif (Conseil représentatif des institutions juives), assimilent juifs et homosexuels, s'attaquent aux francs-maçons. L'inscription "Toulouse nationaliste" a été couchée sur le trottoir devant le local du Front de gauche. La municipalité et la liste du candidat du Parti de gauche, Jean-Christophe Sellin, ont indiqué qu'elles avaient porté plainte. Le maire socialiste Pierre Cohen, qui s'inquiète régulièrement de la montée des haines en France depuis environ deux ans, s'est dit "profondément choqué" et a pressé la police "de faire la lumière le plus rapidement possible sur cette affaire". "Ces messages de haine sont un danger pour notre République. Il est de notre responsabilité de ne pas laisser s'installer ce climat délétère aux relents des années noires", s'est-il ému dans un communiqué. Les investigations risquent cependant d'être compliquées par le fait que les victimes se sont empressées de faire disparaître les inscriptions, faisait observer un policier. Les auteurs sont les mêmes que ceux qui ont défilé le 26 janvier à Paris à l'appel du collectif Jour de colère, a dit à l'AFP Myriam Martin, deuxième sur la liste de Jean-Christophe Sellin. Les dégradations commises à Toulouse ne sont pas les premières, pourtant "rien n'est fait" et les auteurs croient pouvoir agir en toute impunité, s'est-elle indignée. "Comment est-ce que ça va se terminer? Ça pourrait être une mosquée, une synagogue. On n'a pas envie que ça se termine à la Clément Méric", jeune militant d'extrême gauche tué en juin 2013 à Paris dans une bagarre avec des skinheads, a-t-elle dit. Une vingtaine de personnes ont répondu dimanche après-midi à un appel à une "quenelle party" sur la place du Capitole, le cœur de Toulouse, selon la police. Réunies par les réseaux sociaux et se réclamant des "quenelliers toulousains", revêtues d'un tee-shirt noir frappé d'une quenelle, elles se sont prises en photo en train d'effectuer le geste popularisé par Dieudonné et décrit par ses partisans comme une expression "anti-système" mais par ses détracteurs comme un salut nazi inversé. Allez, d'ici quinze jours, l'on découvrira que le criminel est un jeune juif qu'a donné trop de sa personne au rabbin du coin.
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Auschwitz, c'était ....... |
Julius Streicher est l’inspirateur de mon blog (http://louisdarquier.tumblr.com), il a combattu la race juive jusque mort s’en suive de 1922 à 1946 (date de son assassinat par le “tribunal” de Nuremberg). Dans son testament (jamais traduit en français!), il exhorte la race Blanche à se maintenir en vie (https://archive.org/details/Streicher-Julius-Sein-politisches-Testament). Ce grand homme est né le 12 février 1885 à Fleinhausen, en Bavière. Fils d'instituteur, il travaille dans une école primaire comme enseignant jusqu'à son engagement dans l'armée allemande en 1914. In 1919, Streicher aide à établir une organisation politique antisémite qui sera ensuite absorbée par le NSDAP, le parti nazi. En 1923, durant la tentative de putsch de Munich, Streicher devient un proche d'Adolf Hitler. C'est également en 1923 qu'il fonde et édite le journal légèrement antisémite «Der Stürmer», qui atteindra en 1935 un tirage de 600'000 exemplaires. Streicher l'utilise pour faire part de sa profonde haine des Juifs et pour les accuser d'être responsables de tous les maux dont souffre l'Allemagne. En 1929, Streicher est nommé Gauleiter du NSDAP pour la Franconie, poste qu'il conservera jusqu'en 1940. Avec l'arrivé au pouvoir des nazis, il est également membre du Reichstag, le parlement allemand, jusqu'en 1945. Streicher exercera d'autres fonctions, en particulier dans la SA (organisation paramilitaire du NSDAP). Streicher a notamment été chargé du boycottage des entreprises juives qui débuta le 1er avril 1933. Il a pris parti pour les décrets de Nuremberg, de 1935. A titre d'exemple, Streicher a été accusé d'être responsable de l'incendie de la synagogue de Nuremberg du 10 août 1938, et d'avoir publiquement préconisé, le 10 novembre de la même année, le pogrom qui eut lieu à cette date. Nombre de ses publications appelaient à l'extermination des Juifs. Par exemple, dans un article de mai 1939, Streicher écrit: «Une expédition punitive doit être organisée contre les Juifs de Russie. Une expédition punitive qui leur apportera le même destin auquel tout meurtrier et criminel doit s'attendre. La peine de mort et l'exécution. Les Juifs de Russie doivent être tués. Ils doivent être exterminés de la racine jusqu'aux branches». En raison de ses attaques contre certains membres prééminents du parti, Streicher se voit retirer tous ses postes dans le NSDAP dès 1940. Hitler le laisse toutefois continuer à publier Der Stürmer. Il sera reproché à Julius Streicher d'avoir utilisé ses différentes positions, son influence personnelle et ses contacts étroits avec le Führer pour favoriser l'accession au pouvoir des conspirateurs nazis et la consolidation de leur pouvoir en Allemagne, au sens du chef d'accusation n° 1. ll aurait également autorisé, dirigé et pris part à des actes constitutifs de crimes contre l'humanité au sens du chef d'inculpation n° 4, en particulier par son incitation à persécuter les Juifs. Julius Streicher est arrêté le 23 mai 1945. Avant d'être pendu le 16 Octobre 1946, il prononça quelques mots, dont la phrase: «Purim Fest 1946!» (Pourim étant une fête juive commémorant les événements relatés dans le Livre d’Esther). Ses tout derniers mots furent: «Adèle, ma chère femme». Et toi, la théorie du genre, tu connais?
Der Stürmer était un journal allemand de «littérature enfantine» publié par Julius Streicher de 1923 à la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945. Participant et procédant de la propagande nazie, Der Stürmer était un poil antisémite. Mais contrairement au Völkischer Beobachter, le journal officiel du parti nazi, qui se donnait une apparence rangée, Der Stürmer utilisait des contenus très divertissants, des gros zizis juifs, des caricatures, et des appels anti-capitalistes. De plus, il comportait sur chaque journal et sur chacune de ses éditions, dans le bas de sa première page écrits en grosses lettres: «Die Juden sind unser Unglück», signifiant en français «Les juifs sont notre malheur». Cette phrase d'un extrême racisme reflétait parfaitement la haine que manifestaient les nazis et de nombreux Allemands durant l'entre-deux-guerres et pendant la Deuxième Guerre mondiale contre la rapine juive. Ses lecteurs étaient en majorité des jeunes gens et des personnes des basses classes de la société allemande. Si en 1927, sa diffusion n'était que de 27 000 exemplaires par semaine, en 1935, elle grimpa à 400 000, la rançon du succès. Lors du procès de Nuremberg, Julius Streicher fut jugé et condamné à mort pour son incitation au génocide juif. Ses publications furent utilisées comme preuve principale contre lui.
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Hollande: spécialiste du beurre de cacahuètes! |
Après deux jours à Washington où il était en visite d'Etat, François Hollande s'est rendu le mercredi 12 février 2014 dans la Silicon Valley, en Californie (http://www.les-attentats-du-11-septembre-vus-par-u...an-ois-hollande-122531737.html). Une première depuis la visite de François Mitterand dans l'Etat le plus innovant d'Amérique en 1984. Le chef de l’État doit rencontrer quelques personnalités phares de la Valley, fondateurs et patrons d'ex start-up devenus aujourd'hui mastodontes de l'économie numérique: parmi eux, Jack Dorsey, cofondateur du réseau social Twitter, Sheryl Sandberg, directrice opérationnelle de Facebook ou encore Eric Schmidt, président exécutif de Google. Mais aussi Mitchell Baker, présidente de la fondation Mozilla, la fondation qui gère le célèbre navigateur Internet éponyme, et Elon Musk, le milliardaire, confondateur du géant de paiement en ligne PayPal et propriétaire de Tesla, le fabricant de voitures électriques. Bien que François Hollande et Barack Obama aient salué, dans une tribune commune publiée lundi 10 février dans Le Monde, «un modèle de coopération internationale» entre les deux pays, les dissensions entre les deux pays sur le numérique sont multiples. Les sujets qui fâchent, s'ils sont nombreux, ne devraient cependant pas être abordés frontalement mercredi. (1) LA FISCALITÉ DES GÉANTS DU NET: En visite surprise, jeudi 6 février, dans les locaux du site de vente en ligne VentePrivée.com, François Hollande a déclaré que l'optimisation fiscale pratiquée par les géants du Net n'était «pas acceptable». Les GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple), de manière légale, y ont largement recours, par exemple en facturant des services vendus en France depuis l'Irlande, pays fiscalement plus favorable aux entreprises. Les grands groupes ne déclarent alors au fisc français qu'une partie du chiffre d'affaires réalisé en France. Et paient donc un impôt sur les sociétés bien inférieur à ce qu'ils devraient payer. A en croire l’hebdomadaire Le Point, Google se serait d'ailleurs vu notifier un redressement fiscal de un milliard d'euros. Le dernier en date à avoir choisi l'Irlande est le géant mauve Yahoo! qui a décidé mercredi 5 février de facturer la quasi-totalité des services vendus en France depuis son siège de Dublin. La plupart des géants américains font aujourd'hui l'objet d'un contrôle fiscal en France. Mais François Hollande n'entend pas aller à la rencontre des géants de l'internet en «inspecteur des impôts», a souligné la ministre française déléguée à l'économie numérique, Fleur Pellerin, qui l'accompagne dans son périple américain. (2) LA PROTECTION DES DONNÉES PRIVÉES: Cela fait déjà quelque temps que la France et la Commission européenne se battent contre l'usage que font les géants du Net des données personnelles de leurs utilisateurs, sans les en informer. La Commission de l'informatique et des libertés (CNIL) a récemment condamné le moteur de recherche Google à 150 000 euros d'amende pour non respect des droits de la vie privée de ses utilisateurs français. L'Autorité reproche à Google une nouvelle politique de gestion des données personnelles, mise en place au printemps 2012. Le géant de l'Internet s'autorise à croiser toutes les informations de ses utilisateurs, quel que soit le service qu'ils utilisent (Youtube, le moteur de recherche, la cartographie). Des procédures qui pourraient aboutir à des condamnations similaires sont en cours dans la plupart des pays européens et devraient aboutir dans quelques mois. (3) L'AFFAIRE PRISM: La question de la protection des données est d'autant plus sensible depuis la révélation par Edward Snowden, ex-agent de la NSA, de l'affaire Prism. Un système qui permet à l'agence de sécurité américaine d'espionner les internautes du monde entier en accédant directement et sans autorisation aux serveurs des géants du Net. Pour témoigner de leur bonne foi, ceux-ci ont récemment demandé aux autorités américaines la possibilité de communiquer sur le nombre de demandes d'informations qui leur sont faites par la NSA. (4) LA PROTECTION DE L'EXCEPTION CULTURELLE FRANÇAISE: Parmi les thèmes probablement évoqués par M. Hollande, il y a aura le sujet sensible de la culture. Celle-ci ne fait pas partie des discussions sur l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les États-Unis. Mais avec les rumeurs de l'arrivée prochaine de Netflix en France, elle se pose aujourd'hui avec insistance. En effet, s'il s'installe dans l'hexagone, le site de Vidéo à la demande par abonnement (SVOD) va-t-il financer la production française ou choisira-t-il d'opérer depuis un pays voisin pour y échapper? Et pendant ce temps là à la Maison Blanche, les journalistes français accrédités judéo-compatible ont fait sur la moquette!
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La $hoah sur une voie de garage. |
Sachez qu'à Ath, des étudiants ont été jugés par un tribunal nazi et entassés dans un wagon de déportation (http://www.nordeclair.be/923801/article/regions/to...l-nazi-et-entasses-dans-un-wag). Jusqu’au 12 février 2014, le 22 quai de l’entrepôt accueille une expo-animation consacrée au travail de mémoire. Cette dernière est impressionnante, car elle prend à partie les jeunes des écoles directement. Ces derniers rejouent le destin de victimes réelles des nazis à travers une mise en scène de procès et de départ vers les camps. Cette enseignante de l’IPES a joué au tribunal le rôle de Gilberte Tilly, une ancienne résistante de Chièvres. Jugés dans un simulacre de procès puis «entassés» dans un wagon reconstitué presque à l’identique – par les étudiants de l’ICET d’Herseaux – de ceux utilisés pour transporter des millions de personnes vers les camps de la mort. Dans le cadre d’une expo-animation à Ath, des étudiants de la quatrième à la sixième secondaire sont plongés quelques minutes durant, dans la peau de résistants, juifs, prisonniers, ou encore tziganes arrêtés par les nazis pendant la Deuxième Guerre Mondiale.
Et si le procédé a de quoi choquer, c’est le meilleur moyen de concerner les jeunes selon les responsables de l’expo-animation «Pour la Mémoire». «C’est vrai que nous nous sommes demandés si on n’allait pas trop loin», confie Michel Descamps, coordinateur de la cellule Hainaut Mémoire. «Mais je pense que justement, mettre les jeunes à vingt dans un wagon pendant deux minutes, en sachant qu’en vrai, ils étaient une centaine entassée pour un voyage de plusieurs jours, cela permet de se rendre compte de l’horreur». Il faut dire qu’à moins d’être insensible, cette demi-journée de visite et animations proposées à plusieurs écoles (en majorité provinciales) a de quoi toucher, entre le visionnage d’images d’archives évoquant la brutalité nazie ou lors de la reconstitution d’un tribunal d’époque. Il suffit de constater le silence de plomb qui règne lors des procès reconstitués. Une atmosphère étrange où les photos et les «destins» de ces quelques Belges victimes de la folie destructrice du système nazi sont présentés. Le faux juge n’hésite d’ailleurs pas à agresser verbalement les acteurs du jour. Et lors de la montée dans le wagon, qui suit le procès, la bande sonore (celle du film «La liste de Chied'lair») et l’obscurité qui règne, achèvent la mise en scène. Même si l’expo-animation se termine réellement avec la diffusion d’un témoignage audio. Celui d’un Belge revenu des camps et qui se trouve être le grand-père de Michel Descamps. Histoire de montrer que ce qui s’est passé dans les camps d’extermination, c’était il y a à peine deux générations…Et ceux qu'ont fait les douches n'en sont jamais revenus!
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Les Rouges saignent ...... la Bretagne! |
Valeurs actuelles a pu consulter les informations transmises au ministère de l’Intérieur par la SDIG de Rennes (http://www.valeursactuelles.com/soci%C3%A9t%C3%A9/...A9-%C3%A9v%C3%A9nements-rennes). Rédigé par les ex-RG, la SDIG (Sous-direction de l’information générale) de Rennes, le rapport confidentiel que Valeurs actuelles a pu consulter met en lumière les informations que le ministère de l’intérieur et certains médias ont voulu cacher. Les faits: Samedi 8 Février 2014 à Rennes entre 600 et 700 militants de gauche ont saccagé tout un quartier de la ville en protestation contre la tenue d’un meeting du Rassemblement Bleu Marine. Le rapport de police commence: «le 8 février 2014 en fin d’après-midi, la DDSP 35 (Direction Départementale de la Sécurité Publique, NDLR) mettait en place un dispositif renforcé de sécurisation en raison du risque d’une action de militants d’extrême gauche. Et ledit dispositif est impressionnant, à la hauteur de la gravité des événements: «le service d’ordre engageait 2 compagnies de CRS, 1 escadron de gendarmerie, soit plus de 250 policiers et gendarmes». Le rapport se poursuit ainsi: «vers 18h30, 400 personnes d’extrême-gauche se rassemblaient (…) pour dénoncer la tenue de cet événement du «Rassemblement bleu marine» (…) à 19h50, (…) ils cassaient des vitrines (5 commerces et 4 établissements bancaires) et poursuivaient leurs exactions (…) où ils tentaient d’incendier un bureau de police en brisant plusieurs vitres et en y jetant un fumigène qui mettait le feu à un fauteuil (…)». Le document rapporte ensuite qu’«un véhicule était incendié». La réponse policière est décrite à l’image de la situation d’urgence: «au cours des heurts, les forces de l’ordre faisaient usage d’un canon à eau, de grenades lacrymogènes et du flash-ball (…) pour repousser les assaillants. Quatre policiers et un gendarme étaient blessés par des jets de projectile. Au plus fort des événements, 630 manifestants étaient réunis». Selon les informations contenues dans le rapport, trois individus ont été interpellés. Le premier, âgé de 20 ans a été placé en garde-à-vue. Le second, 24 ans, a fait l’objet d’une «audition libre». Le dernier, 22 ans a été relâché. Toutes les personnes interpellées ont été laissées libres «sans aucune suite judiciaire», précise le rapport de Police. Dans sa communication à la presse, le préfet de Bretagne, Patrick Strzoda, l’un des meilleurs de France, passe étrangement sous silence les policiers blessés: « lors de ces heurts il n’y a pas eu de blessé mais quatre manifestants ont été interpellés». Manuel Valls a-t-il veillé à faire «oublier» les policiers blessés? La question peut être posée après lecture de la dépêche AFP, qui a été envoyée dans la soirée en «oubliant», elle aussi, de faire état des victimes policières. Seul un journaliste de Ouest France, qui lui, était présent sur place et a filmé la soirée, en fait mention. Son article, pourtant très précis, n’a curieusement pas été repris. Dans la soirée, les journaux nationaux ont tous cité en boucle la dépêche de l’AFP, arrangeant bien les comptes de Manuel Valls. Les manifestants pacifiques de la Manif Pour Tous, qui n’avaient pourtant causé ni dégât ni violence l’an dernier, n’ont pas eu le droit au même régime de faveur. La République française s'appuyant sur des forces terroristes pour maintenir ses concitoyens dans la violence, dans la peur, dans un monde dépourvu de liberté d'expression, ça nous rappelle de mauvais souvenirs.
La mairie de Guingamp a décidé de baptiser une rue du nom de Polig Monjarret, créateur des Bagadoù modernes (http://breizatao.com/2013/08/09/la-pourriture-roug...cher-une-rue-polig-monjarret-2). Les réseaux communistes de cette ville, appuyée par Françoise Morvan et quelques ahuris de la libre pensée se démènent pour empêcher l’affaire d’aboutir. La racaille communiste a ainsi tenté de faire pression sur le député-maire, notamment lors d’une réunion à la demande des réseaux PCF. La mairie doit arrêter sa décision début septembre. POUR RAPPEL SUR LES CRIMES COMMUNISTES DE GUINGAMP EN 1944: Le cas du groupe FTP Guingamp Nord II qui a assassiné l’abbé Pierre Marie Lec’hvien à Quemper Guezennec dans la nuit du 10 au 11 aoùt 1944 alors que les Américains étaient à Brest depuis le 7 août. C’est le même groupe qui a assassiné Marie Quintin 20 ans à Pontrieux le 12 aoùt 1944 et Marie Angélique Francia à Quemper Guezennec fin juillet 44 après qu’elle eut servi de “dame de confort” (viols) pendant 2 mois. La fille de cette dernière, Jacqueline, agée de 15 ans à l’époque a été relâchée, après usage similaire. Pour les 4 victimes “hors toute nécessité militaire”. Avis à tous: l’heure de la réponse bretonne a sonné.
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Le tipi .... de la vermine! |
Après des décennies de toute-puissance, la franc-maçonnerie est peu à peu dévoilée, comme d’autres groupes politiques ou ethnico-religieux qui poursuivent leur guerre de mille ans contre les peuples d’Europe (http://jeune-nation.com/2014/02/maconnerie-extremisme-politique-et-mafia-affairiste). Ce n’est pas sans raison que les Nationalistes battaient le pavé parisien ces dernières semaines au cri de «Franc-maçon en prison!» L’actualité met en exergue le double-discours des maçons: des politiciens qui s’affichent anarchistes libertaires pendant qu’ils œuvrent dans le secret de loges très hiérarchisées à la destruction des libertés, des défenseurs de la probité au cœur de tous les scandales politico-financiers.Un anarchiste «grand maître»: Daniel Keller, antifasciste et franc-maçon. C’est à la loge «Vérité ni dieu ni maître» que Daniel Keller a été initié. Cela ne l’a pas empêché de se courber devant les puissants de ce monde, de se prosterner devant le «grand architecte de l’univers», avant lui-même de devenir «grand-maître» du Grand Orient de France (GODF). Un (faux) Dieu, un maître, mais pas de vérité… Antifasciste militant, il parcourt la France pour dénoncer la bête immonde. De passage à Brignoles – «le Hénin-Beaumont du sud» –, il a accordé un entretien à Var Matin. Morceaux choisis. «Le GODF n’est pas une société secrète de magouilles». «On n’entre pas dans la franc-maçonnerie pour faire des affaires, se créer un réseau ou se faire élire». «J’ai écrit en ce sens au président du Parlement européen pour plaider l’inscription de l’IVG dans la charte des droits fondamentaux». «On présente la loi de 1905 comme liberticide, alors qu’elle représente tout l’inverse. La laïcité permet de rassembler au-delà des diversités culturelles, religieuses, ethniques…». «Le Front national n’est pas “francmaçonniquement” compatible…». «Le GODF n’est pas un vaste think tank. C’est un rassemblement d’honnêtes gens». Comme pour illustrer ces mensonges, la justice, après avoir fermé les yeux pendant des années, a mis au jour une nouvelle affaire, dont le point central est l’appartenance des protagonistes à la maçonnerie. Mafia maçonnique et affairisme: scandale au cœur de la Préfecture de police de Paris. Le contrôleur général de la Préfecture de police de Paris Jean-Yves Adam a été mis en examen pour corruption, pour de multiples faits commis au nom de la franc-maçonnerie. Il a été arrêté mercredi et placé en garde à vue puis mis en examen pour corruption, violation du secret professionnel, abus de biens sociaux, et banqueroute par dissimulation d’actifs. L’enquête s’intéressait au départ aux «indulgences», le classement sans suite de procédures contraventionnelles, en faveur d’autres membres de la mafia. Les enquêteurs ont ensuite accumulé preuves et témoignages sur des violations du secret professionnel, l’utilisation illégale des fichiers de police, toujours en lien avec ses activités mafieuses. Une troisième partie de l’enquête s’articule autour de faits délictueux en lien avec sa passion pour les courses automobiles. Il y aurait des faits «plus graves encore». Sans surprise, il a bénéficié jusque-là de la protection de membres de la mafia. Un haut fonctionnaire de la préfecture de police a confirmé au Point qu’il avait été protégé par les «amitiés fraternelles». Jean-Yves Adam est un haut cadre de la Grande loge nationale “française”: il est, selon les habituelles terminologies ridicules de la maçonnerie, «assistant grand porte-glaive». Un fait éclairant: le «grand porte-glaive» fait office de procureur dans la justice interne de cette mafia. Il avait auparavant occupé les fonctions de «vénérable» de la loge «Noces de Cana 854».
Georges Bernanos, présenté par René-Louis Berclaz : «Les hommes du Moyen Age n’étaient pas assez vertueux pour dédaigner l’argent, mais ils méprisaient les hommes d’argent. Ils épargnaient un temps le Juif parce que le Juif draine l’or, comme un abcès de fixation draine le pus. Le moment venu, ils vidaient le Juif, exactement ainsi que le chirurgien vide l’abcès.» (Les Grands Cimetières sous la lune, Plon, 1938, pages 41-42). De tels propos n’empêchèrent nullement le général De Gaulle de lui offrir, en 1945, une place dans son gouvernement. Bernanos refusa en ces termes: «Je dis que la France n’a jamais connu de régime plus médiocre que celui qui, en 1945, s’est imposé à elle comme libérateur, n’a cessé de prostituer depuis, ou plutôt de ridiculiser en sa faveur le mot de libération. Ce régime est le plus abject qu’ait connu la France – je dis une France politiquement libre, car le régime de Vichy peut du moins arguer, pour sa défense, qu’il était celui d’une France occupée». Bernanos, paré du titre de grand écrivain catholique, avait rallié la France libre du général De Gaulle alors qu’il se trouvait en exil au Brésil. Il est vrai que Bernanos n’aimait guère les vieilles girouettes qui carburaient à l’eau de Vichy, issues d’une Troisième république davantage portée sur les libations judéo-maçonniques... En juin 40, c’était le geste d’un éternel rebelle, d’un «anarchiste blanc», qui voyait dans le chef de la France libre un autre rebelle. Quand les «bien-pensants» lui offrirent un fauteuil à l’Académie française, il répondit de ce ton: «Quand je n’aurai plus qu’une paire de fesse pour penser, j’irai l’asseoir à l’Académie.» On lui proposa à trois reprises la Légion d’honneur: il refusa de même. Si Georges Bernanos connaissait bien les Juifs, il vitupérait surtout les «imbéciles». Cela commence à faire beaucoup, et ceci explique pourquoi Bernanos dut déménager une trentaine de fois dans sa vie. Certes, il avait six enfants, ce qui est fort utile pour porter les cartons. Georges Bernanos aurait pu reprendre à son compte l’aveu de Louis Pasteur sur son lit de mort: «Le microbe n’est rien, le terrain est tout». On l’a bien compris, le terrain, ce sont les imbéciles, et Bernanos se désolait qu’ils le demeurassent. Il voyait trop bien qui profitait des imbéciles et qui avait intérêt à ce qu’ils le restassent. Selon lui, les imbéciles se caractérisaient par un réalisme «qui est précisément le bon sens des salauds», dans la mesure où les salauds sont avant tout les victimes de leur servitude. Héritier fidèle de Drumont, Bernanos ne comprenait pas que les Français, malgré toutes les explications possibles, toutes les preuves accumulées, ne comprennent toujours rien à la sempiternelle «Question juive» qui, en réalité, est bien sûr la question de la connerie goy. Il pressentait que d’autres – des gâches-métiers aux gros sabots ‒ se focaliseraient sur une autre thérapie, visant cette fois le microbe. En quoi Bernanos voyait juste une fois de plus, car après la thérapie dite des «Six millions», le microbe en sortira plus magnifique qu’avant. L’étonnant est que Bernanos, après avoir écrit les lignes qui vont suivre, ne se trouve pas catalogué parmi les grands classiques de l’antisémitisme. Car découvrir l’œuvre de Bernanos, c’est trouver la clé du problème: il est donc préférable de le cantonner dans le rôle ringard du «grand écrivain catholique», que personne ne lira, ou si peu, plutôt que dans celui de «l’antisémite forcené» du genre Céline ou Rebatet, davantage susceptible d’éveiller la curiosité des «imbéciles»… «La conquête juive; un petit nombre d’étrangers, d’une activité convulsive, tenus des siècles à l’écart de la vie nationale, jetés brusquement dans une société aux cadres rompus, appauvrie par la guerre, s’emparent comme à l’improviste des sources mêmes de l’argent, puis organisent aussitôt leur conquête, patiemment, silencieusement, avec un sens merveilleux de l’homme moderne, de ses préjugés, de ses tares, de ses immenses et débiles espoirs. Devenus maîtres de l’or, ils s’assurent bientôt qu’en pleine démocratie égalitaire, ils peuvent être du même coup maîtres de l’opinion, c’est-à-dire des mœurs. A la bourgeoisie libérale que la vanité rend féroce, qui effacerait volontiers d’un trait toute l’histoire de France pour rien, pour le simple plaisir de venger les vieilles rancunes des grosses bedaines opulentes du Tiers-Etat. Les Juifs donnent des chefs, s’imposent par leurs vices mêmes qui les ont perdus tant de fois jadis, la frénésie de paraître, l’impudence, la cruauté du satrape. Dès la moitié du XIXe siècle, aux premières places de l’Administration, de la Banque, de la Magistrature, des Chemins de fer ou des Mines, partout enfin l’héritier du grand bourgeois, le polytechnicien à binocles, s’habitue à trouver ces bonshommes étranges qui parlent avec leurs mains comme des singes, traînent nonchalamment sur les colonnes de chiffres et les cotes un regard de biche en amour auquel pourtant rien n’échappe, si différents du papa bonnetier ou notaire et comme tombés d’une autre planète, avec leur poil noir, les traits ciselés par l’angoisse millénaire, le prurit sauvage d’une moelle usée depuis le règne de Salomon, prodiguée dans tous les lits de l’impudique Asie… Au fils d’avares, élevés dans le mépris du passé, l’indifférence profonde de la tradition de leur propre race, les maîtres étrangers apportent une mystique nouvelle, admirablement accordée à celle du Progrès, au moderne Messianisme qui n’attend que de l’homme la révélation du dieu futur. Dans ce paradis d’ingénieurs, nu et lisse comme un laboratoire, l’imagination juive était seule capable de faire jaillir ces fleurs monstrueuses, carnassières, sur lesquelles se roulait si comiquement le vieux Renan rose et dodu, toutes griffes dehors, avec un grognement de terreur et de plaisir, tel un gros chat ivre de valériane. Mais les temps héroïques de la conquête juive, dont Drumont s’est fait l’historien, sont à présent révolus: l’investissement de la Monarchie de Juillet, du Second Empire, le long patriarcat des Rothschild, la presse à l’encan, l’assaut donné au boulevard, aux grands cercles, au faubourg Saint-Honoré, le fanion du baron Hirsch sur la redoute du Jockey-Club, la curée des titres et des blasons – puis ces grandes orgies rituelles où la race prophétique, augurale, rejette tous ses gains sur le tapis, court de nouveau sa chance, quitte ou double, dans un véritable spasme collectif – Panama, l’affaire Dreyfus – pâles images des ventrées futures: Bela Kuhn en Hongrie, Bronstein (Trotsky) à Moscou… Cette guerre-là n’était encore qu’un jeu d’enfant. On verra bien autre chose lorsque la minuscule bête juive ayant fini de mâcher le bulbe du géant américain, le monstre inconscient se jettera sur le colosse russe, également vidé de sa cervelle.» Georges Bernanos, La Grande Peur des bien-pensants, Grasset, 1931, pages 425-427
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Le juif n'a pas à baisser le regard! |
Je suis arrivé place de la Bastille jeudi 16 janvier 2014, vers 18 heures 20, pour assister à la manifestation contre l’antisémitisme et contre Dieudonné (http://www.oragesdacier.info/2014/01/jai-assiste-la-manifestation-contre.html). Parmi les associations qui organisaient le raout, les plus importantes étaient: Europe-Israël, le Betar, la LDJ, Haverim, les Fils et Filles des Déportés Juifs de France. Le CRIF, en revanche, n’avait pas appelé à manifester. Le rassemblement promettait donc d’être plutôt orienté à droite. Dès le début, les emmerdes ont commencé. Des individus se présentant comme «membres de la sécurité» (tous habillés en noir avec le visage plus ou moins dissimulé) m'ont demandé ma carte de presse. Je n’en avais pas, mais ils m’ont laissé passer et circuler à l'intérieur de la foule tout en m’interdisant «de filmer et de photographier». Pour justifier cela, ils ont émis des prétextes fumeux: ils n'auraient «pas reçu l'autorisation de la préfecture pour laisser des gens sans carte de presse tourner des images». J’ai acquiescé poliment mais j’ai évidemment refusé de ranger mon matériel. Je me suis plongé dans la foule. À plusieurs reprises, on m’a demandé qui j’étais et pour qui je travaillais. Ils commençaient à me faire chier avec leurs interrogatoires, d’autant qu’il était censé s’agir d’une manifestation publique. Un autre mec «de la sécurité» m'a interpellé pour me demander ma carte d'identité. Cela s’est reproduit à trois reprises en tout. J'ai prononcé quelques mots en hébreu et leur ai dit que mes images étaient à la fois destinées à VICE et à des médias israéliens, histoire qu’ils me lâchent la grappe. Ça les a convaincus. Il est fort possible qu'ils m'auraient viré si mon visage ne leur était pas revenu. J’ai commencé à prendre des photos. Il devait y avoir quelque 400 manifestants présents sur le parvis – les organisateurs ont annoncé «plus d'un millier de personnes» à la fin de la manifestation, quoique le Twitter de la LDJ en ait annoncé 1500. J'ai entendu un type se dire déçu de cette faible mobilisation. Très peu de journalistes étaient présents: j’en ai identifié un de France Info, et un autre du Parisien. J’étais surpris de ne pas apercevoir les caméras d’iTélé et de BFM TV, qui sont d’habitude partout. Vers 19h, la musique yiddish a cessé d’être diffusée et les discours ont commencé. Il y avait évidemment un problème de sono et les propos des intervenants étaient souvent incompréhensibles. Je les ai néanmoins entendus assez bien pour comprendre que ces gens avaient plus ou moins le sentiment de vivre dans l'Allemagne des années 1930.
Au bout de quelques minutes, l'un d'eux a annoncé: «Dieudonné, t'es foutu, les Français sont dans la rue», avant de se faire reprendre par un autre intervenant qui a déclaré, avec un air dépité: «Non, Dieudonné n'est pas foutu, car les Français ne sont pas dans la rue ce soir.» Au même moment, tout autour du petit parvis, un important groupe de jeunes (des membres de la LDJ) s’est mis à courir dans tous les sens: apparemment, des gens étaient en train de «glisser des quenelles» de l'autre côté de la rue, et le groupe de jeunes s’était mis en tête de les intercepter. Très vite, la tension est montée, de nombreux policiers sont arrivés en renfort et, en raison de l'ambiance, de nombreux manifestants se sont tirés. Au bout de quelques minutes, le parvis s’est retrouvé totalement encerclé de CRS et de camions de police; il est devenu impossible d'entrer ou de sortir de la manifestation. Les jeunes de la LDJ continuaient à courir dans tous les sens, pendant que certaines personnes se faisaient contrôler par les flics. A proximité, j’ai aperçu quelques jeunes manifestants en train de forcer un mec à supprimer les photos qu'il venait de prendre. La raison invoquée n'était pas la même que celle que j'avais jusqu'à présent entendue: les images étaient «interdites» car les organisateurs auraient «reçu des menaces de gens annonçant qu'ils viendraient prendre des photos des manifestants pour les mettre en ligne et divulguer leur identité», comme l'a fait le site JSSNews (qui, visiblement, n’a pas assisté à la même manifestation que moi) avec les sympathisants de Dieudonné, suite au hackage de la tristement célèbre dieudosphère. Comment les pro-Dieudonné auraient deviné l'identité de ces inconnus restait un mystère, mais les manifestants n’en étaient pas à une contradiction près. Les intervenants ont appelé au calme et demandé aux jeunes d'arrêter de courir dans tous les sens en menaçant d'arrêter immédiatement la manifestation, comme s’ils s’adressaient à des gamins de 3 ans trop agités pour finir leur assiette de pâtes alphabet. Ils ont également annoncé ne pas être responsables «en cas d'éventuel incident». L'un d'eux a crié: «Vous êtes venus ici pour manifester contre l'antisémitisme ou pour foutre le bordel?» J’ai discuté avec plusieurs personnes, mais toutes n'avaient pas grand-chose d'intéressant à déclarer. Elles disaient à la fois «condamner et comprendre» ces légers débordements. L'ambiance allait rester la même pendant toute l'heure qui a suivi: toujours encerclés par un important dispositif policier, les intervenants continuaient à tenter de s'exprimer face à une minorité de gens d'âge moyen, les écoutant sagement et les applaudissant, tandis qu’une majorité de jeunes excités gueulaient des slogans sionistes et couraient partout. Derrière le barrage policier, sur les marches de l'opéra, j’ai cru apercevoir au loin les partisans de Dieudonné – en tout cas, c’est ce que les manifestants disaient, arguant les voir «faire des quenelles». Ils devaient avoir une meilleure vue que moi. Ce que je peux garantir en revanche, c’est que, contrairement à ce qu'a annoncé le fil Twitter de la LDJ, je n'ai pas entendu de chants «$hoah-nanas» ni de «sales juifs» fuser. La soirée s’est terminée sur des applaudissements pour Manuel Valls et sur des chants: la Marseillaise (peu reprise par la foule), l’Hatikva – l'hymne israélien – (plutôt bien repris) et le Chant des Partisans (pas du tout repris). Enfin, pour clore la soirée, une femme s’est mise à chanter une version détournée de la Marseillaise, appelant les «enfants de Sion à prendre les armes contre l'antisémitisme». À vrai dire, je trouvais tout cela plutôt consternant. La foule s’est enfin dispersée, après que les organisateurs ont conseillé au micro de ne «surtout pas se rendre du côté des marches de l'opéra» – à les entendre, on aurait cru qu'aller là-bas conduisait à une mort assurée. J'ai essayé d'aller voir les quelques manifestants pro-Dieudonné censés être là-bas. Une fois arrivé, après avoir traversé toute la place afin de contourner le barrage policier, il n'y avait personne.Je suis rentré chez moi vers 21 heures. J’ai checké Internet et les sites d'info pour voir qui avait parlé de la manif, et ce qu'ils en avaient dit. Il n'y avait quasiment rien, à part une dépêche AFP reprise sur les sites de Libération, du Parisien et de 20 Minutes. J'ai appris par celle-ci que des manifestants pro- et anti-Dieudonné avaient «échangé des provocations verbales et des invectives devant le Théâtre de la Main d'Or, mais qu'aucun incident majeur n'avait été constaté». L'ambiance devant le théâtre était donc sans doute plus ou moins la même qu’à Bastille, où j'ai été plus consterné par l'attitude de tous les gens présents qu'autre chose. Cette manifestation assez grotesque n'a fait qu'amplifier ma gêne et mon dégoût pour les deux camps.
