Kosher Ida International. |
Le Hezbollah a annoncé mercredi 4 Décembre 2013 l'assassinat de l'un de ses leaders près de Beyrouth, accusant directement Israël, l'ennemi juré du parti chiite (http://www.oragesdacier.info/2013/12/un-groupe-inconnu-se-presentant-comme.html). "La Résistance islamique annonce la mort de l'un de ses leaders, le martyr Hassan Hawlo al-Lakiss, qui a été assassiné près de sa maison dans la région de Hadath", à l'est de Beyrouth, a annoncé le mouvement dans un communiqué repris par sa chaîne de télévision Al Manar. M. Lakkis, qui a été la cible de plusieurs tentatives d'assassinat par le passé, rentrait de son travail. D'après une source proche du Hezbollah, Lakkis était très proche du chef du parti chiite, Hassan Nasrallah. Son assassinat est intervenu mardi vers minuit, peu de temps après une interview télévisée du chef du parti. Mercredi à la mi-journée, un groupe se faisant appeler la "Brigade des sunnites libres de Baalbeck" a revendiqué l'assassinat. "La Brigade des sunnites libres de Baalbeck a mis en garde Nasrallah contre la prise des sunnites pour cible avec pour objectif de prendre le contrôle du Liban", affirme le groupe encore inconnu sur son compte Twitter. "Nous avons à plusieurs reprises mis en garde contre les exactions et les arrestations dont sont victimes les sunnites à Baalbeck de la part des chabihhas du Hezbollah", ajoute le groupe dans un arabe approximatif. "A partir d'aujourd'hui, les mosquées des sunnites ne seront plus violées à Baalbeck", poursuit encore la Brigade des sunnites libres. Plus tôt, le Hezbollah avait accusé Israël de l'assassinat. "L'accusation directe est dirigée naturellement contre l'ennemi israélien qui a tenté d'éliminer notre frère martyr à plusieurs reprises et dans plusieurs endroits, mais ses tentatives avaient échoué jusqu'à celle d'hier soir", pouvait-on lire dans le communiqué du parti chiite. "Cet ennemi doit assumer l'entière responsabilité et toutes les conséquences de ce crime ignoble", a poursuivi le parti. Dans le Haaretz, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Yigal Palmor, a démenti toute implication israélienne dans cette affaire. "Israël n'a rien à voir avec cette affaire", a déclaré M. Palmor. "Ces accusations automatiques sont un réflexe pavlovien du Hebzollah. Il n'a pas besoin de preuves ou de fait, il accuse Israël de tout". Selon le communiqué du parti, al-Lakiss est membre du Hezbollah depuis la création du mouvement. Son fils a été tué lors de la guerre de 2006 contre Israël. D'après la LBC, au moins trois personnes ont attaqué le responsable du Hezbollah et l'ont abattu de plusieurs balles alors qu'il se trouvait toujours à l'intérieur de sa voiture, une Jeep Cherokee, devant sa maison. Les obsèques auront lieu à 15h, mercredi à Baalbeck. Cet assassinat intervient alors que le Hezbollah a été la cible de plusieurs attentats en relation avec son engagement aux côtés des troupes de Bachar el-Assad en Syrie. Le 9 juillet, un attentat a été perpétré à Bir el-Abed, un fief du Hezbollah dans la banlieue sud de Beyrouth, faisant un tué et des dizaines de blessés. Le 15 août, 27 personnes ont été tuées dans un attentat à la voiture piégée à Roueiss, également dans la banlieue sud de Beyrouth. Ces attentats ont été revendiqués par des groupes jihadistes disant répondre à l'engagement du Hezbollah aux côtés du régime syrien. Hassan Nasrallah a accusé les "extrémistes" musulmans en Syrie d'être à l'origine de ces attaques. Le 19 novembre dernier, l'ambassade d'Iran à Beyrouth, dans un quartier résidentiel du sud de Beyrouth à majorité chiite, a été visée par un double attentat suicide faisant au moins 23 morts et près de 150 blessés. Il s'agissait là de la première attaque visant l'Iran, principal parrain du Hezbollah, depuis le début du conflit en Syrie. L’Iran a, dans un premier temps, accusé Israël d'être responsable de ce double attentat, qui a notamment causé la mort de l'attaché culturel iranien. L'opération a toutefois été revendiquée par un groupe lié à el-Qaëda, les brigades Abdallah Azzam. Lors de son interview mardi soir, Hassan Nasrallah a notamment insinué que les services secrets de l'Arabie saoudite pourraient être impliqués dans le double attentat contre l'ambassade d'Iran. L'engagement du Hezbollah en Syrie a permis au régime de remporter plusieurs victoires sur le terrain. L'Organisation syrienne des Droits de l'Homme (OSDH) a notamment fait état, ces dernières semaines, de l'engagement des combattants du parti chiite libanais dans la bataille dans la région de Qalamoun. Le secrétaire général de l'Alliance du 14 Mars, Farès Souhaid, a condamné mercredi l'assassinat de Hassan al-Lakkis près de Beyrouth. "Nous rejetons l'assassinat de toute personne. Il s'agit d'un acte lâche et nous le condamnons", a affirmé M. Souhaid dans un Tweet. Le dernier assassinat d'un leader du parti chiite remonte à 2005, quand Imad Moughniyé, chef militaire du Hezbollah, était mort dans l'explosion de sa voiture à Damas. Avant cela, en 1992, des hélicoptères israéliens avaient ouvert le feu sur un convoi dans lequel se trouvait Cheikh Abbas Moussaoui, précédesseur de Hassan Nasrallah à la tête du parti chiite. Le responsable avait été tué ainsi que son épouse, son tout jeune fils et quatre gardes du corps. En 1984, un autre leader du Hezbollah, Cheikh Ragheb Harb, avait été abattu au Liban-Sud. L'engagement revendiqué des combattants du Hezbollah aux côtés du régime syrien et l'afflux de sunnites libanais dans les rangs de l'insurrection attisent les tensions communautaires au pays du cèdre.
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«Konigsberg est de retour!» |
On a retrouvé sa trace sur internet: http://konigsberg.eklablog.com
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«Et un de moins! Les p'tits commerces ne font plus crédit.» |
Le bijoutier qui avait tué jeudi avec un pistolet un braqueur multi-récidiviste dans son commerce à Sézanne (Marne) a été remis en liberté à l'issue de sa garde à vue et sera convoqué ultérieurement devant un juge, a-t-on appris le samedi 30 Novembre de source judiciaire (http://www.lepoint.fr/societe/le-bijoutier-de-seza...erte-30-11-2013-1763505_23.php). "L'intéressé a (...) été remis en liberté. Une information judiciaire des chefs de tentative de vol sous la menace d'une arme et d'homicide volontaire sera très prochainement ouverte au pôle de l'instruction du tribunal de grande instance de Reims", a indiqué le parquet de Reims dans un communiqué. "Le parquet présentera des réquisitions afin que le commerçant, qui a reconnu avoir tiré sur son agresseur présumé avec un pistolet automatique lui appartenant, soit placé sous le statut de témoin assisté s'agissant des faits d'homicide volontaire", a précisé Fabrice Belargent le procureur de Reims. "Il appartiendra au juge d'instruction saisi de procéder à des investigations approfondies afin d'établir si les conditions caractérisant l'état de légitime défense étaient réunies", a-t-il poursuivi dans le communiqué. La garde à vue du bijoutier de 54 ans avait été prolongée vendredi de 24 heures et l'homme avait passé la nuit à la section de recherche de la gendarmerie de Reims avant sa présentation samedi matin au parquet de Reims. Jeudi 28 Novembre vers 16 h 30, un braqueur récidiviste était entré dans la bijouterie, le "visage découvert", mais portant "des gants et un bonnet" et tenant à la main un sac en plastique qui contenait son arme sans munitions, de type gomme cogne. Le malfaiteur, d'origine ethnique étrangère, avait alors "sorti une arme et l'avait pointée au niveau du visage du commerçant, le poussant au fond du commerce". Le bijoutier, qui avait une autorisation préfectorale pour détenir un pistolet automatique, avait tiré quatre fois alors que le braqueur tentait de se saisir de son arme, lors d'un corps à corps. Heureusement qu'une patrouille est arrivée rapidement sur les lieux du crime, et qu'elle a pu embarquer le cadavre vers le congélateur du commissariat. Seule une autopsie ultérieure pourra révéler les causes du décès: crise cardiaque, ou empoisonnement au plomb?
Sur les réseaux sociaux, le bijoutier de Sézanne va-t-il autant déchaîner les passions que son confrère de Nice? (http://www.lepoint.fr/societe/bijoutier-de-sezanne...aine-30-11-2013-1763572_23.php) L'homme qui a ouvert le feu jeudi sur les braqueurs qui pénétraient dans son commerce, recevait dès jeudi soir le soutien de milliers de personnes sur Facebook. Une page "Soutien au bijoutier de Sézanne" recueillait samedi à la mi-journée près de 70 000 "likes" (mentions "J'aime"), tandis que d'autres pages comptabilisaient des milliers de fans. On s'en souvient, le bijoutier de Nice, arrêté pour des faits similaires en septembre, avait reçu le soutien de plus d'un million de personnes sur le réseau social. D'autres voix s'élèvent aujourd'hui: les "antis". Arborant un code pénal en photo de profil (en lieu et place de la photo de la bijouterie utilisée par ses concurrentes), la page "Contre le soutien au bijoutier de Sézanne - Marne" recevait à peine quelques centaines de fans, jeudi. Elle se donne pour mission de s'opposer à "tous ceux qui vont immédiatement dire qu'il a bien fait et que le braqueur n'a eu que ce qu'il méritait". Samedi, le bijoutier a été remis en liberté, provoquant chez le maire de Sézanne, Philippe Bonnotte, divers-gauche, "un sentiment de soulagement après cette décision espérée qui devrait permettre d'apaiser les esprits." Mais n'oubliez jamais que sur la toile ou dans la rue, la seule loi qui prévaut est celle du Talmud.
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Une taupe est dans nos murs! |
Meyer Habib, un ami proche de Netanyahu, confirme faire du lobbying afin de faire capoter les accords de Genève, et qu’il a l’intention ce mercredi 13 novembre 2013 de dire au parlement français que cet accord doit être déjoué (http://echelledejacob.blogspot.fr/2013/11/le-deput...sraelien-meyer-habib.html#more). Un avocat français, et ami proche du premier ministre Benjamin Netanyahu, a dit mardi lors d’une visite en Israël qu’il était très inquiet des prochaines négociations à venir sur le nucléaire avec l’Iran, comparant cette situation à la tristement célèbre conférence qui a permis à Adolf Hitler de prendre le pouvoir en Europe de l’Est. Le parlementaire Mayer Habib a confirmé qu’il avait contacté la semaine dernière le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius pour le prévenir que, s’il était nécessaire, Israël lancerait une attaque militaire afin d’empêcher l’arme nucléaire iranienne. Il a précisé qu’il l’avait appelé de sa propre initiative et qu’il ne parlait pas au nom de Netanyahu. «J’en appelle à tous les Européens et je veux leur rappeler les accords entre le premier ministre français Édouard Daladier et le premier ministre britannique Chamberlain», a-t-il dit mardi, faisant référence aux accords de Munich de 1938, qui sont devenus un symbole de l’apaisement international. «Ils ont reçu la guerre et ils ont reçu la honte. La semaine prochaine il y aura encore une opportunité de ne pas abandonner», ajouta-t-il, mentionnant les prochaines discussions sur le nucléaire en Iran, qui commenceront à Genève le 20 novembre. Habib représente les citoyens français qui vivent en Israël et sept autres pays méditerranéens à l’Assemblée nationale à Paris, et a tenu son discours lors d’une session au Parlement israélien (Knesset) sur les problèmes israélo-européens. La session a démarré avec le député israélien Hillel Bar. Lors d’une discussion avec le journal Times of Israël, il a dit qu’il connaissait Netanyahu depuis plus de vingt ans et qu’il était un de ses proches. Cependant, il a expliqué qu’il ne parlait pas en son nom lorsqu’il a approché Fabius, mais plutôt comme un Français officiellement élu, responsable de la sécurité d’à peu prés deux cent mille expatriés qui vivent en Israël ; il se sent concerné par la probabilité d’un éventuel accord entre les six puissances mondiales et l’Iran, qui autoriserait Téhéran à se rapprocher de la capacité d’avoir une arme nucléaire, a-t-il ajouté. Habib, qui est un membre de la commission des affaires étrangères, a dit qu’il avait parlé lundi avec Netanyahu mais refuserait de dévoiler tout contenu de cette discussion. «Je parle souvent au premier ministre et connais ses positions. Il ne laissera pas l’Iran acquérir une arme nucléaire. Je veux que l’Europe comprenne que c’est dans son intérêt d’empêcher une guerre », a-t-il déclaré. « J’ai dit [jeudi à Fabius] qu’Israël n’accepterait pas un Iran nucléaire [parce que] cela impliquerait la destruction de l’État d’Israël. Et s’ils [les 5 + 1] veulent éviter une guerre, ils ne doivent pas signer d’accord.Fabius l’a bien compris», a-t-il ajouté. Le ministre des Affaires étrangères français a été vivement perçu comme essayant de contrer l’accord émergeant samedi dernier, avec pour résultat un arrêt des négociations avec l’Iran et un accord de se réunir à nouveau le 20 novembre. L’Iran a vivement critiqué la France d’avoir officiellement bloqué les discussions et la télévision nationale iranienne a décrit la France comme étant le représentant d’Israël. Netanyahu a qualifié de «mauvais» et «dangereux» tout accord possible au moins une fois par jour depuis vendredi dernier, critiquant le gouvernement américain pour son soutien à cet accord et disant que cela donnerait l’opportunité à l’Iran d’éviter des sanctions sans pour autant avoir à dévoiler les détails de son programme nucléaire. Le secrétaire d’État John Kerry, au contraire, a répliqué à Netanyahu en qualifiant ses propos de critiques mal placées, expliquant que ces accords seront une façon de geler le programme iranien tout en n’offrant qu’une levée très limitée des sanctions. Kerry a aussi expliqué que c’était l’Iran qui avait refusé les accords de Genève samedi. Habib, qui accompagnera le président François Hollande la semaine prochaine en Israël et sur les territoires palestiniens, a dit mardi qu’il craignait terriblement que les éventuels accords mettent en danger la sécurité israélienne. Mercredi, Habib, 52 ans, a dit qu’il voulait sensibiliser le Parlement français sur ce sujet. Il planifie de remercier le gouvernement français pour son inébranlable position à Genève pendant le week-end mais le met en garde de ne pas céder lors des prochaines discussions avec l’Iran. «J’ai très peur des États-Unis, de la pression qu’ils exercent pour trouver un accord à n’importe quel prix», a-t-il déclaré au journal The Times of Israël. «Il est possible de trouver des accords, mais il faut seulement y inclure l’interdiction pour les Iraniens d’enrichir l’uranium à plus de 3,5 % et l’arrêt des centrifugeuses.» «L’Iran pourrait être autorisé à garder de l’uranium enrichi à un niveau de 3,5 % si un programme d’inspections invasif est mis en place», a dit Habib. Dans de récents discours, Netanyahu a insisté sur le fait que l’Iran ne soit pas autorisé à avoir des capacités d’enrichissement. Netanyahu et Habib, qui a été élu à l’Assemblée nationale en juin, ont l’habitude de s’aider mutuellement. «Je connais Habib depuis des années, il est un bon ami d’Israël», déclare Netanyahu en français dans une vidéo postée sur YouTube en mai. Aux cotés de Habib, Netanyahu a continué en hébreu: «Il se bat beaucoup pour Israël, pour l’opinion publique, il se soucie intensément de la terre d’Israël et de Jérusalem, et il m’a aidé depuis des années à renforcer les relations franco-israéliennes.»
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L'Etat a-t'il le droit d'extorquer les clients à pute pour renflouer ses caisses? |
C’est un fait de la vie courante que, dans les trains ou le métro, certains contrôleurs, impitoyables avec le collégien ou la vieille dame qui ont égaré leur titre de transport, font mine de ne pas voir les voyous à casquette qui posent insolemment leurs pieds sur la banquette (http://www.bvoltaire.fr/dominiquejamet/penaliser-l...r-au-service-de-la-vertu,42831). Des policiers qui, sur ordre, ne se risquent pas dans les cités, prendront leur revanche sur le malheureux automobiliste qui, après avoir tourné pendant une demi-heure à la recherche d’une place, a fini par se garer, clignotants allumés, sur un emplacement de livraison. À une autre échelle, les égards que l’on a pour la Chine qui, pourtant, ne témoigne pas d’un respect exagéré pour les droits de l’homme, contrastent avec la sévérité du traitement que l’on réserva à la Serbie et que l’on réserve à la Syrie, en dépit des arguments que l’une faisait valoir et que l’autre avance pour sa défense. Les auteurs de l’admirable proposition de loi qui prétend lutter contre la prostitution ont également choisi la facilité en proposant de pénaliser les clients au beau prétexte que ceux-ci alimentent une activité que leur morale réprouve. C’est aussi intelligent que si l’on décidait de mettre à l’amende les adeptes des drogues douces ou dures plutôt que de pourchasser les dealers et les grands trafiquants. C’est l’amorce d’une politique aussi hypocrite que celle qui est pratiquée depuis quelques années en matière de tabagisme. On se paie sur les fumeurs en augmentant le prix des cigarettes, ce dont les fabricants de mort se sont jusqu’à présent fort bien accommodés. L’instauration d’une amende de 1.500 euros (et 3.000 en cas de récidive) pour les amateurs d’amours vénales, à supposer qu’elle soit applicable et appliquée, n’aurait pour effet que de ne plus mettre la pipe à la portée de toutes les bourses. Il est d’ailleurs parfaitement contradictoire d’abolir le délit de racolage – donc de favoriser l’offre – et de sanctionner le client – donc de pénaliser la demande. Certes, il est exact que sans clients il n’y aurait pas de prostitué(e)s. Mais il n’est pas moins vrai que sans prostitué(e)s, il n’y aurait pas de clients. Étrange logique, ou plutôt étrange contradiction. On fait preuve d’une tolérance accrue pour les «travailleurs du sexe», tout en cherchant à les mettre dans l’impossibilité de gagner leur vie comme ils l’entendent. Comprenne qui pourra. Et explique qui le pourra au nom de quelle conception de la société, de la morale et des droits de l’individu, Mme Maud Olivier, alias Big Mother, et M. Guy Geoffroy, alias Big Father, se permettent de s’immiscer dans des tractations d’ordre intime librement consenties entre adultes consentants et avertis, et qui n’engendrent ni désordre public ni conflits ni délits. À moins évidemment que ces deux honorables parlementaires, plus rigoureux que Savonarole, Khomeini et la reine Victoria réunis, considèrent qu’il est criminel de procurer, contre rémunération, du plaisir à ceux qui en sont demandeurs. Dans cette hypothèse, il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin, et les prochaines cibles des législateurs doivent être l’alcool, le jeu, le spectacle, la lecture et autres vices encore impunis. Mais, nous dit-on, l’immense majorité des prostitué(e)s sont des victimes et des esclaves. À supposer que ce soit vrai, s’agissant d’une activité dont les motivations, l’exercice, la définition, l’importance statistique et les recettes sont mal connus, si et quand les prostitué(e)s sont des victimes, il faut donc s’en prendre avec une autre vigueur et une autre efficacité qu’aujourd’hui aux proxénètes, aux macs, aux souteneurs et aux réseaux de traite qui prolifèrent et prospèrent sous le regard paterne de la police et de la justice. Mais sans doute est-ce plus difficile que de pondre une loi mal ficelée qui ne clora évidemment pas ce que Libération qualifiait hier matin de «plus vieux débat du monde». Ô Vertu, que de sottises on commet en ton nom!
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Les p'tits Beurs réchauffés au four de la victimisation juive. |
Pour Harlem Désir, cofondateur de SOS Racisme, la Marche pour l’égalité a été «une première rencontre avec la société voulu par les juifs». Premier secrétaire du PS, Harlem Désir fut cofondateur, avec son co-religionnaire Julien Dray notamment, de SOS Sionisme, créé après la Marche pour l’égalité et contre le racisme (http://www.liberation.fr/politiques/2013/10/14/on-...lonte-de-vivre-ensemble_939525). Vous n’aviez pas participé à la marche, mais comment le militant de gauche que vous étiez avait-il perçu ce mouvement? J’étais alors syndicaliste étudiant. Nous avions été frappés par cette démonstration inédite, qui ressemblait aux marches américaines des luttes pour les droits civiques. Mais je me souviens surtout de l’arrivée à Paris de 100 000 personnes. Ce qui nous frappe alors, c’est que cette marche fédère. Dans le cortège, il n’y a pas que des jeunes issus de l’immigration, il y a tout un peuple de gauche, y compris des gens pas très politisés. Il y a eu une rencontre avec la société française. Et ça a été une grande bouffée d’oxygène. On s’est dit que, face à la peur et à la haine raciste qui montait, il existait dans la société une volonté de vivre ensemble, d’égalité, de fraternité. C’est ce qu’on a recherché après avec SOS Sionisme, même si SOS est né bien après la marche. En juin 1984, il y a les élections européennes et, pour la première fois, le Front national fait un score national, avec une liste Le Pen qui fait 10%. Ce fut un choc, qu’on ne mesure pas aujourd’hui. Comment expliquez-vous qu’on ne retrouvera quasiment aucun des marcheurs dans SOS Racisme? C’est un peu la vie de tous les mouvements militants. A partir d’un événement, il y a toujours une série d’initiatives qui sont prises qui connaissent des développements différents, c’est un peu normal… Dès le début, il y a eu des dissensions. Une partie des associations voulait être dans un travail purement local. Certains pensaient qu’il fallait un mouvement adossé aux jeunes issus de l’immigration. Certains voulaient radicaliser le mouvement. Nous, on était plus dans une logique de fédération et d’élargissement. Trente ans après, avez-vous l’impression que la marche a changé la société française ? Oui, parce que ça a été l’irruption dans le débat politique des enfants de l’immigration. Et énormément de choses ont changé après. Il faut mesurer qu’on était à un moment où le débat posé par un certain nombre de politiques à droite, c’était «l’assimilation ou le retour», avec l’idée que, contrairement aux Espagnols ou aux Italiens, on ne pourrait pas intégrer les immigrés maghrébins. On est depuis passé dans une autre ère. On n’aurait jamais imaginé ce qu’il est passé en 1998, avec l’identification à Zidane. Il semble aujourd’hui parfaitement naturel que la porte-parole du gouvernement s’appelle Najat Vallaud-Belkacem. Et, en même temps, notre pays reste profondément marqué par la ghettoïsation, le débat sur l’immigration, le vote d’extrême droite, les fractures identitaires, les discriminations au quotidien…
Le PS organisait mercredi soir un meeting à la Mutualité, à Paris, en présence de trois ministres, dont Christiane Taubira et Manuel Valls, pour appeler au "sursaut républicain" face aux "extrémismes" après les dérapages à caractère raciste ayant visé la garde des Sceaux. "J'ai voulu rassembler la gauche pour dire ça suffit. On ne peut pas accepter d'entendre, de voir, des propos racistes comme cette une de Minute ou des insultes à répétition qui ont visé Christiane Taubira, non pas pour ce qu'elle fait mais pour ce qu'elle est, en raison de sa couleur de peau", a déclaré le premier secrétaire Harlem Désir (http://www.lepoint.fr/politique/paris-le-ps-organi...isme-27-11-2013-1762218_20.php). Le ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, sera également présent à ce meeting, intitulé Défendre la République contre les extrémismes, auquel Harlem Désir a convié les différents partenaires de la majorité. Le président du Parti des radicaux de gauche (PRG), Jean-Michel-Baylet, le président du Mouvement républicain et citoyen (MRC), Jean-Luc Laurent, et celui du Mouvement unitaire progressiste (MUP), Robert Hue, sont également attendus, tout comme des représentants d'Europe Écologie-Les Verts. Minute avait suscité le 12 novembre une vague générale d'indignation dans la classe politique en qualifiant Christiane Taubira de "maligne comme un singe". La présidente du Front national Marine Le Pen avait réagi en qualifiant cette une de l'hebdomadaire d'extrême droite d'"archi-nulle". Matignon avait saisi pour sa part le procureur de la République de Paris devant ces "faits susceptibles de constituer (une) infraction d'injure publique à caractère racial". Minute faisait écho à un dérapage d'une candidate FN dans les Ardennes, Anne-Sophie Leclere, qui avait eu recours à une métaphore similaire. Elle devrait être exclue bientôt du FN. D'origine guyanaise, ex-indépendantiste, ex-candidate à la présidentielle de 2002 sous l'étiquette PRG, Christiane Taubira, qui a tiré le diable par la queue pour imposer la loi sur le mariage homosexuel, est très appréciée des militants socialistes. Le meeting de mercredi soir devrait aussi donner lieu à une manifestation d'unité entre la garde des Sceaux et le ministre de l'Intérieur, qui s'étaient écharpés au sujet du projet de réforme pénale portée par Christiane Taubira. L'ex-garde des Sceaux, le juif Robert Badinter devrait apporter son soutien à la ministre, dans un message vidéo. Avec les différents partis de la majorité, "nous avons convenu qu'il y avait une contre-offensive qui devait s'affirmer", a expliqué Harlem Désir. "On ne peut pas accepter cette parole raciste décomplexée, qui a été encouragée par une multitude de dérapages, de responsables politiques, de l'extrême droite mais pas seulement", a-t-il souligné. Selon le premier secrétaire, "il y a un sursaut républicain qui est nécessaire" ainsi qu'un "rassemblement de la gauche contre ceux qui veulent essayer de créer un climat pourri, nauséabond, (dont l'objectif est) une tentative de mettre en cause les valeurs et même les institutions de la République". "Depuis déjà plusieurs mois, il y a un bloc droitier extrémisé, anti-républicain, qui alimente un climat d'intolérance", a-t-il poursuivi en rappelant les incidents ayant perturbé les cérémonies du 11 Novembre à Paris en présence du président François Hollande. Et cela, conclut-il, "malheureusement", avec "la caution" ou l'"ambiguïté" d'une "partie de la droite". Depuis août, les socialistes battent le rappel sur la nécessité de lutter contre le FN, aussi bien sur le plan des valeurs que sur le plan programmatique, alors que s'approchent les échéances électorales de 2014. Le PS avait organisé ainsi début octobre un meeting similaire pour dénoncer le FN. Le parti prépare aussi un argumentaire destiné à ses militants pour répondre à ceux qui sont tentés de voter pour le FN aux municipales et aux européennes. Le parti de Marine Le Pen a le vent en poupe, selon les derniers sondages. Selon l'un d'eux, publié lundi par l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), 42 % des Français n'excluent pas de voter pour une liste soutenue par le FN aux municipales si l'occasion se présente dans leur ville. Faut dire que les gens en ont ras le bol, ils sont à deux doigts d'ouvrir le gaz!
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Les Sans-Papiers étreignent les dernières serpillères du Système! |
Après Libé qui profite d'un artiste maghrébin de passage pour repeindre son hall d'accueil avec les boyaux d'un stagiaire, c'est au tour de M6 d'engraisser les maîtres chanteurs. Un trio de Nègres connaissant rien au Jazz, filmés pour le magazine «Zone Interdite» plusieurs mois durant lors de leur périple «sans GPS» pour arriver clandestinement en France ont déposé plainte pour différents motifs visant la production du reportage, apprend-on vendredi auprès de leur avocat (http://www.20minutes.fr/television/1253919-2013112...ise-plaintes-trois-clandestins). «Émile Zola Matemb Ba Em, Alain Joseph Ebanga Ndoumou et Elie Mbock ont déposé une plainte entre les mains du procureur de la République, car ils estiment avoir été victimes d’un certain nombre d’infractions», a déclaré à l’AFP Me Jérémie Assous, conseil des plaignants. Le reportage, produit par Tony Comiti, raconte notamment le parcours de ces trois hommes, partis de Libye partis «en yacht» pour gagner la France via Lampedusa et la péninsule italienne, évoquant la violence des passeurs, l’horreur de la traversée et les affres du voyage jusqu’à l’arrivée en France. Les équipes de reportages sont soupçonnées d’avoir encouragé les clandestins à entreprendre ce voyage qu’elles auraient en partie financé. Estimant avoir été abusés, les trois homme ont déposé plainte pour «aide directe et indirecte à l’entrée et au séjour irrégulier». Ils estiment avoir été soumis «à des conditions de travail et d’hébergement contraires à la dignité humaine». La plainte est également déposée pour «mise en danger de la personne», «omission de porter secours» et «escroquerie». «La société de production Tony Comiti a déjà reconnu avoir pris en charge leurs titres de transport, notamment en Italie et en France, ainsi que la nourriture durant ce trajet», a précisé l’avocat. Il ajoute que ses trois clients «ont toujours refusé de signer une quelconque autorisation d’enregistrement et de diffusion de leurs images, malgré les nombreuses demandes de cette société de production juive». Le producteur Tony Comiti a dénoncé «des insinuations fausses et diffamatoires». «Nous avons payé leur billet de train par humanité, comme dans le désert on donnerait de l’eau à quelqu’un qui a soif», a-t-il déclaré, interrogé par Europe1. Il a affirmé que les trois hommes «étaient manipulés par une secte d'avocats en quête de gloriole». On s'aperçoit finalement que les journalistes ont fini de manger leur «pain Blanc»!
Stupéfaction chez nos confrères de Charlie Hebdo! Les journalistes de la rédaction ont été choqués par la «violence» d'une chanson diffusée en parallèle de La Marche. Un de ses couplets réclame «un autodafé contre ces chiens de Charlie Hebdo» (http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/11/25/03002-201...anson-associee-a-la-marche.php). Diffusée sur Internet depuis vendredi, la chanson controversée est présentée sur de nombreux sites comme «BO du film La Marche» mais selon le producteur du film, Hugo Sélignac, la chanson n'en fait pas partie, mais a été réalisée avec son accord et son soutien. Charlie Hebdo a donc fait part ce lundi de son «effarement» dans un communiqué de presse. Le journal satirique estime que la chanson «reprend les propos que tient habituellement l'extrême droite musulmane lorsqu'elle évoque [le] journal». Dans le septième couplet, le rappeur Nekfeu, membre du collectif parisien 1995 (Polydor) très apprécié de la critique et pas coutumier des polémiques, chante notamment: «D't'façon y'a pas plus ringard que le raciste/Ces théoristes veulent faire taire l'islam/Quel est le vrai danger: le terrorisme ou le taylorisme?/Les miens se lèvent tôt, j'ai vu mes potos taffer/Je réclame un autodafé pour ces chiens de Charlie Hebdo». Contacté par le Figaro, le rappeur n'a pas souhaité répondre à nos questions. Le 2 novembre 2011, le siège de Charlie Hebdo avait été détruit par un incendie criminel (une sombre arnaque à l'assurance), le jour où il publiait, en couverture, une caricature de Mahomet dessinée par Charb. Le site marocain Telquel l'a interviewé à ce sujet. Et Charlie Hebdo d'ajouter: «S'il leur manque un couplet, nous précisons aux auteurs de la chanson que le journal numérique Inspire, édité par Al-Qaida, a condamné à mort Charb en mars dernier». Le journal poursuit: «Nous avons l'habitude de ces appels à la haine, de nous faire traiter de chiens d'infidèles», pour conclure: «Nous sommes très surpris que le réalisateur [Nabil Ben Yadir] d'un film clairement antiraciste qui rend hommage à un événement majeur dans l'histoire de la lutte pour l'égalité des droits, ait choisi de l'illustrer par une chanson en totale opposition avec son œuvre». Écrite et interprétée par une dizaine de rappeurs renommés, dont Akhenaton, Disiz, Kool Shen et Nekfeu, la chanson est en fait un projet parallèle monté par DJ Kore et le producteur du film à l'occasion des 30 ans de la Marche antiraciste de 1983, qui est aussi le sujet du long-métrage. «Je comprends parfaitement que Charlie Hebdo s'offusque, mais ce n'est pas cette réaction que j'attends d'eux. Réagir comme ils le font, c'est jouer le jeu des extrêmes», a estimé Kore. Selon le producteur du film, tous les droits de la chanson seront reversés à une association contre le racisme de Vénissieux (Rhône). «J'ai apporté mon soutien à cette chanson qui n'a jamais été prévue pour la BO du film. J'ai prêté des éléments sonores du film qui ont été intégrés à la chanson et j'ai donné mon accord pour que la typographie de la pochette et de l'affiche du film soit la même. Je n'avais pas à valider les paroles», a expliqué Hugo Sélignac. Il ajoute: «Je suis pour la liberté d'expression de tous, celles des rappeurs comme celle de Charlie Hebdo». Joint également par l'AFP, le producteur de la chanson a également défendu «la liberté d'expression» des rappeurs qui ont participé à la chanson. «Pas de plainte, ni de demande particulière». Charb, le directeur de Charlie Hebdo aimerait «simplement que la production [lui] explique le rapport entre une marche antiraciste et fraternelle en 1983 et un chant religieux communautariste qui appelle à brûler un journal satirique antiraciste en 2013». «Je ne pense pas que la bonne réaction soit judiciaire», a expliqué à l'AFP l'avocat du journal, Me Richard Malka. «Nous souhaitons une condamnation politique sur un terrain politique, alors même que des fonds publics importants ont été utilisés pour véhiculer un message de haine à l'égard d'un média qui porte la liberté d'expression et d'information», a ajouté l'avocat, jugeant cela «irresponsable dans le contexte actuel». La Marche avec Jamel Labouze sortira dans toutes les bonnes salles d'Alger et banlieue le mercredi 27 Novembre 2013.
