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Создан: 08.09.2012
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En tuant Dieu, ils ont pris sa place le temps d'une vie.

Il est important de comprendre que l'élément fondateur de toute communauté juive est le trauma qui se matérialise au début de son existence par la circoncision: « La mutilation d'un être sans défense », et qui sera maintenu par la suite de manière artificielle, et éternelle au travers d'histoires de destruction, d'holoco$t , d'invraisemblances, de mensonges et de croyances. Le but étant double :
   -Entretenir la paranoïa vis à vis des autres pour renforcer les liens de la communauté
   -Le préparer à s'exhiber en victime de l'humanité avec ses larmes, ses tatouages, ses témoignages à coucher dehors,
Peuple élu dans sa haine des Goys, il a appris à faire le spectacle, à se vendre partout, à occuper les esprits pour détourner toute enquête objective sur ses crimes.
Il n'est pas intelligence, il n'est qu'émotionnel et lamentations !

« Parce que l'antisémitisme est la haine de la criminalité juive, pleure Youpin! »

 


Joystick et Tablier ne font pas bon ménage!

Суббота, 15 Ноября 2014 г. 15:30 + в цитатник

«Je suis écœuré par cette propagande». Interrogé par Le Scan sur la sortie du jeu vidéo Assassin's Creed Unity, qui se plonge dans le Paris de 1789, Jean-Luc Mélenchon ne cache pas son dépit sur la lecture proposée de la Révolution française. «Le dénigrement de la grande Révolution est une sale besogne pour instiller davantage de dégoût de soi et de déclinisme aux Français», assure l'ancien candidat à l'élection présidentielle (http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations...e-d-assassin-s-creed-unity.php). «Si l'on continue comme ça, il ne restera plus aucune identité commune possible aux Français à part la religion et la couleur de peau». Le secrétaire national du Parti de gauche Alexis Corbière lance lui aussi un avertissement aux futurs joueurs de la nouvelle production d'Ubisoft. «À tous ceux qui vont acheter Assassin's Creed Unity, je leur souhaite un moment agréable, mais je leur dis aussi que le plaisir de jouer n'empêche pas de réfléchir. Jouer oui, mais ne vous laissez pas manipuler par ceux qui font de la propagande», écrit sur son blog Alexis Corbière, par ailleurs professeur d'histoire. Il publie dans son texte la vidéo de bande-annonce du jeu vidéo, pour le moins sanglante. «Elle [la vidéo] reprend à son compte tous les poncifs contre-révolutionnaires forgés depuis plus deux siècles. Le peuple de Paris est présenté pour une cohorte brutale et sanguinaire, c'est lui qui produit la violence, toujours lui qui de façon aveugle fait couler le sang, notamment du bon roi débonnaire», s'emporte Alexis Corbière, connu pour son combat en faveur de la Révolution de 1789. Surtout, ce qui semble irriter le militant de gauche, c'est «la caricature la plus bestiale» qui représente Maximilien Robespierre, figure de la Révolution adulée par Jean-Luc Mélenchon. «Cette vidéo va même jusqu'à affirmer qu'avec lui ‘il y eut des centaines de milliers de morts et des rues entières remplies de sang'», pointe Alexis Corbière. Pour lui, la Révolution est représentée comme une «monstruosité», un «bain de sang incompréhensible, conduite par des brutes». «Les créateurs de ce jeu s'inscrivent donc dans ce courant idéologique de plus en plus présent dans les médias qui veut imposer au peuple français un autre regard sur la Révolution française. C'est affligeant», regrette-t-il, demandant un «débat public sur la transmission de l'Histoire, notamment vers la jeunesse». Dans une interview accordée au Monde, le producteur associé du jeu, Antoine Vimal du Monteil, précise que la Révolution n'est qu'une «toile de fond» dans laquelle évolue le héros. Comme le précise le journaliste, certains détails du jeu sont anachroniques. «C'est totalement assumé. Assassin's Creed Unity est un jeu grand public, pas une leçon d'histoire», assure le producteur. «L'histoire du jeu est avant tout une histoire d'amour et un dilemme cornélien». Reste que pour Alexis Corbière, du Parti de gauche, «un jeu vidéo peut être aussi le vecteur pour transmettre des idées et des valeurs culturelles. Dans la jeunesse il peut même sans doute être plus efficace que tous les cours d'histoire que propose l’Éducation nationale». Personnellement, ce jeu est trop violent pour nous, on préfère Dachau City, construire sa p'tite ville en rase campagne polonaise et développer hôtels et cures thermales autour de la gare en attendant les touristes pour les vacances d'été.


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Parole de Breton

Суббота, 15 Ноября 2014 г. 14:30 + в цитатник

Une guerre sociale et raciale est à l’œuvre mais peu nombreux sont ceux qui osent la présenter ainsi. Cette guerre trouve son origine dans la politique suivie par les bourgeoisies urbaines, généralement acquises au Parti Socialiste Français, de ségrégation territoriale des classes blanches populaires et moyennes. Majoritaires, ces classes ne permettent plus la constitution de majorité politique en adéquation avec les désirs des oligarchies urbaines. Ruptures à tous les étages: sociale, identitaire et territoriale (http://breizatao.com/2014/11/11/comment-la-bourgeo...tion-des-populations-de-souche). La France est désormais organisée autour de 14 “métropoles” dont Paris, rebaptisé le “Grand Paris”. Cette refonte administrative, encore accélérée par la pseudo “réforme territoriale”, vise à donner à ces ensembles les leviers politiques accompagnant ceux dont elles disposent au plan économique. Pourtant, ces métropoles, qui comptent 7% des communes, ne concentrent que 39% de la population française, 61% se situant en dehors, dans les “périphéries” rurales, périurbaines, etc... Dans le même temps, ces métropoles produisent les deux tiers de la production nationale annuelle. Comme le résume le géographe Christophe Guilluy: “Pour la première fois dans l’histoire la population ne se retrouve pas là où est produite la richesse”. Et de décrire la population des grandes agglomérations : cadres moyens et supérieurs administrant un appareil de production très efficace à forte valeur ajoutée, nourrissant à leur suite des populations immigrées chargées des tâches peu qualifiées payées à bas coût. Les classes populaires et moyennes ont été progressivement évincées des banlieues de ces grandes agglomérations, les poussant à aller vivre à 40 ou 50 kilomètres de là, ou plus. Contrairement à une idée reçue véhiculée par les médiats institutionnels contrôlés par la bourgeoisie urbaine, la pauvreté ne se concentre pas dans les banlieues immigrées. 85 % des ménages pauvres – qui gagnent moins de 993 € par mois, soit moins de 60 % du salaire médian – ne vivent pas dans les quartiers «sensibles». C’est donc dans les périphéries rurales ou périurbaines que se concentrent 61% de la population, en augmentation continue. Territoires où ne sont produits qu’un tiers de la richesse annuelle, même s’ils représentent 93% des communes. Vers une crise politique majeure où la fracture est donc territoriale, sociale et ethnique. Elle est aussi explosive. Dans un système démocratique relatif, la majorité politique découle de l’adhésion majoritaire du corps électoral. Or l’oligarchie urbaine, qui dispose des leviers politiques et économiques de par sa situation avantageuse au sein des métropoles, est de moins en moins en mesure de constituer une majorité autour d’elle. Ce qui se traduit parfois par la progression du vote Front National, mais surtout par l’abstentionnisme de masse. La partie “utile” de la population se résume donc à 39% des habitants de l’Hexagone résidant dans les grandes agglomérations. Forts du contrôle des deux tiers de la richesse produite annuellement, le sort de ces 61%, rejetés par delà les murs des grandes villes, les indiffère. Voire les inquiète dans la mesure où, dans un système présidentiel unitaire où le suffrage universel est la règle, ces 61% ont un poids sans commune mesure avec leur influence économique. En somme, 61% des Français posent un problème politique structurel. Problème d’autant plus alarmant pour l’oligarchie urbaine que leur profil politico-idéologique s’éloigne de plus en plus de celui de la bourgeoisie citadine des grandes villes dont l’univers mental est une sorte de morale humanitaire, cosmopolite et libertaire. La réforme territoriale: l’organisation de la ségrégation des classes moyennes blanches. La réforme territoriale en région Bretagne a tourné à l’affrontement entre les maires des métropoles, Brest, Nantes et Rennes, et les tenants d’un régionalisme intégré.

Ce clivage a été si profond qu’il a littéralement divisé le Parti Socialiste Français et même la gauche régionale dans son ensemble. En vérité, la bourgeoisie urbaine contrôlant ces trois grandes villes n’a rien de “socialiste” au sens où elle développerait l’idée d’une solidarité réelle, y compris entre territoires. Au contraire, les trois maires de ces villes ont fortement poussé à accroître les ruptures spatiales afin de “libérer” Nantes, Brest et Rennes de la menace d’un pouvoir régional fort capable de les dominer et donc de capter une part de leur production pour développer l’ensemble du territoire breton. Les oligarchies métropolitaines de ces trois villes ne veulent pas avoir de rapports avec l’hinterland composé des “perdants” de la métropolisation et de la mondialisation. Au contraire, leur succès dépend étroitement de leur capacité à conserver le fruit de leur production dans le grand jeu de la concurrence entre grandes villes. Il y a donc eu une “entente” entre Brest, Rennes et Nantes pour combattre l’état régional breton et protéger les intérêts de leurs oligarchies respectives. En lieu et place, les trois édiles de ces villes ont donc promu l’idée d’une région” Grand Ouest”. Le but étant de créer une région si vaste et si hétérogène qu’elle ne disposerait pas d’un socle politique suffisant pour imposer sa volonté aux trois métropoles. De fait, le “socialisme festif” métropolitain relève d’une animation culturelle chargée de masquer une politique de prédation et d’égoïsme structurels. Son humanitarisme moraliste ne trouve aucune déclinaison dans les faits, bien au contraire. Les seules populations trouvant grâce aux yeux de la bourgeoisie de gauche de ces centres urbains sont celles des quartiers immigrés qui leur fournissent la main d’œuvre pas cher dans les services dont elles ont besoin. Si bien que cette défense des immigrés est pour le moins ambiguë. La ségrégation territoriale des classes moyennes blanches, par ailleurs en voie de déclassement, est donc une réalité, même si elle ne dit pas son nom et n’est bien souvent même pas conscientisée par ceux qui la mettent en place. La crise a été temporairement réglée à Lorient, lors d’une rencontre au sommet entre partisan d’un “pouvoir ducal” fort et les comtes de Rennes et Nantes, aidé de l’édile de Brest. Jean-Jacques Urvoas, représentant l’ancien président de région Jean-Yves Le Drian a défendu le maintien de la région administrative tandis que ses opposants exigeaient sa disparition. On a donc décidé de ne pas décider. Ce que Jean-Jacques Urvoas traduit, dans une belle langue de bois devenue insupportable pour le peuple, par la formule “le débat doit se poursuivre”. Leur but étant d'abolir le régime présidentiel et marginaliser l’électorat populaire. Logiquement, les oligarchies urbaines veulent se débarrasser du système actuel. Il ne fonctionne plus car la répartition du pouvoir politique ne recoupe pas celle du pouvoir économique. Et nous retrouvons les lignes de fracture à l’œuvre durant la Fronde ou la Révolution, les mêmes qu’avaient parfaitement identifiées Charles De Gaulle, architecte de la Cinquième République contre les partisans de la Quatrième. C’est précisément cette compréhension qui l’avait poussé à proposer, en contrepoids à l’émergence de la bourgeoisie urbaine, un début de régionalisation. Les grands féodaux, remplacés par les grands bourgeois, ont identifié le régime actuel comme devenu foncièrement ingérable. Un régime monarchiste absolu comme jadis, ou présidentiel fort comme aujourd’hui, s’appuie par définition sur le soutien du peuple contre les corps intermédiaires. Or ce peuple, de plus en plus majoritairement, ne soutient plus un chef de l’État Français qui, lui, provient également de cette grande bourgeoisie et sert les intérêts de celle-ci. Le fossé entre le gros des masses populaires, ségréguées territorialement et socialement mais aussi identitairement, et les élites urbaines dirigeantes est devenu tel que la rupture menace. La question qui se pose de plus en plus est simple: soit le président brise la grande bourgeoisie urbaine, ce qu’il ne peut ni ne veut, soit la présidence disparaît popour être remplacée par un théâtre d’ombres parlementaire. Une “monarchie de Juillet” républicaine en somme. Sans surprise, les grands bourgeois, comme hier les grands féodaux, veulent une mutation du régime.

