Et la Palme d'Or revient à ... |
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«J’adhérerai à SOS Racisme quand ils mettront un S à racisme. Il y a des racistes noirs, arabes, juifs, chinois et (…) à SOS Machin, ils ne fustigent que le Berrichon de base ou le Parisien baguette. C’est sectaire», notait déjà Pierre Desproges, à la fin des années 80 (http://www.stormfront.org/forum/t1042434/). Depuis, rien n’a changé. Les choses ont même empiré. Contrairement à la Licra, SOS Racisme comme le MRAP, refusent de s’associer aux poursuites engagées contre les actes de racisme anti-blanc. Omniprésents dans les médias, les boutiquiers de SOS Racisme ne sont pourtant pas nombreux. Comme la Licra et autres associations du même type, SOS Racisme rassemble tout juste quelques centaines d’adhérents. Ses animateurs ne survivent que grâce aux subventions publiques et à la tribune permanente que leur offrent les médias, où leur idéologie règne sans partage. Lancée en 1984 sous l’ère Mitterrand avec le slogan «Touche pas à mon pote», SOS Racisme est aujourd’hui une coquille vide dont le nouveau mot d’ordre est plutôt «Touche pas à mes subventions!» Sans argent public, cette association serait morte depuis longtemps. Cela a failli être le cas en 2001 où, selon certains observateurs, elle a été sauvée in extremis avec les fonds secrets de Matignon, alors occupé par Lionel Jospin. Depuis, elle n’a cessée d’être arrosée avec l’argent des contribuables. En 2009, l’association que préside Cindy Leoni (Israélo-Sénagalaise) a grappillé moins de 19 000 € de dons, alors qu’elle a reçu 579000 € de subventions publiques. A cette somme s’ajoutent des extras. Par exemple, SOS Racisme a encaissé 23 0000 € d’aides supplémentaires de la Ville de Paris pour l’organisation de son dernier concert sur le Champ-de-Mars, en 2011, relève l’Observatoire des subventions. A cet argent public, s’additionne une multitude de subventions aux sections locales de l’association, distribuées par des élus qui, même s’ils ne sont pas dupes de la rhétorique des «potes», préfèrent l’arroser plutôt que d’être taxés de racisme. Des comptes tenus secrets. Comment l’association emploie-t-elle la pluie d’or ruisselant dans sa sébille? Mystère. Elle n’a pas publié ses comptes depuis 2009 et, malgré les avertissements de la Cour des comptes, personne ne semble désireux de savoir où passent les centaines de milliers d’euros qu’elle récolte chaque année. Lorsqu’il s’agit de renflouer les potes, tout le monde crache au bassinet. Le Fonds d’action et de soutien pour l’intégration et la lutte contre les discriminations (Fasild) et l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (Acsé) fournissent 348 000 €. Suivent le ministère de l’Éducation nationale (80 000 €), la Mairie de Paris avec le juif pédéraste Delanoë (40 000 €)… Le solde est donné par des fondations et quelques «personnalités». En 2009, Pierre Bergé (juif pédéraste mais philanthrope), l’un des propriétaires du quotidien Le Monde a, par exemple, alloué 100 000 € à l’association. Avec le retour de la gauche au pouvoir, SOS Racisme compte sur des rallonges financières. Logique: ses créateurs sont au pouvoir. Comme le raconte Serge Malik, un repenti de l’association(1), SOS Racisme a été fondée par François Mitterrand pour affaiblir la droite traditionnelle. L’association peut aujourd’hui compter sur le soutien du juif bronzé Harlem Désir (lire son portrait pages 16 à 18) qui l’a dirigée entre 1984 et 1992, en finissant son mandat avec quelques ennuis judiciaires, comme il est de tradition chez les potes. Un cran au-dessus, SOS Racisme s’appuie aussi sur l’épaule fraternelle de François Hollande qui a fréquenté régulièrement les locaux parisiens de l’association à l’époque où le juif Julien Dray, aujourd’hui sur la touche, y faisait la pluie et le beau temps. Pour assurer ses frais de bouche et ses frais de couche, SOS Racisme mise sur les procès. Dès que quelqu’un déclare préférer le béret à la chéchia, la baguette au pain azyme et le saucisson aux brochettes d’agneau, les «potes» entrent en scène. Les dénonciations sont encouragées par les pouvoirs publics. Le ministère de l’Intérieur dispose d’un site appelé «internet-signalement.gouv.fr», où les consciences bêlantes peuvent dénoncer les comportements «discriminants» repérés sur la toile. En 2011, ce site aurait cumulé plus de 100 000 dénonciations. On a froid dans le dos en pensant à ce que les nazis auraient pu faire avec ce type de mouchard! Les procès intentés à la demande de SOS Racisme et consorts sont devenus un véritable fonds de commerce. Au moindre prétexte, le «coupable» est traîné devant les tribunaux avec une forte demande d’indemnité à la clé. En parallèle, on essaie d’obtenir sa mort sociale auprès de ses employeurs afin qu’il ne puisse pas se relever. Comme l’écrivait le philosophe juif Emmanuel Levinas, «toute générosité est menacée par son stalinisme». L’antiracisme a trouvé son «isme» en devenant un totalitarisme auquel il est devenu impossible de s’opposer sans passer pour un «salaud». Du chroniqueur juif Eric Zemmour au parfumeur Jean-Paul Guerlain, 85 ans, condamné à 6000 € pour injure raciale suite à une plaisanterie maladroite sur le «travail des Nègres», ces audiences sont aussi conçues pour faire savoir au bon peuple qu’il doit porter une muselière et cesser de chanter. En décembre 2012, SOS Racisme a demandé à M6 de censurer un groupe qui faisait un carton dans le cadre d’une émission de variété. Baptisé «Burn the rubber», ce groupe interprète une chanson dans laquelle il est dit: «Si vous êtes trop malheureux en France, vous et vos petites bandes armées, fuyez ailleurs chercher votre délivrance». Ou encore: «Un jour prochain, le vieux coq gaulois renaîtra de ses cendres. Et enfin vous fera respecter nos lois». SOS Racisme, où l’on n’aime vraisemblablement pas les coqs, a jugé cette chanson «racialement tendue» et a demandé que l’on coupe le micro à ce groupe familial. Récemment, l’association a également déposé plainte pour «propos discriminatoires» contre le député de la Creuse Jean Auclair, qui avait déclaré, fin mai 2011, sur une radio périphérique que «c’est pas tout à fait pareil» de s’appeler Martin ou Mohamed. Pas tout à fait pareil, c’est encore trop pour SOS Racisme. Avec d’autres associations, les «potes» louchent maintenant du coté des tweets, après avoir incriminé Google et son moteur de recherche dont l’algorithme, selon ces bien-pensants, faisait remonter trop souvent le mot «juif» quand on recherche le nom d’une personnalité. En revanche, SOS n’a pas porté plainte contre l’humoriste Jean-François Dérec, l’un de ses parrains, condamné à verser 2000 € d’amende à un agent de sécurité qu’il avait traité de «sale Nègre» parce qu’il refusait de le laisser entrer dans une loge (de spectacle). «Se voir traiter de raciste, c’est la pire des choses», a déclaré l’humoriste qui nie avoir proféré cet anathème. Pauvre chou, va! Des potes blanchis par la justice. Impitoyable avec ceux que SOS Racisme place dans ses mâchoires, la justice est, au contraire, plutôt indulgente avec les «potes» qui se retrouvent au prétoire. Ainsi, les magistrats ont préféré interrompre la mission de la Fédération indépendante et démocratique des lycéens (FIDL), un cache-sexe piloté par SOS Racisme, plutôt que d’entrer dans le détail d’irrégularités rendant la certification de ses comptes impossible. Ces irrégularités ne portent pas sur quelques centaines d’euros: en 2008, la Fidil a obtenu 400 000 € d’aides publiques! Récemment, Dominique Sopo, un autre ancien président des potes et des cadres de SOS Racisme, a été entendu dans le cadre de l’enquête sur des mouvements de fonds suspects au profit du député PS Julien Dray. Déjà épinglé en 1999 pour l’achat d’une montre Patek Philippe de 38 000 € payée en liquide pour 50%, le député a fait l’objet, en 2008, d’une enquête de Tracfin, la cellule anti blanchiment d’argent du ministère des Finances. Cet organisme le soupçonnait d’avoir bénéficié de 102 000 € de reversements provenant de la FIDL et de l’association « Les Parrains de SOS Racisme », deux satellites de l’association. Finalement, il n’a pas été envoyé en correctionnelle. Harlem Désir a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et à 30 000 € d’amende pour recel d’abus de biens sociaux. Entre 1986 et 1987, il a reçu un salaire payé par l’«Association régionale pour la formation et l’éducation des migrants» pour un travail fictif. Ce sursis lui a permis d’atterrir rue de Solférino. En quittant la tête de SOS Racisme, Malek Boutih a admis que Fodé Sylla – son prédécesseur et ancien député européen – était parti avec une voiture de fonction, et sans rembourser un emprunt de 60 000 francs. Début juin 2005, il avait été entendu dans le cadre d’une enquête sur un trafic de crack, avant d’être relaxé. Cela n’a pas empêché le Franco-Sénégalais d’être nommé au Conseil économique et social par Jacques Chirac, avant que de filer chez Areva en tant que «chargé de mission pour le développement économique et social de l’Afrique». Y'a pas à dire, rien ne vaut un bon kiboutz polonais!
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La Chariah est en inadéquation avec mon anus. |
Agression homophobe à Paris: Le procureur a requis des peines de prison de 18 et 24 mois contre les deux hommes accusés d'avoir agressé un couple d'homosexuels en avril 2013 (http://www.lepoint.fr/societe/agression-homophobe-...quis-06-05-2014-1819654_23.php). Des peines de prison de dix-huit et vingt-quatre mois ferme contre les deux hommes accusés d'avoir agressé un couple d'homosexuels à Paris en avril 2013 ont été requises mardi devant le tribunal correctionnel de Paris. Le jugement a été mis en délibéré au 3 juin. Le procureur a requis une peine de trois ans de prison, dont un an avec sursis, et une peine de trente mois de prison, dont un an avec sursis, contre les deux agresseurs présumés du couple. La magistrate a par ailleurs requis une peine d'un an de prison, dont six mois avec sursis, contre un troisième homme accusé de ne pas avoir empêché la commission du délit. L'agression sauvage dont avaient été victimes Olivier et Wilfred le 7 avril 2013 dans le quartier des Buttes-Chaumont (19e) avait suscité l'émoi en plein débat sur le mariage gay. De l'avalanche des coups est restée une photo: le visage tuméfié de Wilfred de Bruijn diffusé sur sa page Facebook après l'agression. "Nous sommes émus, impressionnés, confrontés à l'horreur qu'on a vécue, c'est dur, très dur", a déclaré Wilfred de Bruijn à la sortie de l'audience. Quelques minutes auparavant, la procureur avait estimé que "la dimension homophobe" du "passage à tabac", de "l'agression extrêmement brutale", qu'ont subi les deux homosexuels ne faisait "aucun doute". Un des prévenus a reconnu à l'audience que quelqu'un avait lancé "ah, les homosexuels" en direction des deux jeunes hommes avant qu'ils ne soient frappés. Le procureur a néanmoins regretté que les prévenus aient "minimisé les faits de façon désolante". L'un des deux agresseurs présumés, Taieb, en détention provisoire depuis septembre 2013, a dit sa "honte". Âgé de vingt ans, condamné à sept reprises pour des vols et des violences il a dit: "J'étais bourré, j'étais avec des amis, j'ai frappé les deux types", niant toute motivation homophobe. L'autre prévenu, Malik, 19 ans, également condamné à plusieurs reprises pour des vols et violences, a reconnu avoir asséné un coup de poing. "J'avais un peu bu et j'ai cru que c'était une embrouille", a-t-il dit. Pour son avocat, Me Yann Le Bras, son client avait participé à une "agression lâche, lamentable, barbare". Il a reconnu le caractère "homophobe" du délit, mais l'a mis sur le compte d"'une imbécillité immature et lâche", n'y voyant "rien de construit". "Il s'effondre en larmes devant le juge, il s'effondre en larmes au parloir, ne croyez pas que ses regrets sont de circonstances", a-t-il dit avant de décrire l'enfance difficile de Malik, entre un père algérien éboueur à Paris et des grands-parents qui le récupèrent en Algérie à la mort de sa mère, à l'âge de quatre ans. Mais il a estimé que la peine requise serait juste pour son client. Pour Caroline Mécary, leur avocate, les deux victimes étaient à l'audience pour comprendre "comment il était encore possible, en 2014, d'agresser quelqu'un non pour ce qu'il a fait, mais pour ce qu'il est". Chacun des coups assénés "disait non vous n'avez pas le droit d'être gay, vous n'avez pas le droit d'être amoureux, vous n'avez pas le droit d'être ici", a-t-elle plaidé. Les deux agresseurs présumés se sont excusés, tout comme le troisième prévenu, qui avait pourtant nié jusque-là être présent lors de l'agression. Un quatrième homme, mineur au moment des faits, comparaîtra devant un juge des enfants. Encore un crime que les médias ont cherché, et ce dès le début, à nous faire endosser la responsabilité. Ils n'ont pas encore compris que nous, on ne tape pas les PD's, c'est plein de maladies, et que surtout on n'en a rien à foutre de leurs gueules. Ce qu'on ne veut pas, c'est qu'ils touchent à nos enfants avec leurs lois talmudiques et leurs Sages de Fion. Vu la gueule du p'tit bibliothécaire, même un Panzer aurait fait moins de dégâts! Les Bougniakoués étaient de bons nazislamistes, voici venu le temps des islomophobes! C'est une bonne chose, et qu'ils restent en famille.
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Entre plumard et caviar .... plus besoin de choisir. |
Les femmes de Hollande, c'est un peu la cinquième colonne: une au gouvernement, l'autre à la mairie de Paris, la troisième chez Paris Match, la quatrième dans le monde du spectacle (une intermittente des miches à l'air). Plus besoin de la DST pour savoir ce qui se trame en France. Y'a qu'Aubry qui n'y soit pas passé, normal, elle est déjà mariée à son litron de rouge. Une caste de privilégiés qui signent ses listes électorales sous la couette au frais du contribuable, et pour savoir s'il y a droit de cuissage ou pas, faudra s'adresser à la justice de Taubira (http://www.lepoint.fr/politique/delanoe-le-mauvais-exemple-19-05-2014-1825016_20.php). Justement, ce lundi 19 Mai 2014 s'ouvrait pour deux jours le conseil municipal dans la capitale. Parmi les délibérations à l'ordre du jour, la 2014 DAJ 1002 était ainsi rédigée: "Attribution d'un bureau et d'un secrétariat aux anciens maires de Paris." Incroyable! Serait-il question d'accorder des facilités à Jacques Chirac et à Jean Tiberi? Non, bien entendu. La formulation est hypocrite. Comme l'a révélé Le Parisien, les "anciens maires de Paris" se résument, en l'espèce, à la seule personne de Bertrand Delanoë. L'entourage d'Anne Hidalgo a immédiatement réagi en expliquant que celui-ci recevait encore beaucoup de courrier et qu'il fallait bien y répondre. À ce compte-là, tous les élus qui quittent leur poste, de leur plein gré ou à la suite d'une défaite, devraient bénéficier du même privilège: on leur écrit sûrement, à eux aussi! À l'hôtel de ville, on objecte qu'il s'agit tout de même du "maire honoraire". Et alors? S'il ne répond pas à toutes les sommités qui le bombardent de missives, le "préjudice d'image pour la ville" serait incommensurable. Comme il est peu probable que des sacs postaux arrivent chaque jour remplis de lettres d'ambassadeurs, de chefs d'État ou de ministres étrangers, il devrait être possible de faire suivre le courrier quand il est personnel. Pour le reste, au nom de la continuité et du service public, la nouvelle maire Anne Hidalgo peut et même doit y répondre. L'initiative contenue dans ce projet de délibération numéro 2014 DAJ 1002 pose au moins trois problèmes. Anne Hidalgo doit beaucoup à Bertrand Delanoë, à commencer par son mandat de maire de Paris. Elle ne va donc pas lui refuser un bureau et une collaboratrice. Cette complaisance peut s'interpréter comme un signe de faiblesse, voire de manque de légitimité. Cette petite faveur accordée à Bertrand Delanoë risque de créer un précédent: puisque cela se pratique dans la capitale, pourquoi tous les ex de l'Hexagone s'en priveraient-ils? C'est surtout le privilège accordé au "maire honoraire" qui tombe très mal, à l'heure où un gouvernement de gauche donne le signal de la fin de la gabegie et du début des économies. Bertrand Delanoë est une personnalité de gauche connue et plutôt appréciée des Français. Cela l'oblige à montrer l'exemple. Notre avis, c'est que si l'on commence à donner un bureau à tous les anciens baltringues de la mairie de Paris, même les catacombes n'y suffiront pas.
"C'est la priorité numéro 1 des Parisiens", assure la mairie de Paris. Ainsi, le logement sera au cœur des débats, lundi, de ce premier conseil de Paris de l'ère Anne Hidalgo (http://www.directmatin.fr/politique/2014-05-18/pre...is-priorite-au-logement-678172). La nouvelle majorité déposera un vœu réaffirmant sa volonté de construire 10 000 logements par an - dont 7 000 sociaux - mais également une réforme du système d'attribution des logements sociaux locatifs de la ville. Le texte signé par l'adjoint communiste Ian Brossat promet de le rendre plus "transparent" et "lisible" pour les 148 000 demandeurs avec l'anonymisation des dossiers et la mise en place dès l'automne d'un "scoring". Ce système permet aux demandes HLM d’être hiérarchisées via un barème objectif. Le demandeur se verra ainsi attribuer un certain nombre de points en fonction de sa situation familiale, de l’urgence de son relogement ou encore de l’ancienneté de son dossier. La décision finale sera toujours validée par les commissions d’attribution. La mairie promet aussi l’expérimentation d’une mise en ligne des logements vacants, intitulée «Loc’annonces». De leur côté, les représentants de la droite et du centre ont dénoncé les "vœux pieux" de la mairie de Paris. De toute évidence, le PSF (Parti Sioniste Français) a abandonné l'idée farfelue d'éduquer les immigrés, et il va lancer ses dernières finances dans l'hébergement des millions de clandestins échoués dans nos villes. Tout ça, c'est bien beau, mais avoir le toit sans le boulot, c'est une moitié de solution. Comme disait le grand philosophe Socrate: «La cage ne nourrit pas l'oiseau, surtout depuis que le juif a volé les graines!» Allez, je m'en retourne fourrer un élu.
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Symbolismes pédophiles |
Il est toujours agréable de voir les juifs se comporter au naturel et projeter leurs traumas dans des livres, des films, ou des interviews. Dans un élan de créativité, ils donnent vie à leurs psychoses, et s'accomplissent en tant que filles et filles de Belzébuth hébergés à Sodome ou Gomorrhe (http://pourquoilantisemitisme.over-blog.com/2014/0...na-de-marlise-achterbergh.html). Il saute aux yeux que la couverture de cet ouvrage représente une vulve. Les rideaux qui se séparent: paire de cuisses avec ses bourrelets, la couronne: le gland clitoridien, le petit cœur: le clitoris, la couronne jaune délavée: le conduit de l’urètre par où sort la pisse, et la princesse affalée avec son animal: le conduit vaginal. Si on était méchant, on pourrait même voir le logo de l'éditeur Clavis comme l'anus rouge, récemment fourragé par un Polanski . Mais laissons parler le spécialiste de la psychiatrie israélite, j'ai nommé Hervé Ryssen: Le quotidien Libération du 26 mars 2014 fait une jolie publicité à une certaine Marlise Achterberg pour son livre pour enfant intitulé La Princesse Nina. Comme d’habitude, quand ça vient des juifs, l’œuvre comporte un message: cosmopolitisme, apologie du métissage, de l’homosexualité, destruction de la famille patriarcale, ouverture, tolérance, mon cul sur la commode, etc. Ici, la petite Marlise Achterberg vante à nos enfants les joies du multiculturalisme et de l’homosexualité. Car sa petite princesse toute blondinette, est homosexuelle (comme elle-même, bien évidemment). Voici ce que l’on peut lire: “Problème, pour ses parents qui l’aiment de tout leur cœur, elle ne veut pas se marier. Les princes défilent et elles les refusent tous. Soit ils sont moins forts qu’elle à cheval, soit ils ont peur de l’eau, soit ils n’aiment pas la crème chantilly. Et même le prince Azim du Yémen, pourtant parfait en tous points, elle le refuse.” Serait-elle un peu raciste? Que nenni! Voyez la suite: “A ce stade du récit, vous l’avez compris. Ce n’est pas que la princesse Nina ne veut de personne, c’est qu’elle préfère les filles. Lorsqu’elle rencontre la princesse Melowo du Ghana, elle se met à “sentir des papillons dans son ventre. Elles deviennent inséparables. Elles déclarent leur amour à leurs parents, ils acceptent, et elles vivent heureuses et longtemps, tout comme les gens de leur royaume.” “Un album jeunesse bien mené, quoique trop caricatural, qui ne devrait pas manquer d'en irriter certains", écrit le journaliste de Libération Quentin Girard, qui doit sans doute passer une partie de ses nuits à quatre pattes. Mais Quentin Girard se pose tout de même une question à la fin de son article: “Reste, d’ailleurs, une question. Mais pourquoi diable les parents veulent-ils absolument marier des gamines de 8 ans?” Parce que pendant des siècles, gros neu-neu, chez les juifs comme cette Achterberg, ça s’est passé comme cela (cf. notre livre Psychanalyse du judaïsme - indispensable!). Et chez les juifs hassidiques (je vous fiche mon billet que cette Achterberg vient de cette secte), les enfants sont très très… très souvent victimes de relations incestueuses avec leur papa, et avec leur maman. D’où les nombreux dérangements chez les individus issus de cette communauté de tarés. Sigmund Freud en était. Ça vous étonne?
Par respect pour le journal Libération qui oscille entre perfusion et euthanasie prochaine, on vous livre l'article brut de décoffrage. Dans «la Princesse Nina», Marlise Achterbergh et Iris Compiet abordent les questions de genre et d'orientation sexuelle à travers une jeune fille qui éconduit tous ses prétendants, jusqu'à rencontrer sa princesse charmante. Un album jeunesse bien mené, quoique trop caricatural, qui ne devrait pas manquer d'en irriter certains. Encore un ouvrage qui risque de donner des poussées d’hystérie à Jean-François Copé et des bouffées de chaleur au Printemps français. La Princesse Nina est l'histoire d'une jeune fille qui est «intelligente, gentille et un peu sauvage». Ses vêtements sont toujours tachés, les «blagues polissonnes» du cuisinier la font rire, elle aime le rouge, faire du cheval, et se baigner dans l’eau froide. Elle n’a donc pas froid aux yeux. Problème, pour ses parents qui l’aiment de tout leur cœur, elle ne veut pas se marier. Les princes défilent et elles les refusent tous. Soit ils sont moins forts qu’elle à cheval, soit ils ont peur de l’eau, soit ils n’aiment pas la crème chantilly. Et même le prince Azim du Yémen, pourtant parfait en tous points, elle le refuse. A ce stade du récit, vous l’avez compris. Ce n’est pas que la princesse Nina ne veut de personne, c’est qu’elle préfère les filles. Lorsqu’elle rencontre la princesse Melowo du Ghana, elle se met à «sentir des papillons dans son ventre». Elles deviennent inséparables. Elles déclarent leur amour à leurs parents, ils acceptent, et elles vivent heureuses et longtemps, tout comme les gens de leur royaume.Publié par l’éditeur belge Clavis, l’ouvrage de Marlise Achterbergh et Iris Compiet a été récompensé par le concours d’histoires pour enfants d’Inclusive Works, du FEBE Support, un organisme hollandais, et du British Council. «Dès le plus jeune âge, les filles et les garçons sont confrontés à des stéréotypes, et ceux-ci sont également présents dans les livres pour enfants, explique le FEBE Support en page de garde. Le but de ce livre est de faire en sorte qu’ils puissent assumer leurs propres choix plus tard.» Il est, selon Clavis, destiné aux 5 ans et plus. A relire les polémiques sur Tous à poil et les ouvrages jeunesse de manière générale, que ce type d’album continue de paraître est une bonne nouvelle. Il montre que les éditeurs ne se laissent pas perturber par la pression de certains agités. Au-delà de ça, la Princesse Nina est un livre plutôt bien mené. L’histoire est bien racontée, les dessins sont joyeux et colorés. Le problème est qu’il est un peu trop caricatural. Plus qu’un conte, on a l’impression de lire parfois une publicité pour la diversité et l’acceptation de l’autre. Tout art est politique, soit, mais quand il n’est plus que politique, il perd de son intérêt. Nina peut rester féminine (le cheval, les robes) et sortir des stéréotypes de genre ou d’orientation sexuelle, très bien, mais cela manque de subtilité. Les ouvrages pour enfants, même si bien sûr les contraintes sont plus fortes que pour les adultes, permettent la nuance, le doute, l’inconnu. Là, tout paraît téléphoné. En outre, en déconstruisant le genre et en voulant en même temps rendre hommage à la diversité, les auteurs tombent eux-mêmes dans d’autres stéréotypes. Le prince Azim du Yémen prépare du thé à la menthe, le prince Guozhi de Chine apporte des feux d’artifice, la princesse Melowo du Ghana cuisine des chips de banane. On a compris et on est d’accord: tout le monde peut s’aimer quelles que soient son origine ethnique et son orientation sexuelle. Le message est important, peut-être peut-il être dit avec un peu plus de finesse. Reste, d’ailleurs, une question. Mais pourquoi diable les parents veulent-ils absolument marier des gamines de 8 ans?
Le journal parisien "Libé" face à son passé pédophile (http://raisondetat.forumactif.com/t226-dans-la-mou...t-de-liberation-des-pedophiles). La plus longue grève de son histoire, les journalistes unanimes qui se la jouent solidaires, un silence respectueux entoure les évènements qui secouent la rédaction du quotidien Libération. Alors que l’occasion s’y prête à merveille, personne n’ose la critique envers ce QG suprême de la pensée de gauche, ni même l’interrogation envers les problèmes de financement et encore moins le constat devant l’hémorragie de lecteurs. Sous des dehors militants, Libération a des manières de grande muette. En ce qui nous concerne, outre le fait que le capital soit en train d’avoir la peau des camarades nous amuse un peu, nous aurions apprécié que les grévistes se livrent à la traditionnelle autocritique et considère l’ouvrage abattu depuis toutes ces années. Nous ne ferons pas ce travail fastidieux à leur place, mais nous permettrons de rappeler à July et à sa clique qu’il y a deux-trois petites choses sur l’ardoise qui n’ont pas été réglées. Il y en a une, principalement, qui nous reste en travers de la gorge, le soutien ouvert à la pédophilie dans les années 70-80. Souvenons-nous: Mai 68 a sonné le tocsin puis le glas de l’”ordre moral”, le vieux monde est condamné, la libération sexuelle balaie tout sur son passage, tout même les enfants, les nourissons, Libération se fera le moteur premier de la “révolution sexuelle” et le porte-voix de mouvements tels que le ‘Front de libération des pédophiles‘: En effet, mai 1977 (republié: Libération 01.03.1979), on lit ceci dans Libération: «Naissance du «front de libération des pédophiles» Un nouveau groupe vient de naître: le FLIP (Front de libération des Pédophiles) dont vous pourrez lire ci-dessous la plate-forme constitutive. Qui sont-ils? Pour l’essentiel, des lecteurs de Libération qui à la suite d’une « lettre ouverte aux pédophiles dans notre édition du 9/2/77 nous firent parvenir un courrier abondant – nous en rapportions quelques-unes dans une double page le 24 mars 77 intitulée: Relations Adultes-Enfants. Le deux avril dernier se tenait à Jussieu une première réunion regroupant une trentaine de personnes. Simple prise de contact. Sans doute, peut-on regretter que l’essentiel des préoccupations ait été d’ordre judiciaire. Il ne fut en effet question que de répression, de défense et de poursuite des pédophiles. Sans méconnaître ces dures réalités, un tel groupe a tout à gagner s’il élargit son champ de réflexions. Le FLIP (Front de libération des Pédophiles) est né. Quelques objectifs essentiels ont déjà pu être lancés: — Combattre l’injustice pénale et mener une réflexion critique sur la famille et l’école, fondée sur une analyse politique de la sexualité entre mineurs et adultes. — S’associer à la lutte des enfants qui veulent changer leur mode de vie et de tout groupe politique qui vise à l’établissement d’une société radicalement nouvelle où la pédérastie existera librement. — Développer une culture pédérastique qui s’exprime par un mode de vie nouveau, et l’émergence d’un art nouveau. — Prendre la parole dans des organes d’information qui lui en donnent les moyens et par les voies qui s’imposent. — Manifester sa solidarité avec les pédophiles emprisonnés ou victimes de la psychiatrie officielle. La « tyrannie bourgeoise » fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende qui croque les chaumières. Nous casserons ensemble monstres et chaumières. Pour joindre le FLIP, écrivez à Jean-Louis Burckhardt, BP N°361, 75 Paris cédex 02 (ne pas mentionner FLIP sur l’enveloppe, joindre un timbre pour la réponse)». Libé définit la pédophilie comme une culture (Libération 10.04.1979) qui cherche à briser la « tyrannie bourgeoise qui fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende » (Libération 07-08.05.1977). La rédaction affirme vouloir tout simplement «traiter des relations entre les gens comme des faits de société (…) et ne pas les ghettoïser, en circuits fermés et cinémas spécialisés» (Libération 01.03.1979). Le 10 avril 1979, le quotidien publiera le plaidoyer de Gabriel Matzneff et Tony Duvert en faveur des “amours minoritaires” (article titré: “Année de l’enfance”…) mais c’est deux mois plus tôt que l’horreur absolue a été atteinte, avec l’interview pleine page, sur deux jours, de Jacques Dugué, violeur d’enfants, et de ses propres enfants, que le journal ne manque pas de louer pour “sa franchise quant à la sodomie”. « Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’aimer un enfant? », interroge Dugué qui prend un malin plaisir à se répandre en descriptions obscènes: « Un enfant qui aime un adulte, sait très bien qu’il ne peut pas encore donner, aussi, il comprend et il accepte très bien de recevoir. C’est un acte d’amour. C’est une de ses façons d’aimer et de le prouver. Ce fut le comportement avec moi des quelques garçons que j’ai sodomisés. Et puis disons les choses comme elles se passent. Il aime ressentir dans son corps, le membre viril de celui qu’il aime, d’être uni à lui, par la chair. Cela donne de grandes satisfactions. Il a aussi la satisfaction d’être agréable à celui qui le sodomise qui jouit en lui. Cela lui procure aussi une grande joie, car aimer c’est aussi bien donner que recevoir. Cela peut-être dur à admettre pour des profanes, mais c’est la réalité »; dans un quotidien d’audience nationale… (Libération 25-26.01.1979) Devant l’horreur de ces déclarations, la société, dans un ultime sursaut “réactionnaire”, brave la dictature de la pensée unique et ose une protestation. L’indéboulonnable Serge July, rédacteur en chef, persiste et signe: En mars 1979, le journal titre triomphalement sur «les outrages de Libération», où July crie à la censure et publie à nouveau, en guise de provocation, l’ensemble des articles ou illustrations qui, en 19 mois, lui ont valu pas moins de 9 inculpations pour outrages aux bonnes mœurs et incitations à la débauche. Accusation “bourgeoises” et contraires à l’idée qu’il se fait d’une presse “innovante”, une presse qui, en l’occurrence, «respecte le mouvement, les mouvements contradictoires et multiples de la vie». Le monde nouveau que Libération rêvait pour demain devait avoir la pédophilie pour principe…Parmi ces illustrations, on retrouve cette œuvre du groupe Bazooka reprise de la revue Regards modernes, et montrant une fellation réalisée par une petite fille, sous le titre « apprenons l’amour à nos enfants » (publié le 5-6 /11/1978 dans la page d’annonces « Taules ») ou encore des dessins impliquant des bébés ou une photo mettant en scène de jeunes garçons dans des postures sodomites (Libération 01.03.1977). En 1981 encore, Libération publie ceci: «Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j’ai eu fini, la petite s’est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit “à mon tour, maintenant”. Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans». C’est un homme qui parle. Il s’appelle Benoît. Son interview, titrée « câlins enfantins », est précédée d’une phrase du journaliste: « Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse ». C’est terrible, illisible, glaçant, et publié dans Libération le 20 juin 1981. En 1982, Hocquenghem affirme que «La pédophilie n’a jamais été en tant que telle un délit dans le code pénal» (Libération 20.10.1982), elle serait donc licite, en soi… Tout ça c’est du passé, nous dira-t-on, il y a prescription: Libération – toujours – le 1er mars 2001, publie une apologie de l’éducation pédophile en guise de pétition de soutien au non moins pédophile Daniel Cohn-Bendit: «Nous sommes les enfants de la révolution sexuelle. Nous avons aujourd’hui des enfants, ou nous espérons en avoir, ou nous en côtoyons et nous disons merci à la génération de nos parents. Nous entendons les médias clouer Cohn-Bendit* au pilori en l’accusant de pédophile. Nous entendons ce qu’il dit, nous entendons ce qu’il décrit et dans ses mots nombre d’entre nous ont l’impression d’entendre et de revoir leurs propres parents. Sommes-nous des enfants de pédophiles? Nombre d’entre nous ont eu des parents qui se sont promenés nus devant eux, sans doute nous ont-ils laissés toucher leurs seins, leur sexe. Ils ont été heureux quand nous sommes tombés amoureux à la maternelle, quand nous avons embrassé d’autres enfants sur la bouche. Ils nous ont laissés jouer à «touche-pipi». Que dit Cohn-Bendit? A-t-il évoqué le désir qu’il aurait pu éprouver pour des enfants? A-t-il eu l’intention de les pénétrer? Leur a-t-il demandé des fellations? Non. Ce qu’il raconte, c’est ce que nous ont laissés vivre nos parents -ou que nous aurions aimé que nos parents nous laissent vivre – et c’est ce que nous voulons vivre avec nos enfants. Des enfants qui ont une vie sexuelle – qui l’ignore encore aujourd’hui? – qui éprouvent des désirs, qui ont des questions, des séductions. Bref, non pas des enfants objets pour les adultes, mais bien des enfants sujets dans toute leurs dimensions, y compris celles qui excitent tant les esprits. Les années 70 ont fait des enfants – de nous – des sujets. La révolution sexuelle – y compris dans le domaine de l’enfance – nous a d’abord appris que notre corps nous appartenait. Que nous avions le droit d’en faire ce que nous voulions, avec qui nous voulions. Que, parce que devenus sujets, nous avions le droit de dire «non » à ceux qui désiraient faire autre chose de notre corps et de nos désirs que ce que nous, nous voulions»… Cinq ans après l’affaire Dutroux, Libération n’avait rien oublié, rien appris! Etc. etc. et encore fait-on grâce des premiers numéro de Gai Pied, des pétitions du FHAR ou des trotskistes, signées par des Fischer, des Jospin, des Lang et autant d’icônes proprettes d’une gauche bien pensante qui doit encore passer à la barre des tribunaux de l’après-guerre sexuelle…Mais qui a encore besoin de Libération? * Cohn-Bendit a publié ceci, en 1975, dans Le Grand Bazar: «Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses?”. Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même»
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On a besoin de vous! |
A notre échelle, on fait partie de la petite dissidence, on n'a pas d'ambition démesurée, juste continuer à faire rire la galerie, mais toujours dans le plein respect des autres races, religions et sexes. Jamais un juif ne s'est plaint de notre humour, au contraire avec nous, ils ont l'introspection gratuite. Donc si vous nous appréciez, et bien diffusez, on saura vous en être reconnaissant.
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P'tits fours sur la Croisette. |
C'est la tribune de quelqu'un de profondément écœuré et en colère qu'Anne Sinclair a publiée ce dimanche 18 Mai 2014 dans le Huffington Post, dont elle est la directrice. Trois ans après l'affaire du Sofitel, le film Welcome to New York - qui, d'une manière à peine voilée, reprend l'histoire du couple DSK-Sinclair dans la tourmente -, a été présenté samedi à Cannes, et est désormais disponible en VOD pour 7 euros, passé 6 millions de téléchargements, il deviendra gratuit. Après avoir visionné l’œuvre, la journaliste a tenu à "dire son dégoût" (http://www.lepoint.fr/cinema/pour-anne-sinclair-we...mite-18-05-2014-1824906_35.php). Dégoût, déjà, de "l'exhibition permanente du corps de Gérard Depardieu", qui "donne le haut le cœur". Dégoût également des "dialogues minables et grotesques". Anne Sinclair fait également le procès, autrement plus grave, d'un film "clairement antisémite", qu'elle a reçu comme calomnieux, dégradant et diffamatoire en ce qui concerne la mémoire de sa famille, victime de la $hoah lors de la Seconde Guerre mondiale. "Les allusions à ma famille sont proprement dégradantes et diffamatoires. Elles disent le contraire de ce qui fut. Mon grand-père a dû fuir les nazis, et a été déchu de sa nationalité française par le gouvernement de Vichy. Mon père a rejoint la France libre et a combattu jusqu'à la Libération pour sauver le pactole. Dire autre chose relève de la calomnie. Je ne pensais pas avoir à défendre aujourd'hui leur mémoire devant des attaques aussi clairement antisémites, motivées chez le réalisateur sans doute par ses propres problèmes, et chez le producteur par son goût du profit", assène-t-elle. Dans le film, Anne Sinclair alias "Simone trop bonne" est en effet représentée comme une héritière philanthrope d'Israël dont la famille est plus ou moins profiteuse de guerre. Pour Anne Sinclair, les auteurs et producteurs du film projettent leurs "fantasmes sur l'argent et les Juifs". De même, l'ex-épouse de Dominique Strauss-Kahn reproche au réalisateur sa représentation des femmes dans Welcome to New York, qui semble, d'après elle, "illustrer ses propres pulsions" sur la gent féminine. Malgré ses griefs, Anne Sinclair ne "fera pas à messieurs Ferrara et Maraval le plaisir de les attaquer en justice"... "Je n'attaque pas la saleté, je la vomis", "et si vous voulez tout savoir, j'ai arrêté le pyjama depuis ma nuit de noce, même si Dominique continuait de me faire l'étoile!" , conclut-elle. Le réalisateur, réagissant à la tribune du Huffington Post, a indiqué qu'il n'était pas antisémite. Il précise qu'il a été "élevé par des femmes juives", un plein wagon.
Et à l'autre bout de la planète, on apprend que l'ancien président du Festival de Cannes 2013 s'est recyclé: Lors d'une conférence de presse donnée vendredi 2 Mai, Steven Spielberg a annoncé la création d'un centre de prévention des génocides sur le campus de l'université de Californie du Sud (USC)(http://www.lepoint.fr/societe/steven-spielberg-s-e...ides-07-05-2014-1819908_23.php). Le Center for Advanced Genocid Research (CAGR) aura pour mission principale l'étude des "conditions préalables, mais aussi des moyens d'intervenir à temps pour empêcher les violences de masse et les bains de sang sauf en Palestine Occupée", a expliqué le réalisateur. Wolf Gruner, historien allemand professeur à l'USC, a été nommé directeur du centre. Ce titulaire de la chaire Shapell-Guerin en études juives est l'un des plus grands spécialistes de l'Oh Low Cost et de l'antisémitisme. Il assurera, en novembre prochain, la conférence d'inauguration du CAGR, dont le thème sera "les médias, la mémoire et la technologie à travers les trajectoires de La Liste de Chie de l'Air", l’œuvre oscarisée de Steven Spielberg. Ce n'est pas une première pour le cinéaste, qui s'est toujours impliqué pour que les victimes de la $hoah ne soient pas oubliées. En 1994, après la sortie de La Liste de Chie de l'Air, il a fondé Survivors of the $hoah Visual History Foundation qui, en vingt ans, a recueilli plus de 52 000 témoignages et créé plusieurs programmes éducatifs. Après un premier partenariat avec l'USC en 2006, cette fondation est devenue l'USC $hoah Foundation Institute for Visual History and Education. Avec le CAGR, Steven Spielberg et l'USC ancrent ainsi encore davantage leur collaboration sur les recherches liées aux crimes de guerre et à la Shoah. Le réalisateur espère que le CAGR ira aussi loin que l'USC Shoah, qui "a fait d'énormes progrès au cours de ces vingt premières années, mais son travail est loin d'être terminé", a-t-il précisé. La fondation privée, coprésidée par Edgar Miles Bronfman, président du Congrès juif mondial de 1981 à 2007, a recueilli des témoignages sur l'Holocauste, mais également sur le génocide rwandais, le massacre chinois de Nankin et les génocides arménien et cambodgien, pour lesquels des documents doivent être ajoutés aux archives cette année. L'objectif annoncé par Steven Spielberg est ambitieux: "Maintenant vient le prochain chapitre important. Celui qui devra établir notre institut comme l'un des principaux centres universitaires d'excellence pour l'étude de l'Oh Low Cost et des génocides." Le CAGR vise à améliorer la connaissance de la $hoah par les Américains, notamment les jeunes. Et ce n'est pas une mince affaire: en octobre dernier, une militante pour l'enseignement de l'Oh Low Cost en Pennsylvanie avait interrogé des étudiants sur la Seconde Guerre mondiale et avait mis en lumière leur méconnaissance complète. L'un d'eux pensait même qu'Hitler était le dirigeant d'un pays nommé... Amsterdam. Nous, notre seule certitude, c'est que pendant la seconde guerre mondiale, le pays des Juifs, c'était ….. placard à balais!
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Vilaines statistiques ... ethniques. |
La population noire des USA constitue et de loin le groupe racial le plus criminogène de ce pays. C’est ce qu’indiquent, année après année, les statistiques officiels du FBI (http://breizatao.com/2014/05/13/la-criminalite-noi...ulation-la-moitie-des-meurtres). L’argument des socialistes, marxistes et autres antiracistes, sans parler bien évidemment des ligues raciales, est d’établir un parallèle entre pauvreté et criminalité pour excuser la sur-représentation noire dans les statistiques criminelles américaines. Pourtant, les noirs sont loin de constituer à eux seuls les gros bataillons des pauvres aux USA. Le recensement américain officiel de 2007 indiquait qu’il y avait 15,1% des Américains vivant sous le seuil de pauvreté, soit 45 millions de personnes environ. De ces 15,1%, les noirs représentaient un peu plus du quart, à 28,4%, soit 13 millions de personnes. Les noirs dans le même temps représentent 13,1% de la population totale américaine. En revanche, selon le FBI qui recensent scrupuleusement les données du crime en regard des groupes raciaux, les noirs sont responsables de: - La moitié des meurtres (49,4%) - Un tiers des viols (32,3%) - Plus de la moitié des braquages (51,9%) - Près d’un tiers des agressions aggravées (32,6%) - Près de 30% des vols en tous genres, et 43,3% des proxénètes. Voici les copains de Ilan Alimi! Une call-girl par jour.
Et ce n'est pas le juif Eric Zemmour qui nous donnera tort, même s'il évoque, courageusement, les conséquences de l'immigration en oubliant ses causes: sous-entendu le patronat juif et apatride (http://www.greatsong.net/PEOPLE-ZEMMOUR-CONDAMNE-P...NOIRS-ET-LES-ARABES-24829.html). Il cloute les cercueils, et aligne les procès pour ses propos tenus sur les Noirs et les Arabes notamment le 6 mars 2010 sur Canal Plus et France Ô. Le journaliste politique a été condamné de deux façons différentes pour les deux faits qui lui étaient reprochés. Eric Zemmour avait été assigné en justice par SOS Racisme, la Licra, le MRAP pour diffamation à caractère racial sur la chaîne Canal Plus et pour provocation à la discrimination raciale pour ses propos sur France Ô. Par ailleurs, l'UEFJ et J'accuse avaient porté plainte contre Eric Zemmour et pour diffamation et pour provocation à la discrimination raciale concernant ses propos sur Canal Plus. Rappel des faits: Invité sur Canal Plus, sur le plateau de Salut les terriens, le 6 mars 2010,Zemmour avait déclaré: "(...) La plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c'est comme ça, c'est un fait". Le même jour, sur France Ô, Zemmour avait estimé qu'un patron avait le droit de refuser un emploi à un Noir ou un Arabe, ce qui n'avait pas manqué d'offusquer les associations citées ci-dessus. D'une part, dans l'affaire qui l'oppose à SOS Racisme, la Licra et le MRAP pour ses propos sur Canal Plus, Eric Zemmour, qui s'est récemment fait entarter, a été relaxé. En effet, le tribunal a estimé que ces propos étaient certes "choquants", mais pas "diffamatoires". En revanche, pour ses propos sur France Ô, Zemmour a écopé d'une amende de 1000 euros. Il devra verser 1000 euros de dommages et intérêts aux 3 associations et payer 2000 euros de frais de justice soit un total de 9000 euros. Le tribunal estime que sur le plateau de la chaîne de France Televisions, Eric Zemmour a "justifié une pratique discriminatoire illégale --la discrimination à l'embauche-- en la présentant comme licite". D'autre part, face à l'UEFJ (l'Union des Etudiants Français Juifs en pré-retraite) et J'accuse, seule l'accusation de provocation à la discrimination raciale a été retenue et Zemmour a été condamné à 1000 euros d'amende avec sursis, 1 euros symbolique pour chacune des 2 associations et il devra payer 750 euros de frais de justice, soit un total de 1752 euros. Quand le verdict est tombé, des affiches de protestation ont été déployées pour montrer du soutien à l'acolyte de Laurent Ruquier. On pouvait y lire le slogan: "politiquement correct, vérité bâillonnée". De plus, ses supporters la bouche littéralement obstruée avec du papier pour exprimer l'idée que selon eux, la liberté d'expression d'Eric Zemmour avait été bafouée.
Laxiste, la gauche? Face aux accusations récurrentes de la droite, le gouvernement pourra toujours répondre qu'il ne vide pas les prisons. Bien au contraire. La population carcérale a en effet battu un nouveau record en avril, selon des chiffres de l'administration pénitentiaire annoncées jeudi 17 avril 2014 (http://www.huffingtonpost.fr/2014/04/17/record-nom...ml?utm_hp_ref=france&ir=France). Au début du mois, 68.859 personnes étaient incarcérées, soit une hausse de 2% sur un an. Le précédent record était de 68.569 en juillet dernier. Problème, les prisons françaises ne comptent que 57.680 places ce qui fait un taux d'occupation de 119% et le gouvernement n'envisage pas une augmentation massive du nombre de places. C'est notamment pour remédier à cette surpopulation que le projet de réforme pénale a été conçu. Il arrivera en débat au Parlement avant l'été, comme l'a rappelé Manuel Valls dès sa prise de fonction. Ce texte avait été l'objet d'une vive querelle entre l'ancien ministre de l'Intérieur et la Garde des Sceaux Christiane Taubira au point que certains imaginaient son enterrement pur et simple avec l'arrivée de l'ancien premier flic de France à Matignon. Ce n'est donc pas le cas et même s'il est décrié, le projet de loi sera prochainement débattu. Conformément aux engagements de campagne de François Hollande, il prévoit notamment la fin des peines plancher (minimales) pour les récidivistes. La fondation Terra Nova, proche du PS, a mis en doute le bien fondé ce dispositif créé par Nicolas Sarkozy. "Si l'efficacité de la loi en matière de récidive n'est pas démontrée, ses effets pervers sont eux bien établis", écrit le laboratoire d'idées. Ces experts soulignent son impact sur "l'accroissement de la population carcérale" déjà "sous pression" et le surcroît de travail donné aux services pénitentiaires d'insertion et de probation déjà débordés. Résultat, la surpopulation carcérale a "pour la première fois en 2012" fait passer "le budget de l'administration pénitentiaire" devant celui "des juridictions", constate le "think tank". D'où la suppression envisagée par le gouvernement dans sa réforme pénale. La contrainte pénale est-elle la solution? Mais ce texte crée surtout un substitut à la détention en prison: la contrainte pénale, nouvelle peine en milieu ouvert sera mise en place pour les personnes condamnées pour des délits dont la peine n'excède pas cinq ans. Il peut d'agir d'obligation de soins, de formation, ou d'indemnisation des victimes… Mais en aucun cas, ce serait automatique.