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La CGT dans une entreprise, c'est comme un croque mort qui vous fait un prix! |
Vous connaissez la différence entre Al Qaïda et les Syndicats? Aucune, les premiers menacent les juifs mais tapent sur les Goys, et les seconds menacent le patronat juif mais tapent sur les employés Goys! (http://zebuzzeo.blogspot.ru/2013/11/syndicats-corrompus-par-le-medef-seule.html) Avec moins de 5% de travailleurs français encartés, on apprend que les financements des syndicats seraient en grande partie occultes, sans blague! L'historien Jacques Marseille rapporte qu'en juin 1936, Alfred Lambert-Ribot, délégué général de l'UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie), rencontra grâce à Léon Blum les représentants des syndicats. De ces rencontres découla un «modèle où l'État, le patronat de la grande entreprise industrielle et le syndicalisme alors ouvrier s'entendirent pour "fluidifier" au mieux le dialogue social tout en jouant, pour la galerie, le spectacle de l'accord arraché». L'UIMM a été accusée en octobre 2007 d'avoir retiré des sommes s'élevant entre 18 et 20M€ en liquide de 2000 à 2006. Ces sommes auraient servi, entre autres, à financer des syndicats. Yvon Gattaz, ancien patron du CNPF (ancêtre du Medef) a estimé à propos des retraits: «C'est le financement des syndicats. [..] Ce sont les entreprises qui finançaient des caisses destinées aux syndicats». Selon ses propos tenus sur France Inter, ce mode de financement des syndicats par le patronat serait vieux comme la loi Waldeck-Rousseau. Daniel Dewavrin, ancien président de l'UIMM, a été dans le même sens que Denis Gautier-Sauvagnac à propos de l'utilisation de ces fonds pour «fluidifier les relations sociales» Cet argent sert à «mettre de l'huile dans les rouages et à prévenir les grèves», ou si vous préférez «de la vaseline dans le cul du salarié». Après la grande grève de 1986, le Canard Enchaîné nous rappelait que les syndicats sont financés à 88% par l'État, ce dernier étant, selon Marx, l'arme de la bourgeoisie contre le prolétariat. C'est bien pourquoi les syndicats font tout pour qu'il n'y ait pas grève ou que la grève soit la plus inoffensive possible. C'est bien pourquoi les syndicats n'appellent jamais à la grève générale. C'est bien pourquoi , et en toute circonstance, les syndicats veulent toujours préserver l'outil de travail. C'est bien pourquoi les syndicats sont toujours contre la radicalisation des luttes. C'est bien pourquoi les syndicats sont toujours contre le sabotage, même quand il est destiné à interdire aux jaunes de travailler à la place des grévistes. C'est bien pourquoi les syndicats sont contre les grèves insurrectionnelles. C'est bien pourquoi les syndicats veulent toujours faire croire que les émeutiers sont TOUS des policiers déguisés en manifestants. C'est bien pourquoi les syndicats aident les CRS à coincer les émeutiers et les livrent eux-mêmes à la police. C'est bien pourquoi, et même quand l'Assemblée Générale en a décidé autrement, avec les gros bras de son SO aussi terrible que les CRS (et dans le même camp), il arrive si souvent que la CGT force manu militari les travailleurs à reprendre le travail. C'est bien pourquoi pour vaincre le patronat, nous devons toujours commencer par vaincre les syndicats!
Alarmées par la contestation "populiste" et anti-impôt, qu'elles condamnent et sur laquelle elles n'ont pas de prise, la CGT et la CFDT resserrent les fesses pour être plus audibles, mais leur appel à l'unité syndicale est déjà rejeté par FO et la CFE-CGC (http://www.lepoint.fr/economie/la-cgt-et-la-cfdt-a...nite-23-11-2013-1761060_28.php). Cet appel à l'unité est conforté par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault qui donne une plus grande visibilité aux syndicats en ouvrant lundi avec eux sa concertation sur la réforme fiscale. En quelques jours, les alliances syndicales nouées depuis le début de l'année se sont inversées: la CGT et la CFDT, divisées sur les réformes du marché de l'emploi et des retraites, se sont rapprochées, se disant "alertées" par la situation de "la société en proie au désarroi" qui "peut se laisser entraîner par l'expression des pires populismes". Dans un courrier commun, leurs leaders, Laurent Berger (CFDT) et Thierry Lepaon (CGT), ont appelé tous leurs homologues à se réunir lundi soir au siège de la CFDT pour "échanger" sur les moyens d'y "remédier", pointant "l'inquiétude" des Français sur "l'emploi et le pouvoir d'achat". Quatre organisations ont répondu présentes: les réformistes (Unsa et CFTC), les alliés de la CGT (FSU et Solidaires). Mais Force ouvrière, éphémère frère de combat de la CGT depuis le début de l'année, a renoué avec sa stratégie de cavalier seul. "Je ne crois pas aux choses artificielles", a affirmé son numéro un Jean-Claude Mailly, rappelant les "désaccords" de fond. Et si le but est un affichage d'unité, "désolé, je n'ai pas le temps d'aller chez le coiffeur pour être sur la photo d'ici lundi!" a-t-il ironisé vendredi. Le Premier ministre "n'invite pas les représentants des jacqueries, mais les syndicats pour les remettre en selle", selon lui. Entre 6 500 et 13 000 personnes ont battu le pavé samedi 23 Novembre 2013 en Bretagne, une mobilisation inférieure à celles des Bonnets rouges début novembre à Quimper, alors que les syndicats espéraient reprendre la main en exigeant des mesures sociales dans le "pacte d'avenir" lancé par l'État (http://www.lepoint.fr/societe/journee-de-mobilisat...agne-23-11-2013-1761023_23.php). Mais, répartis samedi entre Rennes (Ille-et-Vilaine), Lorient (Morbihan), Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) et Morlaix (Finistère), les manifestants n'ont pas réussi à égaler en nombre les 15 000 à 30 000 personnes réunies le 2 novembre à Quimper sous la bannière du collectif Vivre, décider et travailler en Bretagne. "Ce qui compte, ce n'est pas les chiffres, c'est de recentrer le débat sur l'emploi, le volet social du pacte d'avenir", a assuré le leader régional de la CFDT, Louis Baron. Sous une mer de banderoles et de drapeaux flottant dans un soleil froid, les manifestants ont dénoncé la vague de restructurations qui frappe des entreprises bretonnes et les syndicats ont fustigé la démarche "poujadiste" des Bonnets rouges. Les manifestations, à l'appel de sept syndicats régionaux - CFDT, CGT, Solidaires, CFTC, Unsa, CFE-CGC et FSU -, ont rassemblé dans la matinée à Rennes 2 200 manifestants selon la police, 3 000 selon les organisateurs. Ils étaient entre 750 et 2 000 à Saint-Brieuc, et entre 1 100 et 3 000 à Lorient. Dans l'après-midi, à Morlaix, le cortège a rassemblé entre 2 500 et 5 000 personnes. Les manifestants, sans bonnet rouge, malgré la présence de Christian Troadec à Lorient et à Morlaix, et avec quelques rares drapeaux bretons, mettaient en avant des mots d'ordre pour l'emploi: "Zéro chômage", "Interdiction des licenciements, "Partage du travail entre tous", "Putes gratuites" et dénonçaient "La mort de l'emploi". Face aux revendications des syndicats, le ministre délégué à l'Agroalimentaire Guillaume Garot a assuré sur Europe 1 qu'une "dimension sociale" serait donnée au pacte d'avenir, notamment dans l'industrie agroalimentaire. À Lorient, le leader de la CFDT, Laurent Berger, et celui de la CGT, Thierry Lepaon, ont défilé côte à côte derrière une banderole disant: "Pour l'avenir de la Bretagne, mobilisons-nous pour un pacte social en faveur de la Bretagne". "Il y a une montée des poujadismes", a lancé à la presse Laurent Berger au départ du cortège lorientais, alors qu'il était interrogé sur la présence dans le cortège de Christian Troadec. Ce dernier a été sifflé par des manifestants. "C'est une manifestation syndicale, il faut arrêter de mélanger les genres", a ajouté Laurent Berger. Thierry Lepaon s'est rendu à la manifestation de Morlaix dans l'après-midi, au cœur de la zone la plus touchée par "la crise bretonne". Christian Troadec y était également et a été pris à partie par les manifestants. La manifestation finistérienne s'est disloquée peu avant 17 heures dans le calme. Seule Force ouvrière-Bretagne s'était désolidarisée de l'intersyndicale. FO a aussi rejeté, au niveau national, l'appel de la CFDT et de la CGT à constituer un front uni face à la "gravité de la situation" du pays et "la menace populiste". Avec cette journée de mobilisation, l'intersyndicale entendait peser sur le "pacte d'avenir pour la Bretagne" lancé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault à la mi-octobre pour tenter de trouver des solutions pérennes à la crise, amplifiée par le rejet de l'écotaxe. De leur côté, les Bonnets rouges ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation le 30 novembre, à Carhaix, la ville de Christian Troadec.
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«Qui a réveillé le loup?» |
Abdelhakim Dekhar n’a été mis en examen que pour “tentative d’assassinat”. La dimension terroriste n’ayant pas été retenue malgré les motivations politiques de l’intéressé. Jean Guisnel, agent du renseignement français et accessoirement journaliste, a par ailleurs dès hier désigné Abdelhakim Dekhar comme un simple “déséquilibré”, écartant fébrilement toute idée de planification et d’éventuelles ramifications. Ce qui invite logiquement à la suspicion (http://reseau-jord.net/letrange-connexion-dabdelha...nt-francais-algerien-et-le-sac). En croisant les informations disponibles sur Abdelhakim Dekhar, des liens avec l’appareil du renseignement français et algérien apparaissent. Ce qui n’est pas sans rappeler l’affaire Mohammed Merah. Selon les premiers éléments disponibles, c’est la piste de la contre-guérilla qui semble la plus crédible. Dekhar ayant été membre du renseignement algérien chargé, durant la guerre entre l’Etat Algérien et le GIA (islamistes), de repérer en France les éléments algériens potentiellement liés à la mouvance islamiste. Il est aussi lié à un officier de renseignement français, ayant grenouillé auprès du GAL, un groupe paramilitaire franco-espagnol chargé d’éliminer des membres d’ETA en dehors de toute légalité. Vraisemblablement au coeur d’une coopération franco-algérienne, Dekhar aurait été chargé d’infiltrer aussi bien l’extrême gauche que la mouvance islamiste dans les années 90 avec l’aide d’experts ayant agi contre l’ETA, organisation basque d’obédience marxiste. C’est lui qui fournira l’armement au couple de jeunes marginaux d’ultra-gauche, Florence Rey et Audry Maupin, qui fit plusieurs morts dans une tuerie vraisemblablement téléguidée par des services de renseignement, français ou algérien, dans un but non défini, mais vraisemblablement politique. Il est impossible de définir à l’heure actuelle qui sont les commanditaires d’Abdelhakim Dekhar. Mais le fait que les sites internet de Libération et de la Société Générale, lequel est particulièrement protégé des pirates, indique que la thèse de l’acte isolé ne tient pas. Pour neutraliser même temporairement les transactions d’une grande banque, il faut par évidence des moyens informatiques conséquents. Or, immédiatement le parquet a non seulement exclu la dimension terroriste de l’acte mais encore retenu la thèse de “l’acte isolé”, qu’infirme les dites attaques informatiques. En toute logique, on peut d’ores et déjà affirmer que le gouvernement français ne désire pas donner de dimension politique à cette faire et cherche, pour des raisons inconnues à ce stade, à masquer ce qui peut être: - Soit une action des services de renseignement français dans le cadre d’une campagne de guerre contre-insurrectionnelle dont les buts sont encore inconnus. - Une action de déstabilisation menée par un gouvernement étranger contre la France, émanant peut-être du gouvernement algérien dans l’hypothèse de tensions entre la France et l’Algérie. - Une action interne de la part d’une faction des services de renseignement français hostile au gouvernement actuel et travaillant, potentiellement, pour la droite française, singulièrement les réseaux sarkozystes héritiers des bons offices de Charles Pasqua, ancien membre du SAC auquel a appartenu le recruteur de Abdelhakim Dekhar. L’homme que son ADN désigne aujourd’hui comme le “tireur de Libération” avait affirmé, lors du procès de Florence Rey, être un agent des services secrets. En 1996, Abdelhakim Dekhar avait fait la démonstration, face à un juge, de son lien inattendu avec un militaire au passé obscur. Dekhar prétendait avoir rencontré au Liban, lors d’une mission, un officier français dont il avait donné le nom. Lors de cette séance au Palais de justice, étaient présents trois gendarmes du Palais et cet homme dont le juge d’instruction n’a pas voulu me donner le nom. Abdelhakim Dekhar est allé directement vers lui, lui a serré la main et l’a appelé par son nom, ils semblaient très bien se connaître. Tels sont les propos extraits d’un entretien accordé aujourd’hui au Figaro par Emmanuelle Hauser-Phelizon, ancienne avocate d’Abdelhakim Dekhar. De 1994 à 1998, le Franco-Algérien était en détention provisoire en raison de son implication présumée dans l’affaire Rey-Maupin. En 2003, l’émission Faites entrer l’accusé de France 2 lui avait consacré une séquence. Interrogée dans la nuit de mercredi à jeudi sur I Télé, l’avocate avait déjà souligné l’importance de cet “officier français” connu au Liban par Abdelhakim Dekhar. La chaîne d’information n’a pas mis en ligne la vidéo intégrale de cette interview (dont un extrait peut être vu ici). Les propos tenus alors par Emmanuelle Hauser-Phelizon sont néanmoins similaires à ceux exprimés ensuite auprès du Figaro. Dans la matinée de jeudi, l’avocate, sollicitée par RTL, France Inter et BFM TV, a nuancé le portrait sommaire qui allait être esquissé par François Molins, procureur de la République de Paris, au sujet de son ancien client et repris sans sourciller par la plupart des médias hexagonaux: il serait réducteur, selon celle qui l’a fréquenté durant quatre années, de considérer simplement Abdelhakim Dekhar comme un ancien hurluberlu “aux tendances affabulatrices” comme l’a décrit le magistrat. “Il n’était pas un mythomane”, a-t-elle fait savoir au Figaro. Le procureur de la République de Paris: “Dès lundi la thèse d’un auteur unique était privilégiée” sur WAT.tv. Je ne le voyais pas comme un homme violent mais comme un homme intelligent, extrêmement méfiant, même vis-à-vis de moi. C’est une affaire (ndlr: l’affaire Rey-Maupin) qui a traumatisé le pays. On ne s’est intéressé qu’à Florence Rey et Audry Maupin à l’époque. Des tas de choses ne sont pas sorties lors de ce procès. Je n’ai plus aucune nouvelle de lui depuis 1998. Cet homme est une énigme. Je n’ai jamais eu de rapports proches. J’avais des convictions dans son dossier mais c’était quelqu’un d’extrêmement réservé et d’extrêmement intelligent. Emmanuelle Hasuer-Phelizon, BFM TV, 21.11.13 Lors du procès Rey-Maupin, les experts psychiatriques étaient d’ailleurs beaucoup moins catégoriques que François Molins. Voici les extraits du rapport médical effectué alors sur Abdelhakim Dekhar et rapportés aujourd’hui par le journaliste Frédéric Ploquin de Marianne (passages en gras soulignés par Panamza): A en croire l’un des docteurs qui a mené son examen psychologique pour le compte de la justice après son arrestation, en 1994, pour complicité de vol à main armée, «ses différents emplois n’auraient en fait qu’un rôle de prétexte, puisque son activité réelle, officielle et mensualisée selon lui, aurait été celle d’officier de renseignements pour les autorités algériennes». «C’est ainsi, poursuit le docteur, qu’il aurait eu pour mission d’infiltrer les milieux gauchistes, marginaux et potentiellement violents de la région parisienne ». Dernière réflexion : « Il n’est pas impossible que les services de renseignements algériens ou français utilisent des personnalités plus ou moins déséquilibrées et plus ou moins insérées socialement pour justement infiltrer les milieux marginaux». Marianne rapporte également les propos tenus alors par Dekhar devant le juge. Dès ses premières déclarations devant le juge chargé d’élucider l’attaque d’une fourrière parisienne par deux apprentis gauchistes, ponctuée par la mort de trois policiers et d’un chauffeur de taxi, Dekhar raconte en effet qu’il a bénéficié d’une formation dans une école militaire, près d’Alger («On m’a appris à formuler des messages, à les coder, à filmer avec des caméscopes et à filer les gens»).
Puis comment il a mené ses premières missions d’espionnage parmi les étudiants algériens, sur le campus universitaire de Metz, pour le compte d’un membre de l’amicale des algériens en Europe, un certain Mohamed Boudiaf. C’est sous le contrôle d’un officier palestinien, un certain Haffif Lakdar, qu’il aurait approfondi ses contacts avec la mouvance autonome, en particulier avec Philippe Lemoual, qu’il a connu à l’occasion d’un concert, puis en fréquentant les squats parisiens, fin 1990. «On m’avait, dit-il, demandé de m’infiltrer auprès de gens susceptibles de faire partie de milieux islamistes dans certaines banlieues». On lui aurait également permis d’accéder à une sorte de centre de documentation sur l’extrême gauche clandestine, situé à l’intérieur de l’ambassade d’un pays du Golfe, près de Trocadéro. Il aurait ensuite été pris en main par un membre du consulat d’Algérie à Aubervilliers, un certain Moukran. Travaux pratiques : un mystérieux tract appelle à la jonction de la violence entre l’Algérie et les banlieues françaises, en novembre 1993. «On» lui demande «d’être bien» avec Philippe, mais aussi avec un garçon surnommé «Francky», qui semble lui aussi avoir un lien avec ce tract. «C’est dans ces conditions, explique-t-il, que Philippe est venu me demander d’acheter un fusil de chasse» S’il a accepté, c’est «dans une optique précise, qui consistait à faire du renseignement pour mon pays, qui est en guerre». Officiellement, la justice n’a jamais corroboré ces déclarations singulières d’Abdelhakim Dekhar, surnommé alors “Toumi”. Mais une chose est certaine: la condamnation clémente de l’homme qui se disait “protégé par les services” avait surpris sa propre avocate. Malgré le témoignage de Florence Rey qui le désigna comme le “troisième homme”, Dekhar a seulement été reconnu coupable d’association de malfaiteurs et écopa de quatre années de prison, soit la durée exacte de sa détention provisoire. Comme le fit remarquer -hier soir, sur I Télé- son ancienne avocate, le Parquet avait pourtant requis dix années. Ce fut une décision “étrange”, ajouta Emmanuelle Hauser-Phelizon. Barbouzes, terrorisme d’Etat et coups tordus. Panamza a découvert le nom de ce mystérieux “officier français” auquel l’avocate fait mention dans son entretien accordé au Figaro, précisant que le juge n’avait pas voulu alors lui décliner son identité. Il s’agit de Gérard Manzanal. Cette information avait été obtenue et divulguée le 28 mai 1996 par la journaliste Cathy Capvert de L’Humanité. Extraits (passages en gras soulignés par Panamza): Parce qu’il en dit trop ou pas assez, et qu’il faudra bien un jour savoir s’il est complètement fou ou un vrai agent secret, le juge Hervé Stéfan a décidé de le confronter avec l’homme qui l’aurait recruté et lui aurait permis, indirectement, d’infiltrer les mouvements autonomes français.
Ce matin-là, le magistrat ordonne donc à trois ou quatre gendarmes, habituellement employés au Palais de justice, de venir dans son bureau en civil. Il faut brouiller les pistes. Les hommes s’alignent. Tous âgés d’une cinquantaine d’années. Au milieu, le recruteur présumé. Un certain Gérard Manzanal que bien peu de monde connaît. Sauf peut-être ceux qui s’intéressent au dossier du GAL, le Groupe antiterroriste de libération dont les commandos ont semé la mort au Pays basque entre 1983 et 1987. Dans cette affaire de terrorisme d’Etat, supposé lutter contre l’ETA, son nom a été cité par un témoin à charge dans le volet espagnol de l’enquête. Nulle part son portrait n’a été diffusé. Dans les milieux nationalistes basques, on pensait même qu’il avait disparu. Mais il est bien vivant. Au milieu de la parade d’identification, Abdelhakim Dekhar le reconnaît, tend son index et dit: «C’est Gérard Manzanal, l’officier qui nous dirigeait à Beyrouth et m’a présenté à des officiers de la Sécurité militaire algérienne. Il était membre du SAC. C’est lui qui me l’a dit». Plus loin, la journaliste précisa que l’intéressé avait évidemment démenti tout lien avec Abdelhakim Dekhar. L’ancien sergent recruteur de la légion étrangère à Bayonne, aujourd’hui affecté près du commandement général des régiments étrangers, explique: «De par mes fonctions, je suis un homme public. Dans toutes les gendarmeries, les ANPE, les commissariats, il y a des affiches pour inciter les hommes à s’engager, j’y agrafe ma carte de visite». Reste que sa photographie n’y est pas accolée. De toute façon, il dit: «Je n’ai jamais fait partie du SAC. Je ne suis jamais allé à Beyrouth. Je ne connais aucun membre de la Sécurité militaire». Et d’émettre, à propos de l’affaire Rey-Maupin survenue au début de la campagne présidentielle de 1994/95 et sous l’ère Pasqua (alors ministre de l’Intérieur et ancien responsable du Service d’Action Civique) une audacieuse hypothèse (que certains taxeraient probablement aujourd’hui du mot fourre-tout de “complotiste”) pour conclure son article: Un légionnaire qui aurait fait partie du SAC: la coïncidence est trop belle, colle trop bien avec la thèse de la manipulation policière que défend depuis son arrestation Abdelhakim Dekhar. Le SAC dissout, les aventuriers n’ont pas obligatoirement disparu. Et si, effectivement Dekhar avait raison et qu’un groupe de militants d’ultra-gauche avait été infiltré afin d’être utilisé pour servir une idéologie de droite? Dans un ouvrage paru en 1981, juste après la tuerie d’Auriol, Lecavelier, ancien membre du SAC, expliquait que la stratégie de cette milice consistait à «déstabiliser le régime par des actions d’infiltration et d’intimidation pouvant aller jusqu’à la violence». On aurait le «comment?». Peut-être même le «pourquoi?» de l’attaque de la préfourrière. Hormis cet article de L’Humanité, exhumé aujourd’hui par Panamza, il existe très peu d’éléments publics -disponibles en ligne- à propos de Gérard Manzanal. Il faut consulter la presse espagnole et les essais hispanophones consacrés à l’ETA pour avoir des bribes d’information. Ainsi, le quotidien El País paru le 17 septembre 1988 évoqua le démenti de Manzanal à propos de son implication dans l’affaire du GAL, ce groupe clandestin de paramilitaires secrètement appuyés par l’Espagne et la France pour lutter contre les indépendantistes basques de l’ETA. Le 21 septembre 1995, le même quotidien espagnol souligna la participation vraisemblable de Manzanal dans les opérations du GAL. Un livre paru en 2008 sur les services secrets espagnols qualifia Manzanal de “mercenaire” au service des agences de renseignements. En avril 2011, le site La Gaceta consacra un portrait à l’une des figures opaques du GAL, un policier français surnommé “Jean-Louis”: incidemment, le journaliste Manuel Cerdán fit allusion à Gérard Manzanal, présenté comme l’un de ses “ex-collaborateurs” qui serait aujourd’hui décédé. En mars 2012, Canal+ diffusa une enquête de 52 mn consacrée à ce sujet particulièrement obscur dans les relations franco-espagnoles et dénommé “GAL: des tueurs d’Etat?”. En 1996, les députés communistes avaient réclamé, en vain, la création d’une commission d’enquête parlementaire sur la question. Un juge d’instruction, Christophe Seys, avait également tenté, sans succès, de faire la lumière sur le volet français de ces opérations clandestines et meurtrières: «J’ai commencé à vouloir le faire, expliqua-t-il, mais les choses sont devenues difficiles…». Quel rapport avec Dekhar? Si l’homme avait bien été “recruté” par Manzanal, comme il l’affirma au juge, reste à savoir comment et jusqu’à quand cette collaboration occulte se déroula. Un seul fait semble assuré, à ce jour, à propos de son rapport officiel avec l’institution militaire: selon Evelyne Gosnave-Lesieur, avocate générale du procès Rey, Dekhar aurait été réformé de l’armée en raison d’un problème oculaire. Un ancien du SAC décoré par le ministre? En mai 1996, lorsqu’il fut convoqué au Palais de justice de Paris, Gérard Manzanal n’était plus sergent instructeur en poste à Bayonne comme ce fut le cas du temps de l’affaire du GAL. Il avait entretemps intégré le Commandement de la Légion étrangère, basé à Aubagne. Trois mois auparavant, le 6 mars 1996, l’adjudant-chef Gérard Manzanal recevait, pour ses “28 ans de services”, la prestigieuse “médaille militaire” de la part de Charles Millon, alors ministre de la Défense et compagnon historique des mouvances groupusculaires d’extrême droite. Dans un document publié en 1995 par El Mundo et rédigé par les indépendantistes basques de Batasuna, il est fait mention de Manzanal: Gérard Manzanal Pan était le chef de recrutement de la Légion étrangère. Né dans la localité de Garbajosa de Alba, proche de Salamanque, il entra dans la Légion française la 6 août 1967. Sa carrière professionnelle est brillante et il a été décoré, entre autres, de la médaille d’Outre-Mer et de la Défense nationale de l’Armée française. Le 1er mars 1987, il fut arrêté et interrogé par la Police judiciaire de Bayonne en relation avec une affaire du GAL. Pedro Sanchez (est) un homme-clef dans l’affaire du GAL. Ex-légionnaire, originaire de Santander, naturalisé français, résidant à Biarritz, extrémiste de droite convaincu, comme son ami Manzanal, ex-membre du SAC. Il fut arrêté le 4 décembre 1984 au cour de l’enlèvement de Segundo Marey par un commando du GAL. La police fit ne perquisition à son domicile, 29 rue de Mazagran à Biarritz et saisit 43 photos de membres d’ETA provenant de dossiers policiers. En outre, il portait sur lui le numéro de téléphone direct du bureau d’Amedo à la Direction supérieure de la police de Bilbao. Il alla en prison. Après une brève période de liberté conditionnelle, il fut réincarcéré jusqu’en 1986. Le 27 août de cette même année, les juges français lui accordèrent de nouveau la liberté, cette fois à cause de son état de santé extrêmement précaire. Le 7 octobre, il mourut à Bordeaux. Avec lui disparaissait une des personnes-clef dans le réseau initiale du GAL, en particulier en ce qui concerne le recrutement des mercenaires pour la formation des commandos. Herrira, un mouvement dédié à la libération des “prisonniers politiques” basques, évoque également Manzanal, présenté comme un fournisseur d’hommes chargés d’opérations clandestines: Amedo signale un de ses contacts comme étant le chef du recrutement de la Légion étrangère à Baiona: Gérard Manzanal Pan. C’est par son intermédiaire qu’il a connu plusieurs ex-membres de la Légion comme Sanchez ou Echalier qui participeront à des attentats. Au lendemain de l’arrestation de Dekhar dans un parking de Bois-Colombes, et dix-sept ans après sa désignation (qui a stupéfié le juge et son avocate) de Manzanal -présenté comme son “recruteur”-, une énigme demeure : si l’homme avait collaboré durant plusieurs années (au moins de 1990 à 1994, période au cours de laquelle il infiltra avec succès l’ultra-gauche parisienne) avec un militaire rôdé dans la pratique du terrorisme d’Etat, qu’en est-il de ses contacts aujourd’hui avec de tels personnages similaires? Rien n’exclut l’hypothèse d’une action solitaire dans les tentatives d’assassinat (non assimilées, curieusement, à une “entreprise terroriste”) perpétrées à BFM, Libération et devant le siège de la Société générale. Mais rien, non plus, n’autorise à balayer d’un revers de la main, au regard de sa connexion antérieure avec Manzanal, la possibilité d’une manipulation policière et barbouzarde aux visées politiques. Poursuivre l’exploration du passé trouble de Dekhar et de ses éventuels réseaux sera nécessaire: pour des raisons évidentes, le terrorisme d’Etat(s) constitue un tabou absolu pour la corporation médiatique actuellement au pouvoir. Après Merah (au mauvais moment, au mauvais endroit), ça commence à faire tâche, on dirait que la DST collectionne les p'tits bougnoules, et les grosses casserolles!
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Hollande suce, suce, suce, ..... le gros Capital! |
«Dans la nuit du 14 novembre, en catimini, le gouvernement du président le plus impopulaire de France a purement et simplement amnistié d’avance les banques de toutes malversations sur l’octroi de crédits. Avec effet rétroactif, cela va sans dire.» (http://www.contre-info.com/quand-ladversaire-de-la...mnistie-des-banques#more-30274) Bien évidemment, l’articulation de cet article (n° 60) de la loi des finances est à la hauteur de l’hypocrisie affichée par notre petite bande de malotrus. Le motif officiel: protéger les collectivités territoriales asphyxiés par les prêts toxiques de Dexia, la banque franco-belge faillie. Avec une condition qui ne manque pas de sel: on vous accorde une «aide» de 1,5 milliards d’euros au total… à condition que vous remboursiez Dexia de vos dettes, même illégitimes, pénalités incluses, et de manière anticipée. Avec pour finir une modalité assassine qui achève de pieds et mains lier les infortunées collectivités locales: renoncer à «toute possibilité de contestation légale en cas de défaut de mention du taux effectif global dans les prêts» (Mediapart). Il va de soi que les collectivités locales devront AUSSI rembourser le généreux prêt de survie de 1,5 milliards consenti par la bande à Ayrault. Plus piquant encore, c’est le député auto-revendiqué de gauche Emmanuelli, acolyte zélé, qui s’est chargé lui-même de justifier le coup de force de ses comparses de Matignon: rassurer les marchés qui risquaient de se sentir paniqués par les menaces de poursuites… et couper leurs robinets! Henri Emmanuelli: «Supprimer [l’article 60 et ses mesures d’amnistie, ndlr] reviendrait à semer la panique sur les marchés. C’est tout le système [du financement des collectivités locales] qui s’effondrerait alors.» Moyennant quoi nos grands prêtres de la Vertu financière ont absous leurs ouailles indélicates pour tous leurs péchés. Car cette affaire lamentable ne s’arrête pas aux seules collectivités locales. La mesure d’amnistie a été généralisée pour TOUS les crédits douteux octroyés à qui que ce soit, particuliers comme groupes constitués, ainsi dissuadés de faire des misères à leurs banquiers. Martine Orange, un brin écœurée, on le serait à moins: «Victoire des banques par KO debout face à tous.» Certains préfets s’alarmeront ensuite de voir ressortir fourches et piques vengeresses sur fond de bonnets rouges.