Une mutation qui puissent sauver les apparences démocratiques afin de prévenir une révolution. Cette mutation consisterait à “compter les voix différemment”. Non pas qu’il faille revenir au vote censitaire, ce serait trop brutal et maladroit. Mais en redéfinissant le rapport entre représentation politique et aire géographique, ce qui revient au même. Pour cela, la réduction du nombre de députés serait une heureuse et habile manœuvre: sous couvert d’une mesure très populaire car hostile aux élites dirigeantes, on donnerait un poids beaucoup plus important aux élus des grands villes. Le nombre de députés des zones périurbaines et rurales pouvant être drastiquement réduit. Dans le même temps – cela va de paire – permettre aux étrangers, concentrés dans ces mêmes métropoles, de voter à toutes les élections. A défaut, on naturalise à rythme accéléré pour s’assurer qu’ils solidifient toujours plus l’assise politique de l’oligarchie urbaine dont ces étrangers dépendent économiquement. Pour faire bonne mesure, on reviendrait au régime des partis. Ce qui, grâce à une carte électorale réalisée avec finesse, permettrait de relativiser le poids de la majorité des électeurs populaires et de donner le dernier mot aux boutiques politiques tenues par l’oligarchie urbaine, singulièrement parisienne. On assiste à une montée du socialisme identitaire dans les couches populaires. Quoiqu’il en soi, il ne faudra plus très longtemps pour que l’oligarchie hexagonale ne décide de prendre les devants en proposant une réforme en profondeur de l’ordre politique en France. Faute de quoi, les couches moyennes en voie de déclassement la feront. Puisque ségréguées, majoritaires, écartées du processus de production concentré dans les grandes villes, les classes populaires et moyennes qui se paupérisent entrent en dissidence. D’abord en conscience, de plus en plus électoralement. Résolument en termes de valeurs et de conceptions idéologiques. Pour les classes dominantes urbaines, la menace est trop sérieuse. Il est logique, voire légitime, que ces catégories demandent à profiter des fruits de la production générées dans les grandes villes. Cela donne par nécessité une coloration sociale et égalitariste à leur demande. Dans le même temps, la concurrence par le bas à laquelle l’immigration les soumet, notamment pour ce qui concerne le logement et la jouissance du soutien de l’état-providence, les pousse naturellement vers un réflexe de défense collective autour d’une identité commune. On peut sans se tromper y voir un socialisme identitaire, pas nécessairement collectiviste d’ailleurs, en voie de constitution. Ce qui explique pourquoi la gauche radicale ne parvient pas à capitaliser électoralement: l’immigration est voulue et validée par la bourgeoisie urbaine et sert les intérêts de cette dernière. La valider, c’est valider l’ordre établi et la répartition actuelle du pouvoir politique et économique. Les classes populaires et moyennes blanches ne peuvent naturellement pas s’y retrouver. On glisse tranquillement vers toute une série de Clivages caducs. Le rapport de force n’est donc plus bipartisan. Il n’y a pas d’un côté “la gauche” et de l’autre “la droite”. Il y a d’une part un “socialisme identitaire”, qui ne vise pas tant à l’étatisation qu’à une demande profonde de solidarité naturelle et libre qui profite aux populations autochtones fragilisées. De l’autre, une bourgeoisie urbaine, cosmopolite, moralement humanitariste et économique ségrégationniste. Peuvent s’y retrouver des grands élus “de droite” ou “de gauche”, en fonction de sensibilité de détail. On comprend dès lors pourquoi la crise au sein du Parti Socialiste Français s’aggrave, notamment entre élus ruraux et urbains, et plus généralement au sein de la gauche française. Car même lorsqu’elle conteste la métropolisation voulue par la bourgeoisie, la gauche est si viscéralement égalitariste, tiers-mondiste et antiraciste, qu’elle ne peut qu’être favorable à l’immigration par principe. Or cette position est globalement rejetée par les couches populaires et moyennes qui formaient souvent son électorat. Le cas breton a été particulièrement significatif et révélateur. L’apparition du mouvement des Bonnets Rouges a eu lieu dans la partie occidentale bretonne, soit en dehors de l’aire d’attraction rennaise et nantaise. Elle a été particulièrement aiguë dans le Kreiz Breizh. Elle n’a cependant pas mordu sur Brest mais a pu déborder en revanche sur Quimper. Sa composition sociologique est à l’image de ces classes populaires et moyennes évoquées: des paysans, des ouvriers, des artisans, des petits entrepreneurs et commerçants, des chômeurs et de jeunes étudiants, des retraités. Tous en voie de déclassement, tous unis par un puissant sentiment identitaire, base d’une solidarité revendicative. Très logiquement, ce mouvement a sonné comme un coup de tonnerre pour la gauche institutionnelle régionale et singulièrement celle du Finistère. Le PSF du Finistère n’a jamais pu ni ne pourra jamais mobiliser 20 000 ou 30 000 personnes. Fait révélateur, la section quimpéroise du parti manifestait encore le 18 novembre 2013 contre “le racisme”, rassemblant avec toute la gauche institutionnelle, quelques centaines de personnes. Le peuple, lui, n’était pas là. En novembre 2013, alors que les Bonnets Rouges se rassemblaient à Quimper, cette même gauche institutionnelle, syndicats et partis, se retrouvait à Carhaix pour manifester contre le meneur, Christian Troadec. Elle s’est retrouvée à manifester contre le peuple et l’opinion publique, seule. Depuis, elle n’a eu globalement comme réflexe que d’abreuver d’injures un phénomène politique et social qui traduit son désaveu. Qualifiant les Bonnets Rouges de “Benêts Rouges”, le dernier carré du socialisme masque mal son profond désarroi. Et a renforcé encore d’avantage l’impression d’arrogance de classe d’un clergé du Progrès autoproclamé que plus personne n’écoute. Bien loin d’améliorer la situation, cela a encore accru le fossé entre cette gauche et le peuple. Que quelques paysans, aidés du maire de Carhaix, Christian Troadec, parviennent à avoir l’oreille des masses est un signe des évolutions en cours. La presse régionale, par définition dépendante de l’oligarchie pour ses subventions, a raillé “l’échec” de Troadec aux élections sénatoriales. Mais ces élections sont la caricature même d’un suffrage fermé où le peuple n’est pas convié et où les élus des grands partis se cooptent. Le déni de l’établissement est total. La gauche française ne comprend plus rien de ce qui se passe. Enfin, plus récemment et toujours à Quimper, les événements autour de la mosquée islamiste ont porté à son paroxysme l’incompréhension de la gauche institutionnelle pour la réalité sociale et idéologique dans laquelle elle évolue. Par antiracisme, conformément aux canons de beauté moraux de la bourgeoisie urbaine, la gauche institutionnelle a pris fait et cause pour l’édification d’une mosquée, symbole d’une religion qui, selon les critères classiques de la gauche, est objectivement misogyne, patriarcale et cléricaliste. Que les tenants historiques du slogan “A bas la calotte et vive la sociale” en viennent, en 2014, à défiler à une petite centaine pour l’édification d’une mosquée donne la mesure de l’effondrement idéologique et dialectique de la gauche. Qu’ils en appellent à la préfecture pour faire interdire l’opposition, donne celle de leur impuissance. En plus de passer pour partisans d’une religion “réactionnaire”, cet affolement se traduisant par un appel à la censure achève de convaincre l’opinion publique locale, déjà suspicieuse, de se démarquer électoralement. Surtout dans au sein de son électorat historique pour qui la laïcisme et l’athéisme sont des valeurs structurantes de la gauche historique. Aveuglée, humiliée, arrogante, les cadres de cette gauche refusent de se rendre à l’évidence et persistent, ce qui loin d’améliorer leur situation, la fragilise encore davantage. Cela va si loin que même le bon sens politique, qui voudrait qu’on ne se mouille pas à ce point pour quelques éléments issus de la communauté turque de peur de s’aliéner les couches populaires, ne parvient pas à calmer ce jusqu’au boutisme de chiens enragés. Il faut être lucide, la rupture territoriale est déjà là. La rupture politique, sociale et identitaire se profile. Les partis français tels qu’ils sont organisés ne recoupent plus la réalité économique et politique de notre temps. La “gauche” rennaise n’a rien à dire à la “gauche” carhaisienne, quand bien même les deux se revendiqueraient du Parti Socialiste ou du Parti Communiste. La logique territoriale, identitaire, sociale et économique débouche sur une révolution politique. Ce que les tenants du statu quo, naturellement situés dans les partis institutionnels soumis aux oligarchies urbaines, refusent de voir et à tout le moins, de valider. La voie est donc ouverte pour une nouvelle offre politique. Une offre identitaire, sociale, territoriale, trouvant l’équilibre entre les libertés individuelles et le Bien Commun des populations de souche européenne.


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Touche d'humour

Суббота, 15 Ноября 2014 г. 13:46 + в цитатник

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De la maternelle à l'université: "Dégage!"

Суббота, 15 Ноября 2014 г. 12:35 + в цитатник

Il semble que le paradis multiculturel dont avaient tant rêvé les intellectuels et philosophes juifs soit en train de devenir un véritable enfer. C’est le sentiment que dégage le dernier texte de Sacha Reingewirtz, président de l’UEJF (Union des Étudiants Juifs de France) publié sur le Times of Israel et relayé sur le site du CRIJF (http://breizatao.com/2014/11/07/shoah-nanas-chante...f-verse-six-millions-de-larmes). Motif de cette nouvelle session au mur des lamentations: la virulente réaction des étudiants, dont beaucoup d’origine maghrébine ou africaine, à la propagande sioniste dans le monde universitaire français. De la cave au grenier, des juifs traqués par des pro-palestiniens. Évoquant un rassemblement organisé par le NPA, le président de l’UEJF souligne les mises en accusation dont ont été les cibles les militants communautaires juifs: “Ce rassemblement indigne a été maintenu de force par un groupe d’excités, malgré l’interdiction de la fac. Pire, face aux protestations, ces pseudo-étudiants se sont livrés à des cris de «Mort aux Juifs!», au beau milieu d’une université française.” Et d’évoquer la réaction de l’association de fait des “Etudiants Non-Juifs de France”: “Quelques jours plus tard, le local de l’UEJF sur place était saccagé dans la nuit. Tables et poubelles renversées, détritus jetés, toit défoncé, et tags «Palestine vaincra».” C'est que la haine du juif explose de façon exponentielle, et Sacha Reingewirtz en tire à notre avis une conclusion tout à fait exacte: “Le message est clair: sous prétexte de dénoncer l’État d’Israël, on attaque collectivement les Juifs de France. Le venin antisémite contamine toute notre société.” En effet, l’antijudaïsme explose littéralement, au point qu’il devient totalement incontrôlable. Et notre élément cosmopolite de poursuivre sur l’extraordinaire dynamique de cet antijudaïsme au sein de la jeunesse, notamment dans les facultés, sous l’effet notamment de l’humoriste Dieudonné ou encore de l’essayiste Alain Soral: “Aujourd’hui, dans les campus jusque dans les grandes écoles, nous faisons face à des étudiants qui trouvent banal de chanter «Shoah-nanas», et de débiter des discours complotistes selon lesquels le Mossad a fomenté la tuerie de l’école juive de Toulouse ou celle du musée Juif de Bruxelles. Nous nous opposons à de plus en plus d’étudiants fans des vidéos de Dieudonné, qui se gargarisent de ses plaisanteries sur Mehdi Nemmouche, ou de sa dernière vidéo où il explique à son fils que les chambres à gaz, c’est comme le Père Noël. Nous combattons la montée en puissance d’Alain Soral et de ses disciples. Le mois dernier, devant les tribunaux où nous l’attaquions pour antisémitisme, il nous menaçait et tentait d’intimider juges et gendarmes en ameutant une foule hostile. Nous ne faiblissons pas face à cet antisémite obsessionnel qui s’apprête à fonder avec Dieudonné son propre politique, cela promet …” Pour les non-initiés, “Shoah-nanas” est le nom d’une parodie musicale d’un titre d’Annie Cordy, “Chaud Cacao”, dans laquelle Dieudonné raille le business très lucratif de l’holocauste.




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On a adoré!

Пятница, 07 Ноября 2014 г. 05:15 + в цитатник

David Foenkinos vient de décrocher le prestigieux prix Renaudot pour "Charlotte".

Connaissez-vous Charlotte Salomon? Elle hante la vie, les nuits, les obsessions et les livres de David Foenkinos. Artiste plasticienne et peintre, elle aurait pu - elle aurait dû - être une femme reconnue et adulée. Son seul tort est d'avoir grandi dans une famille juive allemande pendant l'accession des nazis au pouvoir. Elle retarda autant qu'elle le put son triste destin en quittant son pays pour le sud de la France, mais, quelques semaines avant le débarquement allié en Normandie, Aloïs Brunner finit par la débusquer dans son refuge de la Riviera pour l'envoyer à Auschwitz. C'est ce destin brisé, dénaturé, cette vie saccagée contenant tant de promesses et de chefs-d’œuvre qui fascinent et attristent David Foenkinos. Interdite d'entrer dans une école des beaux-arts, empêchée d'obtenir son diplôme, puis d'exposer ses œuvres, Charlotte Salomon puisa dans un optimisme inextinguible des raisons d'espérer et de vivre. Amoureuse, elle doit se détourner de l'objet de sa passion, puis quitter sa famille, vers un inconnu qu'elle tente de dompter... Depuis des années, Foenkinos traque les moindres parcelles de vie, de souvenir et de mort de son héroïne. Berlin, Nice, le camp de Gurs dans les Pyrénées... Il a visité les lieux, rencontré les descendants des témoins qui ont côtoyé la jeune femme. Souvent, son enquête tourne à l'obsession: que voyait Charlotte? Comment occupait-elle ses journées? À qui pensait-elle? Pour donner de l'air à ce roman (où tout est sans doute vrai), il opte pour des phrases courtes de moins d'une ligne, seul moyen pour le lecteur de respirer dans une histoire triste, puis tragique. Vous l'aurez compris, la lecture de ce livre est aussi fluide qu'un suppositoire au zyklon. Le juif s'invente encore et toujours mille traumas pour passer à côté d'un travail honnête. Au fil des pages, c'est un véritable feu d'artifices du mensonge dans la même lignée que le dernier Prix Nobel de littérature.


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Notre président a causé.

Пятница, 07 Ноября 2014 г. 04:46 + в цитатник

François Hollande s'est évertué jeudi soir sur TF1 et RTL à restaurer l'optimisme de ses compatriotes avec quelques annonces sur l'indemnisation des chômeurs proches de la retraite ou le gel des impôts, tout en reconnaissant des "erreurs" politiques ou dans sa vie privée. "Aucun impôt supplémentaire pour qui que ce soit sauf si Bruxelles l'exige" (http://www.lepoint.fr/politique/hollande-sur-tf1-l...ions-06-11-2014-1879302_20.php). Lors d'un face à face sans précédent depuis 2012 avec les Français, en "prime time", le chef de l'Etat a promis, face au ras-le-bol fiscal, qu'il n'y aurait aucun impôt supplémentaire pour "qui que ce soit" à partir de 2015. En 2017: pas de candidature sans baisse du chômage. Un constat d'échec sur le chômage François Hollande a reconnu avoir "pu commettre des erreurs" en pronostiquant une inversion de la courbe du chômage pour 2013. "Si en fin de mandat, je n'avais pas fait baisser le chômage, les Français seraient implacables et ils auraient raison", a remarqué M. Hollande, laissant entendre qu'il ne se représenterait pas en 2017 sans baisse du chômage. Chômage des seniors: le retour de l'allocation de fin de droit. M. Hollande a annoncé le retour d'une allocation pour les chômeurs qui ont suffisamment cotisé mais n'ont pas atteint l'âge de la retraite et la création d'un contrat aidé pour les chômeurs seniors à qui il manque quelques trimestres de cotisation. Des contrats aidés qui "entreront en vigueur en début d'année prochaine", a-t-il promis. Le crédit d'impôt sur la compétitivité et l'emploi transformé en "baisses de charges pérennes". Le président a assuré qu'à partir de 2017, les baisses d'impôts du crédit d'impôt sur la compétitivité et l'emploi (CICE) seraient transformées en baisse de "cotisations sociales pérennes". D'un montant initial de 20 milliards d'euros, le CICE a été progressivement élargi pour se fondre dans un objectif de dégager 41 milliards d'euros pour les entreprises dans le cadre du pacte de compétitivité et de responsabilité. Mission sur la pénibilité. François Hollande a ensuite affirmé que le compte pénibilité, mesure phare de la réforme des retraites honnie par le patronat prévu dans la loi de janvier 2014 sur la réforme des retraites, fera l'objet d'une mission sur sa mise en œuvre. 15 000 emplois d'avenir supplémentaires. "On va créer 15 000 emplois d'avenir supplémentaires", d'ici janvier prochain, a dit François Hollande. Ceux-ci feront partie des 45 000 emplois aidés supplémentaires annoncés par le gouvernement. Exposition universelle et jeux Olympiques. "Je pense que la France a besoin de se projeter, elle est une grande nation qui doit montrer qu'elle est capable d'accueillir. (...) Oui, la France va déposer sa candidature pour l'exposition universelle. (...) Et pour les jeux olympiques, 2024, je suis favorable à ce que la ville de Paris, si elle le décide, présente sa candidature", a indiqué le chef de l'État. Pour le référendum sur le service civique obligatoire? "Je veux faire cette réforme sur le service civique. Aujourd'hui, il y a à peu près 35 000 jeunes qui sont en service civique (...) C'est peu, 35 000... on voudrait l'élargir. Qu'on puisse aller vers un service qui pourrait s'appeler universel", a-t-il indiqué, en ajoutant qu'il envisageait un référendum sur la question. "Il y a un moment aussi où il faut respecter la vie privée" "Si j'ai pu faire des erreurs, je les reconnais", a confié Hollande au sujet de la révélation de sa liaison avec Julie Gayet. Mais selon lui, la responsabilité est "collective". "Je ne veux pas me défausser, mais il y a un moment aussi où il faut respecter la vie privée, l'intimité. (...) Pénétrer la vie privée, aller photographier, comme cela a encore été le cas cet été où j'étais en vacances, vous toléreriez ça?", a-t-il conclu. "Parce que ma cravate n'est pas droite?" "Je ne pense pas avoir fait d'erreurs. Parce que ma cravate n'est pas droite ou que ma queue est raide? Mais où on en est là quand on est sur ce jugement de la politique? (...) On me reproche même de manger des frites. Mais quelle est cette conception? J'essaie de me tenir", a plaisanté Hollande. "J'ai le cul tanné". "Je ne suis pas devenu président de la république par hasard, parce que j'ai été tiré au sort. (...) Je savais que ça serait difficile, pas pour moi, mais pour vous." "Je parle de la France parce que c'est ce qui me touche le plus, après toutes les critiques, moi j'ai le cul tanné. [...] Depuis deux ans et demi, je me cramponne", a concédé le chef de l'État. Et pour Manuel Valls... Le Premier ministre "applique la politique que j'ai moi-même fixée pour la Nation et nous sommes dans une équipe (...). Toutes les réformes qui ont été engagées, je les ai décidées, décidées moi-même, et vous ne pouvez pas en citer une que je n'aurais pas engagée!", a indiqué François Hollande. Jouer avec les mots, jouer avec les chiffres, pour masquer une réalité économique et sociale catastrophique, on tient là notre champion du monde. Redresse la barre François, t'es attendu!


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Grosses babines et pois chiche en surface de réparation.