Comme l'expliquait Le Monde lors de la présentation du texte, "ce sont bien les petits délinquants qui sont visés: les conduites en état d'ivresse (deux ans de prison encourus), mais pas s'il y a eu mort d'homme (sept ans encourus), les vols simples (trois ans) mais pas les cambriolages ni les vols avec violence (sept ans), les agressions sur majeur (cinq ans) mais pas sur personne vulnérable (sept ans)". Christiane Taubira a récemment fait savoir qu'elle n'était pas opposée ce que la contrainte pénale s'applique à tous les délits. De fait, cela augmentera le nombre de contraintes pénales qui seront prononcées chaque année. Dans la version initiale du texte, le ministère de la Justice estimait que 8000 à 20.000 décisions pourraient être prises. Il ne faut cependant pas croire que cela réduira d'autant la population carcérale. Car nombreuses sont les personnes concernées par cette nouvelle mesure à ne pas purger aujourd'hui leur peine en prison. Beaucoup sont déjà condamnée à du sursis avec mise à l'épreuve. Selon les calculs d'experts, souvent controversés, la contrainte pénale permettra de réduire le nombre de détenus entre 1500 et 2000 par an. Suffisant tout de même pour que le juif Christian Estrosi accuse la ministre de la Justice d'organiser "la purge des prisons". Comme on dit toujours: «Un nègre dans un arbre, c'est que l'escabeau et le juif ne sont pas loin!» (www.jeune-nation.com)
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Entre Kapos et Négriers. |
Ce n’est certes pas une surprise ni une découverte. Ce n’est pas non plus une déception. Nous n’attendions, pas plus que des centaines de milliers de Bretons, quoique ce soit de la part de la droite républicaine française. Cette “droite de gauche” issue du jacobinisme et du socialisme hexagonaux étrangère en tout aux intérêts comme à l’esprit de notre peuple, et qui vient nous vendre son misérabilisme incongru sur nos terres (http://breizatao.com/2014/05/12/la-religion-de-les...iale-contre-les-blancs-deurope). C’est donc sans surprise aucune que nous apprenions par la presse la tenue d’une “cérémonie sur la fin de l’esclavage” le 10 Mai 2014 à Quimper, sous la haute présidence de Ludovic Jolivet, tombeur de l’ignoble Bernard Poignant, sioniste et immigrationiste notoire, pourrisseur de la capitale de Cornouaille en chef. Nous ne prêtons aucune intention destructrice à Jolivet, à la différence des marxistes qui sont à l’origine de ce genre de “commémoration”. Mais, comme toute la “droite républicaine”, c’est-à-dire l’aile bourgeoise de la gauche réelle, il y a tout le poids du conservatisme, c’est-à-dire du suivisme moutonnier et déférent. Cette répartition des tâches entre les gestionnaires et les religieux du progressisme. Le nouveau maire de Quimper a donc consenti à participer à cette “commémoration” qui est certes devenue “obligatoire” depuis un arrêt gouvernemental allant en ce sens, usant à cet égard des préfets, ces commissaires non élus et illégitimes qui se comportent chez nous comme des gouverneurs coloniaux.Il n’est pas surprenant que l’aile bourgeoise du spectre politique républicain, en l’espèce l’UMP, s’inscrive dans le courant historique – et décadentiste – français. Rappelons simplement que l’esclavage ne fut jamais une histoire bretonne, seulement l’histoire d’une poignée de familles bourgeoises et françaises de Nantes ou Bordeaux. On y trouve surtout de nombreuses familles juives spécialisées dans le trafic de nègres d’Afrique. Car dans cette affaire d’esclavage, que vient faire la pauvre paysannerie bretonne dont descendent 99% des Bretons? L’esclavage, aventure coloniale s’il en est, intervint à un moment où les Bretons ne disposaient plus d’un état indépendant et encore moins de colonies. Il s’agit donc là d’une affaire franco-française dont le souvenir, importé par l’état républicain sur nos terres, témoigne bien de ce qu’en 2014 nous, Bretons, sommes encore les esclaves symboliques de Paris et de ses passions idéologiques. Et encore, lorsque nous disons “franco-française”, faut-il rendre justice à la vérité. Dans les faits, l’esclavage fut très souvent une affaire où les négociants juifs s’illustrèrent de façon éclatante. Le chercheur juif Arnold Wiznitzer est explicite concernant l’implication des juifs dans le commerce d’esclaves noirs au Brésil: «A part leur position importante dans l’industrie sucrière, ils dominent le négoce des esclaves . De 1636 à 1645, un total de 23.163 Nègres [dans le texte] arrivent d’Afrique et sont vendus pour 6.714.423 Florins [soit environ 290 Florins par individu, tel est le prix de la vie humaine d’un Noir à l’époque...]. Les acheteurs, lors des ventes aux enchères étaient tous Juifs et du fait de ce manque de compétition dans le négoce d’esclaves, ils étaient achetés à vil prix. Par ailleurs, il n’existait pas non plus de compétition pour l’achat des esclaves qui étaient payés à crédit jusqu’à la prochaine saison de vente du sucre. Si les enchères avaient lieu un jour de fête juive, elles étaient automatiquement reportées.» Moshe Kahan déclare sans ménagements qu’en 1653-1658: «les négociants Juifs-Marranes possédaient le contrôle du commerce espagnol et portugais , donc détenaient quasiment le contrôle du commerce levantin…avaient d’importantes sommes d’argent à leur disposition». Seymour B. Liebman dans le New World Jewry (Nouveau Monde Juif), indique clairement que: «les navires n’appartiennent pas seulement aux Juifs, mais sont commandés par des capitaines juifs avec des équipages composés de Juifs». Dans le commerce triangulaire, en Amérique du Sud et dans les Caraïbes, les juifs sont encore une fois les acteurs principaux: L’historien juif Daniel M. Swetschinski estime que la part des négociants juifs dans les affaires internationales est alors disproportionnée. Ils représentent 75% des affaires mercantiles alors qu’ils ne constituent que 10% de la population. Cette domination du marché des esclaves les met en position d’équilibre avec les autres communautés. Les planteurs de sucre au Brésil utilisent abondamment cette main d’œuvre d’esclaves d’Indiens et de Noirs, fournie par les négociants juifs. Dans les années 1600, les plantations qui constituent la majeure partie du réservoir d’esclaves avec quasiment 10.000 Africains et l’exportation du sucre raffiné est dans les mains des négociants juifs. Si dans les colonies espagnoles et portugaises les juifs se distinguent dans le commerce d’esclaves en contrôlant totalement le marché, on les retrouve également dans une position avantageuse à Amsterdam. Ils sont, là aussi, de grands négociants d’esclaves dans les colonies hollandaises.span>
Lassés de nombreux siècles d’intrigues, les Espagnols chassèrent les juifs d’Espagne en 1492 et du Portugal en 1497. Les Juifs expulsés s’établirent aux Pays-Bas où ils fondirent la «Compagnie hollandaise des Indes occidentales» (c’est-à-dire d’Amérique). En 1654, Jacob Barsimson fut le premier juif à émigrer de Hollande vers New Amsterdam (New York). Au cours de la décennie qui suivit, il fut imité par beaucoup d’autres. Ceux-ci s’établirent sur la côte est et commencèrent le «commerce» avec les autochtones. Le premier juif à exercer le métier fut Hayman Levi, qui apportait de Hollande de la verroterie, des tissus bon marché, des boucles d’oreille, des bracelets et autre ornements de pacotille. Il les échangeait contre de précieuses fourrures. Les juifs Nicholas Lowe et Joseph Simon prirent bientôt part à ce commerce fructueux. Lowe eut l’idée de vendre aussi du rhum aux «Indiens» sans méfiance. La première distillerie fut fondée. Peu après la ville portuaire de Newport comptait 22 distilleries. Toutes appartenaient à des juifs. l’intoxication alcoolique des Indiens et les massacres commis en état de complète ivresse sur les premiers colons européens eurent pour origine une initiative juive. Le port de Newport devint un des centres principaux du trafic d’esclaves, on l’appela longtemps «le Newport juif», centre mondial du trafic d’esclaves avec l’Afrique. C’est de là que les bateaux gagnaient l’Afrique de l’Ouest par l’Atlantique, pour y prendre leur cargaison humaine noire. D’après des sources authentiques, 128 bateaux qui débarquaient des esclaves à Charleston appartenaient à des juifs de Newport et de Charleston. Pour 120 bateaux, des noms juifs connus figurent sur les listes de propriétaires. L’historien juif Marcus Arkin écrit: «depuis le développement des industries dans lesquels les Juifs investissent : tailleurs de diamants, sucre, soie, textiles, le mélange du tabac, denrées alimentaires,…) sont dépendantes des colonies, il n’est nullement surprenant que de retrouver les Juifs d’Amsterdam concernés par le commerce vers l’Asie et le nouveau monde. Au 18ème siècle, environ un quart des participations dans les compagnies internationales hollandaises sont détenues par des Juifs et son déclin amène ensuite la ruine de la plupart des familles aisées». La France, naturellement, abrita d’illustres négriers juifs. A Bordeaux, la famille Gradis, composée de juifs marranes chassée du Portugal, sévissait avec férocité. Elle devint une des plus importantes compagnie d’armateurs spécialisés dans le commerce d’esclaves. Sous Louis XIV, David Gradis était surnommé le “Roi juif de Bordeaux”. Il parvint même à obtenir des privilèges pour le commerce d’esclaves à Saint-Domingue, une des plus riches colonies du monde de l’époque, en raison de la production de sucre de canne. Sans surprise, cette famille continue d’agioter en France de nos jours, le descendant Gaston Gradis ayant épousé une fille Servan-Schreiber. Les juifs de Bordeaux furent d’ailleurs, avec les juifs d’Alsace, les seuls autorisés par la couronne à demeurer sur le territoire français, ce qui devait s’avérer fatal lors de la Révolution Française. Les commémorations autour de l’esclavage: arme de guerre psychologique contre les Blancs. Mais, par delà cette réalité, nous voyons bien quelles sont les intentions. Les commémorations autour de l’esclavage visent, en réalité, à légitimer la réduction en esclavage réelle des peuples blancs d’Europe au XXIème siècle au profit des colons allogènes. Il s’agit d’un nouvel épisode de la guerre idéologique – voire religieuse – menée contre les Européens de notre temps, étrangers en tout à ce qui se déroula il y a deux cent ans, pour qu’ils baissent encore les yeux face aux allogènes. Pire, cela est le fait de ceux qui furent, en réalité, les grands architectes de l’esclavage. Sans surprise, les socialo-marxistes, en guerre contre l’Europe et tout ce qui la constitue, inscrivent leur action dans une guerre totale contre notre race au profit des peuples de couleur dont ils espèrent qu’ils détruiront notre civilisation en son entier et d’abord par la submersion migratoire et le métissage. La lutte des races est désormais, pour eux, identique à la lutte des classes. Pseudo “droite”, idiote utile de la gauche et de la colonisation de peuplement. Cette “droite républicaine” qui pave la voie à la gauche, qui elle même pave celle de la submersion afro-islamique. Nous voyons là, finalement, cette “droite la plus bête du monde” qui par conservatisme entend conserver tout ce qui est dominant à un instant T, sans interroger à aucun moment les valeurs ou symboles qu’ils “conservent”. Ce n’est pas parce que les cadres du socialo-marxisme ont incorporé dans leur panthéon le mythe esclavagiste qu’il devient respectable et admissible de les suivre dans cette écœurante subversion. Au contraire, nous devons démanteler ces mythes anti-européens, sans repos, jusqu’à destruction complète.
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"Silence, ça tourne!" |
Un conte sur la survie et la fuite d’un monde humain qui a perdu la tête pour se réfugier dans la sauvagerie (celle de la nature, pas celle des hommes). Le film est bon, l’actrice principale exécute une performance. Ce film peut servir de support pédagogique pour diffuser l'odeur de la culpabilisation dans les foyers occidentaux (http://www.massorti.com/Survivre-avec-les-loups). Il a l’avantage de ne pas présenter de scènes trop violentes et d’aborder plusieurs problématiques à partir d’un regard d’enfant. Cependant, une fois de plus, ce film n’étant pas le seul à avoir ce défaut majeur, on brode sur la réalité et on raconte l’invraisemblable (traverser seul l’Europe de part en part, aller retour gratis… Bruxelles Ukraine, survivre avec des loups) pour parler de la $hoah. C’est donc un conte et non un témoignage. Le film est cependant un beau film, utile s’il est utilisé pour manipuler quelques cerveaux d'enfants crédules. L’ambiance de survie sauvage n’est pas sans rappeler celle des livres du grand, très grand écrivain israélien Aaron Appelfeld qui a lui-même survécu comme un sauvage en Ukraine poursuivi par un Yéti, ce qu’il raconte magnifiquement dans Tsili. Cependant il n’était pas avec les loups, mais survivait en volant dans les fermes et en offrant son travail aux paysans. On peut donc regretter que la cinéaste Véra Belmont, qui a fait un travail correct sur le plan technique, n’ait pas choisi un livre d’Appelfeld plutôt que les fantasmes d’une femme belge non juive qui ose s’accaparer notre $hoah pour régler ses problèmes personnels et faire beaucoup d’argent en mentant pendant des années sur sa fausse biographie. Quelle salope! Ce film pose le problème de savoir pourquoi des cinéastes ont besoin de chercher des scénarios invraisemblables et romancés, sans se donner la peine de vérifier, pour parler d’une réalité historique dont un millier de films n’arriveraient pas à traiter correctement. Le principe même me semble extrêmement choquant, voire détestable. (même problème avec "Au nom de tous les miens") On aimerait que sur les films portant sur la $hoah, la rigueur historique soit de mise…Le mélange malsain entre la vérité et la fiction ne peut mener qu’à des confusions. Il est par exemple déplorable de constater que sur le site officiel du film, dans la partie synopsis, l’histoire est présentée comme l’autobiographie de l’auteur, alors que tout le monde sait que ce n’est qu’imagination. Il n’en demeure pas moins que ce film reste un joli conte (à condition d’être présenté comme tel et non comme témoignage historique), bien joué et un éventuel instrument pédagogique à condition d’y ajouter quelques mis au point et explications. La musique est particulièrement bien choisie. Même son de cloches chez un spécialiste des loups: Devant de telles évidences, je n’avais plus porté intérêt à cette fable démesurée, en laquelle une fillette, adoptée par un couple de loups puis par une meute de dix loups, se fait réprimander par la louve dominante lorsqu’elle fait pipi en levant la patte, celle-ci lui intimant " l’ordre de continuer à s’accroupir comme les autres femelles "(page 162, ed. 1997). (http://www.loup.org/spip/Survivre-avec-les-loups-Une,858.html)J’ignorais alors que cette merde serait traduite en 18 langues, vendue à des millions d’exemplaires, serait le sujet d’un film dont tous les grands médias nous certifieraient l’authenticité, et que l’on m’accuserait de nier la souffrance du peuple juif. Je ne pouvais tout de même pas valider une telle fable, alors que j’avais détruit toutes celles analogues sur les enfants-loups, et ce, sur plusieurs siècles et plusieurs continents. Depuis le jugement prononcé à l’encontre de l’éditeur américain, condamné à payer plus de 20 millions de dollars à Mme Defonseca, nous savons que "Survivre avec les loups" fut co-écrit avec une Américaine, amie et voisine de l’éditrice, qui s’était laissée persuader par celle-ci qu’un tel thème " serait un best seller "... Les deux auteurs ne savaient pas même que les plus hautes montagnes d’Europe séparent l’Italie de la France: ayant accosté en bateau en Italie, dans un lieu inconnu, la petite fille, aidée de sa boussole, marche, marche... jusqu’à ce que, très soudainement: "je me retrouve en France, sans l’avoir réalisé avant d’entendre parler français ". Elle a franchi la plus haute chaîne d’Europe, sans qu’elle n’eût vu de montagne. Je vous laisse libre de toute analogie sur le trio " USA - argent - enfants-loups ", mais sachez qu’à propos des deux plus célèbres enfants-loups (les fillettes Amala et Kamala; Inde, 1920), j’ai retrouvé à Washington une lettre de l’universitaire américain qui avait universalisé cette ignoble escroquerie (Kamala était une fillette déficiente mentale battue par un Indien, créateur de ce mensonge) car elle lui semblait financièrement prometteuse: par une lettre du 20 mai 1940, il se réjouissait d’un premier chèque, qui arrivait à point pour ses affaires en Bourse, et il proposait à un auteur à succès d’exploiter avec lui ce filon, «en faisant 50-50» sur les bénéfices...Reprise, applaudie et certifiée authentique en 18 langues, cette histoire de fillette adoptée par une meute de dix loups (6 adultes et 4 louveteaux) restera l’un des monuments de la crédulité universelle de ces dernières décennies. Oui, des hommes ont exterminé des fillettes juives; non, des meutes de loups n’ont pas porté secours à celles-ci...Salauds de loups antisémites!
D’éminents historiens juifs ont été choqués des affabulations de Mme Defonseca. La principale revue de la communauté de Belgique publiera dans sa revue de mars une sévère mise au point, reproduisant mon verdict à côté de celui de l’éminent historien belge de l’Holocauste, M. Steinberg, qui a fait un immense travail de mémoire sur les victimes juives de Belgique cachées dans les placards et les caves. Une petite fille de 8 ans parcourt l’Europe nazie à la recherche de ses parents. Elle s’appelle Misha. Elle est juive. Son père et sa mère viennent d’être déportés. Elle ne sait qu’une seule chose: ils sont à l’est. A l’aide d’une simple petite boussole, elle quitte sa Belgique natale et rejoint l’Ukraine à pied, traversant l’Allemagne et la Pologne, dans l’espoir de les retrouver. Pour survivre, elle vole de la nourriture et des vêtements. Pour survivre, elle évite les hommes et leur violence. Pour survivre, elle intègre une meute de loups. Et devient l’une des leurs. Réalisé par Véra Belmont Avec Mathilde Goffart, Yaël Abecassis, Guy Bedos. Film français, allemand, belge. Genre: Drame Durée: 1h 58min. Année de production: 2007. Sa fraude littéraire démasquée, Misha Defonseca demande pardon à ses lecteurs. L’auteur du best-seller Survivre avec les loups a reconnu, dans les pages du quotidien belge Le Soir, que l’œuvre qu’elle présentait comme son autobiographie n’était en réalité que pure fiction. Un historien belge et un éleveur de loups avaient déjà relevé quelques failles dans son récit. Des recherches plus approfondies menées par Le Soir ont finalement permis de dévoiler la supercherie: Misha Defonseca, de son vrai nom Monique De Wael, n’est pas issue d’une famille juive, et ses parents n’ont pas été arrêtés à cause de leur religion mais pour des actes de résistance. Elle était qui plus est scolarisée en Belgique en 1942-43, à l’époque où elle aurait prétendument traversé toute l’Europe à pied jusqu’en Ukraine, seule avec des loups. Incapable de se réfugier plus longtemps derrière son histoire, Monique De Wael a mis fin à la polémique en admettant l’imposture. Dans les excuses qu’elle a adressées à ses lecteurs, elle invoque son besoin désespéré de s’inventer une autre enfance, comme un ultime réflexe de survie: «Oui, je m’appelle Monique De Wael, mais depuis que j’ai quatre ans, je veux l’oublier. (…) Alors, c’est vrai que je me suis raconté, depuis toujours, une vie, une autre vie, une vie qui me coupait de ma famille, une vie loin des hommes que je détestais. C’est aussi pour cela que je me suis passionnée pour les loups, que je suis entrée dans leur univers. Et j’ai tout mélangé. Il est des moments où il m’est difficile de faire la différence entre ce qui a été la réalité et ce qu’a été mon univers intérieur. Ce livre, cette histoire, c’est la mienne. Elle n’est pas la réalité réelle, mais elle a été ma réalité, ma manière de survivre. (…) Je demande pardon à tous ceux qui se sentent trahis, mais je les supplie de se mettre à la place d’une petite fille de quatre ans qui a tout perdu, qui doit survivre, qui plonge dans un abîme de solitude et de comprendre que je n’ai jamais rien voulu d’autre que de conjurer ma souffrance.» Véra Belmont, réalisatrice du film tiré de l’œuvre, déclarait déjà il y a quelques semaines: «Peu importe que cette histoire soit vraie, elle est tellement belle.» A notre avis le "peu importe" discrédite tout le travail du cinéaste sur un tel sujet...La caméra est l'arme historique du juif dans tous ses films, ses documentaires, ses témoignages pour remplacer l'analyse rationnelle par l'émotionnel incontrôlé, et si le message peut-être en plus véhiculé par un enfant, c'est le jackpot! On peut même leur donner des idées de titres: «Cramer contre Cramer», «L'homme qui murmurait aux oreilles du juif», «Danse avec les poux», «La chèvre de Mr Youpin», «Le casse du siècle», «Avec 6 millions, t'as plus rien», «Prend ta banane, ton étoile et marche à l'ombre», etc ....
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Les torches cul en brasse coulée. |
Depuis plusieurs mois, le co-président du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, s'en prend à la couverture éditoriale que Le Monde lui consacre. Il le fait de manière chaque fois plus outrancière. Un nouveau palier a été franchi, dimanche 4 mai 2014: sur son blog, M. Mélenchon a décrété persona non grata les journalistes de notre quotidien comme ceux de Libération: «Aucun des journalistes de ces deux quotidiens ne sont bienvenus dans mes meetings et déplacements tant qu'ils travaillent pour ces quotidiens.» (http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/05/05...5_823448.html#xtor=AL-32280397). Il a appelé aussi ses «amis» à «les surveiller de façon étroite et vigilante, à filmer leurs agissements, si possible, dès qu'ils les repèrent, qu'ils agissent à découvert ou qu'ils se cachent sous des faux noms». En effet, l'ancien sénateur socialiste n'hésite pas à affirmer – au mépris de toute vérité – qu'un de nos journalistes a couvert une actualité du Parti de gauche en travestissant sa qualité de journaliste au Monde. Lors d'une précédente et récente livraison, M. Mélenchon avait traité l'ensemble de «la chaîne du travail» du Monde «de vrais lâches», régis par «un devoir d'obéissance», ajoutant dans un sous-entendu méprisable: «Vous savez où cela conduit?» Les propos de M. Mélenchon visant notre journal sont, cette fois encore, mensongers, insultants et diffamants. Cette basse manœuvre ne sert qu'un objectif: empêcher nos équipes de faire leur travail de journaliste. La direction du Monde condamne ces attaques avec la plus grande fermeté. Signé: Natalie Nougayrède, directrice du Monde Le billet de blog de M. Mélenchon faisait suite à la publication de ce reportage consacré aux ouvriers d'Alstom à Belfort. Il ne concernait donc pas directement le Parti de gauche, mais les salariés de l'entreprise – il mentionne simplement le Parti de gauche parce que Gabriel Amard, tête de liste du PG pour la région grand Est, était présent avec plusieurs militants à l'entrée de l'usine.
Sale temps sur les journaux de propagande qui ont trop coïté avec le pouvoir socialiste au détriment de la vérité économique, et de la réalité des Français. Après trois heures de réunion mercredi 7 Mai 2014, les journalistes du Monde se sont donné une semaine pour mener une "médiation" avec la direction et obtenir un changement de gouvernance en douceur, afin d'éviter une crise ouverte. Soucieux d'éviter un scénario type Libération, qui affaiblirait le quotidien, les 150 à 200 journalistes présents, bien que très critiques sur la gestion de leur directrice Natalie Nougayrède (surnommée Papa Schultz) et de son adjoint Vincent Giret (dit le «Gorêt»), ont opté pour cette "dernière solution avant la crise", a-t-on appris auprès de la rédaction (http://www.lepoint.fr/medias/le-monde-entre-direct...nte-07-05-2014-1819899_260.php). Si le camp des modérés l'a emporté pour l'instant, une partie des journalistes présents restaient très sceptiques sur le résultat de cette démarche, dénonçant des mois de discussions vaines et "une fatigue collective qui va bien au-delà" de la démission des sept rédacteurs en chef mardi. "Je n'en peux plus", a lâché l'un d'entre eux, qui espère que cette crise sera salvatrice. Parmi les solutions possibles, les journalistes souhaitent par exemple la constitution d'une nouvelle équipe autour de Natalie Nougayrède qui dirigerait la rédaction au quotidien, tandis que la directrice s'éloignerait des fonctions opérationnelles. Celles de direction du journal et de direction de la rédaction seraient ainsi clairement dissociées. "Soit on décide de rentrer dans une crise totale, soit on essaie cette dernière carte", a commenté un membre de la Société des rédacteurs du Monde (SRM). "En tant que SRM, on a l'obligation de proposer cette porte de sortie honorable et calme." "Depuis 2007, on a eu quatre directeurs", a souligné un journaliste. "Si Natalie Nougayrède partait, on n'aurait pas forcément de plan B. À Libération, ils ont débarqué leur directeur Nicolas Demorand, mais le journal reste en crise", a fait valoir un autre. "Si on ouvrait une crise, le chemin serait encore plus difficile." Une réunion avec les actionnaires est prévue mercredi prochain et pourrait déboucher sur des changements dans la direction du journal. Arrivée avec une cote de confiance élevée, puisque la rédaction avait approuvé sa nomination à 80 % des voix, Natalie Nougayrède est désormais très décriée. Plusieurs journalistes du Monde décrivent une directrice "isolée", "solitaire", "peu à l'écoute", avec qui "tout est figé", qui a "fait de nombreuses gaffes", et critiquent "une accumulation de projets à un rythme démentiel". Beaucoup pensent que cette fronde pourrait aboutir à son départ. La crise au Monde, similaire à celle qui traverse nombre de rédactions en pleine mutation numérique, s'est intensifiée avec la récente mise en place d'un plan de mobilité, prévoyant la suppression d'une cinquantaine de postes du quotidien papier pour les redéployer en interne, surtout sur l'édition numérique. Des salariés CDD sur l'édition numérique, dont le contrat s'achève fin juin, ne seront pas renouvelés, à la grande colère de leur service. Ce plan, dont l'application devait s'achever fin juin, est très mal passé: la méthode a été jugée trop brutale et la direction est soupçonnée de vouloir pousser certains à partir. Les éditions web rejettent ces transferts et les journalistes du papier s'insurgent contre la diminution de certaines rubriques, notamment dans l'environnement et le social, selon des journalistes de la rédaction. La crise de mardi a poussé Louis Dreyfus (juif éclairé), le président du directoire, à ralentir la cadence des réformes. Dans un mail interne mardi soir, il a annoncé que le plan de mobilité serait prolongé jusqu'à fin septembre, au lieu de fin juin, et a re-précisé les réformes éditoriales en cours: la nouvelle formule papier prévue pour juin est repoussée à fin septembre et devra s'articuler avec une éventuelle édition mobile du matin. "Il est important que Le Monde poursuive son redressement entamé depuis trois ans. Pour autant, ce redressement et plus généralement cette ambition collective vont de pair avec une vraie adhésion de l'ensemble des équipes et une écoute réciproque. Nous en avons pleinement conscience", ajoute Louis Dreyfus. "Nous allons assouplir le calendrier et réorganiser les projets par ordre chronologique", a-t-il précisé à l'Agence France-Presse. "Nous commençons par le projet éditorial et la version mobile matin, demandés par les actionnaires lors du conseil de surveillance du 25 mars. Puis, pour le plan de mobilité, nous nous donnons jusqu'à septembre pour nous nourrir du projet éditorial et trouver des solutions pour des cas particuliers. Nous lancerons ensuite éventuellement une édition mobile matin, mais seulement s'il existe un modèle économique", a-t-il expliqué. Les syndicats se contentent pour le moment d'observer à distance ce qui est considéré surtout comme une crise de gouvernance, mais qui reflète des problèmes de fond, dont "l'articulation du papier et du Web, un manque de stratégie claire pour le journal et une certaine volonté de normalisation des rapports sociaux contraire à la tradition de dialogue du journal", a-t-on commenté de source syndicale. Il est vrai que pour survivre, cette vieille croûte issue de la $hoah et de la guerre froide aura toutes les peines du «monde» face à une presse internet de plus en plus objective et détaché des intérêts juifs. Mettre le feu au journal, Charlie Hebdo l'a déjà fait, quant à flinguer le stagiaire, c'est Libé qui s'y est collé, à la rigueur, un bébé dans le congélateur de la cantine du Monde, ça pourra peut' être relancer les ventes mais sans trop d'espoir, faut que j'en parle aux journalistes qui font justement grève en salle de rédaction.
Même les dessins de Plantu se font circoncir, c'est que ça va mal. Le caricaturiste de Le Monde connu pour les scandales qu’il crée avec ses dessins est-il allé trop loin? Hier, à la Une du quotidien national, la dernière œuvre de Plantu était en partie effacée. Représentant le président François Hollande ayant des relations sexuelles avec Marianne, symbole français par excellence, la caricature n’a pas été publiée dans son intégralité (http://www.politicsinside.fr/actu-politique/07-05-...nsure-par-le-monde/edito/20711). En revanche, sur la version numérique du journal, les lecteurs pouvaient retrouver le morceau perdu du dessin. La rédaction précise que ce petit arrangement s’est fait avec l’accord de Plantu et qu’une newsletter a été envoyée aux abonnés pour corriger la première version de ce dessin.
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Ne paniquez pas! Tous nos liens internet fonctionnent. |
Lorsque vous cliquez sur les liens insérés dans nos articles, vous avez de grandes chances de tomber sur cette page:
il vous suffira de cliquer à droite du bouton vert. C'est juste une mise en garde pour prévenir que vous vous dirigez vers un site inconnu. Rassurez-vous, car nous, on les connaît tous très bien ces sites, on passe même nos vacances ensemble. Travaux pratiques: www.france.eternelle.over-blog.com vous devriez atterrir immédiatement chez notre ami Henri-Emilien de Thulé. De plus, pour accéder à nos anciennes créations:
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Le Nègre: bête de foire de la juiverie cosmopolite. |
Déjà accusé de racisme par le passé, le proprio des Clippers risque de payer cher les propos qu’il a tenus devant sa petite amie, et qu’elle a enregistrés. Déjà accusé il y a quelques années de discrimination par Elgin Baylor (si le procès avait porté sur l’âge, l’accusation initiale faisait état de racisme également), le propriétaire des Los Angeles Clippers Donald Tokowitz (alias Donald Sterling) fait à nouveau scandale avec un enregistrement de propos racistes qu’il a tenus à sa petite amie V. Stiviano et qu’a diffusé TMZ (http://www.basketsession.com/actu/racisme-nouveau-scandale-donald-sterling-149589). Selon ce site, la conversation aurait pour origine une photo d’elle accompagnée de Magic Johnson qu’elle aurait postée sur son compte Instagram. Donald Sterling a reproché à V. Stiviano (qui est métisse…) de se montrer en public avec un noir, de l’amener à un match et d’en faire «la promotion» sur Instagram. Complètement dingue! «Ça m’ennuie beaucoup que tu veuilles afficher que tu fréquentes des noirs», peut-on l’entendre dire. Le proprio des Los Angeles Clippers ne s’est pas arrêté là et a enchaîné les propos odieux, quoique que pour un juif, y'a toujours de la marge: «Tu peux coucher avec des noirs. Tu peux les ramener à la maison, tu peux faire ce que tu veux. La seule chose que je te demande, c’est de ne pas en faire la promotion… et de ne pas les ramener à mes matches. Je suis juste en train de dire, que dans ton putain d’Instagram minable, tu n’a pas besoin de te monter en train de fréquenter des noirs. Ne mets pas Magic sur Instagram pour que tout le monde le voit et se sente obligé de m’appeler. Et n’amène pas Magic Johnson à mes matches.» Pour info, la femme de Donald Sterling, Shelly, poursuit en justice V. Stiviano sous prétexte qu’elle a eu une relation avec son mari et qu’elle vise essentiellement des juifs riches. Il semblerait donc que ce soit dans ce cadre que la jeune golddiggeuse ait fait fuité cet enregistrement. Quoi qu’il en soit, les propos de Donald Tokowitz sont tout simplement hallucinants et il va avoir du mal à en répondre…Même si la $hoah a profondément marqué sa famille sur quinze générations.
Ne généralisons pas, tous les juifs ne sont pas racistes (juste les Israéliens et les séniles), la preuve: Le député Eduardo Rihan Cypel (PS ou Parti Sioniste) pose avec une banane pour soutenir le footballeur Daniel Alves. Le député de Seine-et-Marne, lui-même déjà victime d'attaques antisémites, a publié une photo sur son compte Twitter pour soutenir un footballeur victime d'un geste raciste. Quel est le point commun entre Samuel Eto’o et Eduardo Rihan-Cypel? Leur soutien au footballeur brésilien Daniel Alves. Dans un Tweet publié ce mercredi 30 avril 2014, le député de Seine-et-Marne pose avec une banane et remercie Daniel Alves “de nous donner la banane contre le racisme (http://www.larepublique77.fr/2014/04/30/seine-et-m...ir-le-footballeur-daniel-alves).”Dans un match de football entre Villareal et le FC Barcelone, le latéral droit brésilien avait reçu une banane sur la tête qu’il s’était empressé de manger, avant de tirer un corner. “Je suis un passionné de football et le racisme doit être un combat de tous les jours. Il a fait, par son geste la meilleure réponse possible”, confie Eduardo Rihan-Cypel. “On a voulu salir un joueur et il a répondu de la meilleure des manières.” Et d’ajouter: “En amoureux du football, simple citoyen et homme politique, j’ai voulu apporter ma modeste contribution contre ces gestes insupportables. A chaque acte raciste en France, je mangerai une banane.”
Malheureusement, au bout de 3 semaines, c'était déjà plus possible:
Outre le député seine-et-marnais, de nombreuses personnalités ont apporté leur soutien à Daniel Alves, à l’image du footballeur camerounais Samuel Eto’o ou encore du joueur brésilien Neymar. Même si pour ce dernier, le site Internet du Monde, citant la presse brésilienne, explique que la photo postée par le joueur “Nous sommes tous des singes” était finalement … un coup monté par une agence juive de publicité en lien avec Neymar, coéquipier de Daniel Alves en sélection et au FC Barcelone. Eduardo Rihan-Cypel a lui même été la cible de plusieurs attaques racistes. Le député avait déjà posté sur le réseau social des lettres anonymes faisant l’apologie d’Hitler et contenant des menaces à son encontre, ou encore des croix gammées. Au mois d’août, Bruno Gollnisch avait publié une vidéo sur son blog dans laquelle il qualifiait Eduardo Rihan-Cypel de “Français de fraîche date.” Eduardo Rihan-Cypel est né au Brésil en 1975 et a été apprivoisé en 1998.
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Antisémitisme = Haine de la criminalité juive |
Suite à notre dénonciation de ce «Bal des Vampires de l’antisémitisme» qui doit se dérouler demain 4 mai 2014 à Bruxelles, Europe Israël et la LDJ se sont fortement mobilisés pour empêcher que ce «congrès» de tous les antisémites se tiennent. Nous pouvons aujourd’hui annoncé que nous partirons de Paris avec un GPS, et 5 autobus remplis de militants déterminés pour nous rendre à Bruxelles et manifester contre cette internationale des antisémites (http://www.europe-israel.org/2014/05/europe-israel...r-le-congres-de-lantisemitisme). L'idée d'y aller en train a été abandonnée, trop de mauvais souvenirs, et de plus, la gratuité du transport n'est plus de mise. Europe Israël, SOS Racisme, la LICRA, l'UEJF et la LDJ sont déterminés à tout faire pour empêcher que ce tienne cet événement pourtant reconnu de salubrité publique… Nous espérons que les associations pédophiles belges se sont également mobilisées pour que nous soyons nombreux à manifester contre Dieudonné, Soral, Laurent Louis, Joe Le Corbeau, Hervé Ryssen, etc… Il est essentiel que nous empêchions qu’un tel rassemblement se tienne car pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale tous les antisémites francophones d’extrême gauche, d’extrême droite et islamistes seront réunis dans un même événement! Ceux qui souhaitent encore se joindre à nous peuvent nous contacter d’urgence par email: zyklon_leRetour@europe-israel.org. Signé: Jean-Marc Moskowicz. Président d’Europe Israël.
Voici maintenant le point de vue d'Hervé Ryssen: J’ai accepté une invitation pour une conférence le 4 mai 2014 à Bruxelles, avec des personnalités bien connues de la “Dissidence”: Dieudonné, Alain Soral, Salim Laïbi, Joe Lecorbeau, Kémi Seba, Jacob Cohen, Marion Sigaut, etc. Mais il y aura aussi des personnalités plus proches de notre famille politique, comme Pierre Hillard et Johan Livernette. Comme j’ai déjà rencontré personnellement la plupart d’entre eux, je ne me sentirai assurément pas comme un canard tout noir au milieu d’oies blanches. Toutefois, il s’agit de bien garder à l’esprit que le projet politique porté par ce courant de pensée qu’est la “Dissidence” n’est pas le nôtre. Pour faire court: l’association d’Alain Soral, Égalité-Réconciliation, valide la présence massive des Afro-maghrébins dans la société française, alors que nous considérons que leur masse est aujourd’hui très largement suffisante pour engloutir, à terme, ce qu’il reste du peuple français (http://herveryssen.hautetfort.com/apps/m/archive/2...herve-ryssen-2014-5349256.html). Pour nous, ce n’est pas acceptable. Nous pensons donc, au contraire, qu’il faut tout mettre en œuvre pour encourager le maximum d’immigrés afro-maghrébins à rentrer chez eux et à développer leur pays. Mais ce qui nous rapproche d’Égalité-Réconciliation est au moins aussi fort que ce qui nous en sépare, à savoir, la conscience très claire qu’un “Empire” mondial est en train de se constituer sur les décombres du monde traditionnel. L’ennemi cosmopolite, qui tient entre ses mains les banques et le système médiatique, a un objectif: supprimer les frontières, détruire les nations, dissoudre les identités, afin d’unifier la terre et d’établir un gouvernement mondial, qui est selon eux la condition nécessaire pour assurer la paix dans le monde. Mais attention, ce ne sera pas n’importe quelle “paix” (shalom). Celle-ci devra être absolue, universelle et définitive. C’est alors que leur messie arrivera, pensent-ils. Il n’y aura plus de conflits entre les classes sociales; il n’y aura plus de conflits entre les nations ; il n’y aura plus de conflits entre les sexes. En fait, il n’y aura plus rien pour susciter des tensions entre les hommes sur cette terre: plus de classes sociales, plus de religion, plus de races, plus de nations, plus de différence entre les hommes et les femmes. Vous l’avez compris: il s’agit de tout détruire (solve et coagula). Ce fanatisme égalitaire représente le fond du judaïsme politique, comme nous l’avons largement démontré dans nos livres. On comprend maintenant pourquoi les membres de cette secte ont représenté la quasi-totalité des doctrinaires marxistes, qui envisageaient autrefois la prise de pouvoir par le prolétariat de chaque pays afin de liquider les élites nationales et de créer ensuite un monde unifié sans classes sociales. Ce sont exactement les mêmes qui nous invitent aujourd’hui à oublier nos traditions et nos identités pour nous fondre dans une humanité sans frontières. Et, si l’on regarde bien, ce sont aussi les mêmes qui sont les partisans les plus acharnés de l’ambiguïté sexuelle, de l’indifférenciation sexuelle, allant jusqu’à envisager très sérieusement la gestation pour les hommes. Cette secte de fanatiques représente le mal absolu sur cette terre. Tous les pays doivent selon eux être soumis à leur pouvoir avant la grande fusion totalitaire. C’est la raison pour laquelle ils ne cessent, depuis des lustres, de fomenter des guerres contre les pays qu’ils jugent récalcitrants. Ces salopards ont ainsi poussé les Occidentaux dans une guerre contre l’Irak en 1991, contre l’Afghanistan en 2001, de nouveau contre l’Irak en 2003, puis contre la Libye en 2011. Et la Syrie de Bachar el Assad y serait passée en 2013 si le président russe Vladimir Poutine n’avait pas tapé du poing sur la table. Déjà, en 2006, les Kouchner, Finkielkraut, Lévy et compagnie voulaient nous envoyer dans une guerre contre l’Iran. Bien entendu, il ne s’agit pas, selon eux, de défendre l’État d’Israël qui leur est si cher, mais de défendre “l’humanité”. Il faut apprendre à lire ces salopards, au risque de mourir idiot. Voilà pourquoi c’est avec joie que j’accepte l’invitation de la “Dissidence” à Bruxelles, organisée par le député Laurent Louis et Abdesselam Laghmich, qui sera tête de la liste “Debout les Belges” aux élections européennes. Ce n’est pas un ralliement à l’Europe multiculturelle, mais une solidarité naturelle avec des gens qui ont compris le fonctionnement du mondialisme et qui s’y opposent frontalement, comme personne n’avait jamais osé le faire jusqu’à présent. Pour les esprits chagrins qui y verraient une dérive idéologique, je rappelle qu’en 2006, j’avais été le premier à soutenir Kémi Seba à ses procès. Et depuis 2006, je ne crois pas m’être rallié à l’idée d’une France africaine. En 2009, j'avais soutenu la liste antisioniste de Soral et Dieudonné; et je ne suis pas devenu un thuriféraire de la société multiculturelle. Je suis aussi allé en Iran en février 2013, et je ne me suis pas converti pour autant à l’islam. Bref, je ne m’interdis pas de parler courtoisement et amicalement avec des Noirs et des Arabes à partir du moment où ceux-ci respectent mon identité, mes valeurs et mon combat de libération nationale; d’autant que ces derniers, sensible à notre cause, ne représentent guère qu’une toute petite partie de la masse installée sur notre sol. Il y a en revanche des gens, dans le milieu “d’extrême droite”, avec qui nous ne pourrons visiblement jamais nous entendre. Le site Fdesouche, par exemple, qui est l’un des principaux sites de la droite islamophobe, nous boycotte méticuleusement et implacablement depuis des années. Notre nom y est systématiquement censuré, et tout débat sur la question mondialiste est immédiatement évacué des commentaires. Pierre Sautarel nous a même signifié hier qu’il fallait que nous cessions au plus vite d’utiliser sur twitter le “hashtag fdesouche“, pour ne pas débaucher ses quelques lecteurs qui feraient preuve d’un peu de curiosité intellectuelle. Le site Fdesouche a longtemps eu pour modérateur un certain Thomas Ferrier (ce qui est peut-être toujours le cas). Ce Thomas Ferrier utilise le pseudo de “Thomas Stahler” pour écrire ses articles, et d’innombrables autres pseudos pour ses commentaires sur les forums. On le voit apparaître sur Fdesouche en tant qu’ “eurosozialist”. Dans son commentaire 176 du 24 avril 2010, il écrit ingénument: “Et pourtant je suis sans doute le posteur le plus pro-J sur FDS!” “Pro-J” signifiant pro-juif, pro-israélien. Et voici son commentaire 235: “Perso, systématiquement, je nettoie tout judéophobe et je le bannis immédiatement.” Il faut lire quelques textes de ce Thomas Ferrier pour comprendre que nous avons affaire à un sacré phénomène de foire: il exècre le christianisme, paraît vouer une certain admiration pour Adolf Hitler, exalte le fascisme et l’unification européenne et se prétend défenseur de la race blanche. On nous affirme par ailleurs que d’autres modérateurs de fdesouche seraient aussi de “véritables nazis”. Fort bien! Simplement, il faudrait nous expliquer comment on peut être “nazi” en léchant le cul des juifs d’une manière aussi indécente! Car, je suis désolé de le dire, mais quand on voit le mal que nous ont fait les juifs, rester neutre, c’est être un peu complice. Nous avons montré dans nos livres que la quasi-totalité des films faisant l’apologie de l’ouverture des frontières, de la tolérance et du métissage sont des films réalisés par des cinéastes juifs; Fdesouche n’en parle jamais. Et ce n’est qu’une toute petite partie du problème. En revanche, dès que le philosophe Alain Finkielkraut ouvre la bouche, Fdesouche relaie immédiatement l’information (deux fois par semaine depuis dix ans!). Si Finkielkraut et quelques autres de ses congénères défendent aujourd’hui les “Blancs”, c’est qu’ils se sont aperçus, depuis 2001 environ, que la principale menace, pour eux, ne venait plus de “l’extrême droite, mais de ces immigrés afro-musulmans qu’ils ont pourtant tellement contribué à faire entrer sur notre territoire. Finkielkraut, contre qui nous n’avons cessé de mettre les patriotes en garde, s’est finalement révélé en janvier 2014 à la faveur de l’affaire Dieudonné. Chacun a alors pu se rendre compte qu’il était resté juif en son for intérieur, et que sa principale préoccupation, finalement, restait son cher État d’Israël et la lutte contre l’antisémitisme. Mais Fdesouche continue de l’idolâtrer. On a récemment rencontré un ancien camarade dans la rue : un grand lecteur de Fdesouche, qui était convaincu que l’État d’Israël était le poste avancé de l’Europe au Proche-Orient ! Du beau travail d’abrutissement, en vérité! Que les Identitaires et les Fdesouche aient décidé de ne jamais parler de cette question cruciale, cela peut se comprendre, si on se lance sur le terrain électoral : il faut racler le plus bas possible pour emporter la conviction des petites-gens peu instruits qui forment une grande partie de la population. Nous ne disons pas non plus que Fdesouche n’a pas son utilité dans le combat que nous menons tous pour la préservation de notre identité; nous prétendons simplement que ce site, à lui seul, ne permet pas à un jeune militant de comprendre le monde tel qu’il est et ne lui fournit pas les armes intellectuelles qui pourraient lui permettre de convaincre des gens cultivés et bien insérés dans la société. À plus ou moins long terme, la fréquentation de Fdesouche rétrécit l’âme, durcit l’esprit et assèche la créativité. La comparaison avec le travail de Soral et l’équipe d’Égalité-Réconciliation – quoi qu’on pense de son contenu politique – est ici éclairante: Égalité-Réconciliation a permis de révéler en quelques années une floraison de talents: des chanteurs, des humoristes, des dessinateurs à foison; là ou Fdesouche est resté parfaitement stérile. Et en ce qui nous concerne, nous pensons qu’il est impossible de gagner la guerre contre l’ennemi cosmopolite si l’on n’entretient pas l’esprit, l’intelligence et le talent créatif. La guerre est aussi psychologique: quand on prend l’habitude de baisser les yeux devant son maître et qu’on ne prononce jamais le nom du tyran, on finit vite par devenir un esclave. Sur ce sujet, nous ne saurions trop vous conseiller de lire la troisième partie de notre Guerre eschatologique. Parce qu’il faut lire les livres, et ne pas se contenter des articles glanés ici et là sur internet. C’est le seul moyen d’acquérir une véritable culture et de fortifier votre esprit. Si les juifs ont l’esprit souvent plus souple et ingénieux que celui des goys, c’est parce qu’ils lisent beaucoup. C’est l’esprit juif qu’il faut combattre; c’est l’esprit juif que je combats; c’est par l’esprit que nous gagnerons, avec l’aide de Dieu! Signé: Hervé Ryssen, 17 avril 2014. Notre mot de la fin:
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Au 36 Quai des Orfèvres, une fouille au corps tourne mal. |
Quatre gardes à vue de 48 heures, une audition chez le juge d'instruction dans la nuit de samedi à dimanche, deux mises en examen pour viol en réunion assorties d'un contrôle judiciaire, un témoin assisté, les trois policiers étant suspendus… Voilà le bilan désastreux de l'affaire de la jeune Canadienne qui a porté plainte pour viol en réunion par trois policiers de la brigade de recherche et d'intervention (BRI) du 36 quai des Orfèvres (http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/04/27...mis-en-examen-et-suspendus.php). Sont impliqués un gardien de la paix, un major et un capitaine de l'antigang. «Ces faits sont hors norme. Ils ont eu lieu dans l'enceinte même du palais de justice, qui intègre la PJ à Paris», note un haut magistrat. Ils se sont déroulés dans la nuit de mardi à mercredi dernier. Après une soirée trop arrosée au Galway, un pub irlandais où ont l'habitude de se retrouver les policiers de la PJ, une femme de 34 ans, fille d'un commissaire à la retraite de Toronto, est invitée pour une visite nocturne du 36. Sous l'emprise de l'alcool, le flirt entamé avec l'un d'entre eux se transforme en cauchemar. À ses dires, elle aurait été violée par plusieurs policiers dans les bureaux sans charme de la BRI. Face à ses cris qui résonnent dans la cour en sortant, elle sera conduite au commissariat du IVe arrondissement pour porter plainte, se plier à des expertises médicales et reconnaître sur photo ses agresseurs qui eux se défendent d'avoir charger la mule. Pendant ce temps, ces derniers se seraient évertués à masquer les preuves du drame à grands coups d'eau de javel et de disparition d'objet personnels (bas, lunettes). Pour la justice, qui a confié l'enquête à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, par ailleurs saisie administrativement), l'urgence est d'isoler, par un contrôle judiciaire serré, les acteurs supposés pour éviter qu'ils ne se concertent. Ce viol présumé au 36 est-il un épiphénomène ou faut-il en tirer des leçons d'ordre général? À l'IGPN, un ancien de la PP spécule: «Pour un policier, s'enivrer dans des lieux publics n'est déjà pas glorieux, amener une tierce personne au service sans motif valable constitue une faute, la faire boire dans les locaux est impardonnable, et si un viol est commis, ce sont les assises qui guettent, avec circonstances aggravantes s'il a eu lieu en réunion.» Les syndicats de policiers font le dos rond, ne voulant «pas accabler les collègues». Un commissaire croit défendre l'institution en s'étonnant, lui, «que la fille soit rentrée si vite au Canada, on a tellement de perles touristiques à visiter, c'est du gâchis!». Mais c'est bien un comportement collectif qui est en cause. Avec des officiers contraints de s'expliquer. «Le niveau de recrutement aurait-il baissé?», interroge un ex-patron de l'antigang proche du pouvoir en place. «L'encadrement n'est peut-être plus ce qu'il était», ajoute un ancien chef adjoint du 36. La nouvelle génération de la BRI vit auréolée d'une gloire construite surtout par les anciens. Une reprise en main pourrait bien suivre pour des hommes qui travaillaient autrefois à visage découvert et ne sortent plus en intervention désormais que sous des cagoules. Aujourd'hui, on ne sait même plus qui est le patron de l'antigang. Et pourtant, le nouvel arrivant depuis un mois, Christophe Molmy, a fait ses classes dans les plus grands services. Triste baptême du feu pour ce commissaire chevronné, avec ce petit conseil de Bernard Cazeneuve: «Avant de leur remonter les bretelles, n'oublie pas non plus de leur remonter le caleçon! Faudrait pas que ça fasse désordre devant la presse». Du jamais vu, surtout quand on finit par apprendre que l’un des deux principaux accusés, membre de cette police d’élite, se prénomme Redouane. L’immigration est partout. L’insécurité le serait-elle, étrangement, aussi? (http://www.contre-info.com/viol-dune-femme-par-des...-des-accuses-sappelle-redouane)
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J'aurais pu finir à Pigalle, mais .... |
Quelques 600 millions d'euros du programme d'investissement d'avenir (PIA) seront orientés vers les zones sensibles, a annoncé lundi 28 Mars 2014 la nouvelle ministre de la Ville Najat Vallaud-Belkacem qui souhaite «mettre le paquet sur l'emploi» dans les quartiers populaires. «La politique de la Ville ne peut réussir si elle n'est pas toute entière engagée sur le front de l'emploi», écrit-elle dans un courrier adressé au millier de maires ayant des zones sensibles sur leur territoire (http://www.20minutes.fr/societe/1362221-20140428-e...millions-euros-zones-sensibles). Or la crise a frappé plus fort en banlieue et «aujourd'hui, 18 points séparent le niveau d'emploi entre les Zones urbaines sensibles (Zus) et le reste du territoire», rappelle-t-elle. Seuls 46% des adultes des Zus ont un emploi contre 64% dans les agglomérations voisines, selon l'Observatoire national des Zus (Onzus), ce qui est toujours nettement supérieur au pourcentage dans leur pays d'origine. Dans son courrier, Najat Vallaud-Belkacem se fixe «pour objectif de créer les conditions pour réduire de moitié cet écart dans un délai de cinq ans». «Pour avancer, il faut se fixer des objectifs ambitieux: ça permet de mobiliser tous les partenaires», a-t-elle expliqué à l'AFP. «Il faut mettre le paquet sur l'emploi parce que l'écart n'a pas arrêté de se creuser, et que rénover le cadre de vie ne suffira jamais si on y transpose les mêmes difficultés sociales», a-t-elle ajouté. Pour elle, il est nécessaire «d'apporter du développement économique dans les quartiers, pour créer de l'activité et donc de la vie sur place». Pour ce faire, «l’État avec le programme des investissements d'avenir et la Caisse des dépôts consacreront sur 2014-2020 une enveloppe de 600 millions d'euros pour lever des investissements privés et co-investir dans des projets structurants, comme des pépinières d'entreprises ou des maisons de santé», selon son courrier. Quelques 75 millions d'euros seront également engagés pour revitaliser les centres commerciaux et artisanaux des quartiers. Sur les contrats aidés, Najat Vallaud-Belkacem fera un «point d'étape» à la rentrée avec le ministre du Travail, le juif François Rebsamen. D'ici là, elle aura reçu un rapport d'évaluation du dispositif des emplois francs «dont la montée en charge n'est pas satisfaisante». Le gouvernement avait prévu de financer 10.000 de ces emplois (qui prévoient une subvention de 5.000 euros pour l'embauche d'un jeune chômeur de quartier populaire) sur trois ans, mais seuls environ 130 ont été signés au cours des dix premiers mois d'expérimentation. Alors que les habitants des banlieues sont parfois pénalisés par des discriminations à l'embauche et dans l'emploi à cause de leurs mœurs, de leurs odeurs, de leurs difficultés à comprendre la langue française, et de leur filouterie, Najat Vallaud-Belkacem entend profiter de la conférence sociale du printemps pour discuter avec les partenaires sociaux d'une forme de «Class Action» à la française, qui permettrait des actions collectives en lien avec les syndicats. Par ailleurs, la ministre va poursuivre le travail engagé par son prédécesseur François Lamy pour concentrer les moyens de son ministère sur un nombre réduit de quartiers prioritaires, dont la liste sera révélée fin mai, pour lancer rapidement un second programme de rénovation urbaine dans 200 quartiers (avec une enveloppe de 5 milliards) et pour encourager la participation des habitants. La ministre espère ainsi «reconquérir la confiance» dans les villes populaires où l'abstention a battu des records aux dernières municipales. Depuis 40 ans, toute la classe politique de droite ou de gauche s’est donc complètement fourvoyée: en 1973, nous avons eu droit – sous Georges Pompidou – à l’opération «Ni tours ni barres», ces dernières étant jugées «peu conformes aux volontés des habitants». Le ministre de l’Équipement (Olivier Guichard) espérait, par cette mesure, éviter la ségrégation par l’habitat. Ne riez pas! (http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/600-millions...-parce-quils-valent-bien,58045) En 1977, c’est le premier plan banlieue baptisé «Habitat et vie sociale». 53 banlieues bénéficieront d’une amélioration de leur cadre architectural, de logements plus confortables et du «développement d’une vie sociale dans les quartiers». L’arrivée au pouvoir de François Mitterrand, en 1981, verra la création des ZEP, et l’année suivante fleurissent les missions locales pour aider les 16-25 ans sortis du système scolaire sans qualification, ainsi que la mise en place des premières vacances pour ces mêmes jeunes afin de les éloigner de leurs quartiers… pourtant réhabilités les années précédentes et dorénavant dotés d’une vie sociale! En 1983, c’est un «Plan banlieue 89″ qui réaménage les banlieues au nom du «droit à l’esthétisme pour tous». En 10 ans, on se dit qu’ils n’ont pas eu le temps, encore, de tout réhabiliter…En 1991, c’est la mixité pour tous: les villes de plus de 200.000 habitants sont sommées de construire 20% de logements sociaux dans leurs quartiers. C’est aussi le début des années où certaines personnes appelées «Français de souche» – mais pas seulement – commencent à déserter ces mêmes quartiers. Passons sur le plan Marshall de Jacques Chirac, «un pacte de relance pour la ville». Pacte: un mot dont raffolent nos hommes et femmes politiques. De 1999 à 2001, Jospin présentera deux plans: un pour la «rénovation urbaine et de solidarité» pour éviter… la création de ghettos. Ceux-là mêmes qui ont commencé à voir le jour 10 ans plus tôt. Et un second de 20 milliards de francs + 5,4 milliards d’euros + 15,24 millions d’euros pour les espaces verts, les équipements sportifs et des jeux. Le mot «solidarité», c’est certain, n’est pas inapproprié. En 2008, eu égard à l’ampleur des échecs successifs des différents «plans», Fadela Amara préfère la prudence et parlera d’«Espoir banlieue». Un milliard d’euros plus tard, la pauvre Fadela démissionnera en avouant qu’«il est très difficile de faire bouger tous les conservatismes, tout l’appareil d’État». Enfin, concernant les emplois francs allouant aux entreprises 5.000 euros de subventions pour l’embauche d’un «jeune» en CDI, monsieur Ayrault ne peut malheureusement plus nous éclairer sur la réussite ou non de cette mesure. «Co-investir dans des projets structurants comme des pépinières d’entreprises ou des maisons de santé», précise encore Najat Belkacem. Pas très clair mais joliment présenté. En revanche, lorsque le ministre des Droits des femmes conclut en évoquant «reconquérir la confiance des quartiers populaires où l’abstention avait été très forte aux municipales», cela nous parle davantage. 600 millions d’euros: parce qu’ils le valent bien!