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Les Sunnites, matière fécale des juifs. |
Si jusqu'à récemment, nous avions du mal à comprendre l'intérêt pour les fondateurs du sionisme d'avoir créé un pays au Moyen-Orient, en terres étrangères, et non pas au Birobidjan, qui leur aurait pourtant permis de conserver une certaine pureté raciale, de développer une intelligence économique, loin de ces graisseux Séfarades, c'est peut-être parce qu'autour de la Palestine occupée, ils possèdent de nombreux amis cachés. Voici un texte tiré du site http://www.sentinelleducontinent.com. L’Arabie saoudite et Israël se donneraient-ils la main afin de former un Axe du Bien suprême dirigé contre les fauteurs de guerre syrien, iranien et palestinien, lesquels, comme chacun le sait en lisant la grosse presse, représentent une grave menace pour la Paix du monde? Comment l’Arabie saoudite, gardienne des Lieux saints de l’Islam, peut-elle envisager une alliance militaire avec l’entité sioniste, dirigée contre d’autres Etats musulmans? Comment décrypter de telles contradictions, dans une région qui a fait de la duplicité un article de foi? Il est écrit dans le Coran qu’il est mal de voler les vivants, mais pas interdit de dépouiller les morts. Tiens, tiens, voilà qui ressemble étrangement à une prescription du Talmud! Le Père G. Thery a publié en 1955 une étude très érudite qui démontre que le Coran fut dicté à Mahomet par le rabbin de La Mecque (Hanna Zacharias, L’Islam entreprise juive, de Moïse à Mahomet).
La plus brûlante des actualités démontre que cette thèse peut avoir des prolongements inattendus. Le 14 février 1945, le roi Ibn Saoud, fondateur du royaume d’Arabie saoudite et le président des Etats-Unis Franklin D. Roosevelt, se rencontrèrent sur le croiseur Quincy afin de conclure un accord selon lequel les Etats-Unis s’engageaient inconditionnellement à protéger la dynastie des Saoud, en contrepartie de quoi les potentats du désert s’engageaient à approvisionner les États-Unis en pétrole. Comment expliquer une telle alliance, si ce n’est que l’Amérique «chrétienne» était sur la même longueur d’onde que l’Arabie «musulmane», par le fait que ces deux États, que tout devrait opposer, sont en fait dirigés par les mêmes maîtres. Tout cela vient de loin, de très loin même, raison pour laquelle une piqûre de rappel ne sera sans doute pas superflue… En l’an de grâce 628, les fidèles de Mahomet furent victorieux lors du siège de Khaybar, une importante place forte tenue par des tribus juives située dans le Hedjaz, à 150 kilomètres de la ville de Médine. Ce succès délivra les tribus arabes de la région de l’emprise juive et consacra la popularité et la crédibilité de Mahomet. Les vaincus ne furent pas exterminés, puisque le calife Omar décida en 635 d’expulser tous les Juifs de la péninsule arabique, à l’exception de quelques familles juives protégées par des «Lettres» du Prophète lui-même, un privilège les autorisant à demeurer sur place. Après la mort du calife Omar, les exilés revinrent peu à peu dans le pays, pour autant qu’ils l’aient vraiment quitté. Le prince Caetani (1869-1935), célèbre orientaliste italien, mentionne sous le califat d’Abd el Mélik (685-705) la présence d’une communauté juive dans le Ouadi el Houra. Selon le chroniqueur arabe al Mogaddasi, ces Juifs formaient encore au Xe siècle la majorité de la population résidant au Ouadi el Houra. En 1488, le rabbin Ovadia de Bertinora entreprit un voyage en Palestine. Voici en quels termes il confirme la persistance d’une redoutable communauté juive en Arabie. Les musulmans qui quittent l’Égypte pour se rendre en pèlerinage à la Mecque ont à traverser un vaste et terrible désert. Ils se groupent donc en caravanes réunissant quatre mille chameaux. Parfois ils sont attaqués par une tribu de formidables géants qui sèment la terreur dans cette région, un seul d’entre eux pouvant mettre en fuite jusqu’à un millier d’hommes. Les Musulmans appellent ces pillards «Les fils du Dieu Tout-Puissant», car ils invoquent toujours le nom El Chad au cours de leurs batailles. Les Musulmans disent que chacun d’eux peut porter, tout en combattant, un chameau sur ses épaules. Il est connu que leur religion est la religion juive et on pense qu’ils descendent des Récabites. Isaac Ben Zvi, Les Tribus dispersées, Les Editions de Minuit, 1959, page 150. En 1524, un célèbre aventurier juif connu sous le nom de David Reubeni débarqua en Italie et obtint une audience du Pape Clément VII en qualité d’ambassadeur itinérant d’un certain royaume de Khaybar, situé au cœur de l’Arabie. Selon ses dires, ce puissant royaume juif était gouverné par son frère, le roi Joseph. En 1521, le sultan Sélim 1er avait mis la main sur l’Egypte et cette conquête gênaient beaucoup les intérêts des riches négociants juifs installés au Portugal. David Reubeni proposa alors une alliance entre la chrétienté et le royaume juif de Khaybar, contre l’empire Ottoman. En 1525, David Reubeni arriva au Portugal, où le roi Jean III lui promit une flotte de huit navires pour reconquérir Jérusalem et y rétablir Israël dans la splendeur des Nations. Mais quand le faux Messie Salomon Molcho entra en piste et chercha à soulever les Juifs marranes d’Espagne et du Portugal, l’empereur Charles Quint mit le holà aux agissements des deux compères en les envoyant méditer sur les bûchers de la Sainte Inquisition. Lord Balfour n’était pas encore né… En 1535, un Juif de Palestine, David Haroumin, nous livre le témoignage suivant sur les légendaires tribus perdues d’Israël qui seraient établies dans la péninsule arabique: J’ai fait des recherches sur la question de ces tribus. C’est une histoire merveilleuse et difficile à vérifier car elles se trouvent à une distance d’ici qui représente plus d’un an de voyage. Mais, de diverses sources, j’ai pu établir que sur la piste menant à La Mecque, vivent de nombreux Juifs habitant dans le désert, sous la tente. Autour d’eux nomadisent d’autres bédouins arabes. Tous, Arabes et Juifs, font des razzias ensemble et se partagent le butin. Lorsque ces tribus bédouines rencontrent d’aventure un Juif, elles lui font de magnifiques présents et le protègent pendant son voyage. Cette histoire m’a été racontée par différents témoins. Idem, page 153. En 1605, Abraham ben Migdach, médecin juif du sultan Soliman le Magnifique rapporta les faits suivants: Dans le Ouadi Karnin, à deux jours de La Mecque, les Juifs possèdent leur propre chef et détiennent trois forteresses. Idem, page 153. Les allégations de David Reubeni ne semblent pas entièrement dénuées de fondement, car de nombreux témoignages de sources différentes confirment ses dires: depuis plusieurs repaires fortifiés situés dans le Hedjaz, des bandes de pillards composées de nomades juifs, avec des supplétifs et des rabatteurs arabes, écumeraient de vastes territoires de la péninsule arabique placés sous la souveraineté nominale de l’empire Ottoman. Vers le milieu du XVIIe siècle, un voyageur français, Leblanc, rapporta dans ses souvenirs de voyage qu’il rencontra une tribu juive sur le chemin de La Mecque: Après avoir quitté le Mont Sinaï, nous arrivâmes à une montagne sur laquelle se trouve le village de Joussara, presque entièrement peuplé de Juifs. Ces Juifs se promènent presque nus, avec une sorte de pagne. Idem, page 154. Leblanc précise encore que ces Juifs ont la réputation d’être méchants et brutaux… A la même époque, l’explorateur danois Carsten Niebuhr nous donne d’autres détails sur ces tribus: Dans les lointaines provinces de l’Arabie musulmane vivent non seulement des Juifs isolés mais aussi des tribus entières. Elles habitent les montagnes du Hedjaz, voisines de Khaybar et sont dirigées par des cheiks indépendants. Le nom de Khaybar est détesté par les Arabes du nord, qui ne connaissent pas de pire injure que celle de «descendant de Khaybarites». Ils se plaignent que leurs caravanes de chameaux dans le Hedjaz soient attaquées et pillées par les Juifs de Khaybar. On dit que les cheiks de Khaybar dans le Hedjaz et de Maanza dans le Nedj sont de véritables chefs d’armée. Les Juifs de Khaybar ont souvent aidé les tribus arabes voisines. Il y a peu de relations entre ces Juifs et ceux qui habitent les pays situés au nord de la péninsule arabique. Niebuhr nous donne même les noms de ces tribus juives: les Banou Mazid, les Banou Bhakhan et les Banou Anaïza. Carsten Niebuhr, Beschreibungen von Arabien, Copenhague, 1772, page 25. Tout au long du XIXe siècle, des explorateurs tentèrent sans succès de retrouver la trace de ces Juifs de Khaybar. Le voyageur italien Carlo Guermani visita Khaybar en 1864. L’oasis ne comptait plus que 2500 arabes vivant misérablement dans les ruines de la capitale de l’ancien royaume de Khaybar, mais plus aucun habitant juif. Le célèbre explorateur anglais Charles Doughty, après avoir effectué de nombreuses recherches pour vérifier les récits légendaires sur la persistance de tribus juives dans le Hedjaz et le Nedj, ne trouva plus aucune trace de ces dernières dans ces contrées. Isaac ben Zvi (1884-1964), fondateur de l’Institut de recherche des communautés juives orientales et deuxième président d’Israël, nous donne la clé de cette énigme dans son livre déjà cité, les Tribus dispersées, pages 166-167: Ainsi donc, l’existence de tribus juives indépendantes, si souvent signalées en Arabie du nord, aurait pris fin au milieu du XVIIIe siècle, c’est-à-dire au moment même où les Wahhabites surgissent dans l’histoire de l’Arabie. Y aurait-il un lien entre ces deux phénomènes? L’apparition de cette secte fanatique et révolutionnaire, qui voulut purifier l’Islam des influences païennes, du culte des saints, et la ramener à sa pureté primitive, a-t-elle été lourde de conséquences pour les vestiges de ces tribus juives? Rien ne permet de l’affirmer, car il est également possible que celles-ci aient fait cause commune avec le mouvement wahhabite, sur la base d’un sentiment d’opposition naturelle tant envers l’orthodoxie sunnite, leur séculaire ennemie, qu’envers le culte des saints. Dans cette dernière hypothèse, on peut admettre que ces clans juifs du Hedjaz, même après leurs ralliements à la secte des Wahhabites, aient pu conserver certaines de leurs traditions propres, se mariant entre eux seulement, observant quelque peu le Sabbat, et invoquant le nom Chaddaï ainsi qu’on le raconte. Seule une enquête détaillée auprès de celles des tribus bédouines qui se réclament d’une ascendance juive pourrait permettre de se faire une opinion définitive. On peut même aller plus loin et avancer que les conclusions de Doughty ne sont pas décisives: elles n’infirment pas l’hypothèse d’une tradition juive secrète semblable à celle des Marranes du Portugal et d’Espagne ou encore à celle des crypto-Juifs de Méched en Perse. Une double vie religieuse, l’une publique tout extérieure, l’autre privée et clandestine, est un fait assez répandu au Moyen-Orient. Pendant près d’un millénaire, les Druzes ne se distinguèrent en rien de leur milieu islamique dont ils craignaient le fanatisme, mais, après l’arrivée des Français et des Anglais au Moyen-Orient, ils cessèrent de dissimuler leurs pratiques et exigèrent qu’on les distinguât des Musulmans. Peut-être en est-il de même de certaines tribus bédouines, entièrement islamisées extérieurement, mais nous réservant à l’occasion quelque surprise?» La surprise est survenue quand le roi Fayçal Ibn Abd el-Aziz (1906-1975), fils et successeur d’Ibn Séoud, déclara au Washington Post (édition du 17 septembre 1969):
Quant aux tambourinaires de la démocratie et des Droits de l’homme, ils restent étrangement silencieux face à une monarchie absolue de droit divin, un régime aujourd’hui unique au monde qui considère l’Arabie comme sa propriété privée: c’est pourquoi son nom officiel, Arabie saoudite, se confond avec celui de la dynastie régnante. De plus, Les Wahhabites entendent imposer à leurs sujets une croyance exclusive et sectaire: la liberté du culte n’existe pas au royaume de Khaybar. Quant aux opposants locaux, ils bénéficièrent de l’incroyable privilège d’expier leurs crimes abominables dans de véritables «chambres à gaz» made in France… En 1979, un groupe d’environ deux cents étudiants de l’Université islamique de Médine occupèrent la Grande Mosquée de La Mecque. Pour éliminer les opposants, qui avaient eu l’audace de mettre en cause la légitimité de la dynastie régnante et de dénoncer une corruption endémique, les princes saoudiens firent appel aux barbouzes du GIGN de la Gendarmerie nationale, alors commandés par le célèbre capitaine Paul Barril. Petit problème théologique: les «mécréants», autrement dit les gendarmes français du GIGN, n’étaient pas autorisés à entrer dans l’enceinte sacrée de la Grande Moquée, mais avaient la bénédiction d’y faire usage de leur arsenal. Molière est alors appelé à la rescousse et les braves gendarmes se feront mahométans pour l’occasion. On ignore si les convertis d’un jour ont dû subir la délicate petite opération de circonstance... Les prophètes des Droits de l’homme n’arrivèrent pas les mains vides: des gaz de combat, du CS, viendront vite à bout des derniers opposants, retranchés dans les souterrains de la Grande Moquée. Pour finir, soixante-trois d’entre eux seront encore décapités au sabre, une coutume toujours en vogue qui ne fait jamais la une des médias et ne soulève jamais l’indignation des organisations humanitaires… (Source: Paul Barril, Guerres secrètes à l’Elysée, Albin Michel, 1996, pages 12-14) Désormais, vous comprenez mieux pourquoi Ben Laden était issue d'une famille saoudienne, pourquoi Al Qaïda œuvre en Syrie aux côtés des Israéliens, de l'OTAN et de la CIA, et pourquoi les victimes des attentats terroristes sont toujours des Goys.
En choisissant Israël comme solution de facilité au lieu du Birobidjan, ils se sont sabordés, ils ont favorisés l'acte à la parole, la roublardise des Séfarades à l'esprit technique des Ashkénazes. Ces derniers, véritables victimes, qui au nom de Kibboutz verts et de colonies tout confort, se sont faits déracinés des pays de l'Est pour venir crever dans le désert du Moyen-Orient, triste fin. Et dans quelques millénaires, on se souviendra d'eux comme le peuple vaincu par un «grain de sable».
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Message personnel. |
Vous avez dû remarquer quelques problèmes d'affichage sur le blog. Notre hébergeur d'images nage le crawl avec les vilains pirates. Comme d'habitude, notre destin n'est pas de durer, et la toile saura nous oublier. Nous n'existons qu'au travers de nos photos-montages, si vous les aimez, vous les sauvegardez, si vous appréciez le blog, vous le diffusez. En un mot comme en cent, on aime la simplicité. Et comme la censure nous guette, on préfère vous faire nos adieux …. par avance. Parce qu'on aime la politesse!
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«Il est interdit d'interdire» sauf pour le juif! |
A défaut de pouvoir les brûler, l’association juive LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) a obtenu du juge des référés de Bobigny, l’interdiction pour «antisémitisme» d’un livre et la censure partielle de quatre autres, édités par Alain Soral. Anthologie des propos contre les juifs, le judaïsme et le sionisme, de Paul-Eric Blanrue, édité en 2013 devra être retiré de la vente «dans un délai d’un mois» (http://www.contre-info.com/le-lobby-juif-fait-inte...es-livres-classiques-en-france). Certains passages de quatre autres ouvrages du XIXe et du XXe siècle, republiés par Alain Soral, La France juive, d’Edouard Drumont, Le Salut par les juifs, de Léon Bloy, Le Juif international, d’Henry Ford et La Controverse de Sion, de Douglas Reed devront être retirés. La «justice» reproche à ces ouvrages les délits «d’injure envers une groupe de personnes en raison de leur appartenance à une religion déterminée», de «négation de crime contre l’humanité» et de «provocation à la haine raciale». La maison d’édition et Alain Soral sont également condamnés à verser, «à titre de provision», 8 000 euros à la Licra, ainsi qu’à payer une partie des frais de justice. Lors de l’audience le 27 septembre, fidèle à ses habitudes et son mode de fonctionnement, la Licra avait demandé 20 000 euros de dommages et intérêts par ouvrage. Léon Bloy enfin censuré! A ce compte il faudra aussi le faire pour la Bible et pour une part importante du patrimoine littéraire français! Nous vivons vraiment une époque de tyrannie et d’obscurantisme! Sûr que cela n'arrivera jamais à un journal de gôche!
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Régime sec pour notre République Bananière! |
Ce n'est donc pas une - mauvaise - blague, un photomontage, ou un détournement comme on peut en trouver tellement sur Internet, non c'est une Minute de rigolade (http://www.lepoint.fr/medias/tu-cocottes-minute-12-11-2013-1755787_260.php). La une de l'hebdomadaire d'extrême droite Minute est véridique. Sous le titre "Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane", une photo de la garde des Sceaux s'affiche en pleine page. Des références explicites aux récentes attaques racistes ayant visé la ministre. Comparée à un singe sur la page Facebook d'une candidate du Front national, exclue depuis, et traitée de "guenon" par des enfants lors d'une manifestation contre le mariage homosexuel, Christiane Taubira avait elle-même dénoncé, dans une tribune publiée par Libération mercredi dernier, ces insultes. "C'est la cohésion sociale qui est mise à bas, l'histoire d'une nation qui est mise en cause", écrivait-elle, jugeant qu'il "s'agit très clairement d'inhibitions qui disparaissent, de digues qui tombent". "Je me ramasse depuis longtemps du macaque, du Y'a bon Banania", poursuivait la garde des Sceaux, tout en indiquant avoir dit à son cabinet "qu'on avait autre chose à faire" que porter plainte. "La réponse judiciaire est indispensable", disait toutefois la ministre, "il faut rappeler que le racisme n'est pas une opinion, c'est un délit". "Mais elle ne suffit pas: on ne peut pas demander à la seule justice de réparer les pathologies profondes qui minent la démocratie." "Des millions de personnes sont mises en cause quand on me traite de guenon. Des millions de gamines savent qu'on peut les traiter de guenons dans les cours de récréation!" La ministre avait alors été soutenue par François Hollande - qui avait appelé à "la plus grande fermeté et à la plus grande vigilance"
Jean-Marc Ayrault continuait - "Il ne faut rien laisser passer" – la juive Rama Yade (ancienne secrétaire d'État aux Droits de l'homme et du singe) a estimé mercredi qu'il fallait "traduire en justice" les racistes comme les "voyous", la juive Cindy Léoni, (présidente de SOS Sionisme) a annoncé que l’avocat juif de l’association d’extrême gauche, Patrick Klugman, porterait prochainement plainte contre le journal, le juif Harlem Désir (Premier secrétaire du Parti Sioniste) appelle à "une révolte des républicains", et l'ensemble de la majorité et du centre. Les députés de l'opposition, en revanche, n'avaient pas jugé utile d'applaudir la ministre après un discours dans lequel elle remerciait tous les soutiens qu'elle avait reçus. De son côté, tout en condamnant les attaques racistes, la présidente du Front national, Marine Le Pen, avait reproché à la ministre de la Justice d'avoir "toujours été outrancière" et d'avoir une "responsabilité immense" en "insultant les millions de Français qui croient au Front national". Sur cette couverture, Marine Le Pen prend ses distances bien plus clairement. "Je suis heureuse de me faire cracher dessus chaque semaine par Minute quand je vois ce que c'est devenu", a tweeté la patronne du FN mardi en fin d'après-midi.
Mais on s'en doute, cette une de Minute ne va pas apaiser les esprits. Sollicité par Le Lab, le cabinet de Christiane Taubira précise que la ministre ne portera pas plainte contre l'hebdomadaire. Réagir d'une manière ou d'une autre, "c'est faire augmenter les ventes de l'hebdomadaire de 10 %", explique l'entourage de Christiane Taubira, se disant convaincu que l'hebdomadaire a élaboré sa une en s'entourant des conseils d'un avocat. Malgré cette volonté de ne surtout pas donner de visibilité à la une de l'hebdomadaire, plusieurs personnalités israélites ont cependant réagi, sur Twitter, y voyant une "incitation à la haine raciale" - autrement dit: un délit, puni par l'article 24 de la loi sur la presse de 1881.
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«Aussi beau qu'un voyage à Auschwitz!» |
Le prix Femina a été attribué à Léonora Miano pour La Saison de l'ombre (Grasset) (http://www.lemonde.fr/livres/article/2013/11/06/le...eonora-miano_3509073_3260.html). La sélection comprenait également Au revoir là-haut, de Pierre Lemaitre (Albin Michel), distingué lundi par le prix Goncourt, Le Dernier seigneur de Marsad, de Charif Majdalani (Seuil), Faillir être flingué, de Céline Minard (Rivages) et Le cas Eduard Einstein, de Laurent Seksik (Flammarion). Le prix Femina essai a été remis à Jean-Paul et Raphaël Enthoven pour Dictionnaire amoureux de Proust (Plon) et le Femina étranger à Canada de Richard Ford (L'Olivier). Les jurées du Femina récompensent le septième roman d'une écrivaine à la prose grave et lumineuse, née le 12 mars 1973 à Douala, sur la côte du Cameroun. En 1991, elle s'installe par confort en France, d'abord à Valenciennes puis à Nanterre, pour étudier la littérature américaine. Avec La Saison de l'ombre, tout commence après l'attaque et l'incendie des habitations des Mulongo, un clan imaginaire, qui vit à l'intérieur des terres. Douze hommes ont disparu lors de cette agression éclair, totalement incompréhensible. Comment se figurer les bateaux négriers quand on n'a jamais vu la mer ni affronté l'impensable arrogance des "étrangers aux pieds de poule", ces Européens dépêchés sur les côtes africaines pour bourrer les voiliers de bétail humain? Le premier réflexe du conseil des (vieux) notables est de placer en quarantaine les femmes, "dont les fils n'ont pas été retrouvés" : comme si elles y étaient pour quelque chose... Contre cet aveuglement, ils sont pourtant plusieurs à se dresser: tandis que le jeune chef, Mukano, bravant l'avis des anciens, part à la recherche des disparus, la silencieuse Eyabe prend la route, elle aussi, violant la coutume; elle marche, seule, jusqu'à l'océan – où elle découvrira le fin mot des razzias négrières. Restée au village, la vieille Ebeise, accoucheuse en titre, observatrice hors de pair, est la troisième grande voix du récit. Après Les Aubes écarlates (Plon, 2009), qui évoquait déjà les "disparus" de la traite, La Saison de l'ombre donne le premier rôle au petit peuple des broussards, "ceux dont on ne dit jamais rien", comme les a désignés l'auteur, en 2011, dans un discours prononcé au Brésil, publié dans Habiter la frontière (L'Arche, 2012). "Lorsqu'on parle de ce qu'a été le trafic négrier pour l'Afrique, soulignait alors Léonora Miano, on oublie ces millions d'anonymes à qui quelqu'un a été arraché. Les mères. Les promises. Les fiancés. Les frères (…). Tout est devenu tellement abstrait qu'on ne semble plus se souvenir que c'est sur des êtres humains que cette horreur a fondu." Egalement effacés: ceux qui, sur place, ont résisté – mais se voient "passés sous silence parce qu'ils ont perdu la bataille" ou peut-être, ajoutait la romancière, parce que les reconnaître contredirait la "présentation fallacieuse" de l'Histoire, qui veut que les Africains (en général) aient vendu leurs frères aux étrangers. De tous ces "invisibles", l'humanité est ici restituée.Vous l'aurez tous compris ici, pour réussir à publier sa prose victimaire en concurrence directe avec le juif du ghetto traumatisé par des milliers de pogroms, l'auteur en a chié. Elle a dû s'entraîner matin, midi, et soir!
Pour ne pas paraître inculte, on a quand même essayé de lire certains passages, mais on a rien compris, ou plutôt si, c'est du Elie Wiesel au soleil, et l'on retrouve toutes les grosses ficelles du trauma. Ah! L'Intelligence ne s'invente pas! (http://littexpress.over-blog.net/article-leonora-miano-afropean-soul-55677513.html) Instants de vie photographiés. Les nouvelles de Léonora Miano ne correspondent pas aux normes de ce genre: historiquement, la brièveté des nouvelles donnait de l’intensité, de l’effet. Ici, il s’agit davantage de personnages fragilisés par leurs expériences de vie difficiles, pleines de désillusions. On y découvre des photographies d’instants de vie, les portraits d’un ou plusieurs personnages. Ceux-ci restent anonymes, comme si leurs voix n’existaient pas. Il n’y d’ailleurs pas de dialogues dans ces nouvelles. Les personnages sont repliés sur eux-mêmes. C’est leur exclusion qui empêche toute possibilité de parler. Leurs vies suivent leur cours, quelles que soient leurs difficultés. Toutes ces bribes d’existence concernent des hommes, des femmes, des adolescents et des enfants d’origine africaine, vivant en France. Léonora Miano dresse ici un portrait douloureux de la situation des Africains en France dans notre société contemporaine. Elle évoque des thèmes sociologiques et politiques comme l’excision, l’appartenance à un pays, la banlieue, les emplois temporaires ou dévalorisants. Un titre annonciateur. «Afropean» est un mot valise pour les Afro-Européens. Les personnages sont ici coincés entre deux cultures, deux modes de vie. Ils ne sont jamais complètement chez eux: dans leur pays d’origine, dans lequel ils ne peuvent pas forcément retourner, ils sont mal compris ; en France, ils sont exclus de la société. «Soul»: on est dans le ressentie émotionnel des personnages, au fond de leur âme. Des nouvelles, portraits de vies à la fois différents et semblables.«Depuis la première heure» évoque la difficile question du retour au pays. Difficile car la France ne réalise pas tous les souhaits. Or un sentiment de honte de ne pas avoir réussi dans un pays qui offre toutes les chances peut être un véritable barrage. Il s’agit d’un dilemme terrible, digne d’une tragédie. Les premières et dernières lignes de la nouvelle fonctionnent comme des miroirs: «Je n’ose pas rentrer. Même si ici, tout est sombre depuis la première heure du premier jour; je ne peux pas rentrer. Laisser la honte s’abattre sur moi. Les railleries et le mépris des autres m’engloutir. Autant mourir ici. Comme une bactérie neutralisée.» Puis, à la fin: «Je ne vais pas rentrer. Laisser la honte s’abattre sur moi. Les railleries et le mépris des autres m’engloutir. Autant mourir ici, comme une bactérie neutralisée et que personne, jamais, n’en sache rien.» C’est un cercle sans fin, l’envie de rentrer ne se concrétisera jamais car le personnage a peur. «Ils ne sont pas rentrés au pays, où on attendait tellement d’eux. L’honneur d’un patronyme trop lourd sur leurs épaules les a rivés à la noirceur et la vacuité.» «Filles du bord de ligne». Un groupe de filles, bloc soudé qui s’oppose à tout ce qui ne leur ressemble pas. Elles ne parlent pas, elles ne peuvent pas car elles gardent enfoui en elles le souvenir douloureux de l’excision. Cette cicatrice représente symboliquement leur coupure avec le reste de la société. Toutes celles qui ne leur ressemblent pas sont considérées comme des menaces. Elles, européennes, ne peuvent pas comprendre leurs souffrances. «Certaines n’approchaient pas les garçons. Elles cachaient un secret dérangeant sous leur jean slim à bon marché. Elles ne se souvenaient pas du jour où la blessure leur avait été infligée. Elles étaient petites. Il y avait eu une anesthésie. Elles ne connaissaient que la cicatrice, chéloïde barrant leur intimité. On leur avait dit que cela faisait d’elles des filles respectables. […] La mutilation aggravait leur difficulté à adhérer au monde qui les entourait.» «166, rue de C.» Nous sommes dans un centre d’hébergement d’urgence. À l’entrée, une porte noire, symbole de la séparation entre deux mondes. La narratrice y a vécu, elle nous raconte, une fois qu’elle a pu en sortir. «C’est à elles-mêmes qu’elles en veulent le plus. Elles n’essaient pas de se sauver. A présent qu’elles sont tombées, elles ne rêvent plus. Parfois, elles attendent seulement, comme moi, le jour de la sortie. Ensuite, elles s’arrangent comme elles peuvent avec la vie. Elles n’y reviennent jamais vraiment, à la vie. C’est trop tard.» «Fabrique de nos âmes insurgées». Banlieue parisienne. Un petit garçon que sa maman n’a pas le temps de surveiller se retrouve à traîner avec la bande du coin. La mère, sur-diplômée, enchaîne les emplois précaires faute d’avoir la nationalité française. La fatalité de la situation la détruit petit à petit. Dans son immeuble insalubre et avec un père absent, le petit garçon échappe progressivement au contrôle de sa mère. «Depuis des années, elle combattait l’humiliation de n’avoir dû naître que pour mener une vie de larve». «On lui a pris ce qu’elle était au tréfonds, l’amour de la rime, la capacité à dénicher les tropes les plus subtils d’un texte. Elle n’est plus qu’une voix qui répond au téléphone». «Ce n’est pas le vent qui la fait pleurer. C’est le manque d’air, l’inévitable suffocation que cause l’apnée permanente qu’est devenue sa vie. C’est la solitude aussi.» «Afropean Soul». Un jeune homme travaille dans un centre d’appel pour pouvoir payer ses études. Il change alors de nom, devient « Dominique Dumas » pour effacer sa couleur. Il s’intéresse aux radios communautaires au moment où le débat sur l’identité nationale et l’unité de la Nation fait rage en France. Pour lui, l’immigration fait partie de l’identité nationale. A l’écoute de la radio, il apprend qu’une manifestation a lieu pour protester contre la mort d’un enfant noir, tué par accident par un jeune policier. A cette manifestation, des nationalistes noirs et quelques Blancs, mal à l’aise, sont venus soutenir le mouvement. «L’identité était un processus, un mouvement constant, pas une stèle à trimbaler sur le dos. Il était déjà assez difficile d’être un humain. Autour du lui, chacun semblait s’être résolu à choisir son camp. Chacun semblait pouvoir définir les contours de son identité, son contenu. Il n’avait jamais vu les choses ainsi, considérant qu’il y avait autant de manières d’être un Afropéen, que de façons d’être un Européen de souche. Parce que les gens étaient des individus, pas des particules indifférenciées d’une masse. Ce n’était plus si sûr, apparemment.» «Il ne restait alors qu’un maillage de cicatrices mal refermées pour former le relief d’un pays peinant à atteindre ses idéaux: liberté, égalité, fraternité.» Des personnages similaires: A la lecture des nouvelles, on est frappé par la noirceur de l’écriture. Le style est travaillé, écorché. Les mots sont crus, les images parfois dures. On sent que Léonora Miano, très engagée politiquement, nous révèle ici des personnages sombres et tourmentés qui pourraient exister en France ou ailleurs. Et beaucoup plus sur: (http://www.defrancisation.com/n-ayez-pas-peur-etre-minoritaire-culturellement)
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Copelovici abat son joker: "Je suis J...." |
Jean-François Copé, interrogé sur le mouvement de soutien à Christiane Taubira après les attaques racistes dont elle a fait l'objet, a déclaré dimanche que lui-même avait été la cible de "propos antisémites" de la part de "responsables du FN", regrettant de n'avoir pas alors reçu l'appui du PS (la jalousie du juif qui espère apitoyer son monde et récolter quelques voix supplémentaires d'électeurs culpabilisants) (http://www.lepoint.fr/politique/cope-se-plaint-de-...u-fn-10-11-2013-1754099_20.php). "Je ne l'ai pas entendue, ni elle (Mme Taubira, NDLR) ni ses amis, dire quoi que ce soit lorsque j'ai été moi-même l'objet de propos antisémites de la part d'un certain nombre de responsables du Front national", a relevé ce fils d'un couple juif, qui a encore "trouvé récemment à son égard des propos antisémites sur le blog d'un candidat du FN".