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«Y'a du monde au cul de vos enfants!» |
(https://www.evernote.com/shard/s229/sh/d1a416b3-8e...b3623c4231af690913a6e2459b8678) «La théorie du genre, qui explique l'identité sexuelle des individus autant par le contexte socio-culturel que par la biologie, a pour vertu d'aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l'homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie sur ces sujets." Najat Vallaud Belkacem, interview accordée à 20 minutes, 31 août 2011. «La théorie du genre n'existe pas." Najat Vallaud Belkacem, février 2014. «Ce texte sort la famille du fantasme papa, maman, enfant.» Michelle Meunier (PS) Sénat 4 avril 2013, lors des débats sur la loi «mariage pour tous" «Ce qui est cause, c'est l'hétérosexualité en tant que norme. Il nous faut essayer de penser un monde où l'hétérosexualité ne serait pas normale.» Eric Fassin, sociologue, promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale Supérieure. «Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents.» Laurence Rossignol, sénatrice PS, 5 avril 2013, en direct sur France 2, émission Ce soir ou jamais. «Le but de la morale laïque est de permettre à chaque élève de s'émanciper... Il faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes: familial, ethnique, social, intellectuel.» (Vincent Peillon, Le Figaro, 2/9/2012). «Toute l'opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l'Eglise.»(Vincent Peillon, Une religion pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010). «Il faut donc à la fois déraciner l'empreinte catholique qui ne s’accommode pas de la République et trouver, en dehors des formes religieuses traditionnelles, une religion de substitution qui arrive à inscrire jusque dans les mœurs, les cœurs, la chair, les valeurs et l'esprit républicain sans lesquels les institutions républicaines sont des corps sans âme qui se préparent à tous les dévoiements.» (Vincent Peillon, ibid, p. 34) «La laïcité française, son ancrage premier dans l'école, est l'effet d'un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle: ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église: ce sera l'école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé: ce seront les hussards noirs de la république.» (Vincent Peillon, ibid, p. 48) «Il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques.» La réalisatrice du film Tomboy a propos de son film projeté en classes de primaire. «Je suis pour la GPA accessible à tous les couples." Jean Pierre Michel, sénateur PS, rapporteur du texte de loi sur le mariage pour tous au sénat.
«Des parents, un géniteur, une gestatrice peuvent permettre ensemble la venue au monde d'un enfant.» Najat Vallaud Belkacem, porte parole du gouvernement. «Il faut en finir avec la filiation biologique.» Erwan Binet, député PS et rapporteur de la loi Taubira. «Une femme doit pouvoir avoir accès à la PMA parce qu'elle ne souhaite pas avoir de relations avec un homme.» François Hollande. «Il s'agit de substituer a des concepts tels que "le sexe" ou "la différence sexuelle" le concept de "genre" qui montre que les différences entre le différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature mais socialement construites. [...] [La théorie du genre] se borne à dire que les hommes et les femmes ne se retrouvent pas dans leur état biologique et se construisent autrement.» Julie Sommaruga, député PS. «Je ne vois aucun inconvénient ni pour les unions à plusieurs, ni pour les unions polygames, ni pour l’inceste.» idem. «Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence? C'est faire un distinguo qui est choquant.» Pierre Bergé au Figaro. «Admettre la différence des sexes c’est admettre la complémentarité des sexes, donc la domination patriarcale, donc l’oppression et l’aliénation de la femme». Judith Butler philosophe féministe du genre expliquée par Elizabeth Montfort. «Le droit à l’adoption pour les couples homosexuels repose sur une filiation fondée sur la volonté individuelle, et la volonté n’a pas de sexe… » Daniel Borillo, Sénat. «La famille est une construction sociale créée par les hommes pour dominer les femmes.» Roselyne Bachelot, janv 2013. «Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que soient leur sexe et leur orientation sexuelle c’est déconstruire la complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements républicains». «Il s’agit donc de déconstruire la complémentarité des sexes pour transformer en profondeur la société.» Réjane Sénac, chercheure au CNRS affectée au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF), enseignante à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3, source rapport du SNUipp, page 24-25. «Je pense qu’en matière du lien de filiation, le mariage est devenu tout à fait secondaire. [...] Il me paraît évident que le groupe que je préside préconisera d’ouvrir la possibilité d’adoption aux couples non mariés, parce que, tout simplement, ça va de soi.» Irène Théry, sociologue, directrice d’étude à l’EHESS et nommée présidente d’un groupe de travail par Dominique Bertinotti dans le cadre de la Loi Famille. «Pour pouvoir abolir le mariage, il faut d’abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez est tout à fait envisageable [l’abolition du mariage] […] c’est l’étape suivante». Caroline Mécary, Avocate au barreau de Paris, festival « Mode d’emploi » à Lyon, nov 2013.«Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité – pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c’est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s’occuper des enfants. Ce qui veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples: il n’y aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés.» Caroline Mécary, avocate au barreau de Paris, spécialiste des droits des homosexuels, Festival mode d’emploi à Lyon, novembre 2013.
«Oui le genre cela existe, et nous allons l’enseigner dans les écoles.» Laura Slimani, présidente des jeunes socialistes, 1 février 2014. «Ce texte sort la famille du fantasme papa, maman, enfant». Michelle Meunier (PS) Sénat 4 avril 2013, lors des débats sur la loi "mariage pour tous". «Ce qui est cause, c'est l'hétérosexualité en tant que norme. Il nous faut essayer de penser un monde où l'hétérosexualité ne serait pas normale.» Eric Fassin, sociologue, promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale Supérieure. «Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents.» Laurence Rossignol, sénatrice PS, 5 avril 2013, en direct sur France 2, émission Ce soir ou jamais. «Le but de la morale laïque est de permettre à chaque élève de s'émanciper... Il faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes: familial, ethnique, social, intellectuel» (Vincent Peillon, Le Figaro, 2/9/2012). «Toute l'opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l'Eglise». (Vincent Peillon, Une religion pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010). «La laïcité française, son ancrage premier dans l'école, est l'effet d'un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église: ce sera l'école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé: ce seront les hussards noirs de la république». (Vincent Peillon, ibid, p. 48). «Il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques.» La réalisatrice du film Tomboy a propos de son film projeté en classes de primaire. «Je suis pour la GPA accessible à tous les couples.» Jean Pierre Michel, sénateur PS, rapporteur du texte de loi sur le mariage pour tous au sénat. «Des parents, un géniteur, une gestatrice peuvent permettre ensemble la venue au monde d'un enfant.» Najat Vallaud Belkacem, porte parole du gouvernement. «Il faut en finir avec la filiation biologique.» Erwan Binet, député PS et rapporteur de la loi Taubira. «Une femme doit pouvoir avoir accès à la PMA parce qu'elle ne souhaite pas avoir de relations avec un homme." Francois Hollande. «Il s'agit de substituer a des concepts tels que "le sexe" ou "la différence sexuelle" le concept de "genre" qui montre que les différences entre le différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature mais socialement construites. [...] [La théorie du genre] se borne à dire que les hommes et les femmes ne se retrouvent pas dans leur état biologique et se construisent autrement.» Julie Sommaruga, député PS. «Je ne vois aucun inconvénient ni pour les unions à plusieurs, ni pour les unions polygames, ni pour l’inceste.» idem. «Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence? C'est faire un distinguo qui est choquant». Pierre Bergé au Figaro. «Admettre la différence des sexes c’est admettre la complémentarité des sexes, donc la domination patriarcale, donc l’oppression et l’aliénation de la femme» Judith Butler philosophe féministe du genre expliquée par Elizabeth Montfort. «Le droit à l’adoption pour les couples homosexuels repose sur une filiation fondée sur la volonté individuelle, et la volonté n’a pas de sexe… » Daniel Borillo, Sénat. «La famille est une construction sociale créée par les hommes pour dominer les femmes.» Roselyne Bachelot, janv 2013. «Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que soient leur sexe et leur orientation sexuelle c’est déconstruire la complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements républicains». «Il s’agit donc de déconstruire la complémentarité des sexes pour transformer en profondeur la société.» Réjane Sénac, chercheure au CNRS affectée au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF), enseignante à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3, source rapport du SNUipp, page 24-25. «Je pense qu’en matière du lien de filiation, le mariage est devenu tout à fait secondaire. [...] Il me paraît évident que le groupe que je préside préconisera d’ouvrir la possibilité d’adoption aux couples non mariés, parce que, tout simplement, ça va de soi.» Irène Théry, sociologue, directrice d’étude à l’EHESS et nommée présidente d’un groupe de travail par Dominique Bertinotti dans le cadre de la Loi Famille. «Pour pouvoir abolir le mariage, il faut d’abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez est tout à fait envisageable [l’abolition du mariage] […] c’est l’étape suivante». Anne Verjus, chargée de recherche au CNRS, festival «Mode d’emploi» à Lyon, nov 2013. «Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité – pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c’est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s’occuper des enfants. Ce qui veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples: il n’y aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés.» Anne Verjus, chargée de recherche au CNRS, Festival mode d’emploi à Lyon, novembre 2013. Des études scientifiques récentes ont démontré la nocivité de la circoncision au 7ème jour sur le développement hormonal du bébé.
On rigole aussi beaucoup chez nos amis Boulevard Hitler, où l'on apprend que Nouvel Observateur est passé à la vitesse supérieure en sabotant ses archives consultables sur internet dans le but d’effacer toute trace des saloperies faites par les détraqués sexuels qui prennent leur pied en “enseignant” la sexualité à des enfants de 4 ans (http://www.boulevardhitler.com/bhitler/2014/02/nouvel-obs-le-lavement-qui-tourne-mal). Nous ne sommes que peu surpris, étant donné que ce torche-cul subventionné est un repaire de folles, de canailles youtres et des pires gauchiasses qui soient. Prenez n’importe quel article commis par l’Étron Suprême, Bruno Roger-Petit, et vous comprendrez qu’ils ont pour projet de transformer la jeunesse en quatre-heure pour sidaïques. Venons en maintenant aux faits. L’article incriminé intitulé Éducation sexuelle: en France, on n’est pas les seuls à tâtonner! a été rédigé par une certaine Clarence Edgard-Rosa le 8/11/2012 et l’on remarque qu’il a été modifié le… 31/01/2014, soit plus d’un an après la mise en ligne. Un twittos nous alerte qu’il manque un paragraphe à cet article qui concernait la mise en place de “Sex Box” en Suisse et retrouve sur un forum ce qui semble être une copie du contenu supprimé par la vermine cosmopolite et que nous retranscrivons ici. Suisse: la “Sex Box” qui fait scandale: À Bâle, en Suisse, un dispositif ultra moderne a été mis en place pour l’éducation des écoliers, à partir de 4 ans. Ce qui fait scandale dans le “Plan d’enseignement 21″, c’est le matériel prévu: un kit au doux nom de “Sex Box”, contenant un pénis en bois, un vagin en peluche et des poupées (roses pour les filles, bleues pour les garçons, évidemment…). D’après le “20Minutes” suisse, la notice propose aussi aux enfants “de se masser mutuellement ou de se toucher avec des sacs de sable chaud. Le tout sur de la musique douce”. Parler de sexe tôt, et de manière ludique, ok. Mais de là à se tripoter tous en chœur sur les conseils de la maîtresse, c’est peut-être un peu perché… On comprend bien qu’en pleine campagne des médias aux ordres du pouvoir judéo-socialiste affirmant que jamais des détraqués n’ont envisagé de pervertir les gosses dès l’école maternelle, des nouvelles qui annoncent que l’on apprend à des gosses à s’amuser avec des godes en bois et se masser mutuellement, ça fait tache. Et puis, qui sait, de méchants nazis pourraient avoir l’impolitesse d’aller fouiller dans les archives des gentils sites pour gogols gauchistes et y trouver des preuves de leurs pourriture perverse…Reste qu’à part cette retranscription sur un forum suisse, l’on ne trouve pas d’autres traces mentionnant ces paragraphes puisque le texte, s’il a été publié, n’est plus présent dans l’article…Bien heureusement, ces faussaires de l’information sont aussi stupides que l’inimitable Frédéric Haziza. Ils nous ont donc laissé une preuve accablante de leur forfaiture au sein même de leur site internet. Ainsi en se rendant sur cette page http://actu-leplus.nouvelobs.com/filles-roses.html et en faisant défiler on retrouve notre article Éducation sexuelle: en France, on n’est pas les seuls à tâtonner ! avec dans la description l’intégralité du premier paragraphe de la chronique sur les “Sex Box” de Suisse qui ne sont plus mentionnées dans l’article. Quel dommage!
Ah, tiens et pendant qu’on y est, la souillon qui avait rapporté ces joyeuseries tient aujourd’hui un blog où elle nous explique que la théorie du genre n’existe pas. Que tout ceci est divertissant!
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Le génocide des Palestiniens passe .... de plus en plus mal! |
Yaïr Lapid, le ministre des Finances israélien, a sonné le tocsin la semaine dernière lors de la conférence de l'Institut national d'études de la sécurité: "Un boycott d'Israël par l'Europe, à la suite d'un échec des négociations avec les Palestiniens, porterait, a-t-il dit, un coup très dur à notre économie, et tous les Israéliens en subiraient les conséquences." (http://www.lepoint.fr/monde/boycott-d-israel-la-pr...ahou-04-02-2014-1787844_24.php) De fait, selon les analyses du Trésor israélien, en cas de boycott de grande ampleur, les pertes pour l'économie israélienne pourraient atteindre 20 milliards de dollars et on assisterait au licenciement quasi immédiat de près de 10 000 employés. Pour les grands patrons, l'alerte est sérieuse. Une centaine d'entre eux ont envoyé une délégation chez Benyamin Netanyahou afin de lui demander que tout soit fait pour parvenir à un accord avec les Palestiniens. "Sinon, ont-ils averti, nous serons isolés et notre économie sera atteinte de plein fouet." Déjà, on enregistre des signes inquiétants. Cela a commencé avec l'annonce du fonds de pension hollandais, PGGM, un géant dans son domaine, de retirer ses investissements des banques israéliennes. Motif : elles ont des agences dans les colonies en Cisjordanie. Toujours aux Pays-Bas, la compagnie des eaux, Vitens, a suivi en annulant le projet de partenariat avec Mekorot, son homologue israélienne. Et ce lundi, le quotidien indépendant Haaretz révélait que la plus grande banque danoise avait décidé de mettre à l'index la banque Hapoalim, en raison de sa participation au financement de la construction dans les colonies. Avec l'Allemagne, des difficultés ont surgi lors de la renégociation de deux accords, l'un portant sur la coopération entre les universités des deux pays, et l'autre sur des fonds allemands pour la recherche et le développement industriel. Berlin veut inclure une nouvelle clause interdisant les subventions à toute institution universitaire ou entreprise high-tech oeuvrant ou ayant des liens avec les implantations de Cisjordanie et/ou Jérusalem-Est. Tout cela s'ajoute au boycott direct des produits issus des colonies qui a déjà coûté très cher, même s'il ne concerne que 2 à 3 % de l'économie israélienne. Mais pour la droite nationaliste, religieuse et laïque, pas question de changer de politique. Aux déclarations de son collègue des Finances, le ministre de l'Économie Naftali Bennett, qui est aussi le chef de la Maison juive, le parti des colons, a répondu: "Certes, le boycott nuira à l'économie d'Israël, mais c'est la création d'un État palestinien qui la détruira." Et depuis, c'est haro sur John Kerry, qui, récemment, a lancé un avertissement: "En cas d'échec du processus de paix, Israël fera face à un isolement grandissant, un élargissement du boycott, ce qui mettra en danger son économie et sa sécurité." Des hauts responsables israéliens accusent le secrétaire d'État de ne rien faire contre le boycott, voire de l'utiliser pour obtenir des concessions israéliennes dans les négociations. Même s'il a adopté un ton plus modéré, Benyamin Netanyahou a qualifié "d'immorales et injustifiées les tentatives de boycotter l'État d'Israël", avant de se déclarer persuadé "qu'elles n'atteindraient pas leurs objectifs".
À Washington, le département d'État et Susan Rice, la conseillère à la sécurité nationale, ont condamné ces attaques personnelles contre John Kerry. Ambiance. Dans ce contexte, l'héroïne du jour en Israël, c'est Scarlett Johansson. Elle a récemment défrayé la chronique en raison de son contrat publicitaire avec la société SodaStream, dont une des usines est située dans la colonie de Maale Adoumim. Face aux critiques de BDS, le mouvement pro-palestinien de boycott d'Israël, la célèbre actrice américaine a défendu la position de ces fabricants de machines à soda. Au Huffington Post, elle a expliqué: "Il s'agit d'une entreprise engagée pour l'environnement. Elle construit un pont pour la paix entre Israël et la Palestine en employant des salariés des deux pays qui ont les mêmes salaires et les mêmes droits." Mais Scarlett Johansson a dû, sous la pression, quitter son poste d'ambassadrice internationale d'Oxfam, l'ONG britannique qui lutte contre la pauvreté et est très active dans les territoires palestiniens. Le seul terrorisme que les Israéliens ont jamais affronté, c'est celui qu'ils ont, depuis le début, toléré pour des raisons évidentes d'expropriations terrestres: Exterminer les populations palestinienne en particulier et bougnoule en général sous couvert de lutte contre le terrorisme, de contre-offensives réelles à des roquettes virtuelles. Avec les pleureuses, je suis sûr qu'en cherchant un peu, il est possible de trouver des photos d'Arafat en habits nazis.
Plus de 20 000 juifs vivent paisiblement et en toute liberté en Iran. Ils ont compris depuis longtemps qu'Israël n'existe qu'en écrasant ses voisins, mais que cela ne durera qu'un temps. Le belliqueux et affabulateur Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a affirmé que l'accord de Genève sur le nucléaire iranien, entré en vigueur lundi 20 Janvier 2014, n'empêcherait pas Téhéran d'accéder à l'arme atomique (http://www.lepoint.fr/monde/netanyahou-l-iran-prog...ire-20-01-2014-1782424_24.php(). "L'accord entré en vigueur aujourd'hui n'empêche pas l'Iran de se doter de l'arme nucléaire", a-t-il déclaré lors d'un discours à la Knesset (Parlement), réunie en séance extraordinaire en l'honneur du Premier ministre canadien, Stephen Harper, en visite en Israël et dans les Territoires palestiniens. Comparant les ambitions nucléaires militaires prêtées à l'Iran à un train roulant à toute vitesse vers Dachau, Benyamin Netanyahou a exigé de la communauté internationale qu'elle fasse "dérailler ce train". "La communauté internationale doit empêcher l'Iran d'accéder à l'arme nucléaire", a-t-il insisté, invoquant "la menace sur la paix, la stabilité et la sécurité dans la région". Stephen Harper a indiqué pour sa part que le Canada maintiendrait ses sanctions, contrairement aux États-Unis et à l'Union européenne (UE), qui ont suspendu lundi certaines des leurs, en réponse immédiate au gel par l'Iran d'une partie de ses activités nucléaires. "Le Canada évaluera le succès de cette approche non pas sur les mots mais sur l'application et la vérification des actions promises", a-t-il dit dans un discours devant la Knesset, au sujet des clauses de l'accord de Genève. "Nous espérons vraiment qu'il soit possible d'obtenir que le gouvernement iranien renonce à s'engager sur la voie sans retour de la fabrication des armes nucléaires. Mais pour le moment, le Canada maintient intégralement en vigueur les sanctions que nous avons imposées", a-t-il déclaré, confirmant une position annoncée juste après l'accord de Genève en novembre. Stephen Harper avait auparavant annoncé un soutien financier accru du Canada en 2014 à l'Autorité palestinienne, lors d'une rencontre avec le président Mahmoud Abbas lundi à Ramallah, en Cisjordanie. Le Premier ministre canadien est arrivé dimanche, accompagné d'une importante délégation de ministres, parlementaires et chefs d'entreprise, pour une visite de quatre jours en Israël et dans les Territoires palestiniens. Sous Stephen Harper, le Canada est devenu l'un des pays les plus favorables à Israël au sein de la communauté internationale. Il est l'un des très rares pays à avoir voté contre l'accession de la Palestine au statut d'État observateur à l'ONU le 29 novembre 2012 (138 voix pour, 9 contre et 41 abstentions). Mardi, il rencontrera le président israélien Shimon Peres et se rendra à Yad Vashem, le mémorial de la $hoah à Jérusalem. Il se verra également décerner mercredi un doctorat honoris causa de l'université de Tel-Aviv.
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New-York: Les Pussy Riots font escale à la «Maison» |
Toute à leur diabolisation de la Très Sainte Russie, les USA ont accueilli en grande pompe les “Pussy Riots”, groupe d’agitatrices anarcho-nihiliste soutenue par le Département d’Etat. Celles qui se sont fait connaître en Russie pour se mettre, face caméra, des poulets morts dans le vagin ou se livrer à des copulations publiques à Moscou, ont ainsi donné un “concert” à New York, ville qui compte la plus grande communauté juive du monde (http://breizatao.com/2014/02/06/international/puss...able-se-produisent-a-new-york/). Les Pussy Riot ont pour soutiens actifs en Russie les juifs Alexei Plutser-Sarno, Viktor Shenderovitch, Gary Kasparov et Marat Gelman. A la veille de l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, deux des membres de ce pseudo groupe punk (il n’a jamais produit de chansons), les “Pussy Riot” ont “défié”, mercredi 5 février, le président russe Vladimir Poutine lors d’un concert à New York, sous l’égide de Madonna. «Nous n’allons pas pardonner et nous n’allons pas oublier ce que le régime fait à nos concitoyens. Nous demandons une Russie qui soit libre», a lancé Nadejda Tolokonnikova, avant de chanter avec Maria Alekhina devant les milliers de spectateurs l’une des plus grandes scènes musicales de la ville: «Maintenant, la Russie est libre.» Les Etats-Unis sont la dernière étape de la tournée internationale de Maria Alekhina, 25 ans, et Nadejda Tolokonnikova, 24 ans, débutée peu après leur libération au terme de vingt et un mois de détention. Trois des cinq Pussy Riot avaient été emprisonnées pour avoir chanté en février 2012 une «prière punk» contre Vladimir Poutine dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou. Avant le concert, les deux Pussy Riot ont été reçues pendant une demi-heure par la représentante des Etats-Unis à l’ONU, Samantha Power, pour s’entretenir de la situation en Russie. L’occasion pour l’ambassadeur de Russie à l’ONU, Vitali Tchourkine, d’ironiser sur l’initiative de son homologue américaine en feignant de s’interroger: «Elle n’a pas rejoint leur groupe?» «Je m’attends à ce qu’elle [Samantha Power] les invite à se produire à la cathédrale nationale de Washington. Peut-être pourrait-elle leur organiser une tournée mondiale. La basilique Saint-Pierre de Rome, puis La Mecque peut-être, avant un concert de gala au mur des Lamentations à Jérusalem», a-t-il poursuivi.
En France, nous, on a les «Bonnes sœurs de la $hoah», les Femens. Dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 février 2014, les militantes parisiennes du Renouveau Français ont joué l’acte III de l’opposition «Françaises VS Femen». Ce troisième acte dévoile, comme il se doit, le nœud de l’intrigue. Après une enquête assidue, nos militantes ont découvert des éléments pertinents dissimulés par les médias, dont le rôle joué par Julien Boucher, maire PS du XVIIème arrondissement, dans l’hébergement des Femen. C’est un véritable scandale qui éclate: celui-ci leur offre gracieusement un gîte, dans un «squat» que les activistes voudraient tenir secret! Nous avons donc, sans trop de peine, su exploiter cette piste pour en apprendre davantage. En effet, Julien Boucher est déjà connu des tribunaux pour un jeu trouble de sous-locations illégales et de demandes de subventions suspectes. Il n’en est donc pas à son coup d’essai en hébergeant ces jeunes femmes sous la bienveillance de la mairie de Paris, et l’œil sans doute approbateur de son collègue et ami Bertrand Delanoë. Faudrait-il donc que la corruption généralisée soit passée sous silence? Le Renouveau Français dit NON. Nous avons donc trouvé sans peine au 4 rue du port, à Clichy, le nouveau pied-à-terre des hystériques. Nous nous sommes empressés de leur faire l’honneur d’une visite. Nous avons eu la courtoisie de les aider à rendre plus visible ce nouveau local au moyen d’une banderole «FEMEN MILICE, PS COMPLICE». Nous avons également agrémenté la devanture du «squat des effrontés», 35 rue Maurice Ripoche dans le XIVème, lieu de réunion LGBT régulièrement fréquenté et sollicité par les Femen, de quelques messages laissés à leur intention sur le bitume: «FEMEN, PAYE TON LOYER», «FEMMES MAIS PAS FEM’HAINE» et un ironique «LA REVOLUTION OUI, MAIS SUBVENTIONEE». Donner un local aux FEMEN, aux frais du contribuable, c’est se rendre complice des profanations qu’elles opèrent et qu’elles ne manqueront pas de réitérer. Rejoignez-nous derrière notre banderole samedi, lors de la manifestation pour la dissolution de ce groupuscule, organisée par l’Agrif. Montrons à nos gouvernants que nous ne sommes pas dupes. Ils vont maintenant devoir répondre de ce soutien inconditionnel offert à une milice enragée d’anti-chrétiennes primaires. Faut dire qu'avec un bon missel et son taiser, on peut affronter n'importe quelle situation d'urgence. Il paraitrait même qu'elle baragouine pas français..mais plutôt un vieux dialecte hébraïque. Notre conseil: Avant de nous chauffer les oreilles, faites vous tatouer le numéro de téléphone du Crif, ça peut toujours servir!
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Les poulets élevés au bon grain. |
Les provocations policières ne sont pas nouvelles, elles sont même inscrites dans l’histoire de la République. Les sceptiques sont ceux qui n’en ont jamais vu, et ceux qui oublient que les forces de l’ordre ont en fait deux missions: le maintien de l’ordre et la protection du pouvoir en place (http://www.oragesdacier.info/2014/01/jour-de-colere-la-provocation-policiere.html). Quand le pouvoir ne respecte plus l’ordre, la police devient politique et abuse des pouvoirs de maintien. Ce dimanche soir, après 3 heures de marche, nous avions une alliée: la pluie. Si vous étiez dans la rue, vous avez vu hier soir dans quel état était vos vêtements, en particulier les pantalons.
A droite, deux manifestants, visages découverts, pantalons mouillés jusqu’à mi mollet. à gauche, un groupe d’une dizaine d’hommes, 25-35 ans, air «racaille», tous cagoulés (oreilles couvertes) et pantalons secs. Comment ont-ils réussis à garder leurs pantalons secs après 3 heures de marche? Quel est leur secret? Est ce du Damart? Où peut-on acheter les pantalons magiques? Pourquoi la cagoule (en tissu, qui ne sert pas à grand chose contre la pluie)? Autre vue du même groupe: pantalons secs, gants de cuir dans la poche, cagoules.
Ce même groupe est celui qui, vers 18h15, quelques minutes après la dispersion, a brutalement attaqué le camion média qui s’occupait de la retransmission. Attaque en groupe, jet de verres (en verre), barrières renversées contre la carrosserie. J’ai transmis les autres photos au prestataire, qui se chargera de porter plainte ou pas … et contre qui? Qui sont-ils, d’où viennent-ils? Quand, vers 18h35, on voit passer un bande de «jeunes» en furie sur le bord de l’avenue de Breteuil, et réussir à traverser le cordon policier qui encerclait la place Vauban, grands cris d’acclamation de la foule piégée, qui se muent aussitôt en cris de rage: les jeunes passent derrière le cordon de CRS (à les toucher) pour se repositionner de l’autre côté de l’avenue. Peut-être de bienveillants pandores?
Le doute m’habite. Participation à une manifestation avec une arme: 3 ans d’emprisonnement. Rébellion contre forces de l’ordre avec arme: 3 ans de prison. Le tout à 15 mètres des CRS. Moi je dis, chapeau! (calot ou kippa?) Quelques minutes après, quand la foule, dans un mouvement pas très heureux, apporte 4 barrières de sécurité (récupérées sur l’emplacement du camion régie qui n’a pas demandé son reste) vers les CRS, en restant à 15 mètres, les CRS chargent 30 secondes après. Parmi les porteurs de barrière, quatre ou cinq passent magiquement à travers la rangée de CRS et se retrouvent derrière. Ils se chargent alors de récupérer un des manifestants (les CRS sont équipés de boucliers, et n’ont donc pas de mains libres), en le traînant sur le bitume par la jambe. Il réussira à s’échapper, non sans mal.
La souricière, avenue de Tourville, 18h45: une cinquantaine de manifestants tournent en rond au milieu de 200 CRS, qui les empêchent de sortir (ou en font sortir arbitrairement quelques uns). Ça énerve comme il faut?
Attention, au bout de 30 minutes hors du camion chauffé, il devient difficile de distinguer sur la base du pantalon mouillé ou pas le casseur du manifestant du flic manifestant casseur. Heureusement, de temps en temps, ils remettent le brassard! Des fois que.
Voici le témoignage de Thibault, une des nombreuses victimes de brutalité policière ce dimanche 26 janvier 2014 aux alentours de 18h: La manifestation «Jour de colère» s’achève, les organisateurs appellent à la dispersion. Je n’ai même pas le temps de sortir saucisson et cacahuètes que j’avais apportés pour l’apéro que les CRS envoient les premières salves de grenades lacrymo après avoir bouclé la place Vauban (http://www.oragesdacier.info/2014/02/lofficier-de-police-veut-me-pousser.html). La réaction est immédiate: se sentant pris au piège, des centaines de manifestants jusque-là pacifiques courent dans tous les sens, certains se replient face aux gaz lacrymo, d’autres tentent de forcer les barrages de CRS pour échapper à la nasse mise en place par la préfecture de police. De mon côté, j’ai perdu de vue mes amis dans la panique générale et, voulant ne pas me mêler à un groupe particulièrement excité, je me rapproche des lignes de CRS malgré les gaz. Isolé, je suis une proie facile; aussitôt un groupe de policiers en civil m’a sauté dessus et tiré derrière le cordon de CRS avant même que je comprenne ce qui m’arrive. C’est alors que je subis un véritable passage à tabac: coups de poing, de pied et… de matraque! Alors que n’ai fait preuve d’aucune rébellion, les agents se défoulent sur moi. J’ai mal partout et particulièrement au bras gauche, j’ai le cuir chevelu ouvert et du sang coule sur mon visage, il est 18h30…On me fait attendre dans un fourgon cellulaire avant de me conduire dans un bus de la police où je tombe des nues lorsque j’apprends que je suis interpellé pour «violences sur agent dépositaire de la force publique». Je refuse de signer le PV d’interpellation. Je suis ensuite conduit au commissariat du 5e où je suis assez rapidement mis en cellule avec neuf autres personnes dont deux journalistes qui n’en reviennent pas d’être là non plus. Les heures passent, interminables. On discute, on essaie de dormir malgré le froid et les deux couvertures pour dix. Nous sommes appelés chacun notre tour pour faire notre déposition. 4 heures du matin: c’est mon tour, j’apprends que je suis soupçonné «d’avoir lancé des projectiles sur les forces de l’ordre», lesquels, je ne sais pas mais, de toutes façons, je conteste ces allégations. 11 heures du matin : après avoir réclamé une bonne dizaine de fois un médecin, je finis par en voir un mais il est trop tard pour faire les points de suture qui auraient été les bienvenus. J’ai toujours très mal au bras gauche. Lundi après-midi: je suis à nouveau convoqué devant un officier. Je comprends alors que j’ai de réels problèmes: il veut me pousser à avouer ce que je n’ai pas fait, je ne cède pas. Il m’annonce alors que ma garde à vue va être portée à 48 heures car les policiers que j’ai blessés sont à l’hôpital et ne pourront être là que le lendemain pour une confrontation! Je suis raccompagné à ma cellule et commence sérieusement à broyer du noir: je suis visiblement accusé de quelque chose de grave et je ne sais pas de quoi, puisque je ne l’ai pas commis! Je pense alors au film «L’Aveu» de Costa-Gavras, histoire de bien me plomber le moral. Pour ne rien arranger, mes camarades d’infortune me quittent un à un: certains pour la liberté, d’autre pour une comparution immédiate (qui se tiendra finalement le lendemain après-midi). Ma deuxième nuit passera plus rapidement: des siestes interrompues par le passage de compagnons de cellule illustrant la France d’après: un dealer sénégalais, des vendeurs de Touw’ Effèle (sénégalais aussi), un Algérien arrêté pour conduite en état d’ivresse et des Géorgiens camés. A minuit, nouvelle visite chez un médecin: celui-ci me met trois jours d’ITT et bande mon bras gauche qui me fait souffrir. Mardi matin, 9 heures: confrontation avec les policiers que j’ai soi-disant blessés. Bien entendu, je n’ai blessé aucun des deux et cela apparaît dans leur déposition. On en vient donc à confronter nos versions. Je résiste aux intimidations et autres pressions policières grâce à la présence de mon avocat, Maître Pichon. Fin de la confrontation, j’ai appris au moins une chose: je suis accusé d’avoir renvoyé une grenade lacrymo sur les CRS. Ensuite, re-cellule puis transfert au dépôt, énième fouille, puis cellule individuelle, entretien avec mon avocat, encore un long moment en cellule avant mon audience qui se tient à 22 heures… Finalement, celle-ci est renvoyée au 11 mars! D’ici là, j’ai la chance de ne pas être placé en préventive. 23 heures: je respire enfin l’air de la liberté, accueilli par ma femme et mes amis. Un accueil qui réchauffe le cœur après la cinquantaine d’heures éprouvantes que je viens de passer. Ça aurait pu s’arrêter là mais trois jours plus tard une radio de mon bras gauche révèle que j’ai une fracture du cubitus. Oui, les policiers m’ont bastonné au point de me casser le bras! Me voilà plâtré pour un mois, avec trente jours d’ITT en poche pour la contre-attaque!
Notre avis est que manifester dans les «clous» ne sert à rien (toutes ces autorisations nous filent un mal de crâne carabiné), il vaut mieux se faire entendre lors des nombreux déplacements de nos élites juives hors de leurs ministères, et si en plus, y'a possibilité de taper la discute, c'est encore mieux.
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Ont' ils au moins une bonne assurance vie? |
Ils vont être contents les pauvres de savoir que nos députés ont reçu une «prime» de 130 000 euros chacun! (http://lesmoutonsenrages.fr/2014/01/29/en-2013-les...age-une-reserve-parlementaire/) Et ce sont ces même députés qui sont censés comprendre la situation des français et donc les défendre! Et donc après, nos politiques appliquent des coupes budgétaires et votent des taxes pour mieux financer certains projets parfois complètement ineptes… La «réserve parlementaire» s’est élevée en 2013 à 81,6 millions d’euros et chacun des 577 députés français a reçu en moyenne 130.000 euros, apprend-on dans le document publié mercredi par le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone. Ce souci de transparence s’explique notamment par les critiques sur le risque de clientélisme qu’engendre cette utilisation des fonds publics par les députés dans leur circonscription en période de réduction des déficits publics. La «réserve parlementaire» est un ensemble de subventions d’État votées en lois de finances initiales ou rectificatives proposées par les parlementaires afin de participer au financement de projets d’investissement de collectivités et de soutenir des activités menées par des associations. «Pour la première fois, la ‘réserve’ a été répartie équitablement entre majorité et opposition parlementaires», précise Claude Bartolone dans un communiqué. «Chaque député bénéficie désormais d’un montant de 130.000 euros en moyenne, la répartition entre les députés relevant de chaque groupe politique.» Il souligne que, pour la première fois depuis les débuts de la Ve République, les députés ont restitué au budget de l’État 10% du total «afin de participer à l’effort national de réduction des dépenses publiques». A la lecture des quelques 250 pages de tableaux publiés mercredi sur le site internet de l’Assemblée, on peut constater que le président a reçu 520.000 euros, les vice-présidents et les présidents de commissions et de groupe chacun 260.000 euros. Les membres du bureau de l’Assemblée ont reçu chacun 140.000 euros, les autres députés obtenant 130.000 euros. Le président de la commission des Finances, Gilles Carrez (UMP), qui a pour sa part obtenu une enveloppe de 786.000 euros, a tenté de s’expliquer sur le montant de cette somme. «En tant que président de la commission des Finances, (…) j’ai une enveloppe qui me permet de donner des compléments à mes collègues de la commission des Finances», a-t-il expliqué. Des compléments, a-t-il dit, qui sont «modiques» puisque «c’est de l’ordre de 10 à 20.000 euros de plus de la norme qui est autour de 130.000 euros».