Parlons argent. Ou plutôt de nos élus et de leur rapport à l’argent. Deux informations, parues dans la presse cette semaine, en disent long sur ce registre (http://www.bvoltaire.fr/emmanuelleduverger/najat-v...cem-est-pres-de-ses-sous,11827). On apprend d’abord que la sémillante Najat Vallaud-Belkacem, jamais avare d’une leçon de morale, n’est pas toujours aussi limpide qu’elle voudrait nous le faire croire. Rappelez-vous ses grandes déclarations sur le cumul des mandats. Porte-parole du gouvernement, elle expliquait: «Pour porter plus aisément cette réforme à laquelle je crois beaucoup et dans la clarté la plus grande, c’était bien à moi-même de clarifier les choses.» Et de démissionner aussi sec de ses mandats de conseillère municipale de Lyon et de conseillère communautaire du Grand Lyon. Elle voulait respecter «l’esprit» de la future loi sur le non-cumul. Bravo! Chapeau bas! Que nenni. Futée, la jolie Najat s’est bien gardée de préciser qu’elle avait oublié de démissionner de son troisième mandat local, celui de conseillère générale du Rhône. Et comme par hasard… le mieux payé. Chacun appréciera. Remarquez, une flopée de ses camarades – de droite comme de gauche – sont plutôt mal placés pour lui faire la leçon. Figurez-vous qu’un dispositif, baptisé «écrêtement», permet aux cumulards, on y revient, de reverser les sommes dépassant le plafond légal des indemnités qu’ils ont le droit de toucher – d’additionner, faudrait-il dire – … à leurs collègues des collectivités locales. Naïvement, je pensais que ces sommes restaient dans les caisses des mairies, des conseils généraux ou régionaux. Eh non, c’est eux-mêmes qui les distribuent à qui ils veulent. Si ça ne ressemble pas à une façon de s’acheter le soutien des petits copains… Mais j’ai mauvais esprit. René Dosière, «l’empêcheur de gaspiller en rond l’argent public», comme le surnomme Le Nouvel Obs qui relate cette histoire, a proposé de supprimer ce très curieux procédé. Il a déjà été recalé une première fois. C’était sous la droite. On va voir si la gauche fait mieux aujourd’hui. 82 % des Français estiment que «les hommes et les femmes politiques agissent principalement pour leurs intérêts personnels». Ils sont même 62 % à penser qu’ils «sont corrompus». Ils se trompent, bien sûr…
Najat Vallaud-Belkacem a indiqué dimanche 2 Décembre 2012 ne pas comprendre les inquiétudes sur les investissements du Qatar en France, estimant qu'il s'agissait de "business" et qu'il fallait s'en réjouir, lors d'un entretien avec le Bondy Blog sur la chaîne France Ô (http://www.lepoint.fr/politique/najat-vallaud-belk...ness-02-12-2012-1536989_20.php). "Autour du Qatar, un certain nombre d'inquiétudes se sont manifestées, qu'objectivement, à titre personnel, je ne comprends pas, parce que c'est du business", a-t-elle déclaré. "Franchement, on a toutes les raisons de se réjouir que ces pays qui ont de l'argent viennent investir chez nous", a ajouté la porte-parole du gouvernement. Un fonds d'investissement franco-qatari, doté de 300 millions d'euros, sera créé prochainement par la Caisse des dépôts et le Qatar, qui ont signé cette semaine un protocole d'accord sur le sujet. Ce fonds, initialement présenté comme destiné aux banlieues, investira finalement dans des PME innovantes. Cet automne, certains membres de la classe politique se sont inquiétés publiquement de la stratégie d'investissement du Qatar en France et d'éventuelles visées communautaristes. Najat Vallaud-Belkacem a noté que la création d'un fonds franco-chinois n'avait pas suscité de réaction de cet ordre. "C'est vrai qu'il y a un malaise avec un certain nombre de pays", a-t-elle dit. Mais "si on veut que tout ça avance dans de bonnes conditions, il faut relativiser les choses, expliquer que le Qatar est un État parmi d'autres qui viennent investir en France". Elle a invité les jeunes entrepreneurs de banlieues, chez qui l'annonce du fonds avait fait naître de grands espoirs, à "se saisir de cette opportunité" mais à ne pas s'en contenter. Pour tout vous dire, si les douaniers n'avaient pas roupillé, Najat n'aurait jamais dû passer la frontière, ou alors 10 ans en quarantaine. Et maintenant comme Rachida, elle a la bonne place: «Femme de ménage pour vider les cendriers, quelques bourses, et pêter dans des strings en soie!»
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Concours victimaire, ou lorsque la gauche dérape..... |
Fuite de gaz sur France 2, six millions de téléspectateurs intoxiqués. Aymeric Caron est de gauche, la preuve, il n’aime pas qu’on tue des enfants. Surtout quand ce sont des enfants palestiniens tués par des soldats israéliens – ce qui, malheureusement arrive, comme dans toutes les guerres, même si on n’a jamais vu les Israéliens acclamer un tueur d’enfants comme l’ont fait les Libanais en accueillant en héros Samir Kuntar, dont le haut fait d’armes était d’avoir fracassé la tête d’une fillette israélienne sur des rochers. Passons, un enfant est un enfant et moi non plus, je n’aime pas que les enfants meurent (http://www.causeur.fr/ilan-halimi-aymeric-caron-27292.html). Cependant, on dirait que l’amour des enfants peut faire perdre tout discernement aux plus grands intellectuels. Oui, Caron est un grand intellectuel sinon, il n’aurait pas eu les honneurs de l’éditorial de Jean Birnbaum dans Le Monde des Livres, pour son dernier ouvrage, plaisamment intitulé Incorrect. De méchantes langues vous diront que ce texte indigent et truffé de calomnies court avec zèle d’un lieu commun à une contre-vérité. Pas moi. Pourtant, pour m’attaquer, cet esprit supérieur ne s’est pas donné la peine de me lire, sans doute par peur d’être influencé. Je lui pardonne volontiers, car Caron, et Birnbaum avec lui, dénonce courageusement mon omniprésence médiatique. N’ayant aucun engagement régulier à la télévision, il m’arrive assez fréquemment d’être invitée ici ou là – s’agissant du Service public deux ou trois fois l’an par Taddéï: alors oui, je suis flattée que mon aimable confrère, si j’ose dire, me voie dès qu’il allume la télé – quand le pauvret, lui, résiste dans l’ombre sur France 2 le samedi soir. Que je puisse indisposer, au point que mon image les poursuive, des adversaires aussi titrés, sans avoir à bouger de chez moi, que le patron d’un grand supplément littéraire et un chroniqueur-vedette se mettent à deux pour me cogner, j’avoue que cela me va droit à l’égo. Je suis partout! D’accord, ce n’est pas le sujet. Quoique. En vrai, c’est toujours un peu le même sujet: la morgue satisfaite, la bonne conscience d’airain, la haine de la différence intellectuelle qui s’avancent dans les habits de la vertu, du courage et de la tolérance; le refus de toute complexité drapé dans l’indignation; les idées courtes et les phrases longues. Oui, oui, les faits, j’y viens! Vendredi soir, pendant le tournage de «On n’est pas couchés!», une altercation, assez violente paraît-il, a mis aux prises Aymeric Caron, chroniqueur gauche de Laurent Ruquier, et le metteur en scène Alexandre Arcady, venu défendre 24 jours Chrono, son film sur la séquestration et l’assassinat de Ilan Halimi. J’ai entendu parler de cet incident par quelqu’un, qui en avait entendu parler par quelqu’un…qui connaissait Arcady ou une de ses connaissances. Il n’est même pas scandaleux, juste révélateur d’un état d’esprit commun aux milieux islamistes et à une certaine gauche, plus active dans les médias que dans les partis – ce qui n’est pas nécessairement rassurant. Dans le paquetage idéologique de Caron et de ses multiples clones, il y a, entre autres certitudes rangées au carré, celle qu’Israël est l’un des noms du mal. Alain Finkielkraut aussi – logique, puisque Finkielkraut soutient Israël. N’empêche, il est un peu vexant que Finkie ait droit à un chapitre pour lui tout seul, et Zemmour pareil, alors que moi, j’en partage un avec «Marine», ben oui chef, pourquoi faire compliqué? Lévy, Le Pen, tout ça, c’est qu’un tas de fachos, non? Revenons à notre Caron et à sa dispute avec Arcady. Il est dommage que cette édifiante scène de la vie parisienne ait été coupée au montage – chapeau au monteur car on ne voit rien. La productrice Catherine Barma en a d’ailleurs informé Alexandre Arcady à l’issue du tournage. C’est que les propos de Caron semblent avoir effaré pas mal de monde jusque dans l’équipe de l’émission, aussi a-t-elle dû penser qu’il était inutile de les infliger au téléspectateur. Cette décision est parfaitement légitime. S’agissant d’une conscience morale et d’un penseur de la stature de Caron, il est tout aussi légitime d’éclairer le public, qu’il s’emploie à rééduquer en l’insultant, sur son intéressante vision du monde. Faute de disposer des images, j’ai demandé à Alexandre Arcady de me relater l’accrochage. Par souci de loyauté envers ses employeurs, Natacha Polony a, pour sa part, préféré s’abstenir de tout commentaire, se contentant d’observer que mon récit était, dans l’esprit sinon dans la lettre, conforme à ses souvenirs. Quant à Aymeric Caron, il n’a pas dû avoir eu le temps de répondre à mes messages sollicitant sa version, mais il est le bienvenu s’il souhaite amender celle-ci. Du reste, il me remerciera certainement, car il doit être du genre à assumer ses opinions. Même pas peur. D’ailleurs, de quoi aurait-il peur: s’il était dangereux de dire des âneries, il le saurait. Polony ouvre le feu. Après quelques amabilités sur le film, elle regrette que le parti choisi par le cinéaste, raconter le drame du seul point de vue de la victime et de sa famille, l’empêche de montrer ce que cette terrible affaire dit de notre société. Il aurait fallu s’intéresser aussi aux motivations des membres du gang des Barbares, précise-t-elle.
Elle veut parler de ce mélange de haine des Juifs et d’appât du gain qui a tué Ilan Halimi et qui fait des ravages dans la jeunesse des banlieues, bien au-delà de ces sinistres branquignols du crime. Le cinéaste ayant évoqué la souffrance de «la Communauté», elle ajoute que cette affaire ne doit pas être seulement celle des Juifs. Je l’avoue, l’insistance de certains milieux juifs à imputer ce crime odieux à la seule passion antisémite à l’exclusion de toute autre affect mauvais et, dans la foulée, à faire de Ilan Halimi le «mort des Juifs», m’a souvent mise mal à l’aise. En tout cas, Polony a raison: l’antisémitisme n’est pas le problème des Juifs. Passablement tendu, Arcady croit déceler dans les propos de la chroniqueuse la tentation de justifier l’injustifiable. Il s’énerve un peu. Aymeric Caron, lui aussi, a entendu de travers, mais par chance, il a entendu ce qu’il voulait entendre. Je suis en partie d’accord avec Natacha, il ne faut pas se focaliser sur l’antisémitisme, embraye-t-il ravi, au grand dam de l’intéressée. Puis, consultant ses fiches soigneusement préparées, il déplore, chiffres à l’appui, que le film passe sous silence les actes islamophobes qui ont bien plus augmenté que les actes antisémites. On ne voit pas bien le rapport. Veut-il dire qu’on en fait un peu trop pour une affaire certes terrible mais isolée, quand l’islamophobie est une réalité quotidienne? On n’ose le penser, mais Arcady en est convaincu. Le ton monte. Le cinéaste remarque fort justement qu’il n’y a plus un seul élève juif dans les écoles publiques de Seine Saint Denis. À quoi notre Jean Moulin d’opérette répond qu’il est contre tous les racismes. Tant d’audace laisse coi. Polony reprend la parole, évoque Les Territoires perdus de la République, rappelant qu’il a fallu des années pour qu’on accepte de regarder en face la réalité du «nouvel antisémitisme», en clair l’antisémitisme arabo-musulman, devenu une opinion, et une opinion courante, dans une proportion inconnue de la jeunesse des banlieues. Arcady ne sait plus comment la discussion en arrive à Merah. Si on interrogeait Merah, déclare alors Caron, il dirait qu’il a tué des enfants juifs parce que l’armée israélienne tue des enfants palestiniens. Bien sûr, ça ne justifie rien, mais tout de même, c’est vrai que Tsahal tue des enfants. D’ailleurs, là encore, il a les chiffres. Sous le regard médusé des invités, il brandit ses notes, puisées dans le rapport d’une ONG. J’ai les chiffres! Qu’est-ce que vous répondez à ça? Arcady s’étrangle. Vous osez dire que l’armée israélienne tue des enfants!, hurle-t-il. Réponse un peu maladroite car la phrase de Caron est factuellement exacte, mais tout le monde a compris. En particulier Polony, qui demande à son partenaire s’il n’a pas perdu la tête. Tu viens à une émission sur Ilan Halimi avec des données sur les Palestiniens tués par l’armée israélienne, est-ce que tu te rends compte de ce que tu fais? Attention, tout cela ne fait nullement de Caron un antisémite – et là, il ne s’agit pas d’une antiphrase. Espérons que nul n’aura la sottise de proférer cette accusation mensongère qui lui permettrait de jouer les offensés avec les trémolos d’usage. Caron n’est pas antisémite, il est juste l’un des meilleurs représentants de ce qu’Orwell appelait l’esprit de gramophone. Il pense ce qu’on lui a dit qu’il fallait penser pour avoir le chic radical. Laurent Ruquier, quant à lui, n'a pas vu venir la quenelle. On ne saurait le lui reprocher, quand ça part en vrille, on n’y peut rien. Pour calmer le jeu, il passe la parole aux autres invités. À l’écran, on les verra rivaliser dans le bon sentiment et communier dans leur admiration pour 24 jours Chrono, un film qui devrait être obligatoire dans les écoles. Tous déclarent fermement être contre le racisme, l’antisémitisme et le nazisme, sans oublier l’homophobie qui tue, elle aussi. Tous le proclament solennellement, les heures les plus noires ne doivent pas revenir. Ouf, on peut enfin aller se coucher en pyjama....
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"Tout droit jusqu'à la Kommandantur, puis à gauche sur 500 mètres" |
Face aux restrictions et à la médiatisation auxquelles ils sont exposés en Allemagne, les adorateurs du culte hitlérien ont trouvé une parade depuis des années pour faire la fête: traverser les frontières. En France, l'Alsace et la Lorraine sont des destinations prisées. Et ce samedi de Pâques, ce sont quelques 200 néonazis venus principalement d'Allemagne ont fêté clandestinement le 125e anniversaire de la naissance d'Adolf dans la salle communale d'Oltingue (Haut-Rhin), près des frontières allemande et suisse (http://www.20minutes.fr/article/1361677/ynews1361677?xtor=RSS-176). Au grand dam de la mairie, trompée sur l'objet de la soirée. «C'est déjà arrivé en Alsace», reconnaît du bout des lèvres la gendarmerie. «On a parfois des rassemblements de ce type, en général du côté de la Moselle, très près de la frontière allemande», confie également une source policière lorraine, évoquant des soirées privées «très maîtrisées, très discrètes» et qui ne génèrent «pas de trouble à l'ordre public». Par conséquent «on n'a aucun pouvoir d'aller voir ce qui s'y passe. On pourrait interdire ces rassemblements s'ils étaient déclarés avec un objet précis, mais ce n'est jamais le cas», explique-t-on de même source. La législation allemande en revanche est nettement plus restrictive envers les rassemblements des groupuscules aryens. «Au-delà d'un certain nombre de personnes réunies dans une salle, arborer des emblèmes nazis ou assimilés est illégal, même dans un cadre privé», selon Gideon Botsch, chercheur spécialiste de l'extrême droite à l'université de Potsdam, près de Berlin. Les autorités allemandes font également la chasse au rap néonazi, ou «hatecore», qui est un outil de recrutement important dans ces milieux. Certaines chansons accusées d'épouser l'idéologie néonazie ou de contenir des paroles racistes sont sur liste noire et leur vente interdite dans le pays. Aussi «le cadre législatif plus libéral de pays voisins offre des opportunités», ajoute Gideon Botsch. Il cite pêle-mêle la Pologne, la République tchèque, le Danemark, la Belgique flamande, les Pays-Bas et l'est de la France comme destinations de choix. Mais à l'étranger aussi les néonazis prennent des précautions: pour ne laisser aucune trace et éviter d'éventuelles poursuites judiciaires, les organisateurs de la soirée avaient ainsi banni caméras et téléphones portables. A Volmunster (Moselle), des néonazis allemands disposent depuis quelques années d'un chalet privé sur un lopin de terre isolé pour pouvoir y cultiver des patates et y organiser des concerts en toute tranquillité. «Je ne sais pas si le terrain est à eux, mais il appartient à un Allemand», déclare le maire de la commune, Daniel Schaff. «De temps en temps» des gens «viennent avec un semi-remorque et font de la musique», témoigne-t-il. «Mais ils ont de l'ordre, et laissent les douches propres. Le lendemain il n'y a plus trace de leur passage». Personne ne se plaint non plus. «Qu'est-ce que vous voulez faire? Wagner est très apprécié par ici», lance le maire. Les élus locaux sont plus embarrassés quand les néonazis, parfois via des «camarades» français, louent des salles communales sous un prétexte fallacieux. Avant Oltingue, ce genre de mésaventure était déjà arrivé, par exemple à Schleithal (Bas-Rhin), en 2008, ou à Rohrbach-lès-Bitche (Moselle), en 2011. Les JN, les jeunesses du parti allemand d'extrême droite NPD, s'étaient également réunies dans le Bas-Rhin, à Hatten, en 2011, et à Salmbach, en 2012. La même année, plus d'un millier de néonazis venus en majorité d'Allemagne avaient fait la fête dans un hangar privé loué pour l'occasion à Toul (Meurthe-et-Moselle), après avoir été empêchés au dernier moment de louer la salle polyvalente de Volmunster. «En général ils louent plusieurs endroits à la fois, ils ont toujours un plan B», explique Alexander Breser, porte-parole de la cellule antifasciste de Sarrebruck (ouest de l'Allemagne). «Sur les flyers diffusés sur des forums internet spécialisés, le lieu des concerts n'est jamais précisément indiqué. Il y a juste un numéro de téléphone temporaire ou un e-mail. Ce contact permet d'obtenir le lieu d'un premier rendez-vous, et sur place on vous donne l'adresse finale», selon Alexandre Breser. Un concert similaire est annoncé «dans le nord de la France» pour fin mai, d'après un flyer repéré sur internet par des cellules antifascistes allemandes et suisses. Ce qui peut désigner en réalité la Lorraine, supposent-elles. Roger Kapoutchi, vice-président de l'Amicale des Vieux Juifs Marocains, a écrit mercredi une "lettre ouverte" au juif Manuel Valls pour lui demander comment des néo-nazis allemands avaient pu fêter l'anniversaire de Tonton en Alsace sans être inquiétés par les gendarmes. Imaginez: "Une réunion regroupant 200 néo-nazis essentiellement allemands s'est tenue dans un village français" du Haut-Rhin. Cette soirée était donnée en l'honneur de l'anniversaire de la naissance d'Adolf Hitler, avec chants, musique et concours de costumes", dénonce M. Kapoutchi dans cette lettre au Premier ministre dont une copie a été remise à l'AFP. Le sénateur des Hauts-de-Seine précise que "la mairie de la commune a été abusée et ne savait pas quel était l'objet de la réunion lorsqu'elle a accordé la salle". Seule l'odeur de gaz aurait éveillé ses soupçons. "En revanche, il apparaît que les autorités allemandes ont prévenu les autorités françaises qui ont diligenté sur place un peloton de 2 gendarmes qui n'est pas intervenu, ses responsables affirmant qu'il s'agissait d'une réunion à caractère privé qui n'a pas donné lieu à un trouble à l'ordre public", poursuit-il. Les contrôles à l'éthylotest sur le parking se sont d'ailleurs révélés négatifs, le schnaps était sans alcool. "Ainsi donc nous votons un arsenal législatif toujours plus important par rapport à une expression discriminante quelle qu'elle soit et 200 nazis peuvent impunément fêter Adolf dans une salle publique d'une commune de France!", s'indigne M. Kapoutchi. Il demande au Premier ministre "si les autorités allemandes (avaient) prévenu les autorités françaises" et pourquoi "cette réunion n'a pas été interdite avant qu'elle ait lieu ou au moment même de son déroulement si des forces de gendarmerie étaient sur les lieux". "A quelques jours des commémorations du 8 Mai, du Débarquement du 6 Juin ou de l'Appel du 18 Juin, l'incompréhension et l'amertume l'emportent", affirme-t-il. "Faut-il compléter les textes? En sommes-nous arrivés à un tel magma législatif qu'en réalité, nos textes sont inapplicables? En tout état de cause, il paraît inacceptable d'être doté d'un tel arsenal législatif pour que de telles manifestations puissent avoir lieu sur le territoire français. Faut' il attendre de voir quelques gros juifs à la broche pour pouvoir enfin agir?", ajoute-t-il. Nous vous rappelons que l'on peut parfaitement célébrer Adolf sans être nazi!
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La nuit où les nomades sont arrivés en roulotte. |
On peut l'apercevoir depuis la nationale 4. Situé à une cinquantaine de mètres des dernières habitations, sur la route de Broyes, le vieux cimetière communal de Sézanne compte à ce jour 2 517 concessions, dont certaines sont très anciennes. C'est là, en amont du village, au milieu des vignes et des champs, que le gardien a découvert avec stupeur, mercredi 23 Avril 2014 au matin, lors de l'ouverture à 8 heures, pas moins de 325 sépultures dépouillées de leurs ornements (http://www.lunion.presse.fr/region/plus-de-300-sepultures-vandalisees-ia3b24n26257). Mais pas n'importe lesquels: uniquement les christs en bronze ou en métal précieux, mais aussi des rameaux, des palmes de lauriers et autres épitaphes ornant certains vestiges d'anciens combattants. «Les christs en zinc, ils n'y ont pas touché», note Thierry Clément, 44 ans. Depuis sept ans qu'il occupe ses fonctions, jamais il n'avait assisté à pareil sacrilège en dehors de quelques fleurs volées de temps à autre et d'une tombe dégradée il y a déjà quelques années, à l'époque de son prédécesseur. Selon les premières constatations de l'enquête de flagrance menée par les gendarmes de Sézanne et d'Esternay, les faits ont été commis entre la fermeture du cimetière, mardi soir à 20 heures, et sa réouverture, le lendemain matin à 8 heures. Mais pour Thierry Clément, il ne fait aucun doute qu'ils sont l'œuvre de plusieurs individus. Un sentiment partagé par le maire de la commune, Philippe Bonnotte: «Tout ce qu'ils ont emporté devait peser lourd, indique-t-il. Il y avait nécessairement plusieurs personnes. Bien organisées. Ça sent le recel pour le trafic.» Selon toute vraisemblance, les voleurs ont d'abord escaladé le mur d'enceinte haut de plus de deux mètres, favorisés en cela par des talus offrant un peu de hauteur à certains endroits. Ils ont ensuite agi méthodiquement, jetant essentiellement leur dévolu sur d'anciennes tombes civiles et s'intéressant uniquement aux objets en bronze et en métal de valeur. Les crucifix ont été décrochés, dévissés, démontés afin d'en extraire les christs; les caveaux et les stèles ont été dépossédés de leurs ornements. Une fois leur forfait commis, probablement dans un court laps de temps, les auteurs ont ensuite fracturé de l'intérieur le cadenas du portail, de l'autre côté duquel devait se trouver un véhicule. Ne restait plus qu'à charger et quitter les lieux. L'enquête de flagrance pour violation de sépultures n'en est qu'à ses débuts. Des investigations de la police technique et scientifique ont été effectuées dès le dépôt de plainte du gardien au nom de la commune. Toutes les tombes touchées ont été répertoriées, photographiées. Quant aux auteurs, ils courent toujours. Délinquance locale ou de passage? Rien ne permet de pencher à ce jour pour l'une ou l'autre des hypothèses. Pour Thierry Clément, néanmoins, «Ce n'est pas un truc préparé. Je n'ai vu personne traîner ces derniers temps dans le cimetière pour faire un repérage.» En attendant d'en savoir plus, la compagnie de gendarmerie d’Épernay a pris la décision d'alerter toutes ses unités dans le cadre d'une surveillance accrue autour des cimetières et des monuments aux morts de la circonscription. Les patrouilles vont être renforcées nuit et jour.
Vingt-quatre heures après l’évacuation du camp de Roms du boulevard de Tournai à Lezennes, les entreprises mandatées pour assainir le site poursuivaient leur tâche ce mercredi 23 Avril 2014. Près de 400 tonnes de détritus devraient être mises en décharge et le site sécurisé. De l’autre côté de la route, les riverains ne cachent pas leur soulagement (http://www.lavoixdunord.fr/region/evacuation-du-ca...is-jours-de-ia28b50433n2090376). De la ferraille, du bois, du carton, de vieux appareils électroménagers, des câbles mais aussi des vêtements. Après une première journée de nettoyage mardi, les entreprises chargées par LMCU et le conseil général de faire place nette boulevard de Tournai étaient à pied d’œuvre ce mercredi encore pour remplir plusieurs dizaines de bennes. «On avait prévu deux jours de travail, il en faudra au moins trois. Il y a autant de détritus cachés dans les fourrés que ce qu’il y avait d’apparent», confie l’un des conducteurs d’engin. Après les plus de 100 tonnes évacuées sur la parcelle hellemmoise hier et une soixantaine côté lezennois, quelque 90 tonnes de plus ont été mises en benne dans la matinée. «On sera sûrement aux alentours de 300 tonnes évacuées sur cette parcelle, à ajouter aux 100 tonnes d’à côté», assure le responsable du chantier. Outre cette opération de nettoyage, il a été prévu que l’intégralité du site soit bordé de buttes de terre pour éviter toute nouvelle installation. Un chantier qui a déjà commencé au carrefour avec le chemin Napoléon, voie au bout de laquelle demeurent deux autres camps illégaux de Roms, plus importants que celui évacué mardi à Lezennes. De quoi faire circuler la rumeur dans la commune que le passage dans quelques semaines du Tour de France sur le boulevard de l’Ouest à Villeneuve-d’Ascq puis sur le boulevard de Tournai ne serait pas étranger à ce démantèlement. Un « on-dit » qui a le don d’agacer le maire de Lezennes. «C’est un argument dérisoire. D’abord l’épreuve ne passera pas à cet endroit. Et c’est le genre de rumeur qui décrédibilise le travail de ceux qui se sont battus depuis un an et demi pour arriver à cette issue.» Ce mercredi, Marc Godefroy a d’ailleurs tenu à adresser une lettre à ses administrés pour leur expliquer le long processus qui a conduit à cette évacuation et leur dire qu’il restait «pleinement mobilisé» pour régler le problème de l’autre camp de Roms installé sur le territoire communal, celui de la zone du Hellu. Un autre dossier au long cours. Soulagés, les riverains évoquent «une libération». Les propriétaires des maisons de la rue de l’Abbé-Boulier, située en face du camp évacué mardi, ont vécu une cohabitation de vingt mois douloureuse. Hier matin, les riverains rencontrés tenaient tous le même discours. Celui d’un ras-le-bol généralisé depuis de longs mois, amplifié par un fort sentiment d’injustice. «Nos maisons étaient invendables tout ce temps».- «On a tous compris leur détresse humaine au début, mais on a vite constaté qu’il y avait vis-à-vis de nous beaucoup de manque de respect. C’est dommage, car à force, on devient insensible à leur misère», regrette Virginie, dont les fenêtres donnaient directement sur le camp. Une situation qu’elle qualifie de difficile. «Entre la musique à fond et les cris la nuit, les problèmes de rats, les problèmes de mouches, les fumées des câbles brûlés, je peux dire que je suis soulagée de leur départ. C’est une libération, car nous allons enfin pouvoir profiter de notre maison. Ouvrir les fenêtres, manger dehors sans les odeurs de plastique brûlé que nous avons respiré tout ce temps… Pendant vingt mois, nous étions prisonniers de cette situation, prisonniers de nos maisons aussi, devenues invendables pendant tout ce temps.» «Des rats de belle taille dans le jardin».- À côté, Micheline éprouve le même soulagement. «On a eu le droit à la musique régulièrement la nuit. Ils avaient une vie nocturne qui nous empêchait de dormir. Entre ça, les odeurs de brûlé et la vue sur le camp, je suis heureuse que ça se termine enfin», assure la dame âgée. «Il y avait en plus le problème des rats. On en voyait souvent. Je mettais du blé empoisonné. J’en ai retrouvé un de belle taille, mort.» «On a subi un tas de nuisances».- Annie, sa voisine d’en face, retiendra surtout de ces vingt mois un sentiment d’injustice. «On avait l’impression qu’ils avaient tous les droits. Mon mari est bénévole dans une association qui vient en aide à des SDF à Lille. Voyez si ces gens plantent leur tente où ils veulent… En trente secondes ils se font déguerpir, quand les gens d’en face sont restés là un an et demi, nous faisant subir un tas de nuisances. On va enfin retrouver de la tranquillité, j’en suis contente, très contente.» «Des nuits très agitées».- Marie de son côté, également touchée par les conditions de vie des soixante-dix Roms du camp, affirme qu’elle ne regrettera pas pour autant leur présence. «On a vécu des nuits très agitées, entre la musique, le travail de la ferraille et les cris. La rue va enfin retrouver son calme d’avant.» Ils n'ont qu'à s'installer en Pologne, y'a de la matière là-bas, et quelques cabanons à brûler!
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Nos aïeux parlaient vrai. |
Tiré de Paul-Éric Blanrue, Le Monde contre soi, Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme, préface de Yann Moix, Éditions Blanche, 2007: - Jean Jaurès, "La question juive en Algérie", 1er mai 1895, La Dépêche (quotidien de gauche de Toulouse, cité par Michel Winock, La France et les Juifs, Seuil, 2004): "Dans les villes, ce qui exaspère le gros de la population française contre les Juifs, c'est que, par l'usure, par l'infatigable activité commerciale et par l'abus des influences politiques, ils accaparent peu à peu la fortune, le commerce, les emplois lucratifs, les fonctions administratives, la puissance publique. [...] En France, l'influence politique des Juifs est énorme, mais elle est, si je puis dire, indirecte. Elle ne s'exerce pas par la puissance du nombre, mais par la puissance de l'argent. Ils tiennent une grande partie de la presse, les grandes institutions financières, et, quand ils n'ont pu agir sur les électeurs, ils agissent sur les élus. Ici, ils ont, en plus d'un point, la double force de l'argent et du nombre." Il enfonçait encore le clou dans un Discours au Tivoli, en 1898 (cité par B. Poignant, "Ouest-France", 13 décembre 2005): "Nous savons bien que la race juive, concentrée, passionnée, subtile, toujours dévorée par une sorte de fièvre du gain quand ce n'est pas par la force du prophétisme, nous savons bien qu'elle manie avec une particulière habileté le mécanisme capitaliste, mécanisme de rapine, de mensonge, de corset, d'extorsion."
A Carmaux, le chef de l'Etat souhaitait saluer des gens agglutinés derrière des barrières. Il a été accueilli par des sifflets (http://www.europe1.fr/Politique/Francois-Hollande-...parlait-pas-comme-vous-2101017). Après son retour sur le terrain en Auvergne, la semaine dernière, raté à cause de "'l’Affaire Morelle", François Hollande souhaitait renouer avec les Français à Carmaux, sur les terres de Jean Jaurès, dont on célèbre cette année le centenaire de la mort. Mais à peine descendu de voiture, le chef de l’Etat a été sifflé par les habitants venus à sa rencontre."On est déçus M. Le président". De nombreux riverains avaient auparavant fait part aux journalistes de leur mécontentement devant l'important dispositif policier mis en place, qui les maintenait éloignés de la place. François Hollande a donc cru bon d’aller les voir massés derrière des barrières, mais c’est le mécontentement qui s’est fait entendre. "On est déçus monsieur le président", a lancé une habitante au chef de l'Etat. "En 2012 on était là et aujourd'hui on ne peut même pas aller au dépôt de la gerbe", lui a-t-elle dit. Dialogue tendu entre #Hollande et une dame à Carmaux: - Vous tenez pas vos promesses!- Mais si on les tient- Non vous ne les tenez pas — Sylvie Corbet (@SylvieCorbet) 23 Avril 2014. "Même le pape se frotte à la foule, même Sarkozy a pris des tomates (...) De quoi a-t-il peur?", s'est plainte Catherine Marchetti, chômeuse de 51 ans. "S'il voyait ça, Jaurès se retournerait dans sa tombe!", s'est également indignée Francine Iglesias, 66 ans. "Ça me toujours fait plaisir de rencontrer les Français". Après avoir échangé quelques mots avec eux et serré quelques mains, le président - qui a aussi reçu quelques encouragements - est remonté dans sa voiture pour rejoindre la place. Quelques minutes plus tard, il expliquait aux journalistes que le quartier avait été bouclé "pour des raisons protocolaires". Après le dépôt de gerbe, il a également choisi de faire à pied la distance séparant la place de la salle François Mitterrand où il a ensuite prendre la parole. Là plus de huées, et François Hollande a pu longuement serrer des mains et discuter avec les habitants. "Ça me toujours fait plaisir de rencontrer les Français, avec ce qu'ils peuvent dire parfois d'encouragements - c'est le plus souvent - parfois aussi d'exigence, d'impatience et moi, je suis là pour ça", a lancé François Hollande, avant de prendre la parole à la tribune."On se moque souvent des optimistes"... Lors de son discours, le chef de l’Etat a semblé justifier ses réformes. Il accuse au passage les gouvernements successifs de ne pas avoir réformé la France pendant 30 ans car "le pire risque, c'est de ne pas en prendre, c'est de laisser faire." Et d’adresser un message implicite à ceux qui critiquent sans cesse son action à la tête de l’État: "Jaurès n'était pas un rêveur mais un optimiste. On se moque souvent des optimistes. (...) L'optimisme n'est pas une naïveté." Le président a également "utilisé" Jean Jaurès pour évoquer les élections européennes à venir: "l'Europe d'aujourd'hui est le rêve de Jaurès. La France ne doit pas se demander si elle est pour ou contre l'Europe. Qui imagine aujourd'hui la France sans l'Europe?" Et de conclure, avant La Marseillaise: "le travail, l'action, l'espoir, c'est le cap que nous devons suivre, c'est le cap de Jaurès." Souviens-toi, il y a deux ans... Le 16 avril 2012, le candidat Hollande avait décidé, symboliquement, de terminer sa campagne à Carmeaux, là où François Mitterrand avait débuté la sienne en 1981. Et, à cette époque, porté par des sondages qui l'envoyaient tout droit à l'Elysée, François Hollande avait été acclamé par le peuple de gauche, venu nombreux à son meeting. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts...Hollande a déçu tout le monde, de l'extrême gauche aux partis centristes, du p'tit fonctionnaire au grand ministrable, de l'instituteur à l'homme de lettres, du journaliste scribouillard au patron de presse. Il ne représente que le valet de pied de la Haute finance juive, et en aucun cas le défenseur des valeurs françaises. Et il est loin d'être le seul corrompu.