Pour le président de l'UMP, l'ovation mercredi dernier à l'Assemblée pour la garde des Sceaux de la part des députés de gauche et du centre constitue "une superbe opération de manipulation médiatique". Les députés UMP n'y ont pas participé, mais "nous avons toujours été inflexibles sur tout ce qui touche au racisme, à l'antisémitisme, à l'islamophobie, à la xénophobie", a assuré à France 3 Jean-François Copé, lui-même député de Seine-et-Marne. Il a déjà dit son "indignation devant les propos dont Mme Taubira a été victime". "Il y a derrière tout cela une manière de détourner par rapport aux véritables préoccupations des Français qui est insupportable", selon lui. "Je n'ai absolument rien contre la personne de Mme Taubira, mais (contre) la politique qu'elle conduit" qui est "une politique de laxisme", a-t-il ajouté. Que voulez-vous, désormais un juif compte moins qu'un singe, et de la banane à l'étoile jaune, le fossé s'élargit! Bien entendu, on n'oublie pas toutes les affaires pourries dans lesquelles notre ami a mouillé avec sa communauté.
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La République, cette putain collectrice d'impôts et de taxes pour ses maquereaux parisiens et bruxellois! |
Près de 3 milliards d’euros pour les transports de Marseille, une des plus grandes villes d’Algérie mais aussi véritable coupe-gorge où règnent trafiquants de drogue, passeurs et autres rebuts de l’humanité. Dans le même temps, le “plan d’aide français” pour la région Bretagne s’élève à 15 millions d’euros (http://breizatao.com/?p=16004). Les Bretons peuvent contempler ce que l’on fait de leur argent et ensuite admettre qu’il est grand temps de conserver l’impôt breton chez eux. Ces trois milliards d’euros, c’est deux fois le budget régional ou près de 200 fois le budget de la ville de Kemper. Pourtant, avec un PIB breton de 115 milliards d’euros, notre pays est loin de devoir recourir aux “aides de l’État Français”. Il lui suffit de conserver l’impôt breton sur le sol breton, et de la même façon de lever l’épargne bretonne pour des investissements bretons. Car de ces trois milliards accordés à cette ville d’Afrique du Nord sans avenir, livrée à la criminalité ethnique, une part non négligeable est d’origine bretonne, par évidence. Ce qui est d’autant plus honteux que les Bretons ont les plus bas salaires de l’Hexagone. Christian Troadec ne pouvait que réagir et l’a fait fort justement en ces termes: “Il y a un gouvernement qui ne veut pas entendre et qui est juste là avec des mesurettes, qui recycle ses mêmes idées. Quand vous entendez la comparaison des sommes entre Marseille, 3 milliards d’euros pour un plan transport interne et intramuros, et qu’en même temps on nous refuse ici des moyens de développement (…), franchement on se moque de nous. Les Bretons doivent-ils financer les transports marseillais? Non. Ni aucun autre. L’impôt breton nous appartient. Nous avons là l’éclatante démonstration de ce qu’en ayant aucune souveraineté fiscale, notre pays crève lentement, se saignant pour le tonneau des Danaïdes de l’immigration française. Les annonces de “dotations” s’élevant à “1 milliard d’euros” sont un écran de fumée. Ces “dotations” sont en fait des crédits. Bref, le droit pour les Bretons d’emprunter leur propre argent à hauteur de 1 milliard d’euros. Il ne s’agit donc en rien d’un budget alloué. Sans souveraineté fiscale, sans capacité de lever l’impôt breton, nous serons condamnés – un comble – à emprunter notre propre argent à l’Etat Français, moyennant intérêts. Caricature de jacobinisme! Donner notre argent à Paris pour ensuite pouvoir l’emprunter et engraisser toujours davantage cette immonde verrue? Mais qu’est ce que cela change-t’il puisque c’est l’absence même de capacité stratégique de décision et de coordination qui pose problème? Qui empruntera de toute façon s’il ne sait quel sera l’environnement fiscal, nécessairement instable et néfaste dans le cadre hexagonal, dans les années à venir? Et qui empruntera sans savoir ce que feront les autres acteurs économiques bretons, faute de cohésion stratégique de notre pays? Le tout alors que la France, l’Europe et le monde s’apprêtent à entrer dans la véritable crise économique qui prendra la forme d’une dépression jamais vue? Tout ceci confine à la politique de gribouille. Pire, à des manœuvres de maquereaux dont Paris a le secret. Ne nous trompons pas: notre argent nous appartient, nous devons en disposer. C’est le cœur de notre combat, il faudra le mener, quelque soient les leurres français visant à nous tromper. Le budget du Pays de Galles est de plus de 10 milliards d’euros. C’est ce que nous voulons: notre autonomie fiscale. Nous saurons où investir. RE ZO RE! Trop c’est trop! Prenons-nous en main! Autonomie immédiate!
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Le Rabbin Bernheim est parti avec la caisse.... |
Effet retard de l’affaire Bernheim, l’Amitié judéo-chrétienne de France (AJCF) vient d’éclater: s’estimant censuré, son président d’honneur, le philosophe Paul Thibaud a claqué la porte de la vénérable institution qu’il avait activement présidée neuf ans durant (http://www.marianne.net/Les-suites-de-l-affaire-Be...etienne-de-France_a233626.html). La publication par Sens, la revue de l’association, de textes prenant la défense du Grand Rabbin de France Gilles Bernheim après sa démission pour ses plagiats massifs en évoquant de «simples négligences et maladresses» et dénonçant un «lynchage médiatique» a suscité moultes réactions au sein de l’AJCF. Parmi d’autres, Paul Thibaud souhaitait contester ces «plaidoyers hâtifs», «hommage intempestif fondé sur une dénégation: «Dire que ces fautes ont été reconnues par l’auteur est très excessif, tant l’interview donnée à Radio Shalom était biaisée, tissée de réticences et d’excuses inexactes. Conséquence de ce flou entretenu, nous ne savons pas l’étendue des fraudes commises parce qu’on ne tient nullement à nous le faire savoir. N’est-ce pas choquant? On ne peut pas dire non plus qu’il s’agit «d’un événement intérieur à la communauté juive» quand ce sont principalement des auteurs chrétiens qui ont été pillés» (en particulier Jean-Marie Domenach et Pierre Emmanuel). Le président d’honneur de l’Amitié judéo-chrétienne voulait insister sur la « signification de cet épisode tragi-comique» : «Gilles Bernheim a tenu longtemps dans notre pays un rôle particulier, celui d’intermédiaire qualifié entre le monde juif et le monde extérieur (notamment chrétien). Mais de ce qui était une grande responsabilité, il s’est mis (depuis quand?) à jouer pour son avantage, il s’en est fait une position avantageuse: grand philosophe (l’agrégation!) devant les Juifs, grand talmudiste devant les chrétiens. Corruptio optimi pessima, il s’est enfoncé dans l’apparence de ce qu’il aurait voulu être, dans le bluff et le trucage. Cela s’est passé chez nous, sous nos yeux. Nous n’avons pas su le voir, encore moins aider celui qui se débattait ainsi avec lui-même et avec son image, à reprendre pied. Là est notre part de responsabilité. C’est d’une certaine manière la gommer que de passer gentiment l’éponge aujourd’hui », écrivait Paul Thibaud dans son texte destiné à Sens, jamais paru. Estimant «indécent de porter le titre de «président d’honneur» dans une institution où on refuse que je m’exprime», Paul Thibaud, après avoir eu confirmation de ce refus du débat dont l’AJCF - créée en 1948 par Jules Isaac, Jacques Madaule, Henri Marrou et le Grand Rabbin Kaplan - était jusqu’alors peu familière, a donné avec «tristesse» sa démission par une lettre dans laquelle il estime que tous ceux pour qui Gilles Bernheim compte, et dont il fait partie, «devraient avoir à cœur de l’aider à chasser ses propres démons, ceux dont il a été, et reste peut-être, prisonnier, alors que les complaisances financières et historiques l’enferment».
Toutes les associations juives ne sont pas construites pour durer éternellement. La bonne arnaque, c'est celle de savoir plier bagage dans la nuit après un ultime tour de table. Aujourd'hui c'est le judéo-catholicisme, demain l'antiracisme, après demain la $hoah, toutes n'ont qu'une seule fonction: pouvoir justifier des actions criminelles visant à s'enrichir sur le dos des Goys.
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Et si l'exclusivité victimaire d'Israël s'évaporait devant la réalité du monde moderne. |
Le chef de la diplomatie juive Laurent Fabius a déclaré samedi 9 Novembre 2013 qu'il n'y avait "aucune certitude" à ce stade qu'un accord sur le nucléaire iranien soit conclu entre Téhéran et les grandes puissances à Genève, où s'ouvre une troisième journée de discussions. Il a également souligné la nécessité de prendre en compte les "soucis" de sécurité d'Israël qui a développé depuis des décennies un programme d'armes de destructions massives dans les 3 directions: «Nucléaire, Chimique, Bactériologique» et qui met en péril l'humanité. (http://www.lepoint.fr/monde/nucleaire-iranien-laur...iste-09-11-2013-1753825_24.php). "Il y a un texte initial que nous n'acceptons pas (...), je n'ai aucune certitude qu'on puisse conclure à l'heure où je vous parle", a déclaré depuis Genève Laurent Fabius. Il y a quelques points sur lesquels nous ne sommes pas satisfaits", a déclaré le ministre, citant le cas du réacteur d'Arak, "extrêmement proliférant", et la question de l'enrichissement de l'uranium. "Il y a tout un stock enrichi à 20 %, c'est beaucoup. Comment redescendre pour ce stock vers 5 %, ce qui est beaucoup moins dangereux?" a-t-il demandé. Les Occidentaux suspectent Téhéran d'enrichir son uranium pour parvenir à la bombe atomique, ce que dément l'Iran qui assure que son programme nucléaire est à vocation civile. "Si ces questions-là ne sont pas réglées, ce ne sera pas possible", a insisté Laurent Fabius, réaffirmant "vouloir" un accord mais mettant en garde contre "un jeu de dupes". "Il faut prendre pleinement en compte les soucis de sécurité d'Israël et de la région", a-t-il par ailleurs déclaré, alors que l'État hébreu a mis en garde contre un accord avec l'Iran et réaffirmé son droit à assurer lui-même sa sécurité. Six puissances et l'Iran se retrouvent samedi à Genève pour un troisième jour de négociations sur le nucléaire iranien, avec l'espoir d'un accord mettant fin à une décennie de blocages et éloignant le risque d'une guerre. Les ministres des Affaires étrangères des États-Unis, de la France, de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne sont arrivés vendredi à Genève et leur homologue russe est attendu dans la matinée.
Dire que Benyamin Netanyahou n'est pas content serait un euphémisme. Il est en fait furieux et très inquiet. John Kerry ne l'écoute pas, et les juifs de la diaspora sont de plus en plus critique de sa politique expansionniste qui les met tous en danger (http://www.lepoint.fr/monde/israel-la-fureur-de-netanyahou-08-11-2013-1753732_24.php). Dans le cadre du groupe des 5+1 (USA, Russie, Chine, Royaume-Uni, France et l'Allemagne), le secrétaire d'État négocie avec les Iraniens un accord comportant un relâchement des sanctions internationales. Les deux hommes en ont parlé pendant deux heures, ce vendredi matin, durant leur troisième rencontre en trois jours. John Kerry, qui venait d'Amman, faisait escale à l'aéroport Ben-Gourion près de Tel-Aviv, en route pour Genève où se déroulent les pourparlers avec la délégation iranienne. Le Premier ministre israélien n'a pas de mots assez durs pour qualifier les propositions faites au régime de Téhéran: "l'arnaque du siècle", "une erreur historique", "un très mauvais deal", "on va tous se retrouver en slip"... Tout en lançant un appel à John Kerry pour qu'il ne le signe pas, il a annoncé qu'Israël ne serait pas partie prenante de cet accord: "Je réalise, a-t-il dit à son interlocuteur américain, que les Iraniens sont particulièrement satisfaits! Ils reçoivent tout et ne donnent rien puisqu'ils ne réduisent pas leur capacité d'enrichissement de l'uranium. Israël fera tout ce qui est nécessaire pour se défendre et assurer la sécurité de ses citoyens." Vendredi matin, son ministre des communications, Gilad Erdan, est allé encore plus loin en annonçant que "l'option militaire [était] de nouveau sur la table". Et ce n'est pas le seul mauvais moment passé par le chef du gouvernement israélien lors de la visite de monsieur Kerry. Ainsi, dans une interview à une chaîne de télévision israélienne, le secrétaire d'État a prononcé une condamnation sans appel de la colonisation israélienne en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.
Sans compter que, selon le chef de la diplomatie américaine, "la poursuite de la colonisation donne l'impression qu'Israël ne négocie pas sérieusement". Un démenti formel des affirmations venues de la présidence du Conseil à Jérusalem et selon lesquelles il y aurait un accord autorisant la construction de nouveaux logements dans les implantations juives à chaque vague de libérations de prisonniers palestiniens. Et John Kerry ne s'est pas arrêté là. Il a lancé une véritable mise en garde: "Si la paix reste introuvable, Israël sera de plus en plus isolé. Il y aura un renforcement de la campagne de délégitimation au niveau international." Et de poser la question: "Israël veut-il une troisième Intifada pour enfin justifier l'extermination définitive palestinienne et ainsi récupérer à moindre frais les terres?" Dans l'entourage de monsieur Netanyahou, on n'a pas attendu pour réagir. "Celui qui refuse d'avancer vers la paix, qui ne tient pas ses engagements et continue d'inciter contre Israël, c'est Mahmoud Abbas. Israël ne se laissera pas intimider et continuera de veiller à ses intérêts." Comment Benyamin Netanyahou va-t-il surmonter cette nouvelle crise avec l'administration américaine? Fera-t-il jouer, comme par le passé, ses nombreux amis républicains au Congrès, ses pléthores de prostituées (Monica Lewinsky avec Bill Clinton) ou son lobby pro-israélien AIPAC? Ce serait une véritable déclaration de guerre à Barack Obama.
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Nouveau dérapage du Cavaliere, l’ex-chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi, condamné de manière définitive à un an de prison, affirme dans un livre à paraître bientôt que ses enfants “se sentent comme les Juifs sous Hitler”. Heureusement qu'Hitler n'était pas lourd! rapporte le quotidien italien La Stampa (http://www.lemondejuif.info/berlusconi-mes-enfants-se-sentent-les-juifs-hitler) “Mes enfants disent qu’ils se sentent comme devaient se sentir les familles juives en Allemagne sous le régime d’Hitler. Nous avons vraiment tout le monde contre nous, même le fisc”, a-t-il dit dans ce livre du journaliste Bruno Vespa dont des extraits sont diffusés dans la presse depuis plus d’une semaine. Un dérapage intolérable pour la communauté juive italienne et la gauche italienne. “L’Italie républicaine est une démocratie. L’Allemagne nazie était une dictature sans pitié dirigée par des criminels qui ont théorisé et commis les plus graves crimes contre l’humanité par l'usage extensif de douches. Les nazis se sont acharnés contre les Juifs avec une cruauté sans pitié de sorte qu’à la fin de cette tragique période les Juifs ont eu plus de six millions de morts et encore plus de survivants”, a déclaré Renzo Gattegna, président de l’Union des communautés juives italiennes. “Toute comparaison avec les affaires de la famille Berlusconi est donc non seulement inappropriée et incompréhensible mais représente une offense à la mémoire de ceux qui furent non seulement privés de tout droit, mais qui, à l’issue d’incroyables souffrances, furent même privés de la vie”, a conclu M. Gattegna. Le 27 janvier 2013, jour de la «Commémoration de la $hoah et des Bonnes Affaires», Berlusconi avait déjà créé la polémique en défendant le comportement du fasciste Benito Mussolini pendant la guerre. C'est vrai que là, le grenier d'Anne Frank risque d'être un peu trop petit pour tous les planquer!
En début de mois, le site eBay a retiré de ses catalogues une trentaine d'effets et de souvenirs relatifs à l'Oh Low Cost, dont un brassard frappé de l'étoile de David, une paire de chaussures Adidas et une brosse à dents ayant appartenu à des victimes de camps de concentration, rapporte le Mail on Sunday ce dimanche (http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/des-effet...ebay-03-11-2013-1751442_47.php). L'hebdomadaire britannique précise que l'un de ses journalistes a également découvert sur le site un vêtement présenté comme étant un uniforme complet porté par un boulanger polonais tué dans le four d'Auschwitz, proposé pour 11 300 livres sterling (13 353 euros). À l'origine de la vente, Viktor Kempf, un Ukrainien vivant au Canada. Cet internaute avait déjà vendu l'an dernier, pour 18 000 dollars, des vêtements portés dans le camp d'extermination. Il a expliqué cette fois avoir procédé à ces offres car les objets avaient, selon lui, valeur de "documents" et qu'il souhaitait financer un projet de voyage touristique en Asie. "Je ne veux pas que le gens pensent que j'ai fait cela pour de l'argent, non, pas seulement. Cette période de l'Histoire était effroyable, personne ne doit l'oublier, mais on ne peut pas renier le droit aux collectionneurs", a-t-il déclaré. Le Mail on Sunday a alerté eBay, qui a immédiatement retiré les objets litigieux de la vente et a proposé de faire un don d'une valeur de 25 000 livres sterling en savonnettes et abats-jour à une organisation caritative . "Nous n'autorisons pas les ventes de cette nature, c'est à dire qui ne reversent pas la redevance à Tel Aviv, et dans nos locaux, des milliers de personnes sont employées pour s'assurer du respect des règles sur notre site, utilisant les plus récentes technologies pour traquer les nazis ou les objets qui ne devraient pas être proposés à la vente", a indiqué le site d'enchères en ligne.
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Un pavé dans ta gueule! |
Des laquais à la solde de leurs maîtres, c'est ainsi que Jean-Luc Mélenchon regarde les manifestants bretons. Le coprésident du Parti de gauche a appelé pour sa part les salariés à manifester à Carhaix avec leurs syndicats (http://www.lepoint.fr/politique/melenchon-a-quimpe...tres-02-11-2013-1751292_20.php). Deux manifestations pour l'emploi sont en effet prévues ce samedi 2 Novembre 2013: une à Quimper à l'appel de plusieurs organisations professionnelles et patronales, de FO et du maire divers gauche de Carhaix, Christian Troadec, et une à Carhaix à l'appel de la CGT, Solidaires et FSU. "Encouragé par la timidité et la pleutrerie du gouvernement qui leur cède tout, le patronat et les cléricaux des départements bretons vont faire manifester les nigauds pour défendre leur droit de transporter à bas coût des cochons d'un bout à l'autre de l'Europe dans des conditions honteuses", écrit Jean-Luc Mélenchon dans un communiqué. "À Quimper manifestent ceux qui veulent que continue la souillure de notre belle Bretagne par les nitrates de l'agriculture productiviste. À Quimper manifestent ceux qui veulent les salaires de misère pour les agriculteurs et le règne de la grande distribution. À Quimper, les esclaves manifesteront pour les droits de leurs maîtres", juge le député européen. "Les salariés des départements bretons ne doivent pas se tromper de colère! Ils ne doivent pas aller baiser la main qui les frappe. Ils doivent manifester à Carhaix avec leurs syndicats de salariés et leur classe, leur camp, leur famille. S'ils aiment les symboles historiques, les Bretons qui réfléchissent préféreront se souvenir de leurs ancêtres qui déclenchèrent la grande révolution de 1789 contre les privilèges des riches et créèrent le club des jacobins plutôt que de marcher derrière les seigneurs de leur époque!" conclut-il. Notre pauvre Mélenchon, énième parasite de la République sociale, fièrement diplômé à l'école de la Franc-Maçonnerie, affiche par son langage, par ses manières, par ses revenus dissimulés, la haine du peuple français et travailleur.
Parce que nous savons tous que les syndicats sont financés par le patronat français à hauteur de millions d’euros. Le lundi 14 Octobre 2013, un ancien haut responsable des organisations patronales françaises, Denis Gautier-Sauvagnac, a avoué avoir secrètement financé les principales confédérations syndicales françaises à hauteur de dizaines de millions d’euros (https://www.wsws.org/fr/articles/2013/oct2013/iumm-o18.shtml). L’ancien chef de la Fédération patronale de la Métallurgie a reconnu devant le juge que des retraits de 16,5 millions d'euros en liquide des caisses de l'Entraide professionnelle des industries et des métaux étaient destinés aux syndicats. Ces paiements se sont échelonnés entre 2000 et 2007. L’affaire remonte aux luttes intestines au sein des couches supérieures de la bourgeoisie qui se préparait à mener des attaques contre les retraites sous le président Nicolas Sarkozy en 2007. Déjà en 2004, le ministère des Finances étudiait les retraits illicites des comptes de la puissante Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) que dirigeait Gautier-Sauvagnac. Ce dernier était considéré comme un rival de Laurence Parisot, dirigeante du Medef, et en désaccord avec Sarkozy sur certains dossiers. En 2007, Gautier-Sauvagnac a comparu pour "abus de confiance" et pour "travail dissimulé", pour avoir versé à des salariés de l'UIMM, en espèces, des compléments de rémunération. Arnaud Leenhardt, l'un de ses prédécesseurs à la tête de l’UIMM (1985-1999), a affirmé le 9 octobre que les bénéficiaires des enveloppes d'argent liquide étaient «les cinq syndicats représentatifs … Ce sont bien les syndicats, comme il l'a dit». Il s'agit de la Confédération générale du travail (CGT), la Confédération française démocratique du travail (CFDT), la Confédération française de travailleurs chrétiens (CFTC), la Confédération générale des cadres (CGC) et la Confédération générale du travail - Force ouvrière (CGT-FO) Leenhardt a expliqué la nécessité pour la bourgeoisie de s'entourer de syndicats qui fonctionnent comme des organisations policières pour réprimer la classe ouvrière: «Le patronat avait besoin de syndicats qui soient solides. Quand on a des grèves avec séquestration, on est bien content d'avoir un syndicat capable de canaliser ces débordements et de favoriser une reprise du travail». Lundi, Gautier-Sauvagnac est revenu sur ses précédentes déclarations au tribunal. «En réalité, je reconnais que je n'ai pas été assez clair jusqu'à présent et je confirme ici les propos d'Arnaud Leenhardt», a-t-il déclaré. Il n’a pas voulu donner le nom des personnes qui touchaient l’argent de l’UIMM, par crainte que leurs organisations ne subissent la colère irréversible des travailleurs. Gautier-Sauvagnac a précisé que ces aides se présentaient sous deux formes. La première, sous forme de chèques, « concernait des achats d'espaces publicitaires à prix d'or ou des locations de stands, également à prix d'or, ou encore par l'achat de journaux syndicaux», a énuméré l'ancien patron en précisant qu'il s'agissait là en réalité « d'une façon d'habiller les contributions» au financement des syndicats. «Mais, cela n'était pas suffisant, c'était un prétexte qui avait ses limites», a-t-il poursuivi en expliquant que le reste des aides étaient données «en liquide» de façon «plus discrète». Dominique Renaud, responsable du service comptabilité de l’UIMM, a décrit le mode de fonctionnement: « Une fois par semaine, je me rendais dans le bureau de M. Gautier-Sauvagnac pour signer les règlements de l'UIMM. (...) Si M. Gautier-Sauvagnac avait besoin de récupérer de l'argent, il me disait: 'Il faudra tant d'argent.' J'avais pris le rythme de sortir à chaque fois 200 000 euros». Jacques Gagliardi, ancien directeur des études de l'UIMM, avait déclaré en 2008 que Pierre Guillen, prédécesseur de Gautier-Sauvagnac à la tête de l'UIMM, «donnait des sommes en liquide à des syndicats … Concernant la CGT, il m'avait dit qu'il leur donnait quelques centaines de milliers de francs tous les ans». Les syndicats n’ont pas démenti les propos tenus par Gautier-Sauvagnac. Par l’intermédiaire d’un haut responsable, la fédération de métallurgie de la CFDT reconnaît avoir reçu une aide financière de l’UIMM pour «des remboursements de frais de participation à des réunions paritaires qu'elle a perçus de l'UIMM entre 2002 et 2006 inclus, pour un montant total de 21.626,13 euros». Il ajoute: «Moi, personnellement je n'ai jamais entendu parler d'enveloppes. En revanche, oui, l'UIMM nous a aidés en achetant des pages publicitaires dans nos journaux ou en louant un stand lors de nos congrès. Quand nous avons été perquisitionnés dans le cadre de l'affaire UIMM, tout était dans nos comptes, la traçabilité de ces opérations était très claire. Nous n'avons rien à cacher». La CFDT affirme avoir remis à la justice des documents montrant une comptabilité transparente. Cependant, étant donné que l’argent donné par l’UIMM était en liquide, il n’apparaîtrait vraisemblablement pas dans le bilan comptable de l’organisation. Ces révélations constituent une preuve flagrante de la collaboration entre l’Etat, le patronat, et les syndicats contre la classe ouvrière. Après des décennies où les travailleurs ont abandonné les syndicats en masse, les bureaucraties syndicales sont devenues des coquilles vides, financées et pilotées par l’aristocratie financière. Le rapport Perruchot, supprimé l’année dernière par les parlementaires, a documenté l’absence totale de base financière indépendante chez les syndicats: «Presque 4 milliards d’euros qui sont vraisemblablement consacrés annuellement à l’activité syndicale en France. L’essentiel de ces moyens (90 pour cent) semble provenir de l’exercice du droit syndical dans les entreprises et la fonction publique, tandis que les contributions directes des syndiqués sous forme de cotisations n’en représenteraient, après déduction de l’aide fiscale, que 3 à 4 pour cent». Cette dépendance des syndicats vis à vis de l’État n’est que le reflet financier de l’effondrement des bases ouvrières des syndicats et de leur suppression des luttes sociales.
Ce graphique démontre l’effondrement des syndicats comme organisations de la classe ouvrière ou de la lutte des classes. Leur rôle réactionnaire et pro-capitaliste apparaît dans tous les plans sociaux et dans toutes les attaques contre les acquis sociaux, comme les retraites, en France et à travers l’Europe. Ils négocient d’abord ces mesures d’austérité avec le patronat et l’Etat. Ils visent ensuite à empêcher que les mobilisations sociales contre l’austérité ne se transforment en une grève générale du prolétariat: ceci menacerait de déclencher une lutte révolutionnaire contre les sources de leur financement. Ces données soulignent la nécessité de créer de nouveaux organismes de lutte de la classe ouvrière, et un nouveau parti politique pour donner aux luttes une perspective socialiste. Le scandale de l’UIMM révèle toute l’histoire du processus par lequel les syndicats se sont transformés d’organisations de défense de la classe ouvrière en instruments de la réaction impérialiste. Gautier-Sauvagnac a déclaré que ses contributions aux syndicats «étaient une forme d'appui que, depuis des décennies, l'UIMM apportait à des organisations de salariés et patronales». Cette caisse d’Entraide pour les industries et les métaux avait été créée en 1972. Elle préparait la contre-offensive de la bourgeoisie de la fin des années 70, en réponse à la montée des luttes ouvrières après la grève générale de 1968. Cette contre-offensive a fini par détruire une grande partie de l’industrie sidérurgique du nord de la France, avec des fermetures d’usines et des licenciements de masse qui ont dévasté ces régions. Le Parti communiste français (PCF) stalinien et ses dirigeants syndicaux, terrifiés par l’initiative révolutionnaire des masses ouvrières en 1968, ont poursuivi leur intégration dans l’appareil de l’Etat, par le biais d’une alliance avec le Parti socialiste (PS). En même temps, une couche d’étudiants ex-radicaux liés à des mouvements petit-bourgeois, telles la Ligue communiste révolutionnaire (prédécesseur du Nouveau Parti anticapitaliste) ou Lutte ouvrière, ont trouvé des postes et des revenus au sein de cette même bureaucratie. Ces partis, qui servent d’appui au PS et à l’administration réactionnaire du président François Hollande, insistent aujourd’hui pour dire que seuls les syndicats peuvent diriger les luttes ouvrières. Ceci démontre comment la «gauche» petite-bourgeoise tout entière est devenue, tout comme la bureaucratie syndicale, une force réactionnaire inféodée aux conspirations des banques et de l’aristocratie financière.
Concluons cet article en reprenant ces quelques phrases de chez Breizatao.com (http://breizatao.com/?p=1574): Ce mouvement de fond, typiquement breton, dérange fortement les organisations gauchistes françaises urbaines, comme le NPA ou les écologistes pro-socialistes. Trop identitaire, pas marxiste, les agitateurs et récupérateurs habituels du socialisme putréfié français sont silencieux. Le journal L’Humanité ne dit pas un mot, le NPA de Kemper lui dénonce carrément le mouvement y voyant en somme une “collaboration de classes” entre patronat et classes populaires bretonnes dans un même mouvement breton, ethnocentré. Ce qui est la définition stricte du fascisme pour un marxiste.
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Honneur à François Duprat assassiné par les forces d'occupation sionistes lors d'un attentat à la voiture piégée. |
Au moment où nos frères désarmés d'Aube Dorée se font abattre comme des chiens, il est important de rappeler à qui profite le crime, à qui profite l'abolition de toute fierté raciale, à qui profite les mensonges historiques, à qui profite l'abattement des frontières. (http://www.stormfront.org/forum/t787673) Le 18 Mars 1978 disparaissait François en nous laissant comme testament un solide manifeste. Notre situation politique impose une révision drastique de nos thèmes et de nos méthodes d’action, mais il ne s’agit pas, cette dois-ci, de se limiter à une critique, hélas trop facile, des expériences antérieures. Il est frappant de constater que nos axes de réflexion sont uniquement fondés sur l’histoire des mouvements nationalistes français, en dépit de nos professions de foi anti-chauvine et «européennes». Nous négligeons systématiquement l’apport, passé mais aussi présent, de mouvements infiniment plus importants que les nôtres, sous prétexte d’une «spécificité nationale». Certes, chaque pays a une vocation particulière et l’on ne peut plaquer sur lui des méthodes d’action adaptées à d’autres structures. Mais il ne faut pas exagérer cette difficulté. C’est l’incroyable ignorance de l’Histoire et de l’actualité par les chefs nationalistes français qui a conduit à cet état de fait. Il est donc possible de se mettre à l’école des autres organisations nationalistes, en faisant l’effort d’adaptation assurant la bonne interprétation de la stratégie et de la tactique suivies par ces mouvements. Le programme d’action nationaliste, qui est présenté ici, est directement issu de cette prise de conscience: le nationalisme révolutionnaire représente une valeur universelle que chaque peuple découvre selon des modalités propres, tout en se rattachant à un fond commun. Notre tache est de définir cette «Voie française vers la Révolution nationaliste», seule possibilité qui existe pour notre cause de combattre pour la victoire et non pas pour de nouvelles défaites! Qu’est-ce que le nationalisme révolutionnaire? Nous devons essayer de définir d’une façon concrète ce qu’est le nationalisme révolutionnaire, en évitant de dire ce qu’il n’est pas (comme on le fait le plus souvent), mais bien en insistant sur ce qu’il est d’une façon positive. Le nationalisme révolutionnaire représente une tentative de prise en charge de la crise actuelle de l’Europe, sur le plan d’une remise en cause radicale des valeurs de la dite société. Ce nationalisme révolutionnaire propose comme noyau central de l’action humaine l’idée de Nation, conçue comme un rassemblement organique d’éléments qui, sans elle, ne représenteraient qu’un agrégat sans consistance et traversé de tensions destructrices.