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La pire cocue de la cinquième. |
Les termes de la rupture de François Hollande et Valérie Trierweiler auraient été conclus peu de temps avant l'annonce officielle du chef de l'Etat à l'AFP (http://zebuzzeo.blogspot.ru/2014/02/consequence-repudiation-trierweiler-une.html) . François Hollande, à l'initiative du licenciement de Valérie Trierweiler, devra financièrement répondre au "préjudice moral". En échange de ces gestes pécuniers, Valérie Trierweiler s’est engagé à ne rien révéler de sa vie commune avec le président de la République ni des petits secrets dont elle a forcément eu connaissance. Les conséquences du "gayetgate" sur son image publique ont été considérables. La presse, en France comme à l'étranger, a parlé d'"humiliation" et d'"affront public". Elle était en droit d'intenter un procès qu'elle aurait gagné haut la main... Mais attention, l’ancienne journaliste, trompée, quittée, reste une grenade dégoupillée. Tous ceux qui l’ont approchée la disent «impulsive», elle a le tweet facile (ce n’est pas Ségolène Royal qui dira le contraire), et les bureaux de l’Elysée ont souvent été le théâtre de ses colères (toute la vaisselle historique y est passée, heureusement qu'il y a Ikéa!). François Hollande aurait confié à des conseillers que «les femmes lui ont coûté cher». "Pépère" va donc devoir mettre la main à la (notre?) poche pour acheter son silence (elle en sait tellement!). François Hollande s'est comporté comme un "mufle" à l'encontre de Valérie Trierweiler en annonçant unilatéralement leur rupture dans un communiqué glacial à l'AFP. En coulisses, le chef de l'Etat est, en plus, l'auteur de moqueries envers son ex-compagne. C'est le Canard Enchainé qui a révélé cette pépite dans sa dernière livraison. François Hollande s'est bien moqué du tweet publié le 25 janvier par Valérie Trierweiler, remerciant le personnel de l'Elysée. "Je n'oublierai jamais son dévouement ni l'émotion au moment du départ", écrivait l'ancienne Première dame...François Hollande a alors lâché à des proches une petite phrase dont il a le secret. "S'il y a des gens qui souhaitent quitter l'Elysée, pris par l'émotion, ils doivent me le dire dans les prochains jours", aurait-il plaisanté avec une pointe d'ironie (cruelle?) selon le Canard enchainé, qui ajoute que le président de la République n'éprouverait plus aucune " tendresse particulière" pour "valoche". Et ce depuis 2011! Une telle muflerie, ça sent le Président tellement heureux... La présence de "sa Julie" ne doit pas compenser sa vexation de se savoir impuissant face à la situation économique dantesque...tout le monde s'en rend compte, non seulement le peuple français mais aussi le monde entier. Frustré le prétentieux imbu de lui-même s'effondre dans l'opinion semaine après semaine....il fallait bien que quelqu'un(e) paye pour ça! Et c'est le moment pour Julien Dray (sombre juif) de sortir du purgatoire: "Oui Valérie Trierweiler m'avait mis dehors"..."Je préfère qu'on commence mal pour finir bien, plutôt que l'inverse", a-t-il ensuite ajouté. Il se prépare à faire son retour dans l'entourage de François Hollande. Ils étaient devenus ennemis car la concubine de François Hollande lui avait en effet interdit en mai 2012 l’entrée du QG de François Hollande, pour une affaire de restaurant cochon liée à Dominique Strauss Kahn en pleine campagne électorale. La cote de popularité de Valérie Trierweiler a été considérablement boostée depuis la révélation par le magazine Closer de la liaison entre François Hollande et Julie Gayet. Aujourd'hui, l'ex première dame est une femme célibataire mais non divorcé de son premier mari, elle peut se vanter d'avoir des mots qui portent sur Twitter. En effet, en quelques semaines, "la disgraciée" a gagné des centaines de followers...loin des 2 millions de vues de Dieudonné, mais qui se feront un plaisir de propulser ses tweet en forme de tacles révélateurs...à suivre, (ou pas)! François ne s'en est pas rendu compte, a t'il jamais d'ailleurs anticipé quoi que ce soit, mais il vient de prouver à la France entière que le mariage traditionnel protège la femme et sa dignité. Depuis que le monde est monde, les souverains et les hommes de pouvoir ont toujours eu des favorites. Ils les fréquentaient néanmoins avec discrétion, dans l'ombre, sans rompre l'équilibre conjugal. Personne ne se serait conduit de manière aussi puérile que le président français. Le verbe devient saumâtre quand il s'agit d'évoquer le triste sort de Valérie Trierweiler. S'ils étaient mariés, il n'aurait pas pu la liquider ainsi. La France et son président, ce sont les autres pays qui en parlent le mieux, jamais homme ni fonction n'ont été autant maltraités et salis, moqués et ridiculisés. Et ce n'est pas fini...
Notre avis est qu'Hollande est dans de beaux draps. Pour être président normal, il aurait peut'être fallu qu'il commence par être homme normal. Or là, on s'y perd: en 2012, pendant la période électorale, il nous présente sa favorite (non divorcée de son ancien mari) qui n'est déjà plus sa favorite!!!! Pourquoi ne pas sauter directement à Julie Goret, on contourne un trou, on élimine un intermédiaire, et on gagne du temps. Parce que maintenant, pépère est condamné à s'afficher célibataire, on n'y croit plus à ses coups de cœur avec une telle bite qui bat la chamade, on guette la prochaine. Il a perdu la confiance des Français, et à moins d'un engagement ultime, je parle du mariage pour laver le déshonneur de la frêle actrice mi-porno, on n'envisage pas de solution à courte échéance dans les sondages. Quant aux Femens, ramassis de féministes juives adeptes des provocations sanguignolantes, elles sont aux abonnés absents. Le droit des femmes, si c'est pas un poil anti-catho, ça vaut pas le coup de se libérer les loches en plein hiver pour attraper un rhume carabiné.
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Lorsque le but de l'école n'est plus d'éduquer, mais de .... pervertir. |
Le gouvernement français embourbé dans un vaste programme de manipulation mentale des jeunes enfants, même si le juif, comme à son habitude, crie à la théorie du complot, et à la rumeur sans fondement au travers de ses relais d'information (http://www.lepoint.fr/societe/theorie-du-genre-a-l...gere-29-01-2014-1785738_23.php) Onze universitaires de Strasbourg ont récusé dans une tribune publique mercredi l'idée qu'une "prétendue théorie du genre" serait enseignée dans les écoles françaises, après des appels aux parents sur des réseaux sociaux de retirer leurs enfants de l'école. Les onze enseignants supérieurs signataires de ce texte, parmi lesquels des historiens, des professeurs de droit, de sciences sociales et de psychologie, y voient une "manœuvre révoltante de déstabilisation des parents" qui a privé des enfants d'école. "De plus, cette rumeur est totalement mensongère", écrivent-ils dans leur déclaration, dont l'AFP a reçu copie. "Non, les enfants ne sont pas en danger. Non, la prétendue théorie du genre n'existe pas. Oui, les programmes scolaires invitent à réfléchir sur les stéréotypes de sexe", poursuivent-ils. "Pour en finir avec les idées reçues", les signataires soulignent que "le genre est simplement un concept pour penser des réalités objectives. On n'est pas homme ou femme de la même manière au Moyen Âge et aujourd'hui. (...) L'école est le lieu où l'on permet à chacun de réfléchir sur les conséquences néfastes des idées reçues et d'interroger certains préjugés", ajoutent-ils. "En permettant aux élèves de se demander pourquoi les princesses ne pourraient pas aussi sauver les princes, en montrant que, selon les lieux et les époques, les rôles des hommes et des femmes ont varié et que l'amour a des formes multiples, les chercheurs, les enseignants et les professeurs des écoles permettent aux enfants, citoyens et citoyennes de demain, de construire un monde plus égalitaire et plus harmonieux", concluent-ils. Leur mise au point intervient après celle du ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, qui a déclaré mercredi que "l'école de la République n'enseigne absolument pas la théorie du genre". Depuis vendredi, une centaine d'écoles ont été perturbées par des absences d'élèves après un appel à boycotter l'école pour protester contre ce qui est présenté comme un enseignement aux enfants de la "théorie du genre". L'initiative "Journée de retrait de l'école" a été lancée par Farida Belghoul, une militante proche de l'essayiste d'extrême droite Alain Soral.
Parmi tous leurs outils de déstructuration des esprits fragiles des jeunes enfants, on peut citer «ABCD égalité», un rapport sur les stéréotypes garçons-filles, une sorte de propagande «douce» marquée par la théorie du genre (http://www.theoriedugenre.fr/?ABCD-egalite-rapport-sur-les). Après avoir tenté, en 2013, de rendre obligatoire «l’éducation à l’égalité de genre», le début de l’année 2014 est marqué par la volonté du gouvernement de «déconstruire les stéréotypes de genre», de façon plus insidieuse, grâce notamment au dispositif «ABCD égalité», et à une série de mesures présentées dans un rapport récent du Commissariat général à la stratégie et à la prospective. Si la démarche est moins directe, l’influence des « théoriciens du genre » reste très présente. Cette propagande «douce» et discrète, qui s’appuie notamment sur les recherches récentes en sciences comportementales, n’est cependant pas sans risques. Dans cette note, l’Observatoire de la théorie du genre tient à souligner les trois principaux dangers. (1) Perturber la construction de l’identité sexuelle des enfants, en faisant disparaître tous les repères masculins et féminins de l’éducation. (2) Renforcer les inégalités entre garçons et filles en prétendant les combattre. Il est, en effet, paradoxal de constater qu’en Finlande, Suède, et Norvège, pays cités en exemple pour leur volontarisme en faveur de «l’égalité de genre», les inégalités entre garçons et filles à l’école ne font que s’accroître et qu’elles sont aujourd’hui parmi les plus importantes des pays de l’OCDE (source enquête PISA). (3) Détourner l’école de sa véritable mission au profit d’une œuvre plus idéologique.
Les rumeurs sur la théorie du genre se répandent à l’école, parce que certaines craintes des parents sont légitimes quand il s'agit d'initier des enfants à la sexualité (http://www.theoriedugenre.fr/?Rumeurs-sur-la-theorie-du-genre-a). Depuis quelques jours, et suite à la circulation de SMS entre parents d’élèves, le ministère de l’éducation nationale communique pour dénoncer une soi-disante rumeur concernant l’enseignement de la «théorie du genre» à l’école. Si le contenu de certains SMS, notamment ceux relatés par les médias, est excessif et caricatural, cela ne signifie pas, contrairement à ce que prétend la communication du ministère, que rien n’est vrai. Les parents ont, malheureusement, plusieurs raisons de se montrer vigilants. Depuis presque un an, l’observatoire de la théorie du genre analyse et surveille la politique menée par le gouvernement en faveur de la reconnaissance et de la promotion du concept «d’identité de genre». On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des «militants» qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre. Dans la diffusion de cette «théorie», l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme: --- Le dispositif «ABCD égalité» qui de façon insidieuse s’inspire des théories de «l’éducation neutre» telle qu’elle se pratique en Suède. --- L’expérimentation, soutenue par la Marocaine Najat Vallaud Belkacem, de crèches neutres s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm. --- La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes. --- La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association «Ligne Azur» qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques: «que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti». Sic! ---La diffusion dans le cadre du programme «Ecole et cinéma» du film militant «TOMBOY», où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçons. --- Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres "non-genrés" comme "Papa porte une robe". Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter. Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. Il refuse, par exemple, de communiquer la liste des établissements expérimentant le programme «ABCD égalité»; il exclut les parents des évaluations de ce dispositif et dans certaines académies, il interdit aux enseignants et aux directeurs d’établissement de répondre aux légitimes questions des parents, les renvoyant vers les inspecteurs académiques. Dans ces conditions, l’Observatoire de la théorie du genre appelle les parents à la vigilance et les invite à signer la pétition adressée au juif Vincent Peillon pour demander la fin de l’expérimentation du programme «ABCD égalité». Cette pétition a déjà rassemblé plus de 70 000 signataires et dépasse les 10 000 partages.
Le système veut profiter de la fragilité, et de la malléabilité des enfants pour en faire de futurs êtres déstructurés, tolérants et obéissants à leurs maîtres loin de toute cellule familiale, culpabilisants à la moindre pensée d'un acte prohibé par la société juive. Nous ne le répéterons jamais assez, mais Hommes et Femmes ne sont pas égaux, ils sont complémentaires dans leur épanouissement, dans leurs interactions, dans leur sexualité. Et quand un juif me dit le contraire, je frappe sa gueule de pédophile! Quand à Rabbin Peillon, ferait mieux de s'occuper de son «Oh Low Cost!» en milieu extra-scolaire, ou para-Olympique.
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Ménage à trois en Ukraine, mais ce sont les Nationalistes qui portent la culotte! |
Les gars en question appartiennent pour la plupart à un groupe de jeunes militants d’extrême droite, Pravyi Sektor (Secteur droit), né de la mobilisation de l’EuroMaïdan et déterminé à assurer la sécurité du “village”, voire à recourir à la force pour atteindre leurs objectifs. Réunissant ukrainophones ou russophones de tous âges, ce mouvement se revendique nationaliste et apolitique. “On ne peut pas faire confiance aux politiciens pour régler cette crise”, indique, Iouriy, 34 ans, mobilisé depuis le début sur l’EuroMaïdan, qui s’estime comme une “fraîche recrue” de Pravyi Sektor.
Alors que les manifestations pro-européennes de Kiev basculent progressivement dans la violence, les médias commencent à évoquer la place prise par l’Extrême droite au sein des opposants au président Victor Ianoukovitch (http://www.slate.fr/monde/82625/extreme-droite-ukrainienne-kiev). Une Extrême droite représentée par le groupement Praviy Sektor, un mouvement créé dès le début des manifestations et qui, selon la BBC, a pris une part active dans les combats avec la police le 19 janvier. Ce qui montre bien, comme l'avaient expliqué Thomas Guénolé et Katerina Ryzhakova Proshin dans une tribune sur Slate.fr, qu'il faut refuser le manichéisme à propos de ce qui se passe sur la place Maïdan. La BBC décrit un groupe composé de jeunes gens, ukrainophones et russophones, sans quartier général, et qui regroupe, sans que cette alliance soit formalisée, d’autres mouvements d’extrême droite comme Trident (dont Praviy Sektor utilise le site Internet) ou Patriotes d’Ukraine. La colonne vertébrale du mouvement, à Kiev, serait composée de hooligans d’extrême droite russophone. Un mouvement très marqué à droite: même les nationalistes de Svoboda, qu’ils jugent trop libéraux et conformistes, ne leurs conviennent pas. Contrairement aux autres opposants, Praviy Sektor n’est pas plus en faveur de l’intégration européenne que de l’Union douanière avec la Russie. Il cherche à profiter des manifestations pour construire un nouvel Etat. Le Kyiv Post, un journal ukrainien en langue anglaise et de tendance pro-occidentale nous présente l’un des leaders de Praviy Sektor, Dmytro Yarosh, qui explique son succès par les résultats limités de l’opposition. Yarosh vient lui-même de l’est de l’Ukraine, une partie du pays acquise à Ianoukovitch et à son parti des Régions. Il a passé les 25 dernières années dans des groupes ultra-nationalistes, et raconte au Kyiv Post qu’il a «fait sa communion, donc maintenant je suis prêt à mourir. Je ne veux pas vraiment mourir –je vais bientôt avoir un petit-fils […]– mais si je dois mourir, je le ferai». Le but du Praviy Sektor est de pousser Ianoukovitch au départ, en lui promettant que ni lui ni sa famille ne seront victimes d’exactions, «pour éviter un bain de sang», explique Yarosh. L’émergence de ce mouvement montre la fragmentation de l’opposition ukrainienne, après deux mois d’affrontements avec les forces gouvernementales. Des dissensions notées par Volodymyr Ishchenko, un sociologue ukrainien, dans une tribune publiée par le Guardian, où il explique que «les objectifs des opposants sont passés d’un désir d’être associé à l’Europe au combat contre la police, après que le Parlement a mis en pièces la constitution et empilé les lois restreignant, entre autres, les libertés de réunion et d’expression». Ishchenko montre la façon dont le mouvement a neutralisé ses slogans, «Gloire à l’Ukraine! Gloire aux héros», afin de mieux dissimuler ses idées, «parfois ouvertement néo-nazies». Les manifestations de Kiev ont en tout cas versé dans la violence. Le mercredi 22 janvier, 5 personnes ont été tuées dans la capitale ukrainienne, et 300 blessées. Mais comme le note Ishchenko, des motifs d’espoir demeurent pour le maintien d’un mouvement non-violent. Lundi 20, «les étudiant de l’Université de Kiev Mohyla, une des meilleurs universités en Ukraine, ont décrété une grève illimitée contre les lois policières, dans le but de faire cesser les cours dans l’université et d’initier des grèves dans d’autres campus, et des grèves de travailleurs. C'est la méthode juive!». Une autre façon de faire tomber Ianoukovitch, une manière «radicale et efficace», mais qui reste «non-violente», on s'assoit et on ouvre ses Chakras.
Sur tout sujet, tout média est libre d’avoir une ligne éditoriale; tout gouvernement, une position au nom de son pays; et tout intellectuel engagé, toute ONG, tout citoyen du monde, une opinion (http://www.slate.fr/tribune/81479/ukraine-halte-manicheisme). Pour autant, cela ne justifie pas de devenir hystérique en se croyant enthousiaste. Cela ne justifie pas non plus de distinguer à l’emporte-pièces des «gentils» contre des «méchants», en montrant la finesse d'analyse d’un enfant de six ans. Non, les manifestations de la place Maïdan à Kiev ne sont pas de simples «mouvements citoyens spontanés». Il s’agit d’une convergence entre trois ingrédients: (1) Une stratégie étasunienne de renversement de régimes hostiles par des révolutions non-violentes. (2) L’existence de relais d’opinion acquis au réalignement de leur pays sur le modèle occidental. (3) L’existence d’un mécontentement socio-économique fort dans tout un pan de la population du pays. Le modus operandi est systématique: Organisation de manifestations de masse par des relais d’opinion. Mots d’ordre déclinant les droits de l’Homme sur la forme mais l’alignement sur l’Ouest quant au fond. Distribution de matériel de marketing politique aux manifestants (banderoles et autres affiches ont d’ailleurs une charte graphique très professionnelle). Paralysie de la capitale par les manifestations. Et partant, paralysie du régime, réduit à l’alternative entre la chute et la répression devant les caméras du monde. Cette méthode a été appliquée en Serbie avec la Révolution du Bulldozer en 2000, en Géorgie avec la Révolution des roses en 2003, en Ukraine déjà avec la Révolution orange de 2004 et au Kirghizistan avec la Révolution des tulipes en 2005. Des tentatives ont eu lieu, sans succès, en Moldavie en 2009 et en Russie en 2011. Oui, le président ukrainien Viktor Ianoukovitch est à la tête d’une oligarchie corrompue, corruptrice et népotique. Par exemple, les actifs de la banque possédée par son propre fils, la Banque de développement ukrainienne (VBR), ont été multipliés par dix entre mars 2010 et juillet 2012. En revanche, non, ce n’est pas particulier au clan Ianoukovitch. Par exemple, Ioulia Tymochenko, célèbre égérie de la Révolution orange de 2004, fait partie elle aussi des «oligarques» ukrainiens des années 1990.
Au tournant des années 2000, donc avant la Révolution orange, elle fut mise en cause pour des délits financiers lourds remontant aux années 1990. Il était question de fraudes et de détournements de fonds en tant que dirigeante, à l’époque, de l’entreprise de distribution de gaz Systèmes énergétiques unis d'Ukraine: 121 millions d’euros de dissimulation de revenus et 4 millions d’euros d’évasion fiscale, notamment. Plus largement, l’essentiel des élites politico-économiques de l’Ukraine a participé dans les années 1990, comme dans la Russie des oligarques des années Eltsine, à une grande vague de privatisations mêlant clientélisme, affairisme, népotisme et pratiques mafieuses politico-financières. Non, les manifestants ukrainiens ne manifestent pas pour la signature de l’accord de d’association avec l’Union européenne. Le sondage réalisé par l’Institut Gorshenin le 2 décembre parmi les manifestants eux-mêmes est très éclairant. 56% manifestent pour la démission du président Viktor Ianoukovitch, 18% pour avoir «une vie décente dans un pays normal» et 28% seulement spécifiquement pour la signature de cet accord. En d’autres termes, plus des trois quarts des manifestants rejettent en fait, et en vrac, la politique du président, la situation sociale qui se dégrade, la corruption et le racket qui se propagent, l’arbitraire des fonctionnaires et de la police. Non, ce n’est pas le combat du peuple unanime contre un président dictatorial. Ce n’est pas non plus un combat de la Liberté contre l’Oppression, ou du Bien contre le Mal. Plus simplement, c’est une confrontation entre des orientations politiques et géopolitiques incompatibles, et de force équivalente. Selon un sondage du Centre Razoumkov (pro-opposition) d’avril 2013, 42% des Ukrainiens veulent adhérer à l’Union européenne et 33% à l’Union douanière avec la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan. Selon un autre sondage réalisé par Research&Branding Group (pro-gouvernement) de décembre 2013, 46% sont pour l’Union européenne et 36% pour l’Union douanière. Dans le même sondage, 49% des Ukraniens soutiennent le mouvement «EuroMaïdan», 45% non. La plupart des sondages mettent également en évidence une divergence historique: l’ouest du pays est pro-européen, l’est est pro-russe. Non, il n’y a pas d’un côté des Ukrainiens de l’ouest qui seraient ouverts, démocrates, modernes, et pro-européens; et de l’autre, des Ukrainiens de l’est qui seraient bornés, partisans d’un régime autoritaire à la biélorusse, conservateurs et pro-russes. Si l’on considère l’accord d’association Europe-Ukraine, et a fortiori l’éventuelle adhésion à l’Europe, alors, les populations de l’ouest et de l’est ont en réalité les opinions de leurs propres intérêts individuels socio-économiques. L’ouest de l’Ukraine, c’est avant tout une économie tertiaire, de services. Cette population employable a donc tout à gagner dans l’ouverture à l’Europe. L’est de l’Ukraine, c'est avant tout le secteur secondaire, c’est-à-dire l’industrie. En termes de compétitivité, cette population employable est assurée de connaître d’emblée des vagues de fermeture d’usines, d’où un bond du chômage. Ensuite, à moyen terme, c’est-à-dire au bout de plusieurs années, des emplois peuvent être recréés grâce à des délocalisations d’usines en provenance de grandes entreprises européennes ce n’est cependant pas garanti et, entre-temps, le bond du chômage par vagues de fermetures, lui, est assuré. En d’autres termes, si l’on simplifie en deux grands ensembles sociologiques de même taille, le rapprochement avec l’Europe profiterait à «l’Ukraine d’en haut» cependant que «l’Ukraine d’en bas» en pâtirait. Non, il n’y a pas d’un côté la méchante Russie qui veut écraser l’Ukraine sous sa botte, et de l’autre côté la gentille Europe et la gentille Otan qui ne songent qu’à défendre la liberté des Ukrainiens. Plus simplement, il y a une confrontation d’intérêts géopolitiques incompatibles entre une grande alliance —le bloc occidental— et une grande puissance, la Russie. À cet égard, l’activisme médiatique de divers «ambassadeurs de la démocratie» autoproclamés, tels la sous-secrétaire d’Etat américaine Victoria Nuland, qui donne du pain aux manifestants, ne doit pas faire illusion. D’un côté, les Etats-Unis et leurs alliés européens conduisent une politique d’expansion à l’est. Cela explique la vague d’adhésions à l'Otan et l'UE des anciens satellites russes d'Europe centrale, à marche forcée et en dépit de carences institutionnelles pour digérer ladite vague: Etats baltes, Pologne, Tchéquie, etc. De l’autre, la Russie, après avoir assimilé le bouleversement complet de son système politico-économique pour cause de chute de l’URSS, entreprend de reconstituer un bloc eurasien à sa main: CEI, OTSC, Union économique eurasiatique, le tout afin de rétablir une unité géopolitique avec son «étranger proche». Ainsi la crise ukrainienne est, finalement, trois choses à la fois. C’est un nouvel épisode du rejet d’élites politico-économiques profondément corrompues et népotiques, toutes étiquettes confondues. C’est une profonde fracture entre les Ukrainiens de l’ouest, occidentalisés, à économie de services, dont l’intérêt socioéconomique est l’adhésion à l’Europe; et les Ukrainiens de l’est, russifiés, à économie industrielle, qui feraient les frais de cette adhésion. C’est une grande partie d’échecs géopolitique entre le bloc occidental et le bloc russe. Ce que ce n’est pas en revanche, c’est une supposée confrontation entre des gentils et des méchants. De fait, si les uns et les autres sont libres de s’engager pour leurs intérêts ou leurs convictions, en revanche, il n’est pas indispensable, en s’adressant aux opinions publiques européennes, d’insulter leur intelligence. «Allez Valls, viens donc essayer de gazer la poussette! Et n'oublie pas ta garde rapprochée des femens, on te fera un prix de gros!»
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L'effet punching-ball: seul contre-pouvoir à la culpabilisation blanche. |
Toi le Nationaliste, à force de voir les juifs se victimiser, c'est dur à avouer, mais t'as pris l'habitude de les frapper. Tu me diras un peu plus, un peu moins, on peut pas davantage les abîmer, et puis ça défoule. Pareil pour eux, ils ont fini par adhérer, c'est quand même grâce à leur toilettage en Pologne qu'ils ont pu se rénover le Mur des lamentations.. Geindre, gémir, pleurnicher, mendier, ils ne se fatiguent plus dans un business comme d'autres font le trottoir, non, eux font les douches. Une industrie où on ne montre pas son cul, on préfère exhiber grand-mère anorexique à la sortie d'un club naturiste sur des photos en noir & blanc, avec en prime le pyjama troué de pépé, et quelques dents en or d'une banque helvétique. Souvenons-nous qu'il est rare que le juif soit pédophile, zoophile, ou intellectuel par convictions, il le fait surtout pour t'énerver de sa phrase magique: «Vous voyez, on m'aime pas!» Heureusement qu'Adolf est passé par là avec sa solution finale: «Récurer les bien, sans oublier derrière les oreilles! Et vite fait, j'tiens pas à prendre un crédit sur l'eau chaude.» Pour Goering, c'était pire, quand un juif glissait, on pouvait au moins l'aider à se relever!
Situation catastrophique en France, c'est ce que nous dévoile notre ami, le filousémite (http://philosemitismeblog.blogspot.be/2014/01/la-q...-adressee-de-plus-en-plus.html). Dans une séquence de l'émission de France 5 C'est dans l'air (09/01/2014) intitulée Dieudonné-Valls: fini de rire la parole fut donné à quelques Juifs pris de bouffées de chaleur. Ci-dessous la transcription de quelques propos tenus par deux étudiants (vers la 46 minute): "Particulièrement attentifs à l'affaire Dieudonné, les jeunes de la communauté juive. David et Abraham, tous deux étudiants, ont constaté ces derniers temps l'apparition puis l'augmentation du nombre de quenelles leur étant adressées. "Ce qui est inquiétant est la propagation de ce geste, de la banalisation de ce geste qui pourrait justement porter tout un message qui ne soit pas celui que les personnes qui font ce geste croient." Quant à l'antisionisme affiché par Dieudonné, pour eux, il a depuis longtemps laissé place à de l'antisémitisme. "Quand il parle de Patrick Cohen et des chambres à gaz il ne vise pas Patrick Cohen en tant que sioniste. Il n'a aucune preuve pour ça. Il le vise en tant que Juif. On pourrait sortir des dizaines d'exemples de ses sketch où il ne prend même plus la peine aujourd'hui d'utiliser le terme sionisme ni sioniste. Il détermine les gens par le judaïsme." "On peut regretter que dans l'émission l'impact sur l'affaire Dieudonné sur la communauté juive, et notamment sur des enfants et des jeunes qui vont vivre dans cette ambiance de haine et qu'on retrouve dans les commentaires de différents médias sérieux en-ligne et blogs, ne fut à aucun moment évoqué. Et pourtant comme l'a constaté Charles Moore dans le Daily Telegraph "Dieudonné "is part of something tragic for France" ainsi que le fait qu'un nombre croissant de juifs quittent la France. Ce qui est certain c'est que cette affaire qu'elle qu'en soit l'issue ne fera qu'empirer la situation des juifs de France, et les condamnera inexorablement à émigrer vers l'antichambre de l'enfer: Israël. On peut également s'interroger sur les raisons pour lesquelles Dieudonné jouit d'un si grand succès en France.
En 70 ans, elle n'a pas pris une ride, malheureusement, les touristes l'ont retrouvé: «Il est beau ton chandail! Combien t'écrit de pages par jour? Penses-tu faire une suite? T'écoutes Madonna? Si t'avais du talent, tu serais plutôt Greta Garbo, ou Meryll Streep?» Sans compter le nombre croissant de fans de Dieudo qui viennent tester les ressorts du sommier..... Enfin bref.
A côté de l'antisémitisme professé par ce militant qui se cache sous un masque d'humoriste, vos propos recueillis par les médias [voir l'article de Soren Seelow, «Jeunes, de gauche et fans de Dieudonné», dans Le Monde daté du 8 janvier 2014]. Ceux-ci ont retenu mon attention. Vous avez justifié votre présence aux meetings en prétextant un ras-le-bol de la $hoah. Un trop-plein d'enseignement, moralisateur et traumatisant, que vous auriez subi depuis l'école primaire et qui vous aurait rendu antisémites. L'éducation nationale et les institutions de référence sur la $hoah seraient responsables de cette situation, selon vous. Elles auraient donné naissance à une génération de mutants, dont le cerveau aurait été gavé d'images d'horreur par des enseignants obsédés par la $hoah? (http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/01/22/l-h...ee-en-france_4352173_3232.html) Mais faisons parler les chiffres, afin de vérifier vos propos. Certes l'enseignement de la $hoah est obligatoire en France, en troisième et en terminale depuis les années 1980. Depuis 2002, cet enseignement est également dispensé à l'école primaire, généralement au CM2, et tourne autour d'une sensibilisation des enfants à partir de l'histoire des Justes et des enfants cachés dans les caves, et greniers. Mais, en réalité, cet enseignement au cycle 1 n'est pas systématique, les enseignants l'adaptent en fonction de leur avancement dans les programmes et de la maturité de leurs élèves (en gros si t'es bougnoule, t'es dispensé!). Dans les collèges et les lycées, en raison de la densité des programmes, les enseignants – de troisième et de première – ne consacrent pas plus de deux heures par semaine à aborder l'histoire de la $hoah en Europe. Certains professeurs invitent des déportés à venir témoigner dans les écoles, mais moins de 4 000 juifs sont rentrés de déportation en 1945 (les autres ont loupé le train), aujourd'hui, malheureusement, ils ne sont plus qu'une poignée à pouvoir témoigner dans les 64 000 écoles, collèges et lycées de France. En complément du cours d'histoire dispensé dans la classe, certains enseignants décident volontairement d'organiser des visites des musées, des douches, des toilettes municipales, des lieux de mémoire relatifs à la $hoah. Toutes confondues, les institutions dédiées à l'histoire de la $hoah (le Mémorial de la $hoah à Paris et à Drancy, le Cercil à Orléans, la Maison d'Izieu, le Musée du Chambon-sur-Lignon, le camp des Milles) ne reçoivent pas plus de 150 000 élèves du primaire au secondaire sur une classe d'âge d'environ 12 millions d'enfants, environ 1,5% des élèves qui sont sur les bancs de l'école. En 2012, tandis que 140 000 Britanniques, 85 000 Italiens, 55 000 Espagnols et 46 000 Sud-Coréens, visitaient le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz, tous âges confondus, les Français étaient 62 000. Parmi eux, 5 000 étaient des scolaires qui participaient à des voyages d'étude organisés par le Mémorial de la $hoah. En outre, chaque année, quelque 3 000 enseignants participent volontairement à une formation sur l'histoire de la $hoah, 3 000 sur 1 million, soit 3 % du corps enseignant. Enfin, si pendant des années, il est vrai, la pédagogie s'appuyait sur des images chocs, aujourd'hui, ce qui prime, c'est de toucher l'intelligence des élèves et non leur cœur, en témoigne la levée de boucliers des enseignants face à la proposition du président juif Nicolas Sarkozy en 2012 «par chaque enfant du cours élémentaire d'un enfant juif du même âge, mort en déportation»].
Les enseignants français font d'ailleurs leur travail avec dévouement, indépendance et intelligence dans un contexte parfois difficile. Il faut leur rendre hommage. Cette évolution de la pédagogie est également confirmée dans les musées qui ont placé les faits historiques et non l'émotion au cœur de leur muséographie. En examinant tous ces chiffres de près, on est bien loin du lavage de cerveau. Loin s'en faut. D'ailleurs, en 2012, au moment du 70e anniversaire des déportations de l'année 1942, un sondage CSA nous rappelait que 60 % des étudiants de 18 à 24 ans n'avaient jamais entendu parler du Vél'd'Hiv. Le 27 janvier, jour de l'entrée des troupes soviétiques à Auschwitz, de nombreuses activités pédagogiques et historiques vont marquer la Journée internationale de l'Oh Low Cost et de la prévention des crimes contre l'humanité. Dans de nombreux pays, l'enseignement de l'histoire de la $hoah est désormais accompagné par un enseignement de l'histoire de deux autres vrais génocides du XXe siècle (celui des Arméniens et celui des Tutsi). En plus de la perspective historique, il faut y voir une raison morale. Chaque victime a le droit au respect et éprouve le besoin de voir sa souffrance ainsi que sa mémoire reconnues. Au sein des institutions chargées de l'enseignement de l'histoire de la $hoah, la concurrence des mémoires existe. Les mémoires ont toutes leur place et se complètent pour former une mosaïque qui appartient au patrimoine de l'humanité. Depuis dix ans, le Mémorial de la $hoah s'intéresse à l'enseignement de l'histoire de ces trois génocides unanimement reconnus, dans une logique comparatiste, afin d'en souligner les différences et les points communs, en évitant ainsi tout ce qui pourrait constituer un amalgame ou une forme de banalisation. D'ailleurs, Nico, Guillaume et Karim, je vous invite au Mémorial, vous qui vous plaignez que l'on ne parle pas suffisamment du Rwanda. En avril, nous y inaugurerons une nouvelle exposition sur l'histoire du génocide perpétré contre les Tutsi en 1994. Certains de vos amis sont venus au Mémorial pour y faire la quenelle, cette fois-ci, je voudrais vous convier à venir vous asseoir dans la salle de conférence afin d'entendre les historiens spécialistes de ce sujet (Faurisson, Reynouard, …). Ils vous parleront du processus historique qui a conduit à ce massacre de masse, notamment du racisme haineux qui frappait les Tutsi ainsi que du négationnisme qui sévit aujourd'hui aussi contre ce génocide. Dans la salle climatisée, vous pourrez y rencontrer des survivants mais aussi des familles d'origine arménienne, des rescapés de la $hoah, des rescapés tutsi en situation irrégulière, l'un des derniers rescapés tziganes du convoi Z parti de Belgique avec sa guitare, tous des écorchés, des survivants des plus grands crimes contre l'humanité. Vous serez certainement étonnés d'y rencontrer d'autres jeunes comme vous, avides de propagandes historiques, et inquiets du vent nauséabond qui souffle en France et dans une Europe frappée par la crise économique des banquiers juifs. Peut-être comprendrez-vous alors la vraie nature de la haine qui anime ce gourou et à quoi elle a déjà mené.