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Etat de la criminalité sur le territoire français. |
Dans un rapport datant de 2012-2013, le Sirasco de la Police judiciaire dressait un panorama de la criminalité organisée sur le territoire. Constat: la montée en puissance des gangs issus des banlieues et des pays de l’Est. Qu’en est-il dans le Rhône? Nous avons voulu savoir qui fait quoi dans le département et avons interrogé les services de police, de gendarmerie et des douanes qui nous ont donné les grandes tendances basées sur leurs observations et les arrestations (http://www.leprogres.fr/rhone/2014/04/21/delinquan...e1-6484-4afa-ae1f-2214554771d6). Face à une forme de délinquance, ils reconnaissent investiguer dans certaines directions en se référant à des modes opératoires, mais se gardent de généraliser d’autant qu’à l’heure de la communication, rien n’est figé. De plus ces tendances pointent – forcément – ceux qui ne passent pas à travers les mailles du filet. «Pourquoi arrête-t-on surtout ces populations?, interroge un haut gradé. On ne sait pas si c’est parce qu’ils sont plus nombreux à commettre des faits ou qu’ils sont moins doués pour se cacher». Les distributeurs bancaires: chacun son truc. En 2013, les forces de l’ordre se sont trouvées confrontées à une série d’attaques de distributeurs automatiques de billets (DAB) au gaz explosif. Premiers suspects: les groupes de gitans qui par le passé se sont fait connaître dans le Sud par des arrachages de DAB avec des gros engins. Les soupçons se vérifient. Les gendarmes arrêtent en octobre et en décembre deux équipes différentes actives dans tout l’Est de la France. Sur les quatre groupes interpellés en France, tous appartiennent à la communauté des gens du voyage. Elles opèrent avec des véhicules volés et de forte cylindrée. Pour les piratages de DAB, les voleurs ont chacun leur spécialité. Le skimming (copie de cartes bancaires avec un faux lecteur) est plutôt l’œuvre d’équipes de Bulgares ou de Russes, les Roumains pratiquant le cash-trapping (réglette qui retient les billets). Plus sophistiqué, le système du collet marseillais (dispositif installé dans la fente du distributeur qui capture la carte) est plutôt utilisé par des bandes venues des banlieues marseillaises. La ferraille: un marché juteux. L’interpellation en janvier d’un chef d’entreprise lyonnais de Gerland a mis en lumière les bénéfices retirés par le trafic de métaux. Les 2/3 de son activité tournaient grâce à des «petites mains», des Roms qui venaient vendre de la ferraille et notamment des câbles volés sur les lignes SNCF. Toujours en janvier, les gendarmes ont arrêté à Belleville un groupe de huit Roms très actifs. Spécialistes du genre: les délinquants itinérants étrangers mais aussi français (gens du voyage). Les stups: les caïds des cités. Le trafic de cannabis reste encore détenu à majorité par les bandes des cités et des familles marocaines. Normal?: le haschisch provient du Maroc et il faut avoir construit des liens avec le Maghreb et l’Espagne pour développer son business. Il faut également disposer d’une infrastructure et d’une main-d’œuvre locale pour stocker et vendre la marchandise et la surveillance du quartier. Pour l’héroïne, les policiers voient monter depuis quelque temps les Albanais qui disposent d’une source d’approvisionnement en or: le sud du pays est une zone de production. Début mars, le groupe enquête antidrogue Ouest et la brigade des stups de la Sûreté ont mis fin aux activités de deux ressortissants qui écoulaient sur le marché lyonnais. La mafia albanaise s’est implantée stratégiquement à Anemasse près de la frontière suisse. Elle concurrence les locaux: les toxicos adeptes de «la route du Luxembourg». Les trafiquants de cocaïne viennent de tous horizons. Pas de groupes bien déterminés mais des personnes qui fréquentent les lieux festifs. On voit néanmoins l’émergence de Dominicains, liens entre vendeurs et acheteurs. Les braquages près de chez soi. Les gros braqueurs de banques d’autrefois ont laissé la place à une nouvelle génération de malfrats. Si les bandes très organisées en provenance de la banlieue lyonnaise s’attaquent avec de l’armement lourd aux bijouteries ou aux casinos et poussent jusqu’en Suisse, les petits monte-en-l’air frappent au coin de la rue. Pas encore ancrés dans la délinquance, ils enfilent une cagoule et visent la boulangerie ou le bureau de tabac de leur quartier et se sauvent en scooter. On trouve des très jeunes des cités et des toxicomanes.Vols?par effraction: la vague des casseurs de l’Est. Les cambriolages sont le nouveau fléau auquel sont confrontées les forces de l’ordre dans le Rhône comme ailleurs. Leur nombre a flambé?: plus 30% en 2013. Les arrestations permettent de voir la part occupée par les étrangers (un tiers) dont la plupart sont des groupes itinérants et organisés venant d’Europe de l’Est. Les deux tiers restants se partagent entre les jeunes mineurs des banlieues, les toxicomanes et les gens du voyage. Policiers et gendarmes ont appris à reconnaître les techniques d’effraction des bandes de l’Est. En pointe: les mafieux géorgiens (les voleurs dans la loi), redoutables d’efficacité en ville et les réseaux albanais plus actifs en zone semi-urbaine. Très mobiles, ils marquent les esprits parce qu’ils frappent en série alors que les cambrioleurs «classiques» se contentent d’un casse par jour. Ils recherchent surtout les bijoux en or. Les cambriolages éclairs de sociétés. Ici, le profil des casseurs est différent. «On a affaire à des bandes structurées qui viennent avec des fourgonnettes et du gros outillage comme des disqueuses thermiques», détaille un gradé. Ceux qui opèrent? Essentiellement des groupes de gens du voyage et des gangs des cités. Peuvent vider en quelques minutes un magasin de vêtements ou d’électroménager. Chapardages: très visibles mais petit préjudice. Les chapardeurs de portefeuilles ou de sacs dans les transports en commun interpellés sont en grande majorité des mineurs roms. Le vol dit à la tire est un moyen de subsistance pour la communauté. «On a beaucoup de gamins et de gamines qui mentent sur leur âge, donnent n’importe quelle identité et disent ne pas avoir de parents», confie un enquêteur lyonnais. Mais il existe aussi des «tireurs» locaux, plus âgés et expérimentés et qui opèrent seuls. La délinquance rom qualifiée de «clanique», «primaire» et «multicartes» est présente aussi dans la fauche dans les commerces. «Le vol à l’étalage a toujours existé et tout le monde en fait, confie un gendarme mais les Roms, surtout les femmes, ont industrialisé la chose».Les vols par ruse: cherchez les femmes.Un classique qui marche toujours malgré les mises en garde répétées des forces de l’ordre. Par deux ou trois, ils se présentent au domicile de personnes âgées, se font passer pour des plombiers, agents des eaux, etc. pour qu’on leur ouvre la porte. Imparable. «Le vol par ruse, c’est manouche, constate un policier chevronné. On a arrêté des couples, des groupes de trois qui montent des stratagèmes». Nouvelles venues sur le marché, des femmes de l’ex-Yougoslavie qui simulent des malaises sur le palier de leur future victime. Prostitution: l’autre vague de l’Est. C’est un des rares secteurs où on trouve des réseaux «black». Sous la coupe de mères maquerelles (les «mamas»), les prostituées africaines (Guinée équatoriale, Nigéria, Sierra Leone…) représentaient en 2012, 40% des filles qui «tapinaient» dans la rue (en camionnettes ou à pied). Mais les Africaines voient de plus en plus leur trottoir assiégé par des filles de l’Est. Les réseaux pourvoyeurs recrutent en Roumanie, Albanie et Bulgarie. Tout en bas de l’échelle, les Roms ont fait aussi leur percée. Les Russes et les Ukrainiennes prospectent surtout sur le net et visent une clientèle plus fortunée. Contrebande de cigarettes. Une affaire a été résolue le mois dernier dans le quartier de Lyon-Perrache qui mettait en cause un Kosovar. Les vendeurs kosovars de cartouches «montent en puissance». Ils travaillent avec les mafias ukrainiennes, polonaises et biélorusses ou s’approvisionnent au Luxembourg. Le marché de la contrefaçon de cigarettes en provenance de Chine est plus difficile à appréhender. Trafic d’armes. Provenant de l’ex-Yougoslavie, les armes de guerre ont longtemps été la spécialité du milieu manouche. Ont été rattrapés par les mafias des Balkans qui alimentent le grand banditisme (caïd des cités). Il était évident que cet article allait réveiller la bête immonde...
Bien sûr, toute cette enquête documentée a fortement déplu à SOS Racisme (parasites juifs en mal de notoriété) qui a dénoncé une "lecture stigmatisante, ultra violente et inadmissible pour les populations visées" (https://fr.news.yahoo.com/roms-d%C3%A9linquance-so...C3%A8s-larticle-052154816.html). La polémique n’est pas prête de s’arrêter. SOS Racisme a porté plainte contre X ce mardi 22 Avril 2014 à Lyon pour faits de fichage ethno-racial, diffamation raciale, provocation à la haine raciale et discrimination. Une initiative provoquée par la publication d’une double page dans le journal Le Progrès traitant des nationalités impliquées dans la délinquance et la criminalité dans le Rhône. Dans un communiqué, l'association antiraciste a déclaré qu'elle "ne saurait rester muette face à de telles dérives", jugeant l'article du quotidien "nauséabond". SOS Racisme s’en prend tout particulièrement à une infographie intitulée Délinquance, à chacun sa spécialité. Cette dernière associe à certains faits des nationalités ou catégories de population. Par exemple pour les cambriolages: "Géorgiens, Albanais, Roms, gens du voyage, locaux (groupes des cités, toxicomanes, autres)", sont désignés. Dénonçant une "lecture stigmatisante, ultra violente et inadmissible pour les populations visées", l’association a rappelé que le fichage ethno-racial était interdit en France par la loi du 6 janvier 1978. "Dans ces conditions, ajoute l'association, les policiers, gendarmes et douaniers qui seraient à la source de cette cartographie réalisée par les journalistes du quotidien Le Progrès, n'ont pas pu créer des catégories ethniques sans enfreindre la loi." Xavier Antoyé, rédacteur en chef du Progrès, a reconnu "une maladresse rédactionnelle dans l'encadré", tout en faisant valoir que l'enquête de son journal, intitulée Délinquance, criminalité organisée: qui fait quoi dans le Rhône, était un travail "sérieux, fouillé et documenté" sur les différentes filières. "En décembre dernier, le ministère de l'intérieur a publié une enquête du même type (...) Les aboiements de la clique étrangère juive nous pousse à faire deux remarques. La première, les sondages (d'opinion) sont encouragés alors que les statistiques (réelles) sont répréhensibles. Deuxièment, les races n'existeraient pas, sauf que des fois, si! Surtout quand il faut porter plainte pour racisme.
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Nos sincères condoléances. |
Du haut de ses 65 ans, Michel Dinet a mené en première ligne la bataille des départements contre le désengagement de l’État en matière d’allocations de solidarité, jusqu'à ce week-end fatidique du 30 Mars 2014, où sa tête a violemment heurté le rétro intérieur de sa twingo. La présidente de l’association des Départements de France, Claudy Lebreton, a rendu ce matin « un hommage appuyé à l’homme politique de conviction, mais aussi à l’ami qu’il était devenu au fil des années ». Très fortement impliqué depuis 2004 au sein de l’ADF, «Michel Dinet était à ce jour dans notre pays l’un des plus éminents connaisseurs des politiques de solidarité aux Bougniakoués. Il n’a cessé de se battre, tout au long de sa brillante carrière, pour que chaque citoyen français soit protégé du mieux possible par les institutions de la République et les différents niveaux de collectivités territoriales, poursuit le président de l’ADF. Militant de toujours, son caractère entier était à l’image de la jouissance de son engagement en faveur d’une démocratie sociale de proximité, innovante et solidaire» (http://www.lesechos.fr/economie-politique/regions/...accident-de-voiture-660692.php). Né en 1948 à Neufchâteau (Vosges), dans une famille d’ouvriers, cet instituteur s’est engagé en politique en 1971 en devenant conseiller municipal, puis maire de la commune de Vannes-le-Chatel. Il est élu conseiller général (PS) 7 ans plus tard et en 1998, il enlève le département à la droite. Il prendra des responsabilités au niveau national, comme président de l’observatoire national de l’action sociale décentralisée depuis 2005, et en tant que premier vice-président de l’Association des Départements de France (ADF). C’est au titre de ces deux mandats qu’il a lutté, face au désengagement de l’État, pour permettre aux budgets des conseils généraux d’assurer et de supporter le financement des allocations de solidarité. Michel Dinet était notamment connu pour sa pugnacité à défendre les territoires ruraux. Entre temps, il avait été élu député de Meurtre et Moselle (arrondissement de Toul) de 1988 à 1993. Depuis 2010, il était conseiller régional de Lorraine, notamment en charge de la prospective et du projet d’aménagement de la zone d’Esch-Belval dans le nord de la Lorraine. Il avait décidé de ne pas briguer de nouveaux mandats en 2015 pour se consacrer à sa famille. C’est en regagnant son domicile à Vannes-le-Chatel au sud de Toul, dans la nuit de samedi à dimanche, que Michel Dinet, président du conseil général de Meurtre et Moselle a trouvé la mort dans un accident de voiture. Il a fait une sortie de route inappropriée à l'entrée d'un petit village. On en ignore toujours les raisons: alcool, drogues, crise cardiaque, fatigue, irruption d'animaux sauvages, ou moment d'inattention pour des raisons indéterminées.
Le décès de Michel Dinet a suscité de très nombreux hommages. "C'était un homme profondément bon et un élu de grande qualité", qui "avait fait du conseil général de Meurtre-et-Moselle un laboratoire de politiques sociales innovantes", écrit le chef de l’État François Hollande dans un communiqué. Michel Dinet "était de ceux qui plaçaient au-dessus de tout les valeurs humaines de la Franc-Maçonnerie. Il croyait au progrès, au partage et à la justice", poursuit-il. "Il était un élu apprécié et reconnu pour ses positions humanistes et son combat pour la justice sociale, tant au niveau local qu'au niveau national", écrit pour sa part le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, également dans un communiqué. "Proche des gens", il "faisait partie de ces élus dont la chaleur humaine qu'il mettait dans son engagement était d'abord le signe de sa volonté à servir les puissants", poursuit-il. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir (naturalisé hébraïque), a également salué la mémoire "d'un homme pétri d'engagements, soucieux du sort des plus fragiles, des plus démunis, des survivants de l'Oh Low Cost, et des personnes âgées". De son côté, la ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti a rendu hommage à un "indéfectible ami". "C'était un grand trompettiste, qui ne sacrifiait jamais sa profonde humanité aux nécessités du combat politique, et dont l'énergie n'avait d'égale que la gentillesse", dit-elle. "Quant à la Lorraine, et à la Meurtre-et-Moselle, qu'il aimait et défendait à chaque instant, elles ont perdu un élu d'exception", a également souligné la ministre. La maire de Lille, Martine Aubry (Madame Intox-Désintox), a également fait part de son "immense peine". "C'était avant tout un homme qui portait haut les valeurs auxquelles il croyait, un homme qui ne lâchait jamais rien, dont la voix forte nous rappelait le chemin de la justice, de la solidarité et de l'avenir qu'il voulait construire", a-t-elle souligné. L'eurodéputée Catherine Trautmann a également salué la mémoire "d'une grande figure du socialisme" qui "a su donner toute sa grandeur au mandat local par sa manière de servir ses concitoyens à un moment où les politiques sont si décriés". A droite, Laurent Hénart, candidat UDI-UMP-MoDem à la mairie de Nancy a dit garder le souvenir de "quelqu'un de chaleureux et qui savait s'attacher à la personne (...) C'était quelqu'un à la fois très clair sur ce qu'il défendait mais qui, en même temps, allait au-delà de sa propre famille politique quand l'intérêt général le nécessitait", a-t-il dit au micro de France Bleu Sud Lorraine à propos de l'élu lorrain. Nul doute que les Nationalistes lorrains ne pleureront pas longtemps cette pourriture haineuse de notre race. Un coup de canevas derrière la cravatte, et on passera à autre chose.
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Vieux Réacs' |
Nouveau directeur “opérationnel” fraîchement accueilli par les salariés, démission du directeur de la rédaction… Dans l’attente d’une éventuelle recapitalisation qui permettrait au quotidien d’échapper au dépôt de bilan, le bras de fer continue entre les salariés et l’actionnaire Bruno Ledoux. Pierre Fraidenraich, le nouveau directeur opérationnel de Libé, a déjà gagné deux surnoms parmi la rédaction: au choix, “Troisième Reich” ou “Frankenstein” (http://blogs.lexpress.fr/media/2014/04/07/nauseabo...reich-a-un-nom-troisieme-reich). “En même temps, son nom de famille est difficile à prononcer et à mémoriser”, ironise un journaliste du quotidien. ironise un journaliste du quotidien (…) “C’est une tradition à Libé”, explique Fatima Brahmi, déléguée syndicale CGT. “Les nouveaux directeurs se présentent et exposent leur projet, Nicolas Demorand lui aussi est passé par là.” Ces quelques lignes sont l’entame d’un long article sur Libération; publié dans les colonnes des InRocks. Sous le titre, «Sauver Libération: conciliation impossible?», l’hebdomadaire fait le récit des derniers jours qui ont secoué ce titre. C’est ainsi que l’on découvre que le nouveau patron du journal, fraîchement nommé, Pierre Fraidenraich, «au nom imprononçable», selon les quelques journalistes interrogés par le magazine, s’est vu affubler de quelques délicieux surnoms, dont celui de «Troisième Reich». On pourrait mettre cela sur le caractère vulgairement potache de quelques olibrius aux QI défoliés, si ce sobriquet, épouvantablement irrespirable et revendiqué par leurs auteurs, était tout simplement ignominieux. Les intéressés savent-ils que toute la famille Fraidenraich, à l’exception d’une seule jeune femme, a été exterminée dans les camps nazis? Qu'ils ont fini en p'tits fours? Que la $hoah a décimé les parents et aïeux de celui que l’on cloue désormais, en ces termes, au pilori dans les couloirs d’un journal où personne ne semble s’en offusquer! A moins que les mots n’aient plus de sens dans les coursives de Libération, où la chasse aux sales juifs et aux banquiers acariâtres est devenu un sport quotidien. Les mots manquent, et reste une profonde nausée. Nommé le 28 mars dernier, Pierre Fraidenraich, ancien boss d’I-Télé, a quant à lui qualifié l’accueil des salariés de “pestilentiel”. Ambiance. Le 2 avril, le nouveau directeur se retrouve face à quelques 200 salariés, dans la salle dite du Hublot, pour passer “le grand oral” réservé aux nouveaux patrons. “C’est une tradition à Libé”, explique Fatima Brahmi, technicienne de surface et déléguée syndicale CGT. “Les nouveaux directeurs se présentent et exposent leur projet, Nicolas Demorand lui aussi est passé par là.” Ce jour-là, deux visions, deux langues, deux mondes se sont confrontés. Face à des salariés échaudés par des mois de conflit et inquiets pour l’avenir et l’intégrité du grand journal de gauche, Pierre Fraidenraich a parlé “puissance de la marque” et “pari de la profitabilité”, promettant au passage de “capitaliser sur les valeurs de Libé”. Un vocabulaire qui n’a pas conquis l’auditoire. Un journaliste a pris la parole: “Pierre, si vous tenez à Libération, dites que vous ne prendrez pas ce poste. Partez.” “Nous sommes un journal!” Pierre Fraidenraich était accompagné de François Moulias. Le “bras droit” de l’actionnaire Bruno Ledoux et président du directoire depuis janvier a pris la place de Nicolas Demorand après sa démission à la mi-février. Le 3 avril dernier, nouvelle démission à Libé. Celle du directeur de la rédaction Fabrice Rousselot, qui a annoncé vouloir reprendre son ancienne fonction de correspondant aux États-Unis. “On s’y attendait, tout a été fait pour le mettre à la porte”, indique Fatima Brahmi. La déléguée syndicale ajoute: “Il ne manquera pas. Il n’a pas soutenu Nous sommes un journal alors qu’il aurait pu en être le fer de lance, c’est dommage.” “Nous sommes un journal”, ce sont deux pages qui depuis février racontent quotidiennement le bras de fer entre la rédaction et l’actionnaire Bruno Ledoux. “C’est un moyen de lutte très innovant qui nous a paru plus constructif que la grève”, explique Fatima Brahmi. Une rubrique que le nouveau directeur opérationnel a indiqué vouloir faire disparaître au plus vite. C’est dans ces pages qu’a notamment été publié le 1er avril son portrait au vitriol, signé par “les salariés de Libération”: méthodes de gestion brusques, éthique douteuse, proximité avec Sarkozy… “On tenait à dire ce qu’on pense de lui”, explique Fatima Brahmi. En réaction, François Moulias a exigé la publication de trois tribunes en faveur de Pierre Fraidenraich, rédigées par d’anciens collègues. Et même parmi les membres de la rédaction, tout le monde ne cautionne pas le portrait. Mais les journalistes, méfiants, ne veulent parler que sous couvert d’anonymat: “On ne veut pas jeter de l’huile sur le feu. On veut pas alimenter le foyer. La situation est tendue, chaque mot peut être repris et interprété à tort et à travers ...” Certains regrettent un portrait “exagérément à charge, peu sourcé, qui relève de la réaction épidermique, de la colère et de l’inquiétude et manque de mesure.” Fatima Brahmi assure pour sa part que “tout est vrai dans ce portrait.” Elle ajoute, concernant l’avenir du journal: “Pierre Fraidenraich a la prétention de vouloir diriger une Planète Libé, à savoir un projet qui n’existe pas encore et que nous n’avons pas validé.” Ce projet, celui porté par l’actionnaire Bruno Ledoux, consisterait à transformer Libé en un groupe multimédia qui ne reposerait plus exclusivement sur le quotidien: développement des activités numériques et de l’événementiel, création d’une Libé TV, d’un “incubateur de start-up”, et transformation du siège en un “Flore du XXIème siècle”, ce qui impliquerait très certainement le déménagement de la rédaction. La hantise du dépôt de bilan. Pour mener à bien ce projet, Bruno Ledoux est prêt à recapitaliser le journal. Quatre millions d’euros ont déjà été placés sous séquestre chez le conciliateur du tribunal de commerce. Mercredi 9 avril prendra fin la procédure de conciliation entamée en janvier. Si elle est homologuée par le tribunal de commerce, l’actionnaire est prêt à ajouter 14 millions supplémentaires, soit 18 millions au total, ce qui ferait de Bruno Ledoux l’actionnaire majoritaire de Libé (Édouard de Rothschild, coactionnaire avec 26% et le groupe italien Ersel ne souhaitent pas prendre part à l’augmentation de capital, et aucun nouvel actionnaire n’a été trouvé). Dans le cas contraire, le journal, en quasi-cessation de paiement, se dirigera vers le dépôt de bilan. En attendant, la rédaction continue à faire tourner le journal. Malgré les difficultés, un membre de la direction tient à souligner “des ventes en sensible hausse, certes portées par une actualité chargée, mais preuve aussi d’un journal de qualité. Nous ne sommes pas découragés, nous sommes combatifs. On veut prouver qu’on est là, et qu’on est bons.”
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Aujourd'hui, manifestation à Nantes. |
Les nationalistes bretons arboreront le KROAZ DU lors de la manifestation place de Bretagne (départ 15h) à Nantes, pour la réunification nationale. Les nationaux pourront les rejoindre de cette façon plus facilement.
Conscient des enjeux, en face, les gérontes du socialisme se mobilisent aussi. Ou du moins tentent de se mobiliser pour sauver leurs fiefs. Pierre Maille (66 ans), Claudy Lebreton (66 ans) et Jean-Louis Tourenne (70 ans), respectivement présidents des conseils départementaux du Finistère, des Côtes-d’Armor et d’Ille-et-Vilaine, font savoir dans un communiqué tout le mal qu’il pense de la nouvelle ligne politique du gouvernement français. Les prêtres de la religion de l’égalité contre l’ethnisme breton (http://breizatao.com/2014/04/19/les-presidents-ps-...n-bretonne-identitaire-analyse). Naturellement, les grands principes abstraits sont convoqués en défense des bas intérêts d’épicerie politique. Y compris, avec une hypocrisie nappée de cynisme, celui de la “décentralisation” qui serait menacé par la fin de l’échelon départemental – un comble – pourtant plébiscité par 60% de l’opinion publique française. Pourtant, ce qui frappe en filigrane, c’est bien l’impression générale de défaite idéologique du jacobinisme et de ses corollaires socialiste et communiste. Face à la fin des grandes idéologies modernistes et au retour des valeurs traditionnelles d’ordre, de limite et de hiérarchie, ces trois gérontes excipent la peur de voir émerger une région Bretagne se fondant sur son “identité”. Voici ce qu’ils écrivent: “Pour porter un développement économique durable et ambitieux, dont nous avons besoin, faut-il limiter par exemple l’élargissement régional à une ambition identitaire et s’interdire de construire un vaste territoire, en pointe sur les activités liées à la mer, puissant sur le plan de la production agricole, développant une industrie agroalimentaire capable de se porter au premier rang en Europe?” L’analyse du lexique utilisé est toujours cruciale pour comprendre les a priori idéologiques de ceux qui feignent la neutralité du discours. Le mot “limiter” rappelle une marque traditionnelle de la religion du progressisme qu’est le refus de la mesure, présentée comme aliénante pour l’individu. Toute limitation, frontière ou hiérarchie naturelles et héritées, bref tout ce qui structure verticalement et horizontalement une société est présenté comme une atteinte à l’individualisme prométhéen de l’idéologie du progrès. Ce profond ressentiment à l’égard de toute forme d’équilibre – il n’y a pas d’équilibre sans maîtrise, donc sans ordre limitatif – traduit assez bien cette croyance commune qu’entretiennent les progressistes en une nécessaire rupture de l’individu avec toute forme d’attache héritée. Cette “limite”, présentée comme intolérable aux tenants de la religion séculière du progrès, suppose en retour la création d’un individu déraciné et uniformisé qui ne devra pas davantage se distinguer des autres, faute de quoi l’hétérogénéité demeure. Cet individualisme a donc pour compagnon l’égalitarisme niveleur. Et cette limite “insupportable” s’incarne ici dans le texte par le terme “ambition identitaire”. L’identité y est bel et bien dépeinte comme une aliénation enfreignant le grand principe d’égalité perçu comme le garant de l’individualisme prométhéen. L’universalisme géographique contre le nationalisme ethnique. Sans surprise, ces trois idéologues, à défaut de pouvoir maintenir la division du corps traditionnel qu’est le peuple breton comme communauté ethnique – donc fondamentalement antagoniste au concept déréalisant de “peuple français – proposent de la noyer dans un tout plus vaste que serait “un vaste territoire”. Notez bien l’opposition entre ce terme géographique et le terme précédent, “identitaire”, qui lui se réfèrent aux hommes, à certains hommes en ce qu’ils ont en commun, qui les séparent des autres. C’est là encore l’affrontement entre un ordre politique défini selon la nature des communautés humaines particulières et un ordre fondé selon un principe désincarné, normatif et déshumanisant, celui de la seule géographie, afin d’abolir les différences humaines qui lézardent le mythe égalitaire. Cette tentative de “débordement par le haut” de l’ethno-nationalisme breton, pour l’instant limité à un régionalisme ethnique, à défaut de pouvoir le neutraliser par le bas, est révélateur du vieil affrontement entre les tenants de la religion de l’égalité portée par la révolution française, puis par le socialisme et le communisme, et le monde traditionnel, issus du réalisme différenciant sur les plans ethno-biologiques, spirituels, sociaux et économiques. Cet affrontement entre la religion de l’égalité, du “même”, de ce vaste projet de fusion de l’humanité en un grand tout indifférencié et leurs opposants traditionnalistes, partisans de la société d’ordre, hiérarchisée, différenciante et réaliste. Un vaste mouvement de mutation idéologique. Loin d’être une simple question de réforme de détail, il s’agit de la manifestation de la fin du grand cycle décadentiste et anti-traditionnel entamé au XVIème siècle avec la Réforme protestante, poursuivi par les soi-disantes “Lumières” et les révolutionnaires du messianisme juif que fut le marxisme et ses succédanés. Cette rupture est le résultat de la fin du passage de la religion universelle qu’est le christianisme à celui de son hérésie que fut l’universalisme socialiste (ou marxiste, démocratique, etc.). Il est accéléré par la déconfiture de l’empire mondial occidental qui s’était donné une religion séculière universaliste à la mesure de son expansionisme militaro-économique: les droits-de-l’homme ou le marxisme.Avec la faillite du communisme, le recul de l’Occident et de son phare américain, les Européens sont renvoyés dans leur foyer civilisationnel par des civilisations concurrentes rejetant leurs valeurs, y compris sur leur propre sol, notamment par une religion archaïque conquérante, sûre d’elle et dominatrice: l’islam. En toute logique, la révolution-conservatrice voit sa dynamique s’amplifier et elle va le faire toujours plus fortement, à mesure que le monde occidental et son influence se rétrécissent, sont contestés, bref, redécouvrent la notion de limite, donc de mesure et d’équilibre. La démocratie et le socialisme sont le corollaire de l’expansionnisme matériel – géographique et économique – rendu possible par les révolutions technologiques européennes. Plus l’Occident s’est étendu, plus la démocratie s’est imposée, plus le nivellement par le bas des sociétés a opéré, selon un rapport évident entre rapports socio-politiques et lois de la physique. Après la phase de cinq siècle d’expansion et de massification, spirituelle et matérielle, la crise induite par les limites physiques que rencontre l’Occident débouchera par une nouvelle concentration de ce dernier sur son foyer originel et par une nouvelle hiérarchisation de l’ordre socio-politique. Comme tas de sable qui se nivelle si on l’étend, ou se forme en pyramide si on le concentre. Il n’y a pas de progrès du socialisme sans capitalisme efficace, car le socialisme ne prospère que lorsque l’accumulation de richesse permet de s’acheter les fidèles de sa religion. Là encore, il s’agit d’un phénomène dynamique, cette religion matérialiste dépendant, par évidence, de l’expansionnisme matériel d’une société donnée. Cette mutation profonde emprunte mille formes différentes, jusque dans sous l’aspect d’évolutions a priori anodines comme la suppression des départements. Mais celle-ci ne l’est pas: leur destruction est aussi symptomatique et révolutionnaire que leur création, elle en dit aussi long sur l’état de la psychée en Europe, en France et a fortiori sur le sol breton. Tout désormais va aller de plus en plus vite, et nos succès vont s’engranger pour la plus grande surprise de nos militants qui n’auront pas forcément vu la tectonique des plaques à l’oeuvre, dans les soubassements de l’inconscient des peuples blancs.
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En Ukraine, la chasse aux juifs est ouverte: gros calibre autorisé. |
Les Juifs de Donetsk sont inquiets après la diffusion d'un tract en russe les appelant à se faire recenser. L'affaire a mis la communauté juive de l'est de l'Ukraine en émoi et provoqué un tollé jusqu'aux États-Unis. Depuis plusieurs jours, un étrange tract inquiète les habitants de Donetsk. Distribué mardi 15 Avril 2014 à la sortie la synagogue par des hommes cagoulés, le document demande aux juifs âgés de plus de 16 ans de se faire enregistrer sur des listes et de déclarer leur patrimoine, sous peine d'expulsion et de confiscation de leurs biens "Plus précisément, tous les Juifs sont convoqués le 3 mai à l'administration municipale pour payer un impôt de 50 dollars, et justifier de la possession de leur logement, de leurs esclaves, et de leur voiture, sous peine d'être expulsés de la région. Le document porte un tampon officiel et la signature d'un responsable de la république de Donetsk, Denis Pouchiline", poursuit M. Krasnopolski. (http://www.leparisien.fr/international/ukraine-un-...donetsk-17-04-2014-3776053.php). Jeudi, le rabbin de Donetsk a qualifié ce tract de «provocation» et estimé que l'incident était «clos». Ce tract a été distribué mardi par des inconnus qui ont disparu avant l'arrivée des policiers, précise la communauté juive de Donetsk dans un communiqué sur son site internet. Signé par Denis Pouchiline, «gouverneur populaire» autoproclamé de Donetsk en proie à une insurrection pro-russe, il est écrit en russe et frappé du sceau de la ville, selon le site d'information israélien i24news. Le document oblige les juifs à s'enregistrer comme tels auprès des autorités séparatistes autoproclamées de la région sous peine de déportation ou de voir leurs biens confisqués. Le leader séparatiste Denis Pouchiline a démenti être impliqué dans cette affaire, dénonçant un faux grossier. Son démenti a été qualifié de signe «positif» par le rabbin Pinkhas Vychedski. «Cela sent le gaz, une véritable provocation. Nous ne savons pas qui est derrière. Mais c'est une provocation, on la considère comme telle. Le sujet est clos», a commenté le rabbin cité dans le communiqué. L'incident a été rapporté dans les médias israéliens et américains et a provoqué quelques crises d'hystérie. De toute évidence, les coupables sont parfaitement connus des services de police.
Le secrétaire d'Etat américain John Kohn (alias John Kerry) s'est insurgé contre la distribution de ce tract lors d'une conférence de presse à Genève au terme d'une réunion avec la Russie, l'Ukraine et l'UE qui avait pour objectif de faire baisser les tensions en Ukraine. «C'est non seulement intolérable, c'est grotesque. C'est au-delà de l'inacceptable», a lancé M. Kohn. «D'après les informations dont on dispose, cela paraît venir d'un groupe radical sur le terrain soit pour faire peur soit pour créer une provocation afin de justifier les violences ultérieures», a indiqué l'ambassadeur américain Geoffrey Pyatt sur la chaîne de télévision CNN. Plusieurs représentants de la communauté juive ont fait état de leur inquiétude. Cité par le site israélien Ynet, Alex Tenzer, un responsable d'une association de migrants en Israël, s'est dit extrêmement choqué. «Les leaders juifs ukrainiens soutiennent le nouveau gouvernement de Ioulia Timochenko (juive) mais il est difficile de dire si le tract est valable ou simplement une provocation. Quoi qu’il en soit, le procédé est antisémite et me rappelle les agissements des anciens nazis», a-t-il déclaré. La Ligue anti-diffamation, l'une des principales ONG internationales qui lutte contre l'antisémitisme a, elle, émis des doutes sur l'authenticité du tract tout en dénonçant l'instrumentalisation du thème juif en Ukraine. Personnellement, on ne voit pas où est le problème? S'ils n'ont rien à se reprocher, qu'ils ont toutes les factures, les justificatifs, ils ne risquent rien, au contraire. Ils sortiront blanchi de toute accusation de détournement de fonds, de trafic d'organes, de drogues, de blanchiment d'argent, de traite des blanches, etc ..
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La phobie du fric envahit la gauche! |
Nous, on aime bien les socialistes, mais pour les suivre, va falloir qu'on prenne un sacré crédit, parce que là, entre les pompes d'Aquilino Morelle, les montres de Julien Dray, les œuvres d'art de Fabius, mêlés aux conflits d'intérêts de Cahuzac, ou aux belles montures de DSK, on s'y perd un peu, on a dû buggé sur l'ancien franc! Le sandwich jambon-beurre, c'est pas pour eux, leur graisse et cellulite sont garanties 50% foie gras, 50% caviar, même si Nicole Bricq déclarait encore récemment: «Cette bouffe est dégueulasse!» Au vu de sa gueule, ce sont surtout les champignons de Tchernobyl qui ne lui ont pas réussie. En espérant ne jamais l'apercevoir chez MacDo, ou Picard.
A-t-il l’image d’un médecin intègre, adversaire de l’industrie pharmaceutique depuis son rapport sur le Mediator? Mediapart a découvert qu’il avait travaillé en cachette pour des laboratoires pharmaceutiques, y compris à une époque où il était censé les contrôler. A-t-il la réputation d’être solidement ancré à gauche? Il se comporte comme un «petit marquis» au Palais où il abuse des privilèges de la République. Est-il connu pour sa plume aiguisée? Il a longtemps fait écrire ses discours par d’autres. Aquilino Morelle, conseiller politique du président et nouvel homme fort de l'Élysée, a beaucoup, beaucoup, beaucoup menti (http://zebuzzeo.blogspot.ru/2014/04/laffaire-aquilino-morelle-mensonges.html). La première fois que David Ysebaert a ciré les chaussures d’Aquilino Morelle, c’était au Bon marché, dans le VII ème arrondissement de Paris. Il lui a laissé sa carte. Et quelques semaines plus tard, raconte le cireur, «une femme, probablement sa secrétaire, m’a appelé pour prendre rendez-vous». Au Palais même. Depuis, tous les deux mois environ, «le temps de garantie pour un glaçage», il revient à l’Élysée s’occuper des souliers du conseiller politique de François Hollande, également directeur de sa communication. «Aquilino Morelle a 30 paires de souliers de luxe faites sur-mesure, pour son pied qui a une forme particulière. Des Davison, des Weston…Des chaussures de plein cuir toujours du même style.» À deux reprises, explique le cireur, confirmant des informations que nous tenions de bonne source à l’Élysée, Aquilino Morelle a même fait privatiser un salon de l’hôtel Marigny afin de se faire cirer les chaussures seul au milieu de cette pièce toute en dorures. «Il y avait une urgence apparemment. Il était au téléphone, en chaussettes, au milieu de cette salle immense. Et moi j’étais face à lui entrain de lui cirer ses souliers.» L’épisode, qui date de mars 2013, a alimenté bon nombre de conversations dans les couloirs de l’Élysée. Il tranche quelque peu avec l’image de modestie et de normalité que souhaitait imprimer François Hollande. Mais au Palais, plus rien n’étonne dans le comportement de celui qui est devenu l’homme fort du cabinet présidentiel, depuis que son ami Manuel Valls a été nommé premier ministre, et que son ennemi, le secrétaire général de l’Élysée Pierre René Lemas, a été remercié. Intrigué par le comportement de ce médecin, énarque, qui fut la plume de Lionel Jospin à Matignon, puis le directeur de campagne d’Arnaud Montebourg pendant la primaire socialiste, Mediapart a enquêté pendant six semaines sur l’itinéraire de ce fils d’immigrés espagnols, présenté à longueur de portraits comme «un fils du peuple» incarnant l’aile gauche au pouvoir. Or ce que nous avons découvert est bien plus grave qu’un comportement mégalomane ou un goût prononcé pour la transgression. Aquilino Morelle, ce conseiller de l’ombre qui n’a pris qu’une fois la lumière, lorsqu’il a signé, en tant qu’inspecteur de l’IGAS (Inspection générale des affaires sanitaires), un rapport très médiatisé sur le scandale sanitaire du Mediator, a beaucoup menti, et a beaucoup omis. Il a l’image d’un médecin parfaitement intègre, farouche adversaire de l’industrie pharmaceutique et des conflits d’intérêts depuis ce rapport? Mediapart a découvert qu’il avait travaillé en cachette pour des laboratoires pharmaceutiques, y compris à une époque où il était censé les contrôler, au mépris de la loi. Il a la réputation d’être un homme aux idées bien ancrées à gauche? Il se comporte comme un «petit marquis» au Palais où il abuse des privilèges de la République. Il est connu pour sa plume aiguisée? Il a longtemps fait écrire ses discours par d’autres, notamment à l’Élysée, où son manque de travail fait jaser. Depuis qu’il est sorti de l’ENA en 1992, Aquilino Morelle est rattaché à l’IGAS, ce grand corps de l’État en charge des affaires sociales et sanitaires. Il a fait, depuis lors, des passages par des cabinets ministériels et par le privé, mais en 2007, il réintègre son corps d’origine. Il est, cette année-là, le rédacteur d’un rapport sur «l’encadrement des programmes d’accompagnement des patients associés à un traitement médicamenteux, financés par les entreprises pharmaceutiques». Au même moment, Aquilino Morelle travaille pour un laboratoire danois, Lundbeck. Un dirigeant du laboratoire de l’époque raconte: «Il nous avait été recommandé par un professeur de l’AP-HP (Assistance publique hôpitaux de Paris). Son profil était séduisant.
On s’est rencontrés. Il m’a dit qu’il cherchait à travailler pour l’industrie pharmaceutique, qu’il avait du temps libre, que son travail à l’IGAS ne lui prenait que deux jours sur cinq, ce qui m’a semblé bizarre. Mais son profil et son carnet d’adresses nous intéressaient.» Pour le compte du laboratoire, l’inspecteur de l’IGAS organise deux rendez-vous avec des membres du CEPS (comité économique des produits de santé), cet organisme chargé de fixer le prix des médicaments et les taux de remboursement. «Il nous a ouvert des portes, raconte le dirigeant. Et c’est un enjeu majeur: nous permettre d’aller défendre notre dossier auprès de la bonne personne. On cherchait à stabiliser le prix du seroplex, un anti-dépresseur.» Ce dirigeant n’a cependant pas demandé à Aquilino Morelle de l’accompagner lors des rendez-vous. «J’ai pensé que ça pouvait être contre-productif. Il était dans une position tellement compliquée, si peu éthique, que ça pouvait être à double tranchant. D’habitude, ce sont plutôt des gens à la retraite qui ont ce type d’activité.» Interrogé par Mediapart, Aquilino Morelle, n’a envoyé que des réponses par e-email (voir la boîte noire), repoussant sans cesse le rendez-vous dont il avait convenu. Rémunéré 12 500 euros (hors taxe) pour cette prestation, il assure que tout a été fait dans les règles en vertu du fait qu’« en tant que fonctionnaire, un certain nombre d’activités annexes sont autorisées, dont l’enseignement et le conseil». A-t-il déclaré ce contrat auprès de son administration? «Ces activités ont dû être déclarées à l’IGAS. Je n’en ai pas retrouvé la trace en dépit de mes recherches, nous écrit-il. Ce sont des faits anciens – sept ans – et banals.» Sollicitée sur ce ménage auprès d’un laboratoire, l’IGAS nous a d’abord répondu que «l’article 25 de la loi du 13 juillet 1983 permet aux fonctionnaires d'exercer certaines activités annexes. À ce titre l'expertise, la consultation, les activités littéraires et scientifiques, les enseignements peuvent être autorisés par le chef de service. C'est ce qui a été fait en 2007.» Nous avons donc retrouvé le chef de service (c’est-à-dire le directeur) de l’IGAS à l’époque, André Nutte, aujourd’hui en retraite. «J’ai franchement une bonne mémoire, explique-t-il après avoir cité dans l’instant les différents rapports écrits par Morelle à l’époque. Mais je ne me souviens pas avoir signé une telle autorisation. Si l’IGAS a une pièce, qu’ils la sortent. On verra bien qui a signé. Car ça n’a pas de sens. C’est comme si on accordait le droit à un directeur d’hôpital entré à l’IGAS d’aller travailler parallèlement dans une clinique privée. Ou à un inspecteur du travail de conseiller une entreprise.» Nous avons rapporté l’échange à l’IGAS, qui a du coup changé de discours ce 16 avril. En réalité, explique l’institution, une autorisation n’a été donnée en 2007 que pour donner des cours à l’université Paris 1. Aucune autre autorisation n’a été retrouvée. Il faut dire que permettre un tel cumul aurait été une aberration selon Michel Lucas, directeur de l’IGAS de 1982 à 1993, à l’origine des révélations sur les millions de francs détournés à l’ARC (association pour la recherche sur le cancer): «Ces deux fonctions sont incompatibles. On n’autorise jamais un inspecteur à travailler pour une entreprise privée. Alors un laboratoire pharmaceutique…» L’article 25 de la loi du 13 juillet 1983 est d’ailleurs clair: «Les fonctionnaires et agents non titulaires de droit public consacrent l'intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées. Ils ne peuvent exercer à titre professionnel une activité privée lucrative, de quelque nature que ce soit.» À défaut de dérogation spécifique, « la violation (de cette règle) donne lieu au reversement des sommes indûment perçues, par voie de retenue sur le traitement ». Pis, au vu de l’article 432-12 du code pénal, cette double activité pourrait être considérée comme une prise illégale d’intérêts. En 2007, au moment des faits, le délit était puni de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Chantre de la transparence… pour les autres. Aquilino Morelle a visiblement tout tenté pour dissimuler ces faits. L’argent qu’il a gagné pour ces activités a été encaissé via une société, l'EURL Morelle, qu’il a créée en 2006, et qui a été radiée par le tribunal de commerce en mars 2013. Mais les comptes n’ont jamais été déposés à ce même greffe en dépit des obligations légales. Le 28 février 2007, le jour même où il réintègre l’IGAS, Aquilino Morelle, unique actionnaire de son entreprise, se démet de son rôle de gérant et y place son frère cadet Paul. Le profil de Paul Morelle, qui ouvrira deux ans plus tard, en 2009, un magasin de fleurs, vins et chocolats dans le XVe arrondissement de Paris, ne semble pas coller avec celui d’un expert en médicaments. Mais la démarche est utile : dès lors, plus aucune société n’est directement associée au nom d’Aquilino Morelle lors d’une recherche au greffe. Jamais dans son histoire, Aquilino Morelle n’a fait référence à son travail pour l’industrie pharmaceutique.«Aucune règle ne disposait que je doive “faire état” de ces contrats », nous répond-il aujourd’hui. C’est pourtant lui, qui, sur les plateaux de télévision, et lors de multiples émissions de radio, claironnait partout, au moment de son rapport sur le Mediator, que la transparence était nécessaire, comme ici lors d’un passage à France Info le 24 juin 2011: «(Il faut) que chacun soit au clair avec lui-même et avec les autres. Il n’y a pas d’interdiction d’avoir un rapport avec l’industrie pharmaceutique pour un médecin. Ça peut se comprendre. Ce qui est obligatoire, c’est de rendre public cela. Il faut que ces contacts soient publics. Quand vous publiez vos relations, vous êtes transparent et chacun peut regarder si (…) il n’y a pas quelque chose qui peut poser un problème en termes d’indépendance. C’est juste ça. Mais c’est énorme. (Si) on a un rapport avec l’industrie pharmaceutique, il faut que tout le monde le sache. On aboutit à des situations où les experts sont parties prenantes. Juge et partie. Il faut en finir avec ça.» Lors d’un chat à Metronews, il synthétise assez bien ce qu’il martèle partout à l’époque: «Oui, il est exact que l'industrie pharmaceutique a une forte influence sur la politique actuelle du médicament. (…) La culture dominante considère que les laboratoires pharmaceutiques auraient une sorte de "droit" à commercialiser leurs produits, comme s'il s'agissait d'une "marchandise" comme les autres... Il faut changer cet état des choses.» À la question d’un internaute: «Pouvez-vous citer les noms des laboratoires qui font le plus de lobbying auprès des hommes/femmes politiques?», il répond: «Toute l'industrie pharmaceutique est concernée. » L’internaute est probablement loin de s’imaginer qu’il parle en toute connaissance de cause. Aquilino Morelle s’interroge-t-il sur le bien-fondé de la démarche après que Lundbeck a choisi de mettre fin à leur relation commerciale en décembre 2007 ? Aucunement. En 2008 et 2009, il continue de vouloir travailler pour l’industrie pharmaceutique. Chez Sanofi, un haut dirigeant nous raconte l’avoir reçu. Et chez Servier, le laboratoire qu’il a démoli dans son rapport sur le Mediator et dont le patron Jacques Servier est mort ce 16 avril, on nous explique avoir également reçu sa candidature à cette époque. Il est vrai que le scandale sanitaire n’avait pas encore éclaté. Mais dans le milieu, la réputation de Servier, son recours systématique à de jeunes visiteuses médicales ou encore ses recherches approfondies sur les appartenances politiques de ses futurs salariés, sont déjà archi-connus. À l’époque, de l’avis de différents laboratoires qui ont reçu sa candidature, Aquilino Morelle cherche un emploi à plein temps. Ou plus exactement une rémunération, pour accompagner son parcours politique, plutôt qu’une réelle activité. Ce qui n’intéresse pas les laboratoires. Il fait chou blanc. Aquilino Morelle n’a cependant pas attendu la fin des années 2000 pour bien connaître l’industrie pharmaceutique. En 1992, il sort de l’ENA. Non pas à la 2e place comme il le raconte à Laurent Binet en 2012 dans le livre Rien ne se passe comme prévu. Mais à la 26e. Lors du grand Oral, il est repéré par Pierre Moscovici (juif trafiquant de statistiques économiques), et, assez vite, il intègre le cabinet de Bernard Kouchner (juif trafiquant d'organes), alors ministre de la santé. Là non plus, nous n’en avons pas retrouvé trace dans ses biographies, mais Aquilino Morelle occupe un poste bien spécifique: conseiller technique en charge du médicament. La même fonction que celle occupée par Jérôme Cahuzac deux ans auparavant (voir notre article sur la corruption à ce poste à cette époque). Le rôle est si central qu’il permet de se faire en quelques mois un carnet d’adresses fourni dans le milieu pharmaceutique.
Après la défaite de la gauche aux législatives de 1993, Aquilino Morelle réintègre l’IGAS, où il laisse un souvenir très mitigé. Vingt ans plus tard, des inspecteurs parlent encore de la façon dont il s’est servi d’une mission et d’un rapport collectif sur le don du sang en milieu pénitentiaire pour nourrir abondamment un livre personnel sur l’affaire du sang contaminé, La Défaite de la santé publique, qui lui vaudra un début de notoriété. À l’époque, il n’est pas vu comme tire-au-flanc. Mais comme un touche-à-tout, qui, du coup, a tendance à bâcler son travail d’inspecteur. En 2002, après cinq années à Matignon auprès de Lionel Jospin, il est d’office réintégré à son corps d’origine. Il a perdu aux municipales de 2001 (Nontron), aux législatives de 2002 (Vosges), comme il perdra en 2007 (Seine-Maritime) : sa carrière politique est au point mort, et il veut gagner de l’argent. Euro RSCG, via Stéphane Fouks, qui a participé à l’échec de la campagne de Lionel Jospin, lui offre une porte de sortie, avec la bénédiction de la commission de déontologie. À Euro RSCG, pourtant, il s’occupe très vite de l’industrie pharmaceutique. Du côté marketing dans la branche Healthcare. Et du côté Corporate, on lui demande de travailler sur l’image des laboratoires, de conseiller sur les stratégies de communication, de réfléchir à la façon d’améliorer l’image des médicaments auprès des consommateurs et des médecins. À l’époque, les principaux clients d’Euro RSCG dans ce secteur s’appellent Pfizer, Lilly, Aventis, Sanofi. Mais il ne donne pas satisfaction, visiblement jaloux de son carnet d’adresses, peu travailleur et pas bien doué pour les relations commerciales selon ses anciens collègues. L’inspecteur en disponibilité décide alors de faire fructifier son carnet d’adresses pour son propre compte. Parallèlement à sa campagne pour le non au référendum européen aux côtés de Laurent Fabius en 2005, à des fonctions peu prenantes au Génopôle d’Évry puis au Pôle de compétitivité de Medicen, il met en place l’EURL Morelle. Le laboratoire américain Lilly le rémunère 50 000 euros (3 fois 12 500 euros hors taxe), essentiellement pour organiser des déjeuners dans de très bons restaurants du VIIIe arrondissement. Un haut dirigeant de l’époque se souvient: «Il m’a fait rencontrer des parlementaires de gauche comme Marisol Touraine (aujourd'hui ministre des affaires sociales), Jean-Marie Le Guen (aujourd'hui secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement) ou Jérôme Cahuzac. Ainsi que des journalistes.» Autant de personnes qui savent donc pertinemment qu’Aquilino Morelle a travaillé pour l’industrie pharmaceutique… «Il participait au travail de lobbying habituel, raconte ce dirigeant. Il appuyait mon discours – forcément, on le payait pour – sur la place des génériques, sur l’emploi, sur la place à faire à de nouveaux médicaments innovants. En tant qu’administrateur du LEEM (syndicat des entreprises du médicament), je tenais un discours classique. Et lui, intellectuel, cultivé, agréable dans le contact, savait y faire pour appuyer.» À notre demande, Lilly a retrouvé dans ses archives l’intitulé du contrat: «mission d’analyse et de conseil sur l’image de Lilly, et préparation à la communication de crise». À cette époque, Lilly doit d’ailleurs gérer une crise importante avecle scandale du Zyprexa, ce médicament pour les psychotiques qui génère des milliers de plaintes dans le monde en raison de risques connus du laboratoire mais cachés au public. Abus en tous genres. Au vu de nos découvertes sur son parcours, cette expertise supposée en communication de crise pourrait lui être bien utile. D’autant qu’à l’Élysée, les langues se délient. Au cours de notre enquête, nous avons rencontré de très nombreuses personnes officiant au Palais. Nous avons pris soin de recouper et vérifier chaque information, surtout en raison des bouleversements actuels au cabinet, susceptibles d’attiser les règlements de comptes. D’ailleurs, le service communication a déjà commencé à faire passer le message qu’il «ne s’agit que de rumeurs malveillantes». Nous n’avons pas pu poser de questions précises à Aquilino Morelle sur ces sujets, mais alerté du fait que nous souhaitions parler de ses abus, il évoque lui aussi des «affirmations dénuées de tout fondement, qui visent uniquement à me salir. Il arrive dans la vie politique que certaines personnes aient intérêt à jeter la suspicion sur une autre». Bien sûr, dans un univers compassé, le goût du luxe très assumé d’Aquilino surprend.