Пятница, 07 Ноября 2014 г. 04:15 + в цитатник

Des propos de l'entraîneur de Bordeaux Willy Sagnol sur les qualités supposées du "joueur typique africain" ont semé la zizanie mardi. Ils lui ont valu les critiques de son ex-partenaire en Bleu Lilian Thuram et de SOS Racisme. Tout est parti d'une vidéo mise en ligne mardi sur le site du quotidien Sud-Ouest après un face-à-face du coach des Girondins avec les lecteurs. Sagnol y dit d'abord que, tant qu'il restera "entraîneur du club, il y aura beaucoup moins de joueurs africains qui rejoindront les rangs des Girondins de Bordeaux, parce que (il n'a) pas envie de (se) retrouver avec 12 joueurs qui, une fois tous les deux ans, se barrent pendant deux mois". Il était alors interrogé sur la façon dont il allait gérer l'absence de joueurs africains retenus par la prochaine CAN, censée avoir lieu au Maroc en janvier et février 2015. Tout en soulignant l'importance pour les clubs français du réservoir africain, le technicien bordelais juge ensuite que "l'avantage du joueur typique africain, c'est qu'il n'est pas cher quand on le prend, c'est un joueur qui est prêt au combat généralement, qu'on peut qualifier de puissant sur un terrain". "Mais le foot, ce n'est pas que ça. Le foot, c'est aussi de la technique, de l'intelligence, de la discipline, il faut de tout. Des Nordiques aussi. C'est bien, les Nordiques, ils ont une bonne mentalité", ajoute l'ancien joueur du Bayern Munich (http://www.lepoint.fr/sport/football/scandale-auto...in-04-11-2014-1878770_1858.php). Connu pour ses combats antiracistes, Lilian Thuram, son partenaire de la défense des Bleus lors de la finale du Mondial 2006, s'est dit "surpris et déçu" sur Europe 1. "Ça me surprend effectivement, parce qu'il n'a jamais tenu ces propos avant", explique "Tutu", avant d'ajouter: "Malheureusement, il y a toujours eu des préjugés sur les personnes venant d'Afrique, les personnes qui sont noires; on les enferme toujours dans leur force et on nie chez eux une certaine intelligence. Ces propos, ça conforte ces préjugés-là. Je crois quand même qu'en équipe nationale ou en club, (Sagnol) a dû jouer avec des joueurs d'origine africaine et il a pu peut-être constater quand même qu'il y avait des joueurs intelligents, disciplinés, qui étaient très bons tactiquement. Je suis vraiment surpris et déçu de tout ça." L'organisme juif SOS Racisme a aussi dénoncé dans un communiqué les propos de Sagnol, qui "renvoient à une expression décomplexée du racisme anti-noir", et a fustigé "l'association crasse des Noirs et des Nordiques respectivement aux registres du physique et de l'intelligence". L'association demande "que les instances - FFF, LFP et ministère des Sports - prennent des sanctions immédiates à la hauteur de la gravité de tels propos" et "étudie la possibilité de déposer une plainte dans les jours qui viennent". "Willy Sagnol éprouve un sentiment d'incrédulité et de colère face à l'interprétation erronée et raccourcie de ses propos", a fait savoir le club bordelais, qui a accueilli cette polémique avec "stupeur et indignation". Les Girondins rappellent aussi que l'entraîneur bordelais a confié le capitanat à l'international sénégalais Lamine Sané, "ce qui démontre la mauvaise foi de ceux qui interprètent les propos de (leur) entraîneur". Cette polémique rappelle évidemment le coup de tonnerre dans le foot français quand, le 28 avril 2011, Mediapart lançait que des "quotas discriminatoires officieux" pour les binationaux avaient été approuvés par "plusieurs dirigeants de la FFF, dont (Laurent) Blanc", alors sélectionneur. Le 30 avril, le site d'information diffusait le verbatim d'une réunion de la Direction technique (DTN) sur le cas des binationaux, enregistrée le 8 novembre 2010, à l'insu des participants. Blanc y prononçait deux phrases qui firent scandale: "Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants? Les blacks", et "les Espagnols, ils m'ont dit: Nous, on n'a pas de problème. Nous, des blacks, on n'en a pas." Le sélectionneur, qui avait présenté ses excuses, fut finalement dédouané après enquête fédérale et ministérielle. Meurtri et soumis à une pression médiatique intense, Blanc avait "songé à démissionner".

Au lendemain des déclarations de Willy Sagnol parues dans les colonnes du quotidien Sud-Ouest, Lilian Thuram, roi de la pleurniche, ex-coéquipier de l’entraîneur girondin et ancien membre du Haut Conseil à l’intégration de la femme dans les appareils électroménager, a tenu à réagir (http://rmcsport.bfmtv.com/football/thuram-il-ne-fa...celui-des-prejuges-844754.html). Selon lui, tout est question de formation à la question et d’éducation sur le sujet. Lilian, que vous inspirent les déclarations de Willy Sagnol dans le cadre d’une table ronde avec les lecteurs du quotidien Sud-Ouest? J’ai joué avec Willy, c’est quelqu’un que j’estime, que je connais très bien, on a joué très longtemps ensemble. Je crois qu’il ne faut pas faire le procès de Willy Sagnol, il faut faire le procès des préjugés. Chacun de nous sommes porteurs de préjugés, et donc voilà pourquoi les personnes qui travaillent dans le milieu du foot, qui ont une certaine exposition médiatique, doivent être éduquées sur ce sujet-là. Comment les «éduquer»? Il y a des formations pour les entraîneurs, les éducateurs, les arbitres… On pourrait imaginer justement que pendant cette formation, il y a une certaine sensibilité sur ces sujets-là… Je crois que nous irions alors dans la bonne direction. Et la bonne direction, ce n’est pas simplement d’attendre qu’à chaque fois il y ait quelqu’un qui dise une phrase ou deux… Il faut aller plus loin, et dire voilà effectivement, on entend certaines choses que l’on peut déconstruire très facilement. Mais pour que ça ne puisse plus arriver, il faut penser justement à mettre en amont dans le cursus des éducateurs et des personnes qui gravitent dans le milieu du foot une formation sur ces sujets-là. Selon vous, que voulait dire Sagnol précisément? Exactement ce qu’il a voulu dire, je ne sais pas mais ce qu’on peut comprendre de façon implicite, c’est que le joueur type africain n’aurait pas certaines qualités comme l’intelligence, la tactique ou la rigueur…Un joueur comme Sané, capitaine des Girondins et d’origine sénégalaise, a dû apprécier… Il faudrait lui demander directement mais encore une fois, ce que je tiens à dire, c’est que l’intérêt de la réflexion qu’on doit avoir, c’est de savoir comment tordre le coup aux préjugés qui circulent dans notre société. Personne n’est à l’abri des préjugés? Chacun de nous, nous pouvons véhiculer des préjugés. C’est pour ça que quand il y a des préjugés, nous devons nous arrêter pour pouvoir savoir intelligemment comment mettre fin à ça. Parce que si jamais de générations en générations on continue de véhiculer ces préjugés, c’est sans fin. L’idée, c’est de réfléchir tous ensemble pour savoir comment éduquer les éducateurs, les formateurs, les entraîneurs, les arbitres pour qu’ils soient sensibilisés à ces sujets de société qui peuvent être l’homophobie, le sexisme, le racisme, pour qu’on ne puisse plus véhiculer ces messages. Et ce n'est pas la juive Rama Yade qui nous dira le contraire.


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Déjà en kiosque!

Воскресенье, 02 Ноября 2014 г. 21:21 + в цитатник

«On n'est pas dans la merde, mais on étudie les recours!»

Le Jerusalem Post s’est fait l’écho des différents procès contre le publiciste Boris Le Lay, l’écrivain Hervé Ryssen ou encore l’artiste Dieudonné. Le journal israélien a applaudi à la vague de répression politique qui s’abat contre ceux qui critiquent l’influence délétère du lobby sioniste dans la vie publique française (http://breizatao.com/2014/11/02/le-jerusalem-post-...-le-lay-herve-ryssen-dieudonne). Le Jerusalem Post s’est d'ailleurs félicité de l’annulation par un tribunal des dédommagements accordés à Dieudonné par la justice. Ce jugement faisait suite à l’annulation préventive par le ministre de la Police, Manuel Valls, de ses spectacles début 2014. Le même journal a en revanche répandu 6 millions de larmes sur le jugement autorisant la diffusion des affiches “La Mafia juive”, du nom du livre éponyme de Hervé Ryssen. Une victoire certaine que notre compatriote a justement annoncé sur son compte Facebook. Enfin, le cas de la condamnation délirante à 3 mois de prison fermes de notre éditorialiste, Boris Le Lay. Cette répression mondiale a également touché cette semaine le Royaume-Uni où Garron Helm, un militant nationaliste, a été arrêté et emprisonné pour avoir écrit sur Twitter que la député juive de gauche pro-immigrationniste Luciana Berger était… “juive” et “communiste”! Oui, dans le pays de l’Habeas Corpus constater qu’une juive est juive et qu’une communiste est communiste suffit à vous mener désormais en prison. Une vaste campagne menée depuis les USA sur Twitter, a contraint le gouvernement britannique à relâcher Garron Helm. Dans le même temps, un activiste antisioniste australien, Brendon O’Connell, a été lui aussi interpellé pour avoir critiqué l’État d’Israël dans une conversation téléphonique qu’il a enregistré et diffusé sur le net. Il a depuis été relâché, faute d’éléments solides. Nous sommes clairement entrés dans une nouvelle phase de répression de ceux qui dénoncent haut et fort le rôle joué par le lobby sioniste mondial. Le lobby est pris de panique et ne sait plus où donner de la tête pour contenir la libération de la parole, en France, en Australie ou en Grande-Bretagne, comme on l’a vu. C’est trop tard, les peuples du monde entier se réveillent et ne se soumettront plus.


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Une partie de Pokemon tourne mal

Воскресенье, 02 Ноября 2014 г. 20:28 + в цитатник

L’Allemagne sous le choc. Une classe d’un lycée à Landsberg, en Bavière, est visée par une enquête. Parmi les 29 élèves, certains adolescents ont communiqué des slogans nazis, tels que «Heil Hitler», loué le dictateur allemand comme étant un «grand homme», ou proféré des insultes antisémites, par l’intermédiaire de l’application de messagerie instantanée WhatsApp (https://www.stormfront.org/forum/t1071223). Des photos échangées par les adolescents, âgés de 14 ou 15 ans, faisant le salut nazi ou arborant des moustaches d’Adolphe Hitler ont été diffusées dans le quotidien Bild, mardi. Un des messages, une blague sur les chambres à gaz, a également été diffusé. «Pourquoi Hitler s’est suicidé? Parce que les Juifs lui ont envoyé la facture de gaz». Les parents d’élèves, scandalisés par cette affaire, pointent du doigt la faible probabilité que toute la classe soit impliquée. «Quand j’ai ouvert le journal et que j’ai lu l’article, j’ai cru à un mauvais rêve», explique Eli Gampel, l’un des parents d’élèves. Cet ancien chef de la communauté juive locale ajoute que son fils a déjà été victime de harcèlement. «Mon fils m’a dit qu’une personne lui avait collé sur sa veste un sticker du NPD [parti nationaliste d’extrême droite]». Un autre a reçu un infâme courrier avec la célèbre phrase du Maréchal Gertruger mort sur le front de l'Est: «Pour le juif, une bonne savonnette dans le cul, ça lui rappelle ses origines!» Un porte-parole de la ministre de l’Éducation de Saxe-Anhalt s'est déclarée choquée. «Si c’est vrai, il ne peut y avoir qu’une seule voie à suivre: la tolérance zéro». Les échanges transmis par WhatsApp ont été transférés à la police et à la justice allemandes. Un psychologue juif doit rencontrer les étudiants.

Même si ça n'a rien à voir avec la choucroute, Robert Faurisson verra son procès en appel contre Le Monde, journal oblique selon le Professeur, et contre sa journaliste Ariane Chemin, se dérouler à Paris le jeudi 6 novembre 2014 à 13h30 au Palais de justice, Pôle 2, Chambre 7 de la cour d’appel, sis 4 boulevard du Palais, à Paris (1er) (http://breizatao.com/2014/11/02/proces-du-heros-ro...son-contre-le-journal-le-monde). Le tribunal correctionnel de Paris avait débouté, jeudi 16 janvier dernier, Robert Faurisson qui poursuivait pour «injure publique» Le Monde et sa journaliste Ariane Chemin, auteur d’un article malhonnête sur l’historien révisionniste. Dans cet article intitulé «Le jour où Le Monde a publié la tribune de Faurisson» – une tribune de 1978 – Robert Faurisson était présenté comme un «menteur professionnel», «falsificateur » et «faussaire de l’histoire», ce dernier mot étant emprunté à l’ancien garde des sceaux Robert Badinter. Le Professeur avait choisi ces trois qualifications pour attaquer le journal. En première instance, la représentante du ministère public avait fait valoir qu’en attaquant pour injure publique et non en diffamation, le plaignant privait la défense des dispositions de la loi de 1881 sur la liberté de la presse. À l’inverse de la diffamation, l’injure publique «ne renferme l’imputation d’aucun fait», la partie attaquée ne peut donc apporter aucune preuve à l’appui de ses propos. Le tribunal avait suivi cette argumentation. Mais, le professeur, de son côté, fait valoir que pas un instant la partie adverse ne précise où, quand et comment il aurait pu, dans ses affirmations, ses démonstrations et ses conclusions révisionnistes user de mensonge, de faux ou de falsification. La partie adverse a choisi la solution de facilité qui consiste à injurier sans avancer le moindre exemple ou la moindre preuve à l’appui de ce qui reste de simples injures. En première instance, Me Cohen-Richelet s’est simplement aventurée à prétendre que M. Faurisson n’était nullement professeur mais seulement maître de conférences, ce qui avait pourtant été démenti en 2007 au procès Badinter lorsqu’un témoin de ce dernier, le professeur Henry Rousso, avait rétabli la vérité des faits: oui, M. Faurisson était bel et bien professeur. Cette vérité sera au besoin confirmée en appel par la production d’une pièce administrative. Il est à noter que, dans le flot de procès qui lui ont été intentés depuis 1979, y compris pour “dommage à autrui par falsification de l’histoire” (sic), jamais le professeur n’a été condamné, en France ou à l’étranger, pour mensonge, faux ou falsification. Au contraire, comme il en apportera la preuve, la première chambre, section A, de la cour d’appel de Paris, a rendu justice à la qualité de ses travaux sur “le problème des chambres à gaz” tout en le condamnant apparemment pour malveillance. L’avocat de Robert Faurisson sera Me Bonneau, du barreau de Toulouse. Me Cohen-Richelet sera l’avocate de la partie adverse. Espérons qu'il ne tombe sur des affiliés au Syndicat de la Magistrature, déjà qu'ils n'aiment pas les singes. Il convient, pour ceux qui veulent soutenir le Professeur dans une de ses nombreuses épreuves judiciaires, d’arriver suffisamment à l’avance pour prendre place dans la file d’attente du début du Boulevard du Palais (Métro Cité).


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La $hoah, c'est de l'épidémie.

Суббота, 01 Ноября 2014 г. 13:50 + в цитатник

On sait depuis longtemps que les camps de concentration ont subi des épidémies de Typhus amplifiées en fin de guerre par la grande difficulté à alimenter correctement la population allemande, et par voie de conséquence les prisonniers regroupés devant l'avancée des forces armées russes. La malhonnêteté du juif, c'est de jouer avec les chiffres en nous cachant les causes réelles des décès. Il n'a pas compris qu'en faisant passer tous les cadavres morts de Typhus et de malnutrition en profit et perte de la $hoah, il disqualifie cette dernière de manière définitive. Question de logique, si toutes les victimes sont maigres, et tous les survivants sont gros, normaux ou maigres, c'est que: Oh Low Cost égal maladies!

La mobilisation contre le virus Ebola ne doit pas conduire à "terroriser" la planète en stigmatisant l'Afrique dans son ensemble, a mis en garde samedi 12 Octobre 2014 la directrice générale du FMI Christine Lagarde. "Nous devons faire preuve d'une extrême prudence pour ne pas terroriser la planète vis-à-vis de l'Afrique dans son ensemble", a déclaré la patronne du Fonds monétaire international à Washington (http://afrique.lepoint.fr/actualites/ebola-il-ne-f...de-12-10-2014-1871596_2365.php). L'épidémie d'Ebola, qui a fait plus de 4 000 morts, est pour l'heure concentrée dans trois pays d'Afrique de l'Ouest (Liberia, Sierra Leone, Guinée). "Ces trois pays sont sévèrement touchés et nous essayons de les aider autant que possible. L'urgence est de stopper et contenir" l'épidémie, a pointé Christine Lagarde, ajoutant toutefois que l'Afrique dans son ensemble n'était pas touchée. Ailleurs sur le continent, "les affaires doivent continuer, les économies des autres pays doivent continuer à agir et à créer des emplois", a exhorté la directrice du FMI. Plus tôt dans la journée, la dirigeante avait appelé à rompre l'isolement des trois États africains les plus touchés en arborant lors d'une conférence de presse un badge proclamant: "Isolez Ebola, pas les pays". "Isolez Ebola, pas les pays". La mobilisation de la communauté internationale "doit servir à éradiquer Ebola, pas à isoler les pays eux-mêmes", avait-elle indiqué en présentant les conclusions de l'instance politique du FMI (le CMFI) qui s'est dit inquiet de l'impact "humain et socio-économique" de l'épidémie. Selon la Banque mondiale, l'épidémie pourrait coûter plus de 32 milliards de dollars à l'Afrique de l'Ouest d'ici fin 2015. Le Comité du développement, organe conjoint de la Banque mondiale et du FMI, a lui appelé samedi à une action financière "rapide" et "coordonnée". "Au-delà de la tragédie humaine, les pertes économiques enregistrées dans les pays affectés sont désastreuses. Une action et une aide financière rapides et coordonnées sont indispensables pour circonscrire et atténuer l'impact économique direct et durable de cette crise", a indiqué ce Comité pendant la réunion d'automne des deux institutions de Bretton Woods.