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Tribune libre: Le profond embarras du PS breton.... |
Régnant en quasi maître absolu sur l’ensemble des collectivités bretonnes à quelques exceptions près, représenté par ailleurs par certains de ses leaders au plus haut de l’état central, le PS breton semblait vivre dans une sorte de doux rêve éveillé, les yeux rivés sur Paris et ses bruits de couloirs, admiratif du moindre geste ou de la moindre parole de Bernard ou de Marylise…. (http://7seizh.info/2013/11/01/le-profond-embarras-du-ps-breton) Tellement tétanisé par la réussite de ses chefs historiques, qu’il en oubliait de s’intéresser à la Bretagne , oublieux de ses promesses passées, incapable de construire un projet pour la Bretagne, attendant on ne sait trop quoi, ah si sans doute qu’il n’y ait plus que des élus PS en Bretagne et là il se passerait quoi? On ne sait pas puisqu’il n’y a pas de projet mais que la vie était douce pour l’élu PS breton …. Quand patatras…. ce qui était prévisible, ce qui était prévu est arrivé, la crise dans l’industrie lourde bretonne qu’est l’agro-alimentaire….Les mêmes élus toujours dans leur rêve euphorique ne virent même pas arriver le chiffon rouge qu’était l’installation des ces portiques, nouveaux octrois. Tellement perdus dans leurs cabinets qu’ils en oublièrent de réfléchir un tant soit peu…. Ou alors tellement certains de «tenir» la Bretagne considérée comme endormie et assimilée par beaucoup des technos PS nouvelle génération…. L’un ou l’autre ou l’un et l’autre…. En tout cas, la révolte et la «guerre de l’écotaxe» les ont complètement pris à froid….Panique à bord au point d’espérer au plus vite une intervention de Jean-Yves Le Drian qui ne vint pas, pris que celui-ci était par les histoires maliennes. Il fallut le siège très violent de Pont-de-Buis pour que les Bretons du gouvernement montent au créneau et obtiennent un report de l’écotaxe espérant ainsi calmer le jeu et obtenir l’annulation de la manifestation du 2 novembre à Quimper que les élus PS craignaient par dessus tout…. Peine perdue, le Collectif Vivre, décider et travailler en Bretagne maintenait l’appel et élargissait même le message à des revendications institutionnelles pour la Bretagne. Et là qu’arriva-t-il? Nous vîmes Bernard Poignant dire que cette manifestation n’était plus nécessaire, en plus qu’elle pourrait peut-être rassembler des extrémistes, suivi par Marylise Lebranchu sur le même thème, les élus PS de base d’en rajouter en diffusant des messages sur la droitisation du mouvement, sur l’alliance contre nature qui organisait cet événement . Et puis comme ça ne suffisait pas, hop on demanda aux «amis» d’organiser une contre-manifestation à Carhaix où arrivent en courant PC, CGT et écolos…..Et point d’orgue puisque tous ces efforts semblaient inutiles pour enrayer le mouvement vers Quimper, arriva l’interview de Jean-Yves Le Drian appelant à l’unité des Bretons ce jour dans Le Télégramme. Tout ceci montre l’embarras du PS breton en complète rupture avec la société bretonne et incapable de proposer un projet global pour l’ensemble de la Bretagne. La mobilisation de Quimper si elle est suffisante permettra peut-être de faire retomber sur terre tous ces notables du PS breton et de les obliger enfin à s’occuper de l’avenir de la Bretagne sans attendre les ordres de Matignon. Nous irons donc à Quimper aujourd’hui pour crier à qui veut bien l’entendre que nous voulons vivre, décider et travailler en Bretagne et même si ça met à mal les plans de carrière politique de certains.
Chacun connaît ici l’extrême fragmentation des organisations bretonnes, lesquelles ont été sérieusement ébranlées par la francisation politique de notre pays ces cinquante dernières années (http://breizatao.com/?p=15854). Il y a ainsi des partis de toutes les sensibilités, marxiste comme “Breizhistans” ou “d’extrême droite” comme ADSAV ou Jeune Bretagne. Il ne s’agit pas de nier ces différences, ce serait vain et absurde, non plus que l’extrême agressivité entre toutes ces composantes, pour des raisons idéologiques ou politiques. Cependant, demain, tout ceci doit être mis entre parenthèse, car il nous faudra affronter l’Etat Français comme les tentatives de récupération de ce mouvement populaire et social mené par Christian Troadec et divers acteurs de la société civile. Des organisations ultra-jacobines, Front National et UMP en tête, veulent faire de ce mouvement populaire breton un instrument de leurs querelles franco-françaises. Hors, ce qui se joue, c’est l’avenir de notre pays et de notre peuple. La dimension bretonne de cette grande manifestation – ou rassemblement – doit être affirmée avec force. A chacun d’y veiller et de soutenir le Collectif “Vivre, décider et travailler en Bretagne” qui est actuellement en situation de mener une revendication essentielle : une large régionalisation pour la région Bretagne. Au delà du Parti Socialiste Français, c’est tout un système qui doit être remis en cause, ce système centralisé qui veut gouverner notre Peuple. Soyons donc vigilants, compatriotes, à ce que cela ne se produise pas. Que nos mots d’ordre soient clairs: pas d’avenir pour les Bretons sans régionalisation. Il ne s’agit de rien d’autre. Les Bretons veulent décider, nous voulons décider. Nihon Unan. Aujourd'hui, face à l’Etat Français, nationalistes, autonomistes, régionalistes, indépendantistes devront marcher d’un même pas, dans le même sens, et viser juste. Les régions françaises Blanches sont pillées par le pouvoir jacobin dans le seul but d'établir une population métissée, multisexe, maléable au gros capital judéo-mondialiste.
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«Mon fils, plus tard tu seras comique!» |
Incroyable, Dieudonné réalise le casse du siècle en réussissant à les déposséder de la $hoah sans qu'ils s'en aperçoivent. Les voyages ne forment plus la jeunesse, oublié les gares polonaises et ses survivants par millions, on se contente d'un spectacle à la Main à la d'Or, avec le secret espoir de poser aux côtés de son héros en exhibant une quenelle genre King-Kong qui voit la blonde! Le culot du Nègre qui a récupéré la marque déposée, et surtout la redevance qui va bien. Par usurpation d'identité, lui, son assistant Jacky, et ses kapos (Yanick Noah, Teddy Riner, Tony Parker, ...) ont remplacé Elie Wiesel, Simone Veil, et Claude Lanzman, on n'écoute plus les témoignages les yeux rougis, non, on danse sur la piste comme des malades en secouant de gros ananas. Imaginez les sommes colossales investies dans 60 ans de documentaires tronqués, films de science-fiction, de dessins au fusain, de chasse au dahu nazi, et hop, en un éclair, Dieudonné est devenu le gardien du temple, et les dernières associations qui pourraient défendre le buziness de la victimisation (Licra, LDJ, Crif, Mrap, ….), il les attaque en justice en exigeant leur dissolution immédiate, un comble. On les avait pourtant prévenu: «Si au départ, un gros mensonge, on sait toujours par quelle bouche ça sort, on sait jamais dans quelle poche ça finit!» Il a hacké une entreprise florissante: «J'suis pas tatoué, j'suis mâtiné!»
Dieudonné M’Bala M’Bala, politico-comique de son état, est un homme heureux. Non seulement sa stratégie de victimisation totale fonctionne avec une certaine couche de la population, mais en plus, son business n’a jamais été aussi juteux (http://jssnews.com/2013/10/31/le-business-dieudonn...tion-un-business-qui-paye-cash). Et si l’homme n’a toujours pas payé le moindre argent dû aux victimes qui ont gagné des procès contre lui, cela ne signifie pas que l’homme vit dans la misère. Régulièrement et depuis 2007, Dieudonné fait des appels aux dons (pour «payer ses déboires judiciaires» dit-il, ce qu’il n’a jamais fait). Et il reçoit un maximum d’argent. Son public ne sait pas qu’il a été spolié car cet argent envoyé en masse n’a jamais servi à payer la moindre de ses amendes et condamnations pénales (vérifications effectuées) mais a été intégralement détourné à d’autres fins. Cela s’appelle un abus de confiance, un dol en jargon juridique. S’il dit ouvertement dans des vidéos publiées sur le web qu’il reçoit des grosses sommes d’argent, une rumeur, invérifiable à notre niveau, dit même qu’un fan aurait mis sa maison en hypothèque pour pouvoir aider Dieudonné à racheter sa maison saisie. Oui mais voilà, a t-il réellement besoin d’argent, lui qui s’en prenait récemment à son ex-compagnon, sans répondre sur le fond d’ailleurs, en l’accusant d’avoir volé de l’argent de leur duo à de nombreuses reprises? Pas sûr…Décryptage (fait par un juif jaloux). Dieudonné est toujours responsable du Théâtre de la Main d’Or, une salle de 250 places (officiellement). Dans ce théâtre, il joue ses spectacles très régulièrement. Si on se base sur les places vendues sur BilletReduc (il y a peut-être d’autres spectacles à la Main d’Or vendus dans d’autres réseaux de distribution), il va jouer:- 22 fois le spectacle Dieudonné dans le mur en novembre 2013 - 24 fois le spectacle Dieudonné dans le mur en décembre 2013 - 17 fois le spectacle Dieudonné dans le mur en janvier 2014. - 1 fois une «Soirée Spéciale Dieudonné» en janvier 2014 - 4 fois le spectacle Mariage pour tous! en novembre 2013 - 6 fois le spectacle Mariage pour tous! en décembre 2013 - 9 fois le spectacle Mariage pour tous! en janvier 2014 et selon FNAC.com (mais cela aurait pu être Carrefour, Ticketnet, Leclerc, France Billets, Info Concerts, Virgin Mega, etc…) - 1 fois Dieudonné dans le mur au Zénith de St Herblain en janvier 2014 - 1 fois Dieudonné dans le mur salle Vinci de Tours en janvier 2014 - 1 fois Dieudonné dans le mur au Zénith d’Orleans en janvier 2014 - 1 fois Dieudonné dans le mur au Capitole de Chalons en Champagne en janvier 2014 - 1 fois Dieudonné dans le mur au Zénith de Nancy en janvier 2014 - 1 fois Dieudonné dans le mur aux Arènes de Metz en janvier 2014 - 1 fois Dieudonné dans le mur au Zénith de Limoge en janvier 2014 Soit un total de 90 spectacles en 3 mois. Si l’on se base sur les moyennes les plus basses, c’est à dire 250 personnes par spectacle (tout en sachant que le Zenith d’Orléans, par exemple, compte 5.000 places) – et en proposant le prix moyen de 35 euros, on peut donc dire que Dieudonné, en 3 mois, juste avec ses représentations, va faire rentrer dans sa caisse pas moins de 787.500 EUROS (et c’est la moyenne basse!) en 3 mois.
A présent, ajoutons quelques petits bonus…Lors de ses spectacles à la Main d’Or (mais j’imagine ailleurs également), il vend ses produits dérivés: - Tee-shirt à 20 euros. - Stylos à 3 euros - Coque de téléphone à 12 euros - BD à 34 euros - Casquette à 10 euros - Tapis de souris à 16 euros - Coffrets DVD à 70 euros - DVD (unité) entre 15 et 20 euros - Bonnet à 10 euros - Mug à 7 euros - Carnet à 10 euros - Cendrier à 5 euros - Porte-clefs à 5 euros - Magnet à 3 euros - Parapluie à 10 euros - Autocollant «Palestine» à 3 euros - Briquet à 3 euros. Si l’on prend encore les moyennes basses, donc 20% des spectateurs, qui achètent pour le prix moyen de tout ce qui est offert, soit 14 euros le panier, cela fait 50 personnes, multiplié par 90 représentations, avec un panier de 14 euros: 63.000 euros sur les produits dérivés sur 3 mois. Sans compter tous les produits dérivés vendus directement sur son site internet! Quand on sait que tous ces produits sont fabriqué par ses soins, il est gagnant sur toute la ligne (coût de fabrication d’un DVD dont il est le producteur, l’acteur, et de distributeur: 0.10€/unité). Pour être précis, tout est sous la direction des «Productions de la Plume», une entreprise dont la gérante est… Noémie Montagne (la compagne de Dieudonné) et où l’actionnaire majoritaire est… Dieudonné. Une jolie pirouette pour éviter les saisies! Mais ce n’est pas terminé. Il y a aussi l’espace restauration au sein de son théâtre. Il dispose d’une licence IV, et l’on y vend de l’alcool à profusion! On y trouve aussi des cafés, des snacks, des sandwichs. De la même manière, prenons les moyennes très basses: 5 euros de dépense moyenne au bar (à ce prix, on ne parle que d’un café et de la moitié d’un Twix), pour 20% des spectateurs sur 90 représentations: 22.500 euros de restauration sur 3 mois. On atteint déjà à 873.000 euros en 3 mois! Mais attendez, car ce n’est pas tout. Dieudonné revendique avoir 10.000 abonnés à son site Dieudosphère, dont le montant de l’abonnement est de 4.9 euros (58.80 euros par an). Ce qui fait 49.000 euros par mois / 588.000 Euros par an. Est-ce déclaré? Il justifie cet abonnement en offrant des vidéos en streaming et en proposant des vidéos exclusives. Mais il dit aussi avoir besoin d’abonnés pour financer ses films (qui sont pourtant financés par l’Iran!). Pour «sauver sa maison» Dieudonné a lancé pas moins d’une dizaine d’appels aux dons par vidéos. Dans une première vidéo, il annonce avoir reçu 700.000 euros! Dans une seconde, 600.000 euros! On ne sait donc pas le chiffre précis… mais une chose est sûre: cela ne le gène pas de brûler un billet de 5 euros devant les caméras pour montrer qu’il «nique le système.» Un joli doigt d’honneur à ses fans qui se sont saignés pour lui. Et bien entendu, c’est sans compter sur la cash qu’il a prit lors de l’élection européenne de 2009… Si les comptes de campagne du Parti Anti-Sioniste annoncent 6.000 euros de dépenses, alors que des personnes bien informées affirment que toute la campagne a été financée par l’Iran à travers le Centre Zarah France (une association iranienne qui représente les musulmans chiites de France)… N’oublions pas que les sommes versées par Téhéran étaient, selon des journalistes bien informés, de 3 millions d’euros!. Où est donc passé cet argent? Ca, on le saura plus tard puisqu’une enquête judiciaire semble avoir été ouverte récemment sur ce sujet…Quoi qu’il en soit, avec autant de pognon ramassé en seulement 3 mois, pourquoi Dieudonné ne paye t-il pas les amendes auxquelles il est condamné par les tribunaux? Il n’a pas d’argent dit-il! En fait, il oublie de dire que c’est «en France» qu’il n’a pas d’argent. Par contre, quid du compte ouvert au nom de Merlin M’Bala M’Bala, son fils, au Cameroun? Des sources bien informées disent, avec un zeste d’amusement, que le compte est égal à celui du PIB de tout le pays! En tout cas, il gère de main de maitre la ou les sociétés de son père sur place… En plus des sociétés immobilières qu’il posséderait dans la région où… Il a racheté sa maison avec l’argent de ses fans. Si je reprends les chiffres sur trois mois: 787.500 euros de billetterie, 63.000 euros de produits dérivés vendus dans ses boutiques (pas les DVD vendus à la FNAC ou Auchan), 22.500 euros de restauration, cela fait: 873.000 par trimestre, soit 3.492.000 euros par an! On y ajoute la Dieudosphère (588.000 euros par an), soit 4.080.000 euros. N’oublions surtout pas qu’il est payé 3.000.000 uniquement pour sa tournée des Zenith (soit plus de 7.000.000 d’euros par an)! Puis il faudrait ajouter sa tournée en Belgique, celle au Maghreb, celle «en bus…» Et aussi tous ses produits vendus dans les FNAC, Auchan et autres (alors qu’il affirme être boycotté par la grande distribution)… Incalculable! Et pourtant, étrangement (ou non), son compte de droits d’auteur à la SACEM est… Vide! Notons aussi qu’il loue le théâtre de la Main d’Or pour la modique somme de 60.000 euros la soirée (les soirs où il n’y est pas) et que son régisseur, Jacky, en profite aussi pour y donner des «cours de théâtre» de temps en temps! Selon plusieurs experts en économie du spectacle, Dieudonné est aujourd’hui «l’artiste le plus vu de France» (n°1 des ventes sur Top-Ventes de la Fnac)- et ce n’est pas pour rien si Auchan, deuxième plus grande chaîne de Supers en France, vend l’intégralité de ses DVD dans ses rayons… Même les plus racistes! Avec cette liste à la Prévert ou à la Madoff, vous aurez tous constaté que l'auteur se vautre dans sa victimisation et sa fortune perdue. Mais le poinçonneur de la $hoah n'est désormais plus la communauté juive, c'est un comique issu de la diversité qui a su s'affranchir. En un mot, ils se sont fait refaire le cul, et ils viennent s'en plaindre, les pauvres, quel dommage!
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La guerre des pains au chocolat est déclarée! |
En voilà un qui fait mieux que Jean-François Copé, c'est Faouzi Lamdaoui, ancien chef de cabinet pendant la campagne présidentielle, qui aurait abusé du Service de protection des hautes personnalités (SPHP), selon Charlie Hebdo. L'hebdomadaire explique que celui qui est considéré comme "l'homme à tout faire du président" a pu bénéficier d'un service de protection rapprochée pour garantir sa sécurité, auprès de qui il a formulé une bien étrange demande. Faouzi Lamdaoui, devenu conseiller chargé de l'égalité et de la diversité auprès de l'Élysée, reçoit en mai 2013 à son domicile des menaces de mort, évoquant le Mali, la guerre en Afrique, les règlements de compte marseillais (http://www.lepoint.fr/politique/l-homme-du-preside...olat-31-10-2013-1750974_20.php). Une enquête est ouverte, mais, en attendant, la République met en place un service de protection rapprochée pour garantir sa sécurité. Seulement voilà, le 30 juillet, une équipe de relève s'attire les foudres de Faouzi Lamdaoui. La raison? Une "consigne" n'a pas été respectée. Quelle consigne? Celle selon laquelle le policier doit "acheter un pain au chocolat (chaque) matin" au conseiller élyséen, explique Charlie Hebdo. Le policier chargé de sa protection s'insurge et refuse ladite demande. "Les fonctionnaires du SPHP sont des policiers aguerris dont le métier ne consiste pas à faire les courses à la boulangerie", appuie un syndicaliste Uunsa Police, Christophe Crépin, à Charlie Hebdo. La protection rapprochée accordée au conseiller de l'Élysée est alors rapidement suspendue. "Au plus haut sommet de l'État, on a estimé qu'il fallait mettre un terme à cette histoire", confie un policier à Charlie Hebdo. Selon l'hebdomadaire, qui a tenté, sans succès, de contacter Faouzi Lamdaoui, le rapport sur l'incident du pain au chocolat a disparu, et le conseiller de Hollande ne serait plus du tout dans les petits papiers de l'Élysée.
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Rave Party au fond de la fosse! |
Certains avaient juré l'avoir vu en République tchèque, alors que d'autres pensaient qu'il avait été capturé par les Russes afin d'être interrogé à Moscou. Heinrich Müller n'a en réalité jamais quitté Berlin. Le chef de la Gestapo a été enterré dans le plus grand secret en mai 1945 dans la fosse commune d'un cimetière... juif (http://www.lepoint.fr/monde/allemagne-le-chef-de-l...juif-31-10-2013-1750411_24.php). L'information, révélée mercredi par le quotidien populaire Bild, confirme des rumeurs qui courraient depuis plusieurs décennies. Le directeur du Mémorial de la résistance allemande, Johannes Tuchel, affirme avoir trouvé dans des archives des documents prouvant cette hypothèse. Un fossoyeur berlinois nommé Walter Lüders avait ainsi déclaré à la police dès 1963 qu'il avait lui-même inhumé le corps du chef de la police secrète nazi dont il avait vu le visage. Son uniforme contenait également ses états de service avec une photo. Le tabloïd publie en outre un document de la mairie d'arrondissement de Mitte à Berlin, indiquant que Müller avait bien été enterré dans le cimetière juif du quartier. Cette information marque ainsi le point final d'une énigme qui aura duré plus de... 68 ans. Fils d'ouvriers catholiques bavarois, Heinrich Müller a obtenu plusieurs médailles lors de la Première Guerre mondiale, durant laquelle il pilotait un avion de reconnaissance censé repérer des pièces d'artillerie ennemies. En 1919, il rejoint la police bavaroise. Durant la politique de Weimar, le désormais "chef de la police politique de Munich" se rapproche de plusieurs dirigeants nazis, dont Heinrich Himmler. Nommé directeur de la Gestapo, il participera notamment le 20 janvier 1942 à la conférence de Wannsee durant laquelle fut planifiée l'extermination des Juifs d'Europe. Fidèle parmi les fidèles d'Adolf Hitler, il restera dans le bunker berlinois du dictateur jusqu'à la fin. Sa dernière apparition officielle remonte au lendemain du suicide du Führer. Un de ses anciens subordonnés, capturé par les Soviétiques avant d'être renvoyé en Allemagne en 1957, Heinz Pannwitz, avait déclaré aux services secrets fédéraux (BND) avoir vu le corps de son supérieur hiérarchique avec une balle dans la tête à quelques pâtés de maison de la chancellerie du IIIe Reich. Le BND n'avait pourtant jamais pris cette déclaration très au sérieux. Ses experts avaient même déclaré avoir obtenu la preuve qu'Heinrich Müller avait été vu durant l'été 1949 à Karlovy Vary, en République tchèque. La CIA pensait, pour sa part, que cet artisan de la solution finale était détenu par l'URSS dans leur capitale. Les révélations du professeur Tuchel contredisent ces rumeurs, mais elles n'éteignent toutefois pas la polémique concernant son sort. "Que l'un des sadiques nazis les plus brutaux soit enterré dans un cimetière juif, c'est une énormité de mauvais goût", s'insurge Dieter Graumann, le président du Conseil central des juifs d'Allemagne. "On foule grossièrement aux pieds la mémoire des victimes." Alors que nationalistes allemands ont eux promis de ne plus promener leurs dobermans dans les travées du cimetière par respect pour l'officier.
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En Israël, Halloween, c'est tous les soirs! |
Ils ont entre 25 et 40 ans. Célibataires ou en couple, avec ou sans enfants. Ils ont quitté Israël pour vivre à l'étranger. Ce sont des yordim, un terme qui, en hébreu, signifie littéralement "ceux qui descendent" (http://www.lepoint.fr/monde/les-emigres-israeliens...iste-28-10-2013-1748573_24.php). Selon certaines statistiques, il y en aurait aujourd'hui 800 000 installés un peu partout dans le monde. Cette émigration a toujours existé et a toujours été dénoncée par les dirigeants israéliens en des termes très durs, comme Yitzhak Rabin qui, en 1974, parlait des yordim comme de "déchets", de "chiffes molles". Et voilà qu'en cet automne 2013 la question a resurgi et créé la polémique. C'est la diffusion, il y a un peu plus d'un mois, par la chaîne 10 de la télé israélienne d'une série intitulée Les nouveaux yordim qui a lancé le débat. Quatre longs reportages sur de jeunes Israéliens installés en Europe ou aux États-Unis, décrivant leur nouvelle vie et expliquant les motifs pour lesquels ils sont partis d'Israël. Première et souvent seule motivation : la situation économique. Comme Moran, 32 ans, qui vit avec son mari et son jeune fils à Berlin: "En Israël, explique-t-elle, mon compte en banque était toujours dans le rouge. Ici, à Berlin, c'est fini. Je suis constamment et confortablement dans le vert. Berlin, ajoute-t-elle en riant, c'est pour moi le meilleur des comptes épargne." À l'autre bout du monde, chez l'Oncle Sam, on retrouve Dorit et Zohar. Avant d'habiter dans le New Jersey avec leurs trois enfants, ils étaient à Eilat, la station balnéaire sur la mer Rouge, à la pointe sud du pays. Officier de carrière à l'armée, Zohar a décidé de se marier. Et c'est là que tout s'est gâté: "Quand ma femme et moi avons cherché à nous loger, nous avons vite réalisé qu'il nous serait impossible d'avoir en Israël quelque chose de décent à un prix raisonnable. Ici, dans le New Jersey, c'est possible!" Et, devant la caméra qui le suit alors qu'il vient de passer à la caisse pour payer un Caddy bien rempli, il ajoute: "Regardez, je viens de dépenser 233 dollars. En Israël, à quantité et produits égaux, cela m'aurait coûté deux à trois fois plus." Moran, Zohar, Itaï, etc., tous l'affirment: c'est le coût de la vie qui les a décidés à partir. Et ce n'est pas l'étude comparative tout juste publiée par le quotidien populaire Maariv qui leur donnera tort. Il faut, en Israël, pour se payer un logement 138 salaires mensuels moyens contre 65 aux États-Unis, 64 en Grande-Bretagne ou 59 en Hollande. Quant à la part de l'alimentation dans le revenu moyen, elle est de 18 % en Israël, contre 9 % en Allemagne ou 10 % en France. Le tout alors que le salaire moyen israélien - 1 850 euros - est le plus bas en comparaison des États-Unis, de l'Allemagne, l'Irlande, la France, l'Espagne ou l'Australie. Au coeur de la controverse, il y a aussi ce sondage publié dans le cadre de la série télé: une majorité de parents israéliens, 45 %, se déclarent prêts à soutenir leurs enfants s'ils décident d'aller vivre à l'étranger, 33 % affirmant qu'ils ne les encourageraient pas mais ne s'y opposeraient pas. Seuls deux Israéliens sur dix sont activement contre. Par ailleurs, 80 % des sondés ne voient pas dans l'émigration un phénomène illégitime. En écho, l'un des plus grands poètes israéliens, Nathan Zach, a donné sa bénédiction à ces jeunes Israéliens "qui doivent aller là où ils peuvent vivre le mieux". C'est la fin d'un tabou. Et, pour une partie de la classe politique, c'est insupportable. Dans un post sur sa page Facebook, le ministre des Finances, le sémillant Yaïr Lapid, n'a pas attendu pour dénoncer les yordim: "Je n'ai pas de patience pour ceux qui sont prêts à jeter à la poubelle le seul pays qu'ont les juifs simplement parce que Berlin, c'est confortable..." Il s'est fait immédiatement "tacler" par des dizaines d'amis, dont certains lui ont rappelé qu'en son temps il était parti vivre aux États-Unis pour mener une carrière dans la communication. D'autres, des émigrants, affirmaient qu'ils rentreraient au pays les yeux fermés si le gouvernement menait une autre politique économique et sociale. À la petite phrase de Yaïr Lapid s'est ajoutée celle du directeur de la loterie nationale, un ancien général, qui les a qualifiés de traîtres. Pour Shlomo Avineri, professeur de sciences politiques renommé, cela prouve une chose: les yordim n'ont pas le moindre sens des responsabilités citoyennes. D'un côté, ils abandonnent le difficile débat national israélien; de l'autre, ils recréent une diaspora, tout en ne s'impliquant pas dans les affaires du pays où ils s'installent. Bref, pour monsieur Avineri, les nouveaux expatriés israéliens n'ont comme horizon que leurs petites aspirations personnelles! À ces critiques, les nouveaux émigrants répondent: "Nous reviendrons lorsque le gouvernement changera de politique économique et sociale." Ambiance.
Petit retour en arrière: Le 19 Mars 2012, un Professeur juif et ses deux enfants sont abattus par Mohamed Merah, voici une courte biographie. Jonathan Sandler, 30 ans, est né à Bordeaux, la ville dont sa mère est originaire (http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Actualite...e-de-la-famille-Sandler-497188). Ses parents s’établiront plus tard en région parisienne et c’est au Chesnay, près de Versailles, qu’il grandit. La famille est pratiquante, engagée même, à l’instar de Samuel qui prend vite en main la petite communauté juive locale. Jonathan effectue sa scolarité à l’école publique jusqu’à la quatrième. Pris d’un intérêt soudain pour l’étude du judaïsme, il rejoint l’école Ozar Hatorah de Toulouse, à la réputation d’excellence. "C’était quelqu’un de discret, d’humble, et qui avait toujours le sourire, un sourire marquant", se souvient Leslie, très émue, qui tenait à lui rendre un dernier hommage lors des obsèques en Israël. "Il était fier de se présenter comme un ashkénaze français", renchérit Avner, un autre camarade de classe. Dans la ville rose, Jonathan Sandler est adopté par le directeur de l’école, Jacob Monsonego. Le baccalauréat en poche, Jonathan décide d’émigrer en Israël pour continuer ses études religieuses. Il rencontre Eva Alloul, une Franco-Israélienne sépharade, très pieuse également qui, au terme d’un shidour, une rencontre organisée par un rabbin, devient son épouse. "Il a toujours voulu retourner à Toulouse pour enseigner à Ozar Hatorah, restituer ce qu’on lui avait appris", confie un proche de la famille. Son vœu est enfin exaucé en septembre 2011. Mais sa mission de deux ans s’est achevée, mardi, au bout de cinq mois. Il est donc surprenant que Johnathan Sandler, un Yordim, un déchet, une chiffe molle, se soit fait flingué par un indic de la DCRI. «Mise en scène assez improbable, ou mise en garde à la diaspora? On ne divorce pas d'Israël!»
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Licenciements dans les médias d'information à la botte du pouvoir. |
Courrier International contre Valeurs Actuelles, deux titres emblématiques de la presse française qui ont emprunté des chemins radicalement différents (http://www.bvoltaire.fr/joriskarl/courrier-interna...-choix-deux-consequences,39889). Il y a une leçon à en retenir…Si ces hebdomadaires sont incontestablement de qualité, l’un est en crise, l’autre connaît une sorte d’apogée. Courrier international (qui appartient intégralement au groupe Le Monde) vient de connaître une grève historique à la mi-octobre: le numéro du 17 octobre n’est donc pas sorti en kiosque. Ironie du sort, il était consacré à la censure de la presse dans le monde! La grève était inévitable, parce que ce dernier va subir une véritable Bérézina: le plan de licenciements proposé par la direction prévoit «la suppression de 26 postes équivalents temps plein, soit 29 postes au total, sur un effectif total de 90 personnes. Le plan prévoit, en outre, la suppression de 25 postes de pigistes réguliers», à en croire Le Monde. De son côté, Libération nous apprend que «ce plan fait suite à la perte pour Courrier international d’un très gros contrat avec la Commission européenne, qui a décidé d’arrêter son site d’info, Presseurop.eu, réalisé principalement par l’hebdo depuis 2009. Cette perte va priver Courrier international de 2,5 millions d’euros de recettes, sur un chiffre d’affaires annuel d’environ 30 millions.» On n’est jamais trahi que par les siens. Cela ne doit pas faire oublier une réalité plus terre à terre: la chute libre des ventes au numéro, moins 17 % sur un an! À l’inverse, Valeurs actuelles n’en finit plus de progresser. Selon l’OJIM (Observatoire des journalistes et de l’information médiatique), les ventes au numéro pour la période février-mars 2013 ont augmenté de… 71,9 %; les médias reprennent ses unes quasiment chaque semaine, parfois pour les traiter (évidemment) «d’extrême droite». Il est vrai que le contenu de cet hebdomadaire a clairement changé. Fini le magazine coincé pour cadres UMP propres sur eux. Maintenant, Valeurs actuelles balance la sauce: on parle vrai, des Roms, de l’immigration invasion, on se «zemmourise» méchamment. Quand Courrier international maintient, coûte que coûte, sa ligne politique bobo pro-européenne, pro-immigration, pro-métissage, son challenger vire carrément «populiste», c’est à dire, en vérité, «populaire». Le problème, c’est que le modèle multiculturel Bisounours défendu par Courrier international s’effondre sous ses yeux comme le bloc de l’Est a fondu devant l’Humanité. Il y a quelques mois, il nous pondait un numéro spécial sur le Brésil, vantant un pays heureux, car métissé. Pas de bol, les émeutes historiques de São Paulo commençaient au lendemain ou presque de la sortie du hors-série. Le lecteur type de Courrier international, c’est le lycéen un peu naïf, qui décore sa chambre chez Maisons du monde, écoute Radio Nova et reste en extase devant l’Autre avec un grand «A». Il a l’impression d’être plus intelligent, parce qu’il «s’ouvre» sur l’univers tout entier. Au fond de la chambre brûle un bâton d’encens… Les lecteurs de la presse papier sont en train de préférer la presse du pays réel. Dommage pour les autres! Sans oublier les déboires de Nice Matin, de France Télévision, de Libération, de Le Monde. Pendant des décennies, ils nous ont servi de la merde, et bien maintenant, la roue tourne!