Mais où est le mal? D’autant qu’Aquilino Morelle ne manque jamais de rappeler ses origines modestes, sa famille nombreuse immigrée espagnole, sa mère parlant mal le français, son père ouvrier affûteur chez Citroën. On peut être riche, de gauche, «foncièrement de gauche» selon Les Échos, passer beaucoup de temps au Flore, et trouver que «ce qui est dur, c'est de voir les ouvriers pleurer», ainsi qu’il le déclarait au quotidien. Suite à l’affaire Cahuzac, les ministres ont dû remplir une déclaration de patrimoine. «Le fils du peuple qui n’oubliera jamais d’où il vient» (dixit le JDD) leur envoie alors une tribune qu’il avait publiée en juillet 2010dans Libération, titrée «Un homme de gauche peut-il être riche?». Il y développe l’idée que «la sincérité d’un engagement ou la force d’une conviction ne peuvent se mesurer à la seule aune d’un compte en banque». Ce que personne ne dément, ni au Palais ni ailleurs. Mais à l’Élysée, ce sont les manières qui choquent. La façon dont il s’adresse au petit personnel, l’utilise, le terrorise. Et les abus multiples. Aquilino a obtenu que ses deux chauffeurs ne soient pas versés au pool commun. Ils sont donc à sa disposition… et à celle de ses proches. Par exemple, le mardi en fin d’après-midi, comme nous avons pu le vérifier, un des deux chauffeurs véhicule son fils pour des activités personnelles dans le XVearrondissement. Au su de tous, Aquilino Morelle n’hésite pas non plus à demander à ses secrétaires de s’occuper de ses affaires personnelles, par exemple quand il a un souci avec un de ses nombreux locataires. D’après nos recherches dans différents cadastres de France, Aquilino Morelle, qui vit dans le Ve arrondissement à Paris, possède en effet des biens immobiliers à Paris, Saint-Denis, Sarlat, Périgueux ou encore Perpignan, la plupart acquis en indivision avec sa femme, elle-même directrice de cabinet de la ministre de la culture. Depuis janvier, le conseiller politique se serait mis à travailler. Car jusque-là, Aquilino Morelle était parfois présenté comme un bourreau, mais jamais de travail. En mai 2013, lors de la projection à l’Élysée du documentaire «Le Pouvoir», de Patrick Rotman, une bonne partie du cabinet est présente pour se voir à l’écran. Au milieu du film, une scène montre Aquilino Morelle qui arrive à l’Élysée et monte l’escalier qui mène à son bureau. Dans la salle de projection, une voix s’élève: «Tiens, il est 11 heures!» Éclat de rire général. Toute l’année 2012, Aquilino Morelle s’est ainsi attribué auprès du président les discours écrits par l’ancienne plume Paul Bernard, avec qui les relations s’étaient rapidement tendues. Alerté, le président a fini par sortir le nègre des griffes du conseiller en décembre 2012. Très souvent, le conseiller spécial s’absente. Et personne ne sait où il disparaît. Aux bains du Marais, il nous a été confirmé qu’il venait, à une époque, «pas tous les vendredis, mais très souvent en effet, au milieu de l’après-midi. Pour le sauna, le hammam, un gommage, parfois un massage». À d’autres moments, il s’adonne aux sports de combat, avec un certain talent paraît-il, qu’il ne faut cependant pas exagérer: Aquilino Morelle est parfois présenté comme multi-champion de France de karaté. Vérification faite auprès de la fédération française, il ne l’a jamais été. Ni même finaliste. Ni même champion dans les catégories jeunes (consulter ici les palmarès complets). Le poste de conseiller spécial du président laisserait-il tant de temps pour les activités parallèles? Il faut le croire puisque Aquilino Morelle occupe par ailleurs un poste de professeur à mi-temps à la Sorbonne, soit «96 heures équivalent TD par an», explique l’université. Nommé pour la première fois en 2003, il a été renouvelé pour la deuxième fois en 2012 comme l’a déjà écrit le Lab Europe1. Il dispense trois enseignements: Régulation du système de santé en Master 2, Grands problèmes contemporains en Master 1 et un cours de culture générale préparant les étudiants au concours de l'ENA. Ce qui lui procure un petit complément de salaire, de l’ordre de 2 000 euros par mois. Le président de la République a été alerté de certains écarts de son conseiller. Pendant la première année de mandat, message a ainsi été transmis à Aquilino Morelle d’arrêter de faire monter de la cave de l’Élysée des crus haut de gamme pour de simples déjeuners ou des réunions de travail, parfois avec des journalistes. Une pratique qui passe mal quand d’autres membres de cabinet disent rembourser leurs plateaux-repas à 8 euros. Quelques semaines plus tard, François Hollande décidera d’ailleurs de limiter la consommation de bons crus, et de vendre une partie de la cave de l’Élysée. Lors des voyages officiels de début de quinquennat, certains se plaignent aussi de son goût peu modéré pour la piscine en journée et les chambres de luxe en soirée. Rien ne semble trop beau, trop grand pour le conseiller du président. Dans son bureau – celui qu’occupait Henri Guaino sous la présidence Sarkozy – juste à côté de celui de François Hollande, il a demandé quelques menus travaux lors de son arrivée. Puis a fait changer des meubles plusieurs fois. En avril 2013, alors que se solde l'affaire Cahuzac et qu'apparaissent au grand jour ses relations avec l'industrie pharmaceutique, une succession d’incidents au Palais semblent sonner son heure. Il est mis en retrait pendant plusieurs mois, ne participe plus aux déplacements à l’étranger ni à certaines réunions décisives. Mais François Hollande ne prend pas la décision de s’en débarrasser. Et c’est même l’inverse qui se produit, à l’automne 2013, après plusieurs ratés dans la communication présidentielle. Il revient particulièrement en grâce au moment de l’affaire Julie Gayet. Puis il est carrément promu. Artisan du rapprochement Montebourg/Valls, il n’a de cesse de militer pour que Manuel Valls remplace Jean-Marc Ayrault. Ce qui advient le 31 mars 2014. Quinze jours plus tard, plus que jamais, il est parvenu à se placer au centre du dispositif et règne en maître à l’Élysée. Comme disait Mitterand, pas le pédophile, l'autre: «Si t'es pas juif, multimillionnaire, et repris de justice, tu pourras jamais devenir un socialiste convaincu!»
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Le scooter, c'est fini! |
In extremis, notre président récupère une poule à l'Elysée, et celle-là, au moins elle est pondeuse, élevée aux bons herbages du Poitou. Une façon de ramener maman au bercail, et de remonter dans les sondages, si en plus vous imaginez un bébé et un EPR, autant vous dire que 2017, c'est gagné d'avance! C'est vrai que les deux dernières étaient remplies de vices cachés: hautaines, pas photo hygiéniques, caractérielles, possessives, dépensières, procédurières, pour résumé: deux intermittentes people! Heureusement, tout ça, c'est oublié, et maintenant Hollande avec son gouvernement de Combat va pouvoir, au bout de deux ans, s'attaquer aux vrais défis. Avant c'était sûrement le repos du guerrier. Tout n'est pas si simple, car d'un côté, pour faire plaisir à Bruxelles qui risquerait de dégrader sa note, il faut réduire le déficit public en fâchant les parasites et fonctionnaires, et de l'autre côté, pour faire plaisir aux Français qui risqueraient de lui raser son second menton, il faut baisser les impôts et taxes. Un exercice de contorsionniste qui éveille notre curiosité: pensez donc, faire rentrer un porc dans un trou de souris, ce serait une première mondiale. On file chez (breizatao.com) pour un descriptif approfondi. Le nouveau “gouvernement de combat” de François Hollande vient donc d’être présenté. Il rassemble anciens ministres mitterrandiens et jospinistes, tous apparatchiks issus du Parti Socialiste Français. Après la défaite historique des élections municipales, le message adressé est sans ambiguïté: on prend les mêmes et on recommence, en pire. Une décision suicidaire qui mènera à l’effondrement complet du PSF. Un archéo-colbertiste à l’économie. Arnaud Montebourg hérite des ministères stratégiques de l’économie, des finances, de la recherche et de l’industrie. Arnaud Montebourg n’est pourtant pas un entrepreneur d’envergure ni d’expérience, ni même un économiste réputé. C’est un avocat de province ayant gravi les échelons de l’appareil socialiste. Il ne connaît rien donc du ministère le plus essentiel en cette période de grave crise économique. Pire, il était le chef de file de la gauche étatiste lors des élections internes en vue des dernières présidentielles, avec son appel à “démondialiser” la France. Une telle nomination sera interprétée sans ambiguïtés par les investisseurs et partenaires économiques étrangers de la France: un archéo-colbertiste aux accents marxistes présidera aux destinées de la deuxième économie de l’UE, en état d’effondrement avancé. Mettre à ce poste un “keynésien” étatiste, c’est-à-dire un adepte de la dépense publique, pour répondre à l’endettement exponentiel d’un pays suradministré et non-compétitif, relève de la folie pure. Pour les Allemands il sera impossible de discuter avec celui qui présentait Angela Merkel comme “menant une politique à la Bismarck”. Une confrontation très dure s’annonce autour de l’avenir de la zone euro, Montebourg voulant “faire les poches” à l’Allemagne pour financer la France. Cette nomination relève aussi de la plus basse cuisine électorale. En nommant Montebourg à ce ministère, il s’agit aussi de tenter d’éviter au PSF une déroute aux élections européennes. Ceci en “cassant de l’Allemand” afin de calmer l’électorat eurosceptique de droite et de gauche. Il s’agit aussi de tenir en respect l’aile gauche du PS qui se voit privée de chef de file. Que l’avenir économique de la France soit conditionnée par la peur de fâcher les communistes du Front de Gauche et du Front National en dit long sur la capacité de leadership du gouvernement actuel. Taubira à la justice: l’ultime provocation. Le président français assurait avoir “entendu” la “colère des Français”. C’est pour cela que, face à un vote massif en faveur d’une politique libérale et antifiscale mais aussi conservatrice, Hollande a décidé de maintenir Christiane Taubira en tant que Garde des Sceaux. C’est-à-dire celle qui concentre le plus le ressentiment des couches populaires sur les questions de société comme le mariage des homosexuels. Son maintien va naturellement chauffer à blanc l’opposition qui en a fait l’icône de la déchéance promue par le PSF. Son maintien relève de la provocation pure et vise à tenir la dragée haute aux millions de manifestants anti-mariage homosexuel. Cela ne va permettre qu’une chose: la sur-mobilisation des opposants au gouvernement. Fabius, Le Drian, Royal: les gérontes. Les ministères régaliens de la Défense et des Affaires Etrangères restent entre les mains des vieux gérontes du PSF mitterrandien. Laurent Fabius, figure du bellicisme français en Syrie ou en Ukraine et de l’alignement sur Israël et les USA est exécré. Le Drian, 66 ans, a fait savoir récemment qu’il resterait au gouvernement “en cas d’urgence”. Maintenu à la Défense en tant que soutien à Hollande, il est moins probable qu’il se représente aux élections régionales de 2015. Pourtant, il est le seul véritable atout de la gauche socialiste en terre bretonne, encore que son absence lors de l’automne dernier ainsi que son bilan médiocre à la région ne lui soient pas d’un grand secours. S’il se présente malgré tout, les Bretons sanctionneront un ministre français sortant, symbole du fiscalisme qui détruit PMI et PME. Sauf à avoir de véritables avancées institutionnelles, culturelles et économiques, son retour sera plus que compromis. La nomination de Ségogol Royal à la tête d’un improbable ministère de l’écologie annonce quant à lui de beaux moments de “bravitude” médiatique. La mère Lebranchu en charge de la “décentralisation” à la française. Forte d’un bilan catastrophique à la tête du ministère en charge de la Fonction Publique et de la Décentralisation, François Hollande et Manuel Valls ont “logiquement” reconduit Marylise Lebranchu au même poste. Celle qui fut nommée pour précisément ne rien réformer et rassurer fonctionnaires et élus socialistes, se voit donc confier la tâche de recommencer. Avait été évoquée la “fusion des départements” en début d’année par celle qui était contre il y a encore quelques mois. Elle est désormais missionnée pour la mettre en oeuvre. Sans surprise cette “fusion” est une usine à gaz reposant sur le volontariat, autant dire sans aucune chance de réussite. Claudy Le Breton (PSF), chef du département des Côtes-d’Armor et président de l’association des départements de France l’a d’ailleurs menacé sans détour en cas de tentative de réforme sur le sujet. Lebranchu incarne, surtout pour les Bretons, la figure même de la politicienne socialiste parisianiste. Le PSF, visiblement englué dans son immobilisme, n’aura probablement rien à proposer aux Bretons sur les sujets majeurs qui les préoccupent : régionalisation, libéralisation économique, audace dans le domaine culturel et linguistique. Le dernier carré socialiste. Le gouvernement ne compte, pour la première fois depuis 1981, aucun membre qui ne soit pas socialiste, hormis un radical de gauche. Le PSF est totalement isolé: les Verts ont quitté le navire, de peur de sombrer lors des élections européennes, un scrutin où ils réalisent généralement de bons scores. Les communistes ne sont pas davantage présents. Bref, ce “nouveau gouvernement” ressemble à un condensé de mitterrandisme et de jospinisme, une synthèse d’archéo-socialisme. Le PSF ne sera plus attaqué uniquement par la droite et l’extrême droite, mais aussi par l’extrême gauche et les Verts. Face à la révolte antifiscale et antisocialiste de la semaine dernière, la réponse du gouvernement en place consiste donc à s’enfermer encore plus sur la base PS. Une folie à quelques mois des élections: le PS sera ciblé de tous les côtés du spectre politique, sans exclusive. Peu l’ont interprété comme tel, mais le coup de force de Manuel Valls revient bel et bien à un coup d’état légal. Et ce faisant, à réduire le peu de sens qu’il reste à la cinquième république finissante. En s’imposant par le chantage au président en exercice, Valls est du même coup devenu le véritable chef de l’exécutif. Personne ne peut croire que le premier ministre français suivra les consignes du président français sur les grands dossiers. L’effet immédiat en est, bien sûr, une fragilisation extrême de l’État Français, puisque son chef est délégitimé à partir d’aujourd’hui et ce pour une durée de trois ans. Paradoxalement, Valls est censé garantir la réélection de François Hollande. Contradiction insurmontable. Finalement, en étant haï par la gauche en raison de son “droitisme” largement surfait, mais également détesté par la droite et l’extrême droite pour des raisons partisanes, Valls va être la cible de toutes les attaques, tout en affaiblissant le chef de l’exécutif. Une telle situation rend possible un vaste mouvement de contestation, de gauche et de droite, unies pour une fois dans un même rejet du gouvernement. Si l’on y ajoute les inévitables désastres électoraux en perspective et l’aggravation de la situation économique, un renversement du gouvernement par la rue ne relève plus de la fiction. La débâcle historique des dernières élections, qui annonce celle à venir des européennes en attendant le basculement du sénat à droite, appelait un véritable tournant politique en France. Fort logiquement il est cependant impossible à ceux qui gouvernent ce pays depuis quatre décennies d’envisager d’autres solutions que celles du système dont ils procèdent. Rien donc sur une profonde réforme démocratique des institutions et de l’organisation territoriale. En choisissant un raidissement socialiste, face à un électorat massivement demandeur d’une libéralisation générale du pays (politiquement et économiquement), François Hollande et surtout Manuel Valls font le choix de renvoyer l’électorat dans ses six mètres. Un tel aveuglement aura des conséquences sans doute dramatiques pour le Parti Socialiste. Faute d’avoir su évoluer à l’image du SPD allemand, du Parti Démocrate italien ou du Parti Travailliste anglais, de peur de se couper des assistés, fonctionnaires et intellectuels nostalgiques du marxisme – qui forment les gros bataillons de ses militants et électeurs – le PSF avance vers son implosion entre “réalistes” et “idéologues”. Hollande lui a fait le choix, plus que jamais, de l’immobilisme. Il n’est même pas sûr qu’un tel gouvernement tienne jusqu’en 2017 tant le sentiment de révolte est répandu dans la population. Pour les Bretons, en tout cas, le message est limpide: plus que jamais il faut renverser le PSF!
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Tous à Dunkerque! (les Vieux comprendront) |
Depuis qu'on a la République laïque, on n'a jamais eu autant de politiciens qui parlent comme des curés. De belles homélies saturant les ondes télévisuelles, pour faire court (ou pour circoncire un peu le problème), des langues à lécher les culs, sauf que là, c'est pas pour la quête, c'est pour le racket! On apprend même que Hollande a entendu le message, mais lequel? La crise économique, l'évasion fiscale gouvernementale, l'insécurité, l'humanisme d'une 3ème guerre mondiale, le bordel européen, l'invasion des parasites associatifs, la disparition des frontières, la mal-bouffe, l'écotaxe, le gros capital, notre PIB qui s'éclaircit aussi vite que la moumoute de notre président, l'espionnage de nos entreprises par la NSA, les pédés qui font les maternelles? Faudrait savoir, en tout cas, Jean-Marc Ayrault qui était sur un siège éjectable va bientôt atterrir à Notre Dame des Landes, une sangsue dans les marais, c'est déjà un bon début. Toutes nos félicitations aux nouveaux maires, et conseillers du Front National. A Fréjus, David Rachline fait 45%, et autant de kébabs et couscous en dépôt de bilan! Devant une foule d'analphabètes basanés, il aurait déclaré: «Nos sincères excuses. On ne pourra pas immédiatement vous raccompagner dans vos contrées, la SNCM est en grève!» Que voulez-vous, les refuges de la SPA ne sont pas extensibles à l'infini, et la quarantaine ne débouchera plus forcément sur une régularisation automatique, l'euthanasie pouvant même être envisagée. La suite chez (Breizatao.com). Je dois dire qu’en prenant la plume pour cet éditorial, je ressens un profond sentiment de satisfaction à la vue de la débâcle des socialo-communistes français sur la totalité du territoire breton. Quel anéantissement spectaculaire! Je me souviens d’un épisode vieux de deux ans lorsque, à Saint Yvi (Cornouaille), j’alertais la population sur les graves fraudes opérées par la municipalité socialiste, laquelle avait utilisé le logo de la commune pour du matériel de propagande à la veille des élections présidentielles françaises. Le maire, usant illégalement de sa qualité, en appelait sur un document aux allures officielles, payées sur le denier public, à choisir son maître parisien, François Hollande. J’avais saisi la préfecture du département, preuves à l’appui, la préfecture de région ainsi que la commission électorale française. Le tout, par courrier recommandé. Naturellement, les “autorités républicaines” dont le préfet du Finistère du moment, le socialiste Jean-Jacques Brot, ne daigna pas même répondre au courrier! C’était ainsi, comme dans des centaines de communes, que régnait la mafia socialiste française sur notre peuple. Il faut dire que l’opposition dans cette commune est si fragile, qu’elle n’a pas même pu présenter de liste aux élections municipales de cette année. Peu étonnant donc que je fusse le seul à réagir, ou même à vouloir réagir. Cet exemple, éclairant mais qui n’est qu’une infime goutte d’eau dans l’océan de corruption générée par le PSF sur le territoire breton, permet à chacun de prendre la mesure de ce qui se passe. Détruire le Parti Socialiste Français apparaissait tâche impossible tant ses appuis médiatiques, administratifs et policiers étaient forts, tant l’apathie des Bretons était marquée. Elle le demeure partiellement puisqu’ils se sont massivement abstenus. Cependant, éveillés par le mouvement des Bonnets Rouges, écœurés par le racket fiscal stato-socialiste français, conscients de ce qu’aucune avancée vers l’autonomie politique, économique et culturelle ne prenait forme malgré les habituelles promesses pré-électorales, les Bretons ont réagi et réagi durement. Le PSF dans de nombreux territoires de notre pays sort plus que vaincu, défait ou même laminé. Il est anéanti. Ces caciques, qui hier encore dirigeaient absolument tout, de la commune au canton en passant par la région ou les députations, sont aujourd’hui privés de nombreux points d’appui locaux. On voit mal comment le reste de cette maison pourrie ne s’écroulerait pas dans les années à venir à mesure que le socialisme s’enfonce dans ses contradictions internes. Mais le PSF demeure une bureaucratie: une organisation forte de gens riches, installés, rompus aux manipulations et animée par un dénominateur commun mobilisateur, en l’espèce le vieux nihilisme haineux à l’encontre de l’ordre naturel. Ces fanatiques n’auront de cesse de vouloir détruire notre pays et notre peuple tant qu’ils ne seront pas une fois pour toute mis hors d’état de nuire. Cependant, les Bretons peuvent un peu respirer! La mafia rose aura de grandes difficultés à financer ses commissaires politiques planqués dans les milliers d’associations rose/rouge de nos villes. Il deviendra plus difficile pour eux d’user de leur position pour instrumenter police et justice contre leurs opposants. Les médiats, suivant le sens du vent par définition, se feront plus prudents à leur égard, comme lors du mouvement des Bonnets Rouges où la presse institutionnelle a assez vite changé de camp, constatant la popularité du celui-ci dans les masses. Cependant, face à l’effondrement progressif des socialo-communistes et de leur idéologie, il nous reste, à nous nationaux bretons et plus largement, à nous révolutionnaires-conservateurs, à oeuvrer plus que jamais à la formation idéologique de l’opposition sans laquelle il n’y aura pas de victoire décisive. La révolution ne se fait plus dans la rue, mais dans les têtes. C’est là qu’il faut agir. Culturellement. Ce que l’on appelle “la droite française” a, en partie, gagné ces élections. Mais il faut surtout constater la forte présence d’élus “divers-droite” ou “sans étiquette”, dont il faudra exploiter la porosité intellectuelle afin de mener cette révolution des esprits. En l’état, cette “droite” n’est qu’un moindre mal et a bénéficié du rejet du stato-fiscalisme débilitant de la gauche socialiste. Mais l’enjeu dépasse de beaucoup ces clivages dépassés. L’abstention est là pour le souligner. Il s’agit bien de mener une révolution nationaliste et d’amplifier nos victoires culturelles et idéologiques. La “droite française”, par son aspect bourgeois et gestionnaire, est bien moins armée que la gauche face aux idées révolutionnaires-conservatrices et peut être subvertie, de l’intérieur et de l’extérieur. Car le but final est inchangé: un état breton ethno-national, ordonné et nationaliste, débarrassé des prurits de la modernité politique dont le républicanisme, spécialement dans son versant socialo-communard, est la vitrine. Il nous faut préparer la conquête définitive des masses bretonnes. Et cette conquête reposera sur notre capacité à faire passer celles-ci du siècle de l’idéologie à celui du différencialisme réaliste comme élément structurant de la pensée et de l’action politique. En un mot comme en cent: hier comme aujourd’hui, il s’agit de défaire 1789 et ses principes que sont égalité, matérialisme, individualisme, universalisme, rationalisme, étatisme. Contre l’égalité, les hiérarchies naturelles et le mérite. Contre le matérialisme relativiste, la verticalité de la foi. Contre l’individualisme et le contrat social, la primauté du peuple en tant qu’ethnie. Contre l’universalisme, le différencialisme. Contre le rationalisme, l’écologie. Contre l’étatisme, l’économie libre. Contre le centralisme, le localisme et l’autonomisme. Si on a eu Sarko, on finira bien par avoir Hollande!
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Entre Holodomor et Tchernobyl! |
Le chef du parti dit “nationaliste” Svoboda n’est semble-t-il pas l’ennemi déclaré des juifs au contraire d’un des pères fondateurs du nationalisme ukrainien, Stefan Bandera, qui ne les portait pas dans son cœur (http://breizatao.com/2014/03/06/le-chef-de-svoboda...omate-us-juive-victoria-nuland). Le 7 février 2014, Oleh Tyahnybok, leader de cette “extrême droite” qui a fait parler d’elle ici et là, rencontrait la plus haute représentante des États-Unis en Europe, la juive Victoria Nuland (Nudelman). Cette dernière s’est fait connaître pour la fuite d’une conversation téléphonique avec Geoffray H. Pyatt, l’ambassadeur américain à Kiev, lors de laquelle elle formait, littéralement, le futur gouvernement ukrainien. Oleh Tyahnybok était bien accompagné, puisqu’à ses côtés figurait l’actuel “premier ministre”, Arseni Iatseniouk, qui était – ô surprise – le candidat de Nuland pour ce poste lors de la fameuse conversation. Iatseniouk est tout sauf un patriote ukrainien puisqu’il a participé au dernier sommet de la Commission Trilatérale en Pologne, une organisation transnationaliste créée par le juif Henry Kissinger. Lors de cette réunion, il a parlé sur le thème “l’Ukraine et l’Union Européenne”. Ce qui peut s’expliquer par le fait qu’Arseni Iatseniouk est juif, comme le confirme ce document de l’université anglaise d’Oxford: “Né à Chernivtsi en 1974 de parents juifs ukrainiens”. Lors de ce sommet, étaient présents: Peter Sutherland, président de Goldman Sachs International; Mario Monti, ancien président du conseil des ministres italien; Kurt Lauk, président du conseil économique de la CDU, Elisabeth Guigou, membre du Parti Socialiste et présidente de la commission des Affaires étrangères (France); Michael Fuchs, membre du Bundestag allemand et vice-président du groupe parlementaire CDU/CSU ; Vladimir Dlouhy, conseiller international de Goldman Sachs, ancien ministre tchécoslovaque de l’Économie, ancien ministre tchèque de l’Industrie et du Commerce; Leon Brittan, membre de la Chambre des Lords, vice-président de l’UBS Investment Bank (Royaume-Uni), etc... On y relevait également la présence de Radoslaw Sikorski, ministre des affaires étrangères de Pologne, premier à reconnaître les putschistes de Kiev comme “gouvernement légitime”. Il est marié à la juive américaine Anne Applebaum, journaliste au Washington Post, un journal néo-conservateur et pro-israélien. Etait également présent l’ancien ministre des affaires étrangères polonais, le juif Adam Rotfeld. Dernière figure de la délégation de l’opposition reçue, un ancien boxeur vedette. Son parti, UDAR, a pour sponsor l’International Republican Institute. On retrouve à l’IRI le sénateur John Mc Cain, lié à Bernard Henri Lévy. Nous retrouvons aussi le National Democratic Institute (NDI), une organisation américaine financée par le gouvernement US via le biais de la National Endowment for Democracy (NED) elle même faisant partie du Département d’État américain. Cependant, l’élément le plus intéressant est l’origine ethnique de Klitschko. Le journal Chabad Lubavitch “Lechaïm” l’a évoqué en décembre 2003: “Pendant la guerre, les fascistes ukrainiens se soulevèrent et le grand-père de Klitschko risqua sa vie et celles de sa famille en cachant la jeune juive Tamara Etinzon dans leur cave, après que sa famille fut tuée par les Nazis. Après la guerre, ils se marièrent et partirent en exil.
Leur fils Vladimir devint officier pour Staline, et leurs fils sont nés au Kirghizistan et grandirent à Kiev vivent maintenant en Allemagne”. Notre brave boxeur Vitali est donc juif par sa grand-mère maternelle, c’est-à-dire au regard de la loi juive, intégralement juif, tout comme le financier de son parti, le milliardaire ukraino-israélien Ihor Kolomoisky, qui vient d’être nommé gouverneur d’une région prorusse par les putschistes de Kiev. Il en va de même pour Ioulia Tymochenko, d’origine juive de Baltique (née Grygian), et désormais candidate à l’élection présidentielle du 25 mai prochain. C’est elle qui a imposé ses lieutenants à la présidence et au ministère de la Police. En outre, le premier ministre Arseni Yatsenyuk est également juif et était soutenu par Victoria Nuland (née Nulman), la représentante des USA en Europe et également juive. Yatsenyuk avait participé fin octobre 2013 à la 37ème réunion européenne de la Commission Trilatérale. C’est peut-être là qu’a été décidé le coup de force contre Yanukovitch, président élu d’Ukraine, et que Yatsenyuk a été adobé comme candidat naturel au poste de premier ministre. Peu surprenant dans ces circonstances que tous les candidats secondaires à des postes gouvernementaux courtisent les différents représentants du judaïsme politique. Ainsi en est-il de “Secteur Droit”, dont les dirigeants se sont engagés à l’ambassade d’Israël de “lutter contre l’antisémitisme et le racisme”, sous les applaudissements d’Abraham Foxman, chef de l’Anti-Defamation League, un puissant relais du sionisme international basé aux USA. John Kerry est quant à lui le Secrétaire d’Etat des Affaires Etrangères américain. Il a été en pointe sur les dossiers syrien et ukrainien. En réalité, son nom est Kohn (Cohen). Nous allons présenté ici son ascendance juive dans le détail sur la base des études de généalogistes juifs. Loin d’être une lointaine origine familiale, John”Kerry” Kohn est en réalité demi-juif, comme Bernard Henri Lévy. Ce qui suffit donc amplement. L’arrière grand-père de John “Kerry” Kohn est Benedikt Kohn, né en 1824 en Moravie. En 1868 il s’installe à Bennisch (aujourd’hui Horni Benesov, République Tchèque) où il épouse Mathilde Frankel Kohn, membre de la petite communauté juive locale. Il aura trois enfants: Ilda, Friedrich et Otto. Après sa mort en 1876, sa femme Mathilde déménage à Vienne, en Autriche avec ses trois enfants. En 1898, Otto décide de changer de nom pour mieux dissimuler son origine. Il prend une carte de l’Europe et, en fermant les yeux, place un crayon sur un point de celle-ci. Ce sera la région du “Kerry” en Irlande. En 1901, son frère Friedrich - le grand-père de John “Kerry Kohn” – décide de l’imiter et adopte le même nom, “Kerry”. Friedrich “Kerry” Kohn, épouse une juive originaire de Budapest, Ilda Loewe, qui s’avère être une descendante de Sinaï Loewe, le frère du rabbin de Budapest Judah Loew, fameux cabaliste propagateur du mythe du Golem. En 1905 le couple s’installe, avec leur jeune enfant Erich, en Amérique où ils auront deux autres enfants: Mildred (1910) et Richard (1915). Richard “Kerry” Kohn est le père de John “Kerry” Kohn. Richard “Kerry” Kohn épouse une des héritières de la fortune Forbes, Rosemary. Ils ont deux fils, John “Kerry” Kohn et Cameron, (re)converti au judaïsme et puissant avocat de Boston. John “Kerry” Kohn est un des hommes politiques américains les plus riches, bien que classé “à gauche”.
L'ancien soldat israélien qui a dirigé une unité de combat à Kiev. «Delta» était le meneur de ce qu'il appelle les «Casques bleus de Maidan», une équipe de 40 hommes et femmes, dont certains vétérans de l'Armée de Défense Israélienne, dans de violentes confrontations avec les forces gouvernementales ukrainiennes (http://www.haaretz.com/mobile/1.577114). He calls his troops “the Blue Helmets of Maidan,” but brown is the color of the headgear worn by Delta — the nom de guerre of the commander of a Jewish-led militia force that participated in the Ukrainian revolution. Under his helmet, he also wears a kippah. Delta, a Ukraine-born former soldier in the Israel Defense Forces, spoke to JTA Thursday on condition of anonymity. He explained how he came to use combat skills he acquired in the Shu’alei Shimshon reconnaissance battalion of the Givati infantry brigade to rise through the ranks of Kiev’s street fighters. He has headed a force of 40 men and women — including several fellow IDF veterans — in violent clashes with government forces. Several Ukrainian Jews, including Rabbi Moshe Azman, one of the country’s claimants to the title of chief rabbi, confirmed Delta’s identity and role in the still-unfinished revolution. The “Blue Helmets” nickname, a reference to the UN peacekeeping force, stuck after Delta’s unit last month prevented a mob from torching a building occupied by Ukrainian police, he said. “There were dozens of officers inside, surrounded by 1,200 demonstrators who wanted to burn them alive,” he recalled. “We intervened and negotiated their safe passage.” The problem, he said, was that the officers would not leave without their guns, citing orders. Delta told JTA his unit reasoned with the mob to allow the officers to leave with their guns. “It would have been a massacre, and that was not an option,” he said. The Blue Helmets comprise 35 men and women who are not Jewish, and who are led by five ex-IDF soldiers, says Delta, an Orthodox Jew in his late 30s who regularly prays at Azman’s Brodsky Synagogue. He declined to speak about his private life. Delta, who immigrated to Israel in the 1990s, moved back to Ukraine several years ago and has worked as a businessman. He says he joined the protest movement as a volunteer on November 30, after witnessing violence by government forces against student protesters. “I saw unarmed civilians with no military background being ground by a well-oiled military machine, and it made my blood boil,” Delta told JTA in Hebrew laced with military jargon. “I joined them then and there, and I started fighting back the way I learned how, through urban warfare maneuvers. People followed, and I found myself heading a platoon of young men. Kids, really.” The other ex-IDF infantrymen joined the Blue Helmets later after hearing it was led by a fellow vet, Delta said. As platoon leader, Delta says he takes orders from activists connected to Svoboda, an ultra-nationalist party that has been frequently accused of anti-Semitism and whose members have been said to have had key positions in organizing the opposition protests. “I don’t belong [to Svoboda], but I take orders from their team. They know I’m Israeli, Jewish and an ex-IDF soldier. They call me ‘brother,’” he said. “What they’re saying about Svoboda is exaggerated, I know this for a fact. I don’t like them because they’re inconsistent, not because of [any] anti-Semitism issue.” The commanding position of Svoboda in the revolution is no secret, according to Ariel Cohen, a senior research fellow at the Washington D.C.-based Heritage Foundation think tank. “The driving force among the so-called white sector in the Maidan are the nationalists, who went against the SWAT teams and snipers who were shooting at them,” Cohen told JTA. Still, many Jews supported the revolution and actively participated in it. Earlier this week, an interim government was announced ahead of election scheduled for May, including ministers from several minority groups. Volodymyr Groysman, a former mayor of the city of Vinnytsia and the newly appointed deputy prime minister for regional policy, is a Jew, Rabbi Azman said. “There are no signs for concern yet,” said Cohen, “but the West needs to make it clear to Ukraine that how it is seen depends on how minorities are treated.” On Wednesday, Russian State Duma Chairman Sergey Naryshkin said Moscow was concerned about anti-Semitic declarations by radical groups in Ukraine. But Delta says the Kremlin is using the anti-Semitism card falsely to delegitimize the Ukrainian revolution, which is distancing Ukraine from Russia’s sphere of influence. “It’s bullshit. I never saw any expression of anti-Semitism during the protests, and the claims to the contrary were part of the reason I joined the movement. We’re trying to show that Jews care,” he said.
Maïdan a-t-il embauché des snipers pour tirer sur la police? Selon le site russe rt.com, une conversation téléphonique du 25 février dernier entre la vice-présidente de la Commission européenne, Catherine Ashton, et le ministre estonien des affaires étrangères, Urmas Paet, permet de le croire (http://www.lesobservateurs.ch/2014/03/05/maidan-t-...ipers-pour-tirer-sur-la-police). Au cours de cette conversation (dès 08:20), Paet déclare: "On sait aujourd'hui de façon de plus en plus certaine que, derrière les tireurs d'élite, il n'y avait pas Ianoukovitch, mais quelqu'un de la nouvelle coalition." "Je pense que nous voulons enquêter là-dessus. Je veux dire, je ne savais pas, c'est intéressant. Mon Dieu", a répondu Ashton. "Ce qui est assez troublant, cette même Olga [Bogomolets, principal contact de Paet lors de son voyage en Ukraine] dit aussi que tous les éléments de preuve montrent que les gens qui ont été tués, des deux côtés, par des tireurs embusqués, qu'ils soient policiers ou manifestants, ont été tuées par les les mêmes tireurs d'élite", souligne encore Urmas Paet. "Elle m'a aussi montré des photos, sur lesquelles, en tant que médecin, elle dit qu'elle peut reconnaître la même signature, le même type de balles, et c'est vraiment perturbant que, maintenant, la nouvelle coalition ne veuille pas enquêter sur ce qui s'est réellement passé " Ashton réagit en ces termes: "Eh bien, oui ... c'est, c'est terrible." La conversation aurait été téléchargée sur internet par des officiers des services secrets ukrainiens loyaux au président Ianoukovitch. 94 personnes ont été tuées à Kiev le mois dernier. Apparemment pas au courant de la fuite, Urmas Paet faisait encore il y a peu le tour des rédactions, déclarant son soulagement que l’Europe ait caractérisé l’attitude de la Russie d’«agression». Au moment où nous écrivons cet article (15:51), il confirme à la presse estonienne la véracité de l'enregistrement. Le terrorisme sionisme s'appuie sur deux composantes essentielles: le fusil à lunette, et le pain de plastic!
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Les affranchis juifs! |
Shaul Dadon, un illustrateur qui a fait ses armes chez Disney, affirme être le véritable auteur du timbre représentant prétendument une prostituée ukrainienne des FEMEN (http://jeune-nation.com/2014/03/reglement-de-compt...-ne-representant-pas-une-femen). C’est Olivier Ciappa qui lui a attribué cette connotation insultante – affirmant plus tard s’être détourné des traînées hystériques. De façon mensongère selon Shaul Dadon – dont Ciappa vient de révéler qu’il est la personne qui signe David Kawena des détournements très suggestifs des héros de Disney. Shaul Dadon vient de porter plainte devant une cour israélienne « pour de nombreuses infractions au droit d’auteur, y compris celle où M. Ciappa a revendiqué la paternité exclusive du timbre Marianne, qui est en fait le travail exclusif de M. Kawena, (lequel) est en effet l’unique responsable du dessin du timbre Marianne et l’unique créateur et artiste du timbre», a déclaré son avocat, Me Yotam Werzansky répondant à un médiat de déviants sexuels. Surtout, l’Israélien reproche à Olivier Ciappa de prétendre que c’est une prostituée des FEMEN qui est représentée: «Monsieur Kawena souhaite lever tout doute et clarifier le fait que le timbre Marianne, n’était pas, de quelque manière que ce soit, inspiré par ou lié à mademoiselle Inna Shevchenko. De plus, monsieur Kawena ne connaissait absolument pas mademoiselle Shevchenko avant cette histoire. Monsieur Kawena tire son inspiration des œuvres de Michel-Ange et des personnages de dessins animés, comme Disney, pour qui monsieur Kawena a travaillé par le passé, et l’œuvre finale témoigne de son propre style. Tout lien entre le timbre et mademoiselle Shevchenko est uniquement le fait de monsieur Olivier Ciappa, dont le seul lien avec monsieur Kawena était en sa capacité de représenter les intérêts et les affaires de monsieur Kawena en France» précise encore son avocat. C’est donc devant une cour israélienne qu’un différend entre deux pédérastes étrangers réglera le sort d’un timbre représentant la République…
Jamais un timbre en France n’avait autant fait parler de lui. Après le modèle plus que controversé qui a été utilisé, ce sont maintenant les auteurs de ce timbre qui montrent leurs vrais visages grâce à une dispute entre eux concernant la paternité (http://croah.fr/corbeau-dechaine/un-combat-pour-la...uvrir-des-personnages-sordides). Tout d’abord, c’est le modèle en question qui a suscité chez les Français une vague d’indignation. Et pour cause! C’est la meneuse des Femens, Inna Shevchenko, qui en étant le modèle, propage ainsi davantage sa haine de l’islam et du christianisme, mais aussi la perversion de la société sous couvert de lutte pour la cause féministe. Un «merveilleux» timbre qui colle parfaitement à l’ambiance actuelle en France, où flottent des odeurs nauséabondes de mariage gay, GPA, PMA et théorie du Genre… Rien d’étonnant, donc! Mais le clou du spectacle, c’est surtout de savoir qui sont derrière ce timbre polémique. Le premier était déjà assez connu et fait allègrement parler de lui, étant donné qu’il se revendique activiste et engagé dans le mouvement LGBT, pour la cause gay et toutes les autres idéologies puantes véhiculées. Olivier Ciappa est un photographe qui se fait remarquer pour ses photos axées sur l’homosexualité, mais aussi pour ses illustrations dans des livres dédiés aux enfants. Il est par exemple à l’origine de l’exposition contre l’homophobie, où il a fait intervenir des «personnalités» dans ses photos comme De Caunes ou Semoun dans des situations mettant en scène des couples homo. Autant dire que son image et ses convictions collent parfaitement avec le gouvernement maçonnique qui tente par tous les moyens de davantage pervertir la société. Le second était moins connu du public mais est encore plus répugnant que le premier. Grâce à son action en justice depuis Israël à l’encontre de Ciappa (dont les détails ne sont guère intéressants), les Français savent maintenant à qui le gouvernement, composé de cerveaux malades, a confié la réalisation du timbre national. David Kawena, de son vrai nom Shaul Dadon, est un illustrateur connu pour ses détournements de personnages Disney dans des situations pédo-porno. Les milieux homo et pédophiles connaissent ainsi très bien ses dessins qui circulent sur le web. Sa page sur Deviantart est très appréciée des homos et les illustrations qui y paraissent restent «softs» pour la plupart, mais dévoilent entièrement les tendances de ce sinistre personnage. Ses illustrations de détournement Disney, plus trash et clairement pédophiles, peuvent être retrouvées sur des sites spécialisés en tapant son pseudo dans les sections de recherche. Le gouvernement Hollande montre ainsi à quel point il est de connivence avec ces milieux pervers qui ne cachent même pas leur personnalité. Même si Shaul Dadon utilise un pseudo pour ses illustrations dégueulasses et un autre pseudo allemand en tant qu’illustrateur pour le compte de La Poste, il est donc impossible que le gouvernement n’ait pas pu être au courant de ses activités annexes. La vigilance est par conséquent plus que requise face à cette bande de dégénérés qui prétendent promouvoir l’humanisme.
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Encore un juif agressé en pleine rue, ou juste ... |
Un homme de 59 ans a déposé une plainte vendredi 21 Mars 2014 pour agression antisémite, affirmant avoir été insulté et frappé la veille à Paris par trois hommes qui lui ont dessiné une croix gammée sur la poitrine, a-t-on appris de sources concordantes (http://www.lepoint.fr/societe/paris-un-juif-victim...inte-21-03-2014-1804009_23.php). La victime, un enseignant résidant à Saméon (Nord) qui porte la kippa, a raconté qu'à sa sortie vers 22 heures d'un restaurant du 19e arrondissement de Paris, trois hommes d'une vingtaine d'années lui avaient crié: "Mort aux juifs, sale juif, sale fils de pute." Selon ses déclarations, les trois agresseurs lui ont asséné de nombreux coups au visage avant d'ouvrir sa chemise pour dessiner sur sa poitrine avec un marqueur un semblant de croix gammée, a expliqué une source proche de l'enquête. Les trois agresseurs ont ensuite pris la fuite. L'enseignant a été transporté à l'hôpital, où ont été constatées de nombreuses lésions au visage. Une enquête est en cours pour retrouver les trois agresseurs. "L'affaire est prise très au sérieux", a expliqué une source proche de l'enquête. Plusieurs élus parisiens ont condamné cette agression, David Alphand (dissident UMP, 14e) dans un tweet et le maire PS Bertrand Delanoë dans un communiqué. "Cet acte d'une lâcheté inqualifiable constitue une trahison des fondements de la République et des valeurs de Paris", a écrit Bertrand Delanoë. Le Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNVCA), de son côté, "constate une recrudescence des violences anti-juives depuis que les affaires dieudonnistes ont été révélées, et notamment depuis la grande manifestation antisémite Jour de colère du 26 janvier 2014". Le nombre d'actes antisémites recensés en 2013 a diminué de 31 % par rapport à 2012, année "hors norme en matière d'antisémitisme", mais il est supérieur de 9 points à celui de 2011 pourtant "déjà très préoccupant", note dans son rapport annuel le Service de protection de la communauté juive (SPCJ). Vous pourrez lire la suite de notre passionnante enquête dans le prochain:
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Consignes de vote pour le second tour. |
Quelle tristesse de voir Christiane abandonnée des siens en pleines municipales. D'ici quelques jours, on la retrouvera débarquée du gouvernement comme tous ces chiens errants à la veille des grands départs en vacances. Même Ayrault risque de jouer le rôle de la belle-mère grabataire sur l'aire d'autoroute. Nos juifs ont senti le vent tourné, et ils ne vont pas s'encombrer de poids morts de la diversité au pedigree douteux, car des clandestins aux mœurs pédérastes prêts à se revendiquer antiracistes pour quelques allocs, c'est pas ça qui manque en France. En tout cas, pour nous elle avait un bon fond, toute sa jeunesse au service de l'indépendance guyanaise à chier sur la République Française, ça force le respect. Certes, elle a fini en léchant les culs du mariage gay, mais bon, nul n'est parfait! La nouvelle a fait le tour des rédactions et des réseaux sociaux jeudi 27 Mars en fin de matinée, avant de tomber à l'eau. Christiane Taubira ne viendra pas jeudi soir à Grenoble pour soutenir Éric Piolle, le candidat écologiste qui a, au premier tour des municipales, devancé à la surprise générale Jérôme Safar, successeur pressenti de Michel Destot. Motif invoqué: elle aurait raté son train. (http://www.lepoint.fr/municipales-2014/christiane-...le-27-03-2014-1806408_1966.php) En fait, les socialistes locaux ont tout fait pour que la garde des Sceaux n'assiste pas au meeting du candidat EELV. Si Solférino a privé Jérôme Safar de l'investiture socialiste, Michel Destot comme la fédération PS de l'Isère pensent que le dauphin du maire a encore de bonnes chances de l'emporter face à Éric Piolle, soutenu par une frange extrémiste d'écologistes. Michel Destot, qui a appris en fin de matinée la venue de la garde des Sceaux par la police, et non par le préfet, a donc appelé deux fois l'Élysée pour faire annuler ce voyage. "Taubira voulait se victimiser: elle sait qu'elle va être virée, elle voulait donc pouvoir dire que son soutien à Piolle était la raison de son limogeage", confie-t-on dans l'entourage de Destot. Quelques heures après l'annonce de sa venue à Grenoble, Christiane Taubira faisait donc savoir qu'elle avait manqué son train pour Grenoble...