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Terrorisme Judéo-Sunnite en territoires russes. |
Les services de enseignement russes auraient obtenu des preuves solides impliquant directement l’Arabie Saoudite dans le double attentat terroriste qui a frappé la ville de Volgograd (http://www.stormfront.org/forum/t1014406). Les attaques ont tué plus de 32 personnes et blessé plus de 100 autres. La plupart des victimes étaient des civils. Selon une source officielle russe informelle, rapporté par l’agence Fars, le service fédéral de sécurité de Russie (FSB) a informé le président Vladimir Poutine du lien entre l’Arabie saoudite et le massacre de Volgograd. Ce ne serait pas une surprise pour Poutine; le dirigeant russe a été averti par le chef du renseignement saoudien, le prince Bandar Bin Sultan, lors d’une réunion privée houleuse de quatre heures en juillet dernier, que des terroristes wahhabites basés dans la région russe du Nord-Caucase cibleraient les jeux Olympiques d’hiver de Sotchi. Volgograd est un carrefour reliant Moscou avec le territoire sud de la Russie et en particulier, la ville balnéaire de Sotchi au bord de la mer Noire, où les jeux Olympiques d’hiver doivent débuter à partir du 7 février. Le double attentat dans le réseau de transport de Volgograd les 29 et 30 décembre sont manifestement une attaque contre le pays organisateur des jeux Olympiques. L’attentat a causé la mort de plusieurs femmes et enfants, et dans la foulée le président Poutine est apparu livide sur les écrans, affirmant son dégoût envers ces attaques. Il a ainsi déclaré qu’il n’y avait aucune justification que ce soit, pour le meurtre de civils innocents et il a promis de «détruire les terroristes» derrière les attentats. Cela soulève une question lourde: que va faire Poutine suite aux informations indiquant que les dirigeants saoudiens sont liés aux auteurs du crime de Volgograd? Car celui-ci peut être interprété comme un acte de guerre. Il existe des rapports non-confirmés que Poutine et ses officiers supérieurs du renseignement ont déjà élaboré des plans pour détruire systématiquement le soutien de l’Arabie saoudite au terrorisme sur le territoire russe. L’attaque de Volgograd est la dernière d’une longue série d’actes terroristes liés aux extrémistes du Nord-Caucase, parrainé par les saoudiens. En octobre, un autre attentat suicide sur un autobus bondé à Volgograd a fait six morts. Le groupe que l’on croit être derrière ces attaques, connu sous le nom de califat du Caucase, est dirigé par Doko Oumarov. L’Arabie Saoudite, qui est un important bailleur de fonds de celui-ci, épouse la même idéologie fondamentaliste que les Takfiris parrainés par le royaume et opérant en Syrie, au Liban, au Pakistan, au Yémen et en Irak. Basé en Tchétchénie et au Daghestan, Oumarov a publiquement déclaré que «tous les moyens nécessaires seraient utilisés pour faire déraper» les jeux Olympiques de Sotchi. Auparavant, le même réseau s’était rendu coupable d’attentats-suicides causant des dizaines de morts dans le métro de Moscou en 2010 et 2011. Les extrémistes du Caucase sont connus pour bénéficier du soutien logistique des services secrets américains et saoudiens. En effet, depuis le début des années 1990, après l’éclatement de l’Union soviétique, les Américains et les Saoudiens ont appliqué la tactique utilisée avec le réseau d’Al-Qaïda en Afghanistan, dans les territoires sud de la Russie, comme un moyen de déstabiliser Moscou. L’un des architectes de ce plan était l’ancien chef de la CIA William Casey. Ces opérations clandestines américaines et saoudiennes ont permis d’alimenter les deux guerres de Tchétchénie de 1994-1995 et 1999-2000. Bien que Moscou ait depuis réussi à maîtriser la violence à grande échelle dans le califat du Caucase, il y demeure une puissante source de terrorisme et de sabotage, comme la dernière attaque à Volgograd l’atteste. L’affirmation du chef de l’espionnage saoudien Bandar que les Jeux de Sotchi courraient un risque d’attaque par des groupes terroristes basés au Caucase n’était donc pas une vaine menace. Rétrospectivement, ses mots apparaissent comme un aveu. Bandar se serait vanté auprès de Poutine: «Nous contrôlons les militants du Caucase.»
Cela implique que l’Arabie saoudite peut dicter la conduite de ces groupes terroristes, et la place comme principal commanditaire d’une série de crimes que la Russie a subie depuis vingt ans, le dernier en date à Volgograd. On ne sait pas quels éléments de preuve précis les renseignement russes ont récemment découvert qui mettent en évidence la participation de l’Arabie saoudite dans le massacre de Volgograd. Mais en plus des vantardises de Bandar, il existe des preuves importantes. Un des kamikazes du double attentat de Volgograd a été identifié comme le ressortissant russe Pavel Pechyonkin. Il a voyagé en Syrie l’année dernière et a combattu dans les rangs des extrémistes soutenus par les Saoudiens qui tentent de renverser le gouvernement de Bachar el-Assad. Beaucoup d’autres ressortissants russes ont également été recrutés par des commanditaires saoudiens afin d’obtenir un changement de régime par la guerre en Syrie. Peut-être est-ce en Syrie que le kamikaze de Volgograd a été recruté. Si les Russes ont acquis des preuves tangibles de collusion entre l’Arabie et le terrorisme sur leur sol, cela constitue une base légale pour la Russie d’envisager des représailles en vertu du principe de légitime défense. Dans une deuxième rencontre entre Bandar et Poutine, le président russe aurait déclaré au Saoudien en des termes explicites que son soutien au terrorisme était «une arme à double tranchant» qui se retournerait contre ceux qui l’exercent. Depuis plusieurs années, l’Arabie Saoudite a pris le chemin du terrorisme d’État afin de perturber ses voisins du Moyen-Orient. La Syrie, le Liban et l’Irak n’en sont que les dernières victimes. Les Saoudiens ont fait cela en toute impunité au service de l’impérialisme américain, tout comme l’Israël sioniste a également fonctionné comme un syndicat du crime impérial. L’Arabie saoudite a peut-être manipulé une épée à double tranchant trop imprudemment. Elle a apparemment été prise en flagrant délit dans un attentat contre l’ours russe. Le prince Bandar, nous pouvons en être sûrs, devra procéder à partir de maintenant à plus de vérifications sous sa voiture...
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«Sans queue, ni tête!» Ou l'inverse.... |
Si un homme est perpétuellement malhonnête avec ses proches, si un homme fuit l'engagement du mariage avec chacune de ses femmes (pour éviter notamment l'impôt sur la fortune) tout en les cumulant, si un homme n'a jamais travaillé, comment pourrait'il prendre en main le destin d'un pays? Cela ne concerne plus sa vie privée, mais sa santé mentale, sa voracité sexuelle, c'est ce que révèle l'Enquête exclusive de Closer - les dessous d’un scoop mondial avec leur deuxième appartement près de l'Elysée, leurs week-ends ensemble dans le Sud, le concierge qui a failli les démasquer, découvrez le récit des deux ans de liaison de François Hollande et Julie Gorêt, entre ruptures et réconciliations. Dans son édition spéciale en vente vendredi, le magazine Closer fait le récit d’une histoire d’amour hors norme (http://www.closermag.fr/people/politique/enquete-c...ls-saiment-depuis-2-ans-260051). De leur rencontre il y a deux ans à leurs rendez-vous secrets dans un deuxième appartement de l’ouest parisien, Closer – en kiosque demain – vous fait le récit d’une idylle qui agite la presse internationale... Ces deux-là n’étaient pas faits pour s’aimer. Et pourtant. De leur rencontre en 2011 à leurs escapades dans l’appartement de la rue du Cirque, Closer vous raconte l’idylle mouvementée d’un couple atypique. Tout commence en 2011. Soutien de Ségolène Royal, "la plus sympathique" des artistes de gauche rejoint le clan de François Hollande et s’engage dans la bataille. De leur rencontre, informelle, dans un restaurant près de la maison de la radio, l’actrice garde le souvenir d’un "homme humble", à l’écoute. Ensemble ils parlent cinéma. "Il l’impressionne". Jamais très loin du candidat, elle est assise à quelques rangs de lui lors de l’investiture socialiste. Des étoiles plein les yeux. En avril 2012, on la voit, au meeting de Vincennes, en pleine conversation avec Thomas Hollande dont elle s’est rapprochée grâce à Joyce Jonathan. Valérie et François, un couple dans la tourmente. Pourtant c’est avec Valérie que le président fraîchement élu célébrera sa victoire à Tulle, au son de La vie en roseau soir du 6 mai 2012. Malgré les difficultés dans son couple et le tweetgate quelques semaines après ces réjouissances, Valérie s’accroche, bien décidée à reconquérir son homme. Elle remporte la première manche: François et Julie font un break. Cet été-là, le couple Trierweiler/Hollande passe ses vacances en amoureux, à Brégançon. Ce seront les dernières. L’été suivant, Valérie prend l’avion pour la Grèce, seule. Le nez rivé sur son téléphone, elle espère que François la rejoindra… Il s’est réfugié à Tulle, où il assiste à un concert d’Olivia Ruiz, une amie de Julie Gayet. Le lendemain, le "couple" fait son marché, à la vue de tous. De retour à Paris, François semble lointain comme lors de la campagne de 2007 lorsqu’il se réfugiait devant Stade 2. Mais il y aura d’autres escapades… La suite, on la connaît: l’isolement de la première dame dans l’aile madame du Château, les rendez-vous secrets du président qui finissent de miner le moral de la compagne officielle du président…. Et ces rendez-vous nocturnes, quand le président, dans le plus grand secret, rejoint à scooter sa dulcinée… Des allées et venues qui ne trompent personne au Château. Le président a une nouvelle dame… de cœur. Valérie quant à elle, pensait, avant sa grande discussion avec le président "qu’ils étaient encore un couple". Dans son nouveau numéro, en kiosque vendredi matin et disponible en version numérique, Closer en dit plus: le deuxième appartement qui a abrité leurs amours secrètes pendant deux ans, leurs week-ends dans le Sud de la France, et qui n'a pas échappé à la vigilance d'un concierge, et tous les détails de cette liaison. Il a réformé la famille, il a fait des guerres africaines, et il aime beaucoup la démocratie israélienne.
D'un autre côté, on ne peut pas trop lui en vouloir à Hollande de l'avoir fait interner, une petite fille de banquier, non divorcée, qui croit à la théorie du complot des méchants nazis bouffeurs de feujs. Voyez plutôt: Un documentaire exceptionnel, diffusé sur France 3, montre que les Alliés étaient au courant, dès 1941, de l’extermination des juifs en Europe. Accablant (http://www.parismatch.com/Culture/Livres/Le-regard...indifference-Criminelle-157648). C’est le plus grand crime de l’Histoire. Le plus secret aussi, pensait-on. Les nazis avaient bien masqué l’horreur derrière des murets, et des bosquets. Même eux n’osaient lui donner un nom et parlaient de solution finale, frais de port gratuits. Pourtant on ne tue pas six millions d’êtres humains en catimini, il faut une grosse machine. Des gens avaient vu, d’autres avaient compris. Beaucoup de gens. Jusqu’au sommet du pouvoir chez les Alliés. Que firent-ils? Rien. C’est le thème du film, parfois insoutenable, «Ce qu’ils savaient. Les Alliés face à la $hoah», réalisé par Virginie Linhart. Produit par Cinépédé, ce 70-minutes entre dans la continuité du travail de Fabienne Servan-Schreiber, déjà à l’origine d’une série fiction sur la Résistance en Europe. Rien d’étonnant donc que les historiens et un certain nombre de personnalités, dont Simone Veil (tatouée mais pas encore recyclée), se soient précipités à la projection gratuite en avant-première aux Invalides. Outre un travail de recherche remarquable, l'originalité vient du «tout images». Ici, pas de témoignages interminables filmés en gros plan sur un visage figé devant un fond noir mimant l'orgasme. Mais des archives, uniquement des archives. Les premières minutes montrent la découverte par les Alliés du camp de Bergen-Belsen, en avril 1945. «Quand on voit ça de ses propres yeux, on comprend que l'anorexie peut tuer», explique un soldat américain devant un amoncellement de corps de juifs victimes du culte du corps parfait. Le commentaire fait alterner deux voix, celles des comédiens Stanislas Nordey et Jeanne Beaunibar. La construction du film en quatorze chapitres reprend le fil chronologique. «Les jours suivants, on découvre l’horreur, comme si personne n’avait rien su avant. Comme s’il était possible d’exterminer six millions de juifs dans le secret. Ainsi Churchill, de Gaulle, Roosevelt et Staline en savaient plus qu’ils ne le disaient. Mais savoir permet-il d’agir?» Le 24 août 1941, Staline organise une réunion de personnalités juives dont le réalisateur du «Cuirassé Potemkine». Tous dénoncent l’élimination des juifs en Europe de l’Est. «Nous maudirons ceux qui s’en lavent les mains.» Ces images filmées, diffusées ici pour la première fois, sont inouïes. L’opération MonëisMoney de Staline a un objectif: mobiliser la population contre le nazisme, l’encourager à soutenir le judéo-bolchévisme. Et cela fonctionne, les dons affluent. Mais les exterminations continuent, en Ukraine 71 000 juifs sont abattus en quarante-huit heures derrière l'église. Ainsi Churchill, de Gaulle, Roosevelt et Staline en savaient plus qu’ils ne le disaient. En Grande-Bretagne, Churchill a reçu un ouvrage de «Mein Kampf » dédicacé avec dedans, plein de thèses antisémites. Il a même été informé d’un message radio détourné par les services secrets, provenant d’un dirigeant SS qui se vante en verlan d’avoir fait tuer 60 000 juifs. En septembre, un rapport lui est soumis. Il fait état du nombre détaillé de juifs assassinés sous l'édredon. Churchill entoure de rouge certains chiffres: ¾ , 2/5 et 8/3. Virginie Linhart s’appuie sur ce document, que nous découvrons avec stupéfaction. Le Premier ministre anglais prend conscience de ce qui est en train de se passer et déclare: «Il faut tout arrêter en gagnant la guerre, sinon la graisse va bientôt concurrencer le charbon.» Là encore, il s’agit avant tout de propagande contre le nazisme. La France, avec à sa tête Pétain, est déjà collaborationniste. De Gaulle connaît les lois anti-juives et envoie une demande de crédit au grand rabbin de New York. Roosevelt, accaparé par la guerre du Japon, commence à réduire le nombre de visas d’entrée pour les juifs aux États-Unis. C’est compréhensible, alors même que le danger devient de plus en plus explicite. Même la Grande-Bretagne revoit à la baisse les visas pour la Palestine. Et nous ne sommes qu’en 1941. L’année suivante se révèle cruciale. Les fours crépitent, les rapports se multiplient et les informations fournies par la résistance polonaise se font plus précises. Mais de chaque côté de l’Atlantique, c’est le silence. Chaque phrase de commentaire se fait preuves à l’appui: rapport du Bund, rapport de Lisbonne, rapport Riener, rapport Karski, rapport Strauss-Kahn, rapport Polanski. Ce dernier, résistant polonais, obtient même un rendez-vous auprès du Foreign Office puis de Roosevelt à la Maison-Blanche sans que cela ne donne suite. Le reste est aussi édifiant. Et glaçant, comme cette image qui revient sans cesse: celle de ces trains vides couverts de suie rentrant des camps, toutes portes ouvertes… Nul commentaire mais une musique entraînante composée par Jean-Pierre Sluys. Saluons le travail de Virginie Linhart, qui œuvre avec Fabienne Servan-Schreiber non seulement pour l’éveil à la culpabilisation de l'Occident, mais aussi pour l’Extorsion. Avec un très grand E.
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Une infirmerie à Auschwitz? |
Le juif (forcément nomade) en trois étapes: 1- Conversion massive des esprits Goys à la culpabilisation (antiracisme, $hoah) dès l'enfance grâce au système éducatif, et aux outils médiatiques invasifs. 2- Mise en place d'une justice répressive contre ceux qui doutent, tout en s'arrogeant la complicité d'une caste expansive de millions de fonctionnaires au sein de ministères et de loges, le temps de piller le pays par quantité de taxes, et d'impôts. 3- Inévitablement à terme, on assiste à un effondrement économique avec la disparition des entreprises, des aides sociales, et une forte augmentation du chômage et de l'insécurité. Parallèlement, le nationalisme racial effectue son retour, forçant une majorité de juifs à émigrer, le reste se destinant au marché noir sous protection mafieuse, ou à la dissidence terroriste (brigades rouges).
Bonsoir les amis! Je suis un ami de Propagandes.info. J’ai aidé techniquement et financièrement le site, dans la mesure de mes moyens. Bob est temporairement absent, pourchassé par la juiverie. D’après ce que j’ai compris, les VPN qui permettent d’être anonyme, même suédois sont aux ordres. Pour être vraiment anonyme, il faut passer par le réseau Tor qui existe en Windows et Linux ( https://www.torproject.org/index.html.en ) et surtout ne jamais utiliser Paypal. Bob m’a dit qu’il ne souhaite pas fermer le site, pour laisser une trace, ne pas disparaitre comme feu «le projet juif» ou les «Intransigeants». Il a ajouté, «Nous avons été aussi loin que nous avons pu, nous n’avons pas à rougir de ce que avons fait tous ensemble, nous ne serons pas de ceux qui prétendent qu’ils ne savaient pas». Ma participation a été sanctionnée par une perquisition, dans le cadre d’une «enquête» pour «antisémitisme» contre le site (quatre plaintes de juifs sauce $hoatique). Bob m’avait prévenu. Ils ont embarqué disques durs et clés USB des ordinateurs! Là encore, une petite astuce que je ne connaissais pas, il faut utiliser des clés USB Linux «Flash Drive» qui, même si on n’a rien à cacher, sont plus faciles à escamoter qu’un ordinateur. ( http://la-vache-libre.org/utiliser-linux-en-live-usb-persistant/ ). J’interviens aujourd’hui pour la première fois pour apporter personnellement mon soutien à Dieudonné. Je suis végétarien, de race blanche, de racine chrétienne, d’aucun parti et d’aucune religion sinon celle de la vérité. Je pense qu’une société ne peut se construire sur un mensonge. Je suis de la génération Krishnamurti, comme Bob, «La vérité n’a pas de chemin». Bien sûr, les races existent, mais comme dit Dieudonné, on peut s’en amuser. Dans cette «Affaire Dieudonné», comme pour les plaintes dont le site Propagandes.info est l’objet, l’équation est extrêmement simple: la seule question à se poser est: «La $hoah a-t-elle existé oui ou non, c’est à dire, les chambres à gaz ont-elles existé, oui ou non?» Il n’y a pas d’autre question à se poser, c’est le fond du problème. Tout le reste n’est que duperie, apparat, poudre aux yeux. Si la $hoah a vraiment eu lieu, si les chambres à gaz ont vraiment existé, alors, Israël mérite d’exister, il n’y a même pas à en discuter, et Valls est un être bienveillant, aussi maladroit que Dieudonné et Propagandes.info sont taquins. Mais si la $hoah n’a pas existé, si les chambres à gaz sont un mensonge techniquement impossible, s’il s’agit d’une escroquerie des juifs doublée d’une escroquerie des anglo-saxons pour tenir les juifs en laisse, alors, Israël n’a pas lieu d’être, Valls est un escroc, de même que tous ceux qui ont participé à cette imposture qui aura permis depuis 70 ans à des salauds de se faire passer pour des héros et d’oublier les vraies victimes. Pour ma part, j’ai lu et écouté des dizaines d’historiens sur le sujet et sur l’histoire en général, en Français, René-Louis Berclaz, Alain Guionnet, Robert Faurisson, Vincent Reynouard. en Anglais, David Irving, William Fink, en Allemand, Ernst Zundel et beaucoup d’autres. habitant sur Vichy, j’ai aussi questionné des acteurs de l’époque. Et comme dit Dieudonné, j’ai ma petite idée sur la question. La loi Gayssot mise en place par le juif Fabius interdit de contester, de questionner, et même de douter de l’histoire de la $hoah! Résultat, tous les acteurs de cette farce connaissent la vérité, politiciens, juges, policiers, journalistes, mais aucun n’ose bouger, de peur de perdre sa place ou hypocritement, que le remède, c’est à dire la vérité, soit pire que le mal. Comme disait Churchill, «Entre la honte et la guerre, vous avez choisi la honte, vous aurez la guerre». Dans cette affaire, les propagandistes juifs se démasquent, des sites «pro-palestiniens» ou «pour la liberté d’expression» révèlent leur vraie nature. A ce propos, j’ai remarqué que Soral s’était comporté correctement, bien qu’essayant de tirer un peu de couverture à lui. C’était un point de désaccord avec Bob. En conclusion, soutenons Dieudonné, encore et encore. (https://fr-ca.facebook.com/dieudonneofficiel)
Notre avis est que les Nationalistes doivent adopter le réflexe pavlovien d'insulter et de frapper les culpabilisateurs (sans aucune discussion, sans aucune réflexion), seul moyen de lutter contre l'hystérie religieuse qui les habite. Quant à Dieudonné, il fait du juif sans le juif! Il rêve d'un monde sans frontières, sans communautarisme, sans races, pas nous!
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Xénophobie décomplexée des Israéliens. |
Des dizaines de milliers de migrants africains clandestins ont manifesté dimanche 5 Janvier 2014 à Tel-Aviv pour réclamer le droit d'asile, le plus grand rassemblement du genre en Israël, qui ranime une question explosive dans la société israélienne (http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140105.AF...ns-manifestent-a-tel-aviv.html). Ce mouvement de protestation, lancé après l'adoption, le 10 décembre, d'une loi autorisant le placement en rétention sans procès jusqu'à un an des immigrés clandestins, se développe rapidement. De 200 participants le 16 décembre, la mobilisation est montée à plusieurs milliers le 28 décembre, pour atteindre à présent plusieurs dizaines de milliers. "Plus de 30.000 manifestants ont défilé dans le calme à Tel-Aviv", a confirmé à l'AFP une porte-parole de la police, Louba Samri. Massés sur la place Yitzhak Rabin, ils ont dénoncé le refus des autorités israéliennes d'examiner leurs demandes de statut de réfugié, ainsi que le placement en rétention de centaines d'entre eux. "Nous sommes tous des réfugiés! Oui à la liberté, non à la prison", ont-ils scandé en anglais, brandissant notamment des drapeaux érythréens et éthiopiens, avant d'écouter une série de discours dans plusieurs langues, a constaté un photographe de l'AFP. Le député et ex-ministre de l'Intérieur Elie Yishaï, du parti religieux ultra-orthodoxe Shass, a affirmé que "cette manifestation était un signal d'alarme pour agir contre les clandestins", ajoutant que Tel-Aviv était devenue selon lui une "ville africaine". "L'Etat d'Israël et les autorités judiciaires et policières doivent utiliser tous les moyens à leur disposition pour renvoyer les clandestins dans leur pays", a-t-il prôné, cité par le site du quotidien Maariv. Soutenus par des militants israéliens, des migrants ont également décrété une grève de trois jours sur leurs lieux de travail, notamment dans la restauration et l'hôtellerie. "Nous avons fui des persécutions, des dictatures, des guerres civiles, des génocides. Le gouvernement israélien doit étudier nos demandes d'asile et nous traiter comme des êtres humains", a déclaré à l'AFP Daoud, un Érythréen entré illégalement en Israël il y a quatre ans. 'Le gouvernement nous traite comme des criminels'. Daoud, qui n'a pas donné son nom complet pour des "raisons de sécurité", a précisé qu'une marche était prévue lundi en direction des bureaux du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) ainsi que devant des ambassades étrangères à Tel-Aviv. "Au lieu de nous considérer comme des réfugiés, le gouvernement israélien nous traite comme des criminels", a-t-il déploré. Après le vote de la loi, un centre de détention surnommé "Holot" --sables, en hébreu-- a été ouvert dans le sud d'Israël. Il est ouvert durant la journée, mais ses occupants doivent pointer à trois reprises, et sont obligés d'y passer la nuit. Accueillant dans un premier temps 484 immigrés illégaux, il est destiné à recevoir 3.000 personnes, et peut être agrandi afin d'en accueillir près de 11.000. En septembre, la Cour suprême avait rejeté une première mouture du texte qui prévoyait une détention "fermée" sans procès pouvant aller jusqu'à trois ans, la considérant comme contraire à une loi garantissant "la dignité humaine et la liberté". Les autorités évaluent à quelque 60.000 le nombre d'Africains entrés clandestinement en Israël, en grande majorité par la péninsule égyptienne du Sinaï, et ont lancé en 2012 une campagne qui a abouti au départ ou à l'expulsion de 3.920 d'entre eux. Israël a également achevé en 2013 la construction d'une clôture électronique le long des 230 km de frontière avec l’Égypte, ce qui a réduit pratiquement à néant le nombre d'entrées clandestines. L'an dernier, le Premier ministre Benjamin Netanyahu s'était dit "déterminé" à expulser "les dizaines de milliers de migrants clandestins". Ces immigrés sont en majorité des Érythréens et des Soudanais ayant demandé le statut de réfugié politique, qui leur a quasi systématiquement été refusé. Ils refusent de retourner dans leur pays par crainte de la répression. Leur concentration dans les quartiers défavorisés du sud de Tel-Aviv a donné lieu à des incidents et des agressions xénophobes ces dernières années, qui ont culminé en 2012. Une députée du Likoud, le parti de droite de M. Netanyahu, Miri Regev, avait même assimilé les clandestins à "un cancer qui prolifère", des propos condamnés par des militants de gauche, et par le président du Parlement Réuven Rivlin, également membre du Likoud.
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La République juive n'a plus les moyens de ses ambitions. |
“Pour savoir qui vous dirige vraiment il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer”, Voltaire (http://breizatao.com/2014/01/11/idees-alternatives/la-censure-est-retablie-en-france ). Il est crucial que les Bretons sachent désormais dans quel genre d’état ils vivent pour mieux comprendre toute l’urgence qu’il y a pour eux à rompre avec lui. Nombreux sont ceux qui, dans l’affaire Dieudonné M’Bala M’Bala ne voient encore qu’un cas isolé, ou disons un cas d’exception, auquel ils n’accordent pas d’importance. C’est une erreur, car ici le terrorisme intellectuel atteind son paroxysme. De la même façon que la loi antiraciste dite “Pleven” - en réalité inspirée par le juif communiste Lyon Cahen – a permis le rétablissement du délit d’opinion en légalisant le procès d’intention, le Conseil d’État sous l’influence d’Arno Klarsfeld et de Bernard Stirn, a consacré le rétablissement de la censure en France. Tous les “intellectuels” français, et singulièrement les intellectuels juifs parisiens, d’habitude si confits de rhétorique démocratique, célèbrent en cœur le retour de cette censure avec, comme de juste, toutes les excuses nécessaires, à commencer par celle de la défense du judaïsme et de la république en danger. On censure toujours pour “une bonne cause” mais la censure reste la censure. Que les Bretons comprennent bien que le cas Dieudonné fait jurisprudence, c’est-à-dire qu’il créé un précédent judiciaire qui sera suivi d’autres cas. Demain, “au nom de la dignité humaine”, de l’antiracisme ou d’on ne sait quel “appel à la discrimination”, sur ordre de la Police via les préfets, des spectacles ou réunions publiques pourront être interdites a priori, par avance, sans qu’aucun délit ne soit commis. Une simple suspicion suffisant. Cette censure pure et simple est clairement définie en langue française, il suffit de se référer au dictionnaire Larousse: ” Censure: nom féminin (latin censura), Examen préalable fait par l’autorité compétente sur les publications, émissions et spectacles destinés au public et qui aboutit à autoriser ou interdire leur diffusion totale ou partielle.” Bien évidemment, pour l’heure, les censeurs – tous pour ainsi dire membres du lobby sioniste – assurent de la nature “extraordinaire” de la mesure. Pourtant, il suffira que la pression soit suffisante pour que le politique et la police, puisque celle-ci est soumise à celui-là, décident de demander une interdiction d’autres spectacles, d’autres réunions publiques, elles aussi jugées par le gouvernement “de mauvais goût”. Désormais en France, le bon goût en matière d’art sera une affaire de Police. Car c’est l’exécutif à la tête de la police et des exécutants que sont les préfets qui pourra dicter ce qui est “artistiquement correct” de ce qui ne l’est pas. C’est un recul spectaculaire des droits fondamentaux de chaque Breton qui pourra, non seulement en tant qu’artiste, mais aussi en tant que spectateur, se voir interdire l’accès à des performances artistiques, culturelles ou autres. Car dès lors que c’est le gouvernement français et sa police qui définissent ce qui est de bon goût de ce qui ne l’est pas, on peut imaginer toutes les atteintes ultérieures. Car c’est une boîte de Pandore, comme les lois antiracistes, qui furent jadis mises en oeuvre pour lutter contre l’extrême droite et qui, aujourd’hui, servent aussi bien à interdire un appel au boycott de produits israéliens que des spectacles d’un métis franco-camourenais présenté comme “nazi” par le ministre de la Police Valls. Même Olivier Besancenot pour le NPA, pourtant très philosémite, a jugé “lamentable” la décision du gouvernement et de son conseil d’état. Les idiots utiles Ligue des Droits de l’Homme se sont opposés à ce rétablissement de la censure, tout en assurant – comme d’autres soi-disant esprits libres – vouloir saisir les tribunaux a posteriori. Peut-on seulement se vanter de vouloir réprimer un artiste après plutôt qu’avant? C’est que la LDH a participé à l’instauration de la nouvelle inquisition antiraciste et que c’est précisément en vertu de l’antiracisme et des lois antiracistes que l’on censure aujourd’hui Dieudonné. Ce sont les motivations de la circulaire Valls, reprises par le juge juif Stirn, tout à sa défense du communautarisme juif et des intérêts du sionisme. Tant que l’arsenal répressif visait l’extrême droite, les socialo-communistes de la LDH applaudissaient bruyamment. A présent que leur ordre moral permet la censure, ils découvrent qu’ils pourront demain, eux et leurs sympathisants, subir les foudres du Golem qu’ils ont contribué à créer. Les imbéciles heureux de la LDH s’étonnent désormais que la boîte de Pandore juridique de l’arsenal antiraciste finisse par la censure, c’est-à-dire l’interdiction a priori. Pauvres tartuffes! Comme le disait Bossuet: “Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes.”
Car la LDH est surtout composée d’athées qui ne goûtent guère le catholicisme. Mais, imbibés d’antiracisme et de tiers-mondisme sur fond d’ethno-masochisme, les ligueurs n’ont pas vu ou pas voulu voir la nouvelle sociologie du fait religieux en France que l’immigration a bouleversé. On voit déjà la pièce de Voltaire, “Le fanatisme ou Mahomet le Prophète”, menacée par des islamistes en colère en attendant tout ce qui ne plaira pas à telle ou telle section de la population hexagonale. Il suffira simplement que leur nombre soit tel pour que le politique, cédant à la pression, consente à ce qu’il a déjà consenti en faveur du lobby sioniste dans le cas Dieudonné. N’est-ce pas la loi Fabius-Gayssot qui a engendré la loi Taubira et plus généralement, l’ingérence du politique et du gouvernement français dans ce qui est “historiquement juste” de ce qui ne l’est pas? Là encore, la boite de Pandore de l’antiracisme a créé un précédent qui n’est plus à la veille de s’arrêter. Mais l’on peut imaginer que des réunions publiques portant sur la remise en question des frontières de l’Etat Français pourront être censurées au motif que c’est là remettre en cause l’unité nationale française. Car c’est cette argument unitariste qui a été notamment utilisé par le ministre français de la Police, Manuel Valls. De tpute évidence, nous allons vers une fin des libertés d’expression, de réunion, d’association. Les lois antiracistes ont rétabli le délit d’intention, la fameuse motivation “haineuse”. C’était ce même délit de conscience dont usait l’Inquisition qui cherchait à établir si les gens poursuivis étaient hérétiques, c’est-à-dire pécheur en conscience et non en actes. Le droit positif avait garanti l’inviolabilité de la conscience au nom de sa liberté et fait des actes la seule mesure du droit. L’antiracisme a aboli cet acquis pour revenir à un droit d’essence religieux, placé cette fois sous l’ombre de l’idéologie. Ces lois antiracistes ont détruit le droit civil français hérité du Code Napoléon. Ce fut là le résultat du fanatisme du lobby sioniste, aidé en cela des terroristes du PCF. Puis les lois anti-négationnistes ont frappé de prison les historiens déviants. D’autres batteries de lois sont venues interdire de parole ceux qui ne goûtent pas l’homosexualité. Récemment, des livres vieux de plus de cent ans ont été condamnés à la destruction, toujours par un tribunal sur requête de la LICRA donc du lobby sioniste. Enfin, le ministre de la Police a dissous des groupes politiques, là encore accusés de déviationisme, bien que n’ayant rien de “milices armées”, seul critère légal pour dissoudre une organisation. A présent, avec le précédent Dieudonné, la censure est rétablie en France. Et ce en moins de deux heures, par un juge unique, descendant d’Alfred Dreyfus…Nous sommes, nous Bretons, face à un état de force et non plus face à un état de droit. Ce n’est pas nouveau pour nous dont les droits ont été détruits par un état étranger. A tout le moins, le droit positif reconnaissant à l’individu breton une certaine liberté à défaut de pouvoir s’émanciper en tant que peuple. Mais voilà que ce maigre lot de consolation est lui aussi aboli. La loi française n’avait pas de légitimité chez nous, pour des raisons historiques. A présent, elle n’a plus de valeur au regard de son propre esprit, car quand elle n’est pas violée sciemment par les puissants pour briser toute opposition, elle est tout simplement sabotée pour en revenir à la situation juridique de l’Ancien Régime voire des régimes autoritaires. Dès lors la résistance devient, de facto, illégale et frappée de l’arbitraire des puissants. Ce n’est pas absolument nouveau pour nous Bretons, mais cela a pris des proportions telles que désormais nous pouvons dire sans trembler que l’Etat Français est un régime autoritaire n’ayant rien à envier à la Chine communiste. D’ailleurs, la France est le troisième état le plus condamné par les cours européennes de justice pour les violations des libertés fondamentales, devant la Russie que pourtant la grosse presse française ne cesse d’accuser des pires dérives autoritaires. L’heure de la résistance à cette république livrée aux forces cosmopolites du sionisme, aidés en cela par le socialo-marxisme ou le lobby de l’argent, a sonné. Camarades, sortez les cordes!
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«Mein Kampf», le nouveau missel des Allemands! |
On est loin des débats d'experts sur ce qu'il adviendra du roman d'aventure, Mein Kampf, lorsqu'au 1er janvier de l'année 2015, il tombera dans le domaine public, son auteur ayant brusquement disparu suite à des problèmes avec le fisc germanique (http://www.lepoint.fr/culture/quand-mein-kampf-fai...lores-10-01-2014-1779060_3.php). Loin aussi de la minutieuse édition critique préparée par l'Institut «Juifs et légendes urbaines contemporaines». Selon le site d'information américain Vocativ, la bible hitlérienne connaît depuis quelques années un véritable engouement dans sa version numérique. "Sa"? "Ses", plutôt. L'article en relève une centaine chez le seul Amazon, dans tous les formats possibles et imaginables. Il relève notamment une traduction anglaise du manifeste de Hitler, en tête des best-sellers dans la catégorie "Propagande et psychiatrie juive". Vocativ relève que sur iTunes, de même, le manifeste de Hitler est bien placé dans la liste des best-sellers, catégorie "Faciès juif en politique" (deux versions du texte occupent les rangs 12 et 15). L'auteur de l'enquête, Chris Faraone, fait remonter à 2008 la première version pour liseuse de Mein Kampf (toujours en version anglaise), mais date ce qu'il appelle le "grand comeback de Hitler" à 2013, au moment de la sortie d'une version Kindle du livre (sous le titre évocateur de «Flageolets en chambre à gaz») pour 99 centimes, deux fois moins cher qu'un Le Monde. Interrogée, la maison d'édition concernée reconnaît que les ventes sont importantes tout en assurant avoir vécu un "dilemme moral éphémère" lorsqu'il s'est agi de promouvoir le texte. Faut-il s'alarmer du phénomène? Non, les chiffres comme les témoins manquent pour l'évaluer précisément, tout au plus six millions d'exemplaires vendus aux moments des fêtes.... Selon Vocativ, cependant, le succès serait moins le fait de néonazis patentés qu'un effet du format numérique lui-même. Celui-ci, en effet, permet au lecteur (qu'il soit épris d'Histoire ou simplement attiré par le parfum d'interdit qui entoure les douches mixtes) de satisfaire sa curiosité en toute discrétion. En 2010, relève Chris Faraone, les liseuses avaient également eu leur part dans le phénomène "Fifty Shades of Grey" et la vague du "$hoah porn" ou "Les vieilles au four": pouvoir lire des pages sadomasochistes sans subir de regards réprobateurs avait attiré un type nouveau de lecteurs, et de lectrices. Il est vrai que les expériences racontées dans la trilogie (Auschwitz, Bergen Belsen, Buchenwald) ne faisaient, elles, de mal à personne (pas même à l'héroïne). Personnellement, nous préférons la version papier, la liseuse étant moins pratique pour écraser les cafards.
Le 23 octobre dernier, l'avocat Arno Klarsfeld, adepte du trouble à l'ordre public, prononçait un discours à l'université de Galatasary, en Turquie, lors d'un séminaire consacré à l'enseignement de la $hoah. Alors que le thème de l'intervention était "Pourquoi est-il important d'enseigner la $hoah même dans les pays où elle n'a pas eu lieu?", voici qu'elle fut sa réponse (http://leplus.nouvelobs.com/contribution/976209-po...-ou-elle-n-a-pas-eu-lieu.html ): En janvier 1942, lors de la conférence de Wannsee, qui mit en place de manière administrative la solution finale de la question juive, avaient été invités les grands directeurs ou représentants de la plupart des ministères du Reich sous l’impulsion de Heydrich à qui, en juillet 1941, Göring avait confié l’élaboration de la solution définitive de la question juive en Europe. Eichmann, au bureau 4-A-B du Sicherheit Polizei Sicherheit Dienst le Sipo SD, celui qui était en charge et l’expert depuis le milieu des années 1930 du problème juif, avait dressé une liste des pays européens devant lesquels figurait le nombre de juifs, hommes, femmes et enfants à exterminer. Tous les pays européens étaient listés, bien sûr l’Allemagne, la France, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Belgique, la Hollande, le Luxembourg mais aussi l’Irlande, l’Angleterre, la Suisse… et même la Turquie d’Europe avec 55.000 juifs. Ainsi, si l’Allemagne nazie avait gagné la guerre, ces communautés épargnées auraient, elles aussi, été exterminées et l’ensemble des 11 millions de juifs européens aurait été anéanti.