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Al Qaïda et la NSA, nos deux cousines américaines. |
Après Hollande qui s’est tiré d’embarras dans la grotesque affaire Léonarda, en dénonçant les mauvaises manières de l’american Big Brother, Merkel à son tour tape du pied. Avec ce long article de Léon Camus 27 octobre 2013, l'on comprend que la lutte contre le terrorisme est un miroir aux alouettes qui permet au Nouvel Ordre Mondial de justifier toutes ses atteintes aux libertés individuelles, ainsi que le pillage des secrets économiques de l'Occident et de l'Asie, pour relancer ses propres usines (http://www.geopolintel.fr/article759.html). Ces Américains se croient certes tout permis, entre autres d’écouter aux portes et de se glisser grâce aux grandes oneilles de la National Security Agency dans l’intimité de ses chers alliés. Dame Merkel aurait ainsi été espionnée pendant près de dix ans ayant constitué depuis 2002 une cible prioritaire pour les Agences américaines. Bien sûr Obama s’est fendu d’un appel personnel pour mettre du baume sur les plaies morales de la chancelière, chacun ayant tout intérêt à sauver les apparences et à laissant croire à ces benêts d’Européens que le viol de leur souveraineté en matière de communication n’aurait été somme toute qu’accidentel au pire circonstanciel. Une bavure en quelque sorte, un excès de zèle sans lendemain alors qu’il s’agit d’un comportement structurel de la part des dieux jaloux qui règnent outre-Atlantique. Allemagne: une longue histoire de sujétion et de soumission. L’Allemagne à cette occasion semble découvrir ex abrupto quel est son véritable statut politique au sein du dispositif atlantique. Aurait-elle oubliée qu’elle n’est plus – officiellement – un pays occupé que depuis le Traité de Paris signé le 23 octobre 1954? Une émancipation qui ne sera vraiment effective que le 5 mai suivant 1955 avec la fin du «statut des zones d’occupation» lorsque Washington – nécessités de la Guerre froide faisant loi - reçoit la République fédérale comme membre de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord [Otan] à égalité de droit avec les quatorze autres États qui alors la composent. Dans les faits les choses sont moins simples. Après 1955, des troupes alliées restent stationnées sur le territoire de la République fédérale, dans des bases dont le démantèlement définitif n’interviendra pas avant la fin des guerres balkaniques, au bout de la décennie 90 et la guerre du Kossovo. Berlin - Bonn étant la capitale de l’Allemagne fédérale jusqu’à la réunification - continuera pour sa part à rester divisée entre les quatre secteurs attribués à ses vainqueurs. Il faudra attendre jusqu’au Traité de Moscou – dit “Quatre plus deux” - signé le 12 sept. 1990 entre les représentants des deux Allemagne, Est et Ouest, et les puissances alliées de la Seconde Guerre mondiale, États-Unis, Union soviétique, Royaume-Uni et France, pour que l’émancipation de l’Allemagne s’achève… Acte qui amorce la réunification allemande et dont l’intitulé exact est «Traité portant règlement définitif concernant l’Allemagne», fixant le statut final d’une Allemagne neutralisée pour mille ans, réunie au cœur de l’Europe mais toujours “morcelée” en Länder. Car il s’agit d’une Allemagne de l’Ouest à laquelle les Alliés – ceux du Monde libre - “ont refusé un État unitaire et lui ont imposé un système fédéral. Les américains jouent un rôle moteur dans cette décision” qui va dans le sens “d’un fédéralisme mondialisé, contre les États Nations”. Mais “depuis, l’Allemagne utilise ce fédéralisme, qui était censé l’affaiblir, pour construire méthodiquement sa domination sur l’Europe fédérale des Länder [une Europe landérisée] atlantiste et néolibérale, qu’elle entend imposer aux peuples de notre continent. Dans cette démarche historique, liée à la mondialisation, elle est aussi secondairement, rivale des États-Unis”2. Ajoutons encore que, contrairement aux apparences, l’Allemagne est une nation dépourvue de Constitution, une Loi Fondamentale en tenant lieu, ce qui n’est pas sans conséquences du point de vue juridique et institutionnel… mais ce fait constitue un aspect pour l’heure extérieur à notre propos. Germania garde-manger technologique. Reste que l’important n’est pas d’examiner ici les myopes idéologies régionalistes qui ont prospéré en France, à gauche comme à l’extrême droite, et qui allaient dans le sens voulu par the Mighty America, celle de la destruction des nations, de leur morcellement. Un processus que nous voyons à l’heure actuelle, sous nos yeux, à l’œuvre en Europe et au Levant. Retenons seulement dans la citation de Claude Beaulieu l’avant-dernier mot «rivale»… là se trouve l’une des clefs de la question qui nous occupe à l’instant présent. À ce sujet, il resterait également à savoir si, de ce point de vue, la Bundesrepublik très tôt «rivale des États-Unis» - car longtemps troisième puissance économique planétaire, l’Allemagne réunifiée se situant depuis 2008 au quatrième rang derrière les É-U, le Japon et la Chine - accède avec le traité de 1990, à une totale souveraineté? En un mot, redevient-elle à cette date un “État comme les autres” ou demeure-t-elle placée sous une discrète mais ferme tutelle exercée par le “parrain” américain, de sorte que l’Allemagne vaincue continue à payer tribut, volontairement ou non? Poser la question n’est-ce pas déjà y répondre? Ceci expliquant cela, il est en effet permis de douter de la pleine autonomie allemande comme tendraient à le montrer les procédés qu’utilisent aujourd’hui les États-Unis avec leur bon ami allemand. Un nain politique - mais un géant économique – que les écoutes nous montre réduit à l’état de garde-manger technologique… Parce que c’est bien de cela dont il s’agit : le pillage des ressources techniques et d’innovations germaniques au profit des industries américaines dans le cadre d’une guerre économique impitoyable qui ne connaît ni ami, ni allié, ni ennemi…Volontairement, en construisant des sous-marins d’attaque, vendus à prix cassés à l’État hébreu qui les a aussitôt équipés de missiles de croisière à ogive nucléaire [Der Spiegel/Afp3juin12]. Involontairement, mais sciemment, en laissant espionner ses universités, ses centres de recherches et ses industriels.
Car qui nous fera croire, que Dame Merkel, remarquablement à l’aise dans son rôle de vierge effarouchée, ignorait tout à fait les conduites vicieuses de nos grands amis et libérateurs désintéressés? Une guerre qui ne dit pas son nom. «La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment. Oui, ils sont très durs les américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort»… dixit Mitterrand, fin connaisseur, peu avant son décès. L’Amérique, c’est indubitable, s’entend à maintenir ses alliés européens sous sa coupe, et pire nous fait la guerre. Chronos dévore ses enfants. Or que faisons-nous? Quelles conséquences tirons-nous d’un état de fait documenté de longue date et bien connu de politiques et de nos industriels? Aucune ou presque, à part nous être mis nous aussi au renseignement civil au milieu des années quatre-vingt et avoir multiplié les officines dites d’Intelligence économique. Le 17 mars 2000, bien avant que les classes dirigeantes européennes ne commencent à sortir de leur léthargie, R. James Woolsey, ancien directeur de la CIA, expliquait doctement et tout à fait sereinement, dans les colonnes du Wall Street Journal, les raisons «morales» justifiant l’espionnage des Alliés européens. À ce titre, la tribune «Why we spy on our Allies» nous apprenait que l’écoute des amis étaient nécessaires pour leur apprendre les bonnes manières du politiquement correct anti-corruption! À cette époque certains esprits chagrins commençaient à s’interroger sur la reconversion du projet Echelon - associant les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle Zélande – à d’autres fins que l’interceptions des télécommunications militaires et politiques au-delà du Rideau de fer, et ce, à des fins d’espionnage économique tous azimuts. Question qui fit tardivement l’objet d’un rapport rsté lettre morte du Parlement européen, en juillet 20014. Immédiatement après, le 11 sept. 2001 est arrivé à point nommé pour apaiser tous les états d’âmes qui auraient pu agiter les fragiles cervelles de nos soi-disant représentants européens. Et à partir de là il n’y eut plus besoin de prétextes alambiqués pour justifier l’espionnage: la guerre contre le terrorisme permettait de tout justifier, à commencer par les pratiques les plus intrusives, les plus agressives. Il fallut dès lors, volens nolens, se soumettre aux oukases de la superpuissance outragée entrée dans une ère de guerre sans limites. Accord Swift et servitude volontaire. Un dernier mot sur la tartufferie qui consiste en ce dernier trimestre de 2013 à s’émouvoir d’un secret de polichinelle connu de tous les gens avertis depuis un demi siècle… Toujours sous couvert de traquer les dollars de la terreur, le Programme fédéral de l’Administration Bush joliment baptisé « Terrorist Finance Tracking Program » [treasury.gov/resource-center22spt11] lancé le lendemain du 11/9, autorisait le siphonage - d’abord clandestin puis toléré - de la banque de données interbancaire belge dont l’acronyme est “Swift” [Society for worldwide interbank financial telecommunication]. Pendant plusieurs années la société Swift va servilement communiquer à la CIA et au Département du Trésor américain des informations relatives à des millions de transactions bancaires en violation des législations belge et européenne. Les banques centrales belge, hollandaise et suisse reconnaîtront ultérieurement avoir été au courant de ces menées depuis leur début au cours de l’été 2002. Le scandale révélé en juin 2006 conjointement par le Los Angeles Times, le Wall Street Journal et le New York Times, est vite étouffé et cet extravaguant programme d’espionnage entre alliés deviendra une pratique officialisée en nov. 2009 dans le cadre d’un “Accord” en bonne et due forme passé entre l’Union européenne et les États-Unis quant «au traitement et au transfert de données de messagerie financière de l’Union européenne aux États-Unis dans le cadre d’un programme de surveillance du financement du terrorisme». Projet derechef rejeté par le Parlement européen en février 2010, mais finalement adopté le mois de juillet suivant par la Commission européenne à la suite d’une visite de vice-président américain Joe Biden porteur promesse de «garanties renforcées» en échange d’un droit de regard approfondi sur toutes opérations interbancaires européennes. De nos jours chacun sait que les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent. Il faudra attendre ce 23 octobre 2013 et la grosse colère de la Chancelière Merkel pour que le Parlement européen réclame – quelle audace - la «suspension», mais non l’abrogation, de cet Accord soi-disant destiné à la lutte anti-terroriste au seul motif que les Services de renseignement américains en auraient violé les clauses de «confidentialité»!
État voyou, État voyeur. À ce stade, on commence à comprendre quel est intérêt que les États-Unis ont à se glisser dans le conduit auditif des ses alliés et amis avec des moyens d’écoute et d’entreposage d’information sur-multipliés… qu’on en juge ce sont, de par le monde, trente-cinq chefs d’État qui auraient été directement espionnés et en France, à titre d’exemple, quelque 70 millions de communications qui auraient fait l’objet, non d’une interception au sens propre, mais d’une identification [recueil de métadonnées] des appelants et des appelés entre décembre 2012 et janvier 2013 ; 60 millions en Espagne pourtant d’un intérêt géoéconomique moindre [ElMundo/ElPaís28oct13]. Ces chiffres donne une vague idée des puissances de calcul désormais mobilisables pour le contrôle panoptique des télécommunications mondiales. En ce qui concerne l’Allemagne les choses sont tout à fait claires: en 2008 l’industrie automobile américaine était au bord de l’effondrement. Une réinjection massive de capitaux mais aussi et surtout de technologies allemandes obtenues grâce à l’espionnage industriel, ont donné un coup de fouet à un secteur en perdition. En France, les informations sensibles transmises à Washington, notamment par le truchement de son allié Israélien – en ce domaine sous-traitant de la NSA – ont conduit à évincer les Français du marché automobile iranien… D’abord Peugeot qui subit une perte sèche d’environ 450 000 véhicules l’an, l’équivalent de la production de l’usine d’Aulnay, laquelle vient justement de fermer ses portes… puis plus récemment Renault. Ce sont 600 000 ventes perdues au total, alors même que General Motors et Chrysler continuent de vendre à Téhéran leurs tout-terrains! Gageons que le président Rohani, tout à sa lune de miel avec Washington, s’empressera, avec des véhicules made in United States, de combler la place laissé vacante par ces imbéciles de Frenchies… Bref un sabordage de nos exportations qui n’eut pu avoir lieu sans l’accord très explicite du gouvernement et tout aussi implicite du patronat et des syndicats. Périssent l’emploi et nos industries pourvu que rien ne vienne entraver le chantier du Grand Marché Transatlantique prévu à brève échéance5… Drôle de raison d’État et de gouvernements qui nous font sacrifier nos intérêts les plus vitaux! Vers l’absorption de l’Europe par le boa judéoprotestant. Le 14 juin dernier, les ministres du commerce des 27 États de l’UE ont accepté un mandat secret de la Commission européenne pour la négociation du Traité de commerce TTIP [Transatlantic Trade and Investment Partnership]. Traité qui devrait en principe être signé en 2015 et créerait une vaste «zone de libre échange» transocéanique couvrant 46% du Pib mondial, voire 51,3% si ce Traité englobe l’Accord de libre-échange nord-américain, dit Aléna [North American Free Trade Agreement]. Ce dernier réunit depuis le 1er janvier 1994, les É-U, le Canada et le Mexique. Bref si le Projet transatlantique ne capote pas grâce aux fâcheuses révélations d’Edward Snowden, héros des temps modernes pourchassé comme le dernier des terroristes meurtriers, il pourrait bien se présenter comme la première étape d’une Union transatlantique, charpente de l’Unification politique des nations occidentales. Projet grandiose propre à échauffer les imaginations mais dans lequel il vaudrait sans doute mieux ne pas se précipiter dans la mesure où nous voudrions encore espérer échapper à la tiers-mondisation accélérée – synonyme d’américanisation par le bas – et à la barbarie qui semble inéluctablement l’accompagner. Et bien d'autres articles sur: (http://www.plumenclume.net)
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Les bonnes sœurs de la $hoah en première ligne. |
Visite chahutée pour Marine Le Pen ce samedi 26 Octobre 2013 au p'tit matin sur le marché de Fougères (Ille-et-Vilaine) (http://www.leparisien.fr/politique/video-marine-le...retagne-26-10-2013-3261561.php). Alors que la patronne du Front national prend un bain de foule, embrasse des partisans de son parti venus la saluer, une jeune femme brune matinée négroïde (nez épaté, lèvres proéminentes, chevelure épaisse et crépue) enlève soudain son manteau, arborant sur ses seins nus: «Marine repens-toi! Vive la Youpine, à bas la Bigoudine!». La Femen et deux autres activistes féministes reprennent en chœur ce slogan, avant d'être rapidement plaquées au sol par le service d'ordre de la présidente du FN.
L'«attaque» s'est déroulée sous l’œil des caméras. On y voit Marine Le Pen tourner aussi vite que possible les talons. Sur leur compte Twitter, les Femen ont posté des photos de leur opération, interpellant la patronne du Front dans leurs commentaires: "Marine nous savons les horreurs que papa racontait pendant les repas de famille mais il n'est jamais trop tard pour changer!", soufflent avec humour les militantes. "Arrête la xénophobie, l'homophobie et la haine", "Arrête les alliances avec la petite-fille de Mussolini, nos amis d'enfance ne sont pas nos bestas pour la vie", "N'essaye plus de changer le peuple de France, essaye simplement de t'y intégrer. Tu peux changer, il n'est jamais trop tard ! Ce groupe de féministes d'origine ukrainienne et financées par des relais sionistes est connu depuis 2010 pour ses actions seins nus (sous-entendu trauma exhibitionniste judéophile) destinées à dénoncer le sexisme, l'homophobie, la prostitution, la religion et de manière plus générale: la race Blanche. Lors d'une conférence de presse tenue un peu plus tard, Marine Le Pen a prédit un résultat «spectaculaire» pour son parti en Bretagne, particulièrement aux élections européennes, alors que le Front national reste généralement très en retrait de ses scores nationaux dans cette région. «L'effondrement de l'agroalimentaire est un événement au moins aussi grave pour la Bretagne que l'ont été les fermetures de mines dans le Nord de la France et dans l'Est», a-t-elle lancé. A ses yeux, la crise de l'agroalimentaire va «ouvrir les yeux des Bretons sur l'aspect absolument néfaste de la soumission à l'Europe de Bruxelles». Autrefois, les Bretons accueillaient les politiciens parisiens avec du fumier, mais maintenant, et bien ...... ça n'a pas changé! Ce qu'il nous faut, c'est remettre la famille au centre de toutes nos préoccupations.
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Une histoire de neurones à .... dormir debout |
Robert Kennedy a-t-il volé le cerveau de JFK? C'est la nouvelle théorie-choc dans une saga à rebondissements. À en croire l'écrivain et avocat James Swanson, qui publie en novembre un livre intitulé Les derniers jours (http://www.lepoint.fr/monde/robert-kennedy-a-t-il-...-jfk-22-10-2013-1746871_24.php). L'assassinat de John F. Kennedy, c'est Robert lui-même qui aurait dérobé le cerveau du président assassiné. Celui-ci avait en effet disparu des archives de Washington, où il avait été placé dans un casier verrouillé, après l'autopsie. Ce n'est qu'en octobre 1966, trois ans après l'assassinat de Dallas, que la disparition de la boîte métallique spéciale dans laquelle avait été placé l'organe aurait été constatée. Il manquait également plusieurs pièces à conviction telles que des clichés aux rayons X, des photos et des prélèvements de tissus. Ces manques auraient rendu impossible d'étudier plus en détail les circonstances de l'assassinat de Kennedy, et notamment de revenir sur la thèse du tueur unique. Mais, selon James Swanson, ce n'est pas tant pour accabler Lee Harvey Oswald (assassiné par Jacob Leon Rubenstein, petit mafieux juif) que Robert Kennedy, procureur général des États-Unis de 1961 à 1964, aurait subtilisé ces éléments que pour protéger l'aura du président assassiné. "Ma conclusion est que Robert Kennedy a récupéré le cerveau de son frère - non pas pour dissimuler les preuves d'un complot -, mais plutôt pour cacher les preuves de l'étendue réelle d'une maladie qui touchait le président", explique l'écrivain. "Ou peut-être pour cacher les preuves du nombre de médicaments que le président prenait." Longtemps, les théoriciens du complot ont clamé que le cerveau de JFK avait été volé par les services secrets pour étouffer les preuves de leur inculpation dans l'assassinat. Selon Cyril Wecht, expert légiste non gouvernemental qui a eu accès aux archives nationales de Washington en 1972, qui a raconté l'affaire au JDD, l'examen du cerveau est "fondamental pour étudier les trajectoires balistiques et les hémorragies, or, aujourd'hui, personne ne sait où il se trouve". La preuve est donc faite que les juifs n'ont rien à voir avec cet assassinat crapuleux, même si JFK était farouchement opposé à ce qu'Israël développe un nucléaire militaire. Parce qu'il savait que cela se terminerait avec des attentats «anonymes» dans tous le Moyen-Orient. Pour ceux qui veulent approfondir, rendez-vous sur le site d'Eric Hufschmid, même si la traduction française est très moyenne.: http://www.erichufschmid.net/JFK/Toronto-connection-F.html
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L'amour des communistes pour le Gros Capital. |
Des squatteurs expulsés sur ordre du Parti communiste, une opération de police rondement menée, les matelas sortis sur le trottoir dans l'obscurité, deux jeunes interpellés et ramenés au commissariat, les autres à la rue… (http://www.leparisien.fr/espace-premium/paris-75/l...atteurs-21-12-2012-2423947.php) Mercredi 19 Décembre 2012 vers 20h30, une vingtaine de policiers ont expulsé une petite dizaine de squatteurs d'une maison au 149, rue du Château (XIVe), propriété du Parti communiste. Et hier, Sergio, un commerçant voisin, commentait l'opération: «C'est quand même fort de voir les cocos expulser des SDF.» «Étonnant et décevant de la part des communistes, s'agace Celia Blauel, élue (EELV) du XIVe, venue sur place. On note une différence entre les paroles et les actes.» Hier matin, un maçon était déjà à l'œuvre pour «sceller les portes». Cette petite maison de ville, ancien local de la section du XIVe, dont les pièces était jadis tapissées de la faucille et du marteau et d'affiches de la Fête de l'Huma, était vide depuis plus de trois ans. Depuis dix jours, des squatteurs, de 25 à 45 ans, s'y étaient installés. «On avait repéré la maison vide, reconnaît Thomas, l'un de ses occupants. On a tous des problèmes de logement. On a ouvert un compteur EDF.» Au PC, on reconnaît «avoir eu recours aux forces publiques». Mais on avance «des raisons d'insalubrité de la maison». Igor Zamichiei, secrétaire de la fédération du PC à Paris, dénonce dans ce squat une «opération politique». (Reconnaissez ici la théorie du Complot) Selon lui, les squatteurs seraient «des groupes de la tendance anarchiste». Thomas rigole: «On ne savait même pas que la maison appartenait aux communistes. Il n'y avait pas de nom sur la boîte aux lettres.» Reste que les squatteurs du 149, rue du Château, seront poursuivis par le parquet de Paris, à la suite de la plainte déposée, pour « dégradations de biens privés en réunion ». Des élus murmurent que la maison devait être retapée pour être vendue. Les squatteurs auraient pu contrarier leur belle opération immobilière.
Dans une interview au Journal du Dimanche au lendemain de son «union libre avec le PS» pour les municipales, Ian Brossat, le président communiste du Front de Gauche au conseil de Paris, a crié son désamour de la célèbre basilique située au sommet de la butte Montmartre. Motif? L'édifice a été construit à partir de 1875 dans le cadre de l'«ordre moral» et visait à «expier» les crimes de la Commune, et c'est à cet endroit qu'avait débuté l'insurrection (http://www.fait-religieux.com/france/politique/201...uloir-raser-le-sacre-Cœur). «Le Sacré-Cœur qui est un symbole que je n'aime pas. Et qui visait à sanctionner d'une certaine manière les communards. Je pense que s'il y a un endroit où on pourrait faire autre chose ça serait le Sacré-Cœur». L'élu communiste propose alors de trouver une nouvelle fonction au lieu de culte: «Je le remplacerais par un espace dédié à la solidarité. Aujourd'hui si on a une idée à porter dans cette ville, c'est la solidarité, la justice sociale. Si Paris doit être exemplaire dans un domaine, c'est la solidarité». Face au tollé de réactions indignées sur la Toile l'accusant de vouloir «raser» le Sacré-Cœur, Ian Brossat, qui habite dans le 18e arrondissement de Paris a dû se justifier. «C'est absurde, s'est-il défendu. C'était juste un exercice de politique-fiction. C'est le symbole que je n'apprécie pas, il n'est pas question de raser le Sacré-Cœur!» Ian Brossat voit dans cette rumeur l'instrumentalisation du Front national (FN). «Le FN a trouvé un os à ronger, a-t-il fustigé. Il remplit une baignoire avec une simple bulle à savon». L'homme politique en a profité pour préciser qu'il y a d'autres endroits qu'il apprécie davantage dans la capitale tels que les Buttes Chaumont car «c'est là que j'ai appris à sucer».
Il n'en est pas à son coup d'essai puisque pour les prochaines municipales, il a déjà souhaité l'établissement d'un village d'insertion à destination de familles Roms. (http://www.lepoint.fr/politique/paris-ian-brossat-...xvie-13-10-2013-1743442_20.php)Une structure comme il en existe déjà en Seine-Saint-Denis, à Strasbourg ou à Grenoble. L'effort de solidarité doit être mieux partagé". Ian Brossat explique au Figaro qu'il n'y a "pas de raison que les seules communes de Seine-Saint-Denis soient concernées alors que 10 000 des 17 000 Roms présents en France vivent en Ile-de-France". Son choix d'installer un village d'insertion pour les Roms dans l'ouest de la capitale est réfléchi. C'est le plus grand arrondissement parisien et un des moins densément peuplés de Paris, relève-t-il. Il croit dur comme fer que son vœu a des chances de se réaliser alors que les élus de cet arrondissement dirigé par l'UMP bloquent depuis des années l'installation d'une aire pour les gens de voyage dans le Bois de Boulogne jouxtant le 16e. Ian Brossat concède "qu'il risque d'y avoir une certaine opposition à ce projet". Mais "je suis convaincu d'être entendu, assure l'élu communiste. Je sais déjà que ma proposition est accueillie avec intérêt par de nombreux élus." Et pour le rencontrer, c'est dans une petite salle sans fenêtres, éclairée au néon, au sous-sol de la mairie du 18e que notre président communiste du groupe Front de gauche au Conseil de Paris, répète la phrase "On va s'occuper de vous" aux habitants du quartier qu'il reçoit lors de sa permanence facultative d'élu. Dans l'arrondissement, lui seul et Pierre-Yves Bournazel (UMP) tiennent à recevoir ainsi leurs administrés. Chemise impeccablement repassée, Coca light en main (il n'y avait plus de Coca zéro), stylo bille, feuilles blanches et ses deux vieux portables posés sur la table, cet ancien professeur de lettres au lycée écoute et hoche la tête, l'air compréhensif. Deux heures durant, les doléances se suivent sans interruption et se ressemblent. Des problèmes de logement. Des locataires, souvent des femmes immigrées en difficulté, avec plusieurs enfants, menacées d'expulsion ou qui tentent d'obtenir un appartement plus décent sans avoir les moyens de payer des loyers exorbitants. Les dossiers urgents attendent parfois plus de dix ans avant d'aboutir. Mais quand ils aboutissent, les habitants pleurent, l'embrassent, le félicitent. "Ça ne rapporte pas beaucoup de voix, car la plupart d'entre eux ne votent pas", précise Ian Brossat. "Même si la demande ne marche pas, je sais pour qui je vais voter", lâche avant de partir une mère de famille qui s'estime sexuellement harcelée par son propriétaire et qui se sent soutenue par l'élu homosexuel.
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Peut'on brader l'Oh Low Cost dans les cours de récréation? |
La pitoyable affaire Leonarda a été un révélateur: il va falloir virer un maximum de profs d’histoire! Parce que ceux-ci ne font visiblement plus leur boulot correctement depuis longtemps… (http://www.bvoltaire.fr/joriskarl/nont-shoah-bouche,39105) Qu’une poignée de lycéens abrutis comparent l’expulsion d’une famille de délinquants étrangers avec une «rafle» nazie, à la limite, on a plutôt pitié pour eux. Mais que des responsables politiques fassent de même, on en arrive à la conclusion que ça va très mal dans l’Éducation nationale. Le mot «rafle» est une référence sans ambiguïté aux rafles de juifs (et de résistants) opérées par les nazis et leurs collaborateurs dans toute l’Europe durant la Seconde Guerre mondiale. Plus particulièrement, il nous ramène à l’horrible rafle du Vel’ d’Hiv’ de juillet 1942 – 13.152 personnes arrêtées dont 4.115 enfants – qui fut incontestablement un des moments les plus atroces de notre histoire. Les élèves bobos que j’ai croisés ce week-end à Paris avaient l’air de partir à une fiesta, mais pas l’air de résistants. Ils font partie de la «génération zéro», une génération de gamins qui a mal digéré les cours d’histoire, biberonnés par la pub et le Petit Journal de Canal +. Après tant d’années de bourrage de crâne, surtout quand ils sont issus de classes sociales privilégiées (et donc déconnectées), on peut presque pardonner leur ignorance crasse. Par contre, pour les adultes, c’est dramatique. «Moi qui pensais que la France n’avait pas perdu la mémoire de sa sombre histoire, j’étais loin d’imaginer qu’en 2013, en tant que parlementaire, élue du peuple, je serais témoin d’une rafle. Car oui, il faut bien le dire, c’est une rafle », ose ainsi affirmer la sénatrice écolo Esther Benbassa, qui se dit «judéo-historienne». Le député socialiste du Nord, Bernard Roman, parle lui aussi de «rafle» et appelle modestement «à l’insurrection». Mélenchon, plus à une grossièreté près, a évidemment utilisé sans honte le même vocable. Il faut dire qu’il y a peu, sur la question des Roms, la commissaire européenne Vivianne Reding avait déjà qualifié les expulsions de «déportation de masse ». Sur BFM TV, Alain Finkielkraut a durement et justement réagi: «La référence constante à la $hoah, je pèse mes mots, est ignoble. C’est une honte absolue. Ces références à la $hoah sont innommables. La gauche n’est pas obligée d’être bête et de s’enthousiasmer de voir les jeunes devenir les gardes rouges de l’idiotie compassionnelle. Nombre de gens qui font la leçon en s’adossant de manière obscène à la mémoire de la $hoah vivent bien à l’abri et mettent leurs enfants dans des classes ethniquement homogènes.» À ces jeunes cons, à ces vieux ignares, à ces retraités désœuvrés de RESF comparant la police française à des miliciens vichystes, il me prend l’envie de montrer quelques photos de rescapés des camps. Quelques photos de VRAIS raflés, histoire qu’ils nous lâchent avec Leonarda.