Et maintenant, paraphrasons gaiement cette vieille dinde: La mobilisation contre le Typhus ne doit pas conduire à "terroriser" la planète en stigmatisant le Nazisme dans son ensemble, a mis en garde samedi 12 Octobre 1945 le procureur général de Nuremberg. "Nous devons faire preuve d'une extrême prudence pour ne pas terroriser la planète vis-à-vis du Nazisme dans son ensemble", a déclaré le patron du Fonds monétaire international à Tel Aviv.


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"Pris le nez dans le sac!"

Суббота, 01 Ноября 2014 г. 12:35 + в цитатник

Le juif Jean-François Copé pouvait-il vraiment ignorer la gabegie à l’œuvre au sein de son parti au cours de la campagne de 2012? Une note adressée à l'ex-patron de l'UMP pendant l'entre-deux-tours de la présidentielle, dont Le Point révèle l'existence dans son enquête "Les enfants gâtés de l'UMP", vient fragiliser la défense de celui qui se présente comme "l'homme qui ne savait rien" (http://www.lepoint.fr/politique/affaire-bygmalion-...cope-31-10-2014-1877634_20.php). Dans ce document, retrouvé par les policiers au siège de l'UMP, Fabienne Liadzé, la directrice des ressources, alerte son secrétaire général, Jean-François Copé, sur les difficultés financières du parti. "Si rien n'est fait pour débloquer cette situation, l'UMP sera en défaut de paiement à partir de ce lundi 30 avril", écrit la comptable le 27 avril 2012. Nous sommes alors à quelques jours du second tour de la présidentielle. Plus de sept millions d'euros ont déjà été virés par l'UMP sur le compte d'Event & Cie, la filiale de Bygmalion chargée d'organiser les meetings de Nicolas Sarkozy. Le tiers seulement de la somme globale que le parti aura finalement versée à Event en 2012. Cette année-là, plus de 22 millions d'euros sont sortis des caisses de l'UMP pour atterrir sur le compte du prestataire. Copé avait même déclaré aux enquêteurs: "Tout ceci a été une révélation sidérante". À en croire les dirigeants de Bygmalion, cette manne aurait essentiellement été débitée pour la campagne de Nicolas Sarkozy. C'est du moins ce que laisse penser une comptabilité interne remise aux enquêteurs le 27 mai dernier par Patrick Maisonneuve, l'avocat de la société de communication, cogérée par deux proches de Jean-François Copé. Plus de 18 millions d'euros de dépassement de frais de campagne auraient été dissimulés, via notamment de fausses conventions facturées à l'UMP. Entendu comme témoin le 26 mai, Jean-François Copé avait, pour sa part, affirmé n'avoir jamais eu connaissance de ces mouvements d'argent. "Tout ceci a été une révélation sidérante, je n'avais jamais été informé d'irrégularités dans les dépenses et les procédures de l'UMP", déclarait l'ex-patron de l'UMP aux enquêteurs. Un aveuglement qu'il continuera de plaider devant les caméras, avant d'entamer une longue hibernation médiatique dont il n'est toujours pas sorti depuis sa démission de la présidence de l'UMP en juin dernier. La note de Fabienne Liadzé prouve pourtant que Jean-François Copé a été informé des difficultés financières de son parti, au moins dès la fin du mois d'avril 2012. Après qu'il a pris les rênes de l'UMP, en 2010, les caisses se sont progressivement asséchées. Alors qu'en 2008, les comptes affichaient un solde positif de dix millions d'euros, trois ans plus tard, l'excédent n'est plus que de 280 000 euros. Dès la fin 2012, les finances de l'UMP sont dans le rouge avec un solde négatif de près de 40 millions d'euros. Entre-temps, l'endettement du parti a grimpé en flèche. De 44 millions d'euros en 2011, le montant des sommes empruntées par l'UMP a augmenté de 120 % en un an pour atteindre 96 millions d'euros en 2012. Des problèmes de trésorerie auxquels la société Bygmalion n'est pas étrangère. En plus des vingt-deux millions perçus en 2012, la petite start-up créée en 2008 a encaissé de l'UMP près de cinq millions d'euros en 2011, via sa filiale Event & Cie. "C'est à Copé qu'il faudra poser la question" (Césari) "Comment, dans ces conditions, Jean-François Copé n'a-t-il donc pas pu connaître le montage mis en place pour faire supporter au parti qu'il dirige des dépenses qui relèvent de la campagne de Nicolas Sarkozy?" ont demandé les enquêteurs à Éric Césari lors de garde à vue le 2 octobre dernier. "C'est à lui qu'il faudra poser la question", a répondu ce proche de Nicolas Sarkozy, qui a officié comme directeur général de l'UMP de 2008 à juin 2014. Après les nouvelles perquisitions réalisées ce mercredi 29 octobre au siège de l'UMP, les soupçons s'accumulent autour de l'ancien chef du parti. Nul doute que Jean-François Copé devrait être prochainement réentendu par les enquêteurs pour s'expliquer à nouveau sur sa version des faits, à moins qu'il ne décide de rejoindre la longue liste de ceux qui …..


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Au Pérou, une $hoah en poil de lama.

Пятница, 31 Октября 2014 г. 04:26 + в цитатник

Synonyme de "régression", le Nationalisme constitue "la plus grave menace pour la construction de l'Europe", estime le prix Nobel péruvien de littérature, Mario Vargas Llosa, qui vient d'adapter pour le théâtre le Décaméron de Boccace (http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/deta...ave-menace-pour-l-Europe.dhtml). "C'est incroyable que cela réapparaisse en Europe, où l'on pensait avoir dépassé cet état si limité", s'est alarmé vendredi l'auteur de "La tante Julia et le scribouillard", en marge de la "Fête du livre" d'Aix-en-Provence, dont il est l'invité d'honneur. Fustigeant "une vision tellement sectaire, limitée, de la vie, qui produit toujours la guerre, la discrimination, le racisme", le prix Nobel de littérature 2010, a jugé que "c'est exactement le contraire de ce qu'est la civilisation, l'intégration dans la diversité". "Quand il y a une crise, il y a ce que (Karl) Popper appelait le retour à la tribu, à cette protection collectiviste", a-t-il ajouté, lors d'une conversation avec quelques journalistes; or, selon lui, "s'enfermer dans ce qu'on connaît, c'est la régression!" "C'est la menace la plus grave pour la construction de l'Europe", affirme-t-il dans un français parfait. Auteur d'une trentaine d’œuvres (romans, théâtre, essais...), Mario Vargas Llosa, 78 ans, se montre en revanche "plutôt optimiste pour l'Amérique latine", où "avance la culture démocratique". "Aujourd'hui en Amérique latine, il y a un consensus en faveur de la démocratie et même de l'économie ouverte de marché, ce qui auparavant été impensable", se félicite cet intellectuel qui se présente comme "libéral", même si ce mot a été, selon lui "satanisé" et "associé à tous les malheurs de l'humanité". "Il n'y a pas de dictature militaire. Il y a certes Cuba, qui est une dictature plus ou moins anachronique, et le Venezuela, qui marche vers la dictature, mais n'y est pas encore totalement, car il y a une opposition très vivante", constate ce farouche opposant au régime castriste. Il observe d'ailleurs, non sans un certain amusement, que des gouvernements classés très à gauche, comme celui d'Evo Morales, en Bolivie, et de José Mujica, en Uruguay, adoptent des mesures qu'il juge libérales. "En Uruguay, ce gouvernement d'extrême gauche, au début, est exemplairement démocratique et a mis en œuvre des réformes libérales extraordinaires comme le mariage gay, et la libéralisation de la marijuana. Bienvenu à un socialisme comme celui de Mujica! Cela n'a rien du socialisme, seulement le nom". Et de souligner, en forme de clin d’œil au gouvernement français que "même en France, on propose des mesures libérales pour répondre à la crise. On ne les appelle pas libérales, mais elle le sont, objectivement. Ce sont des mesures libérales, pas exactement des mesures socialistes...". Outre le regard acéré qu'il porte sur le monde, l'écrivain fourmille de projets littéraires. Il vient de terminer l'écriture d'une pièce de théâtre, "Les contes de la peste", inspirée "de manière très libre" du "Décaméron" de l'écrivain italien de la fin du Moyen-Age Boccace, "une œuvre qui m'a toujours impressionnée", explique-t-il. Dans cette pièce "qui sera montée début 2015 à Madrid", il retrace l'histoire de "jeunes gens, enfermés dans un jardin de Florence", frappée par la peste, et "qui décident d'échapper à la mort en se racontant des histoires". L'écrivain "commence aussi" un roman situé au Pérou", son pays natal, mais ne sait "pas encore très bien ce qu'il va s'y passer". Se félicitant de la vigueur d'une littérature latino-américaine "très vivante", où "il est plus facile pour un jeune écrivain d'être publié que voici 50 ans", notamment en raison d'un cosmopolitisme croissant et "de plus de sympathie de la part du public local pour les auteurs natives", Mario Vargas Llosa demeure un admirateur définitif de la littérature française. Il en lit "surtout les écrivains du passé", car "je suis devenu un peu vieux..." dit-il, et "toujours les mêmes": Hugo, Flaubert, Stendhal, et Malraux "pas toujours reconnu alors que "La condition humaine" est un chef d’œuvre du XXe siècle", dit-il. A Sartre, il préfère désormais Camus "et son idée tout à fait juste qu'on ne peut écarter la morale de la politique", qui sinon conduirait "à la violence, à la brutalité, à l'intolérance, c'est-à-dire au despotisme et au totalitarisme". Allez, ce que l'on peut conseiller au métèque avec son antiracisme, son inculture, son amour du Youpin, sa libéralisation des drogues, c'est d'abord de péter un bon coup, de passer Malraux au four, et puis de découvrir Louis-Ferdinand Céline.


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A mi-chemin entre grosse vache et vieille macaque.

Пятница, 31 Октября 2014 г. 03:48 + в цитатник

Comme vous le savez, le dessinateur David Miège vient d’être trainé devant la 17 ème chambre du tribunal correctionnel de Paris pour crime de lèse-Taubira, qualifié d’injure à caractère racial. Deux mille euros d’amendes dont mille avec sursis ont été requis, l’affaire est en délibéré jusqu’au 30 octobre. Ces sont des poursuites ubuesques, abusives, indignes d’un état de droit! (http://www.delitdimages.org/soutenons-david-miege) Heurté par la judiciarisation à outrance et ses corollaires… voulant donc s’en moquer, en octobre 2013, ce grand adepte de la liberté d’expression avait dessiné un petit singe pleurant à côté d’un avocat, lequel expliquait que son client portrait plainte pour avoir été odieusement caricaturé en madame Taubira, dessin publié dans la page qu’il illustre dans le magazine Minute, contre lequel fut requis, au cours de la même audience, 5 000 euros d’amende et 1 mois de prison avec sursis pour le directeur de la publication! Étrangement… C’est encore lors de la même audience que devait advenir le second procès d’Anne-Sophie Leclère, à nouveau et encore, poursuivie par le parquet de Paris, pour avoir posté sur sa page Facebook le photomontage d’un bébé singe et de madame Taubira, alors en circulation sur Internet.. Tout le monde connaît le jugement guyanais, plus qu’inique, qui la condamna à 9 mois de prison ferme, 50 000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité (lire le détail des attendus du jugement ). C’est donc dans ce contexte que s’est plaidée l’affaire Miège/le MRAP ou plutôt, Miège/Taubira, prouvant ainsi que ce dessinateur a bien raison de dénoncer les excès de procédures en tous genres, dont ceux d’associations paranoïaques, taxant de raciste tout ce qui est de droite (MRAP, SOS Homophobie, La maison des potes…) et la politisation extrême de la «justice» taubiraesque. Dans certains pays, les héros nationaux ont un jour dédié, il semble donc que celui dévolu à madame Taubira soit désormais le 24 septembre puisque en ce jour, le magazine Minute fut aussi convoqué pour un tout autre crime de lèse-Taubira, une couverture de novembre 2013 titrant: «Maligne comme un singe Taubira a retrouvé la banane», méfait contre lequel fut requis 10 000 euros d’amende, 45 ooo euros de dommages et intérêts pour les diverses associations, parties civiles, plus  3 mois de prison avec sursis pour le directeur de la publication! Vous aurez remarqué que l'on peut représenter un homme blanc en ours, corbeau, grenouille, cochon sans que cela ne choque personne, mais qu'il est interdit de faire de même avec des gens issus de l'immigration sous peine de rencontrer de graves poursuites pénales manigancées par la judéocratie en poste. Madame Taubira ne se voit pas singe, peut-être que le costume de blatte lui siérait mieux, ou alors vers solitaire, poule, sangsue, mouche, araignée. C'est vrai qu'à l'époque du Bêbête Show, elle était encore dans sa jungle à trafiquer ses faux diplômes, mais qu'elle se rassure, nous sommes ouvert d'esprit!

«J'arrive, j'ai encore crevé mais j'arrive!»

Une justice drastique! Mais pas pour tout le monde… Quelques jours plus tard…  Plantu, auteur d’un ignoble dessin christianophobe, représentant le pape Benoît XVI sodomisant un enfant, publié en mars 2010 sur son site, puis repris le 3 avril suivant par Le Monde Magazine, dessin intitulé «Pédophilie: le pape prend position», faisant déclarer au pape: «Quitte à se faire enculer, autant aller voter dimanche!» (référence aux élections régionales), vient d’être relaxé!!! Soutenant en l’espèce la liberté d’expression (quand elle est de gauche), le tribunal a concédé que cela pouvait certes susciter l’indignation dans le contexte d’une polémique somme toute normale mais n’en a pas moins condamné l’AGRIF à verser à Plantu 2000 € pour ses frais de procédure… Sans parler de Ruquier qui avait exhibé dans son émission télévisée deux dessins «humoristiques» de Charlie Hebdo, l’un représentant l’arbre généalogique de Marine Le Pen sous la forme d’une croix gammée, avec le visage de la présidente du FN au centre, l’autre représentant une fausse affiche de campagne montrant un étron fumant avec pour légende: «Marine Le Pen, la candidate qui vous ressemble»… Le procureur ayant estimé que Laurent Ruquier n’avait pas injurié Marine Le Pen, son émission étant une «émission humoristique», il ne fut condamné qu’à 1000 euros d’amende avec sursis et 2000 euros de dommages et intérêts… Sans parler de Charb, dessinateur et directeur de la publication de Charlie Hebdo qui avait, en octobre 2013, caricaturé Madame Taubira en singe sans être inquiété… et d’autres dessinateurs ayant publié des dessins similaires à celui de David Miège, lesquels étant de gauche ne sont pas poursuivis (voir les dessins et celui de Miège). Étouffer la liberté d’expression par tous les moyens! Depuis l’avènement de Hollande et des siens, l’on ne peut que remarquer combien le socialisme use de ses pouvoirs et prérogatives pour museler tout humour (de droite) ou forme d’opposition, poursuivant et faisant condamner par ses juges avec virulence. C’est ainsi que le directeur de la publication du Salon beige est aussi mis en examen, que Pierre Cassen, Pascal Hilout, Christine Tasin de Riposte Laïque et bien d’autres ont été lourdement, iniquement et très onéreusement condamnés. L’on savait les socialistes surdoués pour taper au portefeuille de la France et des Français, allégrement et sans vergogne, l’on sait aussi désormais qu’ils usent de tous moyens pour ruiner, museler tout ceux qui osent s’élever contre leur idéologie, leurs méthodes et leur arbitraire. Soutenons David Miège! Pour épauler David Miège, Délit d’Images vous avait déjà appelé à l’aide et remercie infiniment tout ceux qui l’ont déjà fait. Hélas, la somme est insuffisante pour lui permettre d’affronter les importants frais de défense, et si par «hasard’, il était relaxé, étant poursuivi par le parquet donc par l’état français, contrairement à Plantu, il n’obtiendrait qu’environ 100 euros (et encore…) de dédommagement… Il manque donc 3000 euros (dont les frais de collecte) pour faire face. Par avance, nous remercions les nouveaux donateurs qui voudront bien le soutenir à leur tour. Toute somme dépassant les frais réels servira à au développement de Délit d’images, à d’autres défenses, comme à soutenir nos amis caricaturistes de droite qui sont, à l’heure actuelle, dans le collimateur du pouvoir socialiste, et intensifier notre action en faveur de la liberté d’expression. (Les dons fais à Délit d’images sont déductibles de l’impôt sur le revenu, ainsi 100 euros de dons ne vous coûtent-ils en fait que 33 euros). Attention, personnellement, on n'a jamais dit que Taubira était un singe. Car le singe, lui au moins, il sait éplucher sa banane tout seul, et que même il a été dans l'espace!