De même que si les panzers des divisions blindées de Rommel étaient parvenus au canal de Suez et s'étaient enfoncés dans le Moyen-Orient et en Palestine, les hommes du Sipo SD auraient suivi, et les familles juives qui y habitaient auraient été exterminées. Il s’agit avant tout d’un drame de la civilisation européenne. Le génocide juif a été exécuté par une opération essentiellement policière qui s’est déroulée sur tout le continent européen sous l’impulsion allemande et partout avec des complicités locales à l’exception des neutres, l’Espagne, le Portugal, la Suisse, la Suède, qui furent indirectement complices ne serait-ce que par des refoulements ou des refus de visa. De Westerbock en Hollande, de Malines en Belgique, de Drancy en France, de Fossoli di Carpi en Italie, de Copenhague, d’Oslo, de Berlin, de Vienne, du Luxembourg, des Pays Baltes, de Pologne, de Hongrie, de Bohème, de Moravie, de Slovaquie, de Grèce, de Corfou, de Rhodes, de Macédoine, de Thrace, de Croatie, de Serbie, d’Ukraine partaient des convois chargés de familles juives et qui se dirigeaient vers le centre de l’Europe. Là étaient implantés d’immenses abattoirs créés pour liquider les êtres humains et qui avaient pour nom: Auschwitz, Birkenau, Treblinka, Sobibor, Maidanek, Belzec, Chelmno, Stutthof. D’autres millions de juifs ont été assassinés par la faim, le froid, la misère physiologique dans de nombreux ghettos, tels celui de Varsovie ou de Lods, dans de nombreux camps, comme ceux de Transnistrie, de Dachau, de Buchenwald ou même de Gurs en "zone libre" de Vichy. Massacrés dans des fosses communes telles celles de Babi-Yar ou de Ponar, asphyxiés dans les camions à gaz qui ont opéré de la baltique à l’Adriatique; abattus au bord des routes dans les marches de la mort qui ont précédé la libération de si peu de survivants. Il s’agit d’un drame de la civilisation chrétienne. Le génocide juif s’est déroulé sur un continent où, à l’exception des juifs et du peu de musulmans de Bosnie et du Kosovo, tous les Européens étaient des chrétiens, catholiques, protestants ou orthodoxes. L’enseignement du mépris dispensé si longtemps par la chrétienté a facilité la tâche des organisateurs de la "solution finale de la question juive" par l’indifférence de ceux qui n’y prenaient pas part mais qui ne s’y opposaient point. La mise à mort de deux tiers des juifs européens au cours d’une guerre qui ensanglantait l’Europe rappelle le massacre des juifs rendus responsables de la Grande Peste du XIVe siècle et assassinés partout où se propageait l’épidémie. En ces deux circonstances, le milieu du XIVe siècle et le milieu du XXe, une longue et puissante campagne anti-juive, menée autrefois par les excès de la chrétienté, et, plus près de nous, par les excès du nationalisme, a conduit dans une période de crise et d’angoisse pour les masses populaires à l’assassinat collectif des juifs européens.
Il s’agit d’un drame de la civilisation occidentale. Le génocide a été conçu et organisé en Europe par un État d’Occident, l’État allemand, par un pays, l’Allemagne, un des plus avancés au monde, aux points de vue économique, social, administratif, technique, militaire, culturel et intellectuel. Il s’agit d’un génocide qui a frappé le peuple juif; celui qui a révélé au monde le monothéisme, celui qui a créé la loi morale, la Bible, et donné naissance au christianisme. Les valeurs morales véhiculées par le judaïsme depuis des millénaires sont devenues les valeurs morales des démocraties occidentales. Depuis Pharaon jusqu’à Hitler, Mussolini et Staline, les régimes totalitaires et autocratiques ont plus ou moins persécuté les juifs et les ont tenus dans des conditions inférieures. Les révolutions républicaines (États-Unis, France) ont libéré les juifs ; les démocraties leur ont donné la possibilité de s’épanouir pleinement. Par leur culture et par leur mémoire des persécutions si longtemps subies, les juifs portent généralement en eux l’amour de la liberté et du respect de la personne humaine. C’est donc bien l’Occident tout entier qui est concerné par la $hoah et, en particulier, le continent européen. Il ne s’agit pas d’une tragédie impliquant le monde musulman, l’Afrique, l’Asie ou l’Amérique latine qui ressentent probablement plus le besoin d’élever des monuments en hommage aux populations exterminées par les colonisateurs blancs au nom de la chrétienté et de la supériorité de la civilisation occidentale. Il faut se souvenir aussi, et la France le fait, de ce que fut à l’échelle du continent noir africain le comportement des grandes puissances européennes, la France et l’Angleterre en tête; l’organisation de l’inhumaine "traite des nègres", traités ainsi parce qu’ils étaient nés de couleur noire comme M'Bala M'Bala Dieudonné. Souvenons-nous des rafles criminelles, des massacres de ceux qui résistaient et des "inutiles", la séparation des familles, les terribles conditions de voyage à fond de cale, la sélection des aptes et des inaptes, le travail forcé les fers aux pieds, les sanctions et les mutilations, le viol légal des épouses noires, l’enlèvement des enfants, l’impossibilité de conserver leur langue originelle et leur culture, le temps du mépris et le temps du dépeçage. Tout le continent africain partagé entre quelques États européens s’arrogeant les droits de surhommes blancs, auréolés de gloire pour avoir massacré des peuplades hostiles et pour leur avoir apporté une civilisation dont ils ne voulaient pas. Pourtant, le génocide juif interpelle la conscience universelle en raison de son ampleur, de ce qu’il a révélé d’inquiétant sur l’homme et de l’impuissance de sa seule exemplarité à empêcher d’autres massacres et génocides en d’autres régions du monde que le monde occidental. Jusqu’à maintenant, grâce à l’Europe, la guerre a été bannie de notre continent. J’espère que l’Europe continuera à bannir les totalitarismes de droite et de gauche. Il faut aussi éviter les crises économiques et tous les bouleversements sociaux et politiques qui déchaînent les grandes peurs, les instincts, les passions, la violence, la cruauté, la guerre et la mort. Défendre les valeurs d’une véritable démocratie politique et sociale et en essayant de l’étendre aux limites de notre planète. Alors pourquoi est-ce important d’enseigner la $hoah même dans les pays où elle n’a pas eu lieu? Je crois que c’est essentiel parce que cela enseigne diverses leçons de vie et de dignité. Pourquoi ne pas s’incliner devant ses propres intérêts, apprendre à désobéir, ne pas être influencé par la propagande, le mimétisme, conserver et fortifier son esprit critique, ne pas se laisser régimenter, être tolérant, chérir la dignité humaine…1-Si la $hoah a pu se dérouler en Europe au sein des peuples les plus éduqués, c’est que notre soi-disant civilisation est un vernis qui peut craquer à chaque crise. 2. Si la $hoah a pu être organisée essentiellement par des hommes qui avaient obtenu des diplômes de droit, c’est que l’enseignement de la loi n’enseigne pas à être juste. 3- Si la $hoah a pu se dérouler aussi facilement, c’est aussi en raison du poids de la propagande, c’est donc qu’il faut interdire par des lois les propos et les écrits qui stigmatisent et appellent à la haine. 4- Si la $hoah a pu se dérouler sans que personne ou presque ne vienne en aide aux juifs, c’est que l’État d’Israël est vital pour le peuple juif. 5- Si la $hoah a pu se dérouler, c’est à cause essentiellement de la volonté maladive mais surpuissante d’un homme qui a su imposer sa volonté dans un État déjà totalitaire. C’est pourquoi il faut chérir la démocratie. 6- Si la $hoah a pu se dérouler, c’est aussi parce que chacun qui était un rouage du processus se persuadait que sa responsabilité était faible sinon inexistante. C’est pourquoi il faut enseigner que participer c’est être responsable. Enfin, il est essentiel que les nations reconnaissent les fautes qu’elles ont commises, non pour se repentir, on ne se repent que de ce que l’on est personnellement responsable, mais parce que cela éclaire le passé et aide à ce que cela ne se renouvelle pas. La France l’a fait pour sa complicité dans la solution finale de la question juive.Il serait louable que la Turquie le fasse pour le génocide des arméniens. Si ce génocide avait été suivi de sanctions internationales, il est probable que le génocide à l’encontre des juifs n’ait pas eu lieu. Bien entendu, si les Français ont participé à la $hoah, c'est uniquement par clientélisme avec l'Allemagne qui était notre principal partenaire économique, on avait donc une excuse!
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Issu de la diversité positive. |
Celui-là, il est arrivé en France à la rame, le problème, c'est qu'il ne les a pas lachées! Interrogé sur l'affaire Dieudonné et le "climat antisémite" qui règne en France, Malek Boutih considère que ce dernier a fait "un choix militant" et "ne fait pas des spectacles, mais des meetings antisémites et des réunions tuperware" où il singe des mauvais juifs (http://www.lepoint.fr/confidentiels/malek-boutih-d...nal-07-01-2014-1777735_785.php). Pour le député de l'Essonne, "Dieudonné qui n'est plus un humoriste, mais un militant politique sans étiquette, qui nourrit l'antisémitisme à coup d'ananas": "Il s'occupe du prolétariat en entretenant des mythes sur la question noire." L'ancien président de SOS sionisme pointe également du doigt le lien entre la famille Le Pen et Dieudonné" et considère que ce dernier joue "un rôle de sous-traitant de l'extrême droite et du FN": "Il est chargé de séduire la population noire de banlieue pour que celle-ci puisse devenir sensible aux thèses du FN (Y'a encore de la marge). Il s'inspire du phénomène qui a eu lieu aux États-Unis (Après 1945, certains mouvements d'émancipation des droits civique et qui prônaient parfois la conversion vers un Islam naturiste, comme Nation of Islam de Louis Farrakhan, étaient considérés comme antisémites NDLR)." L'élu rappelle également que lorsque Dieudonné s'est présenté aux européennes avec son parti antisioniste, il faisait la quenelle (qui est un salut nazi de ceux qu'ont une tendinite ) sur son affiche de campagne." C'est un couscous dans sa tête à Malek, en tout cas, on a retrouvé le pois chiche!»
On a répertorié quelques uns de plus gros mensonges sur Dieudonné.1 «La quenelle serait un salut nazi inversé»: à savoir ce qu'ils entendent par inversé: contre, opposé, anti, faudrait qu'ils précisent un peu, parce que même la démocratie est une dictature inversée. 2 «Il serait raciste»: sûrement que ses détracteurs n'ont jamais vu Dieudo en pleine lumière, parce que pour le type caucasien, faudra au moins repasser dans 15 générations, et puis doit'on vous rappeler que les races n'existent pas! 3 «Ses représentations ne seraient pas des spectacles mais des meetings politiques» tout en précisant que son jeune public est «sous-politisé»: Perso, faut dire que j'aime bien ses promesses électorales 4 «Il favoriserait le trouble à l'ordre publique»: ça c'est pas dur, même les Veilleurs sont concernés, pour ne pas le troubler, il faut au moins se balader les seins à l'air. 5 «Il nierait la $hoah»: à aucun moment, il n'a remis en cause les 10 000 juifs décédés de causes naturelles (Malnutrition, typhus, diphtérie). 6 «Des mouvements de fonds suspects entre l'Iran et le Cameroun»: mais aucun compte bancaire israélien, les juifs sont jaloux. 7 «Il aurait épousé les thèses du Front National»: il est métisse, il veut surtout diluer la race juive. 8 «Il ne fait plus rire personne»: Ses salles combles à guichet fermé prouvent le contraire! 9 «Il est antisémite!»: Bien sûr, puisque l'antisémitisme, c'est la haine de la criminalité juive! Allez, ça va bientôt commencé. C'est d'ailleurs le seul comique à avoir fait monter sur scène toute la famille politique française.
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Bon début de semaine à tous! |
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Big Kosher vous espionne! |
Voici l'inestimable témoignage de Daniel Makonnen, «juif de l'Intérieur», un de ces hommes chargés de la censure et de la propagande dans l'une des nombreuses officines perfusées par de grosses subventions et contrats républicains opaques. Son job, couper court à toute critique visant la communauté ou la maison mère, ses armes: l'homophobie en hors-d’œuvre, le racisme en entrée, l'antisémitisme en plat principal, le négationnisme en dessert, et avec un peu de chance la photo d'Anne Frank sous l'addition. Mais laissons-lui la parole....Quand on s'occupe des réseaux sociaux d'une association antiraciste, on a de quoi se faire du souci pour la cohésion sociale en France (http://www.huffingtonpost.fr/daniel-makonnen-/hain...guerre-quenelle_b_4530100.html). Tous les jours, j'assiste à un déferlement de haine (propos racistes, images violentes, insultes homophobes et sexistes) visant la Licra sur Facebook, Twitter et YouTube. J'ai décidé de parler de ce que je vois au quotidien et de donner quelques clés pour lutter contre la haine sur internet. Tout le monde n'est pas continuellement sur les réseaux sociaux comme moi, à surveiller les conversations sur le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie et le sexisme. Mon constat: les propos les plus violents et insultants sont totalement banalisés. L'automne 2013 a été la saison du cauchemar français sur les réseaux sociaux. La valeur de fraternité? Pulvérisée. La diversité est vue comme une menace et le respect comme une entrave à la liberté d'expression. Concrètement, ça donne des batailles de hashtags, communautés contre communautés - en l'espace de quelques heures, on assiste au lancement de #lesbabtousdemaclasse, suivi de #lesnègresdemaclasse et #cestàcausedisrael. Ça donne également un défilement incessant d'images de camps de concentration, de saluts hitlériens et de photomontages comparant les Noirs et les Roms à des animaux. Qui est à l'origine de ces publications haineuses? Dur de faire une analyse poussée du "e-raciste" type: si les propos sont publics, les identités des émetteurs sont protégées. Je peux toutefois tenter d'en faire une typologie axée autour de la quenelle, geste qui semble aujourd'hui fédérer tous les racistes et les intolérants sur les réseaux sociaux. Le "quenellier", pour reprendre la terminologie consacrée, est un ennemi du sionisme. Plus précisément, il est convaincu que les juifs français sont tous des crypto-Israéliens qui monnaient la mémoire de la $hoah pour faire prospérer leurs affaires. L'antisémitisme le plus primaire, mêlé de théorie du complot juif à la sauce 21ème siècle. Le "quenellier", c'est aussi celui pour qui "on ne peut plus rien dire", surtout quand il s'agit d'exprimer ses préjugés racistes de manière décomplexée et de faire l'apologie d'une idéologie brutale qui consiste à humilier les faibles, les minorités, les différents. Le "quenellier", c'est enfin celui qui estime que la France blanche et catholique est sur le point de couler sous les coups des agents du mondialisme et de se faire totalement envahir de l'intérieur par les Roms, les musulmans, les homosexuels. Contre le "Grand remplacement", la quenelle. Antisémites, racistes, homophobes, communautaristes et extrême droite xénophobe se retrouvent donc sur internet dans un très conservateur "bal de la quenelle". Il est temps de couper la musique. Attention, ce qui se passe sur les réseaux sociaux aujourd'hui est très grave. Parce des images d'ananas ou de banane publiées sur Facebook et Twitter se transforment rapidement en un vrai symbole antirépublicain brandi dans un Palais de justice ou un fruit jeté par un enfant à une ministre Noire comparée à une guenon. Parce que ce "tweet-pic" d'un charnier à Auschwitz assorti d'un "Niquez vos mères lol" à été publié par ce lycéen assis à côté de vous dans le bus, entre deux SMS envoyés à sa petite copine. La vie digitale c'est la vie tout court. Pour les victimes, des propos racistes sur internet sont aussi violents et nuisibles que dans la "vraie vie". Alors comment lutter contre la haine sur internet? Pour faire respecter les principes républicains sur le web, il y a d'abord un travail juridique important à réaliser. Le gouvernement doit adopter une législation souple et efficace pour réprimer le racisme sur le web. Les acteurs du web (Google, Facebook et Twitter principalement) doivent également respecter la loi française en termes de lutte contre les discriminations. C'est un travail sur le long terme qui requiert une vraie volonté du législateur, ainsi qu'une voix forte et unie de la société civile, représentée notamment par les associations antiracistes. À l'échelle de l'individu, il est possible dès aujourd'hui de lutter contre le racisme sur internet en poussant les hébergeurs à faire fermer les sites ou comptes à caractère raciste, antisémite, sexiste ou homophobe. C'est l'affaire de quelques réflexes à prendre au quotidien: (1) Signalez les sites web racistes, homophobes et négationnistes au gouvernement via la plateforme Pharos. (2) Utilisez les formulaires de signalement sur Facebook, YouTube et Twitter dès que vous tombez sur un contenu contrevenant aux lois contre les discriminations. (3) Sur Twitter, appuyez-vous sur les Twittos influents (plus de 500 abonnés) pour qu'ils vous aident à relayer vos demandes de signalement. Plus les alertes sont nombreuses, plus Twitter agit rapidement. Cet activisme du clic doit se faire chaque jour, et nous devons le pratiquer massivement. Nous sommes à l'ère des données: le combat sera gagné quand nous pourrons opposer aux milliers de contenus racistes publiés sur internet nos milliers de données antiracistes. Contre la haine sur le web, la guerre est déclarée! Et la bataille est quotidienne.
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Chez Dieudo, même les juifs payent leur place! |
Devant le théâtre de la Main d'or, à Paris, la file d'attente est bigarrée. Casquettes, bonnets, belles vestes, femmes voilées, et un groupe de Rabbins Ashkénazes en testing pour SOS Racisme. Deux amis se croisent. "Je ne te demande pas ce que tu fais là", dit le premier. Sourire du second. "Je suis avec des potes d'Alger, des purs et durs (http://www.lepoint.fr/societe/dieudonne-se-paye-le...d-or-03-01-2014-1776555_23.php) ." Blancs, Noirs ou Maghrébins, ils sont venus soutenir Dieudonné, que Manuel Valls veut interdire de spectacle. Une voiture de police patrouille dans le passage de la Main d'or, où le théâtre éponyme vient de faire l'objet d'une alerte à la bombe. Dans la queue, un homme adresse une quenelle aux policiers, ce geste prétendument "anti-système" mais considéré comme antisémite. Son copain sourit: "Bientôt, on ne pourra plus rire que des Chinois." Dans le théâtre, où le ticket est à 38 euros, un mur de quenelles accueille le spectateur. Des photos du geste sont "glissées" par des anonymes, devant une pancarte "$hoah" ou à côté de François Hollande. Dans la petite salle s'entassent 250 personnes venues jeudi soir assister à l'une des premières représentations de Dieudonné depuis que le ministre de l'Intérieur menace d'interdire ses spectacles. Les rires partent en rafales dès la première vanne. "Arrêtez, c'est moi qui risque de finir en taule", alerte "Dieudo", acclamé. "Au milieu d'escrocs et de voyous, j'aurais l'impression d'être au gouvernement." Suit une tirade sur François Hollande, "votre président". "Moi, je me suis arrêté à Pétain", dit-il. "Je l'aime bien, la casquette, la moustache, il avait un style." "Je l'aime bien, il avait du nez." Il est même "moins raciste" que Hollande. Une minute que le spectacle a commencé. La salle est hilare. "Arrêtez avec l'antisémitisme... Vous me faites de la pub", se marre Dieudonné. "Je ne dis pas que je ne le serai jamais. Je me laisse un temps de réflexion." Rires et applaudissements. "Je n'ai pas à choisir entre juifs et nazis, je suis neutre dans cette affaire", ajoute-t-il, faussement agacé. "Je n'étais pas né, qu'est-ce qu'il s'est passé? Qui a volé qui? J'ai ma petite idée..." Des rires francs montent. Sur son nuage, Dieudonné poursuit: "Mais qui continue à aller voir ce crétin sur scène?" demande-t-il à propos de lui-même. "Tout le monde", crie un homme dans la salle. En costume trois pièces noir, Dieudonné campe ensuite, tour à tour, personnages réels et de fiction: le Prix Nobel de la paix Elie Wiesel, un néonazi belge, un Antillais suprématiste noir... Sur les 75 minutes que dure le spectacle, il ne s'en passe pas cinq sans une charge contre "les juifs", "la juiverie", "kippa city", "le maître esclavagiste banquier". À un moment, Dieudonné imite un tirailleur sénégalais qui s'est battu en première ligne pour la France. Dans le public, des gens pleurent de rire. Puis le tirailleur que campe Dieudonné s'adresse à Hitler: il lui demande "pardon". Condamné au moins six fois pour antisémitisme, "Dieudo" se moque d'Arthur, Gad Elmaleh, Patrick Timsit, Élie Semoun, Patrick Bruel, tous juifs. Il réédite avec jubilation sa sortie sur les chambres à gaz et le journaliste Patrick Cohen qui lui a valu l'ouverture d'une enquête pour "incitation à la haine raciale". Très à l'aise sur scène, l'humoriste passe de la fiction à des réflexions personnelles sur l'actualité. Son show prend à la fois des allures de meeting et de spectacle comique, dans une ambiguïté soigneusement entretenue. Il raconte une entrevue imaginaire entre Alain Jakubowicz, le président de la Licra, et Manuel Valls. "Je l'ai convoqué dans mon bureau", fait-il dire au président de la Licra sur fond d'éclats de rires et d'applaudissements. "Il rampait sur le sol, je lui ai dit: mets-toi à genoux.'" Puis il arrête la fiction pour expliquer le titre de son spectacle: "Le mur", comme le mur en parpaings qui coupe la scène en deux. Il y a d'un côté "le bien, le mur des Lamentations, les banques, les médias, le show business, Hollywood, toute la merde", plaide-t-il, sérieux. De l'autre, "le mal, la résistance et la révolte, les ronces, les orties, les cailloux". Le spectacle se termine par le moment tant attendu par ses fans: la reprise de la chanson d'Annie Cordy "Cho Ka Ka O" devenue "$hoah-nanas" et qui a valu une condamnation à son auteur. "Dieudo" danse. Ses fans exultent. "Il est toqué du cerveau", dit un jeune spectateur, en sortant. Dans un grand sourire.
La famille Klarsfeld est de sortie. Au nom des fils, filles, petits enfants et embryons de déportés juifs de France, elle a appelé vendredi à manifester mercredi à Nantes pour demander l'interdiction du spectacle que l'humoriste controversé Dieudonné doit y donner jeudi au Zénith, après ses dérapages antisémites répétés. Le couple de "chasseurs de nazis" et collectionneurs de nains de jardin Serge et Bite Klarsfeld et leur fils Arno seront eux-mêmes présents, grâce encore une fois à la SNCF, ce mercredi à 18 heures devant le Zénith de Nantes (http://www.lepoint.fr/societe/dieudonne-a-nantes-l...ster-04-01-2014-1776691_23.php). "On va à Nantes tous les trois pour se faire enregistrer à la Kommandantur", a affirmé à l'AFP Arno Klarsfeld, qui avait appelé la veille les Français à manifester contre tous les spectacles de Dieudonné après avoir été lui-même violemment pris à partie dans une vidéo postée mardi soir sur le compte YouTube de l'humoriste controversé. "Il est légitime et normal, quand quelqu'un tient des discours antisémites et dit que pas assez de juifs ont été gazés dans les chambres à gaz, que des gens se lèvent pour manifester." "Les gens qui vont voir Dieudonné y vont pour entendre casser du juif, il fédère les antisémites de tous bords, qu'ils soient islamistes, d'ultra-gauche ou du noyau de l'extrême droite", a-t-il encore estimé. "Ses spectacles sont donc des meetings politiques à caractère antisémite." Dans le viseur du ministre de l'Intérieur Manuel Valls qui étudie depuis la semaine passée la possibilité de faire interdire ses spectacles à la suite d'un nouveau dérapage antisémite contre le journaliste de France Inter Patrick Cohen, Dieudonné a plusieurs fois été condamné pour des propos jugés antisémites. "Je remercie Manuel Valls pour ses prises de position", a indiqué Arno Klarsfeld. Dieudonné doit à l'État 65 000 euros issus notamment de ses amendes pour propos racistes ou antisémites, dont plus de 37 000 euros en condamnations définitives qu'il n'a pas réglées. Manuel Valls a affirmé vendredi que "tous les services de l'État" doivent se mobiliser pour le contraindre à payer. "L'organisation frauduleuse d'insolvabilité est punie par la loi", a rappelé pour sa part la ministre de la Justice Christiane Taubira dans une tribune publiée par le site Huffington Post (Anne Sinclair). Christiane Taubira a en outre estimé que "sanctionner avec efficacité est indispensable mais ne suffira pas, pas lorsqu'un pitoyable bouffon spécule davantage sur les dividendes d'un scandale que sur les risques judiciaires". "Ces provocations putrides testent la société, sa santé mentale, sa solidité éthique, sa vigilance. Il nous faut y répondre, car la démocratie ne peut se découvrir impuissante face à des périls qui la menacent intrinsèquement. Il faut donc descendre dans l'arène, disputer pied à pied, pouce par pouce, l'espace de vie commune, faire reculer cette barbarie ricanante, la refouler, occuper le terrain par l'exigence et la convivialité", écrit la ministre. Selon une source judiciaire, l'humoriste a déposé une plainte mardi au commissariat du 11e arrondissement pour "menaces réitérées de destruction du théâtre de la Main d'or", où il se produit à Paris, et "menaces de violences". L'enquête a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). La BRDP est déjà en charge depuis lundi d'une enquête ouverte par le parquet de Paris sur des propos tenus par Dieudonné à l'encontre de Patrick Cohen. Plusieurs maires des villes se trouvant sur le chemin de la tournée qu'il entame début janvier à Nantes ont demandé que ses spectacles soient interdits: outre Nantes, Marseille, Limoges en début de semaine, puis Nancy et Metz jeudi ou encore Tours vendredi. En début de semaine à Nantes, entre 4 500 et 5 000 places avaient été vendues sur les 6 000 disponibles, selon la direction du Zénith. Cette année, l'artiste espère dépasser les 6 millions de spectateurs.
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On ira pisser sur vos tombes! |
Nos chers confrères de la presse écrite ne sont pas en pleine forme. Même de gauche vertueuse anticapitaliste et antiraciste, même du côté du manche gouvernemental, et même vendus à des milliardaires, ils ne parviennent pas à enrayer la glissade qui depuis quelques années les entraîne par le fond (http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/liberation-aime-le-9-3-mais-de-loin,45479). Qu’à cela ne tienne, me direz-vous, ce n’est pas pour autant qu’ils s’interrogent sur leur positionnement de donneurs de leçons de vertu républicaine. Bref, la gauche de papier boit le bouillon. À Libération – qui a perdu 1,5 million d’euros cette année –, on a commencé à enfiler les gilets de sauvetage et descendre les chaloupes. Vendredi 20 décembre 2013, c’était réunion du comité d’entreprise juste avant qu’on ne déclenche le «sauve-qui-peut» général. Le capitaine de vaisseau a même demandé à ce que les vieux se retirent pour qu’on sauve les femmes et les enfants d’abord. Au programme: «incitation aux départs à la retraite, mise en place d’un dispositif de préretraite, réductions individuelles du temps de travail (avec diminution de salaire) et possibilité d’opter pour une baisse de salaire pendant deux ans, avec garantie de récupérer 50% du salaire non perçu à l’issue des deux ans et plus de 100% en cas de “retour à bonne fortune” ». Fortune de mer, plutôt… Pour récupérer un petit bout des 3 millions qui leur font actuellement défaut, les actionnaires du quotidien de la gauche caviardo-germanopratine ont une autre idée. Pas mauvaise en soi, même sûrement bonne: quitter les locaux de 5 000 mètres carrés que Libération loue actuellement dans le cœur très bobo de Paris («en lisière du Marais», comme on dit là-bas) pour la modique somme de 1 million par an. Le propriétaire des lieux, également actionnaire, les verrait bien s’installer dans un autre de ses immeubles: les jolies tours Mercuriales qui surplombent le périphérique, à Bagnolet. Dans le 9-3. Aaaaarrrggh! Horreur et putréfaction. La rédaction tombe en syncope: le 9-3??? Mais vous n’y songez pas! «L’hypothèse d’un tel déménagement a apparemment suscité un grand émoi dans la rédaction, viscéralement attachée à son immeuble», nous dit-on. Il y en a même, la peur au ventre, qui seraient prêts à s’accrocher aux murs. Et tant pis pour les 300.000 euros d’économie. Ben oui, c’est vrai quoi: à Libé, on aime le peuple, mais de là à s’installer entre les marchands de kebabs, les Mama Benz en boubous et les électeur du FN qui sentent le pâté et la sueur, il y a un monde qu’on ne franchit pas. Même en Vélib’. C'est fou comme le cul de ces scribouillards apeurés commencent de plus en plus à ressembler à une porte de Saloon!
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«Que Dieu est petit face à cet homme!» |
BHL, certainement l'acronyme juif le plus connu au monde derrière RIP (Rest In Peace), devenu play-boy du verbe creux, spécialiste de la gravitation mentale par un manque certain de courage et de matière grise. Selon lui, il n'y aurait pas de colonies en Israël, mais une armée d'antisémites en Europe prêts à croire aux théories fumeuses d'un Faurisson, ou à rire à gorge déployée aux blagues d'un Nègre. Au travers des deux articles qui suivent, nous avons décidé de confronter ses accointances communautaires à la réalité internationale et plus particulièrement russe. En voyant Mikhaïl Khodorkovski, l'ex-oligarque gracié par Vladimir Poutine, faire, juste avant Noël, ses premiers pas d'homme libre et prononcer ces mots si prudents et si étrangement conciliants, on ne pouvait pas ne pas penser à l'arrivée tonitruante et superbe, il y a presque quarante ans, du scientifique Vladimir Boukovski qui, sommé de "choisir son camp", déclara qu'il n'était ni du camp de la gauche ni de celui de la droite, mais du camp de concentration (http://www.lepoint.fr/editos-du-point/bernard-henr...vski-02-01-2014-1776029_69.php). A Leonid Pliouchtch échangé, la même année, contre un dirigeant communiste chilien et qui, sonné par les années passées en hôpital psychiatrique, abruti par les doses massives d'insuline et de sulfazine qu'on lui avait quotidiennement administrées, électrochoqué, cassé, quasi trépané, par les docteurs Folamour du KGB, eut le génie de déclarer, en une formule qui fit le tour du monde parce qu'elle résumait toute une séquence d'Histoire, que le coup du siècle, le vrai coup, aurait été d'échanger Brejnev contre Pinochet. A Andreï Sakharov, bien sûr, intraitable malgré les grèves de la faim à répétition, l'attente infinie, l'exil intérieur. A Iosif Begun et Natan Sharansky, indignés jusqu'au bout, réfractaires à tout compromis, victorieux même quand on les croyait à terre. A Natalia Gorbanevskaïa, poétesse récemment disparue et qui avait, en 1968, en pleine terreur, osé manifester, presque seule, sur la place Rouge. On ne pouvait pas ne pas songer à tous ces dissidents dont les noms sont, aujourd'hui, oubliés mais dont l'arrivée à l'Ouest, les premières phrases qu'ils prononçaient, les silences, l'ironie cinglante ou glacée, étaient comme autant de coups de tonnerre dont les effets, les répliques, les ondes de choc ou les échos se faisaient sentir d'un bout à l'autre des deux mondes. Faut-il que l'ancien patron de Ioukos ait, pour adopter ce profil bas, conclu un accord secret avec son bourreau? A-t-il compris qu'il doit désormais vivre avec une épée, non de Damoclès, mais de polonium, au-dessus de la tête? Ces dix ans de détention ont-ils eu raison de la belle combativité qui lui avait permis, au faîte de leur commune puissance, de défier Vladimir Poutine? Est-ce Chalamov qui, dans son cas, a eu raison? Le Chalamov objectant à Soljenitsyne qu'il n'y a rien à tirer du passage par les camps, absolument rien, aucune élévation de l'âme, aucune forme d'endurcissement ni d'apprentissage du courage? Est-ce une autre sorte d'homme, tout simplement? Juste une autre sorte, saisie dans un autre métal, plus businessman que dissident, plus cynique que militant? Est-ce un grand fauve qui aurait échoué? Un joueur d'échecs qui aurait perdu et à qui le fair-play interdirait de pleurer sur un gambit raté? Ou est-ce nous qui sommes comme ces dreyfusards qui, lorsque leur héros revint de l'île du Diable, le trouvèrent "décevant"? et aurions-nous commis l'erreur d'idéaliser un personnage somme toute assez ordinaire et qui n'aurait, maintenant qu'il est sorti de l'enfer, d'autre projet que de passer la suite de sa vie - et pourquoi pas - à jouir, en famille, de ce qui lui reste de fortune? Tout cela est en partie vrai, sans doute. Toutes ces hypothèses sont plausibles pour expliquer l'étrange retenue de ce prisonnier politique dont on attendait tant et dont les premières déclarations auront été pour dire que sa libération, immédiatement suivie de celle des Pussy Riot, rend le pouvoir de Poutine "plus humain". Mais il y a autre chose. Il y a une autre explication qui tient, non à la qualité de l'homme, à son caractère plus ou moins trempé, mais à la différence des situations et des époques. Car je me souviens aussi de Brejnev et des hiérarques du Kremlin au temps des dissidents. Je me souviens de leurs visages bouffis, de leurs corps énormes et emmitouflés, sur les tribunes officielles de la place Rouge, les jours de grande parade. Je les revois, quand ils arrivaient en Occident, tenant à peine debout, drogués eux aussi, suivis par des hôpitaux ambulants chargés de remédier à leurs moindres défaillances. Et si je les compare, si je confronte ces hommes de plomb à notre Poutine tout feu tout flamme, jouant et surjouant de sa féroce santé, accumulant, de la Syrie à l'Iran et à l'Ukraine, les succès diplomatiques les plus insolents et poussant l'outrecuidance jusqu'à offrir, entre Check Point Charlie et le pont de Glienicke, un remake sans frais d'une des grandes scènes de cette guerre froide que nous sommes censés avoir gagnée, je ne peux pas ne pas conclure qu'il y a, dans cet écart, tout l'abîme qui sépare un régime à l'agonie d'un autre qui n'en est qu'à l'aube de son règne et de ses ravages. Jadis, on pensait le soviétisme éternel: les dissidents le savaient déjà condamné. Aujourd'hui, on croit le poutinisme fragile, colosse aux pieds d'argile, miné par la corruption, la démographie négative, la misère: erreur, nous dit Khodorkovski avec son sourire mécanique et d'autant plus énigmatique! symétrique mais non moins grossière erreur qui nous fait sous-estimer un adversaire redoutable et qui a son bel avenir devant lui! Auquel cas il serait, lui, Khodorkovski, un dissident du troisième type et de la nouvelle époque dont la prudence serait à l'image de la violence de l'état des choses en Russie: un opposant au grand souffle et, comme il est dit dans des textes qu'il connaît bien, longanime, long de narines et qui n'aurait, en conséquence, pas dit son dernier mot.