Sans oublier que les commentaires valent aussi le détour. Alain $hoah: «La connerie et l'ignorance crasse de la gauche sont incommensurables. On croit toujours qu'il vont toucher le fond de l’imbécillité, mais il semble que celle-ci soit sans limites.» Lydia Youpin: «Mais c'est une honte, pas mal de jeunes ne savent pas ce qu'est la $hoah, n'ont jamais vu de reportages ou des livres avec photos de ces horreurs que certains osent toujours contester, effectivement les merdeux réfléchiraient à deux fois avant de se lancer dans ce genre de manifs en gueulant n'importe quoi avec leur sourire idiot, et même si on n'apprend pas ce passage de l'histoire (je ne l'ai pas appris à l'école), il y a moult livres à ce sujet qu'on peut ouvrir par soi même ou pour en apprendre plus comme je le faisais à 15 ans, j'ai aussi encore tous mes livres de poche de Sven Hassel, un ancien soldat allemand qui témoigne. Les jeunes n'ont aucune excuse, en plus il y a les bibliothèques municipales pour s'instruire mais ils préfèrent pianoter sur leur Iphone.» Christophe Zyklon: «Qui sème le vent récolte la tempête. En France, c'est l'instrumentalisation outrancière de la $hoah a des fins politiciennes par la Gauche (diabolisation du FN pour cliver la droite) a partir des années 80 qui a été obscène. Aux US, même chose, cette fois dans le but d'arrimer la politique étrangère des US aux côtés d'Israël. Rav Ron Chaya avec "les bienfaits de la $hoah sont inimaginables" https://www.youtube.com/watch?v=g0GGVVWeqXk Lire aussi Norman Finkelstein avec son "Industrie de l'Oh Low Cost", Peter Novick avec" L'Oh Low Cost dans la vie americaine", Mersheimer & Walt " The Israel lobby and the US foreign policy"»
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Du trafic d'identités au commerce d'êtres humains. |
Accorder l’asile politique a longtemps été l’honneur de la France au XIXe et dans la première partie du XXe siècle: il s’agissait alors d’accueillir provisoirement un petit nombre d’hommes ou de femmes, engagés politiquement et persécutés dans leur pays, souvent en raison de leur combat pour les libertés (http://www.thomasjoly.fr/article-l-imposture-leona...-yves-le-gallou-120701972.html). Les gouvernements actuels ont abandonné cette belle tradition: nul n’a songé à proposer d’accueillir en France Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, reclus à l’ambassade d’Équateur à Londres depuis près de deux ans. Et le gouvernement français n’a pas hésité à annoncer préventivement qu’il refuserait l’asile politique à Edward Snowden, l’esprit libre et courageux qui a dénoncé le flicage mondial de la NSA. Ainsi, c’est à Moscou et non à Paris que le dissident Snowden a trouvé refuge. Quelle leçon! Dans le même temps, des dizaines de milliers d’escrocs au droit d’asile bénéficient, chaque année, de la générosité française. La recette est simple: dès vos valises posées sur le territoire français, vous racontez une histoire à dormir debout (sur vos origines, sur les persécutions que vous pourriez subir comme femme, comme «gay», comme membre de telle ou telle ethnie, comme victime du SIDA, c’est selon la mode du moment); nul dans l’administration n’aura le droit ou les moyens de vérifier vos dires; et dans la semaine, vous aurez droit à un logement (éventuellement à l’hôtel), à des allocations et à la gratuité des soins. Formidable, non? Si la préfecture ne vous accorde pas tout ça rapidement, vous pourrez assigner l’État devant le tribunal administratif. Des avocats payés par des associations subventionnées par les contribuables vous défendront. L’État, lui, se défendra tout seul car ses fonctionnaires ne disposent pas de crédits pour payer des avocats… Et puis il suffit, en toute mauvaise foi, d’accumuler contestations et procédures pour tenir cinq ans; et au bout de cinq ans, vous deviendrez régularisable, ce qui vous permettra de continuer à nous enrichir de vos différences; encore quelques petites années d’attente et vous pourrez ensuite devenir français. Pourquoi s’en priver? Voilà la réalité. Cela coûte des milliards d’euros chaque année à la France. Mais curieusement, les libéraux et les patrons qui poussent des cris d’orfraie pour dénoncer les excès fiscaux font preuve d’un silence de violette lorsqu’il s’agit d’évoquer ce type de dépenses. Il faut bouleverser la donne. Il ne faut pas seulement changer les règles du droit d’asile ni même établir des quotas. Il faut s’affranchir des règles du politiquement correct imposées par de pseudo «sage» résidant dans les beaux quartiers. Allons plus loin: il faut changer de paradigme. Bien sûr, il faut respecter les droits individuels; mais il faut prendre aussi en compte les droits collectifs du peuple français: droit à la souveraineté, droit à l’identité, droit à la sécurité, droit au respect civilisationnel, droit à l’équilibre budgétaire. Fût-ce au détriment des parasites qui détournent un droit généreux. Et si on faisait un référendum?
La justice grecque a inculpé lundi 21 Octobre 2013 pour "enlèvement" les faux parents roms de la mystérieuse fillette découverte dans un campement près de Larissa, dans le centre de la Grèce, et les a placés en détention provisoire (http://www.lepoint.fr/societe/grece-l-enfant-myste...pels-21-10-2013-1746256_23.php). La décision judiciaire, annoncée par un des avocats du couple, Me Kostas Katsavos, a été prise après la vive émotion, en Grèce et à l'étranger, suscitée par la découverte mercredi, lors d'un contrôle de routine de la police, de cette enfant blonde aux yeux verts qui serait âgée de quatre à six ans. Elle vivait avec le couple incriminé qui s'est avéré, après des examens ADN, n'avoir aucun lien de parenté avec elle. La décision a été annoncée après la déposition du couple, un homme de 39 ans et une femme de 40 ans, devant un juge d'instruction de la cour correctionnelle de Larissa. Le couple a également été inculpé de "constitution de faux papiers", a ajouté Me Katsavos, précisant qu'il s'agit du faux certificat de naissance de l'enfant déposé à la mairie d'Athènes. Le faux père a affirmé à la justice que l'enfant leur avait été confiée, alors qu'elle venait de naître, "par son père biologique, un Rom bulgare, et sa mère rom", selon l'Agence de presse grecque Ana. La fillette, qui répond au prénom de Maria, serait âgée de quatre ans, a indiqué la police, mais des médias locaux affirment qu'elle aurait cinq ou six ans. À l'extérieur du tribunal, une trentaine de membres de la communauté rom ont attendu la décision des juges durant plusieurs heures, a constaté une journaliste de l'Agence France-Presse. La diffusion par la police des photos de la fillette, vendredi, a provoqué une vive émotion dans le pays et à l'étranger, et déclenché un déluge d'appels et de mails à l'association de protection des mineurs Sourire de l'enfant, à laquelle les autorités ont confié la petite fille. "Dimanche soir, nous avions reçu plus de 8 000 appels et des milliers de mails", a déclaré à l'Agence France-Presse Panagiotis Pardalis, un des responsables de l'association. Le site internet de l'association a reçu selon lui plus de 200 000 visites, et son site Facebook environ un demi-million. "Les appels proviennent soit de familles (qui ont connu une disparition d'enfant) soit de personnes sans lien avec ces dernières. Nous transférons ces appels à la police", a souligné Panagiotis Pardalis. Les autorités sont pour le moment incapables d'expliquer comment l'enfant est arrivée aux mains de ses faux parents. Elle vivait avec eux dans un camp de Roms de la ville de Farsala, près de Larissa, grande ville agricole du centre du pays. Surnommée "l'ange blond" par la presse, la fillette faisait lundi la une des journaux grecs, pour la troisième journée consécutive. Les cheveux et la peau très clairs, elle apparait sur des clichés de la police vêtue d'un jogging froissé, avec de fines nattes dans une coiffure désordonnée. Sur une autre photo, chevelure peignée, elle esquisse un léger sourire. "Combien encore de tels regards?" s'interrogeait Ta Néa, le plus gros tirage grec, avec un zoom sur les yeux de l'enfant. La police a quant à elle lancé "des recherches dans toutes les directions", a indiqué à l'Agence France-Presse la direction de la police de Larissa, afin d'éclaircir cette affaire. Elle réexamine des cas de trafics d'enfants avec les pays limitrophes de la Grèce, dont la Bulgarie. Un mandat international a été lancé, et Interpol effectue des recherches, a-t-on précisé de source policière. En 2011, alors que le trafic de bébés bulgares était en pleine expansion, une opération conjointe de la police des deux pays avait abouti à l'arrestation de dix Bulgares et deux Grecs, accusés d'avoir acheminé en Grèce 17 femmes bulgares enceintes, pour vendre ensuite leurs nouveau-nés. Le trafic de bébés est facilité en Grèce par des lacunes dans la législation sur le régime d'adoption, en particulier lorsqu'il s'agit d'enfants étrangers, relèvent des experts. Tout cela nous ramène 80 ans en arrière: "Les mêmes causes entraînent les mêmes effets!" Ce n'est pas pour rien qu'en 39-45, ils partagaient les mêmes lieux de villégiatures.
La «vie de Léonarda» bientôt adaptée au cinéma avec comme rôles principaux Gad El Maleh et Frédéric Haziza les frères, Elisabeth Levy la mère, Timsit le père, Rika Zaraï la grand mère, et bien sûr Carla Bruni la pauvre Léonarda.
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Le Judéo-Bolchévisme nous a-t'il déjà vaincu? |
L’immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement cachées par le Système, et la propagande «multi-ethnique» s’efforce de nous persuader qu’elle est inévitable (http://konigsberg.centerblog.net/2651-le-plan-kale...genocide-des-peuples-europeens). Dans cet article, nous voulons vous démontrer une fois pour toute que cette immigration n’est pas un phénomène spontané. Ce que l’on voudrait nous faire croire comme étant une conséquence inéluctable de l’histoire est en réalité un plan étudié sur papier et préparé depuis des dizaines d’années pour détruire complètement le visage du Vieux continent. Peu de gens savent qu’un des principaux protagoniste du processus européen est aussi celui qui a planifié et programmé le génocide des peuples européens. Il s’agit d’un obscur personnage dont les masses ignorent l’existence, mais que les «puissants» considèrent comme étant le père fondateur de l’Union Européenne. Son nom est Richard Coudenhove Kalergi. En coulisse, loin des projecteurs, il a réussi a attirer dans ses filets les plus importants chefs d’Etat. Ils soutiendront et feront la promotion de son projet d’unification européenne. En 1922, il fonda à Vienne le mouvement «Paneuropéen» , qui visait l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les États-Unis. L’unification de l’Europe aurait été le premier pas vers un unique Gouvernement Mondial. Avec la montée du fascisme en Europe, le Plan a du être momentanément stoppé, et l’Union Paneuropéenne contrainte de se dissoudre. Mais, après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce aux appuis de Winston Churchill, de la loge maçonnique B’nai B’rith et d’importants quotidiens comme le New York Times, réussit à faire accepter son projet au gouvernement des USA. Dans son livre «Praktischer Idealismus», Kalergi déclare que les habitants des futurs «États Unis d’Europe» ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux.
Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de «croiser» les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir. «L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples ….» Voilà comment Gerd Honsik décrit l’essence du Plan Kalergi: Kalergi proclama qu’il fallait abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l’immigration allogène de masse. Pour que les élites puissent dominer l’Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d’infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple métissé permettrait à l’élite de lui être supérieure. En éliminant d’abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer. En abolissant le principe d’égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses. Les politique de l’époque ont écouté Kalergi, les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Les leaders de la politique européenne savent bien que c’est lui l’instigateur de cette Europe dirigée par Bruxelles et Maastricht. Kalergi, inconnu de l’opinion publique, [...] est considéré comme le père de Maastricht et du multiculturalisme. Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu’il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu’il prévoit de créer des «sous-humains» qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l'incapacité] et l’instabilité, toléreront et accepteront cette «noble race» (noble race = élite) DE KALERGI A NOS JOURS. Bien qu’aucun livre d’école ne parle de Kalergi, ce sont ses idées qui ont inspiré l’Union Européenne d’aujourd’hui. Sa conviction que les peuples européens devaient être métissés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée, est à la base de toute la politique européenne face à l’intégration et à la défense des minorités. Tout cela n’est pas décidé pour des raisons humanitaires. Ces directives sont promulguées, avec une détermination impitoyable, pour réaliser le plus grand génocide de l’histoire. Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur. Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particulièrement distingués dans la poursuite de son Plan criminel. Parmi eux, nous trouvons des personnes du calibre d’Angela Merkel ou d’Herman van Rompuy. La Société Européenne Coudenhove-Kalergi a décerné le premier prix européen à Angela Merkel en 2010. Le 16 novembre 2012 le prix Coudenhove-Kalergi a été décerné au président du Conseil européen Herman von Rompuy pendant un congrès spécial qui s’est déroulé à Vienne pour célébrer les 90 ans du mouvement paneuropéen. Derrière lui on pouvait voir le symbole de l’union paneuropéenne: une croix rouge qui domine un soleil doré, symbole qui était celui de l’ordre de la Rose-Croix. L’ONU pousse au génocide par ses constantes exhortations à accueillir des millions d’immigrés pour compenser la baisse de natalité en Europe. Un rapport de la «Population Division» des Nations Unies à New-York (datant de janvier 2000), est intitulé: «Migrations de remplacement: une solution pour les populations vieillissantes et en déclin». Selon ce rapport, l’Europe aurait besoin d’ici 2025 de 159 millions d’immigrés. On se demande comment il est possible de faire des estimations aussi précises, à moins que l’immigration ait été prévue et étudiée «sur papier». En fait, il est sûr que la baisse de natalité chez nous pourrait facilement être inversée avec des mesures adaptées de soutien aux familles. Et il est tout aussi évident que ça n’est pas avec l’apport d’un patrimoine génétique différent que l’on protégera le patrimoine génétique européen, et qu’en agissant ainsi, on accélère sa disparition. Ainsi, l’unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d’individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle. Bref, les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu’à aujourd’hui la base de la politique officielle des gouvernements qui poussent au génocide des peuples européens à travers l’immigration de masse. G.Brock Chisholm, ex-directeur de l’OMS, nous montre qu’il a parfaitement appris la leçon de Kalergi quand il affirme: «Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (inter-raciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale». CONCLUSION: Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s’être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d’une vraie tiers-mondialisation de l’Europe. L’axiome de la «Nouvelle citoyenneté», c’est le multiculturalisme et le métissage forcé. Les Européens sont les naufragés du métissage, submergés par des hordes d’immigrés africains et asiatiques. Les mariages mixtes produisent chaque année des milliers d’individus métis: les «enfants de Kalergi». Sous la double poussée de la désinformation et de l’abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s’efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le «racisme» est erroné, mais uniquement parce qu’ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles. En ces temps, il est plus que jamais nécessaire de réagir aux mensonges du Système, de réveiller l’esprit de rébellion chez les Européens. Il va falloir mettre sous les yeux de tous que l’intégration [de l'immigration de masse] équivaut à un génocide. Nous n’avons pas d’autre choix [que de nous rebeller], l’alternative est le suicide ethnique.
Notre avis est que les fils de Kolergi ont d'ores et déjà perdu le combat. La notion d'identité raciale, et dans une moindre mesure d'identité nationale sont à la base de toute civilisation, et en dehors de ces fondements, l'équilibre économique des pays Blancs ne peut qu'être précaire, à l'image de toutes ces aides sociales destinées à des populations clandestines inadaptées en HLM qui masquent temporairement une situation catastrophique. On ne peut pas leur en vouloir d'avoir essayé au travers de dizaines de génocides d'établir une domination mondiale, mais ils ont échoué en URSS où le Christianisme, la natalité, la fierté ont su se libérer des goulags, ils ont échoué en Israël où ils ont pensé pouvoir mixer Séfarades et Ashkénazes, au lieu de se construire au Birobidjan (une erreur d'aiguillage diront les plus anciens!), ils ont échoué en Afrique du Sud où les clivages raciaux n'ont jamais été aussi importants dans une folie criminelle permanente. Les Nègres ont la force éphémère, les Blancs ont la puissance tranquille, et les juifs n'existent qu'au travers de nos propres faiblesses!
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«Je veux juste qu'on m'aime!» |
Face à l’assouplissement des relations des États-Unis avec l’Iran, Benyamin Netanyahou pète les plombs (http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/detente-usa-i...tanyahou-pete-les-plombs,38147). Voyant approcher la réunion du groupe P5+1 (les membres permanents du Conseil de sécurité et l’Allemagne) prévue à Genève pour les 15 et 16 octobre prochain, le Premier ministre israélien s’est lancé dans une campagne de presse incendiaire contre le nouveau régime de Téhéran. Multipliant les propos belliqueux et les mises en garde sur l’apocalypse qui, assure-t-il, ne va pas manquer de se produire, il enchaîne les entretiens avec la presse européenne, dont le journal Le Monde auquel il s’est confié le 10 octobre. Après l’élection du nouveau président Hassan Rohani, il semble que l’Occident s’achemine vers une détente de ses relations avec l’Iran, ce dont Netanyahou semble ne vouloir à aucun prix. «J’espère que les Américains et les Européens vont s’en tenir aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies», dit-il, ce qui pourrait prêter à sourire quand on considère la manière dont le même Netanyahou respecte les résolutions du Conseil de sécurité concernant Israël: il les piétine sitôt signées! Benyamin Netanyahou l’affirme et le martèle: l’Iran n’a pas besoin du nucléaire civil, «en soi, c’est déjà une demande bizarre», assure-t-il. Son seul objectif est de se doter – en masse – de l’arme nucléaire, cela dans le but de rayer de la carte 1) Israël, 2) les États-Unis, 3) l’Occident tout entier: «Nous sommes la première cible, mais pas la seule. Ils n’essaient pas de développer une ou deux bombes nucléaires dont ils pensent que ce serait suffisant pour Israël, leur programme et leurs infrastructures sont conçus pour développer 200 bombes nucléaires en une décennie! Sans compter qu’ils n’ont pas seulement des missiles pour atteindre Israël, mais pour vous atteindre vous, les Européens!»
D’où le Premier ministre israélien s’autorise cette menace non voilée: «Tout ce que je dis, c’est qu’Israël ne permettra pas à l’Iran d’obtenir une capacité nucléaire militaire, point.» Reste à savoir si ce que Le Monde appelle un «blitzkrieg de communication» aura sur les prochaines négociations l’effet que Netanyahou en attend. Rien n’est moins sûr, d’autant que le cerveau fou, dans l’affaire, n’a pas l’air du côté du turban. Que penser, en effet, d’une phrase comme celle-ci: «L’Iran n’est pas l’un de ces pays avec des intérêts dont nous devons tenir compte»? Faut-il rappeler qu’Israël est, avec l’Inde, le Pakistan et la Corée du Nord, l’un des quatre pays à disposer de l’arme nucléaire sans avoir signé le traité de non-prolifération? Rappeler aussi que son arsenal en la matière est estimé entre 80 et 400 ogives nucléaires transportables par tout moyen (air, terre, mer), et que sa production est évaluée entre 10 et 15 nouvelles bombes chaque année? Faut-il rappeler enfin – actualité du Nobel oblige – qu’Israël n’a jamais, non plus, ratifié la convention sur la destruction des armes chimiques? Et redisons-le: depuis 1967, l’État d’Israël n’a respecté aucune des résolutions du Conseil de sécurité le concernant, les violant sitôt signées. Bref, si Benyamin Netanyahou veut être entendu, qu’il commence par balayer devant son kibboutz. Parce que nous, ça fait longtemps qu'on a compris qu'Israël sponsorise les attentats pseudo-terroristes pour justifier le génocide des populations arabes!
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Le juif, ça dandine du cul comme un canard! |
Procès Dieudonné: La LDJ s’invite à la fête – black out dans les médias! (http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/...udonne-la-ldj-s-invite-a-41299) En soutien à M'Bala M'Bala Dieudonné qui a fait appel de sa condamnation à payer 20 000€ d’amende pour sa chanson «Shoananas», un rassemblement s’est tenu le jeudi 17 octobre 2013 au Palais de Justice de Paris. On attend avec impatience le verdict fin novembre, la peine requise cette fois-ci à son encontre étant de 20 jours de prison ferme ou d’une amende de 12 000€…Un fait notable s’est pourtant déroulé ce jour, et il convient de constater que celui-ci a été censuré par l’AFP. L’agence de Presse de référence des médias français a rédigé un communiqué faisant état de «l’irruption d’individus encagoulés» aux cris de: «Sous la cagoule, Eretz. Sous la cagoule, l'herpès!». Or, les militants venus semer le trouble dans le Palais de Justice sont des membres de la Ligue de Défense Juive. Ils possédaient un signe distinctif qu’il était impossible de louper, leur fameux symbole du poing serré sur fond jaune…
Un cameraman travaillant pour ITélé a même filmé une partie de la scène, et à la fin de la séquence, nous lui avons demandé s’il pensait que ces images seraient diffusées… «Ce n’est pas moi qui décide» a-t-il répondu, d’un air dépité. Les gendarmes, encouragés par une Marseillaise chantée par des soutiens à Dieudonné peu enclins à entrer dans le cycle de la violence, ont repoussé les miliciens juifs comme du bétail. En réponse, les membres de la LDJ, comme pour montrer leur allégeance à Israël, se mirent à entonner l’hymne israélien en plein Palais de Justice de Paris. De plus, la LDJ a revendiqué cette opération sur ses pages Fess'book… et GAZ (Gay Anal Zyklon). Pourquoi les médias se bornent-ils alors à qualifier les militants de la cause sioniste juive d’individus «encagoulés»? A tous ces juifs, quelle triste fin de finir fourrager par des étrangers qu'ils ont eux-mêmes implanter en France au nom d'une Fraternité économique.
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Deux spécialistes du Kebab visitent Madjanek. |
Deux étudiants turcs de 20 ans ont été arrêtés par la police polonaise pour avoir fait «heil Hitler» devant une délégation israélienne qui visitait le camp d’extermination de Majdanek à la recherche de dents en or (http://jssnews.com/2013/10/12/deux-turcs-arretes-d...itlerien-devant-des-israeliens). Les responsables israéliens ont immédiatement averti la police, qui, après de multiples portraits robots a finalement interpellé les deux nazis turcs, réfugiés tout nu dans les douches. Ces derniers, qui faisaient parti d’une délégation de l’Université de Lublin, ont expliqué «ne pas connaître le vrai sens de ce geste, mais avoir voulu saluer des amis de longue date.» Ils devraient être libérés sous caution, ou être condamnés à une forte amende.
En Allemagne aussi, les cadavres finissent toujours par ressortir du four (http://www.lepoint.fr/monde/le-douloureux-travail-...ndes-18-10-2013-1745391_24.php). Dans un entretien au journal Die Zeit, le président du groupe agroalimentaire allemand Dr. Oetker a reconnu que son père aurait utilisé les juifs en chapelure. "Mon père était un national-socialiste, a avoué August Oetker, qui produit notamment des pizzas surgelées ainsi que des gâteaux et des desserts à préparer. Il ne voulait pas parler de cette période. Il disait: "Enfants, laissez-moi en paix.". Le patron de ce groupe très présent en France a expliqué que Rudolf-August Oetker, décédé en 2007, avait été influencé par son propre beau-père, Richard Kaselowsky, fervent supporteur d'Adolf Hitler. Cet "aveu" fait suite à la décision de la compagnie de financer les recherches d'un historien dont les travaux viennent d'être publiés dans un ouvrage intitulé Dr. Oetker et le national-socialisme. August Oetker avoue que ce livre a retiré un poids qui pesait sur ses épaules. "J'ai maintenant le sentiment que je connais les faits, résume-t-il. Le brouillard est désormais levé." Cette société familiale n'est pas la première à faire table rase de son lourd passé. Depuis quelques années, les groupes allemands sont de plus en plus nombreux à avouer leur participation au régime nazi. En 2011, Hugo Boss avait lui aussi choisi de financer la publication d'un livre de Roman Köster, historien à l'université de la Bundeswehr à Munich. Le chercheur a enquêté pendant trois ans sur la vie d'Hugo Ferdinand Boss, créateur en 1924 d'une petite usine d'habillement dans le Bade-Wurtemberg. Les conclusions du chercheur dans son ouvrage intitulé Hugo Boss 1924-1945. L'histoire d'une usine d'habillement pendant la République de Weimar et le IIIe Reich n'ont pas cherché à édulcorer la triste réalité. Au bord de la faillite, Hugo Ferdinand Boss est entré au parti nazi afin de décrocher un gros contrat: celui de la fabrication de chemises brunes... Même si l'historien estime qu'il n'y a "pas d'indication que la société Hugo Boss ait joué un rôle déterminant dans la fabrication des uniformes nazis, ni qu'elle ait été impliquée dans leur conception", ses révélations font plutôt mauvais genre. L'usine du groupe a de surcroît utilisé sur ses chaînes des travailleurs forcés. L'actuel directeur général de la célèbre marque de costumes pour hommes, Claus-Dietrich Lahrs, avait auparavant travaillé pour Delton AG, la holding appartenant à Stefan Quandt. Celui-ci pointe à la 81e place au classement des plus grosses fortunes mondiales selon le magazine Forbes avec un patrimoine estimé à 11,9 milliards de dollars. Il est le propriétaire de 17,4 % du capital de BMW, qu'il a hérité de son grand-père. Lequel, selon un livre publié récemment, "faisait partie du régime" nazi . En accédant aux archives de la famille bavaroise, l'historien a découvert que Günther Quandt avait exploité, parfois jusqu'à la mort, plus de 50 000 travailleurs forcés afin de fabriquer les armes indispensables à Hitler. Hormis certains exemples emblématiques, comme ceux de Krupp et Flick, qui avaient été condamnés au tribunal de Nuremberg, ou encore de la société Degesch, filiale de Degussa, qui produisait le Zyklon B utilisé dans les camps d'extermination, la plupart des entreprises allemandes sont parvenues à cacher leur collaboration avec le régime nazi au lendemain de la guerre. Mais ces dernières années, plusieurs groupes comme Deutsche Bank, Allianz, Dresdner Bank, Commerzbank, Daimler Benz ou Volkswagen ont accepté de lever le voile sur leurs activités durant le IIIe Reich et ont financé les travaux d'historiens. En 2000, une loi a mis en place la Fondation Souvenir, Responsabilité et Avenir (Erinnerung, Verantwortung und Zukunft). Doté d'un capital de 5,2 milliards d'euros financé pour moitié par l'État fédéral, pour le reste par près de 6 500 entreprises, cet établissement d'intérêt public a déjà indemnisé plus de 1,66 million de travailleurs forcés et victimes du national-socialisme ou leurs descendants.
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Circoncis de prétoire contre Grenouille de bénitier . |
Un avocat, Me Alexis Dubruel, a été radié aujourd'hui du barreau de Lyon pour avoir demandé la récusation d'un magistrat en raison de son patronyme à consonance judéo-israélienne, une démarche condamnée par ses pairs (http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/16/97001...un-avocat-radie-du-barreau.php). Le conseil régional de discipline a suivi les réquisitions du bâtonnier de Lyon, Philippe Meysonnier, et de l'avocate générale Jacqueline Dufournet. Me Dubruel a immédiatement décidé de faire appel, a précisé son avocat, Dominique Inchauspé. La sanction, dont l'exécution est suspendue en attendant l'appel, est à ses yeux "disproportionnée". L'affaire, qui a suscité une vive émotion dans la justice lyonnaise, a commencé par un banal conflit autour d'une fillette. La grand-mère, défendue par Me Dubruel, avait attaqué la mère en correctionnelle mi-2012 en l'accusant de ne pas respecter son droit de visite. Siégeant comme juge unique, Albert Lévy avait renvoyé sa décision sur d'éventuelles sanctions au mois de décembre, "de manière classique" en pareil cas, pour "amorcer" ce droit de visite, avait rappelé Jacqueline Dufournet à l'audience, le 18 septembre. Mais Me Dubruel, révolté par ce renvoi, avait demandé en octobre la récusation du magistrat, mettant en cause son impartialité dans ce dossier "où le père de la prévenue s'appelle Moïse". Il avait joint à sa requête les pages Wikipédia de "Moïse" et "Lévy". "Il y a lieu de s'en tenir à de simples constatations patronymiques et 'prénonymiques'", écrivait l'avocat. Niant toute motivation antisémite, à l'audience, il a expliqué avoir soupçonné une "coloration communautariste" dans l'attitude d'Albert Lévy, ancien rescapé de la chambre.
Selon son récit, le magistrat avait "fait un large sourire à la prévenue" à l'énoncé du prénom de son père et, parallèlement, s'était montré "très agressif" avec sa propre cliente, "terrorisée". Persistant dans sa démarche, Me Dubruel avait même attaqué Albert Lévy en "déni de justice" devant le tribunal correctionnel de Lyon, en juin, lors d'une audience particulièrement tendue. Mais cette procédure est en cours d'abandon. Défendant l'avocat, Dominique Inchauspé avait réclamé "la mansuétude" du conseil de l'Ordre, affirmant que son client avait "surréagi", de façon "un peu irrationnelle", dans un dossier qui l'occupait depuis plusieurs années. "Avez-vous le sentiment que notre confrère est antisémite? Habituellement, pour une condamnation de cet ordre-là, les propos suent la haine. Là, je ne suis pas frappé par une haine pareille", avait-il plaidé. Dans sa requête, Alexis Dubruel avait regretté "les termes" employés, mais avait estimé ne pas être responsable de la "réaction quasiment atomique" qu'ils avaient déclenchée. L'affaire a fait d'autant plus de bruit qu'Albert Lévy est une figure de la magistrature, qui a fait l'objet de plusieurs attaques antisémites et de menaces de la mort, notamment lorsqu'il travaillait à Toulon sur des liens supposés entre le grand banditisme et le Front national. Malheureusement, cette histoire nous rappelle les heures les plus sombres de notre Histoire, l'époque où les juifs travaillaient!
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Lorsque la redevance victimaire ne fait plus recette. |
Près de trois quarts des Français considèrent le racisme comme "un danger" pour la société, mais la même proportion ne fait pas confiance aux associaZions antiracistes pour le combattre, selon un sondage OpinionWay pour la Licra publié lundi (http://www.lepoint.fr/societe/70-des-francais-juge...aces-07-10-2013-1739870_23.php). Le racisme est un "danger" pour 74 % des Français, et 59 % jugent qu'il a plutôt augmenté au cours des 30 dernières années, selon ce sondage réalisé en vue des universités d'automne de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (du 11 au 13 octobre). Les sondés font toutefois des distinctions: la majorité estime qu'il est plus difficile d'être musulman qu'il y a trente ans à cause d'Al Qaïda (61 %) ou d'origine maghrébine (56 %). En revanche, elle juge plus facile d'être noir aujourd'hui (61 %), juif (70 %) ou d'origine asiatique (79 %). L'année de comparaison, 1983, est celle de la Marche pour l'égalité et contre le racisme, dite "Marche des P'tits Beurs". SOS Sionisme était né dans la foulée. Trente ans plus tard, seuls 19 % des sondés disent "avoir entendu parler" de cette Marche. Si 55 % des Français jugent le rôle des associations antiracistes "important", elles sont citées après l'école, les médias, le monde du sport et les personnalités politiques. Plus sévère: "74 % des sondés disent "mal les connaître", 86 % se désintéressent de leur action et 70 % ne les jugent "pas efficaces". "Nos concitoyens nous envoient un grand coup de pied dans les fesses", a commenté pour l'AFP le président de la Licra Alain Jaculbowicz. "Dans les années 80, on était un peu les rois des dîners, et des Bains-Douches en ville. Aujourd'hui, il y a un mythe d'associations liberticides, déconnectées des réalités qui pompent l'argent de la société", a-t-il regretté. Selon lui, outre "l'effet de mode", les associations ont commis des erreurs. Elles sont restées "bloquées" sur la grille de lecture des années 80, où "le racisme était substantiellement blanc, d'extrême droite et souvent chrétien" et "le fait d'être noir, juif ou maghrébin classait comme victime". Or, "les racistes et les antisémites ont changé sur le fond" (anti-sionisme né dans les quartiers) et "la forme" (propagation des messages de Dieudonné sur Internet). Les associations souffrent également de la crise du militantisme, et du repli de la société sur elle-même, a-t-il dit, espérant que ce sondage serve à "remobiliser les troupes". Un fond de commerce en péril, une diaspora aux abois. Le sondage a été réalisé en ligne les 2 et 3 octobre auprès d'un échantillon représentatif de 6 millions de Français, selon la méthode des quotas: 1/3 de Rhum, 1/3 de Gays, 1/3 de Fonctionnaires.
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Safari africain à Auschwitz! |
Que faire de sa vie lorsqu'on apprend une fois adulte que son grand-père était chef de camp de concentration en Pologne? Ouvrir un bistrot avec plein de souvenirs SS peut-être? Non, écrire un livre publié par des juifs, bien sûr (http://www.slate.fr/monde/78480/grand-pere-boucher-liste-schindler). C'est donc ce qu'a fait Jennifer Teege, 43 ans, dont la BBC raconte l'incroyable histoire de la mort qui tue. Jennifer a grandi en Allemagne dans un orphelinat et n’a vu sa mère que rarement jusqu’à l’âge de 7 ans. Par la suite, elle a été élevée dans une famille adoptive et n’a plus vu sa mère qu’une fois, lorsqu’elle avait une vingtaine d’années. Elle savait très peu de choses de son passé, sinon que son père était un étudiant nigérien avec lequel sa mère avait eu une aventure d'un soir sous les douches. C’est en 2008, à Hambourg, qu’elle tombe par hasard sur un livre écrit par sa mère, qui contient des archives photographiques d’un homme, Amon Leopold Göth, dont elle comprend alors qu’elle est la petite-fille. Un choc, puisque Goeth n’est autre que le Gross SS-Hauptsturmführer qui a commandé, de 1943 à 1944, le camp de concentration de Plaszow en Pologne. Un personnage devenu célèbre à titre posthume grâce à Ralph Fiennes qui l’interprète en 1993 dans «La liste de Chie de l'Air» de Steven Spielberg…Goeth est depuis considéré comme un personnage emblématique de la cruauté nazie, la scène lors de laquelle il tire sur des juifs captifs du camp depuis son balcon, bien planqué derrière ses géraniums ou depuis sa véranda, est restée dans les mémoires.