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Une mosquée à Quimper.

Пятница, 31 Октября 2014 г. 03:17 + в цитатник

Voici donc le fameux aréopage: l’Union Démocratique Bretonne, manifestant dans les rues de Quimper aux côtés de l’extrême-gauche hexagonale pour imposer l’édification d’une mosquée sous la coupe de l’AKP (islamiste turc) dans cette ville. Il n’y a là que rien de très logique pour la chienlit gauchiste de ce parti. Tapin du Parti Socialiste, ce ramassis sert depuis toujours les ennemis de notre peuple mais c’est probablement là un tournant historique qui aura un impact durable. La gauche hexagonale contre le Peuple Breton. (http://breizatao.com/2014/10/24/psudbverts-mosquee...se-ses-electeurs-dans-nos-bras) N’est-il pas édifiant de voir ces vieux gauchistes – qui dénoncent depuis des décennies “le patriarcat” au nom d’un féminisme sans concession – se faire les promoteurs de la religion la plus radicalement ségrégationniste envers les femmes! Voilà qui ne manque pas de sel: l’extrême-gauche laïcarde qui vole au secours d’un parti religieux, l’AKP, qui ré-islamise la société turque – contre les forces de gauche de ce pays – et finance le djihadisme en Syrie. Bien qu’anticléricale, cette gauche française préfère se livrer, par haine de la culture européenne, à la défense aveugle de l’islam conquérant. Quitte à devenir l’idiote utile de groupes politico-confessionnels radicalement “réactionnaires”, comme jadis elle qualifiait les tenants de “l’opium du peuple”. Mais est-ce surprenant quand on sait que le responsable de ce parti à Saint-Nazaire justifiait, il y a quelques semaines, l’égorgement d’un otage français en Algérie par des djihadistes? L’ethno-masochisme de ces fous est sans limite. Comme nous l’avons dit, les idées de gauche ne constituent pas une sensibilité politique mais une psychopathologie suicidaire. L’UDB incarne de façon caricaturale cette schizophrénie. Naïg Le Gars, représentante de ce parti à Quimper, joue bien sûr le rôle de putain de l’islam conquérant. La gauche se coupe de son électorat laïcard. Remercions cependant les ethno-gauchistes de l’UDB et leurs compagnons du PS ou d’EELV pour la démontration qu’ils font à leurs électeurs laïcards – dont de nombreux professeurs – du véritable projet politique qu’ils nourrissent. Alors que la gauche est totalement discréditée, incapable d’entrer économiquement dans le XXIème siècle, voici qu’elle se marginalise volontairement auprès de son électorat “historique” particulièrement hostile aux religions en général, et de plus en plus au fanatisme musulman en particulier. Rappelons que pour la seule année 2013, soit avant l’aggravation du phénomène islamiste, 73% des Français déclaraient avoir une image “négative” de cette fausse religion. Ils étaient 74% la même année à la voir religion comme “intolérante”. Ce n’est pas peu dire que s’afficher en soutien de l’islamisme conquérant est loin d’être une idée porteuse dans l’opinion publique. Le moment, en outre, ne pouvait être mieux choisi: à quelques jours des attentats d’Ottawa, tandis que l’opinion publique quimpéroise se rappelle d’une jeune volontaire au jihad arrêtée en août! Sans parler des meurtres commis par l’Etat Islamique avec son lot de décapitations… Une gauche qui ne comprend plus rien. Vraiment, nous ne pouvions espérer avoir des ennemis aussi idiots que ces archéo-gauchistes qui poussent dans nos bras leurs propres sympathisants historiques. Cette gauche hexagonale ne comprend plus rien de ce qui se joue. Elle est paralysée par ses réflexes émotionnels qui la poussent à combattre un “fascisme” inexistant et à s’associer pour cela au fanatisme islamique. Qu’ils continuent, le peuple tient ses comptes à jour! Tout en se méfiant quand même, car ...


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Des femmes de caractère

Суббота, 25 Октября 2014 г. 19:47 + в цитатник

Spécialiste reconnue de la $hoah, notamment au sein de l’US Oh Low Cost Memorial Museum, l'historienne américaine Wendy Lower lève le voile pudique qui couvrait jusqu’à présent l’un des sujets les plus méconnus de la Seconde Guerre mondiale: la participation des femmes allemandes à la Solution finale. Un livre fort, d’une écriture directe et ponctuée de témoignages directs, qui prouve une fois encore que, non, le conflit mondial n’a pas encore livré tous ses secrets (http://blogs.lecho.be/lupourvous/2014/10/ces-allem...cip%C3%A9-%C3%A0-la-shoah.html). L'ouvrage «Les furies de Hitler» (publié chez Tallandier) brise cette image d’Épinal de cette femme allemande «compatissante, perçue par les manuels d’histoire comme l’héroïne à qui il revenait de lessiver le passé honteux de l’Allemagne.» Après l’assaut allemand mené sur les pays de l’Est, de très nombreuses jeunes femmes, a priori sans histoire criminelle, sont parties dans ces nouveaux territoires, en Pologne ou en Ukraine. Et sont devenues, pour la plupart, des exécutantes zélées, fidèles aux instructions dépuration ordonnées par Adolf Hitler et ses sicaires. «Personne n’aurait jamais pu imaginer ce dont quelques unes d’entre elles se rendraient coupables dans les territoires occupés à l’Est.» Comme Johanna Altvater, jeune secrétaire allemande dont la «spécialité» était de tuer les enfants juifs par défenestration ou en leur tirant une balle dans la bouche, ou les deux en même temps. Les femmes présentées dans l’ouvrage furent toutes témoins, complices ou exécutantes, mais des victimes, certainement pas. «L’apolitisme des Allemandes fait partie des mythes de l’après-guerre. La totalité de la population féminine allemande, soit environ 40 millions, ne peut être qualifiée de victime.» Un tiers s’engagea activement dans une organisation liée au parti nazi. Toutes les professions furent touchées par cette volonté de s’impliquer volontairement dans le nettoyage de population. Un passage à l'acte qui répondait au désir participatif de cette dictature. De bonnes secrétaires, loyales, d’allure agréable, ont ainsi conjugué une profession normale et une aptitude remarquable à faire le mal. Sans plus de pitié que les hommes. Avec le soutien total du régime nazi et de la SS, les femmes sont devenues égalitaires dans l’horreur. Et les témoignages présents dans le document font froid dans le dos. Contrairement aux idées reçues et véhiculées par le cinéma ou la littérature, les pires criminelles nazies n’étaient pas les gardiennes de camps mais bien les infirmières. Avec comme premières victimes de la guerre les enfants infirmes, mal formés. Tous liquidés en masse. Soit plus de 8000 enfants euthanasiés sans remords (chiffres à vérifier). Des «furies de Hitler» qui n’étaient pas toutes des sociopathes marginales. C'est ce qui constitue d'ailleurs l'aspect le plus choquant du dossier. De leur point de vue, leurs actes n’étaient que l’expression de loyauté au régime nazi. «Aucune des femmes présentes dans l’ouvrage n’était forcée de tuer, ce qui nous rassure. En s’y refusant, elles n’auraient risqué aucune sanction.» Et après la défaite de l’Allemagne, la plupart de ces «furies» ont échappé au châtiment de la justice. Contrairement aux bourreaux masculins qui ont bien souvent connu la prison ou la peine de mort. Le carnet photographique permet de mieux comprendre pourquoi elles ont échappé au châtiment. Outre l’absence de témoignages fiables, beaucoup de témoins ayant été liquidés, qui aurait pu imaginer que derrière ces visages féminins, si doux, se cachait le sourire carnassier de la Bête immonde. Une lecture passionnante qui ne laisse pas indifférent son lecteur. Blah blah blah ..... Vous aurez tous compris ici que le juif essaye encore de nous refiler sa culpabilisation éternelle et collective dans le seul but d'en tirer une confortable rétribution. Sa fainéantise n'a de propension que sa haine de ceux qui travaillent honnêtement, et qui recherchent la vérité: Paul Rassinier, Robert Faurisson, Vincent Reynouard en tête!

Peut-on rire de l’exploitation de la mémoire de la $hoah? La romancière américaine Tova Reich signe une satire provocante sur l’exploitation de la mémoire de la $hoah. Sacrilège? En quatrième de couverture, l’argument de vente imparable: “(…) Mon Holocauste a fait scandale lors de sa sortie aux Etats-Unis.” (https://www.stormfront.org/forum/t1067938) Plus intrigant que cette aura sulfureuse revendiquée par l’éditeur, le fait que le roman de l’Américaine Tova Reich, paru en 2007 et traduit aujourd’hui en France, soit adoubé par Cynthia Ozick, l’une des plus grandes représentantes de la littérature juive américaine, et par Alain Finkielkraut, qui en a vanté les mérites sur deux pleines pages dans Le Journal du dimanche, mais aussi par des blogs révisionnistes. Comment est-ce possible? Satire sans limites qui éreinte toute forme de politiquement correct, Mon Holocauste met en scène les Messer père et fils, à la tête d’une entreprise florissante baptisée Holocaust Connections Inc., érigée sur ce slogan : “Faites de votre cause un Holocauste”. Le père, Maurice, qui aime enjoliver son passé de résistant, est aussi le président du musée du mémorial de l’Holocauste des États-Unis. Pour renflouer les caisses, il organise des visites VIP à Auschwitz pour les généreux donateurs afin de leur faire verser des larmes et des chèques à six zéros. Cela donne lieu à des pages où l’horreur côtoie le trivial, comme lorsque la guide débite les atrocités commises par les nazis alors que l’un des visiteurs engueule sa femme au téléphone. Ou que l’un des personnages, une jeune institutrice dépressive jusqu’alors “vierge de l’Holocauste”, prend pour argent comptant les mémoires de Binjamin Wilkomirski, faux rescapé des camps. Aux Etats-Unis, le New York Times a jugé Mon Holocauste scabreux et déplacé, pointant en outre que Tova Reich, épouse de l’ancien directeur du musée de l’Holocauste de Washington, réglait ses comptes. C’est ne pas voir la question essentielle que soulève son roman souvent très drôle, mais trop long et systématique. Contrairement à Edgar Hilsenrath et son génial Le Nazi et le Barbier ou à Martin Amis dont le dernier roman, The Zone of Interest (en France en août 2015), est un vaudeville à Auschwitz, Tova Reich n’écrit pas une comédie sur la Shoah, mais sur la façon dont chacun tente aujourd’hui de s’approprier voire d’exploiter cette mémoire sacralisée dans une surenchère narcissique, jusqu’à la vider de son sens. Dans le livre, tout le monde veut sa “part d’Holocauste” – les mormons, les catholiques, les Afro-Américains, les Tibétains, les “deuxième génération” qui veulent vivre la catastrophe par procuration et même un type “gourouisé” persuadé qu’il est la réincarnation d’un déporté. Un autre livre paru récemment interroge cette mémoire mais illustre aussi ce que dénonce Tova Reich : le premier roman de Frederika Amalia Finkelstein, L’Oubli (Gallimard), sur une jeune fille qui veut se débarrasser du poids de la Shoah pour – on schématise à peine – pouvoir écouter Daft Punk et boire du Coca tranquille. Encensé par une partie de la critique et par le nobélisé Le Clézio, ce livre truffé de maladresses embarrassantes pèche par autocomplaisance. A tout prendre, on préfère les provocations de Tova Reich.


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Sémites, Terrorisme, et Pétrodollars

Суббота, 25 Октября 2014 г. 18:35 + в цитатник

Alors qu'elle couvrait les événements de Kobané à partir de la frontière turque, Serena Chéhim, une journaliste libano-américaine travaillant pour la chaîne TV iranienne Press TV a trouvé la mort et son cameraman a été grièvement blessé dans un accident de circulation lorsque leur voiture a été pulvérisée par un poids lourd (http://www.contre-info.com/disparition-des-videos-...t-lonu-dans-le-soutien-a-daesh). Elle avait réussi à se procurer des images de miliciens de l’État Islamique qui rejoignaient le théâtre des opérations en Syrie en se dissimulant dans des camions de diverses ONG ainsi que du Programme Alimentaire Mondial de l’ONU (PAM). Ces transferts s’effectuent avec l’approbation des autorités turques qui auraient assassiné Serena Chéhim afin de l’empêcher de diffuser les documents en question. La journaliste se disait préoccupée et avait fait savoir à d’autres confrères sur place qu’elle craignait pour sa vie. Tous ses enregistrements, photographies et preuves n'ont pas été retrouvés sur la scène de l'accident. Le meurtre commandité par les amis de Laurent Fabius ne fait aucun doute.

Un plan stratégique est actuellement mis en œuvre par les États-Unis et leurs alliés saoudiens. Les Saoudiens, lors d’une rencontre avec le gouvernement américain, se sont engagés à briser économiquement la Russie en organisant la baisse des cours du pétrole, dont dépend largement l’économie russe, tandis que Washington s’est engagé à élargir son opération militaire en Syrie afin de frapper Bashar El-Assad et le faire chuter (http://breizatao.com/2014/10/11/baisse-du-prix-du-...cano-arabe-pour-briser-poutine). Négociations américano-saoudiennes pour faire tomber Assad… Le Wall Street Journal a donné le détail des négociations entre les Etats-Unis et l’Arabie Séoudite relatives à l’intervention US contre l’État Islamique. Les USA, pour obtenir l’appui du royaume, ont du s’engager à détruire le régime de Bashar Al-Assad qui demeure, pour Riyad, l’ennemi stratégique prioritaire. Les Saoudiens, bien que craignant l’État Islamique, estime pouvoir le contenir et ont donc négocié leur soutien à l’intervention américaine moyennant son élargissement à la Syrie. Le Wall Street Journal a rapporté le contenu des échanges lors de la réunion entre John Kerry et le roi Abdullah le 11 septembre dernier à Jeddah. Le chef de la diplomatie américaine était venu finaliser la mise en oeuvre de l’alliance anti-Etat Islamique lors d’un passage au palais d’été du monarque. Le roi d’Arabie Séoudite a répondu aux demandes américaines en répondant à son visiteur: “Nous vous donnerons tout le soutien dont vous avez besoin”. Les Saoudiens avaient été échaudés après le refus américain de bombarder la Syrie l’an passé. L’approche saoudienne vise donc à répondre positivement à toutes les requêtes américaines vis-à-vis de l’État Islamique, préalable à une révision des objectifs stratégiques communs des deux puissances. L’Arabie Séoudite estime qu’en offrant un soutien déterminé aux USA contre l’État Islamique, Washington révisera sa position sur la Syrie et donnera son appui décisif pour renverser Bashar Al-Assad. L’armée américaine a d’ores et donné son accord pour un appui massif aux opposants à Bashar Al-Assad ainsi qu’à l’État Islamique en formant les rebelles syriens pro-saoudiens sur le territoire du royaume. … en échange du soutien saoudien pour faire tomber Poutine. L’agence d’information turque Anadolu a donné le détail de cette vaste stratégie dont l’Irak et la Syrie ne sont que des théâtres parmi d’autres de la guerre entre les USA et la Russie. Les Saoudiens se sont donc engagés, en échange de l’accord avec Washington sur la Syrie, à aider les Etats-Unis à détruire l’économie russe. Cette dernière, déjà sous pression de sanctions économiques de la part du bloc euro-américain, s’apprête à entrer en récession. L’économie russe repose largement sur les exportations de pétrole et de gaz, aussi les Saoudiens et Qataris ont déclenché un vaste effort de production dans le but de faire baisser spectaculairement les prix de ces deux énergies fossiles et mettre sous pression la Russie et l’Iran. Les pétromarchies veulent vendre leur production à moins de 60 dollars le baril sur les marchés asiatiques et américains. En trois mois, le prix du baril est passé de 115 dollars à 92 dollars.

Pour la Russie, la vente de pétrole et de gaz est centrale dans l’établissement du budget. Moscou prévoyait un baril à 100 dollars en moyenne sur la période 2015-2017. Une évolution négative des cours constitue pour la Russie une menace stratégique grave qui s’ajoute à l’embargo auquel elle est soumise. La Russie connaît une inflation de 8% par an avec une croissance économique proche de zéro. Un cauchemar pour les investisseurs. L’Ukraine a été un hameçon pour détruire l’économie russe. Comme nous l’avons déjà dit, la Russie a connu une défaite stratégique en Ukraine pour une victoire tactique dans le Donbass. Il s’agissait pour les USA de donner à Moscou un drapeau à défendre qu’elle ne pourrait abandonner. Moyennant quoi, les USA pourraient atteindre leur véritable objectif: mobiliser l’Europe afin de détruire l’économie russe et affaiblir le partenariat euro-russe au moyen de sanctions. A présent, il s’agit d’amplifier les conséquences de cette campagne stratégique en frappant le secteur pétrolier russe. Toujours les mêmes têtes depuis maintenant trop longtemps.