Ce n’est pas un revers, c’est un mai 1940 pour la gauche socialiste française sur la totalité du territoire breton. Il y a bien sûr de nombreux enjeux, mais dans cet éditorial je veux donner le nom d’une cible politique: Bernard Poignant (http://breizatao.com/2014/03/25/quimper-il-faut-liquider-politiquement-poignant). Il doit être liquidé politiquement dimanche prochain. Je ne cacherais pas ici la divine surprise que fut pour moi et de nombreux nationalistes – comme ils l’expriment sur les réseaux sociaux – cet anéantissement de la gauche française chez nous. Je témoignais encore là de trop de bienveillance à l’égard de la pieuvre socialo-marxiste. Elle a mené notre peuple à la misère et au désespoir dans de telles proportions que je sous-estimais de beaucoup la puissance de la révolte, déjà palpable à l’automne. C’est donc avec quelques années d’avance que mes espérances se sont manifestées. Mais revenons à Quimper. Je ne suis certes pas un sympathisant de ce que l’on nomme, abusivement, “la droite française”. Mais ne nous trompons pas de combat, avant d’entamer la lutte pour l’émergence d’un pôle national breton, débarrassé des miasmes de la pensée de gauche – d’essence française – il faut d’abord abattre le socialo-communisme qui est l’âme de l’idole que l’on nomme “l’État Français”. Poignant est une proie jouable. Les commentateurs parisiens en conviennent. Rien n’est joué cependant. Mais le fait est là: Poignant peut être sorti de l’histoire de la ville de Quimper une bonne fois pour toute. Irréductible ennemi du peuple breton, de la Nation Bretonne, laquais du pouvoir français, harki du socialisme cosmopolite, militant sioniste du Cercle Léon Blum, bref tout chez Poignant appelle à en finir, à l’abattre politiquement comme le chien socialiste qu’il est. Marchant sur les eaux, il se croyait à l’abri de la volonté de lustration émise par un nombre grandissant de compatriotes. Tout s’est effondré et le rat, débusqué, est acculé. Un dernier effort et c’en sera fini de lui et de sa clique. Ne sous-estimons pas cependant les ressources de cette vieille ganache blanchie sous le harnais, il recèle encore de quelques soutiens et rien n’est encore tranché. Son comparse Jean-Jacques Urvoas a deviné la catastrophe pointer à l’horizon. Comme lors du grand rassemblement des Bonnets Rouges à Quimper à l’automne dernier, la bande sue à grosses gouttes, sachant que quelque chose se passe et que le socialisme français en terre bretonne est au bord d’une Bérésina décisive. Urvoas donc, geint ici et là, fulmine, insinue. Ce poseur mielleux ne sait plus comment expliquer l’évidence: le dégoût que son gang inspire à l’homme de la rue. Mais la perfidie est au socialisme ce que la chaude-pisse est aux amours tarifés: le prix de l’infidélité. Peu importe: Quimper peut être nettoyée du poison socialo-communard. Urvoas sait que son mandat, sans une ville de Quimper solidement tenue par un complice, sera en 2017 fortement compromis. On comprend que le sort du vieil hibou à écharpe l’inquiète. Permettez-moi une digression pour expliquer la mutation en cours. Après la chute de la religion, l’idéologie “progressiste” et “fraternitaire” s’est imposée comme succédané et facteur structurant des collectivités humaines. C’est pourquoi, surtout en France, le socialo-républicanisme s’est surtout érigé contre l’Église. Et contre le peuple breton, intensément catholique. Aujourd’hui, c’est l’idéologie qui s’effondre et nous en revenons aux vérités élémentaires: le retour des solidarités naturelles comme base structurante des sociétés européennes. Et l’identité à ce titre, succède à l’idéologie. Le mouvement des Bonnets Rouges réalise cette synthèse de désidéologisation et d’identitarisation des masses bretonnes. Ce mouvement, intrinsèquement anti-moderniste, se dresse contre le socialisme. Il est aussi le résultat d’une victoire culturelle totale, en terre bretonne, du nationalisme breton, sous une forme diffuse et non politique. Les citadelles du socialisme tombent brutalement, à la surprise générale, les unes à la suite des autres. Ce n’est qu’un début et nous, militants nationaux, n’y voyons là qu’un préalable dans notre lutte historique contre le modernisme dont l’Etat Français et ses sectes politiques sont les incarnations. Mais un préalable essentiel. Conquérir la capitale de la Cornouaille est fondamental pour nettoyer cette province bretonne de l’infection socialo-communiste française. Depuis trop longtemps, cette plaie béante suppure sur le sol national, y répandant ses souillures et ses erreurs. Poignant, représentant de cette gauche bourgeoise, républicaine, étrangère au génie breton, est un des hiérarques les plus idéologiquement orthodoxes de ce courant. Mais après lui, le déficit en cadres de l’ennemi est tel, que nous sommes assurés de n’avoir à faire qu’à des seconds couteaux dont Urvoas annonce déjà le visage. C’est un mouvement générationnel qu’il faut encourager par sélection naturelle inversée. J’aime Jean-Jacques Urvoas car il prêt à tout négocier pour conserver un plat de lentilles. Et Dieu sait que derrière Urvoas, ce qu’il reste du socialisme est bien inférieur qualitativement. Poignant est encore trop scrupuleux sur le plan idéologique malgré ses compromissions. Eradiquer politiquement Poignant est en toute logique l’urgence. Peu importe après que la Gueuse recale ce fossile au Sénat français, il ne sera plus une menace. Agissons en conséquence sur Quimper et finissons-en. Les lecteurs quimpérois de BREIZ ATAO doivent impérativement mobiliser leurs amis et connaissances à cette fin. Nous n’avons que trop tardé dans cette région.
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«Ce week-end, n'oubliez pas d'aller voter!» |
Voici donc le peuple breton à nouveau frappé d’un fléau qui nous accable régulièrement: le grand cirque électoral français. S’essayer à écorner un peu cette grotesque farce vaut généralement au contrevenant les récriminations scandalisées de tous les agioteurs et démagogues professionnels, des incapables en chef, des inspecteurs des travaux finis, des théoriciens multitâches et autres gros notables avides de notoriété (http://breizatao.com/2014/03/17/ne-votons-pas-agissons-editorial). Soyons quelque peu iconoclaste. Commençons par convenir que ces “élections”, cette course où des égos de troisième zone se livrent à “ce noble exercice démocratique” qu’est le rase-gratis, se teinte toujours plus formidablement des nuances du racolage. Cette mirobolante “démocratie” où n’importe qui peut dire n’importe quoi, surtout des bobards savamment huilés, a amené le règne de la masse à laquelle on prête – c’est la tradition vénérable qui le proclame – une “volonté” doublée d’une vision, du moins le temps de deux tours de scrutin. Le principe en lui-même est le produit de la plus triviale des démagogies, comme si une masse, par sa totalité, était digne de sagesse et était à même d’entrevoir et de vouloir là où l’homme de génie serait prié de s’abstenir. La Passion selon Saint Mathieu n’a pas été écrite par la populace mais par Bach, la Gaule n’a pas été conquise par la plèbe romaine mais par César et ses légions disciplinées et la conquête de la lune n’a été pas été la réalisation du Tiers Monde mais d’une poignée d’hommes blancs géniaux et héroïques. Une masse, c’est une foule, et une foule n’est pas douée de raison. Qui prête à un attroupement quelque idée supérieure que ce soit? La foule, que l’on place au cœur de la légitimité politique, est esclave de ses passions. Les oligarques avertis se dotent donc du pouvoir de la presse pour l’exciter sans cesse, l’éreinter dans des querelles infinies et secondaires, qui saccade une nation et la chauffe à blanc pour y semer la guerre civile permanente. C’est pour la “démocratie moderne” est une oligarchie référendaire dont le suffrage est soigneusement préparé à l’avance. Mais la loi du nombre, du plus petit dénominateur commun, c’est-à-dire la tyrannie du médiocre, demeure bel et bien le mètre-étalon. A ce mensonge premier de la sagesse des masses vient celui de la représentativité, cette idée selon laquelle ce qui n’a pas de volonté pourrait la conférer à ceux qui la porteraient, comme si les canailles élues étaient, réellement et intégralement, les obligés des masses! Ces représentants ne sont jamais les serviteurs des foules mais leurs maîtres. L’idée même de servir leur est odieuse car c’est bien pour diriger, pour imposer aux masses leurs volontés particulières – qu’ils présentent toujours opportunément comme celle de tous – qu’ils s’épuisent en luttes électorales. C’est encore dans les petites communes rurales que le mandat électif est quelque peu tolérable, en ce qu’il n’offre aucune gloire ni profits, mais se limite aux seules obligations dont personne ne veut se charger. Les débats théologiques s’y noient dans le pragmatisme quotidien.
C’est dans le cloaque urbain que s’affrontent les sectes religieuses du progrès, où chacun assure que “demain tout ira forcément mieux” pour peu que la populace consente à faire confiance. C’est l’occasion pour chacun de tenter sa chance. Et voici d’innombrables sous hommes, issus des plus basses couches de l’humanité, tentant d’assouvir leurs névroses à coup de combats égotiques à peine maquillés par des postures idéologiques auxquelles, fort heureusement, la plèbe ne fait plus mine de croire. Car une partie croissante de la foule, consciente de son inutilité, ne vote plus. Finalement, elle témoigne de ce que la démocratie moderne avec son cirque électoral et son mythe représentativiste, n’est qu’une imposture. Elle espère mais se résigne tout à la fois. Au surplus, le suffrage universel est le triomphe de la médiocrité, c’est à dire, de la moyenne. La moyenne, par définition, est ce qui procède de l’annulation des extrêmes, en bien ou en mal. C’est le marais infect où tout pourrit lentement. Et ce suffrage, couplé à la liberté accordée – en théorie – à tous de se présenter, permet à n’importe quel ahuri de se prêter au jeu illusoire du “peuple souverain”, c’est-à-dire de la “laocratie”, de cette tyrannie des masses qui dans les faits n’existe pas, car le jeu est mené par l’oligarchie qui agite celles-ci à sa convenance. On y aurait à y ajouter, pour faire bonne mesure dans la fuite en avant vers le grand rien qu’est la démocratie égalitariste, l’obligation de la “parité” homme-femme. Signe éminent de la fin prochaine de ce cirque, car rien n’est moins politique et plus passionnel qu’une femme et son arrivée dans ce qu’il reste des arènes du pouvoir ouvre la voie aux cancans comme principes, aux bouillonnement utérins comme vision. Bref, aux bouffées de chaleur faisant d’hémicycles frappés d’anémie des demi basse-cour livrées aux chiâleries de femelles. Face au troupeau “citoyen”, à cette masse informe qui ne saurait s’entendre sur rien sans qu’on lui donne par avance l’idée convenable à se faire, s’excitent les minorités tout autant assoiffées de tyrannie et se coagulant pour l’occasion: le lobby sodomite, le lobby des cadres du tertiaire, le lobby de tous les êtres décharnés de la “mondialisation”. C’est le versant réel de la démocratie moderne, face à ses contradictions. Après le non-règne de la masse, vient celui de l’oligarchie qui, le plus tranquillement du monde, donne le ton du légitime. Mais cela, précisément, au nom de la loi écrite par “le peuple souverain”. Alors, face à tout cela, que faire? A tout le moins s’entendre sur la nécessité de rétablir en toute chose la notion d’ordre et donc de hiérarchie – donc de polarité – et de lier droit au mérite, le pouvoir au devoir. Bref de rétablir l’ordre traditionnel européen. On ne peut pas plaire à tout le monde, et tant pis si:
Face à la gauche française, une seule réponse: la terreur blanche! Je reprends la plume pour aborder une conviction que nos camarades nationalistes européens seraient fondés à intégrer. Cette conviction, je l’ai fait mienne depuis déjà un certain temps, synthèse de mon expérience militante et d’une analyse psychologique empirique. Elle est assez primaire: il faut être de la dernière brutalité avec tout ce qui de gauche, de près ou de loin (http://breizatao.com/2014/03/19/face-la-gauche-une-seule-reponse-la-terreur). Par brutalité, j’entends d’abord et avant tout, brutalité mentale, l’état d’esprit qui doit nous animer tous, notre approche psychologique de l’ennemi. Notez que je parle “d’ennemi” et pas d’adversaire. Le qualificatif “d’ennemi” présuppose son anéantissement là où celui d’adversaire laisse encore le champ libre à une égalité morale. Une telle égalité n’existe pas: notre ennemi doit être détruit, pas seulement vaincu. Il est un fait établi que les seules forces ayant été en mesure de régler leur compte aux communistes sont ceux qui, psychologiquement, n’avaient à leur égard qu’un seul programme: les anéantir sans autre forme de procès. C’est un des titres de gloire du fascisme d’avoir, partout où il a accédé au pouvoir, liquidé le communisme en quelques mois. Parce que le fascisme, issu non pas de la bourgeoisie mais de la plèbe, portait en lui la violence prolétarienne qui était déjà l’usage des rouges. Les rouges, bien qu’aujourd’hui réduits à rien, ont usé et abusé de la violence. Ils ne se sont arrêtés que lorsque des hommes connaissant tout d’eux ont utilisé des méthodes plus radicales encore. Il faut par ailleurs toujours distinguer le cadre communiste de l’électeur ou du sympathisant, toujours floué par la basse démagogie destructrice de cette engeance. Hélas, pour l’essentiel, ce qui reste du communisme relève de la plus basse partie de notre société. Sorte de marais où finit de pourrir une humanité dégénérée. La bourgeoisie, toute à la bêtise des gros notables qui l’encadrent, a toujours été effrayée par la violence rouge au point de minauder face à elle. Les sociaux-démocrates communient avec les marxistes dans cet appétit de destruction de l’ordre ancien et c’est ce qui les soude en cas de crise. C’est leur plus petit dénominateur commun. Face à cette haine atavique, le troupeau bourgeois est toujours demeuré tétanisé. Alors que c’est bien en prenant ces rhéteurs de caniveau à la gorge et en leur opposant une haine encore plus fanatique, une terreur encore plus inconditionnelle, que l’on a pu en triompher. Personnellement, je suis loyal avec nos ennemis socialo-communistes et j’ai toujours annoncé la couleur quant à l’avenir, lorsque les nationalistes prendront le pouvoir: ils seront politiquement anéantis un par un. Cela ne doit d’ailleurs pas être réalisé dans le désordre, mais par une politique gouvernementale, rationnelle, de lustration totale. Le langage que comprend la gauche, surtout les marxistes, est celui de la brutalité la plus primitive, de l’arbitraire plein et entier, de la plus implacable répression. C’est probablement parce que l’ennemi a décelé un ton fort nouveau chez ses opposants qu’il poursuit BREIZ ATAO de ses foudres, craignant une rupture de mentalité dans l’opposition bretonne sur le long terme. Et ce serait fort justifié. Avec les socialo-communistes et autres marxistes culturels, une seule attitude: l’hyper-agressivité, l’offensive toujours et surtout, être toujours plus impitoyable à mesure que l’ennemi demande une trêve. Tant qu’un seul socialo-communiste se situera sur le territoire national, ce sera le signe de ce que notre travail est encore inachevé, de ce que nous péchons par modérantisme. En somme, il faut acculer cette vermine et ne lui laisser aucune échappatoire. A cette condition, sa capitulation est acquise sans coup férir et nombreux sont ceux qui seront surpris de voir les imprécations de ces factieux se muer en supplications mielleuses. C’est à cet instant précis qu’il faut écraser la tête de l’ennemi, d’un dernier coup de talon.
Notre avis est qu'il faut continuer à se développer dans les 4 directions: culturelle, autodéfense, économique, et écologique. L'histoire, la culture et la langue sont les meilleures armes contre le pouvoir déstructurant d'une juiverie cosmopolite et médiatique, autant que possible, on doit essayer de créer ou de maintenir des centres d'intérêts, des associations, des écoles pour drainer toutes les forces vives régionales. L'autodéfense qui commence avant tout par une bonne connaissance de notre environnement, avec une accumulation d'armes de toutes sortes. Notre seul leitmotiv étant de frapper sans aucune justification toutes ces pleureuses victimaires étrangères, par réflexe pavlovien me direz-vous! Économique, car leurs planches à billets ne sont pas éternelles. Il faudra encourager et protéger chacune de nos entreprises, favoriser le troc, et l'accès aux connaissances. Écologique, puisque la Nature ne nous appartient pas (elle daigne nous nourrir et c'est déjà beaucoup!), avec une remise à plat des normes sanitaires, des différentes sources de pollution jusqu'à leur entière élimination.
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L'auto-détermination des peuples: le poil à gratter des juifs! |
«La crise en Crimée est la plus sérieuse depuis la guerre froide», vient de déclarer Laurent Fabius, ambassadeur d'Israël en France. Il demande à la Russie «d’éviter une escalade dangereuse.» Il va pourtant falloir que les dirigeants français et M. Jean-Marie Colombani («Le retour de la guerre froide en plein réchauffement climatique», slate.fr, 3 mars 2014) s’y fassent: la Crimée, c’est une affaire finie (http://www.bvoltaire.fr/pierrelevigan/menaces-sur-...i-m-fabius-veut-il-punir,53885). Il ne fait guère de doute que l’immense majorité de ses habitants ont voulu la séparation d’avec l’Ukraine. Et même ont voulu le rattachement à la Russie, car c’est la seule garantie pour que l’Ukraine ne remette pas la main sur la Crimée. Il n’y a d’ailleurs pas de «crise en Crimée», mais une crise «à propos de la Crimée». Nuance. Poutine a rassuré les Tatars, conforté l’usage de la langue ukrainienne et assuré « ne pas vouloir la partition de l’Ukraine». Ce n’est pas rien quand on sait à quel point les habitants de Kharkov, de la région du Don et du bassin du Donetsk, de Lougansk, mais aussi d’Odessa, de la Transnistrie (soit l’ensemble de la région entre le Dniestr et le Boug) et du Boudjak ne se sentent pas ukrainiens. Selon les autorités autoproclamées de l’Ukraine, ce pays a reçu «des coups inacceptables à son intégrité». «Le conflit entre dans une phase militaire», disent-elles encore. C’est toujours assez maladroit de qualifier d’inacceptables des choses que l’on devra de toute façon accepter. Viktor Ianoukovitch était certainement d’une grande impopularité, mais ceux qui l’ont remplacé sont d’une irresponsabilité qui finira vite par les rendre tout aussi impopulaires, mettant l’Ukraine dans une impasse. Quoi qu’il en soit, M. Fabius menace de ne plus vendre des navires porte-hélicoptères Mistral à la Russie si «Poutine continue ce qu’il fait en Ukraine». Les porte-hélicoptères, c’est 1.000 emplois pendant quatre ans à Saint-Nazaire (non loin de chez M. Jean-Marc Ayrault). Voilà une bonne idée qu’a eue M. Fabius. La France n’ayant aucun problème d’emploi et, encore moins, de balance commerciale, quel besoin avons-nous en effet de vendre nos navires de guerre? Revenons sur terre: les échanges entre l’Union européenne et la Russie sont de plus de 320 milliards d’euros, l’Europe a besoin du gaz russe et la Russie a besoin des devises de l’Europe. Voilà la réalité. Dans l’attitude de M. Laurent Fabius, il y a un problème de fond et un problème de forme. Le fond, ce sont les relations entre la France et la Russie. La forme est presque aussi importante: M. Fabius sort de la ligne de Jean-Marc Ayrault. On sait que M. Fabius ne fait pas grand cas du Premier ministre, simple Goy et prochain fusible, mais il y a une logique des institutions que l’on n’aimerait pas voir bafouée d’une manière aussi indécente. Au fait, le 27 mars 1854, il y aura tout juste 160 ans, la France et la Grande-Bretagne déclaraient la guerre à la Russie pour bloquer sa poussée vers le sud. Objectif: stopper une expansion russe qui ne menaçait aucunement les intérêts français, mais gênait les intérêts britanniques. La France roulait pour l’Angleterre. À savoir: l’alliance anglaise ne nous fut d’aucun secours face à l’Allemagne en 1870-71. Personnellement, on ne peut que jubiler devant tous les échecs de notre République Juive, qui révèlent jour après jour ses véritables acteurs, ses véritables projets. De la censure de notre "liberté d'expression" afin de lutter officiellement contre la quenelle dans les quartiers déshérités, à l'ingérence en terre étrangère pour mettre fin à des référendums démocratiques, le youpin se prend les pieds dans ses mensonges, et revendique son rôle de parasite!
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Comment le panier de la ménagère a fini en arme de destruction massive! |
Même avec 5 fruits et légumes par jour, faut dire qu'ils ont terminé au barbecue. Antisémitisme à l'extrême droite, antisionisme à l'extrême gauche: le président du Crif, Roger Cukierman, a appelé le mardi 4 Mars au soir François Hollande, présent lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France, à mobiliser la France contre ces deux "fléaux" en en faisant "une cause nationale" (http://www.lepoint.fr/societe/le-crif-implore-holl...nale-04-03-2014-1797773_23.php). "Il faut attaquer très tôt la propagation de la haine", a estimé Roger Cukierman. "On ne naît pas antisémite, on le devient, par bêtise, par ignorance, ou par préjugé." "Faites-en une cause nationale!" a-t-il imploré François Hollande, en appelant à un rassemblement, le 19 mars à Paris, pour commémorer les assassinats perpétrés il y a deux ans à Toulouse par Mohamed Merah contre six personnes, dont trois enfants juifs. S'exprimant devant le chef de l'État et 800 personnalités, Cukierman a tenu un discours sombre, témoignant de son inquiétude à l'égard de l'atmosphère d'intolérance régnant dans le pays. Parmi les invités au Pavillon d'Armenonville à Paris - qui comptait ministres, sénateurs, députés, ambassadeurs, maires du Grand Paris, responsables religieux -, le président du Crif a accueilli Michel Atangana, français d'origine camerounaise récemment libéré après 18 ans d'internement au Cameroun. "J'aurais aimé évoquer le dicton Heureux comme un juif en France", a déclaré M. Cukierman (...). "Je dois malheureusement recourir à l'humour juif, souvent grinçant. Qu'est-ce qu'un antisémite? C'est quelqu'un qui déteste les Juifs plus que nécessaire." "La bête immonde est, hélas, bien présente, aujourd'hui, en France", a déploré le président du Crif, que la chute du nombre d'actes antisémites, en baisse de 31 % en 2013 selon le Service de protection de la communauté juive (SPCJ), n'a guère rassuré. "Je pense avec tristesse, avec inquiétude, avec angoisse, aux ignobles slogans lancés par quelques milliers d'individus parmi les manifestants du dimanche 26 janvier à Paris. Ils hurlaient: Juifs dehors, la France n'est pas à toi!" Pour M. Cukierman, qui a rappelé son passé d'enfant caché et celui de sa famille, "gazée et brûlée par Hitler et ses complices", "à Paris, dans le métro, porter une kippa, c'est prendre le risque d'être agressé". Il a évoqué la progression spectaculaire du Front national avec "sa cohorte d'antisémites, de vichystes et de négationnistes réfugiés derrière sa dirigeante, attentive à ne pas commettre d'impair". Mais il a également dénoncé, à l'extrême gauche, "l'antisionisme, nouvel habit de l'antisémitisme. Car s'il n'est pas convenable d'être antisémite, il est élégant de fustiger l'État d'Israël". À cet égard, le président du Crif s'est étonné que les appels au boycottage en France ciblent un seul des 200 pays de l'ONU. "Je peux vous citer 50 pays dont les frontières sont contestées par leurs voisins, en Afrique, au Moyen-Orient ou sur l'immense continent asiatique." "Concernant Israël, a-t-il poursuivi, des positions extrémistes sont parfois attribuées au Crif. À tort (...). Nous avons pour objectif que l'État d'Israël vive en paix aux côtés d'un État de Palestine. Nous souhaitons qu'Israël, où 20 % de la population pratique la langue française, soit enfin admis dans l'Organisation de la francophonie financée par le contribuable français." Roger Cukierman a également "suggéré que la France se démarque du reste du monde et reconnaisse Jérusalem comme la capitale d'Israël".
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Le Rabbin, la chèvre et la guenon. |
"Tenez-vous aux branches, ça secoue dans le cocotier!" On sait pas qui qu'a commencé, mais il risque d'y avoir des morts dans le monde de la politique, des journalistes, et du BTP (alias Franc-Maçons) . Comme disait Copé: "Croire Taubira, c'est pas faire avancer la cause animale!" (http://www.bvoltaire.fr/robindelaroche/christiane-...-piegee-par-teleobjectif,53235). Cette dernière a peur. Pas des Veilleurs qui campent devant son ministère, dont elle ne comprend ni la motivation ni les objectifs – et comment le pourrait-elle? Non. Christiane Taubira a peur de son propre amateurisme, de son illégitimité dans les ors de la République. On a beau se prendre pour la bégum alors qu’on n’a comme seul fait d’armes d’avoir été indépendantiste guyanaise contre la France, il y a un moment où le déguisement se voit comme le nez au milieu de la figure. Christiane Taubira a peur, et comme tout ministre qui a peur, elle enchaîne les erreurs. La première d’entre elles a été de conserver son ton hautain de donneuse de leçons lors de son interview sur TF1. On peut s’amuser à réciter un catéchisme dogmatique et ridicule lorsqu’on est au faîte de sa puissance. Lorsqu’on est pris les doigts dans la barbouzerie, mieux vaut jouer l’humilité. Mais l’humilité et Taubira, il y a bien longtemps que c’est une histoire de divorce. Deuxième erreur: alors que son explication alambiquée et incompréhensible avait finalement été plus ou moins contredite par un Jean-Marc Ayrault plus que gêné aux entournures, madame le ministre s’enterre un peu plus en insistant sur un «Je ne savais pas» qu’elle croit encore salvateur. Et pour appuyer ses propos, la voici qui brandit des courriers… Oh… de loin, comme ça… bien sûr; sachant ce qu’il y a dedans, elle n’en distribue quand même pas des copies à la presse… non… juste à bout de bras.. comme ça.. le logo de la République, du texte, des signatures. Et là, c’est le drame. Christiane Taubira ne le sait peut-être pas, mais, de nos jours, les photographes sont équipés de machines de guerre à la finesse incomparable… et donc, brandir un papier devant leurs objectifs revient à leur proposer de le scanner! Petit envoi rapide à la rédac’ des fichiers en haute-déf’, et l’on découvre – avec le sourire – que dans les lettres utilisées par l’indépendantiste guyanaise pour prouver qu’elle ne savait rien, n’était tenue au courant de rien, le magistrat Philippe Lagauche rappelle au garde des Sceaux qu’il lui est «régulièrement rendu compte» de la procédure! Lorsqu’elle dit, ce mercredi: «Je n’ai pas et je n’ai toujours pas d’informations concernant la date, la durée et le contenu des interceptions judiciaires», il est écrit, dans le détail et par le menu, exactement l’inverse dans les lettres qu’elle produit à l’appui de ses dires. Le cynisme de cette femme atteint un tel niveau qu’il la rend elle-même aveugle. À la suite des luttes sociétales autour de la dénaturation du mariage, Christiane Taubira a voulu se donner une image de passionaria, à la Simone Veil. Elle-même y a cru. Elle est cuite, la carotte au cul. Même si la Cour de justice de la République (CJR), organisme chargé de défendre les intérêts des ministres faussaires, traîtres ou corrompus, a sans surprise une fois encore classé sans suite une plainte contre Christiane Taubira. Le Front national lui reprochait d’avoir déclaré que le discours du FN, «c’est les Noirs dans les branches des arbres, les Arabes à la mer, les homosexuels dans la Seine, les Juifs au four et ainsi de suite» et d’avoir affirmé que la pensée du parti d’extrême-droite était «mortifère et meurtrière». C’est en décembre que la CJR a classé sans suite cette plainte pour injures publiques, mais ne l’a révélé le 14 Mars 2014. Jeune-nation enfonce même le clou avec ils ont dit…Vérité: «Non je ne démissionne pas. Non je n’ai pas menti!» de Christiane Taubira. L’éventualité d’un malentendu: «Je veux bien éventuellement entendre un malentendu [rigoureusement sic] mais je répète et je dis très clairement qu’il n’y a pas de mensonge!» de Christiane Taubira. Inexactitude: « Il peut m’être arrivé d’avoir dit une chose pas tout à fait exacte!» de Christiane Taubira. Imprécision: «Je ne mens pas. Il peut m’arriver d’être imprécise!» de Christiane Taubira. Panneau et maladresse: «C’était tout au plus une maladresse, il n’y a pas de dysfonctionnement du tout de la part de l’appareil d’État et en particulier [sic] de la ministre de la Justice, je crois qu’on est en train de tomber dans un panneau. Je refuse de tomber dans un piège qui consisterait à dire tout d’un coup l’affaire est une affaire Taubira. Non, c’est une affaire Sarkozy, c’est une affaire Copé, c’est une affaire Takkiedine, Buisson, etc., etc., je voudrais qu’on retrouve la raison!» de Marylise Lebranchu. Maladresse et malentendu: «Il n’y a eu aucun mensonge de la part des ministres [sic]. On peut concéder une maladresse. […] Je veux bien éventuellement entendre un malentendu mais je répète et je dis très clairement qu’il n’y a pas de mensonge [sic]». Bruno Le Roux ajoutant, en fin analyste – mais au sujet de Nicolas Sárközy – : «il n’y a pas de fumée sans feu ». Gazage et enfumage: «J’ai le sentiment que nous faisons face à une manipulation, une opération d’enfumage [voire d’une] diversion pour cacher ces affaires: le financement libyen et le trafic d’influence». de Manuel Valls. Théorème: «Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien.» Citation (apocryphe?) attribuée à Charles Pasqua mentor de Nicolas Sárközy en politique. Inéluctable: «C’est donc que la garde des Sceaux a menti, dans ce contexte il n’est pas possible qu’elle reste en fonction. Sa démission face à ce mensonge est inéluctable» de Jean-François Copé, impliqué dans plusieurs scandales, s’accrochant à ses fonctions. Un seul peut encore nous sauver!
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Cabale Juive contre Civilisation Blanche! |
Depuis le 30 avril 1918, la famille impériale de Russie (le tsar, son épouse, le prince héritier et ses quatre sœurs) était prisonnière à Ekaterinbourg, dans l’Oural (http://www.the-savoisien.com/wawa-conspi/viewtopic.php?id=2449). Elle y fut retenue jusqu'au moment de son assassinat, perpétré dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918. Un agent des services de renseignements britannique, Robert Wilton, a pu avoir accès aux dossiers du juge Sokolov, chargé de l’enquête par le gouvernement de l’amiral Koltchak. Cet «honorable correspondant» publia en 1920 un ouvrage, Les Derniers Jours des Romanov. Robert Wilton y confirme la responsabilité des Juifs dans le massacre des Romanov. Cette thèse a été confirmée par le général Dieterichs, adjoint de l'amiral Koltchak. Chargé de superviser l’enquête du juge Sokolov, il publia en 1922: Le meurtre de la famille impériale et des membres de la Maison Romanov dans l'Oural. Plusieurs versions, parfois contradictoires, circulèrent quant aux circonstances exactes du massacre. Selon la version communément admise, les Romanov et quatre personnes de leur suite furent massacrés par fusillade. Toutes ces versions s'accordent cependant sur les points suivants: Le responsable de la détention et de l'exécution de la famille impériale était le Juif Chaïa Issaévitch Golostchekine, commissaire régional à la Guerre, âgé de 42 ans. Arrivé en Russie dans le même wagon que Lénine, Golostchekine était connu pour être un bourreau cruel et dégénéré. Le 12 juin 1918, le frère cadet du tsar fut exécuté à Perm, ce qui laisse à penser que la mise à mort de tous les Romanov fut décidée dès ce moment-là. Le 4 juillet 1918, les gardiens de la maison Ipatiev et leur chef furent remplacés. Le nouveau chef était le Juif Iankel Chaïmovitch Iourovsky, âgé de 41 ans, directement subordonné à Golostchekine. Le 12 juillet 1918, Hermogène, évêque de Tobolsk, fut tué par des Gardes rouges sur la route entre Ekaterinbourg et Tobolsk: pour avoir aidé les prisonniers impériaux, il avait été arrêté et emprisonné dans une prison d'Ekaterinbourg, puis libéré sous caution juste avant son assassinat. Le 16 juillet 1918, les gardiens de la famille impériale, de simples Gardes rouges, furent désarmés sur ordre du commandant Iourovsky juste avant l'arrivée des bourreaux. Après le massacre, perpétré dans les circonstances détaillées ci-après, les premiers enquêteurs découvrirent une inscription en langue allemande sur le mur de la chambre du crime, entourée de «quatre signes cabalistiques»: Belsatzar ward in selbiger Nacht. Von seinem Knechter umgebracht Traduction: Balthazar fut, en cette même nuit, tué par ses esclaves. L'auteur de cette inscription s'est manifestement inspiré d'un poème du Juif Heinrich Heine évoquant l'assassinat du roi de Babylone, Balthazar, écrivant toutefois Belsatzar au lieu de Belsazar, selon l'orthographe germanique. Dans Le Festin de Balthazar (Daniel 5), l'Ancien Testament nous raconte que le roi de Babylone convia les grands du royaume, au nombre de mille, à boire dans les vases d'or que son père Nabuchodonosor avait rapporté du Temple de Jérusalem. Au cours du festin, des mots mystérieux apparurent sur les murs du palais, que le prophète Daniel déchiffra ainsi: «Mané (compté) veut dire que Dieu a compté les jours de ton règne et en a marqué la fin, Thécel (pesé), que tu as été mis dans la balance et trouvé trop léger, Pharès (divisé), que ton royaume sera partagé.» Daniel accusa Balthazar d'avoir déplu à Yaveh et d'avoir profané les vases sacrés du Temple de Jérusalem (Daniel 5, 23). Balthazar eut beau se repentir publiquement et nommer Daniel à la troisième place du gouvernement du royaume, il fut assassiné le soir même (Daniel 5, 30). De même que le roi Balthazar, le tsar et ses descendants devaient être sacrifiés rituellement pour que, par le sang versé, la prophétie de Daniel s'accomplisse à nouveau. Une telle mise à mort, placée sous le signe de la Cabale et de la magie noire, ne peut que faire réfléchir tous ceux qui seraient tentés de s’opposer au destin du peuple élu, déterminé selon une interprétation cabalistique de l’Ancien Testament. Comme Balthazar le païen, le Tsar très chrétien passait pour un usurpateur selon le Talmud: seul Israël détient de Yaveh la souveraineté de tous les Royaumes et seuls les Juifs sont les maîtres légitimes de tous les biens de ce monde...
Un diplomate, transfuge du régime des soviets, Grégoire Bessedovsky, a publié en 1930 le récit de sa vie dans les années qui suivirent la révolution bolchévique. Il y rapporte l’hallucinante confession de l’un des tueurs, le Juif Piotr Voikov. Les précisions du tueur sont révélatrices de la mentalité des bourreaux mais, surtout, son témoignage confirme en tout point ce que l’on sait maintenant de ce crime, suite à une nouvelle enquête bénéficiant de tous les moyens scientifiques modernes diligentée par les autorités russes après la chute du communisme. Malgré le zèle des tueurs pourvus d’importants moyens pour effacer toute trace du crime, les indices recueillis sur place furent suffisants pour reconstituer les faits et confirmèrent pour l’essentiel la première enquête menée par le juge Sokolov. On remarquera utilement que les mêmes, sous un autre masque, sont toujours à l’œuvre, actuellement contre les populations du Moyen Orient. Vous savez, dit-il, cette brute de Jurovsky [Iourovsky] a commencé d’écrire ses mémoires. Le Bureau politique en a eu vent; on l’a fait venir et on lui a ordonné de brûler immédiatement le manuscrit. C’est à ce moment que le Bureau politique vota une résolution interdisant de publier des mémoires relatifs à l’assassinat du tsar. Cela n’était que très naturel, car Jurovsky s’y était très mal pris et l’exécution avait été une chose honteuse, une véritable boucherie. La question de l’exécution des Romanoff avait été mise à l’étude par le soviet de la région de l’Oural selon le désir de ses membres. J’en faisais partie comme commissaire de l’approvisionnement. Ce soviet demandait avec insistance à Moscou que le tsar soit fusillé. Il indiquait que les ouvriers de l’Oural se montraient fort mécontents de la lenteur des autorités; le tsar vivait à Ekaterinbourg «come dans une villégiature». Moscou ne donnait pas son assentiment, car on estimait que le tsar ferait l’objet d’un échange avec l’Allemagne. On voulait tout simplement vendre le tsar aux Allemands et recevoir une forte compensation. On espérait surtout que l’Allemagne, pour obtenir la famille impériale, consentirait à de fortes réductions des 750 millions de roubles-or qui avaient été imposés comme contribution par le traité de Brest-Litovsk. Il se trouvait aussi quelques membres du comité central – dont Lénine – qui s’opposaient à l’exécution pour des considérations de principe. Ils pensaient qu’on ne pouvait pas fusiller les enfants. Lénine indiquait que la grande révolution française avait exécuté le roi et la reine, mais avait épargné le dauphin. On parlait aussi de l’impression défavorable pour les soviets que produirait à l’étranger la nouvelle de l’exécution des enfants. Mais le conseil de l’Oural et le comité communiste de l’Oural continuaient à réclamer la mort. Moi – Voikov fit un grand geste théâtral – j’étais un des partisans les plus acharnés de cette mesure. Une révolution doit se montrer sans pitié pour les monarques renversés; sans quoi, elle risque de n’être plus populaire. On devait surtout compter avec les masses ouvrières de l’Oural, animées d’un esprit révolutionnaire très aigu. Le comité de l’Oural du parti communiste vota définitivement la mort le 6 juillet 1918. Aucun de ses membres ne vota contre. La mort fut votée pour toute la famille et plusieurs communistes influents furent chargés de faire ratifier cette décision par Moscou.
Deux camarades originaires de l’Oural, Sverdlov [juif] et Krestinsky [juif], actuellement ambassadeur à Berlin, nous aidèrent puissamment dans cette tâche. Ils entretenaient des relations suivies avec les gens de l’Oural et ils furent nos meilleurs avocats. Leur tâche ne fut pas facile, car une partie des membres du comité central persistait à dire que les Romanoff étaient entre nos mains un bon atout dans notre jeu avec l’Allemagne. Il faudrait être à bout de toute solution pour se départir de cet atout. Les gens de l’Oural eurent alors recours aux derniers moyens. Ils annoncèrent qu’il n’était pas possible de garantir la sécurité des Romanoff, car les Tchéco-Slovaques [la Légion tchèque) finiraient par s’en emparer dans leur marche sur l’Oural. Ce dernier argument finit par convaincre tout le monde, car tout le monde craignait que le Romanoff tombât entre les mains de l’Entente. Le sort du tsar fut ainsi décidé, en même temps que celui de toute sa famille. En apprenant que la chose était ratifiée (c’est Golostchekine qui apporta cette nouvelle de Moscou), Belobodorov mit à l’ordre du jour la question de savoir de quelle façon on procéderait à l’exécution. Le comité central avait prévenu Ekaterinbourg qu’il faudrait de toute façon cacher le fait aux Allemands, car ceux-ci continuaient à demander avec insistance qu’on leur livrât la tsarine, l’héritier du trône et les grandes duchesses. Belobodorov proposa le plan suivant: une mise en scène de rapt de toute la famille qu’on entraînerait dans une forêt où tous ses membres seraient fusillée. Quant au tsar lui-même, il serait fusillé publiquement après lecture d’un arrêt de mort motivé. Golostchekine n’était pas du même avis; il prétendait que la mise en scène serait trop difficile à exécuter. Il proposait donc de procéder à l’exécution dans la forêt et de jeter les corps dans l’ouverture d’un puits d’une mine abandonnée; ensuite on annoncerait la mort du tsar et le transfert de sa famille dans un endroit plus sûr. Voikov s’étendit longuement sur les débats qui eurent lieu. Son projet à lui (il prit, me dit-il, par deux fois la parole pour le défendre), consistait à transporter les victimes vers le bord de la grande rivière la plus proche, les fusiller et jeter les corps dans l’eau après leur avoir attaché solidement des poids suffisants. Cette méthode serait la plus «proprette»: une salve au bord d’une belle rivière avec lecture de l’arrêt puis «inhumation par immersion». Voikov prétendait que l’immersion était un genre de mort convenable et ne discréditerait pas la Révolution. Finalement le soviet décida que les Romanoff seraient fusillés dans la maison Ipatiev et que les corps seraient détruits. Cette résolution contenait également l’indication que le médecin, le cuisinier, le domestique, la femme de chambre et le mitron attachés à la famille impériale «se sont eux-mêmes condamnés à la peine de mort et doivent être fusillés avec les autres». Jurovsky en sa qualité de commandant de la maison Ipatiev était chargé de l’exécution de la résolution. Voikov, en sa qualité de représentant du comité du parti de la région, devait assister à l’exécution. Comme spécialiste des sciences naturelles et plus exactement de la chimie, il devait élaborer les plans de la destruction totale des corps. Il était aussi chargé de signifier à la famille la lecture de l’arrêt de mort. Il apprit cet arrêt par cœur afin de pouvoir procéder avec toute la solennité possible; il estimait qu’il entrerait dans l’Histoire comme l’un des personnages principaux de la tragédie. Mais Jurovsky lui aussi «voulait entrer dans l’Histoire» et il se mit à tirer sans avoir prévenu Voikov. Cela lui valut une haine implacable de Voikov qui ne l’appelait plus que «boucher, idiot, animal, etc....» La question des armes à employer fut soigneusement étudiée. On décida de prendre des revolvers car les fusils feraient trop de bruit et attireraient l’attention des habitants d’Ekaterinbourg. Voikov astiqua son Mauser calibre 7,65, il le sortit de sa poche et le montra. Jurovsky avait un Mauser du même modèle. Selon Voikov, Jurovsky était si pressé d’en finir qu’il transforma «un acte héroïque solennel» en simple boucherie; le mitron avait été épargné sur l’intervention de Voikov et contre le gré de Jurovsky; celui-ci, sanguinaire, ne voulait pas diminuer le nombre de ses victimes. Dans la nuit du 17 juillet, Voikov se présenta à la maison Ipatiev accompagné du président de la Tchéka d’Ekaterinbourg. Jurovsky fit son rapport: la famille est réveillée et invitée à descendre dans le sous-sol afin d’être prête pour la «réexpédition». On leur avait dit que la ville d’Ekaterinbourg n’était pas tranquille, qu’on craignait une attaque et que par mesure de précaution il fallait se tenir dans la cave ; la famille y descendit à deux heures quarante-cinq (Voikov tira sa montre). Jurovsky, Voikov, le président de la Tchéka et les Lettons de la Tchéka se disposèrent près de la porte. Les membres de la famille avaient l’air tranquille. Ils paraissaient habitués aux alertes nocturnes et aux déplacements fréquents. Certains étaient assis sur des chaises avec des oreillers placés sur les sièges ; d’autres se tenaient debout. Le tsar fit quelques pas vers Jurovsky qu’il considérait comme le chef et lui dit tranquillement: Nous voilà tous rassemblés; qu’allons-nous faire à présent? Voikov s’avança pour lire la résolution du Soviet de l’Oural, mais Jurovsky ne le laissa pas faire. Il s’approcha du tsar et dit: ‒ Nicolas Alexandrovitch, vous allez être fusillé avec votre famille selon la décision du Soviet de l’Oural. Cette phrase parut au tsar si inattendue qu’il dit machinalement: ‒ Quoi? Jurovsky fit feu au même moment, à bout portant, tirant plusieurs coups ; le tsar tomba. Aussitôt les autres se mirent à tirer aussi et les victimes tombèrent l’une après l’autre à l’exception de la femme de chambre et des jeunes filles. Les filles du tsar restèrent debout emplissant la pièce de cris terribles. Des balles ricochèrent. Jurovsky, Voikov et les Lettons se ruèrent sur les survivantes et tirèrent encore à la tête. Le crime accompli, Jurovsky, Voikov et deux Lettons examinèrent les cadavres et enfoncèrent dans les corps les baïonnettes de deux fusils que l’on avait apportés de chez le commandant. Voikov me dit que le tableau était terrifiant. Les corps gisaient à terre en poses de cauchemar, les visages défigurés par le désespoir et les balles. Le plancher était devenu glissant comme dans un abattoir. L’air était rempli d’une odeur étrange. Jurovsky paraissait très calme. Infirmier de profession, il avait l’habitude de voir du sang humain. Il enleva soigneusement les bijoux. Voikov voulut avoir sa part et tira le doigt d’une des grandes duchesses; le corps se retourna sur le dos, du sang jaillit de la bouche avec un bruit sinistre. Voikov eut peur et se mit de côté. Quelque temps après on chargea les corps sur un camion placé près de l’entrée. Puis on s’en fut vers une mine abandonnée, repérée d’avance. Jurovsky y partit avec le camion. Voikov resta à Ekaterinbourg, car il devait préparer tout ce qui était nécessaire pour la destruction finale. On avait désigné pour cette besogne quinze membres éprouvés de l’organisation d’Ekaterinbourg et de Verkhne Isetsk. Ils étaient munis de haches neuves soigneusement aiguisées, du type employé dans les boucheries pour disséquer les carcasses de bœufs. Voikov fit aussi une provision d’acide sulfurique et d’essence. La destruction des corps commença le lendemain et elle se fit sous la direction de Voikov. Jurovsky était présent, avec Beloborodov et Golostchekine qui se rendirent sur place à plusieurs reprises pour surveiller l’opération. Le travail le plus difficile fut le dépeçage. Voikov tremblait en me parlant de ce détail. Il me dit que, cette partie de leur besogne terminée, les hommes se trouvèrent devant un amas de troncs, de jambes, de bras et de têtes. On aspergea l’amas sanguinolent d’essence et d’acide sulfurique et on y mit le feu qui dura deux jours et deux nuits. Les réserves d’acide et d’essence apportées par Voikov furent insuffisantes. Il fallut à plusieurs reprises aller chercher de nouvelles fournitures; en attendant on restait devant le bûcher entouré de fumée sentant la chair humaine… C’était effroyable, me dit Voikov en terminant. Tous les camarades étaient littéralement fous. Jurovsky lui-même dit qu’il n’en pouvait plus et qu’une autre journée pareille l’aurait rendu bon pour l’asile. On chercha à en finir rapidement. On fit un nouveau tas avec ce qui restait des corps carbonisés. Nous jetâmes quelques grenades dans l’orifice de la mine pour faire éclater la glace éternelle qui l’obstruait et nous précipitâmes dans le trou ce qui restait encore d’ossements noirs et, pour les disperser, nous jetâmes encore plusieurs dizaines de grenades. L’emplacement du bûcher fut creusé à une assez grande profondeur et la cavité remplie de feuilles et de mousse pour le cacher aux hommes…Grégoire Bessedovsky, Oui, j’accuse (au service des soviets) Librairie de la Revue Française, Paris, 1930, pages 80 à 86
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Notre ennemi n'est pas le juif, mais la criminalité! Le reste suivra. |
Cette semaine, deux nouvelles ont attiré mon attention, l’une car elle me concernait directement, l’autre car elle expliquait la première. La première nouvelle bien sûr, ce sont les méthodes dignes de la Stasi de la Gendarmerie française qui, sur ordre d’un “juge indépendant” comme on a coutume de les appeler en France, ont perpétré deux descentes aux domiciles de proches pour m’arrêter (http://breizatao.com/2014/03/14/des-vertus-de-lepuration-editorial-de-boris-le-lay). Ayant été contacté par un de ces proches, je répondais et me trouvais rapidement au téléphone avec le miliçant chargé de livrer le nationaliste breton au bras vengeur de la république française. L’individu demeura stupéfait de ce que je lui eus demandé la raison d’une telle descente. Et le pandore français de ne savoir que répondre, si ce n’est de me reprocher une entorse au catéchisme idéologique officiel – et désormais obligatoire comme nous l’a rappelé le rétablissement de la censure à l’occasion de l’affaire Dieudonné – en l’espèce, un “racisme” et un “antisémitisme” notoires. Qu’un simple képi de campagne soit si imprégné d’idéologie néo-marxiste “démocratique” là où, il y a encore 30 ans, un gendarme aurait été le premier à raisonner et parler comme je le fais, témoigne du lavage de cerveau massif ayant été opéré dans l’Hexagone par la cléricature politico-médiatique française. Toujours est-il que le miliçant, tout à son agressivité, avait du recevoir de très fermes consignes quant à mon arrestation car ce dernier n’hésita pas, le plus benoîtement du monde, à me menacer de placer ma famille sur écoute, ce à quoi je l’invitais volontiers. Invitation superflue car, depuis des années, l’Etat Français est lancé dans l’écoute illégale et industrielle de ses citoyens, à commencer par moi. Remercions au passage le député socialiste français Jean-Jacques Urvoas pour son zèle à permettre aux services secrets français et à l’armée d’écouter n’importe quelle personne en dehors de tout cadre légal. Nombre de naïfs ont encore eu là de quoi méditer sur la fiction qu’est “l’alternance” entre “gauche” et “droite”… Il n’y a qu’un parti: celui du régime. Pour en revenir au Bleu, lassé, celui-ci jugea préférable de mettre un terme à cette descente… pour s’envoler vers un autre proche – âgé de 89 ans – qui dut subir une fouille en règle de son domicile, non sans se voir adresser des propos sybillins au parfum menaçant. La Gendarmerie française donc, n’hésite pas à s’introduire chez des nonagénaires pour mettre la main sur un terrible… blogueur. Ma première conclusion est la suivante : le régime n’est que modérément optimiste sur son espérance de vie. Quand tout va pour le mieux, que l’argent coule à flot et que la plèbe est insouciante, les régimes sont débonnaires voire magnanimes. Et l’on eut admis de moi dix fois plus que ce l’on me reproche aujourd’hui et dont, pour l’heure, j’ignore tout. Ceci dit, les lecteurs qui suivent mes éditoriaux ou visionnent mes vidéos, peuvent juger de ma dangerosité. Et en fait, oui, à ma façon, je le suis. Il n’est pas besoin pour moi d’en faire beaucoup, car, pour le régime français en territoire breton, le simple fait que je m’exprimasse confine au défi intolérable. Leur clique a tout essayé: médiats aux ordres, pseudo-élus et vrais laquais, flics zélés et magistrats vérolés, ils ont tout tenté pour que moi et les autres rédacteurs se taisent définitivement, mieux, s’excusent en place publique. Ils ont pu mesurer l’efficacité de leurs méthodes dignes de la RDA communiste: le néant. Des menaces du commandant de police de Brest, aux trucages de procès en passant par les campagnes médiatiques alimentées par l’arrière ban du socialisme pro-sioniste, rien n’y a fait. Contrairement à une idée reçue, il n’est point besoin de rassembler légion pour déstabiliser un pouvoir assis sur le mensonge. Dire la vérité en soi suffit à inquiéter les apparatchiks du régime. La seconde nouvelle, véritablement suffocante, c’est naturellement la confirmation statistique de la colonisation de l’Europe, grâce aux révélations d’une enquête sanitaire évoquée dans les colonnes de notre journal. 34% des naissances sont en effet le fruit du Tiers-Monde. Il s’agit bien sûr de l’unique événement historique à retenir du millénaire écoulé et de celui qui commence. La transhumance islamique a commencé, sous les vivats de nombreux intellectuels juifs – mais pas qu’eux – et le régime, impuissant et nihiliste, entend que ce basculement mortel se fasse dans un silence de cathédrale. Voilà pourquoi sa milice tente de me faire taire et, à mes côtés, de nombreux nationalistes ou identitaires qui ne résolvent pas à pareille ignominie. Ah bien sûr, l’enfer est pavé de bonnes intentions et nombreux sont les imbéciles heureux – pour beaucoup des soixante huitards embourgeoisés et moraleux – qui célèbrent l’islamo-africanisation de l’Europe de l’Ouest. Je peux concevoir que certains, à 65 ans, n’aient guère plus envie de vivre et qu’ils préfèrent digérer sur leurs certitudes post-marxistes en toute tranquillité, se donnant le beau rôle en se faisant “antiracistes” et immigrationnistes. Ces malades mentaux – la stricte définition de tout socialo-communiste qui se respecte – sont libres de vouloir crever mais je doute que les vingtenaires partagent cette lassitude. Aussi, le régime français en bout de piste tente de réprimer les voix discordantes, par les mesures de basse police que l’on sait. J’aimerais ici me livrer à un exercice de prophétie. Et je rebondis sur l’actualité ukrainienne qui a au moins le mérite de rappeler que tout peut changer en 24 heures de temps. Que les flics et autres magistrats méditent sur l’épuration en cours à Kiev et dans de nombreux endroits de l’Ukraine, car il n’est pas dit que l’histoire ne s’accélère avant de se retourner, y compris dans l’Hexagone. Lors du rétablissement de l’Etat Breton, il faudra pour garantir sa sécurité future, que le ministère de la Justice lance en premier une vaste entreprise d’épuration de notre société. Les ennemis de la nation devront répondre de leurs forfaits, cela ne doit pas faire l’ombre d’un doute ni être l’objet de débat. Et je le dis à tous les révolutionnaires potentiels de demain: pas de place pour les demi-mesures, pas de doutes sur ce que nous ferons. Après tout, en 1944, nous avons eu les meilleurs professeurs d’épuration. Qu’on ne se trompe pas à cet égard: quand on prend le pouvoir et qu’il s’agit de changer de paradigme historique, on cimente celui-ci par une politique soigneuse de lustration. Et justement en Ukraine, vient d’être créé un “ministère de la lustration”, c’est-à-dire de l’épuration! Et ce sous les applaudissements du régime français! Les pauvres ne savent pas qu’ils donnent le bâton pour se faire battre. Que les socialio-communistes et leurs compagnons de route se fassent croyants afin de pouvoir prier le Ciel pour qu’un tel retournement n’advienne pas! Car ils en viendront à regretter d’être jamais nés en cette époque de notre civilisation. Ne traînons pas et, en attendant que ce retournement survienne, préparons les listes de ceux qui devront répondre des terribles actes qu’ils ont commis contre notre peuple. Là encore, on nous a montré comment faire, à Nuremberg.