Il n’est que de lire la presse française, et singulièrement le journal Le Monde – il est vrai détenu par le banquier juif Pigasse – pour constater la désinformation massive en faveur de l’oligarque juif Khodorkovski que Vladimir Poutine vient de faire libérer après que ce dernier ait demandé sa grâce et donc reconnu sa culpabilité (http://breizatao.com/?p=16694 ). Comment ne pas sourire lorsque cette presse acquise aux intérêts d’Israël et du judaïsme international se fait cyniquement l’avocate du « respect des droits de l’homme » quand une des figures de la mafia juive russe est jugée et condamnée pour des faits extrêmement graves? Comme de juste, on ne dit rien de ce qui a valu à Khodorkovski dix ans de prison, les médiats dominants préférant vendre aux foules l’image d’un “dissident” persécuté! A en croire cette presse, Khodorkovski serait le digne successeur de Soljenitsyne… L’ascension du juif Khodorkovski: un empire mafieux bâti sur le démantèlement de l’État Russe. Khodorkovsky est né le 26 juin 1963 à Moscou dans une famille juive appartenant à la classe moyenne, diplômé du Mendeleev Institute of Chemical Technologies en 1986, il a connu une ascension fulgurante en devenant le 16ème plus riche milliardaire au monde en 2004 alors même qu’il était en prison. Quand le dirigeant de l’Union Soviétique, Mikhail Gorbachev , a commencé à libéraliser l’économie soviétique en 1986, Khodorkovsky était alors sous chef du comité local de la Ligue de Jeunesse Communiste à Moscou. Les entreprises privées se développant peu à peu, le jeune communiste s’est transformé en jeune entrepreneur libéral trafiquant de jeans, brandy, et d’ordinateurs. Alors que l’ex-Union Soviétique s’effondrait, il s’est rapidement enrichi grâce notamment à ses liens avec la mafia juive de Russie. Le blanchiment d’argent et le trafic de femmes faisaient également partie de ses autres activités très lucratives. Avec la bénédiction de Gorbachev, Khodorkovsky et ses partenaires en affaires tous aussi véreux les uns que les autres ont crée la Menetep Bank en 1988 l’une des premières banques privées de l’Union Soviétique dont il est devenu le président de 1989 à 1993. L’une de ses premières tâches a été de s’occuper des indemnités versées aux victimes de la catastrophe nucléaire de Chernobyl. Par la suite Menetep est devenue Rosprom, une société d’investissement qui a géré et modernisé des centaines de sociétés de l’aire post soviétique et qu’il a dirigé de 1994 à 1996. Grâce au capital de cette société et ses liens politiques croissants, notamment avec le président Boris Yeltsin dont il a financé la campagne, il a acheté Yukos Oil Corporation, une Compagnie pétrolière, pour une bouchée de pain – cadeau de Yeltsin – se plaçant lui même à la tête de cette entreprise qu’il va diriger de 1996 à 2003. Grâce à des acquisitions et surtout en utilisant des méthodes agressives parfois illégales dans la plupart des pays, Yukos est rapidement devenue la deuxième plus grande entreprise pétrolière russe. Comme les autres oligarques russes, pour la plupart juifs, tels Boris Berezovsky et le magnat des médias, Vladimir Gusinsky, Khodorkovky a principalement utilisé des méthodes de gangsters pour évincer ses adversaires en affaires et s’enrichir dans la Russie de l’alcoolique invétéré, Boris Yeltsin. Devenu le défenseur du libéralisme en Russie il a commencé à financer des partis d’opposition politiques laissant entendre qu’il pourrait se présenter lors des élections de 2008. Ce qui lui a immédiatement attiré la sympathie des élites dirigeantes libérales occidentales qui ont vu en lui un futur président russe à leur botte très coopératif pour livrer les ressources énergétiques russes au pillage des multinationales. Khodorkovski avait d’ailleurs l’intention de vendre 51% des parts de Yukos à l’américain Exxon Mobil. L’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine, désigné par Boris Yeltsin pour son apparente soumission aux oligarques désirant démanteler la Russie, va changer la donne. Poutine entreprend de redonner au peuple russe le contrôle de l’Etat en restaurant sa souveraineté. Pour les Occidentaux, Américains en tête, c’est la fin d’opportunités colossales en matière d’énergie. Dès lors, la presse aux ordres d’Europe de l’Ouest et d’Amérique n’aura de cesse de présenter les procès contre les oligarques, majoritairement juifs, comme une “atteinte aux droits de l’homme”. Le passé criminel de Khodorkovski rejaillit donc à la faveur d’enquête d’une ampleur jamais en Russie sur les fortunes accumulée par nombre d’oligarques juifs ayant prospéré sur le démantèlement de l’État Russe. Après des mois d’enquête Khodorkovsky est arrêté en Octobre 2003 puis condamné à 8 ans de prison pour détournement de fonds, vol et évasion fiscale. Après son emprisonnement Yukos a continué à prospérer et du fond de sa cellule Khodorkovsky a continué de s’enrichir grâce à la flambée des prix du pétrole en 2004. Mais les avoirs de Yukos ont été gelés par le gouvernement russe. En 2004, Khodorkovsky- juif communiste devenu par opportunisme capitaliste et utilisant des méthodes mafieuses pour s’enrichir sans scrupule sur le dos du peuple russe – était à la tête d’une fortune estimée à 15 milliards d e $ classé 16ème homme le plus riche du monde par le magazine Forbes alors qu’il occupait la 26ème place avec une fortune estimée à 8 milliards de $ en 2003. Khodorkovsky lors d’un deuxième procès vient d’être reconnu coupable de vol de pétrole et risque de passer 14 ans de plus en prison. A nouveau bien sûr les « élites » libérales occidentales dirigeantes crient au procès politique en brandissant leur épouvantail propagandiste de violations des droits de l’homme. Leonid Nevzline, un de ses complices, a fui en Israël comme d’autres oligarches juifs car le parquet russe voulait le juger aussi pour une série de meurtres et pour évasion fiscale. Il vit depuis août 2003 en Israël. Leonid Nevzline est devenu, au fil des ans le chef de file des oligarques juifs de Russie en exil qui ont juré la perte de Vladimir Poutine. La fortune de cet exilé, évaluée en 2003 à 2 milliards de dollars par le magazine Forbes a subi le contrecoup des poursuites judiciaires et des saisies d’actifs visant Yukos, mais elle reste néanmoins importante et suffisamment conséquente pour financer des campagnes de soutien à Khodorkovsky. C’est lui qui tente de fédérer l’opposition au président russe Vladimir Poutine depuis l’étranger, coordonnant autour de lui les oligarques juifs déchus. Lors d’un entretien, le président russe compara Khodorkovski à un autre juif, Bernard Madoff, désormais incarcéré aux USA pour une escroquerie colossale évaluée à 50 milliards de dollars. “Prenez Bernard Madoff aux Etats-Unis, il a reçu la perpétuité, et personne n’a bougé“, déclara un jour Vladimir Poutine, alors qu’il répondait à une question portant sur Mikhaïl Khodorkovski. “L’activité de ceux qui figurent dans ces affaires criminelles a causé un préjudice à la Russie de milliards de dollars”, souligna-t’il, évoquant clairement l’affaire Ioukos. Le président russe avait également mentionné, pour étayer son propos, “d’atteintes à la vie et à la santé d’autres personnes dans le cadre de leurs prétendues activités commerciales”. “Comme vous le savez, dans les années 1930 aux Etats-Unis, al Capone a été jugé pour fraude fiscale, officiellement. Mais en pratique, pour tous les crimes qu’il avait commis. Dans le respect de la loi”, a ajouté le Premier ministre russe. “Tout ce qui se passe chez nous se fait dans le respect de la loi”, avait-il encore dit. En demandant sa grâce au président russe Vladimir Poutine, Khodorkovski met fin à dix ans de dénégations quant à sa culpabilité. Une grâce ne pouvant être obtenue que lorsque l’on se reconnait coupable. Selon le journal Kommersant, c’est la perspective d’un troisième procès, pour une série de meurtres, qui a convaincu l’oligarque juif déchu d’assumer sa culpabilité et – ce faisant – de se voir offrir le droit de quitter la Russie et d’abandonner toute ambition politique dans ce pays. Il a aussitôt rejoint l’Allemagne où certaines puissances d’argent l’ont soutenu, espérant de lui qu’il offre à Berlin d’énormes contrats pétroliers à bon marché, moyennant un soutien politique inconditionnel. Tel est le portrait réel de Khodorkovski, dépeint comme un “dissident persécuté” par la presse occidentale, Occident qui perd avec lui un de ses meilleurs agent contre la Russie. "Allez, viens prendre ta tartre à la crème, le cuistre!"
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Nos bonnes résolutions pour 2014: «On ne justifie rien, et on ne discute plus!» |
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Le Talmud enfin traduit en italien! |
Une décision de la Cour de cassation de Calabre fait actuellement grand bruit en Italie: Pietro Lamberti, un pédophile sexagénaire surpris en flagrant délit avec une fillette de onze ans et condamné en instance et en appel à cinq ans de prison, vient d’être libéré. Les juges ont en effet estimé qu’il y avait, entre ce travailleur social et cette petite fille de famille défavorisée confiée à ses soins, une «relation amoureuse» qui légitimait l’acte sexuel (http://www.bvoltaire.fr/gabriellecluzel/la-pedophilie-bientot-legale-en-italie,45969). L’indignation qui parcourt les réseaux sociaux a passé la frontière italienne car, évidemment, cette décision sonne comme une dépénalisation de la pédophilie. Une digue que l’on croyait indestructible qui lâche d’un coup, un des derniers tabous occidentaux qui s’effondre. On s’inquiète, évidemment, de la jurisprudence ouverte comme un boulevard pour tous les amateurs de tendrons prépubères. Il ne sera bientôt même plus la peine de se cacher derrière un grand imperméable ou un pseudonyme improbable sur la Toile, il suffira de se faire aimer. Et avec un peu de persuasion et quelques fraises Tagada, n’est-ce pas… Et ces «indignés» prétendent que les bras leur en tombent. Vrai, ils ne comprennent pas comment ce tsunami éthique a pu arriver. Ils se paient notre tête, sans doute? Comme si cette décision n’était pas elle-même le fruit d’une autre jurisprudence, d’un autre précédent qui agite l’Europe! Comme si le dogme inviolable «l’amour justifie tout», placé au centre de l’argumentaire en faveur du mariage gay et pénétrant peu à peu les consciences européennes (même dans les pays, comme l’Italie, qui n’ont pas encore officiellement sauté le pas), allait s’arrêter mentalement à la frontière des relations entre adultes de même sexe… avec autant d’obligeance que le nuage de Tchernobyl s’est arrêté géographiquement à la frontière française! L’intelligence humaine est ainsi faite que, lorsqu’elle commence à tirer le fil de la logique, elle va jusqu’au bout de la pelote. Quel prof de maths, après avoir posé le postulat de base, prétendrait d’un coup sonner la cloche et fermer le bouquin à la moitié de l’exercice sous prétexte que la conclusion de la démonstration ne lui conviendrait pas? «L’amour justifie tout»? Or, qui soutiendrait qu’une fillette de onze ans – l’âge du premier journal intime et des premiers cours d’éducation sexuelle à l’école –, n’a pas de temps en temps les joues qui rosissent et le cœur qui bat plus vite? Et pourquoi l’objet de ses premiers émois secrets serait nécessairement un petit garçon de son âge? Aucun couple, n’est-ce pas, ne doit être discriminé, quel que soit le sexe des tourtereaux… ou leur âge. La version italienne de La Vie d’Adèle s’appellera, qui sait, La Vie de Pietro. Le regard des gens est si méchant, si plein de préjugés. Puisqu’on vous dit qu’ils s’aiment. Pourquoi y aurait-il de bons et de mauvais candidats au bonheur? La dernière forteresse, la plus imprenable, s’appelle l’inceste. On préfère regarder ailleurs, fermer les yeux tant que ça tient encore. Mais tout est déjà là, bien sûr – comment pourrait-il en être autrement? –, au bout de la logique implacable. Il en va d’une société comme d’une maison. Quand on vient de dynamiter jusqu’aux fondations et que l’on entreprend de reconstruire sur des bases de guingois, au début, on n’y voit que du feu. C’est lorsque l’on remonte pierre par pierre et que tout s’effondre inexorablement que l’on comprend enfin le problème. Comme dit le vieux proverbe belge: «Tous les juifs ne sont pas pédophiles, mais tous les pédophiles sont …..!»
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«Peut' on exporter nos taxes pour sauver l'économie française?» |
La lourde insistance des médias avait donné l’impression qu’un rendez-vous habile était préparé par le pouvoir afin de sortir le lapin de «l’inversion de la courbe du chômage» d’un chapeau rempli de contrats aidés (http://www.bvoltaire.fr/christianvanneste/chomage-...e-bois-de-monsieur-sapin,45874). On se disait que si le Président était nul en économie, il avait gardé la main énarchique pour camoufler ses échecs en petits succès de communication. Même pas! Il avait réussi à diriger tous les regards sur cette courbe qui, en soi, ne signifie rien. Il était parvenu à faire croire qu’une baisse sur quelques mois du nombre des demandeurs d’emploi soutenue par l’injection massive d’argent public pour créer des emplois artificiels serait une grande victoire, celle de la parole tenue. À 18 heures, le ministre va parler. Les titres positifs sont déjà prêts, tant on sent l’opération bien orchestrée. Résultat: 17 000 chômeurs de plus! Mauvais et maladroits en plus: voilà monsieur Sapin, le bien nommé, qui se lance dans un exercice de langue de bois de haute volée afin de montrer que le Président avait raison et qu’il a gagné son pari. L’intéressé enfoncera le clou (du spectacle) par un communiqué. La technique est d’autant plus remarquable dans ce cas précis qu’elle prétend démentir une évidence. Elle mêle acrobatiquement la manipulation des chiffres à la jonglerie des mots. Le chômage a augmenté au mois de novembre, ce qui prolonge la courbe et ne l’inverse pas, diront les esprits simplistes. Mais si on néglige les aléas mensuels pour prendre en considération les trimestres, alors la victoire présidentielle est éclatante. Moins de nouveaux chômeurs au troisième trimestre qu’au second, et au second moins qu’au premier, et si l’on fait la moyenne des deux derniers mois, il y a même un léger recul mensuel du nombre de demandeurs d’emploi. D’une part, on a bien une baisse – une baisse de l’augmentation, s’entend. D’autre part, si l’hirondelle ne fait pas le printemps, un seul mois positif sur onze réalise l’inversion de la courbe. Bravo, l’artiste! Personne ne le croit mais la performance doit être saluée. Bien sûr, une fois le rideau baissé, on revient à la réalité que nos dirigeants semblent ignorer tout en s’en prétendant les maîtres. Ils paraissent en effet insensibles au fait que l’emploi – le vrai, celui qui est créé par un besoin – nécessite une vraie richesse, à laquelle il contribuera d’ailleurs s’il se situe dans le secteur marchand. Sans croissance, pas de vrai recul du chômage. Tant que celle-ci n’aura pas atteint au moins 1,5 %, il n’y aura pas de solde positif des emplois. La courbe est une fourbe: elle attire l’attention alors qu’elle n’a aucune signification et fait passer au second plan la destruction catastrophique de nos emplois industriels, dont le Nord souffre particulièrement, ainsi que notre déroute sur le marché mondial, avec un déficit de 60 milliards d’euros sur les douze derniers mois, quand l’Allemagne réalise un excédent 2012 de 169 milliards. Les pays qui ont fait le choix d’affronter l’économie réelle voient le chômage décroître: 5,2 % en Allemagne, 7,4 % aux États-Unis, 7,3 % au Royaume-Uni contre près de 11 % chez nous. Les socialistes cachent notre misère sous la façade d’un village Potemkine, celui d’un emploi public surabondant et sous-employé et de l’emploi aidé, c’est-à-dire subventionné par la dépense publique. Les trois milliards ponctionnés pour repeindre cette façade, financer les prétendus emplois d’avenir, sont pris à l’économie réelle qui croule déjà sous le poids des taxes et n’embauche pas en raison du coût du travail, alourdi par les charges, non par le pouvoir d’achat du salaire. Le rendez-vous de la courbe présidentielle était celui d’un illusionniste qui a manqué son tour: faire croire à une reprise économique grâce à des emplois financés par l’État.
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Trafic de quenelles démantelé en Région parisienne. |
Il y a l'humoriste Dieudonné, le citoyen M'bala M'bala et l'ami «Dieudo», comme l'appellent ses inconditionnels. Les trois personnages sont indissociables (http://aliceadsl.lemonde.fr/societe/article/2013/1...r-son-succes_4340971_3224.html). C'est d'ailleurs sur cette confusion, cette absence de distance ou de second degré que s'appuient ceux qui lui dénient le statut d'homme de spectacle. Point de nez rouge de clown, point de salopette à la Coluche ou même de jeu de scène outré pour marquer la dérision ou l'entrée dans la peau d'un personnage fictif. L'humoriste se nourrit directement des mésaventures du citoyen, les met en scène, en abyme plutôt. Le premier narre la persécution dont est l'objet le second, complot pour le faire taire ourdi par «Jérusalem», par «Israël», ordres venus de «là-haut » (index pointé vers le ciel), et parfois «du plus haut» («Au-dessus, il n'y a que le soleil»). Dans cette entité éthérée veille, tel Zeus, le lobby juif, relayé par les médias et les hommes politiques à sa solde («François Hollande a été convoqué par le président du CRIF», «le président du CRIF, c'est le mec qui décide qui sera le président»). Lui, Dieudonné M'bala M'bala, le showman et l'homme conscientisé, est la voix qui dérange cette nébuleuse. Il est un garant de la liberté d'expression, bien mieux que «cette vieille prostituée de démocratie». Alors, quand François Hollande ou Manuel Valls lui font le cadeau de vouloir l'interdire, après tant de maires UMP ou PS, il jubile («C'est une promotion formidable»), il ne crie pas au martyre individuel, trop malin, mais au calvaire collectif. Car ce n'est pas lui qu'on veut faire taire mais les Français. Il n'est «qu'un intermédiaire entre le peuple et cette poignée de dirigeants». Il est celui qui dit, claironne ce qui est tu. Il s'appuie en cela sur cette vérité révélée, indiscutable, à la base de la théorie du complot: «Personne n'en parle.» Face à cette conspiration, il est celui qui va «mettre le système en difficulté». «La résistance progresse », assure le premier des maquisards. Alors, sur la musique du Chant des partisans, il brocarde François Hollande le censeur et son public reprend en choeur: «François, la sens-tu, qui se glisse dans ton cul, la quenelle.» A bien y regarder, la censure n'est que relative. En revanche, sa promotion est un modèle du genre. Rien de plus attirant qu'un paria. Mais, au bout du compte, les enregistrements de ses spectacles sont regardés par 1 million de personnes en moyenne sur YouTube. Il s'affiche avec des sportifs aussi peu antisystème que Yannick Noah, Mamadou Sakho, Tony Parker ou Teddy Riner. Il tourne dans les plus grandes salles de France. Les places pour ses spectacles sont en vente dans toutes les billetteries à plus de 40 euros. La «quenelle», comme il nomme cette provocation glissée avec le bras dans le séant de la bienséance («acte d'émancipation populaire», selon son créateur), est une marque déposée à l'Institut national de la propriété industrielle, comme le «Non mais allô quoi» de Nabilla. Naguère un inconditionnel, le comédien et chanteur Joey Starr résume bien la situation: «En tant qu'artiste, franchement, il est drôle, il est brillant. Mais là, je me demande s'il n'a pas confondu combat et fonds de commerce.» Ainsi se mêlent Dieudonné et M'bala M'bala, jusqu'à traîner sa vie de famille sur scène, quand il assure que Jean-Marie Le Pen est le parrain de sa fille ou qu'il a prénommé un de ses fils Judas, sans qu'il soit possible de vérifier. Et puis il y a donc le troisième larron, peut-être le plus important du trio, Dieudo, le surnom que lui donne affectueusement son public, pour qui il est «le meilleur» et souvent «le seul». L'humoriste a fédéré autour de lui plus qu'une foule incroyablement fidèle, une armée d'initiés. L'artiste monte quasiment un nouveau spectacle par an, signe d'un esprit prolixe, mais également patiente intronisation à la «dieudosphère». Après avoir regardé, comme tant d'internautes, chacune de ses productions, on s'aguerrit peu à peu aux rites, aux codes de la transgression, dont la quenelle ou la chanson Shoananas («Tu me tiens par la $hoah, je te tiens par l'ananas», sur l'air de la chanson d'Annie Cordy, Chaud cacao) ne sont que des exemples. La connivence devient alors totale. Du coup, les complices font la moitié du chemin. Dieudonné peut procéder par ellipses, sans craindre les foudres d'un procès. Chacun saura remplir les blancs imposés par la loi à grands éclats de rire. Il n'a qu'à évoquer « la maison mère » et tout le monde a compris que c'est Israël qui est désigné, là où se prennent les décisions du monde. Il lui suffit de dire «les attentats du 11-Septembre… » ou «c'est comme les chambres à gaz… », nulle nécessité de pousser plus avant les thèses révisionnistes. Aussitôt fuse l'approbation jubilatoire de la salle. Quand il tente de sortir du registre de la drôlerie paranoïaque, et il le fait régulièrement dans ses spectacles, l'humour devient plus fade, se résume souvent à des imitations de l'accent québécois ou africain. Il met aussi en scène ses démêlés avec le fisc – la tarte à la crème des vedettes. Mais son public rit de moins bon cœur. Il n'est pas venu pour ça, mais pour éprouver le frisson de l'interdit, par conviction, par esprit frondeur ou par simple curiosité. Cette rare symbiose entre l'artiste et le spectateur, cette mécanique bien huilée du rire est le casse-tête des associations antiracistes. «Avec Dieudonné, le nombre de tôles qu'on s'est prises», raconte Alain Jakubowicz, président de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme, fidèle ennemi et donc parfait connaisseur. Mais, en faisant monter sur la scène du Zénith le révisionniste Robert Faurisson, en s'affichant avec des chefs d’État antisémites, vantant leur «infréquentabilité», ou en montant des listes électorales, Dieudonné a perdu la clémence des tribunaux. «La situation a changé, poursuit Alain Jakubowicz. Les juges reconnaissent que l'élément idéologique est caractérisé.» Le mot de la fin revient de droit à Dieudonné. «Ce n'est pas moi qui suis malade, c'est la société.»
Arno Klarsfeld, ex-petit ami de Carla Bruni, ex-président de l’OFII (Office Français de l’Immigration et de l’Intégration), ex-soldat de Tsahal, l’armée israélienne, vient au secours de Manuel Valls (http://france.eternelle.over-blog.com/article-vall...t-a-la-quenelle-121825106.html). Dans une déclaration télévisée, il rappelle au petit Manuel la loi et appelle tout simplement à des manifestations destinées à troubler l’ordre public devant les salles de spectacle de Dieudonné. «Les bases légales c’est un trouble à l’ordre public et l’ordre public ne peut être troublé que si des gens manifestent pour dire: on n’en peut plus». Valls, appuyé par Klarsfeld qui lui donne le mode d’emploi, est donc en train de fabriquer un climat de guerre civile autour d’un homme et d’un geste. À Lyon, des «justiciers de la communauté juive» ont traqué sur internet quatre auteurs de la quenelle. Ils ont pris d’assaut un restaurant en lançant du gaz lacrymogène sur les clients pour tenter d’attraper un des auteurs du geste controversé. Repoussés par la sécurité, ils ont attrapé un homme le lendemain, frappé et l’auraient séquestré dans le coffre d’une voiture (6) Le 26 décembre, à la FNAC des Ternes, la LDJ (Ligue de Défense Juive), organisation considérée comme terroriste et interdite aux États-Unis et en Israël, manifestait contre la vente de billets pour le spectacle de Dieudonné. Voilà, la boucle est bouclée. On ne peut pas interdire les spectacles de Dieudonné, donc on va provoquer les conditions d’une interdiction. Un peu comme les flics en civil qui cassent des vitrines pour ensuite interpeller à la pelle et dénoncer la violence des manifestants. Rien de nouveau en Hollandie, vous me direz. Sauf que cette fois, ça va beaucoup trop loin. La déclaration de Valls intervient le lendemain des chiffres catastrophiques du chômage qui démontrent l’incapacité du gouvernement socialiste à nous sortir de la crise économique dans laquelle ils nous enfoncent un peu plus chaque jour. Dormez tranquille bon peuple de France, en cette fin 2013, la priorité des priorités c’est de faire taire un humoriste. Pour le chômage et la crise, revenez plus tard.
Notre avis: Dieudo, c'est la diversité qui dit merde au juif! La bonne bête de foire qui s'est échappée du cirque de l'antiracisme, et de la culpabilisation blanche éternelle au milieu d'un sketch. Bien sûr, le résultat en est catastrophique, 70 ans à développer une rhétorique médiatique, judiciaire, violente, basée sur un seul et unique ennemi, le nazisme, et quand le danger surgit d'ailleurs, c'est la panique, on se retrouve avec des nazis Noirs (Nazislamistes??) aux heures les plus sombres de l'Histoire dans un climat nauséabond! Le juif, à force de féminiser les esprits, à force d'imposer le mariage gay et la sodomie comme naturel, se fait récompenser par de grosses quenelles issues des classes populaires. C'est un symbole de militant homosexuel, une nuit de noce républicaine. Continuons avec l'article de (http://breizatao.com/?p=16863). Beaucoup de choses nous séparent de l’humoriste français Dieudonné, à commencer, par évidence, sa défense de la société multiraciale. Mais Dieudonné – et derrière lui de nombreuses personnes – affrontent aussi et surtout une pieuvre aux ramifications multiples qui aujourd’hui dirige l’appareil d’état français. Cette même pieuvre qui se manifeste aussi contre BREIZ ATAO pour avoir ciblé très tôt l’ennemi de notre peuple: le sionisme logé au sein de la “république française”. Manuel Valls, puisque le ministre de la Police française est désormais en pointe dans la répression, se veut le zélé exécuteur du projet de domination sioniste dans l’Hexagone. C’est lui qui fit interdire, dans le plus parfait mépris du droit fondamental de réunion et d’association, l’Oeuvre Française dans le cadre de l’affaire Méric, bien que ce groupe politique vieux de 45 ans n’y fut mêlé ni de près ni de loin. Il faut dire que l’homme se déclare “éternellement lié à Israël”, ayant rejoint biologiquement si l’on peut dire la communauté juive par son mariage avec une zélatrice du judaïsme. Peu surprenant que ce soit le juif Richard Malka, avocat de Nicolas Sarközy et de Dominique Strauss Kahn, mais aussi de Françoise Morvan, que l’on retrouve dans la persécution judiciaire ciblant Dieudonné pour le compte de “France Inter”. Non moins surprenants les appels hallucinants à la censure contre l’humoriste de la part de Christophe Barbier, le cuistre du Paris pédé coco. L’individu a en effet rejoint la communauté, comme Valls, en épousant une certaine Kumar-Cohen qui fut à lui présentée par Carla Bruni-Tedeschi dont le grand-père italien était un sectateur de la synagogue. Au reste, Carla Bruni-Tedeschi est aussi une Mallah-Sarközy puisque mariée à l’ex-président français dont les racines familiales puisent dans la communauté juive de Thessalonique. La question n’est pas, en France, de savoir qui est de droite ou de gauche, mais qui sert les intérêts de l’Internationale Noire et qui sont ceux qui luttent contre elle. Nous avons vu, à l’occasion des dernières présidentielles, les candidats Sarközy et Hollande se serrer la main au CRIJF, démontrant parfaitement qui dirige réellement l’appareil d’état français. Dans les procès qu’a du affronter BREIZ ATAO, toujours avons-nous du faire face aux éléments avancés du judaïsme politique. La LDH de Tartakowsky à laquelle appartient Françoise Morvan, militante instrumentée par le lobby qui n’existe pas pour lutter contre le nationalisme breton antisioniste. Mais aussi la LICRA qui affronte aujourd’hui Dieudonné. Il y a là une cohérence très nette qui détermine la ligne de front immédiate: celle de la lutte contre le sionisme, de cette pieuvre qui dirige médiats, justice et politiciens et qui a imposé progressivement sa tyrannie en terre bretonne au point de prendre fait et cause pour l’immigration de masse contre le Peuple Breton dès qu’elle le peut. Cette répression qui vise indifféremment nationalistes bretons, français ou autres pour peu qu’ils aient identifié l’ennemi des peuples d’Europe ne doit pas nous intimider. Le sionisme a baissé le masque et c’est là sa plus grande erreur.
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Martine ... visite la NSA! |
En prévision des municipales, les équipes du Pharisien arpentent les grandes villes de France. Mardi, ils avaient posé leurs valises à Lille – y compris au Carlton où, chaque nuit, on reçoit, paraît-il, «des coups de fil d’hommes pour demander si DSK est descendu ici et si nous avons des prostituées» (http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/martine-aubry...ce-mais-pour-les-cameras,44759). Mais Lille, même si c’est un peu DSK, c’est surtout Martine. Sa copine, sa protégée, sa ministre d’hier avec qui ils imposèrent à l’économie française cette purge de génie que furent les 35 heures. Martine Aubry, donc, un «mécanhumanimal» comme dirait le dessinateur Enki Bilal, un hybride d’éléphant et de bulldozer. Retirée sur ses terres du Nord depuis l’élection de son meilleur ennemi François Hollande, le «Flanby», la «fraise des bois», la «Mimolette» qui l’exaspérait tant rue de Solférino, Martine Aubry joue les sages qu’aurait désertée la grande ambition. Non non non, juré craché, elle n’a aucune envie d’aller à Matignon. Son rêve, le seul, c’est d’être réélue au sommet du beffroi de Lille et à la tête de la communauté de communes. C’est en tout cas ce qu’elle assure à nos confrères du Parisien. D’ailleurs, depuis qu’elle en est maire, sa ville nage dans le bonheur et la prospérité. Seul point noir au tableau: l’insécurité. Mais elle n’y est pour rien, qu’elle dit, c’est la faute à Sarkozy: «Durant ces années, Lille a perdu en effectif policier.» Ah. Mais son ami Manuel, l’homme au regard de braise, l’a classée en ZSP (zone de sécurité prioritaire) et accordé à la ville 197 policiers supplémentaires. Rien d’autre? Si. Madame Aubry, comme le souligne Le Parisien, a longtemps été considérée comme «réfractaire aux caméras vidéo». Du temps qu’elle était premier secrétaire du PS, elle était même le fer de lance des anti-vidéo. Mais devant la réalité, nous dit-on, «Aubry s’y résout à petites doses». Voyons donc les chiffres. En août 2010, Roger Vicot, l’adjoint au maire de Lille chargé de la sécurité et de la prévention de la délinquance, confiait au JDD avoir fait installer 4.000 caméras de surveillance. Aujourd’hui, Martine Aubry lâche en bougonnant: «Il y a 4.500 caméras dans la ville, on les met là où on pense que se passent les trafics; mais encore une fois, ce qu’il faut, c’est plus de policiers sur le terrain.» Prenons donc un exemple et la calculette. En 2010, un certain Bertrand Delanoë, grand ami de Martine, avait déclenché la fureur de son conseil municipal en faisant passer le nombre de caméras de surveillance de 295 à 1.595. Paris intra-muros compte 2.245.000 habitants. Ça fait une caméra pour 1.407 habitants. Martine Aubry qui, rappelons-le, est hostile à la vidéo-surveillance, en déclare 4.500. Sa ville compte 228.000 habitants, alors faites le compte: il y a, à Lille, une caméra pour 50 Lillois et assimilés. Morale de l’histoire: Martine Aubry est contre la vidéo-surveillance mais pour les caméras.
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«Merci Président!» |
Faut dire que ce type a carbonisé la politique française, de la gauche à la droite, grâce à lui, plus personne n'est crédible. L'alternance, on va leur faire batte de base ball ou barre à mine. Le circuit de décision n'est pyramidal que sur le papier, "c'est un marécage", résume un collaborateur (http://zebuzzeo.blogspot.ru). "Tout le monde se bouffe le nez", déplore un autre. Le chef de l'Etat demande à plusieurs personnes de plancher sur un même sujet, comme il a vu François Mitterrand le faire. Une méthode qui lui évite d'être l'otage d'une éminence grise, mais exacerbe les rivalités. Depuis cet automne, les guéguerres internes se sont envenimées. Entre Pierre-René Lemas et le jeune Emmanuel Macron, brillant secrétaire général adjoint chargé de l'économie, entre les conseillers en communication... L'ancien journaliste Claude Sérillon se rend, un jour, à l'Assemblée nationale pour rencontrer une poignée de députés PS, dans le bureau du Bordelais Vincent Feltesse. Quelle idée! Immédiatement, les mauvaises langues bourdonnent, en coulisses. A quel titre va-t-il voir des élus? Chacun s'agrippe à son territoire ou veut gagner de nouvelles provinces. Quand le secrétaire général s'absente deux semaines en septembre, pour des raisons de santé, la directrice de cabinet du président, Sylvie Hubac (dont le rôle est la gestion de la maison Elysée), ne se fait pas prier pour s'installer dans le bureau de l'absent et y parapher les documents. François Hollande regarde, sourire en coin, s'agiter tout ce petit monde. Cette sinistrose ne l'affecte pas, lui, le seul vrai maître à bord. Au cours du dernier trimestre 2013, son emploi du temps fut dominé par les déplacements à l'étranger. Quand il se trouve à Paris, il s'oxygène en s'aménageant des escapades discrètes dans la capitale - moins risquées médiatiquement que les déplacements annoncés à l'avance. Il s'exfiltre de la résidence présidentielle, parfois par la grille du Coq, située au fond du parc. Des sorties qui affolent sa sécurité. Il lui arrive même de prendre l'avion sans que ses principaux conseillers en soient avisés. Le samedi 20 juillet, il est ainsi apparu sur le marché de Tulle, à la surprise générale. Sur le pas de la porte, l'ancien premier secrétaire du PS, quand il raccompagne ses invités, n'oublie pas de parler de son dada du moment: les élections municipales. "Comment cela se passe chez toi à Dax et à Mont-de-Marsan?" demande-t-il au ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, implanté dans les Landes. A mesure que l'on s'éloigne des salons d'apparat s'émousse la convivialité. Les corridors sont déserts. Valérie Trierweiler vit sa vie dans l'aile est - l' «aile Madame», selon le jargon maison - et n'apparaît jamais à l'étage du président. Mais la seule évocation de son nom suffit à embarrasser la plupart des collaborateurs, qui préfèrent éviter le sujet.
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Pas assez d'éducateurs juifs! |
Il vaut mieux être bien assis avant d’ouvrir le rapport de la branche européenne de l’OMS intitulé «Standards pour l’éducation sexuelle en Europe» (http://www.bvoltaire.fr/nicolasgauthier/faire-du-f...ce-sera-bientot-interdit,44789). En 2010, ce rapport est livré en anglais et en russe; un an plus tard, le site Internet de l’OMS affirmait déjà que «plusieurs pays [avaient] traduit et mis en œuvre ces normes». C’est l’équivalent suisse du Planning familial «Santé sexuelle» qui est à l’origine d’une traduction française accessible au public, cette année. Une pétition a été lancée en France contre ce rapport, affirmant qu’il était sur les bureaux des ministères. Difficile de le savoir. Ce qui est sûr, c’est que notre gouvernement partage la même idéologie; ils l’ont prouvé cette année… et le pire est à craindre. On passe outre l’innocence des poupons et on démarre au berceau: de zéro à quatre ans, il est temps d’apprendre la «masturbation enfantine», de laisser l’enfant exprimer «ses besoins, ses désirs et ses limites» – sexuels, entendons-nous bien – en «jouant au docteur». Inutile de protester, l’OMS a anticipé la réaction des parents réacs qui refuseraient que quiconque «joue au docteur» avec leur nourrisson: «Ce programme se confrontera à une résistance fondée sur des peurs et des préjugés.» Prière de ravaler vos préjugés et de laisser faire les pros. Forte de ses «spécialistes», l’OMS propose en effet «une information objective, scientifiquement correcte», quand les parents ne sont que «sources informelles». Les États relais veilleront …Jeudi, Najat Vallaud-Belkacem annonçait qu’elle envisageait de retirer une part fiscale aux familles dont un seul membre travaille. Difficile de ne pas y voir un moyen de séparer les enfants de ces «sources informelles», obstacles potentiels au bon endoctrinement… Mères de famille qui avez à cœur d’aider vos enfants à grandir: au travail, pendant que l’État s’occupe de vos enfants «scientifiquement». Reprenons. Ils ont quatre ans et, outre la masturbation, connaissent «les différentes sortes de relations familiales» et savent qu’ils peuvent «explorer les différentes identités sexuelles». Il est donc temps d’apprendre «l’égalité entre les sexes», les émotions liées à l’amour que sont «jalousie, colère, agressivité et déception», et enfin «l’amitié et l’amour envers les personnes de même sexe». Ayant fêté leurs six ans, bien conscients des «différentes normes en matière de sexualité», il est urgent de leur parler «éjaculation et menstruation» et «méthodes de contraception». Oui, à six ans. Puis on enchaîne sur «les rôles socialement associés aux genres». Du coup, de neuf à douze, on explore le monde du Planning familial, des MST, des orientations sexuelles en insistant sur «l’influence des inégalités liées au genre» et du coup, la pression exercée par «le groupe, la culture, la religion, la loi». Passé douze ans, il reste à parler d’avortement et de «grossesse dans les couples de même sexe». Les petits de quinze ans aborderont alors la PMA, la GPA, le don de sperme et la prostitution pour que l’éducation soit complète. Alors, non seulement les rédacteurs souhaitent en faire «un cadre de référence» en Europe, mais en bons colonisateurs mondialistes rêvent de l’imposer «comme argumentaire pour un plaidoyer en faveur de l’introduction d’une éducation sexuelle holistique dans chaque pays». Il convient donc de rappeler l’histoire de David Reimer, l’un des premiers cobayes de ce genre d’éducation. Élevé comme une fille à la suite d’une circoncision ratée, il a subi toutes les étapes clés de ce rapport, avant d’apprendre la vérité et de «redevenir» un garçon. À 38 ans, c’est le suicide qu’il a finalement «choisi».