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Développer l'inclinaison des plus jeunes aux déviances sexuelles

Суббота, 25 Октября 2014 г. 15:42 + в цитатник

Pour lutter contre les pédophiles juifs qui attirent des enfants sur internet en toute impunité avec de tel site: (http://www.cite-sciences.fr/fr/au-programme/expos-temporaires/zizi-sexuel) , voici une lettre intéressante récupérée sur: http://petitions.soseducation.org/non-au-zizi-sexuel Madame le Ministre de l’Éducation (sous-entendu la chèvre marocaine Najad Belkacem). Comme les 60 000 membres de SOS Éducation, je m’inquiète des sorties qui vont être organisées dans le cadre scolaire pour emmener des élèves voir l’exposition « Zizi sexuel », qui vise un public d’enfants dès 8 ou 9 ans à la Cité des Sciences: En effet, à l’heure où les savoirs fondamentaux, lire, écrire et compter sont de moins en moins maîtrisés, est-il réellement judicieux de prélever encore une demi-journée sur le temps d’apprentissage des élèves pour aller leur faire humer des effluves de pieds ou d’aisselles, leur faire appuyer sur une pédale permettant de dresser un «zizi piquet» qui éjacule, ou leur enseigner la masturbation? Sur des sujets si intimes touchant leurs enfants, les parents doivent par ailleurs être informés et consultés. Or cette exposition les tient à l’écart de manière on ne peut plus explicite puisqu’elle comporte même un espace «interdit aux adultes». Je vous demande donc solennellement: 1- D’exiger de tous les directeurs d’école qui décideront d’envoyer des classes à l’exposition «Zizi sexuel» d’informer préalablement les parents du contenu de cette exposition, y compris de la présence de mannequins qui simulent l’érection et l’éjaculation, et de donner aux parents le droit de s’opposer à ce que leurs enfants s’y rendent. 2- De souligner, à l’heure ou plus de 20% des élèves de 6e sont touchés par l’illettrisme, que ces sorties scolaires ne doivent en aucun cas être prises sur le temps consacré aux apprentissages fondamentaux. Je compte sur vous, Madame le Ministre, pour me tenir informé, personnellement ou par voie de presse, de ce que vous entreprendrez pour protéger nos enfants. Tout comme 18031 parents d’élèves, professeurs et citoyens mobilisés contre l’éducation à la sexualité par le «Zizi sexuel». Avec mes sentiments distingués. Toutes ces histoires d'éducation sexuelle, de familles homosexuelles, et de transgenre, ne sont là que pour mâcher le travail des pédophiles avec des enfants détachés de toute cellule familiale, facilement malléables, abandonnés par la justice française. Notre intimité nous appartient, et si le Rabbin veut de la chair fraîche, qu'il continue avec ses propres enfants.


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Autrefois, ils empoisonnaient les puits

Суббота, 25 Октября 2014 г. 14:53 + в цитатник

Ce n’est pas nouveau, beaucoup de grands industriels se moquent de la santé de leurs clients même s’il s’agit de nouveau-nés. Les grandes marques spécialisées dans l’hygiène des bébés ne se privent pas pour mettre une bonne dose de produits chimiques sans raison apparente même s’ils sont déconseillés par les autorités sanitaires (http://www.contre-info.com/vingt-huit-produits-dhygiene-pour-les-bebes-a-bannir). L’association 60 Millions de consommateurs a passé au crible 52 produits d’hygiène et de soin pour bébé. Résultats: il faudrait en éviter 28. Ils contiennent des substances chimiques problématiques, à l’instar du propylparaben, phénoxyéthanol, méthylisothiazolinone… Des perturbateurs endocriniens, des molécules toxiques et des substances allergisantes qui représentent des risques pour les bébés qui «sont particulièrement sensibles, parce qu’ils sont en plein développement et ont une faible capacité de détoxication», souligne le magazine. D’ailleurs, les autorités sanitaires ont récemment émis plusieurs recommandations à ce sujet. «Il est par exemple conseillé de ne plus utiliser de phénoxyéthanol, suspecté d’être toxique, dans les produits pour le siège et, à partir du 16 avril 2015, le propylparaben, perturbateur endocrinien potentiel, sera interdit dans les produits sans rinçage à appliquer sur le siège des enfants de moins de 3 ans», rappelle le magazine. Des alertes que semblent ignorer les industriels. Les grandes marques pointées doigt. Fait étonnant: les produits épinglés appartiennent à des grandes marques. Le magazine pointe notamment les lingettes Pampers et Mixa bébé, qui contiennent du phénoxyéthanol ou l’eau nettoyante Biolane «bourrée de composés allergisants et sensibilisants.». Les résultats sont tout aussi négatifs pour les laits nettoyants puisque 60 Millions de consommateurs  en déconseille sept sur les dix testés (dont Mixa Bébé, Poupina, Carrefour baby, Auchan Baby…) et les crèmes hydratantes dont cinq sur sept ne passent pas la barre des tests (Bébé cadum, Nivea Baby, Pommette, Corine de Farme, Prim’âge). Plus globalement, l’association de consommateurs dénonce la mention hypoallergénique qui peut «induire en erreur les consommateurs sur l’absence d’ingrédients à risque». Des constats qui risquent d’avoir une forte résonance tant chez les parents que chez les industriels. La dégradation de la santé mondiale est donc un business florissant où les industriels travaillent main dans la main avec les laboratoires pharmaceutiques. Ces dirigeants d'entreprises sont'ils au moins vaccinés contre le saturnisme, vous savez, l'introduction de plomb dans l'organisme?

Samia et Marc sont poursuivis pour «maltraitance». Ces parents risquent jusqu’à deux ans de prison car ils ont tout simplement refusé de faire vacciner leurs enfants contre le tétanos, la polyomélite et la diphtérie, des vaccins obligatoires en France. Ce couple de l’Yonne, adepte de médecine douce, a fait le choix de ne pas vacciner ses enfants car il estime que le risque d’effets secondaires est trop important. Mais les vaccins contre le tétanos, la polyomélite et la diphtérie sont obligatoires en France. Samia et Marc sont donc hors-la-loi et encourent une lourde peine, jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende. Ils doivent comparaître ce jeudi devant le tribunal de grande instance d’Auxerre. «Il y a des études sérieuses qui sont menées aujourd’hui et qui prouvent que les vaccins peuvent rendre malades nos enfants plus que les protéger» explique Samia, maman de deux enfants âgés de 15 mois et 3 ans. «Il y a des adjuvants (dans ces vaccins) comme le mercure et l’aluminium qui sont dangereux» poursuit-elle. Le couple se dit méfiant à l’égard de la «puissance» des laboratoires pharmaceutiques en France. Dans son combat, il est soutenu par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations. Les anti-vaccins sont de plus en plus nombreux en France et la question de l’obligation de vacciner agite de plus en plus le corps médical (http://lesmoutonsenrages.fr/2014/10/09/auxerre-ils...e-que-leur-enfant-soit-vaccine)


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En avant première

Суббота, 25 Октября 2014 г. 13:00 + в цитатник

Perso, on va pas vous mentir. Le cinéma juif, on n'accroche pas trop, sans doute parce qu'on n'est pas passé par la case inceste quand on était petit, et que le Rabbin et sa grosse ménorah, on essayait de les contourner. Quand on voit un Woody Allen ramonant sa fille adoptive au lieu de lui lire une histoire, ou un Polanski sodomisant le check-point d'une actrice pré-pubère, on comprend pas, mais c'est vrai que nous, on n'est pas «intellectuels». Sur nos petits et grands écrans survivent films, téléfilms, et documentaires de $hoah, d'homosexuels, de pédophilie, de métissage, de haine catholique, de culpabilisation Blanche, à grands coups de subventions et de frais cachés. Même notre BHL vide les théâtres plus vite qu'une épidémie de typhus à Dachau, le talent ne s'improvise pas. Pour faire l’apologie des africaines de France, on a aujourd'hui droit à un superbe film: Bande de Filles, ou Bande de Négresses pour la version de Tel Aviv. C'est l'histoire d'adolescentes incertaines de leur sexualité qui demandent conseils à une vieille juive rachitique, gouine mais adepte du Talmud. S'ensuit tous les clichés modernes: la mère femme de ménage, le père sans papiers décédé sur un chantier de construction, et le frère au chômage qui rafle les juifs pour les entreposer en sous sol de la Cité dans l'espoir de les revendre en Pologne. C’est notamment pour produire et diffuser ce genre de propagande immigrationniste que les français payent des impôts et des taxes en tout genre à la République. Attention c’est du lourd. Plus d’un million d’euros de subventions (http://www.contre-info.com/bande-de-filles-un-film...ion-deuros-par-le-contribuable). Après Tomboy, Céline Sciamma s’attache à «déconstruire les stéréotypes sur la banlieue». Une nouvelle fois la production de ce film est très largement subventionnée: 374 000 € de subventions par la région Île de France, 100 000 € d’Arte Cofinova , 150 000€ d’Arte (Rappel: Arte est financée à 95% par la contribution à l’audiovisuel public perçue en France comme en Allemagne), 300 000€ de Copro TV Arte, 50 000€ de l’ACSE (voir plus bas). Soit un total de 1 124 000€ de subventions provenant d’organismes publiques.

Qu’est ce que l’ACSE? L’ACSE est l’Agence nationale pour la cohésion et l’égalité des chances. L’Acsé et le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) ont développé un partenariat depuis 2007 autour du programme Images de la diversité. Mobilisant le soutien financier des deux structures, ce programme vise à soutenir la production d’œuvres audiovisuelles faisant évoluer les représentations et luttant contre les préjugés. Les objectifs de ce programme sont: -Sensibiliser le public français aux questions liées à l’intégration, à la lutte contre les discriminations, discrimination entendue en raison de l’origine, et à l’égalité des chances. -Rendre compte, dans toute sa diversité, de la réalité des quartiers et des banlieues. -Valoriser la mémoire, l’histoire et les patrimoines culturels. -Promouvoir la connaissance des réalités et des expériences des populations d’Outre-Mer. -L’ensemble de ces thématiques doit être inscrit dans un lien avec la France.

Une femme qui parle de filles, c’est déjà assez rare dans le cinéma actuel pour qu’on s’intéresse de près à Céline Sciamma, 35 ans, réalisatrice de trois films miraculeux sur l’identité, l’adolescence et la-osons le mot- féminité. Trois films donc qui font d’elle une des réalisatrices les plus passionnante du paysage cinématographie français juif contemporain. Du premier «Naissance des pieuvres» (2007) au dernier «Bande de filles» (qui sort le 22 octobre au cinéma), en passant par «Tomboy» (2010), on ressent à la fois de la douceur, de l’effervescence et –osons à nouveau le mot– de la sensualité, à la vue de ses films. Chaque fois on est bluffé par cette manière de faire du neuf avec des sujets pourtant très balisés: premiers émois amoureux, banlieue, enfance … tout devient autre avec Céline Sciamma, sans avoir à définir un genre. Portrait de la réalisatrice en artiste polymorphe (http://www.cineseries-mag.fr/portrait-celine-sciamma-cinema-au-feminin). Une réalisatrice qui «aime regarder les filles». On les connaît ces jeunes filles, on les a vu, on les a croisées, on les a même parfois rencontrées, on a connu leurs émois, leurs doutes, leurs envies, leurs désirs. Mais les a-t-on vraiment écoutées, regardées, observées? A-t-on aperçu leur grâce, entendu leurs mots? Pas vraiment. Ces filles-là, qu’elles soient une bande de filles noires ou des presque adolescentes en plein bouleversement identitaire et sexuel, Céline Sciamma leur a donné un espace de parole, mais aussi un espace corporel et surtout artistique. Le corps, Céline Sciamma, au physique sage et à l’allure discrète de fillette mature et structurée, le filme avec fougue, sans jamais le mettre complètement à nu. Ses actrices, des novices, elle les met en scène au corps à corps, au désaccord. Elles sont à la croisée d’un chemin, prêtes à se lancer, à s’émanciper. La réalisatrice les raconte alors qu’elles s’initient au monde. Des récits d’initiation donc dont le plus abouti est le dernier «Bande de filles». Sa volonté de faire exister (les filles), à travers sa caméra polysexuelle, est vivace. C’est la première force de son cinéma: faire exister des marges. Cette réalisatrice-là a grandi en banlieue – Cergy-Pontoise – et est très vite devenue cinévore, se passionnant pour de nombreux cinéastes avant de grimper à Paris pour intégrer la Fémis, qu’elle défend corps et âme. Mais son parcours est surtout jonché par une immersion permanente dans le collectif. Celui d’un tournage, d’un casting, toujours sauvage, d’un monde politique aussi qui l’attire au travers de meetings ou même de manifestations identitaires. Le mariage pour tous elle l’a défendu, comme l’homosexualité dans «Pauline», un court métrage d’une collection de films «contre l’homophobie», mais elle est aussi aller voir de l’autre côté, celui de la «Manif pour tous». Qui s’y frotte ne s’y pique pas forcément et si elle n’a pas résisté longtemps aux défenseurs de la famille traditionnelle, elle qui balaye les adultes-référents de presque tous ses récits, Céline Sciamma a le mérite de fourrer son nez partout pour s’enivrer de la force du collectif et en faire le cheval de bataille de ses films. Depuis ces nageuses synchronisées qui ne font qu’une dans «Naissance des pieuvres», jusqu’aux survoltées de «Bande de filles» dansant comme un seul corps sur Rihanna, elle construit aussi une identité particulière au sein du groupe. Comme elle, jeune réalisatrice au sein de la grande famille du cinéma qu’elle connaît bien. Car Céline Sciamma est aussi une touche à tout. Là encore rien n’est arrêté, dans les formats qu’elle appréhende, dans ses processus d’écriture. Ainsi, elle participe à d’autres enjeux de cinéma, siège dans les commissions d’avance sur recettes, participe à un groupe de réflexion sur l’évolution de la Fémis. Elle ouvre le champ de son écriture et a collaboré, pour la télévision, qu’elle voudrait plus exigeante, à l’écriture des premières versions de la série «Les Revenants» sur Canal+, une histoire de camp de vacances polonais.