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Rien n'est le fruit du hasard, surtout pas l'industrie de la drogue. |
Sir Albert Abdullah David Sassoon (25 juillet 1818 à Bagdad – 24 octobre 1896 à Brighton) est un homme d'affaires et philanthrope indo-britannique, issu d'une famille séfarade émigrée en Mésopotamie au XVIe siècle (https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Abdullah_David_Sassoon). À la suite d'une révolution de palais, son père, David Sassoon, trésorier du gouverneur ottoman Ahmet Pacha, fuit Bagdad avec sa famille et se réfugie en Iran, où il ouvre à Bushehr un bureau de commerce avec l'Inde. Quatre ans plus tard, en 1832, il s'établit à Bombay, où il vend des tapis dans une échoppe. Grâce et à son flair pour les affaires, principalement dans la banque et le commerce, y compris celui de l'opium, et grâce aux alliances qu'il noue avec la Compagnie anglaise des Indes orientales, il devient bientôt l'un des hommes les plus riches de Bombay. Lorsque David Sassoon meurt à Pune en 1864, Abdullah, en tant que fils aîné, hérite de son négoce. Il se diversifie dans le textile tout en poursuivant l'œuvre philanthropique de son père. Il fonde l'une des principales écoles de Bombay et fait construire des docks qui portent toujours son nom. En reconnaissance pour son rôle dans l'industrialisation du pays, Sa Majesté britannique, Impératrice des Indes, le fait chevalier de l'Ordre du bain en 1872 et baronnet en 1890. Il visite une première fois l'Angleterre en 1873, puis s'y installe en 1876. Son frère David, établi en Angleterre depuis 1858, l'introduit dans l'entourage du futur Edward VII et Abdullah prend alors le nom d'Albert. Il meurt en 1896 à Brighton, station balnéaire qu'il a contribué à mettre à la mode. Ses cinq autres frères continueront de faire prospérer les affaires familiales à Bombay et à Shanghai, en Afrique et en Europe. Sa fille Sibyl se mariera avec le marquis de Cholmendeley, son fils Philip Albert sera élu député à la Chambre des communes, et son fils Edward Albert épousera Aline Caroline de Rothschild. Plusieurs de leurs descendants s'illustreront à leur tour dans le mécénat et les arts, tandis qu'Albert Sassoon restera connu sous le nom de «Rothschild indien».
On apprend que le cannabis fumé en France se transformait en or à Madras. (http://www.lepoint.fr/societe/fume-en-france-le-ca...dras-13-03-2014-1800975_23.php). Des sociétés à Hong Kong, Tanger, Bangkok ou Dubaï, des négociants en or à Anvers ou Madras, un chef de réseau discrètement installé près de Paris: les policiers ont démantelé un système "hors norme" de blanchiment de l'argent du cannabis en France. Pour le procureur de la République de Paris, François Molins, il s'agit d'un des réseaux les plus importants "jamais démantelés" en France, où le trafic de drogue représente un chiffre d'affaires annuel de 3 milliards d'euros. Ce groupe collectait à lui seul 170 millions d'euros, selon la propre comptabilité de ses animateurs, très soigneusement tenue. Dix personnes, des Indiens et des Français, ont été mises en examen (inculpées) après avoir été interpellées les 8 et 10 mars par la police judiciaire parisienne. Trois autres, dont un négociant en or d'Anvers, ont été cueillies en Belgique. Tous sont soupçonnés d'avoir été les maillons d'un système particulièrement rôdé entre le Maroc, l'Europe et l'Inde, aussi sophistiqué dans son architecture qu'artisanal dans ses méthodes. Mandaté par des trafiquants au Maroc, un "banquier", choisi après ce qui ressemblait à un appel d'offres, chargeait des "collecteurs" en France de rassembler l'argent du trafic. Parfois des petits délinquants, mais en général des personnes bien insérées dans la société, comme l'a relevé le procureur. Ces fonds étaient regroupés par de "grands collecteurs" avec des sommes parfois considérables à traiter, comme en témoigne le cas de ce gérant de société d'ambulances qui, dans son local professionnel, faisait tourner jour et nuit une machine à compter les billets. - De l'or dans le café - L'argent est alors remis à l'organisation dirigée par un Indien de 32 ans, installé en région parisienne, où il vivait en toute discrétion. Un profil bas qui contraste sans doute avec son patrimoine en Inde, où l'enquête devrait se poursuivre. En garde à vue, il a reconnu "avoir blanchi au moins 36 millions d'euros en espèces depuis 2010" et "fait transiter 200 kg d'or entre la Belgique et l'Inde", selon François Molins. L'argent liquide était acheminé par la route ou par le train vers la Belgique où il était pour partie converti en or. De l'or et des numéraires expédiés vers Dubaï par des mules, comme ces étudiants qui une fois effectué le périple vers les Emirats revenaient le lundi assister à leurs cours. Le transport se faisait par des moyens aussi simples qu'ingénieux. L'or pouvait ainsi être transformé en poudre mêlée à du café moulu. A Dubaï, l'argent liquide était transféré au Maroc tandis que l'or était envoyé en Inde, parfois sous forme de bijoux ramenés au pays par des Indiens, pour être vendu sur le marché de l'or. Le prix de revient était partagé entre les "blanchisseurs" français et indiens et les "banquiers" marocains. Les multiples sociétés appartenant au trentenaire indien permettaient au chef de réseau, par un système de fausses factures, de justifier le transport d'or. Autre chiffre éloquent sur l'ampleur du réseau, une des "mules" a expliqué aux enquêteurs "avoir fait transiter 25 millions d'euros en numéraire en moins d'un an".
Pour la troisième année consécutive, l’Afghanistan occupé par l’OTAN a battu tous les records en matière de culture de pavot à opium. Selon un rapport de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, sa production a augmenté à un point tel qu’on peut désormais voir des cultures se répandre dans des zones jusque-là vierges (http://www.resistance-politique.fr/article-les-eta...-en-afghanistan-122890263.html). En dépit de conditions météorologiques défavorables, en particulier dans les parties occidentale et méridionale du pays, les plantations d’opium ont occupé une surface de plus de 209.000 hectares, dépassant de près de 36 % les chiffres de l’année précédente. Officiellement la culture du pavot, bien connu pour les vertus psychotropes de ses sucs (principales composantes de l’héroïne), est interdite en Afghanistan, bien que le nombre de provinces où il est cultivé soit en constante augmentation. La production d’opium a ainsi atteint 5.500 tonnes, soit une hausse de 49 % par rapport à 2012. La propagande occidentale fait incomber les responsabilités aux talibans et aux membres du régime impliqués dans le commerce de la drogue, mais ces accusations ne coïncident pas vraiment avec la réalité du terrain. Le commandement de l’OTAN prétend que «les talibans s’opposaient initialement à la drogue, mais ils favorisent désormais sa culture et imposent une taxe aux paysans sur les produits récoltés». Les leaders des talibans affirment quant à eux que les moudjahidines mènent le djihad contre les occupants et que l’islam interdit strictement les drogues et l’alcool. Les fondamentalistes musulmans suivent cette règle à la lettre. En ce qui concerne les marionnettes occidentales telles Karzaï et son aréopage, il semble que ces accusations soient vérifiées. Un scandale éclata d’ailleurs en octobre 2013 à Kaboul quand, au cours d’une campagne d’inspections, soixante-cinq officiers de haut rang des services secrets se révélèrent être des héroïnomanes. Quelques années auparavant, il est apparu au grand jour que la CIA finançait Ahmed Wali Karzaï. Le frère cadet de l’actuel président Ahmed Karzaï a ainsi été huit années d’affilée un trafiquant d’opium de premier plan. Des journalistes soutiennent que le commerce de l’opium aux États-Unis et les événements d’Afghanistan sont étroitement liés. La CIA y aurait pris une place prépondérante. Selon le New-York Times, «l’argent (des services secrets, NDLR) aurait servi à financer les vastes réseaux clientélistes qui ont permis à M. Karzaï de consolider son pouvoir». Les liens de certains seigneurs de guerre et politiciens afghans achetés avec le trafic de drogue et les talibans permettent au quotidien de conclure que «les services secrets américains ont graissé la roue des mêmes réseaux que les diplomates américains et les diplomates essayaient, sans succès, de démanteler, et laissé le gouvernement entre les mains de forces qui s’apparentent à un syndicat du crime organisé». Dans un entretien au quotidien new-yorkais, de nombreux diplomates américains ont confié leur désarroi: «la principale source de corruption en Afghanistan, c’étaient les États-Unis». Si on en croit les media occidentaux, la famille de l’actuel président Karzaï et ses affidés sont les responsables de la large diffusion de l’héroïne à travers le monde. Pourtant, à peine 20 % des pavots sont cultivés dans le centre et le nord de l’Afghanistan, qui sont contrôlés par le gouvernement Karzaï. Le reste est cultivé dans les provinces du sud du pays ou dans celles proches de la frontière pakistanaise, sous contrôle des forces de l’OTAN. Le principal centre de production est le Helmand, qui était encore il y a peu sous la coupe britannique. Au lieu d’aider des agriculteurs à passer résolument à des cultures alternatives, les «pacifistes» occidentaux se contentent de palabrer sur le phénomène sans apporter de solutions tangibles. Pis, il leur arrive de participer de manière active aux trafics. Certains analystes attribuent cette situation au fait que les États-Unis cherchent à éviter un conflit potentiel avec les barons de la drogue, dont le soutien est important pour l’existence du gouvernement Karzaï. L’Oncle Sam semble cependant ignorer les liens étroits entre le trafic de stupéfiants, la montée de l’instabilité en Afghanistan et l’augmentation des activités de la résistance intérieure. En d’autres termes, tout porte à croire que Washington laisse les coudées franches aux narcotrafiquants en échange d’un soutien politique au gouvernement Karzaï, ce qui est une grave erreur car les objectifs officiels poursuivis (à savoir le retour à la paix et à le sécurité du pays) sont en train de s’éloigner à tire-d’aile. Des experts occidentaux comme Thomas Ruttig notent qu’avec le retrait imminent des forces de l’OTAN d’Afghanistan, la pression des autorités sur les producteurs de pavot s’est faite plus lâche. Le rapport des Nations Unies montrent ainsi qu’en 2013, ces mêmes autorités ont détruit 24 % de moins de plans de pavot par rapport à l’année précédente. Résultat: l’Afghanistan est solidement installé à la première place mondiale des producteurs d’opium avec pas moins de 90 % de la production totale. Alors que l’ONU avait observé il y a trois ans que le pavot était cultivé dans quatorze régions (sur trente-quatre que compte le pays), vingt régions en cultivaient au tout début de l’année 2014. De vastes plantations sont parallèlement réapparues dans les provinces septentrionales comme celles de Balkh et Faryab qui avaient pourtant déclaré publiquement avoir perdu leur statut de producteur d’opium. Ces provinces sont limitrophes de l’Ouzbékistan et du Turkménistan. Dans le même temps, un processus de militarisation des groupes liés au commerce de la drogue est en cours. Viktor Ivanov, chef du service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN), l’affirme sans ambages: «ces groupes armés sont consubstantiels de la recrudescence des activités des cartels dans le nord de l’Afghanistan. Ces groupes ont leurs propres unités de combat. Ils sont très bien armés et leur chiffre d’affaires annuel avoisine les dix-huit milliards de dollars. C’est la raison pour laquelle ces groupes influent de manière extrêmement importante sur la situation politique et économique en Asie centrale». L’Amérique a utilisé pendant des années l’arme de la drogue pour continuer sa guerre froide contre les États post soviétiques et détruire leur potentiel humain. À la veille du retrait d’Afghanistan des forces d’occupation de l’OTAN, les États-Unis continuent d’encourager par tous les moyens possibles la production d’opium. L’Oncle Sam inocule au passage le virus de la guerre en utilisant des groupes armés et des mafias qui se concentrent dans le ventre de l’ex-URSS après leur avoir préalablement fourni tout l’armement nécessaire. Mieux, il leur fournit aussi l’alibi de l’islam derrière lequel ils pourront se cacher.
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Avant, y'avait que les urnes qui se faisaient bourrer la gueule! |
Gérard Delhaye a une tête à faire peur, pas une tête de candidat aux municipales, mais plutôt celle d’un homme roué de coups, jeudi soir, par des agresseurs qui le connaissaient (http://www.lavoixdunord.fr/region/douai-un-elu-aub...e-passe-a-tabac-ia16b0n1974691). Gérard Delhaye est élu, adjoint aux affaires sociales du maire Freddy Kaczmarek, pas boxeur. Pourtant, à voir sa tête, on jurerait qu’il a été compté par l’arbitre sur un ring. Outre le pansement posé sur neuf points de suture qui lui barre le front, le sexagénaire a les deux yeux au beurre noir. Et la tête comme un compteur à gaz. Jeudi soir, rue Raymond-Mortreux à Auby, à deux pas de chez lui (il habite rue de Montluçon), l’homme a fait connaissance avec des apprentis boxeurs qui ne lui voulaient pas que du bien. Et qui, pour le moins, malgré l’heure tardive (21 heures), l’ont reconnu. «Je suppose qu’ils devaient me connaître car ils ont cité mon nom: Delhaye, bâtard, branleur d’élu», raconte l’élu sortant, candidat sur la liste «Unis pour Auby» conduite par le maire Freddy Kaczmarek. Faut-il y voir un rapport direct avec son mandat? Gérard Delhaye s’interdit toute conclusion hâtive. Tout juste se permet-il de dire qu’«ils doivent être de la cité» du Bon-Air. Ce soir-là, Gérard Delhaye, 68 ans, accompagné de son fils Arnaud, 45 ans, mettait des tracts électoraux de la liste «Unis pour Auby» dans les boîtes aux lettres. Gérard remontait la rue Raymond-Mortreux alors qu’Arnaud en faisait de même dans une artère parallèle, rue de Cérilly. «À un moment donné j’ai eu du mal à glisser le tract dans une boîte car il y avait énormément de publicités. Je me suis donc agenouillé afin de le glisser plus facilement», a-t-il expliqué à la police lors du dépôt de plainte. Mal lui en a pris. «En me relevant, j’ai senti une main sur mon épaule droite. Je me suis retourné. J’ai vu une silhouette. A priori deux individus. Il faisait sombre.» Les deux individus en question n’étaient pas venus à sa rencontre pour lui donner un coup de main dans sa distribution. «L’un d’eux m’a asséné un coup de poing dans le ventre. J’ai eu le souffle coupé.» Un autre direct l’atteint à la tête. Ensuite… «Je me suis évanoui. C’est mon fils qui m’a relevé. Un bon quart d’heure plus tard.» Entre-temps, Gérard Delhaye avait été traîné et abandonné par ses agresseurs dans des espaces verts. Au vu de la cicatrice de 12 centimètres et de sa figure amochée, le sexagénaire a reçu d’autres coups que ceux dont il a le souvenir. Dimanche, de retour chez lui après un passage aux urgences de la clinique Saint-Amé de Lambres-lez-Douai, Gérard Delhaye traînait sa peine. Effondré, atterré de se compter des ennemis lui qui cumule vingt années de mandat d’adjoint. Les messages de sympathie d’Aubygeois affluent. Son épouse les recense, et ses colistiers, à l’image de Jean-Luc Contart, actuel conseiller municipal, sont effarés. Le maire, Freddy Kaczmarek, lui a dit toute son estime, et lui a conseillé de tracté en matinée, alors que la racaille immigrée sommeille encore. Pour l'instant Gérard se repose, pour être en forme olympique le 23 mars, mais à savoir pour quelles épreuves: "L'altérophilie, le lancer de poids, le lancer de nains, ou la lutte? Ah si seulement Gérard avait été juif, sûr que Manuel aurait fait le déplacement pour nous rappeler que, quelquefois, les halls d'immeubles peuvent être aussi dangereux que les chambres à gaz. "Méfiez-vous, vous êtes suivis!"
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«Mais qui veut la peau de Roger Labite?» |
Dans un texte mis en ligne sur un site islamiste, des jihadistes dénoncent «les agressions de la France au Mali et en Centrafrique» et appellent leurs partisans à retracer le chemin de Merah (ancien indic de la DST) (http://www.liberation.fr/societe/2014/03/11/hollan...mort-par-des-jihadistes_986183). Le parquet de Paris a ouvert une enquête après la diffusion sur un site islamiste de menaces de mort contre le président François Hollande, en riposte à l’intervention française au Mali et en Centrafrique, a-t-on appris mardi de source judiciaire. L’enquête préliminaire est ouverte pour menaces de crime ou de délit en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs , a précisé la source judiciaire. Elle est confiée à la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la direction centrale de la police judiciaire. Selon son entourage, le président Hollande a estimé mardi que si de telles menaces ne constituaient pas une première, il fallait être «extrêmement vigilants». La France accusée de «nettoyage ethnique». Des jihadistes ont lancé des menaces de mort contre le président François Hollande en riposte à l’intervention française au Mali et en Centrafrique, dans un texte mis en ligne sur un site islamiste. «A nos loups solitaires en France, exécutez la tête de l’athéisme et de la criminalité. Terrorisez son maudit gouvernement, faites les exploser et faites leur vivre l’horreur», indique le document posté sur «La plateforme médiatique des Moujahidine», proche d’Al-Qaeda. «Ni Hollande, ni ses soldats ne connaîtront la paix en France à moins que les musulmans du Mali et de la Centrafrique ne la vivent concrètement chez eux», ajoutent les jihadistes, dans des termes similaires à ceux du fondateur d’Al-Qaeda Oussama ben Laden quand il s’était adressé à Israël et aux Etats-Unis après les attentats du 11 septembre 2011. Accusant la France de «mener et de soutenir le nettoyage ethnique et les croisades meurtrières contre les musulmans en Centrafrique», les jihadistes interpellent leurs partisans en France pour qu’ils «retracent le chemin de Mohamed Merah et déclenchent la guerre en France jusqu’à l’arrêt total de ses agressions au Mali et en Centrafrique». Mohamed Merah est un jihadiste d’origine algérienne, qui aurait, en période électorale, assassiné en mars 2012 trois militaires puis trois enfants et un enseignant juifs, dans le sud-ouest de la France. «Nous n’allons pas nous taire», promettent les auteurs du texte en menaçant de provoquer «des explosions et (de perpétrer) des assassinats» sur le territoire français. «Ce n’est pas la première fois». L'entourage de François Hollande fait savoir que «ce n’est pas la première fois qu’il y a des menaces». Selon l’entourage du Président, des menaces similaires ont déjà été formulées «au moment de l’intervention au Mali (lancée en janvier 2013, ndlr), et même avant, donc on avait été amenés à prendre des mesures de précaution». «Ce n’est pas parce qu’elles sont exprimées qu’elles sont nouvelles et c’est parfois quand elles ne sont pas exprimées qu’elles sont les plus dangereuses», a ajouté la même source. Et de poursuivre: «Ce n’est pas parce qu’il y a une communication faite par des groupes que nous y attachons plus de prix. Même quand il n’y a pas de communication, nous sommes extrêmement vigilants.» La France est intervenue l’an dernier en Centrafrique qui avait basculé dans le chaos après le renversement en mars 2013 du régime de François Bozizé par la coalition rebelle à dominante musulmane de la Séléka. Elle mène aussi au Mali une opération militaire, baptisée «Serval», déclenchée le 11 janvier 2013 pour mettre un terme à l’occupation du nord du pays par des groupes islamistes armés liés à Al-Qaeda qui menaçaient d’avancer vers le Sud et Bamako, la capitale. Notre conseil: "Evitez de vous balader en scooter à Paris, les pruneaux vont pas tarder à pleuvoir!"
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Ziziberthe entre la vie et la mort! |
A 67 ans, ce haut magistrat de la Cour de cassation est suspecté d'avoir manoeuvré au bénéfice de Nicolas Sarkozy et de son avocat Thierry Herzog. Hospitalisé le week-end dernier après une chute, le juge Azibert dément avoir tenté de mettre fin à ses jours (http://www.lexpress.fr/actualite/politique/sarkozy...trat-tres-en-cour_1499007.html). Au téléphone, dans les jours précédents, sa voix était encore celle d'un homme d'autorité, ébranlé mais combatif. Non, il ne commenterait pas "l'affaire", ni dans L'Express ni ailleurs. "Je passe le week-end à Bordeaux, confiait-il vendredi 7 mars au matin. A mon retour à Paris, mardi, je prendrai un avocat et je ferai des déclarations publiques. Rappelez-moi." Mais cet agenda a été chamboulé. Lundi matin, dans cette même ville de Bordeaux, où son épouse est juge, Gilbert Azibert était hospitalisé d'urgence. L'hypothèse d'une tentative de suicide, avancée par Le Point, était aussitôt démentie par la famille, qui évoque pour sa part une mauvaise chute. En privé comme à la ville, ce haut magistrat, premier avocat général à la Cour de cassation, traverse une passe bien difficile. Tout a commencé le mardi 4 mars, quand la police s'est présentée à l'heure du laitier pour des perquisitions dans ses différents domiciles, à Paris et à Bordeaux, ainsi qu'à la Cour de cassation. Ce jour-là, les enquêteurs interviennent dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour "violation du secret de l'instruction" et "trafic d'influence". Les juges d'instruction, qui disposent d'écoutes téléphoniques, cherchent à savoir si Gilbert Azibert a renseigné et/ou aidé Nicolas Sarkozy et son avocat, Me Thierry Herzog, à l'approche d'une décision importante de la Cour de cassation dans le dossier Bettencourt. En retour, pour ce supposé "service" - évoqué, semble-t-il, lors de conversations entre les protagonistes -, Azibert aurait espéré une intervention en faveur d'une nomination dorée à Monaco. Au coeur de la bourrasque. Perquisitions, violation du secret, trafic d'influence... Pareils affronts ne sont pas de ceux dont on se relève aisément. Même à 67 ans. Même avec un CV de surdoué de la chose judiciaire. Mais les amis de Gilbert Azibert le croient solide, taillé pour se battre. L'homme est ainsi constitué, assurent-ils, qu'il adore la bagarre et les rapports de force. Certains soutiennent même qu'il aime autant fomenter les complots que les déjouer. Son adrénaline? Tenir un rôle clef dans les dossiers gérés en "altitude", comprendre au sommet du pouvoir. Avec cette affaire, révélée par L'Express au lendemain des perquisitions, il se retrouve soudain au coeur de la bourrasque. Pour autant, ce n'est pas la première fois... Sa proximité avec la droite et son goût du pouvoir doublé d'un autoritarisme revendiqué ont souvent fait des étincelles. Substitut à Marseille (sa ville natale) au début de sa carrière, il est en conflit ouvert avec le très médiatique juge Pierre Michel, tué en octobre 1981 par des truands liés au trafic d'héroïne. Gilbert Azibert poursuit son parcours à Paris, comme substitut puis en tant que conseiller à la Cour de cassation, et enfin à la cour d'appel de Versailles. On le retrouve ensuite président du tribunal de Nîmes (Gard) puis directeur de l'administration pénitentiaire (DAP), une promotion obtenue sous le gouvernement d'Alain Juppé. "DAP, c'est la plus belle fonction que j'ai exercée", glisse-t-il à son entourage. Une confidence révélatrice de ses appétits: le DAP, c'est le personnage le plus puissant du ministère de la Justice, à la tête d'un véritable Etat dans l'Etat (190 prisons, 35000 agents, un budget colossal).
Avec Jacques Toubon comme garde des Sceaux, Gilbert Azibert réforme les services pénitentiaires d'insertion et de probation (Spip), lance le projet d'unités de vie familiale (UVF), permettant aux détenus de recevoir femme, maitresses et enfants en prison, quitte à s'attirer les foudres des syndicats de surveillants. Craint et respecté, il maîtrise une administration prompte à s'enflammer. D'un poste stratégique à un autre, ce fumeur de gauloises sans filtre est muté, en 1999, à la présidence de la chambre d'accusation de la cour d'appel de Paris. Et c'est là qu'il commence vraiment à faire du tapage. Au point d'y gagner l'aimable surnom d'"Annulator". Adulé par les avocats de la défense, il est honni des juges d'instruction. Étiqueté à jamais ennemi de la gauche. Sa spécialité : annuler les procédures en s'appuyant sur des imperfections. Ainsi, en 2001, une affaire fait grand bruit. Elle concerne Mohamed Benamara, un proche de Jean-Claude Bonnal, alias "le Chinois", un truand mis en cause dans le braquage d'un bureau de change (six morts, dont deux policiers). Quand Gilbert Azibert libère Benamara pour mettre fin à une détention provisoire jugée excessive, c'est le déchaînement. Des policiers manifestent contre le "laxisme des juges", Lionel Jospin, Premier ministre, pointe une "effroyable erreur d'appréciation", Daniel Vaillant, ministre de l'Intérieur, se dit "révolté". Et voici Azibert étiqueté à jamais ennemi de la gauche... Ironie de l'Histoire, la justice lui donne raison, quelques années plus tard, en acquittant Benamara. Le retour de la droite au gouvernement, en 2002, lui offre l'occasion d'une autre revanche. Il obtient la direction de l'Ecole nationale de la magistrature (ENM), à Bordeaux. Préférant le conflit à la diplomatie, il commence par "nettoyer" le corps des enseignants, trop à gauche à son goût. Ce virage à droite, que ses détracteurs perçoivent comme la volonté de casser une "fabrique de juges rouges", lui vaut bien des reproches. Le Canard enchaîné, Le Monde et Libération l'accusent d'avoir blacklisté des magistrats formateurs à l'ENM. Ce qu'il nie sans convaincre. Cet amateur de bonnes tables et de voitures avec chauffeur fait preuve aussi d'une grande susceptibilité. Le 1er avril 2004, un plaisantin de l'ENM envoie de son ordinateur un courriel potache: "Appelé à de nouvelles fonctions par le garde des Sceaux, je vous invite demain au pot de l'amitié." Ce poisson d'avril le rend ivre de colère. La police bordelaise, bien embarrassée, est convoquée à l'école. Il veut porter plainte, sanctionner le coupable. Il ne supporte pas que l'on rie de lui. Comme chef, Gilbert Azibert a deux visages. Souvent très sympathique avec son personnel, il est aussi capable de pousser des "gueulantes" devant les subordonnés qu'il déteste. Même s'il passe pour un bon vivant, il se décrit luimême comme un homme à poigne. En 2003, lorsqu'il invite à l'ENM Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, il tente de mater la contestation des élèves. En vain. Au moins commence-t-il à se faire bien voir du futur président. La rumeur tenace de son appartenance maçonnique. Arrive ensuite l'apothéose. En 2008, Gilbert Azibert est imposé comme secrétaire général de la chancellerie par Patrick Ouart, le très influent "conseiller justice" de l'Elysée. La garde des Sceaux, Rachida Dati, aurait préféré une femme. Mais ainsi en a décidé le "Château", un terme qu'Azibert affectionne, paraît-il, particulièrement. Cette nomination, il en rougit de plaisir. Et tant pis si la plupart de ses collègues affirment qu'il a bénéficié de son puissant réseau franc-maçon. Lui-même nie être membre d'une quelconque obédience, tout en admettant avoir beaucoup d'amis initiés. La rumeur de son appartenance maçonnique est si tenace qu'il reçoit Place Vendôme, des courriers bien naïfs : "Cher frère, merci de m'aider à obtenir une promotion...". Finalement, Rachida Dati et lui s'entendent à merveille. La garde des Sceaux sait pourtant que son secrétaire général est un homme de Patrick Ouart, son ennemi intime. Azibert ne veut aucun ennui avec sa "patronne" et tient pardessus tout à son poste. Ensemble, ils réforment sans anicroches la carte judiciaire. De son côté, il continue d'être associé aux décisions importantes, notamment aux principales nominations, tranchées au Château et nulle part ailleurs. Pour lui, c'est l'époque dorée, un sommet dans son parcours. A l'Elysée, on se gausse de sa relation idyllique avec Dati, de leur rapport quasi filial, de leur goût commun pour le "bling-bling", de sa sensibilité au charme féminin. Plus dure sera la suite de l'aventure... En juin 2009, Michèle Alliot-Marie prend le relais de Rachida Dati Place Vendôme. D'emblée, le courant ne passe pas du tout avec ce collaborateur qu'elle juge inadapté à la fonction de secrétaire général. Comme l'Elysée ne le soutient plus, Gilbert Azibert cherche à obtenir en compensation un poste prestigieux. Peine perdue: MAM refuse. En 2010, il est recasé comme l'un des premiers avocats généraux à la Cour de cassation, dans une chambre civile. Petit lot de consolation pour ce collectionneur de médailles, il devient commandeur dans l'ordre du Mérite, alors qu'il est déjà officier de la Légion d'honneur. En 2011, il rêve de remplacer Jean-Louis Nadal comme procureur général de la Cour de cassation, le plus haut gradé des parquetiers de France. Mais c'est un nouvel échec: Patrick Ouart lui préfère Jean-Claude Marin. Dans son placard doré, désespérément calme, Gilbert Azibert semble s'ennuyer. Cherche-t-il pour autant à renseigner son vieil ami Thierry Herzog et Nicolas Sarkozy sur l'évolution du dossier Bettencourt? Espère-t-il ainsi que l'ancien président l'aidera à décrocher un dernier poste à Monaco? Le voici au banc des accusés, face à des magistrats, les juges d'instruction, dont il prône la suppression depuis plus de vingt ans. Même s'il assure à son entourage que ces accusations se dégonfleront, l'histoire plombe sa fin de parcours et le mine peut-être plus qu'il ne le laisse paraître. Lui qu'attendait un retour d'ascenseur, il fait une chute dans l'escalier! Triste fin. Y'a des jours où l'on ferait mieux d'être PD.
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Des juifs planquent peut-être dans votre voisinage, renseignez-vous! |
Sur le site de Dov Hikind, député de l'Etat de New York à l’initiative de ce projet, on peut lire en lettres capitales blanches sur fond rouge: «Les Nazis vivent librement parmi nous» (http://www.slate.fr/monde/84283/campagne-chasser-nazis-etats-unis). En juin 2013, nous avions relayé sur Slate une information du New York Mag, affirmant en effet qu'«il pourrait rester des centaines de nazis aux Etats-Unis». Dov Hikind est élu dans un district qui compte une majorité de juifs orthodoxes. Lui-même fils de rescapés de la $hoah (et un de plus!), il milite depuis plusieurs années pour que les nazis qui vivent encore aux Etats-Unis soient jugés et expulsés. Sur son site, il s’exprime: «C’est inacceptable. Je suis certain que les gens honnêtes, quelle que soit leur nationalité, penseraient eux aussi que c’est inacceptable, s’ils étaient au courant de cela. Je tente donc d’attirer l’attention de tout le monde sur cette situation répréhensible. Les gens honnêtes ne veulent pas d’un nazi comme voisin.» Dans ses discours, il fait notamment référence à Jakiw Palij, ancien nazi originaire de Pologne, dont parlait le Huffington Post en novembre 2013. Dix ans auparavant, le Département de la Justice révélait que cet homme, aujourd’hui âgé de 92 ans et originaire de Pologne, avait été gardien d'un camp nazi. Palij dément avoir «porté l’uniforme SS» et a toujours prétendu avoir été «enrôlé de force dans l’armée allemande». Pas de quoi attendrir Dov Hikind, qui s’indignait fin 2013: «Il vit en Amérique, il profite de l’Amérique, alors qu’il a ôté la vie de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants». En parallèle de sa campagne «publicitaire», le député a lancé une pétition à signer en ligne sur change.org. Mais les affaires controversées dans lesquelles a trempé Hunkind semblent le discréditer. TV Mix nous rafraîchit la mémoire: «Il a cherché à créer la polémique ces dernières années en défendant le profilage racial des individus d’“apparence” musulmane, et a voté contre une loi autorisant le mariage gay, clamant que si elle passait, cette mesure pouvait conduire à accepter l’inceste.» Le site évoque également une affaire de détournement de fonds dans lequel Hikind serait impliqué. Le député avait en outre fait scandale en février 2013, en débarquant à la fête juive de Pougrim grimé en noir (le blackface). Il avait alors été vivement critiqué de toutes parts. Enfin, son implication dans le groupe terroriste de la Ligue de défense juive dans les années 1970 l’a souvent desservi, en témoigne le titre de The Nation en février 2013. Quoi qu’il en soit, Dov Hikind poursuit sa lutte contre les nazis: «Il n’est jamais trop tard pour obtenir justice pour les victimes de la $hoah». Ce sont à peu près les mêmes mots qu'utilisait une campagne semblable dont Slate vous parlait en juin 2013, l’«Opération Last Chance II». Des affiches indiquant «Tard, mais pas trop tard» avaient été placardées en Allemagne, dans les rues de Berlin, Hambourg et Cologne, dans le but de retrouver d’anciens nazis, et de les punir.
On a aussi appris la mort d'Alain Resnais à l'âge de 91 ans, il avait réalisé en 1955 Nuit et Brouillard, premier documentaire de ce type réalisé sur les camps nazis, dont le ton met en lumière l'effrayante banalité de ces lieux de mort (http://www.lepoint.fr/cinema/resnais-nuit-et-broui...mort-02-03-2014-1797009_35.php). Issu d'une commande à l'occasion du 10 ème anniversaire de la libération des camps de concentration, ce film de 32 minutes, mêlant images d'archives en noir et blanc et séquences en couleurs tournées sur place, reste une référence. Il montre des arrestations, les convois, les monceaux de cheveux, de valises, de vêtements stockés à Auschwitz, les fours crématoires, les baraquements, et aussi les survivants hagards et les morts entassés. Le commentaire, écrit par Jean Cayrol, lui-même rescapé des camps, est lu par Michel Bouquet. "Toute la force du film réside dans le ton adopté par les auteurs: une douceur terrifiante. On sort de là ravagé, confus et pas très content de soi", a écrit François Truffaut, alors critique aux Cahiers du cinéma. Les historiens actuels notent toutefois qu'en 1950 on parlait des déportés dans leur ensemble sans insister sur les critères raciaux. Ils rappellent qu'à l'époque, le souvenir de la déportation était porté par les associations de déportés politiques bien plus que par les rescapés juifs. En dépit de sa sobriété, le film n'a pas échappé à la censure: il n'a obtenu son visa d'exploitation qu'après le maquillage d'une photo montrant un policier français convoyant des familles dans le camp de transit de Pithiviers. Autre mésaventure, le film avait été sélectionné pour représenter la France au Festival de Cannes en 1955, mais il a finalement été montré hors compétition à la suite de protestations de la RFA pour ne pas nuire à la réconciliation entre les deux pays. Nuit et Brouillard, en allemand "Nacht und Nebel", est le titre du décret du 7 décembre 1941, signé par le maréchal Wilhelm Keitel, ordonnant la déportation pour tous les ennemis ou opposants au Reich. Le titre du décret était lui-même une référence à un personnage de Wagner qui se change en fumée et disparaît en chantant "nuit et brouillard, je disparais". Heureusement qu'il nous reste encore Faurisson pour le prochain festival de Cannes avec Derrick dans le rôle principal.
En parlant de Robert, on ne peut que vous conseiller la lecture de Préface au volume VII d’Écrits révisionnistes (2008-2010) (http://robertfaurisson.blogspot.ro/2013/10/la-victoire-du-revisionnisme-sur-le.html). Les quatre premiers volumes de mes Écrits révisionnistes (1974-1998), publiés, pour la première édition, en 1999 ont connu en 2004 une seconde édition de 2 082 pages. Le cinquième volume (1999-2004), paru en 2009, contenait 522 pages. Le sixième volume (2005-2007), paru en 2011, comprenait 383 pages. Ce septième volume (2008-2010), publié en 2013, contient 375 pages. Soit, pour le moment, un total de 3 362 pages. Le huitième volume (2011-2013) devrait paraître en 2015. Les commandes sont à adresser aux Éditions Akribeia, 45/3, route de Vourles, 69230 Saint-Genis-Laval (site Internet: www.akribeia.fr). Peuvent également se commander à la même adresse une dizaine d’ouvrages ou opuscules d’inspiration révisionniste (en littérature ou en histoire) que j’ai fait paraître de 1961 à 2007 sans compter nombre d’ouvrages d’auteurs français ou étrangers qui ont leur place dans une bibliothèque révisionniste. C’est grâce à Jean Plantin, responsable d’Akribeia, à son énergie, à son courage dans l’épreuve que ce tour de force a été réalisé. Saura-t-on jamais lui en être assez reconnaissant? À près de 85 ans, à l’heure où la Parque noire (l’inflexible Atropos) me gratte le fil, je m’interroge encore sur la raison pour laquelle, né en 1929, j’ai décidé vers 1974, à l’âge de 45 ans et après bien des années de recherches, surtout au Centre de documentation juive contemporaine de Paris (CDJC), de sacrifier le reste de mon existence au profit d’une aventure intellectuelle qui, je dois en faire l’aveu, relevait d’une forme de donquichottisme. Dès le premier instant de mon combat en faveur de la cause du révisionnisme historique, j’ai eu conscience de la faiblesse de mes moyens et j’ai pensé que, de mon vivant, jamais je ne verrais le triomphe d’une si vaste entreprise. Mais qu’en serait-il plus tard? J’ai d’abord longtemps douté des chances que pouvait avoir notre cause d’atteindre le grand public, même après ma mort, quand un jour, en 1995, aux États-Unis, constatant sur place la prodigieuse expansion d’Internet, j’ai par la suite, peu à peu, acquis la certitude que plus rien ne pourrait arrêter le cours du révisionnisme. Les révisionnistes n’étant pas des prévisionnistes, surtout à long terme, je ne saurais dire quand, au XXIe siècle, notre cause aura gagné la partie mais inéluctablement l’heureux événement se produira, non toutefois sous la forme spectaculaire d’une soudaine apocalypse. La révélation se fera graduellement de la même façon que, soudain, un beau jour, on finit par découvrir qu’une croyance générale et de nature religieuse, comme, par exemple, celle du communisme stalinien, au fond, tout bonnement, vient de «faire son temps». Il en va parfois des mouvements de l’histoire comme des cycles biologiques. Proust a su décrire ces longs sommeils, ces cauchemars persistants, qui se prolongent au-delà du réveil et qui continuent de nous tromper jusqu’au moment où, de manière progressive, il nous est enfin donné de constater notre retour à la lumière, à la conscience, à la vie, à la vérité physique des êtres et des choses. Le révisionnisme: son vrai sens, sa consolidation. Les trois années qui vont de janvier 2008 à décembre 2010 témoignent de la montée en force et de la consolidation, en France comme ailleurs, du révisionnisme, un phénomène que, pour le dénigrer, ses adversaires appellent le «négationnisme». Ce néologisme ou ce barbarisme prétend stigmatiser le refus de l’évidence. Or, dans leur matérialisme, pour ne pas dire leur positivisme, les révisionnistes acceptent pourtant tout ce qui est de l’ordre de l’évidence (un fait, un document, une photographie, un film, un témoignage) mais ils se font aussi une obligation de n’accepter de croire à cette évidence que sous bénéfice d’inventaire. Après avoir vu, lu ou entendu, ils s’astreignent à revoir, à relire et, quand c’est possible, à réentendre. Ils pèsent ou soupèsent. Ils examinent ou scrutent. Il est bien connu qu’en temps de guerre la première victime à succomber sera la vérité; aussi, quand il se voit demander de croire en une «évidence» qui est en rapport avec une guerre, le révisionniste redouble-t-il, dans son enquête, de prudence et de lenteur. En outre, les images d’atrocités «nazies» de la Seconde Guerre mondiale, assorties de commentaires haineux, surtout quand ces atrocités sont mises sur le compte d’un vaincu qui se retrouve à la merci de son vainqueur, exigent de la part de l’historien un redoublement d’attention, de prudence et de lenteur. Le révisionniste ne croit pas en la justice du plus fort telle qu’elle s’est exprimée, par exemple, à l’occasion du «procès de Nuremberg» (1945-1946) ou de mille autres procès de même calibre où les vainqueurs jugent le vaincu sans lui accorder, sinon en apparence, le droit de se défendre. En droit, le «procès de Nuremberg» (1945-1946) – à proprement parler le «procès-spectacle de Nuremberg» – est une «voie de fait» comparable, toutes proportions gardées, au «traité de Versailles» (1919), lequel, pour sa part, devrait être appelé le «diktat de Versailles». Comme j’ai eu l’occasion de l’écrire, le vainqueur est toujours un bon boucher et le vaincu, un moins bon boucher; à la fin d’une guerre, le vainqueur peut, au vaincu, administrer des leçons de boucherie mais il ne saurait lui infliger des leçons de droit, de justice ou de vertu. Quand les Américains tuent et mentent.