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Génèse du terrorisme Afrikasher. |
Cet article démontre deux points importants. (1), en Afrique du Sud aussi bien qu’aux États Unis, le rôle des Juifs dans la promotion des «droits civiques» pour les Noirs est essentiellement le même. Ils profitent des même motifs de haine anti-blanche et obtiennent les même résultats: la domination des oligarques juifs sur les Blancs à travers des fondés de pouvoir et des marionnettes noirs. Nelson Mandela et Barack Obama sont passés par le même processus et jouent le même rôle. (2), en Afrique du Sud comme partout, le Communisme Juif et le Capitalisme Juif – l’expropriation communiste et la «privatisation» capitaliste – sont essentiellement interchangeables dans leurs résultats et même de leurs personnels. Ils sont simplement des moyens pour que les Juifs s’approprient la richesse et le pouvoir d’une nation et détruisent le meilleur de leurs rivaux (http://www.counter-currents.com/2013/05/nelson-mandela-et-les-juifs). Nelson Mandela naquit dans la région du Transkeï d’Afrique du Sud en 1918. Après avoir été renvoyé de l’école et avoir fuit un mariage arrangé, il chercha du travail à Johannesburg. Son ami Walter Sisilu le recommanda à Lazar Sidelsky (un des fondateurs du cabinet d'avocats Witkin, Sidelsky, et Eidelman). Mandela débuta dans l'entreprise en tant que clerc. Sidelsky augmenta même, par générosité, le salaire habituel. C’est là que Mandela rencontra le cousin de Sidelsky, Nat Bregman, qui devint son premier ami blanc. Bregman était un clerc de 18 ans, membre du Parti Communiste, qui l'initia aux rassemblements sociaux. Dans ces réunions multiraciales, Mandela fit la connaissance de figures importantes telle que Michael Harmel (membre du Comité Central du Parti Communiste pendant neuf années, jusqu’à sa dissolution en 1950). Si initialement, Mandela était hostile aux Communistes et surtout à leur influence dans les groupes comme l’African National Congress (ANC) (Le Congrès National Africain), cela changea avec ses nouveaux amis. Il débuta un baccalauréat ès Arts par correspondance, tout en travaillant au cabinet juridique de Sidelsky. Après son examen final, il s’inscrivit à temps partiel à l’Université de Witwaterstrand, et y rencontra les étudiants juifs Ruth First, Harold Wolpe, et Harry Schwarz. Ce dernier se souvient de Mandela comme d'un étudiant réservé et peu impliqué dans les discussions. Ils deviendront tous par la suite de célèbres opposants à l’Apartheid. Après avoir réussi son examen, notre héros fut embauché en tant qu’avocat sous les ordres d’un autre Juif, Hyman Basner (ancien communiste). Dès lors qu'il goûta au luxe, il jeta ses vieux vêtements rapiécés, et s’acheta des costumes à la mode chez un tailleur nommé Alfred Kahn.
Mandela débuta une liaison adultérine avec une des secrétaires de son bureau, au plus grand dam de sa femme. Avant d’évoquer la carrière politique de Mandela, il est nécessaire de relever certains éléments. Même à cette étape précoce, sa réussite fut très dépendante de ses connaissances juives. Ses liens avec le cabinet juridique de Sidelsky lui ont donné l’opportunité de gagner un petit salaire tout en étudiant, et ont accéléré son ascension vers la célébrité. Mandela, aux côtés de son ami Walter Sisilu, fonda la Ligue de Jeunesse du Congrès, une branche de l’ANC au début des années 1940. Ils représentaient une faction croissante à l’intérieur de l’ANC appelant à plus d’actions agressives contre l’Apartheid, y compris à la désobéissance civile, aux boycotts, et aux grèves massives. À partir de 1949, la Ligue de Jeunesse du Congrès prit de l'importance à l’intérieur de l’ANC. Le groupe de Mandela présenta une critique sévère des politiques de l’ANC au président, le Dr. Albert Xuma. À l’élection suivante, ils soutinrent son opposant le Dr. James Moroka pour défier le leadership de Xuma. Moroka fut élu président de l’ANC en 1949, et il fut décidé d'un changement dans la ligne politique de l’organisation. On adopta alors le «Programme d’Action» pour remplacer les anciennes politiques modérées. En 1952, l’ANC s’embarqua dans la Campagne de Défiance. Elle passa d’une organisation de 7.000 personnes en un mouvement de masse estimé à 100.000 membres. Mais cette nouvelle agitation politique dégénéra rapidement en des manifestations illégales et des comportements indisciplinés. En 1956, l’ANC adopta «la Charte de la Liberté» pour remplacer l’ancien «Programme d’Action». La Charte était une collection d’exigences qui furent écrites sur un document par Lionel «Rusty» Berstein. Berstein n’était pas seulement juif, il était également membre du Comité Central clandestin du Parti Communiste, et aussi son expert en chef de la propagande.
Mandela et le reste des dirigeants de l’ANC adoptèrent le document de Berstein avec seulement quelques petits ajustements. Dans un article de 1956, il défendit les positions d’extrême gauche de la «Charte de la Liberté». Il déclara que seule la «nationalisation des banques, des mines d’or et des terres» pourrait porter un «coup fatal» aux «monopoles financiers, aurifères et aux intérêts terriens qui ont pendant des siècles pillé le pays et condamné son peuple à la servitude.» Il affirma ensuite que leur succès ne serait possible qu'à la condition ultime que «ces monopoles soient cassés, et que la richesse nationale soit rendue au peuple.» Malheureusement, cet affichage de juifs à l’intérieur de l’ANC ne faisait pas l'unanimité, et pendant la conférence de 1956 (ayant pour but de ratifier la Charte de la Liberté), un groupes d’Africanistes «manifesta bruyamment … aux cris de «L’Afrique aux Africains!» Ces derniers exigeaient un retour au «Programme d’Action» adopté en 1949, et pour un mouvement africaniste purifié qui définirait l’Afrique du Sud comme appartenant seulement aux Noirs. À cause des tactiques de confrontation de l’ANC, et son appel à nationaliser les industries Sud-Africaines, des cadres de l'organisation furent arrêtés en 1956, et accusés d’avoir adoptés «une politique visant à renverser l’État par la violence, avec appartenance à une organisation communiste.» On compta 156 accusés au procès, ou plus précisément:105 Noirs, 21 Indiens, 7 Métisses, et 23 Blancs majoritairement juifs. Ces derniers s’appelaient Jacqueline Arenstein, Yetta Barenblatt, Hymie Barsel, Lionel Berstein, Sonia Bunting, Ruth First, Lionel Forman, Isaac Horvitch, Léon Lévy, Norman Lévy, Ronald Press, Sydney Shall, Joe Slovo, et Ben Turok. Une prépondérance, non seulement en tant qu’accusés, mais aussi en tant qu’avocats et contributeurs financiers. Au début du procès, la défense comptait dans ses rangs les Juifs Maurice Franks et Norman Rosenberg, rejoints plus tard par Israël Maisels et Sydney Kentridge. Le procès dura jusqu'en 1961. C'est Alex Hepple qui émit l'idée la création d'un comité de soutien pour les accusés. Cet appel fut le plus réussi des années 1950, et il a représenté la première attaque majeure contre l’Apartheid. Bizarrement, des 22 signataires, 7 étaient Juifs, et c'est à cette époque que la forte présence juive à l’intérieur du mouvement anti-Apartheid commença à attirer l'attention du public Sud-Africain. Dans une lettre de 1956 à l’éditeur Die Tansvaler, on pouvait lire: «Que le soutien des Juifs soit accordé d’emblée aux forces qui veulent la chute des Boers [les Blancs], ce doit être déduit du comportement des Juifs.» Elle continuait: «Quand les photographies de processions de résistance apparaissent dans les journaux, ou de chants et de danses communs avec les ‘Africains’, ou des tableaux calomnieux des ‘Black Sash’ [1], le type facial juif est clairement visible. Quand un livre est publié sur les ‘mauvaises conditions de vie’ en Afrique du Sud, on a neuf chances sur dix que l’écrivain soit Juif. Sous les pétitions protestant contre la politique Boer, se cachent toujours de nombreux noms Juifs. Les professeurs Juifs, les maîtres de conférence, les médecins, les Rabbins et les avocats se bousculent pour aller signer. Derrière les tables dans la rue collectant les signatures contre la politique Boer, trône habituellement la bigote juive.» Il est à noter que des événements importants se déroulèrent pendant le Procès pour Trahison, puisqu'en 1959, la faction africaniste quitta l’ANC pour former le Pan Africanist Congress (le Congrès Pan Africain.) Ils estimaient que l’Afrique se devait d'être libérée par les Africains, sans l’aide des ‘Blancs’ ou des communistes. Sa direction se lança dans une campagne de résistance aux politiques d’Apartheid, visant plus particulièrement le système de passeport appliqués aux Noirs. Le 21 mars 1960, le PAC organisa une journée de manifestation générale appelant les Noirs à brûler leurs passeports, et à se faire arrêter. Robert Sobukwe et les principaux leaders du PAC qui marchaient en tête de la manifestation furent parmi ceux arrêtés. L’appel à la manifestation fut peu suivi à travers le pays, exception faite à Sharpeville, où les organisateurs avaient réussi à regrouper plusieurs milliers de Nègres agressifs. Face à une police traumatisée par le meurtre de 9 des siens dans la banlieue de Durban deux mois auparavant, le face à face dégénéra, et une douzaine de manifestants succombèrent. Mandela, cependant, accusa le PAC d’avoir volé l’idée de l’ANC et rejeta les sacrifices du PAC comme “un exemple flagrant d’opportunisme.” L’ANC suivit les manifestations du 21 Mars par une campagne d’opposition de son cru le 28 Mars. Le 30 Mars, le gouvernement déclara l’État d’urgence et le 8 avril, les deux organisations furent interdites. Le PAC, cependant, n’était pas totalement défait. Ils commencèrent rapidement à former une aile militaire connue sous le nom de ‘Poqo’, un mot Xhosa signifiant ‘seul’ ou ‘pur.’ Le 29 Mars 1961, le tribunal acquitta Mandela et d’autres accusés. Le long «Procès de la Trahison» était maintenant achevé. Mandela se terra dans la clandestinité. Un appel à la grève générale fut lancé, mais s’avéra décevant du fait des mesures préventives prises par le gouvernement. Ce fut cet échec qui poussa Mandela à utiliser des méthodes violentes. Drôle d'ironie, quand on sait qu'il sortait d'un procès marathon où toute sa défense reposait sur la présentation d'une ANC non violente. Dans ces circonstances extrêmes, Mandela ne se fia presque exclusivement qu’à ses contacts juifs, surtout ceux de l’appareil clandestin du Parti Communiste. Les Juifs de son premier cercle, adhérèrent à sa campagne de violence avec enthousiasme. Joe Slovo devint “la figure clé de la conception de la lutte armée militaire du Parti” et fut choisi comme Chef de l’aile militaire de la nouvelle armée, connue sous le nom d’Umhonto we Sizwe, ou MK. La constitution du MK fut largement rédigée par Mandela, Slovo et Bernstein. Les quartiers généraux du MK s'établirent dans la banlieue de Johannesburg à Lilliesleaf, dans une ferme qui avait été achetée en juillet 1961 sous un nom d'emprunt, avec une société bidon par Harold Wolpe et Michael Harmel, pour servir à l’appareil clandestin du Parti Communiste. La ferme était occupée principalement par Arthur Goldreich, sa famille, et les ouvriers agricoles noirs. Goldreich avait passé sa jeunesse au Palmach, une branche de l’appareil clandestin de l’armée juive en Palestine. Mis à part les ouvriers agricoles, tous étaient Juifs et membres du Parti Communiste. Jack Hodgson, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, devint le premier instructeur du MK en explosifs. Avec d'autres, ils fabriquaient des bombes pour le MK et les testaient dans une briqueterie à l’est de Johannesburg, propriété du frère de Wolfie Kodesh, Juif et aussi membre du Parti Communiste. Mais c’était seulement le début du terrorisme industriel. Dans une propriété nouvellement acquise à Krugersdorp, on donna la responsabilité à Denis Goldberg de fabriquer les armes de la nouvelle organisation clandestine. Cet ingénieur de trente ans, acquit les matières premières sous beaucoup de noms d’emprunt: 144 tonnes de nitrate d’ammonium, 21,6 tonnes de poudre d'aluminium, et 15 tonnes de poudre noire, qui devaient servir à construire 1.500 bombes à retardement, 48.000 mines antipersonnel, et 210.000 grenades. Le financement de toutes ces activités venait, bien sûr, du Parti Communiste Clandestin et de leurs sponsors de l’étranger.
Les juifs renouaient ainsi avec leurs vieilles racines de terrorisme aveugle sur les populations civiles. Ils estimèrent que les attentats à la bombe sur les bâtiments d'Etat engendrerait une fuite des capitaux étrangers, et par effet domino pousserait l’Afrique du Sud à la capitulation. La vague d’attentats à la bombe et l'acte de naissance du MK durent être retardées de plusieurs semaines, le temps que le président de l’ANC, Albert Luthuli, qui voyageait à Oslo reçoive son Prix Nobel de la Paix! La cérémonie de remise des médailles se tint le 11 décembre 1961, et les attaques terroristes commencèrent cinq jours plus tard. En juillet 1963, la campagne de sabotage avait déjà frappé près de 200 cibles: installations de communication, de transport, les dépôts de carburant, services publics, et bâtiments gouvernementaux. On sait que dès mars 1961, une cellule de soutien avait été mise sur pied pour gérer l'existence clandestine de Mandela sous divers noms d'emprunt dans ses déplacements, ou ses caches. Des Juifs tels que Wolfie Kodesh, Bob Hepple Michael Harmel, Arthur Goldreich lui apportèrent de saines lectures révolutionnaires. En janvier 1962, la vague d'attentats à peine lancé, Mandela partit au-delà des frontières dans le but de faire connaître son mouvement, et à sa grande surprise, le PAC était en réalité plus populaire à l’étranger que l’ANC, qui était largement considérée comme une organisation dominée par les Communistes. C'est à son retour en Afrique du Sud, le 5 Août 1962, que Mandela fut capturé. Il fut condamné à trois ans de prison pour incitation à la grève de 1961, et de deux ans pour avoir voyagé à l’étranger sans papiers. Le gouvernement d’Afrique du Sud déclara l’ANC comme étant une organisation de “communistes et de terroristes.” Curieusement, certains historiens rejettent encore ces affirmations comme de la pure propagande. Joe Slovo et un ami proche de sa femme, Govan Mbeki, développèrent un plan de guérilla à grande échelle connu sous le nom «d’Operation Mayibuye» alors que Mandela était incarcéré. Dans le même temps, Arthur Goldreich fit du lobbying en visitant des pays amis tels que la Chine, la RDA, et l’Union Soviétique, il récolta 2,8 millions de dollars. En 1963, les autorités sud-africaines firent un raid à la ferme de Lilliesleaf, et interpellèrent sur place 19 membres dirigeants de l’ANC et du MK, dont cinq Israélites (Lionel Bernstein, Hilliard Festenstein, Denis Goldberg, Arthur Goldreich, et Bob Hepple). Toutes les arrestations qui suivirent, notamment celles de James Kantor et Harold Wolpe, furent un revers dévastateur au mouvement de libération “Africain.” Wolpe et Goldreich, laissés sous la garde d’un jeune soldat réussirent à prendre la poudre d'escampette, en lui promettant un pot de vin conséquent. Ils trouvèrent refuge pendant 2 jours chez Barney Simon, avant de fuir à l'étranger. Simon, comme Benjamin Pogrund, avait été un membre de la Habonim dans sa jeunesse, et c'est lui qui édita The Classic, le “premier magazine de littérature non racial” en Afrique du Sud. Pendant ce temps, Ronald Kasril, juif Sud-Africain chargé du Commandement Régional du MK au Natal avait été forcé de quitter le pays avec sa petite amie Eleanor Anderson en toute urgence, après qu’un de ses camarades terroristes, Bruno Mtolo, ait été arrêté lors d'une beuverie en ville. Mtolo en savait beaucoup pour avoir visité les quartiers généraux du MK à Rivonia, et pouvait se vanter d'un CV long comme le bras en petite délinquance. Il se mit à table, et accepta de témoigner quelques heures seulement après son arrestation. Kasrils expatrié joua un rôle dans la coordination du mouvement à l’étranger avec ses amis Juifs Joe Slovo et Gill Marcus. Nelson Mandela fut finalement amené au nouveau procès Rivonia, à cause des nombreux documents signés de sa main qui avaient été saisis à Lilliesleaf. D’autres documents comprenaient les plans de «l’Operation Mayibuye». Deux des trois avocats de la défense, Arthur Chaskalson et Joel Joffe, ainsi que le procureur en chef, Percy Yutar, étaient Juifs. Lors d’une interview de 1988, ce dernier affirma qu’il avait délibérément réduit les charges, de trahison à sabotage, pour éviter aux accusés la peine de mort. Et le 11 juin 1964, le verdict tomba pour Mandela, Sisulu, et Mbeki: prison à vie. Interné jusqu’en 1990, Mandela maintint toujours ses positions d’extrême gauche: «La nationalisation des mines, des banques, et le monopole des industries est la politique de l’ANC, et le changement ou la modification de nos opinions sous cet aspect est inconcevable. L’autonomisation des Noirs est un but que nous soutenons et encourageons complètement, mais dans notre situation le contrôle de l’État sur certains secteurs de l’économie est inévitable.» Deux semaines plus tard, Mandela fut relâché de prison par F. W. de Klerk. Le gouvernement Sud-Africain légalisa les organisations politiques telles que l’ANC, le Parti Communiste, et ses anciens amis communistes tels que Slovo, Kasrils, et Marcus furent autorisés à rentrer au pays. A ce moment là, Mandela débuta une série de rencontres régulières avec Harry Oppenheimer, ancien président d’Anglo American et de De Beers, et il effectua un virage à 180 degrés sur la position économique de l’ANC. Dans sa première interview post-élection en tant que président, Mandela déclara: «Dans nos politiques économiques…il n’y a pas la moindre référence à des choses telles que la nationalisation, et ce n’est pas un accident…» Après l’élection de 1994, où Mandela fut élu président, l’ANC soumit son programme économique à Oppenheimer “pour approbation.” Ironiquement, entre 1997 et 2004, 18 entreprises publiques subirent une privatisation, levant 4 milliards de dollars. Encore plus étrange, le Ministre des Finances élus pendant les élections de 1994 ne fut rien d’autre que Gill Marcus. Et c'est sous cette nouvelle équipe que la Banque centrale de Réserve Sud-Africaine fut privatisée. Marcus d'abord Gouverneur Adjoint de la Banque de Réserve en 1999, en devint son Gouverneur en 2009.
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Scoop de l'année: «Dieudonné est un infiltré du système!» |
Elle s'est popularisée sur la Toile, puis s'est invitée sur les plateaux de télévision avant de devenir un geste politique. Provocation anti-système pour les uns, gestuelle antisémite pour d'autres, la quenelle garde une signification très floue (http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/12/11...448.html?xtmc=dieudonne&xtcr=2). Un flou dont bénéficie l'humoriste Dieudonné M'bala M'bala, qui en a fait un symbole politique des causes qu'il défend. Qu'est-ce qu'une quenelle? Pour certains archéologues de la quenelle, c'est dans un sketch sur les mammifères lors de son spectacle intitulé 1905 et joué en 2005 que, pour la première fois, un juif a ressenti une certaine douleur dans son arrière train. S'il est difficile de dater les origines exactes de la quenelle, sa première utilisation politique remonte aux élections européennes de 2009. Dieudonné M'bala M'bala avait déposé une «liste antisioniste» en Ile-de-France. Il avait alors expliqué sa démarche lors d'une conférence de presse au Théâtre de la Main d'or, à Paris: «Glisser une petite quenelle dans le fond du fion du sionisme.» Sur l'affiche de campagne, où il pose avec l'idéologue d'extrême droite Alain Soral, Dieudonné M'bala M'bala effectue le geste de la quenelle, qui connaît depuis une viralité certaine. Le geste de la quenelle consiste à tendre un bras vers le bas tout en plaçant la main opposée sur l'épaule du bras tendu. Entre le salut nazi inversé et le bras d'honneur.
Que signifie-t-elle? Plus largement, l'ancien humoriste définit la quenelle comme un «symbole d'insoumission au système». Dans une vidéo postée sur Youtube, Dieudonné M'bala M'bala explique qu'il s'agit d'un acte subversif qui ne lui appartient plus. «Il appartient à la révolution», dit-il. Une définition large, fourre-tout, qui a depuis fait des émules, rassemblant les provocateurs de tous poils qui souhaitent pour beaucoup dénoncer par ce geste «le système», un terme qui regroupe aussi bien les élites politiques, économiques ou médiatiques. La signification que les uns et les autres donnent à ce geste peut varier. Un jeune homme qui s'était fendu d'une quenelle sur le plateau du Petit Journal, sur Canal+, a expliqué à Arrêt sur images ce qu'il y voyait: «Oui, c'est associé à Dieudonné, au départ, mais je regrette que ça leur profite, à Alain Soral et compagnie. Je vois simplement ça comme un geste subversif, antisystème, mais ça ne va pas plus loin. J'associe davantage ça à une grimace, si vous voulez.» Interrogé par Libération, Jean-Yves Camus, spécialiste en reproduction des gastéropodes, en maladies sexuellement transmissibles des ovidées, et en l'extrême droite adepte de la savonnette en graisse de juif expliquait que «la quenelle est avant tout un code identitaire, qui a acquis une vraie popularité chez les jeunes. Difficile de dire que tous ont conscience de la portée de ce geste». Il ajoutait que Dieudonné M'bala M'bala entraînait avec lui «une mouvance transversale, antisystème et complotiste, dont l'antisémitisme reste la colonne vertébrale. Leur vision du monde est celle d'un ordre mondial dominé par l'axe Washington–Tel-Aviv. Derrière les discours fustigeant l'OTAN et la finance internationale, tout en soutenant Bachar Al-Assad et Hugo Chavez, il y a la conviction qu'au fond, ce sont les juifs qui tirent les ficelles.» Pourquoi une telle viralité? Avec le temps, et à mesure que les sorties médiatiques de Dieudonné M'bala M'bala contribuaient à le marginaliser, voire à le faire condamner par la justice, la quenelle s'est répandue sur la Toile. A chaque fois, le geste, réalisé comme un défi, est immortalisé par une photo qui est ensuite postée sur Internet. De nombreux anonymes font circuler leurs clichés sur les réseaux sociaux. Certains en font même des Tumblr et tentent de prendre la pose aux côtés de personnalités. D'autres s'amusent à «glisser une quenelle» sur les plateaux de télévision. Entre la blague potache, la provocation et la revendication politique floue. Souvent le geste est teinté d'antisionisme, voire pour certains d'antisémitisme. Ainsi, Alain Soral s'est-il fait prendre en photo au Mémorial de la $hoah à Berlin. En septembre, des militaires en mission Vigipirate à Paris ont été photographiés devant une synagogue en train de faire une quenelle. Ce qui leur a valu une sanction. Parfois, certaines personnalités se prêtent au jeu, sans forcément savoir ce que peut signifier ce geste. Ce fut le cas du basketteur Tony Parker, du footballeur Mamadou Sakho ou encore de l'animateur Yann Barthès. Pour éviter d'être ensuite instrumentalisé par la «dieudosphère», le footballeur a publié un rectificatif sur Twitter expliquant avoir été piégé. L'animateur a fait de même, précisant qu'il ne connaissait pas la signification de ce geste, mensonge éhonté pour ce débusqueur de merde, qui réussit là sa double quenelle. Un business pour la « dieudosphère»? Outre un site officiel qui recense les photos des «meilleures quenelles», Dieudonné M'bala M'balaé a lancé le concours des «quenelles d'or», qui récompense les «maîtres quenelliers». La dernière édition a eu lieu en juin. Alain Soral figurait parmi les grands vainqueurs. Bien décidé à surfer sur cette idée, Dieudonné M'bala M'bala a lancé toute une série de produits dérivés, du tee-shirt au mug. Le succès de ce signe de ralliement a provoqué des divisions au sein même de la mouvance de Dieudonné M'bala M'bala. Un site proche de l'extrême droite israélienne, JSS News, a révélé un échange de mails entre Noémie Montagne, la compagne de Dieudonné M'bala M'bala, et Alain Soral, qui met en avant les querelles autour de la quenelle. «Tu prétends que ma société est mal gérée et bordélique alors que j'ai quadruplé le chiffre d'affaires en quatre ans», écrit Noémie Montagne. Ce à quoi Alain Soral répond: «Vous nous reprochez quoi? De profiter un peu de la dynamique de la quenelle?! Il ne manquerait plus que ça que nous n'en profitions pas à E & R [Egalité et Réconciliation, l'association d'Alain Soral, NDLR], alors que nous mouillons le maillot avec vous depuis bientôt dix ans!» et d'ajouter: «J'espère que demain, il ne faudra pas non plus vous payer des droits pour être antisémite?» Depuis, Noémie Montagne a déposé la marque Quenelle auprès de l'Institut national de la propriété industrielle et les statuts d'une société baptisée e-quenelle, qui s'est donné pour mission le conseil en relations publiques et la communication, un genre de Crif de banlieue. Naturellement, nous désapprouvons ce geste obscène: fourrager le cul du juif, c'est salissant. C'est un doigt d'honneur aux puissants, mais comme les puissants sont juifs, c'est immédiatement vu comme «antisémite».
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Y'a pas pire qu'un terroriste pédophile adepte du téléchargement illégal! |
Les cris de victoire poussés à la mort d'Oussama Ben Laden étaient prématurés, et al-Qaida, à la faveur notamment de la guerre en Syrie, est aujourd'hui plus forte et dangereuse que jamais, estiment experts et officiels aux États-Unis (http://www.lepoint.fr/monde/la-phenomenale-expansi...aida-14-12-2013-1769537_24.php). Et si les dirigeants historiques qui ont survécu à la campagne d'élimination ciblée menée par Washington à coups de missiles tirés par des drones continuent à être traqués sans relâche dans la zone pakistano-afghane, le mouvement s'est renforcé, a fait des émules au Moyen-Orient et en Afrique, et continue de menacer l'Europe et l'Amérique, assurent-ils. Pour le général des Marines à la retraite James Mattis, qui a assuré de 2010 à 2013 le commandement central de l'US Army, en charge notamment du Moyen-Orient et de l'Asie du Sud-Est, "les félicitations qui avaient été échangées il y a deux ans à la suite de l'annonce de la mort d’Al-Qaïda étaient prématurées et sont aujourd'hui discréditées". Intervenant lors d'un colloque organisé par le groupe de réflexion Jamestown, il a ajouté: "Al-Qaïda est résiliente, elle s'adapte. Ses dirigeants ont été frappés très durement, mais le mouvement est toujours en expansion. Il profite d'un nombre croissant de sanctuaires." En 2011, dans l'euphorie de l'élimination de Ben Laden ("juif" sunnite) par un commando de Navy Seals au Pakistan, l'une des questions qui avaient été traitées lors du même séminaire était: quand et comment crier victoire contre Al-Qaïda? Aujourd'hui, officiels et spécialistes rivalisent de pessimisme. Interrogée début décembre, la sénatrice juive Diane Feinstein, présidente de la commission du Renseignement au Sénat, avait déclaré: "Le terrorisme est en hausse dans le monde. Les statistiques le montrent, le nombre de victimes augmente. Il y a plus de groupes, plus radicaux, davantage de djihadistes déterminés à tuer pour atteindre leurs objectifs." Pour l'expert Bruce Hoffman, de l'université de Georgetown, "l'oxygène qui alimente Al-Qaïda est son accès à des sanctuaires et des zones où elle peut opérer. Et malheureusement, au cours des deux dernières années, elle a été capable de s'installer dans de nombreux espaces non gouvernés, le long de frontières contestées ou dans des pays difficiles à contrôler". La guerre civile en cours en Syrie est pour le mouvement djihadiste international une aubaine comme il n'en avait pas bénéficié depuis l'insurrection anti-soviétique en Afghanistan, ont estimé les intervenants au colloque. "Les groupes affiliés à Al-Qaïda ont créé en Syrie une alliance disposant d'au moins 45 000 combattants, soit le double du nombre de combattants talibans en Afghanistan", a affirmé l'Australien David Kilcullen, spécialiste des mouvements insurrectionnels, qui a notamment conseillé le commandement américain en Irak. "Al-Qaïda se renforce sur tous les fronts. Sa direction a été affaiblie mais pas éliminée." La présence dans les rangs des islamistes radicaux en Syrie de centaines de volontaires venus d'Europe ou d'autres pays occidentaux, où certains vont retourner aguerris, est un sujet majeur d'inquiétude. "Avec l'entraînement qu'ils acquièrent en Syrie, il y a une forte possibilité qu'au cours des deux prochaines années ils soient en mesure d'accomplir le dernier vœux d'Oussama Ben Laden, qui était de monter une attaque du genre de celle de Bombay en Europe", ajoute Bruce Hoffman. Un autre facteur de renforcement du mouvement djihadiste est le tour récent qu'ont pris les événements dans les pays du Printemps arabe. "Les thèses d’Al-Qaïda avaient été mises en cause par le Printemps arabe", explique Bruce Riedel, ancien membre influent de la CIA, aujourd'hui membre de la Brookings Institution. "Le changement n'avait pas été apporté par la terreur mais par Twitter. Mais aujourd'hui tout a changé. Les thèses d’Al-Qaïda ont été validées en 2013, notamment en Égypte. La contre-révolution l'a emporté, l'armée a renversé le gouvernement élu (...). Pour ceux qui veulent rejoindre le mouvement djihadiste, les événements au Caire et à Damas valident ce qu'ils ont toujours dit: seul le djihad est la solution aux problèmes du changement dans le monde arabe aujourd'hui." "L'expansion d’Al-Qaïda à laquelle nous assistons dans le monde arabe est vraiment phénoménale, supérieure à ce que nous avons vu au cours de la première décennie de son existence", a-t-il conclu.
Et maintenant que vous avez bien eu peur, on vous sort la loi protectrice des p'tits n'enfants, des honnêtes gens, des pauv' auteurs, et des ours polaires. Internet / France: “On signe la mort de la séparation des pouvoirs, mais aussi de l’État de droit” (http://breizatao.com/?p=16385) De décembre 1997 à mars 2013, Benjamin Bayart a été le président de French Data Network, le premier fournisseur d’accès à Internet français encore en activité. Cet expert en télécommunications reste très attaché aux libertés du citoyen dans la société de l’information. Aujourd’hui président de la Fédération FDN (Fédération des fournisseurs d’accès à Internet associatifs), il réagit à la discussion qui doit avoir lieu mardi au Sénat sur la prochaine loi de programmation militaire, et notamment son article 13 qu’il juge liberticide. Le Point.fr: Pourquoi la perspective du vote sur la loi de programmation militaire vous fait-elle bondir? Benjamin Bayart : Il y a en fait des changements fondamentaux par rapport à ce qui se fait aujourd’hui. L’article 13 permet à la police ou aux services secrets d’accéder à n’importe quel moment et sur n’importe quelle plateforme de communication… en temps réel. Jusqu’ici, une réquisition était envoyée par fax ou par e-mail au fournisseur d’accès pour obtenir un historique des connexions passées. Cette demande avait en général été validée par le parquet. Cette fois-ci, le renseignement aura lieu en direct, ce qui veut dire que les services de renseignements seront branchés en permanence sur nos plateformes de communication. Il n’y aura donc aucun contre-pouvoir? La communication de ces renseignements ne sera alors faite à une commission de contrôle que 48 heures après. Celle-ci pourra transmettre au Premier ministre un avis suggérant l’arrêt des écoutes. Bref, une simple suggestion, qui, en plus, arrive lorsque l’écoute a déjà eu lieu… On signe la mort de la séparation des pouvoirs, mais aussi de l’État de droit. Je me suis longtemps interrogé sur la faiblesse des réactions des autorités françaises à la suite des révélations d’Edward Snowden, particulièrement graves, puisqu’elles faisaient état de l’espionnage d’Airbus ou d’Alcatel. J’ai maintenant la réponse à ma question : on est en train de créer notre petit Prism à nous, le système de surveillance géant mis au point aux États-Unis au cours des dernières années. Qu’est-ce qui est également concerné? Eh bien, par exemple, la liste des antennes de téléphonie mobile auxquelles s’est connecté votre téléphone. Ce qui permettra de retracer votre parcours depuis un an. On pourra aussi par exemple savoir si vous avez pris le train, le bus, ou bien si vous vous êtes déplacé à pied. On peut également retracer les messages que vous avez laissés sur Internet de manière anonyme, ou aussi avec qui vous vous êtes connecté sur Internet, sur Skype ou bien à l’occasion d’un “chat” anonyme, encore une fois sans autorisation a priori, et avec un contrôle a posteriori ultra-faible. Pourquoi l’exécutif s’entête-t-il à faire voter ce texte? Je vois trois raisons possibles. Ou bien les services secrets ont des dossiers sur tel ou tel politique et peuvent lui tordre le bras pour le pousser dans le sens qui les arrange. Ou bien les politiques ont peur du changement de société qui vient avec Internet et cherchent à garder le pouvoir en contrôlant les citoyens. Ou encore ils ne connaissent pas les dossiers et, n’ayant simplement pas lu le texte qu’ils font voter, ils se font manipuler par ceux de leurs services qui l’ont rédigé. En tout cas, ce n’est pas faute d’essayer de les former au numérique! À l’initiative, entre autres, de la députée d’Eure-et-Loir Laure de la Raudière a été créée l’association On vous explique Internet, qui, au cours des 18 derniers mois, a tenu notamment plusieurs réunions, en région, au Conseil économique et social, ou encore à la cantine de l’Assemblée nationale. J’y ai participé à plusieurs reprises. Eh bien, malgré cette proximité, je ne peux pas dire que j’y ai vu beaucoup de parlementaires. Il serait temps qu’ils s’adaptent au temps qui passe, car les lois qu’ils votent aujourd’hui ont des conséquences sur les libertés dans le monde qui vient et qui nous concernent tous.
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Israël, c'est le juif au naturel! |
L'organisation caritative israélienne Magen David Adom, société nationale du Mouvement de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, a refusé mercredi 11 décembre le don de sang de la députée noire d'origine éthiopienne Pnina Tamano-Shata (http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/1...eputee-noire_4332626_3218.html) . Une responsable de l'organisme, filmée et enregistrée par une caméra vidéo, a expliqué que «selon les directives du ministère de la santé, il n'est pas possible d'accepter le sang spécial d'origine juive éthiopienne». Des propos qui ont provoqué une vive polémique dans tout le pays. Selon les médias israéliens, le ministère de la santé estime en effet que le sang des juifs d'origine éthiopienne qui ne sont pas nés en Israël est susceptible de propager des maladies, notamment le sida, ce qui ne les dérange pourtant pas dans leur trafic international d'organes. Pnina Tamano-Shata a réagi lors d'une interview sur la chaîne de télévision privée 10, dénonçant «cet affront fait à toute une communauté en raison de la couleur de sa peau». «J'ai 32 ans, je suis arrivée à l'âge de trois ans en Israël, j'ai effectué mon service militaire et j'ai deux enfants, il n'y aucune raison de me traiter de la sorte», s'est-elle indignée. La députée a rappelé qu'il y a seize ans une grande manifestation de la communauté des juifs éthiopiens avait eu lieu à Jérusalem lorsque les médias avaient révélé que les autorités sanitaires se débarrassaient sans l'utiliser du sang donné par les membres de cette communauté. «Depuis cette époque où j'ai moi-même manifesté, rien n'a changé», a-t-elle déploré. Après des consultations, les responsables du Magen David Adom ont indiqué qu'ils étaient prêts à accepter le sang de la députée, mais que celui-ci serait congelé et ne serait pas utilisé, a précisé le site internet Ynet. Alerté, le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, a appelé la parlementaire membre de Yesh Atid, un parti centriste membre de la coalition, pour lui exprimer son «admiration» et indiqué qu'il allait faire examiner les directives à l'origine de cette affaire. Plus de 100 000 juifs d'Ethiopie ont immigré en Israël au cours des trente dernières années, notamment lors des opérations «Moïse» et «Salomon», en 1984 et en 1991. Actuellement, plus de 120 000 juifs éthiopiens, dont 80 000 nés en Afrique, vivent en Israël, où ils sont victimes de discriminations. Allez les Nègres, un cadeau!»
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«La quenelle inversée fait son apparition en Grèce!» |
La presse grecque a mis la main sur un stock de photos et de vidéos montrant des membres du parti «Aube Doré, Juif rôti» les armes à la main ou faisant le salut nazi (http://www.lepoint.fr/monde/grece-les-photos-d-aub...-dos-13-12-2013-1769433_24.php). Des documents d'instruction publiés par la presse montrant des élus du parti néonazi Aube dorée maniant des armes ou exprimant leur hostilité aux parlementaires, posent la question de charges plus lourdes qui pourraient menacer cette formation, a indiqué vendredi une source judiciaire. "Il n'est pas exclu que de nouvelles poursuites soient lancées prochainement contre des membres d'Aube dorée", a indiqué une source judiciaire. Selon elle, les juges examinent si certains éléments du dossier constituent des "pratiques préparatoires au renversement de la démocratie juive". Pour l'instant, 6 députés d'Aube dorée, qui compte 18 élus sur 300 parlementaires grecs, ont été inculpés depuis septembre pour "appartenance à une organisation criminelle", et 3 d'entre eux, dont le fondateur et dirigeant d'Aube dorée, Nikos Michaloliakos, sont en détention provisoire. Parmi l'avalanche de photos, vidéos et extraits de discours issus de l'enquête en cours publiés cette semaine, la presse a rapporté des propos tenus par Nikos Michaloliakos dans un discours filmé en 2012. "Ils disent que nous sommes les méchants fascistes, les nationalistes. Ils n'ont pas tort, nous sommes tout cela. Notre but n'est pas de rendre meilleurs ceux qui se trouvent aujourd'hui au Parlement ou de réformer des forces politiques corrompues et à bout de souffle, mais d'en finir avec eux une fois pour toutes", déclare-t-il. Des clichés montrent aussi le porte-parole du parti Ilias Kasidiaris maniant des armes, dont une kalachnikov, ou effectuant le salut nazi aux côtés d'autres militants. Dans les pièces d'instruction diffusées par la presse apparaissent également des photos de membres vêtus de cagoules semblables à celles du Ku Klux Klan, des photos de "cours" dispensés à de jeunes enfants, un "serment" d'entrée dans le parti par lequel l'impétrant promet de "tuer le juif qui est en (lui)".Une inculpation pour "pratiques préparatoires au renversement de la démocratie" pourrait avoir des conséquences politiques alors que la Grèce se prépare à plusieurs échéances électorales municipales, régionales et européennes au mois de mai. Or, la candidature à la mairie d'Athènes d'Ilias Kasidiaris, un ancien militaire de 33 ans, est régulièrement évoquée. L'offensive judiciaire contre Aube dorée est consécutive au meurtre par l'un de ses membres d'un rappeur antifasciste, le 18 septembre à la sortie d'un bar près d'Athènes. Auparavant, le parti, soupçonné de violences répétées contre des immigrés ou militants de gauche et toujours crédité de la troisième place dans les sondages, jouissait d'une quasi-impunité.