Céline Sciamma utilise aussi sa plume pour les autres, dont le scénario du prochain Téchiné. Comme les plans de «Bandes de fille», la réalisatrice ne cesse d’élargir le champ de ses compétences, de sa vision et des possibles. Il y a donc plein de filles chez Céline Sciamma, qui sont à l’orée du désir, souvent homosexuel mais pas seulement. Pourquoi si jeunes? Parce qu’à cet âge- là, devant le désir, «on est toujours dans l’inassouvi», répond-elle. La réalisatrice veut maintenant s’attaquer à d’autres sujets. De la périphérie ou ira-t-elle? Mystère. En attendant, on ne cesse de suivre le trouble identitaire – pas forcément sexuel – des filles que fait exister Céline Sciamma. Le soir d’une avant-première parisienne de «Bande de filles», au milieu de ces grandes filles noires impressionnantes de naturel dont elle a fait un sujet de cinéma, Céline Sciamma semblait soudain toute petite. Pourtant, elle devient grande, elle aussi, quand on voit à quel point elle maîtrise son sujet, son désir de raconter, de faire découvrir. Toujours, sans son collectif, elle fait émerger une figure de jeune fille qu’elle souhaite intemporelle. Une solitude que le cinéma – dit-elle –permet de partager. Ce soir-là, Céline Sciamma avait donc des airs de jeunes filles à côté de ses actrices. Mais on la sent aussi revendicatrice. Surtout quand on lui demande «et les hommes dans tout ça?». Ce n’est pas qu’elle porte un regard négatif sur eux, c’est qu’ils l’intéressent moins. Elle filme des filles qui doivent devenir filles à la Simone de Beauvoir écrivant: «On ne naît pas femme on le devient». Embrasser trop de sujet à la fois, le féminin en est déjà assez vaste, ce serait s’éparpiller. «Ça me semblait plus juste d’ôter leur point de vue, de tout appréhender du côté des filles, quitte à ce qu’ils (les garçons) deviennent de purs objets, plutôt que de les faire exister de façon anecdotique»*, a-t-elle déclarée à propos de «Naissances des pieuvres». Mais si «ses» filles peuvent aimer des garçons, se définir par rapport à eux, ce n’est pas son sujet pour le moment voilà tout. D’autant que la solitude s’invite toujours dans le collectif de Sciamma quand les filles qu’elle met en scène se travestissent par le vêtement ou l’objet, elles sont (presque) toujours seules. Ce n’est pas forcément pour changer de sexe – comme Laure avec son sexe en pâte à modeler dans «Tomboy» – mais parce que le corps nous accompagne tout le temps, qu’il faut se l’approprier, se définir par lui en l’habillant. La plus travestie – et pourtant la plus hétéro – c’est Marième qui, à chaque costume enfilé, s’approche un peu plus d’elle-même. Seule, elle aussi, face à l’écriture, Céline Sciamma dit prendre le temps d’écrire la fin de ses films, toujours ouverts, et sentir quand il est temps de quitter le parcours de ses personnages. Voilà qu’elle sait se détache Faire exister, son combat, ce n’est forcément que dans les films. Ainsi, le soir de l’avant-première de «Bande de filles», on sentait que tout était encore possible, alors que beaucoup avait déjà été vécu par ses actrices. A l’image de Marième qui épuise, à toute vitesse, toutes les identités possibles, les jeunes filles ce soir-là acclamées par le public comme par leurs ami(e)s présents dans la salles, ont vécu une carrière en version accélérée. A peine actrices, déjà à Cannes, partout acclamées. Elles doivent maintenant se poser pour grandir, au cinéma ou non. Et Céline Sciamma? Si elle regrette que Jane Campion n’ait pas vue son film, sélectionné (seulement) dans la catégorie «Un certain regard» à Cannes, elle se trouve à sa place là où elle est. Attend peut-être, mais ne travaille pas pour les récompenses. Si elle en a reçu une en 2007, soit le Prix Louis-Delluc du premier film, elle fait du cinéma avant tout parce qu’elle a du désir pour ses personnages, qu’elle aime ses actrices. Parfois, celles-ci, à leur tour césarisées, lui rendent hommage, d’un «parce que je l’aime», tout simple, tout en émotion. En voilà une jeune fille qui achève de grandir sous nos yeux depuis qu’on l’a découverte fascinante et perdue dans «Naissances des pieuvres». Grandir, c’est ce que Céline Sciamma ne cesse de mettre en scène, films après films, et ce qu’elle souhaite faire définitivement pour ses prochains personnages, qui seront certainement des adultes après une trilogie consacrée à l’aube de la vie des filles, loin des cases traditionnelles conçues par les plus grands et auxquelles elles échappent encore. Les femmes et les enfants d'abord et


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L'exhibitionnisme juif ne fait plus recette

Суббота, 18 Октября 2014 г. 13:31 + в цитатник

Les venues de quelques juifs célèbres (François Hollande, Manuel Valls ou encore Nicolas Sarkozy) n'ont pas convaincu le public. Hôtel Europe, la nouvelle pièce de théâtre de l'intellectuel Bernard-Henri Lévy, va s'arrêter avant la date prévue, affirme le magazine Les Inrocks, mardi 14 octobre. Jouée au théâtre de l'Atelier depuis le 11 septembre, elle prendra fin le 16 Novembre au lieu du 3 janvier, indique le théâtre parisien à l'hebdomadaire. "Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est très calme au niveau des réservations. Tout au plus deux wagons de spectateurs depuis le début", commente le lieu, dont la capacité affiche 563 places (http://www.lepoint.fr/culture/une-cabale-contre-be...-levy-15-10-2014-1872669_3.php). Culturebox avait décrit une pièce "sans relief", évoqué "deux heures à tourner en rond au milieu des obsessions de BHL", et souligné des approximations. De son côté, Le Monde (article payant) avait critiqué "one-man-Bosnie-show signé BHL", révélant "des considérations certes humanistes, mais d'une banalité confondante sur le destin de l'Europe". Le comédien Jacques Weber avait confié au Figaro avoir perdu 30 kilos pour interpréter le rôle principal. Un régime draconien qui, finalement, n'a pas servi à grand chose. Bien sûr, du côté de la «Communauté», on crie à la cabale: Tout a démarré avec un "vite dit" d'Arrêt sur images, le mardi 14 octobre en fin d'après-midi, citant une déclaration de Théâtre de l'Atelier annonçant qu'il souhaitait "arrêter les frais" et qu'il déprogrammait Hôtel Europe, la pièce de Bernard-Henri Lévy. Le Théâtre de l'Atelier tombe des nues. Il assure n'avoir jamais été contacté par le site de Daniel Schneidermann et n'avoir donc fait aucune déclaration, ni dans ce sens ni dans quelque autre. Mais c'est parti. La logique folle de la rumeur, du buzz, est enclenchée. Ce sont des dizaines de sites, de blogs, de dépêches d'agence qui relaient la pseudo information sur le thème "la pièce de Bernard-Henri Lévy s'arrête faute de public". Les spectateurs affolés téléphonent au théâtre. Les fans de Jacques Weber, ou de Bernard-Henri Lévy, qui ont acheté des tickets pour le soir, le week-end, le mois suivant paniquent et demandent le remboursement. On aurait voulu vider les salles, casser le ressort de la pièce, nuire à l'auteur, à son interprète, au théâtre, qu'on ne s'y serait pas pris autrement. Car, en quelques heures, la rumeur est devenue une information: Hôtel Europe est "stoppé"; Hôtel Europe est "déprogrammé"; Hôtel Europe "s'arrête"... La vérité est tout autre. Elle se trouve dans un communiqué de L'Atelier sobrement intitulé: "Le Théâtre de l'Atelier dément arrêter brutalement la pièce de Bernard-Henri Lévy, Hôtel Europe". Dans ce communiqué, la direction dément catégoriquement avoir tenu "les propos qui lui sont prêtés ici ou là"; elle déclare que "les citations mises dans la bouche de ses personnels" sont "contraires à la vérité et dénuées de tout fondement" ; elle ajoute que ces pseudos confidences ne semblent destinées qu'à nuire et à intimider les spectateurs"; et elle ajoute que la pièce "achèvera son parcours le 16 novembre prochain après 60 représentations" - ce qui est évidemment très différent et représente, pour un spectacle, une performance et une durée extrêmement honorables. En d'autres termes, Hôtel Europe est toujours là. Et il reste donc un mois aux masochistes de théâtre pour voir la pièce et se faire, ainsi, un jugement par eux-mêmes. De toute façon, même en se fourrant la kippa dans une bocal d'urine, BHL n'aurait jamais pu faire pire. Avec sa célèbre chemise blanche ouverte sur son poitrail, cachant le secret espoir de mourir un jour en martyr, à défaut de talent, pour rentrer dans l'Histoire.


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Un juif français reçoit le Prix Nobel de Littérature pour son livre:

Суббота, 18 Октября 2014 г. 12:35 + в цитатник

Il n’aura pas pu échapper au grand public qu’un “Français” avait gagné le “Prix Nobel de Littérature” dont la renommée est inversement proportionnelle au talent de ceux qui le reçoivent. Cette nouvelle gloire hexagonale se nomme Patrick Modiano et est, comme de juste, l’heureux descendant d’un juif d’Alexandrie. On vous épargnera la liste des ouvrages que cette boursoufflure a commis pour n’en citer qu’un, “La Place de l’Étoile” (1968). Voici son résumé: Le roman raconte, sur un mode en partie autobiographique, l’histoire de Raphaël Schlemilovitch, juif français né juste après la guerre et hanté par l’image de cette guerre et par la manie de la persécution. Se présentant d’abord comme un juif antisémite appartenant à la Gestapo française, il vit à Genève et se lie avec Des Essarts, un aristocrate français, et Maurice Sachs, miraculeusement réapparu. Après leur disparition, il retrouve son père, gros industriel israélite de New York, lui lègue toute sa fortune héritée d’un oncle, puis s’inscrit en khâgne à Bordeaux, où il subit l’influence de Debigorre, professeur de lettres, ancien pétainiste raillé par ses élèves et dont il prend la défense. Il rencontre ensuite Lévy-Vendôme, aristocrate juif spécialiste de la traite des Blanches, et réalise pour lui quelques «prises» dans le terroir français (qui l’attire énormément), d’abord en Savoie puis en Normandie. Il s’enfuit alors à Vienne, où il devient proxénète, croyant devenir le Juif officiel du Troisième Reich, ami de Heydrich, proxénète officiel des SS et amant d’Eva Braun. On le voit ensuite partir en Israël dans un camp de rééducation qui ressemble fort à un camp de concentration, où l’armée israélienne «réforme» les juifs européens pour en faire de bons Israéliens délivrés de leurs obsessions au sujet du malheur juif, de la pensée juive, de l’esprit juif. Mais tout ceci semble n’être qu’illusion, car après une dernière scène où tous les personnages réapparaissent, on retrouve Schlemilovitch sur un divan à Vienne, en train de se faire psychanalyser par un médecin qu’il prend manifestement pour le docteur Freud. Patrick Modiano se rêve tout à la fois amant d’Eva Braun, antisémite, proche de Reynard Heydrich et proxénète tournant les Blanches en putains, sioniste raté finissant dans la psychanalyse. Il cache à peine sa fascination masochiste, comme tous les intellectuels juifs, pour les camps de concentration du IIIème Reich. Bref, encore un névrosé hissé au rang de génie universel par le seul jeu du copinage communautaire. Vous comprenez pourquoi la presse “française” en a fait des tonnes à propos de ce “couronnement”. Cependant, c’était sans compter sur Marine Le Pen et son “conseiller à la Culture et à la Francophonie”, Karim Ouchikh. Ceux-ci sont chaudement félicités de cette distinction: “Marine Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine félicitent chaleureusement Patrick Modiano pour cette récompense qui consacre une grande carrière littéraire et se réjouissent d’une distinction qui honore à nouveau les lettres françaises.” C’est le genre de réactions qui convainc le patriotisme de péremption. Il suffit d’apposer un tampon tricolore sur n’importe quoi pour voir les ahuris du chauvinisme se mettre en rang et saluer. Même le dernier plumitif juif. Mais quand le “coq gaulois” et son patriotisme ont à leur tête un Maghrébin délivrant les bons points, que dire, si ce n’est qu’il n’y a là qu’une conclusion logique? Les promesses généreuses de 1789.


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Le projet Breiz Atao sans jamais défaillir

Суббота, 18 Октября 2014 г. 12:03 + в цитатник

Visitez cet excellent blog publiant les articles de STUR d’Olier Mordrel: http://propos.sturiens.over-blog.com/, grâce au travail de Cian. Mordrel est celui auquel nous devons la renaissance de BREIZ ATAO. Dans son œuvre “La voie bretonne”, Olier Mordrel affirmait que tant que la jeunesse ne reprenait pas l’étendard de ceux qui avaient vécu et étaient morts pour l’indépendance de BREIZH, il ne pourrait y avoir de renouveau. Et cela est vrai, tant que le leg de BREIZ ATAO n’était pas brandi dans son intégralité, on se condamnait à la défaite. C’est désormais cette prophétie d’Olier Mordrel qui est réalisée: BREIZ ATAO revit et puise aux meilleures sources de la pensée celtiste, débarrassée des lubies universalistes et modernistes. Il brave lève le voile obscur tombé sur notre pays et promet des jours nouveaux pour notre peuple. Nous publions en plusieurs parties le texte “Racialisme Breton”: “Aussi loin que l’on remonte dans notre histoire, il semble que le lien du sang ait été le premier à réunir les Bretons et à leur donner le sentiment d’une solidarité dépassant les limites de la tribu. Ailleurs, il a existé des sociétés d’origine religieuse ou politique: la foi en Dieu, ou la force de l’État ont uni des hommes que langages, coutumes, souvenirs séparaient. Ici, rien de semblable. Peu de peuples ont joui d’institutions nationales aussi brièvement que les Celtes, aucun n’en a été aussi peu marqué. Mais le sentiment de la communauté d’origine et de la parenté physique est resté vivant et fait qu’encore aujourd’hui, malgré l’ignorance de leur passé d’indépendance, les Bretons ont la conscience d’appartenir à une communauté nationale distincte. Vers un racialisme spontané. On n’est pas Breton en vertu d’un traité, d’une conquête, d’un serment ou d’un mariage princier. On est Breton parce que le Père était Breton, Breton le Père du Père, Bretons tous les ascendants jusqu’à la plus petite racine de l’arbre. Les autres peuples de l’Europe ont oublié l’esprit de leurs anciennes formations sociales, parce qu’ils ont accédé depuis longtemps à des formes politiques supérieures. Ici, l’usage de désigner un enfant par le nom de ses ancêtres, et celui de rattacher tout homme à une appellation de groupe était l’expression d’un sentiment si fort, qu’il s’est conservé jusqu’à l’époque moderne. En Ecosse, en plein dix-huitième siècle, on était toujours Douglas ou David, fils de Malcom ou d’Edouard, mais «un Grant», ou «un Mac Dougal»; ce qui signifiait que la communauté essentiellement nationale, le clan, était également la famille de chaque membre du clan. En Irlande, plusieurs siècles après la confiscation des terres et la dispersion de la vieille aristocratie celtique, chaque paysan se considérait toujours comme membre du clan local et en portait fièrement le patronyme. En Donegal, par exemple, le nom de famille O’Donell abonde: les gens du pays étaient «des O’Donell». En Galles, si le gouvernement anglais n’avait pas affublé d’office, au seizième siècle, chaque Gallois d’un nom anglais (Jones, Thomas, Roberts…) chaque Cymro serait toujours Untel, fils de Untel, fils de Untel: «Ieuan, ab Gruffydd, ab Cynan!» En Bretagne, l’état d’esprit est identique. On est d’abord «un Malouin, un Nantais, un Léonard». Nombreux sont encore chez nous les Ab Yan, les Ab Grall, les Ab Iven, les Ab Olier. Malgré les échanges de population, les noms, en dehors de quelques patronymes répandus partout, sont restés très groupés, ils sont d’un coin de pays, comme les dialectes et les costumes. Les «Eliès» sont du Léon, les «Guichaoua» de Cornouaille, les «Huédé» de Guérande, les «Conan» du Tréguier, les «Ridard» de Rennes. Une plus grande précision est souvent possible: un Kervella est de Plougastel ou de Loperhet, on n’en trouve pas plus loin. Un Brikir de Lannion, mieux encore de Trégastel. L’idée de territoire est liée chez nous à l’idée de famille. Nous avons été élevés dans ce sentiment. De vieilles tantes ont passé des soirées d’hiver à nous enseigner d’incommensurables tableaux généalogiques, où les cousins «au sept» ou «au dix» intervenaient comme de proches parents. A huit ans, nous savions par cœur les exploits du trisaïeul à la lutte et les incidents de la noce du grand-oncle de la vieille cousine du village d’en haut, comme si c’était hier et que nous y avions assisté. Quand après une longue absence, nous revenons au pays, nous prenons bien garde de saluer gentiment tout le monde, car nous serions bien embarrassés de savoir où commence la parenté. «Tous les Bretons sont cousins» dit le proverbe, et c’est ma foi vrai.