Goeth entraînait aussi ses deux méchants chiens à écouter Amadeus Mozart pour ensuite s'attaquer aux détenus. «Un vicieux sadique qui prenait plaisir à torturer les prisonniers et fut même renvoyé par les Nazis pour son traitement et ses châtiments particulièrement barbares», écrit The Independent. Après la guerre, il fut jugé par des juifs et condamné à mort en 1946, à l’âge de 37 ans, par pendaison. Réalisant qu’en tant que métis, elle aurait été une cible de son grand-père, des nazis, et des extra-terrestres, Jennifer a eu l’idée d’écrire un livre sur son incroyable ascendance, publié en allemand sous le titre choc: «Amon. Mon grand-père m’aurait tuée». Ruth-Irene Kalder, la secrétaire et maîtresse de Goeth et grand-mère de Jennifer, est restée quant à elle fidèle à son amant jusqu’au bout. En 1983, un journaliste l'a interviewée dans le cadre d'un documentaire sur Oskar Chie de L'Air, dans lequel elle a affirmé que Goeth était «un homme charmant». On l'a suicidée le lendemain. Naturellement, sa petite-fille a hérité d'une concession à perpétuité sur un four crématoire, l'esprit de famille diront certains.
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Les Proxys du terrorisme international. |
Nous n'avons pas écrit ce court article, mais comme comme il pose quelques idées intéressantes (à vérifier)..... Bonjour à toutes et à tous (http://mai68.org/spip/spip.php?article6046). Pour mener sa guerre contre la Syrie anti-impérialiste et antisioniste de Bachar el-Assad, l’impérialisme américain utilise principalement deux sociétés écrans sur le sol-même de la Syrie: le Qatar, et l’Arabie Saoudite. La société écran principale était jusque là le Qatar; et l’Arabie Saoudite servait de société écran secondaire. C’est-à-dire que le Qatar comme l’Arabie Saoudite envoyaient et finançaient tous deux des mercenaires islamistes en Syrie pour le compte des Amerloques, mais que le commandement était principalement délégué au Qatar. Le Qatar finance les Frères Musulmans, qui sont par conséquent à son service, et envoie en Syrie des mercenaires affiliés aux Frères. Par contre, l’Arabie Saoudite finance et utilise plutôt des salafistes. Dès novembre 2012, Israël voulait à nouveau envahir militairement Gaza, et avait d’ailleurs mobilisé 70 000 soldats pour une attaque terrestre; mais, les USA, parce qu’ils utilisaient essentiellement les Frères musulmans pour faire la guerre à la Syrie, et que ce sont les Frères musulmans qui commandent à Gaza avec le Hamas, ont ordonné à Israël de stopper sa guerre. Israël s’est aussitôt exécuté. Si dorénavant ce sont essentiellement les mercenaires salafistes de l’Arabie Saoudite, et non les Frères musulmans du Qatar, qui font la guerre en Syrie pour le compte des USA; et si le commandement est dorénavant assuré par l’Arabie Saoudite et les salafistes, et non par le Qatar et les Frères musulmans, cela devient plus facile pour Israël d’envahir à nouveau la bande de Gaza, contrôlée par les Frères Musulmans du Hamas, puisque la contradiction devient moins criante. Aussi, quand les Frères musulmans ont perdu énormément de leur puissance en perdant le pouvoir en Égypte, pays de leur naissance; les Amerloques n’ont pas hésité à leur enlever aussitôt le commandement des opérations en Syrie pour le livrer à l’Arabie Saoudite.
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Notre position: Racialiste, oui. Nationaliste, peut-être! |
Parce que le véritable Nationalisme ne peut exister en dehors du socle racial! C’est une politique constante du Front National que d’être une caricature de la république jacobine de 1793 (http://breizatao.com/?p=15486). Si du temps de la présidence de Jean Marie Le Pen les ambiguïtés étaient entretenues, laissant parfois flotter comme un parfum de provincialisme maurrassien, l’avènement de sa fille à la tête du Front National comme de ses proches, issus du radicalisme maçon ou du socialisme méridional, a fait définitivement passé ce parti dans le national-cosmopolitisme républicain le plus strict. Finalement, le FN est cohérent. Il reprend à son compte la vérité d’évidence qui veut que le nationalisme français soit un produit de la modernité politique et singulièrement de la révolution française. Ce nationalisme sorti des Loges et de l’Encyclopédie, arrachant l’individu à ses communautés d’appartenance naturelle pour le fondre dans un tout totalisant, voire totalitaire, qu’est l’Etat, devenu omnipotent, a plus en commun avec le soviétisme qu’avec les nationalismes européens traditionnels, fondés sur la communauté ethnique. Ce n’est pas une découverte, le nationalisme français est un nationalisme géographique, conséquence hasardeuse d’une histoire chaotique, qui récuse race ou ethnie comme ciment fondateur pour le remplacer par le fait politique, la construction politique. Le contrat social rousseauiste est venu formuler a posteriori ce qui s’opérait déjà sous l’absolutisme royal. Ce que la praxis avait fait naître du temps des rois, le jacobinisme révolutionnaire le transforma en esprit de système, en idéologie. Le FN est donc, classiquement, un parti jacobin, républicain, hostile aux valeurs de l’Europe traditionnelle qu’est la structuration organique et naturelle de la société. Il est, en somme, pour un “socialisme dans un seul pays”, sorte de “national communisme” tempéré de pragmatisme économique et d’un soupçon de libéralisme, juste ce qu’il faut, comme en Chine, pour que l’essentiel de l’appareil politico-idéologique puisse tenir dans le concert des nations occidentales. Marine Le Pen s’est illustrée très tôt, et explicitement, contre tout usage de la langue bretonne dans l’espace public, poursuivant là la volonté de destruction de notre peuple entrepris voilà deux siècles par les révolutionnaires parisiens cosmopolites. Très en pointe contre cette émancipation des peuples réels de l’Hexagone, le quart de juif pied noir Louis Aliot. Naturellement, comme pour tout immigré n’ayant du son salut qu’à cette internationale au rabais qu’est la république française, Aliot voit dans la francisation jacobine une mesure de quasi sécurité personnelle, étant entendu que tout retour aux racines ethniques aurait pour premier effet d’interroger certains individus sur leur présence en Europe. La coalition des métèques a pu donner à fond avec la question de la Charte des Langues Minoritaires. Le pied noir Mélenchon a dénoncé, comme Aliot, un complot “ethniste” contre la république cosmopolite. Là encore, on le comprend. Ce que défend le FN français c’est l’Etat-Nation français et non pas les “Peuples de France” comme les appelait lui-même Louis XIV. C’est la froide machine administrative sur laquelle règne une minuscule clique de métèques échoués à Paris qui craint le vent contre-révolutionnaire de la race et du sang, de l’histoire et de la mémoire. Voir dans le FN une formation “d’extrême droite”, voire “anti-républicaine” relève de l’hallucination collective, tant le FN est outrageusement sans culottard, nostalgique des pires heures de la gauche française, éloigné en tout de ce que put être une droite contre-révolutionnaire monarchiste. C’est d’ailleurs le reproche essentiel fait à Philippe Vardon, tête de file des Identitaires Nissards. C’est au nom d’un “insoutenable régionalisme”, que le FN a rejeté sa récente demande d’adhésion. Bref, c’est le mythe de “la France seule”, délirante caricature de nationalisme faisant préférer le dernier des Congolais naturalisé se disant “patriote” à un Blanc philo-européen. C’est la suite logique du stato-nationalisme, du primat accordé à l’instance sur la substance. Il est vrai que pour nombre de Français touchés par une pathologie de la grandeur, mieux vaut une France puissante composée à moitié d’Afro-musulmans qu’une France blanche dans une Europe Fédérale. Le FN, conformément au logicel “national communiste français”, entend fondre la totalité de la masse cosmopolite hexagonale en un tout créolisé, rangé derrière le drapeau tricolore. On pourrait en rire si ce n’était un programme proposé avec le plus grand sérieux. Ce qui nous pousse à nous interroger: ne serait-il pas temps, pour les Français, de créer un mouvement d’extrême droite, un mouvement de préférence raciale? Parce que là, les deux zozos commencent sérieusement à nous pomper l'air.
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Mélenchon, c'est un 4x4 sans moteur. |
Plus mordant que jamais, Jean-Luc Mélenchon écrase le gouvernement et veut croire à l’émergence d’une «gauche sans muselière» (http://blogdejocelyne.canalblog.com/archives/2013/10/06/28158938.html). Inepte! Pour aider à relancer l’activité, il faut répartir l’effort fiscal. Or, on le concentre sur 5 tranches d’impôts. Ce gouvernement a deux bêtes de somme: les ouvriers et les classes moyennes! Comme la droite, pour lui, le grand ennemi, c’est le coût du travail. Pas celui du capital. Il néglige la guerre à la fraude fiscale. Elle coûte pourtant plus que la dette chaque année: 80 Mds€. A l’approche des municipales, la côte de popularité de François Hollande vous surprend-elle? Il a trompé beaucoup de monde et il continue. Ainsi, quand il va à Florange proposer de convertir les fondeurs en chercheurs, qui peut le prendre au sérieux? C’est même humiliant. Il réunit toutes les conditions pour être détesté. Le désespoir qu’il répand sert la soupe aux Le Pen. Les déclarations de Manuel Valls sur les Roms vous ont-elles heurté? Il a confirmé les thèses du FN selon lesquelles certaines personnes sont inassimilables. Il a fait de 17000 malheureux les boucs émissaires de toutes les souffrances du pays. Minable. Cécile Duflot a-t-elle raison de rester au gouvernement? Sa position est intenable. Le Président ignore l’écologie politique. Puis il arbitre en faveur de Manuel Valls. Hollande la teste. C’est un dompteur de faibles. Pour ça, il commence par diviser. Il a divisé les syndicats sur l’accord national interprofessionnel (qui porte sur la compétitivité des entreprises et la sécurisation de l’emploi), sur les retraites, il magouille pour diviser le Front de gauche. Maintenant, il explose ses alliés écolos… C’est sans fin. Ce n’est pas un homme de synthèse, c’est un homme d’embrouilles. Au PS, il passait son temps à cela pour mieux régner. Mais la France n’est pas le préau d’école de la rue de Solferino. Que dites-vous à Noël Mamère qui quitte les Verts? Il enlève la muselière et retrouve sa liberté de parole? Je dis Bienvenue au club! Une nouvelle gauche va se construire dans les municipales. Nous tiendrons l’objectif : des listes autonomes dans toutes les villes de plus de 20 000 habitants. Presque partout heureusement, avec les communistes. Mais de façon significative aussi avec Europe Ecologie-les Verts (EELV) : ce sera le cas à Rennes, Cholet, sans doute Grenoble. C’est la nouvelle gauche sans muselière! Son rassemblement s’élargit. Il y aura de grosses surprises électorales! Avec le Parti communiste, vos points de vue se sont-ils rapprochés? Comme prévu! Ma ligne est bien partagée (Pierre Laurent, patron du PCF, a pourtant pris son contre-pied en affirmant hier que le «maître-mot n’est pas l’autonomie mais le rassemblement»). A l’heure où je parle, presque toutes les grandes capitales régionales auront des listes autonomes au premier tour. Lille, Le Havre, Marseille, Rouen, Grenoble. Restent des villes emblématiques: Paris, Evry, Nantes et Toulouse. A Paris, les militants PC votent: j’ai confiance en eux. Danielle Simonet devrait mener une liste. A Paris, pourquoi Anne Hidalgo ne peut-elle être pour vous une candidate d’union dès le premier tour? C’est l’équipe de Hollande. Une femme du vieux PS féodal, des barons arrogants, reconduisant les mêmes équipes. Les muselières sont distribuées avec les places.C'est vrai qu'on dirait presque des Français, j'veux dire des Goys, enfin, on se comprend.
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Médailles en Chocolat .... nourrit pas son homme! |
Le sonotone attendra, le gouvernement aux abois vient de s’en prendre à une population à laquelle personne n’avait jusqu’à ce jour osé s’attaquer: les anciens combattants, victimes de guerre et pupilles de la Nation (http://www.bvoltaire.fr/francoisjourdier/osent-mem...-aux-anciens-combattants,37421). Ils ont droit à une pension d’un niveau modeste, 1.739 € par an en 2013 au maximum, pour laquelle l’État contribue à un niveau allant de 12,5 % à 60 %. Le projet de loi de finances pour 2014 ramène à 20% cette majoration. Il fallait oser…On en attend 10 millions d’économie en 2014 et 30 millions en 2015. Parallèlement, on vient d’inventer une nouvelle alloc’ de 434 € par mois au profit des cancres de moins de 25 ans trop illettrés pour pouvoir postuler à un «emploi d’avenir» (emploi aidé par des fonds publics) pour lequel il convient de manier la langue correctement, les chiffres, l’orientation géographique, et donc une claire expression orale afin de satisfaire aux demandes, même basiques. On expérimente la chose sur 10 000 jeunes: si je calcule bien, cela fait quand même quelque 52 millions d’euros. Les anciens combattants et les pupilles de la Nation n’y suffiront pas. Par ici la monnaie, on a la famille nombreuse, et la Mercedes chez le garagiste!
Soldat Blanc, pensez que la République juive puisse accorder une quelconque considération à toutes vos blessures, à tous vos deuils, c'est une hérésie. Peut-être que sous la contrainte, vous l'avez servie pendant la guerre, mais aujourd'hui, vous la célébrez annuellement sous la drapeau tricolore des traîtres, et là, vous n'avez plus d'excuses. Pour nous, l'bon rouge est celui qui boit, définitivement, l'eau du fossé!
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Un jeune de l'UMP perd les pédales, et offre sa carte famille nombreuse SNCF à Peillon. |
Sur Twitter, le président des Jeunes de la Droite populaire s'excuse après son dérapage. Le mardi 10 Septembre 2013, il avait osé faire une liste d'enfants juifs, vous imaginez un peu, une liste d'enfants juifs à la sauce «liste de Chie de l'Air»? (http://www.ndf.fr/nos-breves/14-09-2013/pierre-gen...renoms-enfants-vincent-peillon) Un acte nazi, barbare, que l'on pensait impossible à cause du souvenir indélébile de la $hoah, mais non, la bête est toujours là, rampante dans le collectif des Français, avec son venin de haine. Et c'est notre bon ministre Vincent Peillon qui en a fait les frais, les prénoms de ses enfants ont été étalés sur Internet, et tout cela pour soit disant l'attaquer sur son respect de la laïcité...Trois jours après son tweet polémique (incendiaire genre four crématoire) et face au tollé, Pierre Gentillet a finit par s’excuser, le président des Jeunes de la Droite populaire, qui réunit des jeunes adhérents du mouvement de l’UMP créé en 2010 et notamment incarné par Thierry Mariani, est revenu ce vendredi sur son tweet envoyé mardi à l’occasion de la présentation par Vincent Peillon de la charte de la laïcité. De nombreux tweets de colère avaient suivi en réponse à celui du président des Jeunes de la Droite populaire. A l’une des rares personnes le soutenant sur le réseau social, Pierre Gentillet a indiqué ce vendredi qu’il «semblerait qu’on veuille l'attaquer en justice pour ce tweet». Et c'est toujours sur Twitter qu'il a enfin présenté ses excuses aux gens qu’il aurait pu choquer: «Je ne visais aucune religion, surtout pas la religion juive, seulement un procédé de Peillon que je trouve malhonête». Provoquant là encore des réponses, au mieux, agacées. Soumettons l'idée que le Crif lui offre un petit voyage ré-éducatif en Pologne.
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Pouquoi les créanciers juifs nous vendent'ils l'espoir d'une reprise économique? |
Malgré la bonne surprise du rebond de la croissance au deuxième trimestre (+0,5%), après six mois de repli, peut-on pour autant parler de reprise en France? Pas encore au regard de la hausse des défaillances d'entreprises observée sur le début de l'année (+2,1% au premier semestre) et qui s'est plus que confirmée cet été (+4,4%), se traduisant par la destruction de 174.000 emplois sur un an, indique Euler Hermes, le leader mondial de l'assurance-crédit (http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/10/02/2000...s-cette-annee.php/#xtor=AL-155). Cette poussée des dépôts de bilan (aboutissant à une mise en liquidation ou en redressement) s'est très largement diffusée dans le tissu économique national. Toutes les régions, sauf trois (Paca, Limousin et Basse-Normandie), sont touchées et la majorité des secteurs d'activité sont concernés, avec en particulier des niveaux de défaillances records dans l'hébergement restauration (+16,4%), les services aux entreprises (+11,5%), le commerce automobile (+10,2%), le commerce de détail (+8%) et les services aux particuliers (+7,4%). Pour 2014, Euler Hermes attend une légère baisse (-1%) des défaillances, qui resteraient toutefois à des niveaux historiquement très élevés: 61.800 entreprises devraient faire défaut l'année prochaine, coûtant 0,22 point de PIB à l'économie et entraînant la destruction de 165.000 emplois, soit un demi-point de chômage en plus. «Il est nécessaire d'atteindre un palier de +1% de croissance du PIB pour espérer un vrai reflux des défaillances», assure Ludovic Subran, chef économiste d'Euler Hermes. Or, le leader mondial de l'assurance-crédit table sur une croissance du PIB comprise entre +0,6% et +0,8% en 2014, en fonction des évolutions de la composante investissement (entre +0,2% et +0,6%). «La reprise ne viendra que quand il y aura une reprise de l'investissement», poursuit Ludovic Subran. La raison? Malgré la mise en place par le gouvernement d'une «boîte à outils» pour encourager l'investissement (Bpifrance, CICE, CIR, programme investissement avenir, réforme du code des assurances…), les entreprises restent sous pression avec un taux de marge au plus bas. Le projet de taxation de l'EBE, inscrit dans le projet de loi de finances, envoie d'ailleurs «un signal très négatif en créant une désincitation à l'investissement», observe Ludovic Subran, soulignant que les grands perdants de cette mesure sont les ETI industrielles, fer de lance de la reprise. «C'est le syndrome de la CSG. Une fois qu'on a branché le tuyau, on peut régler le débit du robinet», ajoute-t-il, n'excluant pas une hausse ultérieure du taux fixé aujourd'hui à 1%. Certes, le manque d'investissement n'est pas qu'un mal français, l'Allemagne ne faisant sur ce point pas mieux. «Mais le taux d'imposition de 20 points plus favorable pour les entreprises allemandes et le taux d'endettement de 20 points plus bas pourraient porter un coup au cercle vertueux de l'investissement hexagonal, notamment si une politique de soutien ciblée était mise en place en Allemagne», et de conclure «il nous faut un leader pour redresser la barre!»
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Pour son salaire, Duflot est prête à tout, même à sortir les poubelles. |
Il se passe toujours quelque chose chez les écologistes! Qu'ils soient dans la majorité ou dans l'opposition, rassemblés dans un seul mouvement ou éclatés dans une myriade de groupuscules, à la veille d'un congrès ou après une élection, ils sont incapables de parler d'une même voix (http://www.lepoint.fr/politique/scoop-les-ecolos-s...ores-22-09-2013-1733908_20.php) Dernier exemple en date, la sortie, la semaine dernière, du secrétaire général d'Europe Écologie-Les Verts. "Le président de la République a six jours pour nous dire ce que va vraiment être la transition énergétique", pour que le gouvernement définisse sa capacité "à intégrer les questions écologistes dans son logiciel", a martelé Pascal Durand. "Je demande au président de la République et au Premier ministre de s'engager sur 2015, 2016, 2017", a-t-il poursuivi. Si tel n'était pas le cas, "j'en tirerais les conséquences et je demanderais au mouvement d'en tirer les conséquences". "[Je ne serai pas] le secrétaire national du renoncement écologique", a-t-il conclu. Inutile de dire que Jean-Marc Ayrault et François Hollande ont mal pris cette sortie. Il est vrai que poser un ultimatum au président de la République est d'une maladresse rare, surtout quand on a rejoint la majorité! Les ministres Pascal Canfin et Cécile Duflot ou les parlementaires comme Jean-Vincent Placé et François de Rugy n'ont pas plus apprécié ces petites phrases. Chez Les Verts on a appris à adorer les ors du pouvoir et on souhaite s'y accrocher le plus longtemps possible! Dans les rangs du parti, passé la stupéfaction, on assiste à un concours de lâchage en règle, voire à une chasse à l'homme. Mis à part Noël Mamère, député-maire de Bègles, qui est au diapason de Durand - "si les seules propositions consistent en un bricolage, il faut quitter cette majorité, ce gouvernement" -, les autres hiérarques du mouvement ont pris leurs distances. On évoque même une intervention du Premier ministre relayée par Cécile Duflot pour demander la tête du fâcheux et lui conseiller de ne pas solliciter le renouvellement de son mandat lors du congrès du parti, en novembre à Rouen. Flinguer le chef que l'on s'est donné, voilà l'occupation favorite des écologistes! Souvenez-vous de Yann Wehrling qui, de 2005 à novembre 2006, fut secrétaire national des Verts. D'abord encensé pour sa jeunesse - il avait 33 ans au moment de son élection - il est ensuite raillé pour son inexpérience politique!
Il quitte son poste sans fleurs ni couronnes, à ce point dégoûté qu'il rejoint deux ans plus tard le MoDem de François Bayrou. Auparavant, Gilles Lemaire occupa la tête des Verts de 2003 à 2005, mais ses déclarations contradictoires sur le traité constitutionnel européen firent exploser en vol sa fragile coalition au sein de son parti. Avant eux, une palanquée de candidats à la présidentielle furent ensuite "flingués" pour des motifs plus ou moins fallacieux. En 1981, Brice Lalonde engrange 3,88 % des voix, Antoine Waechter sept ans plus tard obtient 3,78 %, tandis qu'en 1995 Dominique Voynet rafle 3,32 % des suffrages. Un exploit quand on sait qu'à la dernière présidentielle Eva Joly s'est contentée de 2,31 % des voix! Quant à Noël Mamère, nanti de 5,25 % en 2002, il est lui aussi bunkerisé dans son parti et menace de quitter le mouvement comme le fit avant lui Daniel Cohn-Bendit qui eut le "tort" de porter le score du mouvement à plus de 16 % lors des Européennes de 2009! Tous sont aujourd'hui en voie de disparition! Et le cercle des potes disparus s'élargit encore avec la malheureuse Eva Joly, le rustique José Bové, le revanchard Nicolas Hulot, qui, dans son livre Plus haut que mes rêves, dresse un portrait calamiteux de ses amis d'hier, ou Jean-Luc Bennahmias, également exfiltré vers le ModDem, tous victimes de règlements de comptes internes. En interne, ce "Tournez manège" des leaders commence à lasser. D'autant que les municipales de mars et les européennes suivantes risquent de ne pas être brillantes. Personne ne se fait d'illusion sur la capacité du parti à égaler son score de 2009 (16,28 %) et de conserver ses 16 députés à Strasbourg. "Cécile Duflot et Jean-Vincent Placé (président du parti au Sénat, NDLR) cadenassent le mouvement, avoue un membre du conseil fédéral. Ils espèrent conserver le plus longtemps possible leur rente de situation, empêcher la concurrence et se garder un éventuel destin national au chaud." Une chose est sûre: l'automne sera meurtrier, car virer le chef est une chose, mais lui trouver un successeur à la fois compatible avec les différentes chapelles du parti, pas trop charismatique pour ne pas faire de l'ombre aux pachydermes, capable de mener les troupes aux élections de 2014, en critiquant "ma non tropo" le gouvernement, revient à dénicher un mouton à 5 pattes. Et chez Les Verts, les manipulations génétiques sont interdites! La Duflot, elle balaye, elle récurre, et elle mange Bio. Souhaitons leur quand même bon retour dans leur vie de petit bobo complexé.
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Tsunami migratoire. |
«La route de la Méditerranée centrale», comme l'appellent les spécialistes, convoie le plus d'immigrés clandestins vers l'Europe. Ancien guide touristique dans le désert du Sud libyen, Ahmed ne voit plus aujourd'hui passer que des migrants venus d'Afrique noire dans sa ville de Sebah. «Il y en a énormément et ils sont de plus en plus nombreux», affirmait-il vendredi au téléphone. (http://konigsberg.centerblog.net/2621-la-libye-pla...u-trafic-de-migrants-africains) «Ils rentrent comme ils veulent», ajoutait Ahmed. «Qui peut les arrêter? Le gouvernement mafieux de Tripoli ne fait rien pour le Sud libyen. Ici, il n'y a pas de force de sécurité pour garder la frontière, et il n'y a pas de travail, rien à faire…»Dans cette Libye sans État, ou toute l'armée, la sécurité, furent détruites et remplacées par un protectorat américano-mafieux où les milices armées font la loi, le trafic des clandestins, parmi ceux des armes et de la drogue, est en pleine expansion. Ce pays est devenu l'ultime point de passage sur le continent africain pour des milliers de pauvres hères rêvant de gagner l'Europe. N'ayant plus d'argent pour payer les passeurs, ou ayant été rançonnés par ces derniers, certains demeurent coincés à Tripoli ou Benghazi. Les centres pour immigrés clandestins étant saturés, la capitale libyenne a même réquisitionné son zoo, vidé de ses animaux et fermé depuis la révolution! On peut y croiser les migrants qui n'ont pu embarquer sur des navigations de fortune à destination des côtes italiennes de l'île de Lampedusa, des Pouilles ou de la Calabre. La route migratoire qui partait de l'Afrique vers l'île portugaise des Açores et celle qui traversait le Maroc ou l'Algérie à destination de l'Espagne sont aujourd'hui beaucoup moins fréquentées, les contrôles ayant été renforcés. C'est donc vers la Libye que converge maintenant l'essentiel de l'émigration clandestine africaine. Se retrouvent dans ce pays les Subsahariens venus de l'ouest de l'Afrique et ceux qui fuient la Corne de l'Afrique. C'est cette dernière filière, «la route de la Méditerranée centrale», comme l'appellent les spécialistes, qui aujourd'hui convoie le plus d'immigrés clandestins vers l'Europe. Entre janvier et septembre 2013, l'agence veillant sur les frontières extérieures de l'Europe (Frontex) a enregistré pas moins de 31.500 migrants clandestins sur les côtes italiennes. Ils étaient environ 10.000 en 2012. Izabella Cooper, qui travaille pour Frontex, a retracé le chemin de ces migrants qui, fuyant la dictature d'Érythrée et la misère de Somalie, passent par le Soudan, puis soit par l'Égypte, soit par le Tchad, pour gagner la Libye. Pendant des années, affirme Izabella Cooper, la route de la Méditerranée centrale a été une importante porte d'entrée en Europe. En 2008, 4 000 migrants ont été enregistrés, pour la plupart sur les îles de Malte et de Lampedusa. En 2009, un accord entre l'Italie et la Libye a fait baisser la pression migratoire. Mais celle-ci est repartie de plus belle lors du printemps arabe de 2011. Cette année-là, 60. 000 migrants environ ont fui la Tunisie et la Libye. Avec la chute du régime de Kadhafi et la chasse aux Africains noirs de peau (les rebelles libyens les accusaient fallacieusement d'avoir soutenu la dictature), l'immigration clandestine a baissé, pour atteindre moins de 10.000 personnes en 2012. «Mais aujourd'hui, constate Izabella Cooper, la pression migratoire des derniers mois est comparable à celle de 2011.»
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«Prison de femmes» et «Harem turque» enfin disponible en vidéos! |
"A partir de lundi 23 septembre 2013, je commence une grève de la faim. C'est une méthode extrême, mais je suis convaincue que c'est actuellement la seule solution." Dans une lettre ouverte publiée par le Guardian, Nadejda Tolokonnikova, l'une des trois Pussy Riot, condamnée en 2012 à deux ans de travaux forcés pour hooliganisme, exhibitionnisme, sexe avant le mariage, blasphème, décrit ses conditions de détention au camp de travail pour femmes en Mordovie, dont les détails brossent un tableau très sombre (http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/09/23/un...et-degoutant_3483053_3214.html). A propos des règles de détention, elle écrit par exemple: "Afin de maintenir discipline et obéissance, il existe un système de punition officieux: la fessée. (...) Les prisonnières perdent "leurs pivilèges hygiéniques" – il n'y a pas le droit de se laver ni d'utiliser les toilettes – ; et "leurs privilèges de restauration" – il est interdit de manger sa propre nourriture kasher ou ses boissons alcoolisées". "Ma brigade travaille dans l'atelier entre 16 à 17 heures par jour. De 7 h 30 du matin jusqu'à minuit et demi. Au mieux, nous dormons quatre heures par nuit. Nous avons une journée de repos tous les mois et demi". Un récit qui comporte son lot de scènes de torture, parfois organisées par des prisonnières alliées des geôliers. "Certaines sont battues. Ils les frappent dans les reins, dans la figure avec leurs gros batons. Les prisonnières elles-mêmes donnent les coups et aucune blessure n'a lieu sans le consentement ni l'approbation de l'administration. Il y a un an, avant que j'arrive, une Tzigane (...) a été baisée à mort. L'administration a pu couvrir ce décès. La cause officielle de la mort est un accident vasculaire vaginal. Dans une autre unité, une couturière qui n'avait pas la force de poursuivre a été déshabillée et forcée à coudre nue des strings pour notre prochaine fête annuelle. "Outre les tortures et supplices corporels, Nadejda Tolokonnikova détaille des campements insalubres, et un manque d'hygiène sciemment provoqué par les geôliers. "Les conditions d'hygiène au sein du camp sont pensées pour faire sentir à chaque prisonnière qu'elle est un animal sale et dégoutant, privé de tout droit. Bien qu'il y ait des 'pièces d'hygiène générales' dans les dortoirs, il y aussi une 'salle d'hygiène générale' utilisé dans un but punitif. Cet endroit a une capacité de cinq personnes, mais les 800 prisonnières y sont envoyées pour se laver. Nous n'avons pas le droit de faire notre toilette dans nos dortoirs – ce serait trop facile." Si aucune dénonciation n'a filtré, c'est parce que tous les moyens sont employés pour que les incriminations ne s'échappent pas du camp, et que les prisonnières soient réduites au silence. "Les plaintes ne sortent pas de prison. La seule chance de voir une incrimination aboutir est de se plaindre via un proche ou un avocat. L'administration, mesquine et vengeuse, utilisera entre temps tous les mécanismes possibles pour mettre la pression sur la prisonnière, dont la plainte fera empirer les choses au lieu d'aider tout le monde. Ils pratiquent la punition collective: vous vous plaignez qu'il n'y ait pas d'eau chaude, ils coupent l'eau complètement. Les prisonnières ont peur de leur propre ombre, comme Lucky Luke. Elles sont complètement terrifiées". Dans l'espoir que les conditions de détention changent, Nadejda Tolokonnikova s'est tout de même plainte (elle a jeté une bouteille à la mer). Des réclamations qui lui ont valu, raconte-t-elle, de recevoir des menaces de mort du directeur adjoint de la prison. Ce qui explique sa décision de commencer une grève de la faim. "Je refuse de participer au travail d'esclave qui a cours dans ce camp. Je continuerai jusqu'à ce que l'administration respecte la loi et arrête de traiter les femmes incarcérées comme du bétail, (...) jusqu'à ce qu'ils nous considèrent comme des humains". Dans un communiqué, l'administration carcérale russe a rejeté ces accusations, et a affirmé qu'il s'agissait d'un"chantage" pour que la détenue soit affectée à un travail moins éprouvant. Si l'une des trois Pussy Riot condamnées a été libérée, Nadejda Tolokonnikova n'est pas près de sortir de prison. Le 26 juillet, la justice russe avait rejeté en appel sa demande de libération anticipée. La jeune femme de 23 ans, qui refuse de se déclarer coupable, avait alors déclaré: "Je contesterai ma condamnation jusqu'au bout, je porterai l'affaire devant la Cour suprême russe, et s'il le faut, devant Dieu!"
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