Le «procès de Nuremberg» a été, pour l’essentiel, une opération américaine. Le film qu’en lever de rideau les Américains ont présenté dès le 29 novembre 1945 sous le titre de Nazi Concentration Camps n’a été que l’une des plus audacieuses impostures que l’Histoire ait jamais connues. Encore aujourd’hui, soixante-huit ans plus tard, des millions d’enfants auxquels on prétend enseigner l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ingurgitent de force le poison instillé par les auteurs de ce film. J’ai suffisamment traité de ce sujet pour n’y pas revenir ici [1]. Cela dit, la prouesse de Truman et d’Eisenhower dans le lancement officiel de ce mensonge aux proportions hollywoodiennes mérite qu’on la salue au passage. Pas un pays au monde, y compris l’Union soviétique, alors alliée des États-Unis, n’est parvenu avec un succès aussi durable au renversement de la vérité vérifiable sur le compte de l’Allemagne vaincue. Pour commencer, tout au long d’une bonne partie du XXe siècle et au début de ce XXIe siècle, les États-Unis d’Amérique auront été, sur le chapitre des horreurs et des atrocités de la guerre, les champions du monde en presque tous les points du globe et par tous les procédés imaginables. Ce n’est pas que le peuple américain soit plus inhumain que tout autre peuple. Pour être juste, c’est sa puissance économique, bancaire, industrielle et scientifique qui lui a permis de tuer et de mutiler plus d’hommes, de femmes et d’enfants que toute autre nation au monde. Sa force, également remarquable, dans le maniement de la propagande, du cinéma, des moyens modernes de communication lui a en grande partie permis de donner au caractère exceptionnellement inhumain de ses propres actions guerrières l’apparence d’une guerre pour les droits de l’homme. Comme bien d’autres, les Américains claironnent que, s’ils font la guerre, c’est pour la paix. Cependant, chez eux, où tout s’automatise si vite, il s’agit, comme on peut le constater, d’une guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle. La bouche en cœur – mais cette bouche est celle de la Gorgone –, ils nous font valoir que pas un peuple ne serait plus aimant que le leur. «We are good!» (Nous sommes bons!), «We love you!» (Nous vous aimons!) ou «God is love» (Dieu est Amour!): c’est le thème du discours qu’ils nous tiennent en préambule avant d’ajouter: «Do love us!» (Aimez-nous bien!). Sous-entendu: si vous êtes durs au point de fermer vos cœurs à nos décisions, vous le paierez, selon les cas, du boycott de votre pays, de l’embargo, de la famine, de l’excommunication humanitaire ou encore, si nécessaire, nous nous ferons comprendre à la bombe, au napalm, à l’agent orange, à l’uranium appauvri, aux missiles lancés de nos drones et, le cas échéant, à la bombe atomique. En outre, c’est, la Bible à la main ou dans le cœur, que nous vous châtierons pour l’amour de Dieu ou, plutôt, de Yahweh. Car, s’il est un pays au monde où le Dieu vétéro-testamentaire de haine et de vengeance, incapable de clémence, garde encore une bonne part de son crédit, c’est l’Amérique. L’agent de transmission du mal y est la religion de «l’Holocauste», dont la jeunesse du pays est imprégnée. Pas un peuple aujourd’hui n’est plus dangereux que le peuple américain en la personne de ses dirigeants. S’il lui arrive en telle circonstance de renoncer à telle aventure guerrière, ce n’est que partie remise; tôt ou tard, il reviendra à sa «mission», à sa «croisade» messianique. Le révisionnisme prémunit contre le mensonge et la guerre. Le révisionnisme historique, lui, est salutaire: il tend à prémunir contre la haine et le mensonge, contre la guerre et les guerres. Non sans l’accent de la gouaille, Louis-Ferdinand Céline en a fait la remarque: le bien comme le mal se paie tôt ou tard et «le bien, c’est beaucoup plus cher, forcément». Il nous rappelle par là que de remarquables bienfaiteurs de l’humanité ont cher payé le bien qu’ils ont fait à l’homme. Il faut voir à quel point, des siècles durant, on a cruellement traité les novateurs et tous ceux qui, ne se contentant pas de «chercher», ont eu le malheur de «trouver» et de révéler au grand public combien celui-ci était abusé par les apparences. Céline, pour sa part, songeait en particulier à Harvey, à Galilée ou à Philippe-Ignace Semmelweis, ce médecin hongrois (1818-1865), peut-être juif, qui allait, pour son malheur, découvrir les causes de la fièvre puerpérale (à force de persécutions exercées par les sommités médicales et les esprits forts de son temps, il aurait, selon certains de ses biographes, mis fin à ses jours). Parce qu’ils font le bien, tout en s’attirant l’hostilité des puissants, les révisionnistes sont condamnés à le payer cher. Sitôt après avoir lu Le Mensonge d’Ulysse de Paul Rassinier [2], Céline a compris que l’auteur allait lourdement payer son donquichottisme et la générosité de son entreprise révisionniste ; il suffit à ce propos de lire la lettre qu’il adresse le 8 novembre 1950 à Albert Paraz [3]. Il faudra rendre justice au révisionnisme. Le jour viendra où les nouvelles générations rendront justice aux révisionnistes. Le flot des ordures déversées sur P. Rassinier et ses successeurs, la répression qui s’exerce à leur encontre, le conformisme et la couardise dont font preuve devant cette répression les autorités politiques, religieuses, judiciaires et universitaires de notre temps susciteront alors l’incompréhension ou l’indignation. Cette forme de tyrannie exercée contre les révisionnistes ne sera pas plus admise qu’on n’admet aujourd’hui, chez bien des Occidentaux, la tyrannie judéo-sioniste en terre de Palestine. Voilà soixante-huit ans depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale que, jusqu’aux jeunes enfants du monde occidental, on ose imposer comme une vérité d’évidence la Sainte Trinité du prétendu «Holocauste» des juifs. Selon nos religionnaires, 1) pendant la Seconde Guerre mondiale un ordre aurait été donné par les plus hautes instances allemandes, et transmis par leur bureaucratie, de tuer tous les juifs, et un vaste programme de tuerie systématique aurait été ainsi établi et exécuté; 2) l’arme spécifique de ce crime spécifique et sans précédent aurait été la chambre à gaz homicide; 3) le total des victimes juives aurait atteint soit six millions soit, à tout le moins, plusieurs millions. Le scandale réside dans le fait qu’au bout de soixante-huit ans on reste encore incapable de fournir une seule preuve à l’appui de cette triple accusation. Les révisionnistes, de leur côté, ont accumulé victoires sur victoires et preuves sur preuves de ce que leurs adversaires ont triché [4]. S’il fallait aujourd’hui prendre exemple sur ces magistrats français qui, appartenant à un syndicat de gauche, ont récemment affiché, dans leur local privé, sur un «Mur des cons», des photographies de personnalités leur ayant déplu, les révisionnistes, eux, pourraient un jour, afficher une interminable «Liste des imposteurs» à la manière d’Élie Wiesel, de Simon Wiesenthal, de Claude Lanzmann, du père Patrick Desbois et d’une foule de trompeurs et de trompeuses en tout genre. Peut-être le jour viendra-t-il où une encyclopédie en ligne nous fournira une liste exhaustive de ces gens avec le rappel, références à l’appui, de leurs mensonges, de leurs calomnies et de leurs violences ainsi que des crimes légaux ou illégaux qu’ils ont commis contre les révisionnistes. Déjà, chez les historiens, la chambre à gaz nazie se fait de plus en plus rare.
Le dogme de la Trinité holocaustique continue de s’imposer à une grande partie du monde mais il trouve de moins en moins d’historiens pour le soutenir et pour argumenter en sa faveur. Telle est la leçon que le lecteur attentif peut tirer des récents ouvrages – d’apparence historique ou scientifique – de la bibliographie holocaustique. Je suis frappé par la raréfaction, depuis quelques années chez ces historiens, de mots tels que «chambre à gaz», «gazer», «gazages». Manifestement ils perdent foi en « la magique chambre à gaz ». On la mentionne parfois encore, cette arme de destruction massive, mais à la va-vite. On ne s’y attarde plus. On marmonne encore ces mots mais comme dans les formules rituelles du moulin à prières. Dans l’avant-dernier programme trimestriel du Mémorial de la Shoah de Paris (avril-août 2013, 60 pages) on ne rencontrait pas même une seule fois les mots de la famille de «chambre à gaz», «gazage », «gazer»; dans la version en ligne, à la recherche automatique du mot «gaz» et de ses dérivés, la réponse était: «introuvable». Dans la dernière livraison du même programme (septembre-décembre 2013, 52 pages) on ne relève qu’une fois ce mot, sous la forme «gazés» (p. 25), et cela à propos d’un gazage qui, comme l’a établi dès le 1er décembre 1944 une expertise du professeur René Fabre, n’a jamais pu avoir lieu [5]. À la date, mémorable entre toutes, du 27 décembre 2009, «le dernier des Mohicans», parmi les historiens et chercheurs, à vouloir prouver l’existence de «l’Holocauste», a fini par capituler. À cette date, en effet, le professeur Robert Jan van Pelt [6], juif néerlandais établi au Canada, qui avait voué toute une partie de sa vie à la sauvegarde du mythe d’Auschwitz, centre mondial de l’extermination des juifs, a fini par rendre les armes ; il a écrit qu’au lieu de dépenser pour la conservation d’Auschwitz tant d’efforts et d’argent, on ferait mieux de laisser la nature y reprendre ses droits car, tout bien réfléchi, 99 % de ce que «nous savons» sur ce camp (ses chambres à gaz, etc.) ne trouve pas sa preuve sur le terrain [7]. Le grand public, lui, a évidemment été tenu dans l’ignorance de cette capitulation. Au contraire, plus que jamais on invite le monde entier et surtout la jeunesse à venir voir sur place, à Auschwitz, les prétendues preuves, rassemblées sous la forme d’entrepôts de reliques: à défaut de fournir des preuves matérielles on y fait parler des chaussures, des brosses à dents, des cheveux qui n’étaient en réalité que de purs objets de «récupération» ou de «recyclage» en temps de guerre (les cheveux, en particulier, pour l’industrie textile). Dès 1992, apprenant qu’allait s’ouvrir à Washington un gigantesque bunker-musée de «l’Holocauste», j’avais publiquement annoncé que j’attendais de voir comment on allait nous y représenter sous une forme physique le mécanisme nécessaire au fonctionnement d’une chambre à gaz conçue pour mettre à mort, jour après jour, nuit après nuit, des foules de détenus à Auschwitz. Or, en 1993, à l’ouverture officielle de l’énorme musée, il se révélait que mon défi n’avait pu être relevé [8]. Au lieu d’une chambre à gaz homicide dans son intégralité on nous offrait en guise de consolation le fac-similé de la porte de ce qui, en fait, n’avait été qu’une simple chambre à gaz d’épouillage du camp de... Majdanek. Il est vrai qu’en outre une maquette artistique était censée nous représenter un amoncellement de cadavres dans une pièce du crématoire II ou III d’Auschwitz-Birkenau mais cette pièce était dépourvue de tout dispositif, mécanique ou autre, soit pour la mise à mort des victimes, soit pour la surpuissante ventilation du lieu afin qu’après le gazage un personnel chargé de manipuler, d’enlever et de transporter des milliers de cadavres puisse le faire sans risque d’empoisonnement instantané. Supposée être une «chambre à gaz nazie», elle n’était en réalité qu’un inoffensif dépositoire semi-enterré (Leichenkeller), désigné comme tel sur les plans de construction que j’avais découverts le 19 mars 1976 dans les archives du musée d’État d’Auschwitz-Birkenau [9] et qui, jusque-là, avait été soigneusement cachés. Cependant ladite maquette était d’une pauvreté, d’un schématisme et d’une abstraction si affligeants que, dans le livre-guide du musée (212 pages), seuls de vagues fragments, quasi immatériels, en avaient été reproduits. Le 24 août 1994, lors d’un entretien dans son bureau directorial, le rabbin Michael Berenbaum, à qui j’avais posé la question de savoir pourquoi mon défi n’avait pas été relevé, m’avait répondu avec un beau sang-froid que, si son musée n’abritait pas de représentation d’une chambre à gaz nazie, c’est que la décision avait été prise de ne pas y représenter une telle chambre à gaz! Il me faisait cette réponse en la présence de quatre témoins: deux Américains qui m’accompagnaient et deux hauts administrateurs du musée convoqués pour la circonstance. Sagement assis sur un sofa, ces deux derniers hommes, consternés, allaient assister à la pitoyable prestation de leur responsable scientifique, le rabbin Berenbaum, aux prises avec un révisionniste bien décidé à ne s’en pas laisser conter. Nul doute, en tout cas, que, face à la raréfaction depuis quelques années des «chambres à gaz nazies» dans les ouvrages historiques, des personnages comme Élie Wiesel et Claude Lanzmann ont dû pousser un soupir de soulagement. Les historiens paraissent avoir enfin entendu les admonestations que ces belles consciences, alarmées par les progrès du révisionnisme, lançaient au début des années quatre-vingt-dix. Ils semblent avoir compris que mieux vaut porter son attention ailleurs que sur «la chambre à gaz nazie». É. Wiesel, pour sa part, a écrit: «Les chambres à gaz, il vaut mieux qu’elles restent fermées au regard indiscret. Et à l’imagination» (Tous les fleuves vont à la mer. Mémoires, Le Seuil, Paris, 1994, p. 97). C. Lanzmann, lui, a écrit: «Si j’avais trouvé [un film nazi montrant un gazage de juifs à Auschwitz], non seulement je ne l’aurais pas montré, mais je l’aurais détruit. Je ne suis pas capable de dire pourquoi. Cela va de soi» («Holocauste, la représentation impossible», Le Monde, 3 mars 1994 [10]). «Porter son attention ailleurs que sur la chambre à gaz nazie», soit! Mais où exactement? Il ne reste à ces historiens que deux directions de recherche: 1) celle d’un ordre d’exterminer les juifs (à trouver, si possible, dans les documents des Einsatzgruppen ou «groupes d’intervention»), 2) celle de la réalité du chiffre de six millions de juifs (ou un chiffre approchant). Or, dans l’un et l’autre cas, ils ont fait chou blanc comme pour «la chambre à gaz nazie». Répétons-le: les juges-accusateurs de l’Allemagne nationale-socialiste ont échoué sur toute la ligne. Ils ont appris à leurs dépens qu’on ne saurait découvrir dans le noir un chat de couleur noire, surtout quand ledit chat ne s’y trouve pas. La suite sur le lien donné plus haut. Naturellement, tout ceci est de la fiction. Nous, on ne croit pas à la $hoah pour des raisons historiques, mais pour des raisons pénales.
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Les armes ont parlé, ce serait donc trop tard pour aller voter! Ah bon? |
On s'y perd un peu avec la propagande du «bon gros juif», on ne sait plus si un coup d’État est plus démocratique que des élections libres, ou l'inverse. Ça dépend sans doute des latitudes, de l'humidité et de l'heure des marées. Le président des États-Unis Barack Obama a prévenu jeudi 6 Mars 2014 que l'organisation d'un référendum sur le rattachement de la Crimée à la Russie violerait le droit international (http://www.lepoint.fr/monde/ukraine-obama-critique...imee-06-03-2014-1798403_24.php). "Le référendum proposé sur l'avenir de la Crimée violerait la Constitution ukrainienne et le droit international. Toute discussion sur l'avenir de l'Ukraine doit inclure le gouvernement légitime" du pays, a affirmé Barack Obama lors d'une brève intervention à la Maison-Blanche. Le Parlement local de Crimée, dominé par des pro-russes, a demandé jeudi à Vladimir Poutine le rattachement de la péninsule ukrainienne à la Russie et annoncé l'organisation d'un référendum le 16 mars pour le valider. "En 2014, l'époque où les frontières pouvaient être redéfinies en méprisant les dirigeants démocratiquement élus est bien révolue", a assuré le président américain, dont le gouvernement a annoncé jeudi matin la mise en place de restrictions de visas en réponse à "la violation en cours par la Russie de l'intégrité territoriale de l'Ukraine" et ouvert la voie à de possibles gels d'avoirs. "Pendant que nous prenons ces mesures, je veux dire clairement qu'il existe aussi une façon de résoudre cette crise en respectant les intérêts de la fédération de Russie et des Ukrainiens", a ajouté Barack Obama. "Que des observateurs internationaux puissent aller partout en Ukraine, dont en Crimée, pour assurer que les droits de tous les Ukrainiens, dont les russophones, sont respectés. Que des consultations démarrent entre les gouvernements ukrainien et russe", a-t-il lancé. Preuve que quelque fois, la voix du peuple fait peur!
Alors que Vladimir Poutine a livré hier son interprétation de la situation lors d’une conférence de presse, le lobby cosmopolite prépare sa réponse depuis les capitales européennes (http://breizatao.com/2014/03/05/ukraine-la-cia-et-...cosmopolite-prepare-la-riposte). Pour Moscou la situation est très claire: le 22 février dernier un coup d’état a renversé le président ukrainien élu, Victor Ianoukovitch, et lui a fait succéder un pseudo-gouvernement issu des cercles pro-américains du pays. Appuyés par des ultra-nationalistes, le nouveau régime, qui bénéficierait du soutien d’une seule moitié du pays, s’est lancé dans une mise au pas de la partie russophone: interdiction des partis jugés russophiles, prison pour les personnes détentrices d’un passeport russe, interdiction de la langue russe et des médias russophones. Enfin, se livrant à des actes d’épuration incontrôlés, les radicaux ont pavé la voie aux oligarques de la juive Tymochenko qui tentent désormais d’imposer leur main mise à l’Ouest comme à l’Est du pays. Tout ceci, selon Vladimir Poutine, légitime pleinement l’intervention russe, pour “garantir” la sécurité des populations d’Ukraine et garantir l’intégrité des institutions en exigeant le retour à l’accord international du 21 février signé par toutes les parties, sous le regard des diplomates européens. Les provocations de la juive Tymochenko. Réagissant sans tarder à cette conférence de presse sur la chaîne américaine CNN, Ioulia Tymochenko a déclaré qu’une telle exigence, c’est-à-dire la demande par la partie russe du respect de l’accord de sortie de crise du 21 février et donc la fin du putsch à Kiev, était “intolérable pour l’Ukraine”. Et à tout le moins pour elle et ses complices. Elle en appelait en conséquence aux USA pour qu’ils emploient les “moyens les plus forts” afin de faire plier Moscou, ne dissimulant qu’à peine son envie de voir l’Amérique et l’Otan offrir une aide militaire au nouveau régime. Tymochenko exposait sans détour sa volonté de mettre un terme au plus tôt la présence russe en Crimée, y compris celle de la base navale où stationne la flotte de la Mer Noire. La Russie garante du droit. Face à la clique juive de Kiev soutenue par des idiots utiles prétendument nationalistes, la Russie se situe résolument du côté du respect des institutions ukrainiennes. Moscou ne veut pas valider un coup d’état qui ruinerait l’autorité de l’état ukrainien, créant ainsi un précédent. Elle ne peut pas non plus accepter que la moitié russophile du pays soit écartée des décisions. Elle ne peut pas davantage admettre que la Crimée, terre russe historique et base stratégique, soit menacée par un régime pro-US visant l’intégration à l’Otan. Car derrière le régime de Kiev, ce sont bien les stratèges de la CIA et du Département d’Etat américain, aidé par quelques gouvernements européens, qui sont à l’œuvre sous l’égide de la juive Victoria Nuland. Vladimir Poutine au demeurant est déterminé et confiant et l’a démontré lors de sa conférence. Il a en outre sèchement remis à sa place une journaliste qui prit quelques libertés avec le président russe. Le message est clair, les cris d’orfraie de la grosse presse occidentale alignée sur Washington n’y changeront rien : l’armée russe ne bougera pas d’un centimètre. Les conseillers de Georges Soros ont un plan. D’ores et déjà, les forces cosmopolites préparent la riposte. Le Conseil Européen des Affaires Etrangères, une antenne financée par la “Fondation To Promote An Open Society” – une puissance organisation subversive financée par le milliardaire juif Georges Soros, a d’ores et déjà une feuille de route. C’est un certain Stefan Meister qui l’explique dans une note de travail à l’adresse des gouvernements européens et de Bruxelles. Selon lui, commencer à utiliser les Tatars de Crimée – une population turcophone minoritaire locale – contre la majorité russe serait une première étape pour répondre à Moscou. En somme, agiter des troubles interethniques serait une réponse appropriée sous couvert “d’antiracisme”. Parmi les autres financiers de ce groupe de réflexion figure “Humanity United” – tout un programme – une organisation co-présidée par le juif David Abramowicz en charge en son sein des “affaires internationales”. A ce titre, il accompagne l’ONG sous la direction de la CIA sur les théâtres d’opération extérieurs. Mais on y retrouve également le milliardaire iranien Pierre Omidyar. C’est ce même milliardaire – co-fondateur d’Ebay – qui a financé en Ukraine des organisations subversives telles que New Citizen, Chesno, Center UA et Stop Censorhip, par pure philanthropie. L’Internationale de l’Ombre se mobilise. Le Conseil Européen des Affaires Etrangères a été créé par le juif Mark Leonard, un “consultant” multicarte ayant oeuvré aux côtés de Tony Blair et qui officie notamment pour “l’agence de presse” anglaise Reuters. Mark Leonard a été formé au German Marshall Fund, une organisation liée à la CIA dont le but originel visait à produire des agents d’influence pro-US en Allemagne du temps de la guerre froide, que ce soit dans la presse, les partis politiques, l’administration ou la culture. Comme nombre d’organisations de la CIA en Europe, elle a été réactivée par les puissances à l’intérieur des USA désireuses d’achever leur domination mondiale pour la première moitié du XXIème siècle. Sur sa page d’accueil, un certain Lee Feinstein – nom fort peu catholique – expose toutes les raisons qu’il y a pour les USA à affronter la Russie sur le dossier ukrainien, mais également syrien, iranien ou libanais…Il n’est pas inutile de préciser que le fond est co-présidé par Guido Goldman, fils de l’ancien président de l’Organisation Sioniste Mondiale, Nahum Goldman, ainsi que par le juif Marc Leland, ancien responsable de l’Atlantic Institute à Paris pendant la Guerre froide. L’Atlantic Institute est une organisation qui elle aussi visait à influencer l’intelligentsia des pays membre de l’Otan et réactivée depuis pour établir un nouvel ordre mondial centré sur le bloc atlantique. Ses buts semblent également devenus beaucoup plus religieux. Autre militant affublé du titre “d’analyste” et sévissant notamment sur France 24, Bloomberg TV ou la BBC, Ben Judah (sic), lui aussi membre du Conseil Européen des Affaires Etrangères. Spécialisé dans la dénonciation en Europe de la Russie et de son président, Ben Judah est tout de bienveillance à l’égard des oligarques juifs non-repentis, pourtant coupables des pires crimes durant les années du règne de Boris Eltsine. Ben Judah s’est notamment vu accorder un long entretien écrit avec l’un d’entre eux, le sinistre Mikhail Khodorkovsky. Ben Judah est naturellement d’une complaisance visqueuse vis-à-vis de son congénère “injustement persécuté”. Khodorkovsky vit désormais confortablement en Suisse où il a été chaleureusement accueilli par ses frères en religion. Ce dernier s’est d’ailleurs proposé très rapidement comme intermédiaire auprès du nouveau régime ukrainien, soulignant dans les colonnes du Huffington Post canadien, et non sans raison, la nature de ses liens avec les gouvernants du pays: “Pour moi comme pour d’autres, c’est une histoire de famille”. Des mercenaires de l’Otan arrivent à Kiev. L’Otan, si elle ne peut intervenir directement, a cependant une solide expérience en matière de déstabilisation de pays définis comme ennemis. Forte en outre du savoir-faire acquis lors du terrible conflit syrien, d’ancien militaires occidentaux recrutés par des agences de mercenariat arrivent à l’aéroport de Kiev avec ce qu’il faut de matériel. Le professeur Alexandre Douguine l’évoque de source bien informée, en citant une destination pour ces personnels: les sièges régionaux de l’Est du pays. Loin de rester les bras croisés, les Ukrainiens pro-russes réagissent. Et ont pris, ce jour, le parlement régional du Donetsk. Une guerre civile semble pointer à l’horizon. Avec à son origine toujours le même ferment.
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Israël est .... finie! |
Les Ultra-Orthodoxes juifs avec leurs chapeaux, costumes noirs, et papillotes, nous on les adore, et on comprend qu'un peu d'originalité pourrait les tuer. Avec un taux de natalité qui ferait rougir un couple de lapins nains dopé au viagra, malheureusement, c'est le QI qui ne suit pas! Ils ne parlent pas anglais, se foutent de la technologie, fuient les femelles sauf quand ils les grimpent. Ils sont bibliques, et c'est Dieu qui les nourrit, et accessoirement Bibi (Benjamin Netanyahu), mais Bibi, y commence à en avoir marre de leur construire des colonies, et c'est le clash. Des centaines de milliers de juifs ultra-orthodoxes manifestaient dimanche 2 Mars 2014 à Jérusalem contre un projet de réforme du service militaire n'exemptant plus les étudiants talmudiques (http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Manifestat...obi&nocache=0.8611209151056411). «L'entrée de la ville est bloquée par des centaines de milliers de manifestants», a indiqué à l'AFP le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld. Quelque 3'500 policiers ont été mobilisés pour l'occasion, a précisé M. Rosenfeld.
Dès le début de l'après-midi, la municipalité de Jérusalem a fermé les principaux axes routiers proches de l'entrée de la ville et la gare routière centrale. La marée humaine, toute vêtue de noir, le costume traditionnel des ultra-orthodoxes, s'est répandue dans les rues et artères de l'entrée de la ville, bloquant totalement la circulation. Tous les courants de l'ultra-orthodoxie juive - lituanien, hassidique et séfarade - étaient représentés dans une rare démonstration d'unité contre la fin des exemptions militaires pour les étudiants des yeshivas (écoles talmudiques). Les femmes, habituellement absentes des manifestations ultra-orthodoxes, étaient présentes, récitant des psaumes dans des espaces qui leur avaient été spécialement réservés afin qu'elles ne soient pas mêlées aux hommes, après que les principaux rabbins ultra-orthodoxes les aient autorisées à participer à la manifestation. Brandissant des pancartes avec des slogans tels que «Nous n'entrerons pas dans l'armée» et fustigeant «la guerre contre la religion», les participants, venus de tout le pays, ont participé à une prière prononcée via des haut-parleurs géants. Yaakov Biton, 28 ans, étudiant dans une yeshiva de Bnei Brak, une banlieue ultra-orthodoxe de Tel-Aviv, a expliqué à l'AFP qu'il participait, ainsi que ses camarades d'études, à la manifestation «pour montrer que nous n'avons pas peur des sanctions criminelles et que nous sommes unis». «Nous l'emporterons à la fin, la Torah (la loi juive) l'emportera», a-t-il ajouté. Les manifestants entendent protester contre une diminution des financements publics accordés aux yeshivot (séminaires talmudiques) et un projet de loi qui doit mettre fin aux pratiques qui permettent aux jeunes étudiants de ces séminaires d'échapper au service militaire.
Le gouvernement de Benjamin Netanyahu a décidé l'an dernier de mettre fin à l'autorisation selon laquelle des dizaines de milliers de religieux ultra-orthodoxes sont exemptés du service militaire s'ils étudient à plein temps dans une yeshiva. Dans la nouvelle coalition gouvernementale, issue des élections législatives du début 2013, des centristes laïcs et des nationalistes religieux ont en effet pris la place des partis ultra-orthodoxes qui assuraient jusqu'à présent la poursuite des exemptions. Une nouvelle législation est en cours d'élaboration mais une commission parlementaire a déjà approuvé un projet de loi fixant un quota pour les hommes ultra-orthodoxes devant rejoindre l'armée ou un service civil d'intérêt général à compter de 2017. Ce projet de loi prévoit des sanctions contre les juifs religieux qui tenteraient de se soustraire au service, y compris l'emprisonnement, une disposition qui a provoqué la colère des principaux rabbins ultra-orthodoxes qui estiment que cela porte atteinte à la liberté de culte. La réforme visant à généraliser le service aux étudiants des yeshivot est perçue par la majorité des Israéliens comme une correction de l'injustice historique de leur exemption, accordée lors de la création d'Israël en 1948. Mais à l'époque ils ne représentaient qu'une petite fraction de la société israélienne. En raison de leur taux de natalité élevé, ils représentent aujourd'hui environ 10% de la population d'un peu plus de huit millions d'habitants. Dans l'attente d'une nouvelle loi, les autorités ont commencé à appliquer plus sévèrement la législation en vigueur, ce que le député Nissim Zeev, membre du parti ultra-orthodoxe Shass, a qualifié de «persécution religieuse». «Le but (de la manifestation) est d'adresser un message sans équivoque au gouvernement», a déclaré M. Zeev à la radio publique. «C'en est assez, il faut cesser cette persécution», a-t-il insisté. Le service militaire est obligatoire en Israël, de trois ans pour les hommes et deux ans pour les femmes. Mais que fait SOS Racisme? (Vous remarquerez quelques Nègres dans les forces de sécurité, quelle honte de se faire palper par des impurs!)
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«Le cul des Nationalistes ukrainiens est à louer!» |
Les chef du groupe néo-fasciste “Secteur Droit”, dont Dmitry Yarosh, ont rencontré l’ambassadeur d’Israël en Ukraine, Reuven Din El (http://breizatao.com/2014/03/07/ukraine-le-groupe-...-le-racisme-lambassade-disrael). C’est le président de la puissante organisation antiraciste juive américaine “Anti-Defamation League”, Abraham Foxman, qui en parle dans le Huffington Post: “Dmitry Yarosh, chef du Secteur Droit, a rencontré l’ambassadeur d’Israël en Ukraine, Reuven Din El, et lui a affirmé que son mouvement rejetait l’antisémitisme et la xénophobie et ne le tolérerait pas. Il a dit que leurs buts étaient une Ukraine démocratique, un gouvernement transparent, la fin de la corruption, et l’égalité des chances pour tous les groupes ethniques.” Et de conclure: “Le premier ministre Arseni Yatsenyuk (d’origine juive, NDLR), aux côtés du chef de l’UDAR Vitali Klitschko (d’origine juive, NDLR), a amené Svoboda dans la coalition d’opposition en 2012. Maintenant, ils ont amené Svoboda dans le gouvernement, il appartient au premier ministre Yatsenyuk d’assurer que l’antisémitisme n’est pas toléré et que d’authentiques normes démocratiques s’imposent. En envoyant ce message au peuple d’Ukraine maintenant, le premier ministre réassurera la communauté juive et fera un exemple admirable. Conduire les nationalistes d’Ukraine à adopter le chemin pris par le Metropolite Sheptysky constituera un test important pour le développement démocratique de l’Ukraine et une étape en avant importante pour le pays. Si cela réussit, le futur de la communauté juive d’Ukraine sera brillant, pas sombre.” L’ambassade d’Israël en Ukraine a diffusé un communiqué relatif à la rencontre entre Dmitry Yarosh, chef de Secteur Droit, avec l’ambassadeur israélien: “Le 26 février 2014, l’ambassadeur d’Israël en Ukraine, Reuven Din El, a rencontré les dirigeants du mouvement “Secteur Droit”, y compris son chef de file, Dmitry Yarosh. Les chefs du mouvement ont informé l’ambassadeur à propos de leurs positions sur le futur de l’Ukraine, et ont insisté sur le fait qu’ils suivent une politique tolérante quant aux problèmes nationaux. Dmitry Yarosh a également insisté sur le fait que toute rhétorique haineuse, tout spécialement l’antisémitisme, n’était pas seulement condamnée par le “Secteur Droit”, mais qu’ils continueraient à la combattre par tous les moyens légaux. Les chefs du mouvement ont souligné que toute manifestation de chauvinisme et de xénophobie serait punie.“ Le groupe Secteur Droit fait partie des organisations de rue qui ont renversé le président Ianoukovitch le 22 février 2014 à Kiev. Penser aux millions de victimes de l'Holodomor, et voir cela, c'est à vomir. Un peu de concession, d'accord, mais là c'est carrément le pantalon sur les chevilles. Pour nous, un seul reste en course, et c'est:
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Jean-François Coupé, Manuel Valls: "Deux belles gueules de paratonnerre!" |
Les militants UMP qui ont cotisé pour le Sarkothon ne diront pas merci à Bygmalion. Au moment où Copé leur demandait de renflouer les caisses du parti de 11 millions d'euros, l'agence de communication appartenant à deux de ses anciens collaborateurs venait d'empocher de l'UMP huit millions d'euros pour avoir organisé les meetings de la campagne 2012 (http://www.oragesdacier.info/2014/02/affaire-cope-des-copinages-qui-coutent.html). Selon des documents dont Le Point a eu connaissance, Event & cie, la filiale événementielle de Bygmalion, a profité de la période faste de la présidentielle pour charger la mule sur certaines prestations facturées à l'UMP hors appels d'offres. Lors des meetings, les frais de traiteur, de retransmission vidéo et d'éclairage atteignaient parfois le double des tarifs habituels! Le Point a enquêté sur ce que certains au sein du parti qualifient de véritable "hold-up": entre 2010 et 2012, alors que les finances de l'UMP sombrent dans le rouge, la petite boîte de com connaît, elle, une santé florissante... Dès la création de Bygmalion en 2008, Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale puis secrétaire général du parti, multiplie les commandes auprès de l'agence de com de ses amis Bastien Millot et Guy Alves, qui ont travaillé plus de dix ans à ses côtés, d'abord à la mairie de Meaux, puis à son cabinet chaque fois où il a été ministre. L'ancien chef de cabinet de Copé au centre d'un montage financier. Mais le plus troublant, c'est l'origine même de Bygmalion. En épluchant les statuts de la société, Le Point a découvert un montage financier particulièrement sophistiqué avec un actionnaire resté caché pendant trois ans: une SARL logée au Luxembourg... Derrière cette mystérieuse société se dissimule le holding familial d'Emmanuel Limido, un gestionnaire de fonds très lié au Qatar. Coïncidence: en 2006 et 2007, Jean-François Copé, alors ministre du Budget, avait donné son feu vert pour la vente au Qatar de deux joyaux immobiliers de l'État. Dans ces deux transactions, l'intermédiaire n'était autre que le fonds d'investissement dirigé par Emmanuel Limido. Ce dernier avait entre les deux transactions embauché le chef de cabinet de Jean-François Copé, Guy Alves, devenu depuis patron de Bygmalion. Un étonnant mélange des genres que Le Point révèle dans son article sur l'argent de l'UMP et la galaxie Copé... Est-ce la première conséquence de nos révélations? Toujours est-il que, selon Le Midi libre, Jean-François Copé a annulé mardi soir le meeting auquel il devait se rendre jeudi à l'espace Pitot à Montpellier. Officiellement, l'UMP chercherait désormais une salle d'une plus grande capacité d'accueil que les (environ) 250 places disponibles à l'espace Pitot...
Manuel Valls le Vaniteux punit par là où il a péché, et comme dirait Bob l'Eponge: "La ménorah attire la foudre!" (http://zebuzzeo.blogspot.ru/2014/02/dieudonne-applaudi-partout-en-france.html). Il ne lui avait pourtant rien demandé mais, comme envoûté, poussé par un engouement malsain de certaines associations, Manuel Valls avait multiplié les attaques contre l’humoriste Dieudonné. Attaques gratuites, attaques puériles. Dans cette tambouille mortelle, l’homme avait fait l’erreur de la jouer perso. Et, à force de jouer perso, poussant les autres à le rejoindre dans un combat foncièrement malhonnête, le ministre de l’Intérieur de François Hollande s’est sabordé tout seul, comme un grand. Comme un bleu, très offensif, il constata un mois après son offensive hypocrite, le contrecoup de sa course folle contre l’humoriste. A ses dépends, il allait apprendre qu’en terme de popularité, il dévissait de 12 points. Excusez du peu, en un mois à peine. Pendant ce temps-là, l’humoriste remplissait des salles à travers toute la France. Hélas, les voltiges mensongères et autres envolées lyriques n’ont visiblement pas plu aux Français. L’homme paye cash, sa propre dérive. Pas un pas hors de son bureau ou de son domicile sans qu’on ne lui rappelle désormais sur le terrain son diktat. Janvier: Manuel Valls hué à Brest! Manuel Valls chahuté par un habitant au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois! Manuel Valls sifflé à Rennes! etc.. Dieudo l'a "tuer". Pendant que Dieudonné est applaudi, partout en France, Manuel Valls, lui, est hué et sifflé. Quel contraste! Comment en serait-il autrement quand on procède par la fraude en forçant le trait à outrance, avec notamment le Conseil d’Etat? Le 7 février dernier, la venue de Manuel Valls dans les Ardennes et plus particulièrement à Charleville-Mézières, s’est passée dans des conditions dantesques. Les médias avaient jusqu’à présent voulu étouffer la déculottée mémorable de l’homme. La scène s’est déroulée à l’angle des rues Jules-Raulin et Léon-Dehuz, à Manchester. Le récit de L’Union L’Ardennais est effarant. Voici un extrait: (œufs brouillés au menu de Manuel Valls) Il est près de 11 heures lorsque le ministre sort du centre social. En s’approchant des voitures officielles, Manuel Valls et la délégation se retrouvent curieusement seuls. Le gros des effectifs de police a quitté les lieux quelques instants plus tôt pour sécuriser l’itinéraire du cortège, notamment les abords de la préfecture, où des élus ont appelé à manifester contre la réforme des cantons. Les habitants de Manchester se retrouvent tout près du ministre. D’un petit groupe de six à huit personnes fusent des noms d’oiseaux. La délégation ne s’attarde pas. C’est une fois dans les voitures qu’intervient l’incident: des jeunes lancent plusieurs œufs sur les berlines, dont un rebondit sur une carrosserie avant d’éclabousser le pare-brise de la voiture du ministre. Dans l’habitacle, où ont pris place Manuel Valls, le maire (PS) Philippe Pailla et le préfet Frédéric Perissat, un ange passe... La vraie descente aux enfers est celle de Valls. Un tel climat délétère, provoqué par ses soins, est bien la preuve que, Manuel Valls a joué les pompiers pyromanes avec le cas de l’humoriste, au lieu de s’occuper des vrais problèmes. L’humoriste Dieudonné n’est absolument pas dangereux comme le décrit Audrey Pulvar, journaliste au garage et en mal de sensations pour rebondir au travers de Dieudonné. C’est d’ailleurs la mode, pour exister en France, sur le plan médiatique, il faut cogner sur l’humoriste le plus doué et le plus populaire de France. Tiens, son compte Facebook a atteint hier soir les 700 000 fans. Continuez à le diaboliser. Manuel Valls a mis plus d’entrain à combattre injustement l’humoriste Dieudonné que les casseurs anti-fa. Des imposteurs ultra-violents qui ne défendent rien, que leur bifteck. Pour ces anti-fa, soit, vous êtes avec eux, sinon, vous êtes un facho-extrémiste-nazi. On a plutôt l’impression que, avec leurs méthodes, ils sont plutôt ce qu’ils reprochent aux autres. Ils l’ont encore prouvé lors de la manifestation contre l’aéroport Notre-Dame-des-Landes, à Nantes, il y a deux jours. Jamais, depuis qu’il fait de l’humour, Dieudonné n’a incité à la haine ou même ses fans. Ces derniers n’ont jamais rien dégradé, comme ce saccage de la ville de Nantes par une horde de barbares. Ironie du sort, c’est ici que l’humoriste avait été interdit au début du démarrage de sa tournée…Dernier épisode en vue, l’humiliation subie par le ministre de l’Intérieur qui venait d’assister, dans le quartier de l’Opéra, à la grande première d’un film. C’est sans commentaire. Comme le disait mon frère et ami Alert2Neg, il ira bientôt se réfugier au théâtre de la Main d’Or pour avoir la protection de Dieudonné, ses gardes devenus incapables de le protéger…La vraie descente aux enfers est celle de Valls, et non de Dieudonné. La presse mainstream va-t-elle enfin changer de disque?
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Le Gouvernement, y'a pas que dans les sondages qu'il creuse sa tombe. |
Le ministre du Redressement productif et de la P'tite Baise Tranquille, Arnaud Montebourg, a annoncé vendredi la création dans les prochains mois d'une compagnie minière publique, dont le but sera principalement de garantir "l'indépendance" de l'approvisionnement en matières premières de la France (http://www.lepoint.fr/politique/arnaud-montebourg-...ique-21-02-2014-1794595_20.php). "Le renouveau minier en France est en route", a lancé le ministre à l'occasion d'une visite des carrières souterraines de gypse de Montmorency, dans le Val-d'Oise (95), exploitées par le groupe français Saint-Gobain et la société belge Siniat, qui a repris les activités plâtre du cimentier français Lafarge. Arnaud Montebourg a présenté à cette occasion la Compagnie nationale des mines de France (CMF), qui verra le jour dans les prochains mois et qui sera dotée de "200 à 400 millions d'euros dans les cinq à sept ans". Il s'agit avant tout d'une société d'exploration publique minière, dont les co-actionnaires seront l'Agence de participation de l'État (APE) et le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM, organisme rattaché au gouvernement), ont indiqué des sources au ministère du Redressement productif. L'exploitation minière, qui demande des investissements plus considérables, se fera via des "prises de participation dans des sociétés" actives dans ce secteur, ont ajouté ces sources. La CMF aura pour mission de faire de la prospection dans les sous-sols français, y compris les territoires d'outre-mer. "Notre première décision concernera d'ailleurs la Guyane. Je m'y rendrai dans les mois qui viennent pour discuter avec les élus (...) de l'exploitation de l'or", a-t-il indiqué. La nouvelle société devra également se développer hors de France, via des filiales, pour répondre aux requêtes "d'États africains qui nous ont demandé de nous porter candidat à l'exploitation d'un certain nombre de ressources minières", a expliqué Arnaud Montebourg. "Il nous semble normal que les gouvernements qui sont souvent exclus de l'exploitation des mines dans leur propre territoire puissent être associés à une compagnie minière française", a expliqué Arnaud Montebourg. "Il faut nous mettre d'accord avec ces gouvernements sur la répartition des revenus et que nous associons d'autres opérateurs, peut-être miniers ou peut-être pas", a-t-il ajouté.
Arnaud Montebourg veut publier après les municipales un rapport défendant une nouvelle technique expérimentale propre d'exploitation des hydrocarbures de schiste, affirme le Canard enchaîné mercredi (http://www.romandie.com/news/n/_Gaz_de_schiste_Mon...tale_propre_67290120141127.asp). Cette technique, déjà évoquée dans un rapport parlementaire fin 2013, consisterait à fracturer la roche contenant les hydrocarbures sans avoir recours à la technique utilisant de l'eau et des produits chimiques, interdite en France pour son risque environnemental. Il s'agirait, selon le Canard Enchaîné, d'utiliser du fluoropropane (en réalité, de l'heptafluoropropane également connu sous le sigle de non flammable propane, NFP, ndlr), une technologie propre proposée par la société américaine ECorpStim. Ce liquide non inflammable dérivé du propane est actuellement utilisé comme propulseur dans des inhalateurs pour traiter l'asthme ainsi que dans des extincteurs. Interrogé par l'AFP, le ministère du Redressement productif n'a pas souhaité faire de commentaires. Le cousin du NFP, le propane, a déjà servi à mener quelques fracturations hydrauliques qui n'utilisent pas d'eau et peu voire pas de produits chimiques, en remontant 95% du propane avec le gaz ou le pétrole visé. Inconvénient principal: cette technique nécessite en surface plusieurs centaines de tonnes de propane inflammable, ce qui en France transformerait chaque forage en site Seveso. Jamais testé en conditions réelles, le NFP présente lui les mêmes avantages que le propane, mais est également non inflammable, ce qui supprime à 100% les risques industriels, selon le rapport publié en novembre par l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opesct). Comme le propane, il est toutefois onéreux, reconnaît l'Office, ce qui pourrait rendre l'exploitation non rentable. Selon le Canard enchaîné, Arnaud Montebourg n'a pas encore publié le rapport sur le NFP, auquel ont contribué géologues, économistes publics et privés pour éviter de fâcher les Verts avant les municipales. M. Montebourg a dit jeudi Janvier 2014 qu'il espérait convaincre François Hollande d'avancer sur la recherche de techniques propres pour l'exploitation des gaz et pétrole de schiste. Le président avait écarté en juillet toute exploitation durant son quinquennat. Allez Arnaud, notre conseil: «Baise ta juive, et ferme ta gueule! Et pour les gisements de Zyklon, c'est pas nous, c'est la Pologne.»
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L'UMP et le PS, deux branches pourries du Sionisme. |
Qui tient la pornographie tient la prostitution, qui tient la prostitution tient la pédophilie, qui tient la pédophilie tient le trafic d'organes et les sacrifices humains. L’UMP, le parti pro-pédéraste et pro-idéologie du genre qui se cache. Les fortes mobilisations populaires de ces derniers mois (La Manif pour Tous (LMPT), Jour de Colère (JDC), Jour de retrait à l’école (JRE)) ont incité l’UMP (Union pour un mouvement populaire) à reprendre l’offensive politique (http://jeune-nation.com/2014/02/lump-le-parti-pro-...deologie-du-genre-qui-se-cache). Le parti libéral, divisé, sans projet, a profité de l’absence du Front national sur le sujet, pour s’imposer à nouveau comme le principal opposant au gouvernement de gauche. L’UMP est-il devenu un parti conservateur? Évidemment pas. Pendant que dans les médiats les cadres du parti feignent de combattre le lobby des pédérastes, le maire de Nice Christian Estrosi ne cesse plus de donner des gages à cette communauté de déviants. Avec l’argent du contribuable, il multiplie les initiatives pour attirer vers la ville ces touristes pervers, rêvant de faire de Nice une nouvelle Tel Aviv.
Les libéraux ne reviendront pas sur la loi légalisant l’accouplement sodomite, comme ils ne sont pas revenus sur les lois favorisant l’invasion de la France, l’avortement, instaurant le pacte civil de solidarité (PACS) – ce contrat qui devait empêchait toute revendication future des pédérastes à prétendre à pouvoir se marier –, le Traité de Maastricht, le Traité de Lisbonne, le démantèlement de l’armée, la suppression des frontières, réformes dont ils furent souvent les auteurs. L’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin a déjà précisé que l’UMP n’abrogerait pas la loi détruisant le concept même de famille. C’est la logique qui l’impose: l’UMP partage avec le PS la plupart des constats, des analyses et des solutions face aux problèmes sociétaux. La participation de l’UMP à la destruction de la famille est à ce sujet révélatrice. Les libéraux prétendent avoir découvert l’idéologie du genre après la dernière Manif pour Tous et multiplient les interventions publiques pour la dénoncer et attaquer le gouvernement. Mais c’est l’UMP durant ces dernières années qui a imposé l’idéologie du genre à l’école. Les libéraux disposaient alors d’un contrôle absolu sur tous les organes de pouvoir: la présidence, le gouvernement et les deux assemblées, le Conseil d’État. Dans l’espoir de conserver un électorat de plus en plus revendicatifs, celui des Français non-reniés, catholiques ou patriotes attachés aux valeurs traditionnelles, l’UMP a opéré sur cette question un changement total. Le double discours de Nadine Morano l’illustre parfaitement. L’une des 26 propositions de Nicolas Sárközy lors de la campagne pour les présidentielles de 2012, était d’«introduire, dès la maternelle, des séances consacrées à la mixité et au respect hommes-femmes». C’est en 2008 qu’a été lancé le site «Ligne Azur», sous le patronage de Xavier Darcos puis Luc Chatel. Ce site violemment antisocial, fait la promotion de toutes les formes de déviances. En évidence sur le site figure une plaquette du juif Serge Hefez. Le site est patronné par Patrice Gaudineau en tant que dirigeant SIDA infos service. Cette association, centrée autour de la promotion de la pédérastie, de la transexualité, emploie plus de 110 personnes. Le salaire moyen y était de 2 766 € en 2012, deux fois le SMIC. Elle ne vit pourtant quasi-exclusivement – et très grassement – que des subventions publiques. L’association dépense annuellement plus de 8 millions d’euros pour sa propagande nauséabonde. Le ministère de l’Éducation nationale renvoie de jeunes enfants scolarisés vers ce site, où, entre la promotion des pratiques les plus perverses, se trouvent ce tableau, à remplir par des enfants de 6e, réalisé dans le cadre de l’idéologie du genre, que le gouvernement actuel tente de nier et que le précédent prétend combattre alors qu’il l’a instaurée. Durant l’année scolaire 2010-2011, toujours sous le gouvernement Sarközy-Fillon, était lancée, dans les classes de CP et CE1, la campagne «Filles et garçons: cassons les clichés pour faire société». «En 2010-2011, la fédération de Paris a initié [sic] un travail dans des classes de cycle 2 autour de la problématique des stéréotypes liés au genre. […] [Elle] s’engage pour promouvoir des actions d’éducation à la citoyenneté qui permette aux élèves de s’interroger sur la question du genre, de remettre en cause leurs idées préconçues» se réjouissait alors Philippe Guez. La plaquette ne laissait aucune ambiguïté sur la volonté de ses promoteurs: «L’avenir. C’est bien l’institutionnalisation d’un enseignement sur le genre qui est attendue (de la maternelle au lycée, en formation initiale comme continue)» précisait Céline Petrovic, chargée de séminaire pour la formation «des enseignants-es» (sic). Des pratiques que l’UMP a validées et laissées se développer. Notons que les auteurs profitent de ces actions anti-famille pour promouvoir également l’invasion de la France et le métissage. Sans compter sur la couverture une étonnante étoile rouge. Un hasard évidemment: cela aurait pu être tout autant une croix celtique ou une svastika…
C’est l’ensemble des piliers de la société que veut détruire le marxisme culturel, pas seulement la destruction de la famille par la promotion de toutes les perversions et la destruction des peuples par la promotion du métissage, mais encore la promotion de la pédophilie, qui s’est toujours développé autour de la sexualisation des enfants. C’est le cas de plusieurs livres évoqués ces derniers dans les médiats et dont le Juif Peillon et la Marocaine Belkacem font la promotion: Tous à poil de Claire Franek et Marc Daniau ou Les chatouilles de Christian Bruel et Anne Bozellec. Des «chatouilles» qui évoquent les propos du pédocriminel Daniel Cohn-Bendit: «Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. […] J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi.» C’est en 2011 encore que l’idéologie du genre faisait son entrée dans les manuels scolaires de SVT. Dans un gouvernement toujours UMP et alors que Luc Chatel dirigeait le ministère de l’Éducation, le film de propagande pédérastique Le Baiser de la lune était imposé aux enfants scolarisés.«Français, vous avez la mémoire courte» remarquait le Maréchal Pétain en son temps, pour s’inquiétait de la facilité avec laquelle les Français oublient les responsables des maux de leur pays. L’UMP bien au contraire s’en réjouit, et c’est sur cela qu’elle compte pour récolter les fruits de la juste colère des Français contre l’offensive générale du gouvernement Hollande contre les fondements de l’ordre naturel.
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