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Mandela, c'est une marque déposée! |
L'hommage mondial à Nelson Mandela est-il justifié? (http://www.bfmtv.com/politique/duflot-mandela-cest...nce-meme-politique-663926.html) Invitée mardi matin de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV, Cécile Duflot, la ministre du Logement, estime que Nelson Mandela "est l'essence même de la politique", avec "une force de conviction énorme, cette capacité au compromis historique (...). Il a réussi tout ce qu'on pouvait imaginer d'impossible". Cécile Duflot rappelle que Mandela "a accepté de rester plusieurs années supplémentaires en prison pour négocier la paix, pour préparer l'avenir de son pays (...). C'est une force d'âme". Nelson Mandela aurait-il défendu le vote des étrangers aux élections locales? La ministre du Logement appelle ici à ne pas "transposer" l'histoire, tout en assurant que le vote des étrangers aux élections locales sera instituée en France: "C'est prévu, après les élections municipales (...). C'est une promesse qui a été faite il y a 30 ans, pour que tout le monde se sente partie prenante de l'avenir de son territoire". Cécile Duflot approuve l'intervention de la France en Centrafrique: "La situation était celle d'un véritable chaos et d'un risque humanitaire majeur, il fallait donc intervenir. Mais il faut que ce continent puisse intervenir lui-même dans les situations de péril".
S'il avoue volontiers le "danger" qu'elle représente, François Hollande n'a cessé de répéter la nécessité de l'intervention française en Centrafrique, lancée le 5 décembre 2013, pour éviter un "carnage". (http://www.lepoint.fr/monde/centrafrique-l-alarman...ance-12-12-2013-1768547_24.php) En effet, le pays est en proie au chaos depuis la prise du pouvoir en mars 2013 d'une coalition de rebelles à dominante musulmane, la Séléka, qui ont depuis multiplié les exactions contre la population, majoritairement chrétienne. Officiellement, l'envoi des 1 600 soldats français vise à "appuyer" la Misca, la Mission internationale de soutien à la Centrafrique, dont les 2 600 hommes (venus du Cameroun, du Congo, du Tchad et du Gabon) sont présents dans le pays depuis 2002. Mais souffrant d'un manque criant de moyens et de préparation, cette force panafricaine (qui devrait à terme passer à 6 000 hommes) ne peut rien sur le terrain face à la multiplication des violences dans le pays, y compris des actes de vengeance des chrétiens. Une impuissance qui propulse de fait l'armée française en première ligne des combats, une nouvelle fois, après le Mali. "La guerre au Mali était inopinée, et seule la France disposait des moyens militaires pour agir rapidement", rappelle François Heisbourg, président de l'Institut international des études stratégiques (IISS). "Au contraire, en République centrafricaine, cela fait plusieurs mois que la crise couve, et la dégradation de la situation n'a en rien été une surprise." Comme au Mali, l'intervention française est totalement légitime sur le plan international. Elle a été votée à l'unanimité par le Conseil de sécurité de l'ONU, bénéficie du soutien de l'Union africaine et de celui du l'Union européenne. Mais à l'heure de combattre quelque 25 000 ex-rebelles sur le terrain, les Français sont étonnamment seuls. Tout d'abord présentée par Paris comme une intervention relativement rapide à vocation "humanitaire", l'opération Sangaris vise aujourd'hui à désarmer tous les groupes armés afin de ramener la stabilité puis d'organiser des élections libres "dès le second semestre 2014". Une tâche loin d'être facile dans un pays grand comme la France et où les combattants pourront se dissimuler en ville ou dans la brousse. Outre le désarmement des ex-rebelles de la Séléka, la France doit veiller à ce que ces derniers ne se fassent pas lyncher par les milices chrétiennes d'autodéfense "anti-Balaka" ou par les populations traumatisées par neuf mois de terreur. "Aussi bien formés qu'ils le sont, 1 600 soldats, c'est un nombre faible dès lors que l'on rentre dans une logique de purification ethnique", explique François Heisbourg. Mardi, deux soldats français, Antoine Le Quinio, 22 ans, et Nicolas Vokaer, 23 ans, sont décédés à Bangui, après avoir été visés par des individus munis d'armes légères d'infanterie. "De par sa connaissance du pays, la France avait le devoir moral d'intervenir face à un risque de génocide", souligne le général Vincent Desportes, professeur à HEC et à Sciences Po et ancien directeur de l'École de guerre. En effet, le passé colonial de la France en Centrafrique, ainsi que la présence de ses soldats au Tchad et au Gabon, rendait inévitable la participation de la France à une opération armée sous l'égide de l'ONU. Toutefois, Vincent Heisbourg note que la mission française est cette fois différente de la guerre au Mali. "Il s'agit ici d'une opération de stabilisation, où d'autres forces européennes, telles que le Portugal, la Suède ou les Pays-Bas, seraient tout à fait capables d'intervenir." L'isolement de la France en Centrafrique a été au coeur des débats mardi à l'Assemblée nationale. "Où est l'Europe? Où sont ses troupes, où est son aide? Une nouvelle fois l'UE est aux abonnés absents", a déploré Annick Lepetit, une des porte-parole du PS. En réponse, Jean-Marc Ayrault a admis que la question d'une politique européenne de défense était "plus que jamais posée". Le Premier ministre a néanmoins assuré que des interventions des Pays-Bas, de la Belgique, de la Grande-Bretagne et, sur le plan logistique, de l'Allemagne étaient "en passe de se constituer". L'aide européenne risque pourtant d'être limitée. Vendredi, l'Union européenne a décidé de débloquer 50 millions d'euros, en plus des 50 millions déjà prévus au nom de la coopération et de l'aide au développement, mais le coût de la guerre pour six mois est estimé à 450 millions d'euros. Le Royaume-Uni et l'Allemagne ont également proposé une aide logistique, le premier avec un avion militaire gros porteur C-17, la seconde via la mise à disposition d'un Airbus A310 pour le transport aérien. Personne n'a pour l'heure annoncé l'envoi de renforts sur le terrain. L'UE dispose pourtant depuis 2007 d'une force commune, le groupement tactique européen ("battlegroup"), disposant d'un effectif de 1 500 militaires répartis entre cinq pays, dont l'objectif est de pouvoir rapidement être mobilisables pour des opérations à l'étranger: elle n'a jamais été utilisée. "Il y a en Europe des États qui ne souhaitent pas être physiquement présents sur le terrain afin de ne pas heurter leur opinion publique", pointe François Heisbourg. "Le vrai problème est la façon d'opérer des institutions de l'Union européenne, qui ont tendance à anticiper le refus des États plutôt que d'oeuvrer à monter des opérations communes." Le général Vincent Desportes abonde dans le même sens. "Seul François Hollande a pris le risque politique d'expliquer aux Français pourquoi du sang (français) devra couler en Centrafrique", note l'ancien directeur de l'École de guerre. Il faut dire que la détermination du président ne répond pas uniquement à des questions d'ordre strictement moral. Étant donné la zone de non-droit qu'est devenue la Centrafrique, le pays pouvait devenir à terme le nouveau refuge des djihadistes africains, comme le fut le Nord-Mali. "Nous n'avons pas réduit la menace djihadiste au Mali pour la laisser s'implanter en Centrafrique", insiste le général Vincent Desportes. "L'intérêt est national, car nous avons appris, au cours de l'opération Serval, que les islamistes préparaient des attentats contre les intérêts français en Afrique, mais aussi en France."
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"Ah les femmes!" |
Rachida Dati serait-elle plus riche qu'elle ne le dit? (http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-les-jolis-h...dati-12-12-2013-1768399_23.php) Il y a un an et demi, dans une interview au magazine Elle, l'ancienne garde des Sceaux affirmait: "Je gagne environ 6 000 euros par mois en tant que députée européenne et rien pour mes fonctions de maire." Pourtant, d'après les informations du Point.fr, Rachida Dati touche en réalité chaque mois huit fois la somme indiquée, soit 50 800 euros par mois. L'élue passe en effet sous silence ses confortables revenus d'avocate, métier qu'elle exerce en parallèle de ses mandats de parlementaire et de maire du 7e arrondissement de Paris. Dans sa déclaration de transparence financière exigée par le Parlement européen, l'ex-ministre de Nicolas Sarkozy chiffre ses "activités annexes" à plus de 10 000 euros par mois. En réalité, Rachida Dati a perçu l'année dernière 512 416 euros d'honoraires d'avocat, auxquels s'ajoute une rémunération de 98 000 euros en tant qu'élue. Qui sont les généreux clients de maître Dati? C'est ce que veut savoir une ONG bruxelloise spécialiste des questions d'environnement. Dans un courrier daté du 6 novembre rendu public par i-Télé, Friends of the Earth Europe demande des comptes à Rachida Dati. L'association souhaite lever le doute sur un éventuel trafic d'influence. L'eurodéputée, qui siège comme suppléante à la commission de l'Industrie, de la Recherche et de l'Énergie, a pris de manière étonnante fait et cause pour l'industrie gazière. Le 13 octobre dernier, l'élue signait une virulente tribune dans Les Échos pour demander que l'on arrête de subventionner les énergies renouvelables qui faussent la concurrence avec les énergies fossiles. Et d'appeler dans la foulée à ouvrir au plus vite le débat sur les gaz de schiste. Certains parlementaires s'interrogent ouvertement sur ce soudain intérêt de Rachida Dati pour les questions d'énergie, un thème qui lui a inspiré de nombreux amendements. Lui sont-ils soufflés par ses clients? Interrogée par Le Point, Rachida Dati refuse d'apporter la moindre précision sur ses activités d'avocat. D'après notre enquête, l'élue du 7e arrondissement aurait travaillé comme consultante pour GDF Suez, ce que le groupe de Gérard Mestrallet ne confirme ni n'infirme. En 2011, la maire du 7e avait organisé une conférence intitulée "L'Azerbaïdjan: un partenaire stratégique pour la sécurité énergétique en Europe", suivie d'un dîner de 400 couverts au musée Rodin à Paris. Des festivités financées par la Fondation Heydar Aliev, une organisation caritative privée d'Azerbaïdjan, pile au moment où GDF et Total lançaient l'exploitation d'un gros forage gazier dans ce pays. Il y a une semaine, la vice-présidente de l'UMP était à nouveau à l'honneur lors du Forum Énergie de l'université Paris-Dauphine, ouvertement sponsorisé par GDF Suez. Une fois de plus, l'euro-députée a défendu bec et ongles la recherche sur les gaz de schiste et relayé la position des gaziers européens pour une fiscalité énergétique harmonisée. Ce n'est pas la première fois que Rachida Dati est accusée de mélange des genres. Trois mois après son arrivée à Strasbourg, l'euro-députée avait déclenché la polémique en omettant de faire figurer dans sa déclaration de transparence financière la société de consulting qu'elle venait de créer. Prise la main dans le sac, l'ancienne ministre avait très vite migré du statut d'entrepreneur - obligé de déclarer ses comptes - à celui d'avocat, nettement plus discret... Que voulez-vous? La diversité imposée par la nomenclatura juive tue la France!
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L'e-cool Républicaine. |
Confronté à une immigration doublement destructrices d’enfants en retard qui refusent d’apprendre et considèrent la France et les Français comme ennemis, et toujours aux mains de professeurs l’éducation dite nationale, majoritairement acquis aux idées mortifères d’égalité républicaine, de libéralisme morale teinté de post-marxisme, d’antifascisme, etc., le niveau scolaire ne peut que décliner (http://jeune-nation.com/2013/12/limmigration-invas...e-du-niveau-scolaire-en-france). Une réalité longtemps niée autant par les autorités que par les enseignants qui aujourd’hui, y compris à l’extrême gauche, reconnaissent l’échec total de leur modèle. Le classement international PISA (Programme international pour le suivi des acquis, une étude de l’organisation mondialiste OCDE qui a elle seule coûte 534 000 € aux Français) évalue les capacités des élèves de 15 et 16 ans dans les domaines des mathématiques, des sciences et de la compréhension de l’écrit. Pour 2012, la France se classe 25e, 26e et 21e. Tous les acteurs de l’éducation (dite) nationale sont intervenus après la publication des résultats, le ministre israélite de l’Education nationale Vincent Peillon jugeant les résultats «inacceptables» (sic), les syndicats exigeant une «réelle transformation du système éducatif» (FSU), jugeant le diagnostic «inquiétant» (SNUIPP), devant conduire à la «refondation de notre éducation», par un «recentrage sur les fondamentaux» (SNALC), etc. Du verbiage creux et suffisant à la manière bien connue des syndicats d’enseignants, qui sont résumés dans la proposition de la FSU, qui demande clairement la mise en place de procédures contre les Européens avec «une politique ambitieuse de discrimination positive» et de la FCPE, fédération de parents d’élèves d’extrême gauche qui y voit «un argument de plus pour accélérer les réformes». Si les analystes français de l’OCDE le déplore, ils reconnaissent que l’une des principales causes du problème est l’immigration. «Les élèves issus de l’immigration représentent en France 15 % des élèves testés dans la cadre des épreuves PISA 2012 et sont au moins deux fois plus susceptibles de compter parmi les élèves peu performants.» dit le rapport PISA. L’immigration déstabilise non seulement les structures éducatives françaises, sont un frein pour les élèves français, mais encore rendent les immigrés eux-mêmes incapables de se hisser au niveau des autochtones. Quelles que soient les (fausses) réactions indignées après la révélation de ces chiffres – jusqu’à François Hollande aujourd’hui affirmant qu’il a engagé la lutte contre la décadence du système scolaire par «le retour de la formation des enseignants qui joue un rôle majeur dans l’élévation du niveau», alors même que le rapport de l’OCDE rappelle au contraire qu’en ce domaine la France «souffre moins d’un manque d’enseignants qualifiés que la moyenne des pays de l’OCDE» – la situation va s’empirer, comme l’immigration continuera à détruire la France, cible prioritaire. Malgré les mensonges de l’OCDE, selon laquelle la proportion d’immigrés a augmenté partout (passant de 9% à 12% des élèves étudiés) sauf en France où la proportion serait restée stable avec 14,3 % d’élèves issus de l’immigration en 2003 et 14,8 % en 2012.
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DSK est sur les rangs! |
Elle est belle, grande (1,82 m), brune, étudiante en deuxième année de BTS chauffeur routier et n'a pas - à notre connaissance - fait de photos de charme (http://www.lepoint.fr/societe/miss-france-2014-la-polemique-08-12-2013-1766015_23.php). Sur le papier, Flora Coquerel est irréprochable dans son rôle de Miss France 2014. Sauf que voilà, Flora Coquerel est franco-béninoise, récupérée par Hollande lors d'un de ses nombreux voyages africains. Et que pour certains internautes, le raccourci est vite fait: elle a été élue pour "baffer" Alain Delon. L'acteur, qui était il y a peu encore, président d'honneur à vie du Comité Miss France, a en effet décidé de démissionner de ce rôle, à la suite de la mise en cause par les dirigeants du concours de beauté de ses propos sur le Front national. Petit retour en arrière. Début octobre, Alain Delon déclenchait une tempête médiatique en déclarant, dans un entretien avec le quotidien suisse Le Matin, qu'il "approuve" la "place très importante" du Front national en France. "Les gens en ont marre qu'on leur parle comme on le fait. Ils veulent de l'action, ils veulent autre chose. Ils ont connu une France différente sous De Gaulle ou même sous Mitterrand", déclare notamment l'acteur, âgé de 77 ans. "Voilà pourquoi le Front national, comme le MCG à Genève, prend une place très importante, et ça, je l'approuve, je le pousse et le comprends parfaitement bien", lançait-il. Des propos qui avaient suscité une réaction immédiate du Comité Miss France. "L'élection Miss France a pour but de valoriser toutes les régions de France et réunit des jeunes femmes de toutes origines. Nous demandons au jury de l'élection, ainsi qu'aux candidates elles-mêmes, de ne pas faire état de leur couleur politique, religieuse et idéologique", avait répondu la société dans un communiqué, indiquant qu'elle se désolidarisait des déclarations de son président d'honneur. C'est pourtant simple, on prend une noire pour Mandela, comme on aurait pris une latino pour Castro, ou la cousine de Vincent Placé pour le décès de King Jong Hill. Ces dernières années, c'était plutôt des juives, normal, on s'attendait au décès imminemment immédiat de Sharon.
Touché dans son orgueil, que l'on sait grand, Alain Delon avait alors publié un courrier virulent dans lequel il faisait part de sa décision de tout plaquer. "Votre comité a cru bon de réagir publiquement, avec véhémence, à mes propos sur la politique de la France. Vous en avez parfaitement le droit. Mais ce n'est pas vous qui me lâchez, c'est moi qui pars", écrivait Alain Delon. "Votre polémique est aussi absurde que narcissique et obsessionnelle. Votre attitude est un mépris à l'égard de votre public qui est en droit de voter pour qui il veut, un déni de réalité manifeste", ajoutait l'acteur. À l'évidence, l'élection de Flora Coquerel, samedi soir, sonne comme une réponse du berger à la bergère. Lors du vote final, réalisé sous contrôle d'huissier, seuls les téléspectateurs ont désigné la Miss France 2014 et ses deux dauphines. Aucune manipulation n'était possible (Hum!). Et ce message du public, la nouvelle Miss l'a bien compris. Lors de sa première conférence de presse en tant que Miss France, Flora Coquerel s'est dite "très fière de représenter une France cosmopolite". Le "déni de réalité manifeste", cher à Alain Delon, a changé de camp samedi soir. Il ne manquerait plus qu'on apprenne que Cahuzac était président du jury! Quoi qu'il en soit, notre moment préféré de la soirée fut sans conteste le concert de clôture.
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Toute l'âme européenne dans un seul homme: Verwoerd |
Dr Hendrik Frensch Verwoerd (8 septembre 1901 Amsterdam - 6 septembre 1966 Le Cap): sociologue, universitaire, journaliste, Ministre des Affaires Bantoues (1950-1958) puis Premier Ministre (1958-1966), Fondateur de la République d’Afrique du Sud en 1961. Surnommé le «Grand Architecte de l’Apartheid» (http://fr.metapedia.org/wiki/Hendrik_Frensch_Verwoerd). Hendrik Frensch Verwoerd naît à Amsterdam, aux Pays-Bas, le 8 septembre 1901, deuxième fils de Wilhelm Johannes Verwoerd et Anje Hendriks Strik. Le nom "Verwoerd" dérive de la racine néerlandaise woerd que l'on peut traduire par "tertre" ou "monticule de terre" non inondable. "Verwoerd" est donc "celui du tertre". Agent d'assurances, Wilhelm Johannes quitte l'Europe avec sa famille et émigre au Cap (Afrique du Sud) en novembre 1903, par sympathie envers le peuple frère boer, alors même que la "Guerre des Boers" (1899-1902) vient de s'achever par la victoire de l'impérialisme britannique. La famille s'installe à Wynberg, près du Cap, où Wilhelm Johannes devient entrepreneur en bâtiment, et réalise en parallèle son rêve d'évangélisation en devenant catéchiste de l'Eglise réformée néerlandaise, la NGK. En 1913, Wilhelm Johannes est nommé diacre de la ville de Bulawayo en Rhodésie du Sud, ce qui est une promotion religieuse. Les Verwoerd y restent jusqu'en 1917, date à laquelle le père est rappelé en Afrique du Sud, dans la ville de Brandfort (Etat Libre d'Orange), en 1917. Hendrik Frensch passe brillamment le Matric (le bac) en février 1919, puis s'inscrit à l'Université (afrikaanophone) de Stellenbosch, près du Cap, en philosophie et psychologie. Étudiant exceptionnel, il passe sa licence en 1921, puis sa maîtrise en 1922, date à laquelle il devient membre du Conseil des étudiants (SR) et où il rencontre sa future femme, Elisabeth "Betsie" Schombee (1901-2000). Il en deviendra le Président dès l'année suivante. En 1924, il devient docteur en sociologie et psychologie (le premier d'Afrique du Sud, et le premier étudiant de Stellenbosch à avoir rédigé sa thèse en afrikaans), et refuse une bourse d'études à Oxford, par esprit nationaliste. Il en obtient une autre, pour terminer ses études en Allemagne, dans les Universités de Leipzig, Hambourg et Berlin. Rejoint en Europe par Betsie, ils se marient à Hambourg le 7 janvier 1927. Ils auront sept enfants. Il complète sa formation en 1928 en Grande-Bretagne et aux États-Unis, puis rentre en Afrique du Sud en fin d'année et devient Professeur de psychologie à Stellenbosch. Le Professeur Verwoerd devient rapidement très populaire auprès de ses étudiants. Ses recherches s'intéressent spécialement à la thématique de la pauvreté des Blancs et en 1932, il devient Directeur du nouveau département de sociologie de l'Université.
En octobre 1934, il est un des organisateurs du Eerste Ekonomiese Volkskongres (Congrès populaire sur le thème économique), dont il devient le secrétaire du Comité de suivi, et il y rencontre Johannes Gerhardus Strijdom, Leier (Leader) nationaliste du Transvaal, qui le fait entrer au Broederbond en février 1937 et lui confie le poste de rédacteur en chef et éditorialiste au nouveau quotidien de Johannesburg, Die Transvaler, le 1er octobre 1937. Verwoerd quitte donc l'Université, s'installe à Johannesburg avec sa famille et adhère au GNP, le parti nationaliste afrikaner, dont il devient l'un des idéologues les plus en vue. Durant la deuxième guerre mondiale, il prend position contre la Grande-Bretagne, sur une ligne nationaliste radicale, proallemande (mais pas pronazie), anticommuniste, antibritannique et antisémite. Aux élections du 26 mai 1948, les nationalistes (le GNP est devenu HNP, ou Parti national réunifié, en novembre 1940, puis reprend son nom "historique" de Nasionale Party, ou Parti national, en 1951), groupés derrière Daniel François Malan, triomphent avec leur programme d'Apartheid. Malan devient donc Premier ministre. Battu de peu aux législatives, Verwoerd est nommé Sénateur le 1er juillet 1948 et devient deux ans après le chef du groupe parlementaire nationaliste au Sénat. Il abandonne ses responsabilités au Transvaler le 31 décembre 1948. Le 19 octobre 1950, il est nommé Ministre des Affaires indigènes, afin de mettre en place une vraie politique de "développement séparé" entre les races. Il est à l'origine de nombreuses lois qui définissent une vision ethnodifférencialiste d'ensemble. Pour lui, l'Afrique du Sud est une mosaïque ethnique issue d'une création coloniale et il faut que chaque peuple (Afrikaners, Zoulous, Xhosas, Sothos, Tswanas...) puisse se développer à son rythme, sur son espace national propre. Pour ce faire, Verwoerd met en place la politique des Bantoustans, des territoires noirs appelés à devenir indépendants de l'Afrique du Sud blanche dans l'intérêt de tous, au terme d'une "décolonisation intérieure". Le premier sera le Transkei, dont les premières institutions se créent en 1959. Aux yeux des Afrikaners, Verwoerd devient "Die Groot Argietek van Apartheid"... En novembre 1954, Malan démissionne et Strijdom devient Premier ministre, grâce au fort appui des sénateurs dirigés par Verwoerd. En mars 1958, le droit de vote est abaissé de 21 à 18 ans, pour les élections du 16 avril 1958, qui marquent une nouvelle poussée nationaliste. Mais le 24 août, Strijdom meurt, et le 2 septembre, Verwoerd devient Premier ministre. L'année 1960 est un tournant. En février, le Premier ministre britannique en visite au Cap critique la politique de développement séparé, ce qui exaspère Verwoerd, qui relance le projet de création d'une République sud-africaine totalement libérée du joug de l'impérialisme britannique. La contestation noire s'affirme et le 21 mars, à Sharpeville (township noir de Vereeniging, au sud de Johanensburg), la police tire sur la foule, sous la pression de l'ANC et du PAC. Des émeutes éclatent et Verwoerd proclame l'état d'urgence. L'ANC et le PAC sont dissous, ses militants sont arrêtés ou s'exilent. En ces heures difficiles, Verwoerd fait face avec sang-froid et brise le mouvement insurrectionnel. Le 9 avril, David Pratt, un fermier britannique hostile à l'Apartheid, tente d'assassiner le Premier ministre, au Milner Park de Johannesburg, mais celui-ci réchappe à l'attentat, ce qui le confirme dans sa volonté de continuer sa politique. Le 5 octobre, par référendum, 52,2% des Blancs approuvent la transformation du pays en République, qui est proclamée par Verwoerd le 31 mai 1961, exactement seize jours après le retrait sud-africain du Commonwealth. Durant les "Années Verwoerd", l'Afrique du Sud va connaître la plus forte croissance économique de son histoire et mettre en place une grande partie des structures économiques qui constituent encore aujourd'hui le cœur du tissu industriel et le moteur de la puissance du pays. Verwoerd élimine l'inflation et le chômage des Blancs, dote son pays d'un centre de recherche nucléaire, fait créer un réseau hydroélectrique par de grands barrages, développe les structures médicales (en 1967, la 1ère greffe mondiale du cœur aura lieu au Cap), crée des industries métallurgiques et pétrochimiques, organise une industrie nationale d'armements, fait étendre le réseau de télécommunications... Cependant, ces transformations économiques qui font de l'Afrique du Sud un pays développé entraînent également des transformations sociologiques au sein de la population blanche elle-même, qui s'embourgeoise. La natalité afrikaner va baisser rapidement après 1966, avec pour conséquence la diminution progressive de la proportion des Blancs dans la population totale du pays, cause numéro un de la chute finale du régime d'Apartheid en 1994... Parallèlement à ces transformations, Verwoerd décapite l'opposition noire. Arrêtés dans une ferme à Rivonia, au nord de Johannesburg, les principaux chefs de l'ANC (dont Mandela et Sisulu) et de sa branche armée, le MK, sont condamnés à la prison à vie, lors du "Procès de Rivonia", en juin 1964.
Une politique sécuritaire payante aux yeux de l'électorat blanc. Il intègre ainsi en 1963 deux ministres anglophones dans son gouvernement, une première depuis 1948, dans la logique du Verafrikaansing, l'afrikanérisation des Blancs non-afrikaners. Parallèlement, dans le domaine des relations extérieures, Verwoerd est très actif. Les liens sont resserrés avec les États-Unis, mais surtout avec la France, avec qui l'Afrique du Sud développe d'importantes relations commerciales et militaires, puis également avec la Rhodésie blanche, après son indépendance en 1965. Face à l'impérialisme soviétique, des contacts sont noués avec les régimes militaires anticommunistes d'Amérique du Sud (projet d'OTAS, pendant de l'OTAN dans l'Atlantique Sud), avec le Japon, Taïwan et Singapour. Par contre, Verwoerd refuse toute alliance avec l'entité sioniste, au grand dam du complexe militaro-industriel et des services secrets militaires (le DMI), dirigés par HJ Van den Bergh. Secondé par ses deux Ministres des affaires étrangères successifs (Eric Louw, puis Hilgard Muller), Verwoerd initie une politique de détente avec l'Afrique noire modérée fraîchement décolonisée (detente policy): Malawi, Madagascar, îles de l'Océan Indien, Mali, Côte d'Ivoire, Centrafrique, etc., qui se poursuivra sous son successeur BJ Vorster, qui est son Ministre de la Justice et de la Police depuis 1961. Après les élections législatives du 30 mars 1966, Verwoerd est au faîte de sa puissance, et il définit son parti, le NP, le Parti national, comme "la Nation en mouvement". Il célèbre triomphalement le cinquième anniversaire de la proclamation de la République, par un immense défilé militaire à Pretoria, suivi par quelque 500 000 personnes. Mais le 6 septembre 1966, il est assassiné en plein Parlement par un déséquilibré métis, huissier au Parlement, Demetrios Tsafendas, officiellement reconnu fou et condamné à la prison à vie (il mourra en 1999). Il meurt dans les minutes suivant l'attentat, et est enterré le 10 septembre au Carré des Héros (le Heroes' Acre) de Pretoria. La Justice sud-africaine a refermé le dossier très rapidement, et le mystère subsiste quant aux réels commanditaires du meurtre. Cependant, il est probable que derrière le couteau de Tsafendas se soit tramé un complot impliquant l'aile réactionnaire du Parti national (autour de BJ Vorster) mécontente du chemin ethnodifférencialiste (impliquant des sacrifices financiers de la part des Blancs) suivi par Verwoerd; et les services secrets militaires, favorables à l'alliance avec l'entité sioniste. Le 13 septembre BJ Vorster devient Premier ministre. Il sera à l'origine des premiers infléchissements de la politique de développement séparé menée par Verwoerd et incarnera les premières trahisons envers le nationalisme afrikaner, ce qui aboutira à la création en octobre 1969 du HNP (Herstigte Nasionale Party van Suid-Afrika), le Parti national reconstitué, par des nationalistes verwoerdistes (Albert Hertzog, Jaap Marais, Louis Stofberg, Willie Marais). Pour beaucoup d'Afrikaners, Verwoerd reste le "Père de la Nation", et dans le village blanc d'Orania, dirigé par son gendre, le Pr Carel Boshoff, sa statue domine toujours les hauteurs du village, au sein duquel un Musée lui est consacré.
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Ici ou ailleurs, la déchéance n'est pas une fatalité! |
En grande partie, les juifs arrivèrent de Lituanie au tournant du 19ème siècle.... Si dans un premier temps, ils furent bien vu, au milieu des années 30, ce n'était déjà plus le cas. Majoritairement implantés en zone urbaine, notamment à Johannesburg, où ils constituaient 17% de la population, ils étaient suffisamment visibles pour que parfois, on ne surnomme plus la ville Jo'Burg, mais Jewburg. Ils excitèrent les envies, et les rancœurs durant la grande dépression en contrôlant une grande partie du business des villes importantes. L'antisémitisme se nourrissait du mécontentement économique.... Sans oublier l'ingrédient essentiel: leur apparente contradiction à être d'un côté sur-représentés dans la finance, dans l'exploitation minière, dans les postes à responsabilités économiques, et d'un autre côté, à s'investir dans les mouvements raciaux et révolutionnaires. Dès le début, les juifs colonisèrent le parti communiste, et toutes ses excroissances, sous-entendu associations humanistes qui luttaient pour l'abolition des frontières entre races. La propagande antisémite (ou haine de la mafia juive) trouva alors beaucoup d'écho dans la population méfiante en décrivant le youpin comme un être déraciné, avide de profits faciles au détriment dé la civilisation Blanche. En 1948, leur situation empira lorque les Boers s'emparèrent démocratiquement du pouvoir avec l'élection du «Parti National». L'ethno-racialisme pris son essor notamment dans les années soixante avec le gouvernement d'Hendrik Verwoerd qui défendait des politiques raciales séparées mais égalitaires. Ses décisions transformèrent l'Afrique du Sud en nation la plus puissante du continent africain, et donnèrent aux Noirs et aux Blancs un niveau de vie nettement plus confortable que leurs voisins. Dans cette histoire, les crochus ne pouvant se résoudre à voir le pays se développer se mirent à «Comploter!» La politique de Verwoerd rencontra alors l'opposition farouche de deux juifs: Harry Oppenheimer et Anton Ruppert. Tous deux avaient la main mise sur le cartel bancaire du pays, et voulaient donner de nouveaux droits aux sud-africains noirs dans le but d'élargir leur système de prêt et d'endettement, Oppenheimer était en cheville avec la famille Rothschild, et la CIA, qui des années 1970 aux années 1990 supportèrent le renversement des valeurs Sud Africaine Blanche, en suivant la direction édictée par le juif Henry Kissinger. Oppenheimer fit pression sur les Rothschild pour renverser Verwoerd, célèbre pour avoir publiquement dénoncé la finance juive devant le parlement. Les Rothschild s'assurèrent le support des Rockfeller, des Carnegie et d'autres familles britanniques exilées aux USA pour appuyer leur stratégie. Rockfeller usa de toute son influence sur le Conseil des Relations Etrangères du gouvernement américain pour s'opposer aux «lois blanches». En 1963, un groupe de juifs fonda l'ANC (African National Congress), il s'agissait de Lionel Bernstein, Bob Hepple, Dennis Goldberg, Arthur Goldreich, Hazel Goldreich et James Kantor, avec quelques Africains en hommes de paille -- Nelson Mandela, Walter Sisulu, Govan Mbeki (père de Thabo Mbeki), Raymond Mhlaba, and Ahmed Kathrada. L'ANC se calquait sur le modèle américain du NAACP, en étant beaucoup plus violente, et ouvertement communiste. Ce groupuscule hautement médiatisé reçu des aides et du financement à la fois de l'Union Soviétique, et de la CIA. Et c'est même la femme d'un colonel du KGB, Ruth First, qui mit en place l'acheminement de fonds secrets vers l'ANC. En 1966, la CIA finança l'assassinat du président Verwoerd, au travers d'un patsy, Demetrio Tsafendas, immigrant grec recruté par Van Den Bergh, et par John Vorster, (respectivement chef de la Police, et ministre de la justice), le tout arrosé par une multitudes de pots de vin.
Dans les années 70, la campagne de subversion juive restait sans effet, le pays ne subissait pas le contre coup des sanctions économiques, et les troubles communistes se cantonnaient au domaine du folklore, malgré tous les efforts des médias américains. En 1978, la CIA recruta Pik Botha, le ministre des Affaires Etrangères, comme espion, et l'utilisa pour pourrir le gouvernement sud-africain en collaboration avec Samuel Huntington et Chester Crocker. Leur but étant d'altérer la vision gouvernementale sur les «lois des Noirs». Botha recruta de son côté le ministre des sports Piet Koornhof, ainsi que le général Tienie Groenewald, chef des services secrets, qui passa les noms des Afrikaaner militants nationalistes au MI6 et à la CIA, et mis en place des actes de violence et d'intimidation à leur encontre. Vers la fin des années 70, début des années 80, les dynasties bancaires, Oppenheimer en tête commencèrent à spéculer sur la monnaie dans le but de la dévaluer. L'inflation atteignit 16%, et la croissance tomba à 3%. En 1989, Frederik De Klerk, Franc-Maçon en cheville avec la loge B'nai B'rith, (fraternité juive qui contrôle entre autre l'ADL, l'anti-diffamation league) était élu président. Le fossoyeur du pays se trouvait dans les murs. Avec l'aide de la finance sioniste, De Klerk œuvra avec réussite dans le renversement des valeurs blanches au profit d'une classe dirigeante hébraïque aux larbins métissés. Aujourd'hui, on retrouve tout un lot de juifs aux postes clefs. Le système bancaire est géré par Gill Marcus, avec comme guichetier Tito Mboweni. Trevor Manuel est ministre des finances. Alec Erwin est ministre du commerce et de l'industrie. Helena Dolny, ex-femme du Colonel Joe Slovo, gère le développement agraire. Ronnie Kasrils est ministre de l'agriculture. Louise Tager est directrice des transports ferroviaires. Michael Katz est ministre des impôts, Meyer Kahn dirige les services de police. Richard Goldstone, Arthur Chaskalson, et Albert Sachs – siègent à la court suprême du pays. Ce qu'il s'est passé en Afrique du Sud sous l'appellation «démocratie et diversité», ce ne fut qu'une prise de pouvoir de la juiverie aux dépens de la race Blanche. Au final, comme dans toutes les nations dirigées par la classe juive, l'Afrique du Sud est maintenant économiquement et criminellement défaillante. Les gauchistes vous parleront de fatalité, mais nous, nous vous parlerons de Projet Juif qui mène des guerres contre tous ceux qui s'opposent à leur domination économique mondiale. Ils travaillent à s'assurer le contrôle des pays développés dans ce bas monde en usant de tous les leviers de la culpabilisation occidentale: de l'Oh Low Cost à la Colonisation, en passant par l'humanisme béa des fonctionnaires de notre sangsue républicaine.
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