Quand deux Bretons se rencontrent quelque part, leur premier soin est de se demander d’où ils sont, de qui ils sont parents, qui ils connaissent: la règle est absolue et ne souffre aucune dérogation. Il est rare qu’ils ne se découvrent pas au moins un parent commun, dussent-ils tricher un peu. A défaut de cousin, un camarade fera l’affaire, mais il faut entre eux le lien humain physique pour que la Bretagne soit présente. Ainsi, tous les Bretons, dont l’esprit de clan s’est conservé dans le cadre des paroisses primitives, se savent et se veulent membre d’une vaste famille qui dépasse les limites du cousinage le plus éloigné. Nos bonnes gens préfèrent des termes familiaux, là où les Français disent Monsieur, les Anglais Sir et les Allemands Herr Doctor.(l) Dans le pays du bon Santig Du, une femme âgée dit «Mon fils» (Ma mab) à un jeune homme, «Ma fille» (Ma merc’h) à une jeune fille, elle dit «Frère» (Breur) à un homme de son âge, qui lui répond «Sœur» (C’hoar). Nous ne disons jamais autre chose que «Tante» (Moereb) ou «Grand-Mère» (Mamm-goz) aux femmes âgées ou très âgées. Toute la France connaît l’étendue de notre sentiment familial, et pour désigner des parentés éloignées ou fantaisistes, elle dit «cousin» ou «oncle à la mode de Bretagne». L’étude de notre ancienne littérature renforce notre sentiment particulier de la communauté nationale. Nos héros ne sont pas des personnages fabuleux, d’une essence supérieure, ils sont de notre sang, et vivent la vie de tout le monde. Le vieux barde dit avec fierté de son seigneur: «Le sang rouge d’un Breton coulait dans ses veines», et le souverain est bon parce qu’il «a sucé le lait d’une Bretonne». Notre premier poète d’inspiration moderne, Brizeux, ne fit que continuer une longue tradition populaire, quand à l’aube du mouvement breton, il y a cent ans, il exalta «la race» des Bretons. Après lui, pendant tout le XIXe siècle, des centaines de rimeurs obscurs et de bardes en renom chanteront les vertus du sang breton (Gwad) et de la Race bretonne (Gouenn), parfois celle du Peuple breton (Pobl), jamais celle de la «nation» bretonne, terme étranger sans équivalent ni résonnance populaires. Il semble donc bien que, depuis les brumes glacées du Strat Clut, depuis les clans Cornubiens ou Brigantiques, depuis les Plous d’Armorique jusqu’à La Villemarqué, jusqu’à nous-mêmes, jusqu’à Stur, la nationalité bretonne soit inconcevable sans le lien biologique national. N’est-il pas difficile à un Breton, même non averti, de se représenter comme un compatriote, un homme, quels que soient sa naissance, ses mérites, sa résidence, ses liens de famille, s’il ne peut justifier au moins d’un ascendant breton? Un grand-père ou une grand-mère de la race suffira à l’extrême rigueur, si par ailleurs l’homme inspire confiance, mais qu’il prenne garde à la première défaillance de s’entendre rappeler sans indulgence qu’il n’est Breton que d’adoption! Il faut être Français pour reconnaître un compatriote dans un mulâtre, — voyez les Dumas, — ou dire sans rire d’une danseuse de couleur qu’elle est une vraie Parisienne. L’idée de la communauté de sang est donc à la base de la Bretagne. La nécessité ou s’est trouvé le mouvement breton de se donner une doctrine et des buts politiques a mis pendant quelques années dans l’ombre ce racisme breton de toujours; il est dans l’ordre qu’on y revienne. La Bretagne est un peuple-famille, un de substance et divisé dans les individus comme toutes les familles, mais elle n’est que cela. Vouloir se la représenter comme une construction politique à la française, ou comme une société contractuelle dans le style juridique latin, équivaudrait à se détacher d’elle et à perdre l’inspiration qu’elle nous offre. Ce racisme qui émane de la tradition bretonne est assez différent de ce que la grande presse française a coutume d’appeler racisme. Il ne s’agit pas ici d’une doctrine d’État ou d’une pseudo-religion, mais de la «reconnaissance d’une valeur et d’un fait» par l’ensemble du peuple breton. Ce racisme rudimentaire ou spontané —qu’on l’appelle comme ou voudra, mais un qualificatif est nécessaire pour éviter les confusions — constitue par rapport à une éventuelle philosophie raciste, un terrain favorable, mais il ne s’identifie pas avec elle. S’il est à prendre en considération par l’État national, il ne conduit pas forcément à lui; il est par définition particulariste et local. Il est breton; il peut être bas-breton, voir même léonard ou malouin. Nos Bigoudens pratiquent un racisme de canton. Les Cancalais et les Douarnenistes qui répugnent d’épouser des «terriennes» ou des «paysannes» donnent dans un racisme de paroisse et de métier. Le racisme populaire est normand, lorrain, auvergnat: il n’est pas français. Il est silésien, rhénan, souabe, alémanique ou néerlandais, il n’est pas allemand; il est encore moins pangermanique. Il signifie une chose à Lübeck et une autre à Salzburg. Il exalte des ressemblances, mais aussi des différences. Il s’affirme dans la variété des sensibilités, des arts, des modes de vie. C’est du racisme ici, que de ménager les susceptibilités personnelles et de fonder sur les facultés d’imagination et sur l’initiative individuelle. Là, c’est aussi du racisme que de cultiver l’esprit d’association et de discipline. Notre racisme nous commande de rester Bretons, de chérir nos traits de caractère essentiellement celtiques. Il nous pousse dans les bras de nos frères et de nos parents de race, mais en même temps il nous commande de nous concentrer sur nous-mêmes et de nous défendre des influences étrangères. C’est être raciste breton que de sentir profondément les liens millénaires qui nous unissent aux Germains. C’est être raciste breton que de s’éloigner de ce qu’il y a pour nous de déséquilibré et de trouble dans le germanisme, de primitif et de choquant chez certains Allemands.


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Toute notre estime!

Суббота, 11 Октября 2014 г. 18:52 + в цитатник

Andrew Auernheimer est un hacker et un “troll” américain, militant pour les droits et libertés civiques, particulièrement sur internet. C’est aussi un militant identitaire. Il est un fervent partisan du site satyrique Encyclopédia Dramatica. On peut suivre son blog où il appelle notamment à soutenir les identitaires euro-américains emprisonnés. On peut également suivre son compte Twitter. Il a publié un texte qui s’intitule “Ce que j’ai appris en prison”. A méditer (http://breizatao.com/2014/10/07/ce-que-jai-appris-...n-hacker-identitaire-americain).

Cette année, j’étais relâché de prison après que ma peine ait été annulée pour des manquements constitutionnels. Je n’ai jamais commis de crimes. Mon seul crime fut d’exercer mes droits promis par mes Anciens par la Constitution des États-Unis d’Amérique. Pourtant je savais que dès lors que je pénétrais dans une cour fédérale, j’irais en prison. Que je ne sois pas un criminel n’avait aucune importance. Le fait qu’il y avait au moins quatre atteintes constitutionnelles invalidant le délit dont on m’accusait ne comptait pas. Quand j’ai pénétré dans le tribunal de Son Honneur Susan D. Wigenton, ce qui comptait, c’était ses ongles. Ils étaient rose fluo et plus longs que ce que je n’avais jamais vu dans ma vie, et le Juge Wigenton parlait comme un rat échappé tout droit du ghetto. Mon cas était important. C’était un problème criminel. Un problème lié au Premier Amendement (relatif à la liberté d’expression, ndlr). Il y avait également un problème avec le Cinquième Amendement (relatif à la présomption d’innocence, ndlr). Harvard, Stanford, la Fondation Frontière Electronique, l’Association Nationale des Avocats de Défense Criminelle, une tonne d’experts en technologies informatiques, et le plus grand expert mondial pour les crimes par ordinateur viendraient témoigner en ma faveur. Mais ce serait bien après avoir été kidnappé sous la menace d’une arme près de ma ville natale dans les montagnes d’Ozark. Bien après avoir été enfermé à l’isolement avant que je ne débute une grève de la faim. Bien après avoir passé 1000 heures à hurler les Eddas (poèmes nordiques, ndlr) et gravé des runes sur les murs en ciment des différentes cellules de l’Unité Spéciale d’Internement du complexe correctionnel fédéral d’Allenwood. Mais à ce moment là, le seul avocat à ma portée était un homme norvégien ayant le nom du dieu de l’orage, Tor Ekeland. Il n’avait jamais eu à traiter une affaire criminelle d’ordre fédéral auparavant, mais ses tarifs étaient corrects. Il refusa de prendre mon argent. Il m’affirma n’avoir jamais vu un si ridicule abus de pouvoir fédéral de toute sa vie. C’était génial parce que je n’avais pas d’argent. Le gouvernement fédéral avait passé ces dernières années à attaquer mes sources de revenus et à me laisser indigent. Finis les jours où je pouvais me payer des avions low cost. Le refus de Tor de prendre mon argent me permit de continuer à manger. C’était noble de sa part, en considérant à quel point j’étais fauché à ce moment là. Personne ne nous croyait quand nous disions que nous devions nous soucier des tarifs de train jusqu’au tribunal, mais je vous assure que c’est vrai. Nous comptions les pièces ensemble pour aller jusqu’au tribunal Martin Luther King du New Jersey. Mon cas était une affaire de tout petits détails. Des détails à propos du protocole de réseau utilisé pour diffusé ce texte en ce moment. Mon cas nécessitait un juge intelligent, réfléchi avec la capacité à discerner les affabulations légales et malicieuses d’un Procureur Général mentant effrontément. Mon cas nécessitait un procès à un million de dollars, avec des analyses techniques et des experts. Ce que mon cas reçut fut deux types fauchés qui aimaient vraiment leur pays. Ce que mon cas reçut fut un juge qui avait clairement la plus petite capacité cognitive qu’il m’ait été donnée de voir chez une personne avec qui j’ai pu échangé à peine l’équivalent d’un paragraphe de mots. Et qui ne m’aimait pas, ni mes idées politiques. J’ai été de longue date un critique du judaïsme, de la culture noire, de l’immigration dans les nations occidentales, et du flot constant de propagande anti-blanche dans les médiats. Le Juge Wigenton était aussi noir que possible. L’avocat de l’accusation, Zach Intrader, était un juif de Brooklyn d’une vieille famille d’affairistes de New York. Le procès était une farce. Le Juge Wigenton ignora les violations constitutionnelles évidentes mises en évidence par mon avocat et ne le laissa même pas les évoquer devant le jury. Les avocats de l’accusation mentirent continuellement à propos de la falsification des protocoles internet, en pleine cour. Quand j’essayais de pointer du doigt les mensonges présentés, on m’interdisait de parole. Je n’étais pas un expert cité comme témoin, et je n’étais pas autorité à déposer à ce sujet. Apparemment, l’accusation, étant complètement ignorante du sujet, avait davantage d’expertise que moi et de mes treize ans d’expérience dans l’internet et le système UNIX. Pendant tout le procès, un public juif habillé de caftan me regardait depuis les sièges de la salle. Mon accusateur avait invité toute sa synagogue au spectacle. Il y a quelques temps, j’ai envoyé au procureur et au juge qui m’ont emprisonné à tort une facture pour le temps qu’ils m’ont volé illégalement. Ce n’était pas déraisonnable. Je n’ai rien demandé pour la douleur ou la souffrance, ou une compensation pour le dommage extrême qu’ils m’ont fait. J’ai simplement demandé mon temps au prix du salaire horaire. Ils ne m’ont pas dédommagé d’un centime. J’ai regardé sur Google Street View et vu l’endroit où je vivais avant que je sois kidnappé sous la menace d’une arme et détenu en territoire étranger sur la base de mensonges de noirs et de juifs. Tout a été rasé. Une nouvelle maison s’y trouve. Il m’est devenu impossible de ne pas sympathiser avec les Palestiniens. La première phrase que j’ai appris en arabe (le hacker vit au Liban, nldr): “al-maot lil yahood” (mort aux juifs). Qu’est ce qui préviendra ces tyrans d’abuser de leur autorité ? Empiriquement, je ne peux pas spéculer et évoquer des platitudes à propos d’une résistance pacifique. Je dois croire les informations que j’ai. Et je les ai trouvé au Pénitencier des Etats-Unis nommé Canaan. Dès mon arrivée, je ne peux me rappeler de la première expérience positive dans mes rapports avec les autorités de toute ma vie. J’étais surpris par le niveau de politesse démontré par les gardes de Canaan. Ceux-ci étaient les meilleurs employés du gouvernement avec lesquels j’ai jamais eu de rapports. Je demandais à un autre prisonnier pourquoi ils étaient si gentils. Ils ont rigolé et m’ont répondu, “Tu ne sais pas? L’un d’entre eux vient juste d’être “collé”. “Collé” signifiant dans le langage vernaculaire des prisons “être poignardé à mort”. Mes perceptions se sont réajustés par l’acquisition de cette donnée. N’importe qui peut regarder un journal pour la voir confirmée. Les flics ont violemment réprimé les manifestants d’Occupy Wall Street, mais ont reculé devant les milices armées de Bundy Ranch. La décence n’est seulement respectée que par l’épée. Un gouvernement hostile qui n’est pas confronté à la mort de ses agents et de leurs familles régulièrement considérera notre Constitution comme du papier toilette. J’ai quelques tatouages qui marquent cette sagesse que j’ai gagnée de mon temps en prison, qui s’avère être la même sagesse que celle de mes ancêtres. Mon Edda favorite est à présent le Völundarkviða. Il parle d’une sorte de pirate qui s’appelle Völung, emprisonné à tort par un roi suédois. Il se venge en tuant ses fils et violant ses filles. Mon premier tatouage est une swastika dans laquelle chaque branche contient Odin, Baldur, Freyr et Tor. Mon encre et moi sommes expatriés à Canaan pour le moment – au Moyen-Orient et non au pénitencier – mais je ne renonce pas à ma citoyenneté américaine. Je veux toujours être américain et accorde toujours de la valeur à l’héritage de mon pays. Je prévois de revenir avec une armée, d’être un humain ou une machine. Un jour je viendrais pour reprendre chaque petit morceau de la dette que me doivent cette racaille et ces criminels qui ont pris mon pays en otage. Et quand j’aurais fini, je reconstruirais ma maison dans les montagnes d’Ozark.


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Situation désastreuse à Calais

Суббота, 11 Октября 2014 г. 18:12 + в цитатник

Jungle, brousse, ghetto nègre, … les mots ne manquent pas dans la bouche des Calaisiens pour décrire les camps d'immigrés clandestins qui jour après jour gangrennent un peu plus cette belle ville, amenant avec eux misère, violence, et maladies. Devant la démission des pouvoirs publics, les Français les plus téméraires ont décidé d'agir, on ne peut que les encourager dans leur combat, même si on peut s'attendre à ce que la justice partiale judéo-maçonnique nous abreuve de quelques procès médiatiques. C'est à la demande des associations et organismes antifrançais qui se sont constituées parties civiles, le procès de quatre jeunes hommes à Calais accusés d’avoir lancé des engins incendiaires contre des bâtiments occupés illégalement par des délinquants étrangers a été reporté au 13 octobre (http://www.thomasjoly.fr/2014/09/revolte-contre-le...nes-calaisiens-incarceres.html). Les véritables conditions de l’action des jeunes Français ont été révélées. La presse a reconnu que les quatre jeunes résistants, âgés de 18 à 20 ans, ont agi pour protester contre les innombrables crimes et délits commis par les étrangers. L’une de ces agressions a visé peu de temps avant l’un des membres du groupe d’amis. «Il s’est fait agresser par des migrants, on a porté plainte, et depuis, rien, aucune nouvelle. Les policiers nous ont bien fait comprendre qu’ils n’allaient pas pouvoir faire grand-chose…» a témoigné le père de l’un des jeunes persécutés. C’est après une soirée chez l’un d’eux qu’ils auraient décidé d’agir contre le repaire de délinquants. Après les faits, ils ont été attaqués par plusieurs dizaines d’Afro-Maghrébins. Aucune des quarante racailles présentes ni les agresseurs habituels de Français n’avaient été interpellés par la police. Les quatre Français ont été arrêtés, et trois d’entre eux, placés en détention provisoire, resteront incarcérés jusqu’au 13 octobre. «On a évité le pire [sic], un peu plus et c’était les assises. Les faits sont graves [sic], les prévenus encourent une peine de dix ans d’emprisonnement. L’ordre public n’est pas un critère en matière correctionnelle, mais vous ne pouvez pas en faire fi. Des Calaisiens commencent à être excédés, certains collectifs ont été sous les feux de l’actualité, le climat est tendu. […] Il est impératif de les éloigner de Calais» a osé déclarer Julie Colaert pour le parquet, précisant que les jeunes étaient maintenus en détention pour… leur sécurité. «C’est autant pour vous protéger d’une vengeance que pour vous empêcher de recommencer» a lâchement prétendu le président du tribunal. Ainsi, la République est contrainte de mettre en prison des Français agressés une première fois et qui ont tenté de se défendre, chez eux, contre des délinquants, violents, squattant illégalement des bâtiments avec la complicité active du gouvernement, pour assurer leur «sécurité»! Cette sanction a été d’autant plus mal acceptée que même les parties civiles ne la réclamaient pas. Elle a provoqué la colère des Calaisiens présents en nombre au tribunal. Même la presse s’est étonnée de la violence de la répression, évoquant l’ombre sombre de Christiane Taubira: «On peut supposer que la prise de position de la Garde des Sceaux Christiane Taubira, qui avait publiquement regretté le manque d’empressement du parquet de Boulogne à poursuivre le collectif Sauvons Calais après la manifestation du 7 octobre, aura eu une influence sur le juge.» Voilà le quotidien des Calaisiens, artisans, lycéens, ouvriers, pompiers, confrontés à de véritables criminels en bande organisée agissant grâce à l’impunité que leur confère le ministère de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et le premier ministre Manuel Valls associés à Christiane Taubira, les trois s’entendant parfaitement pour organiser la répression contre ceux qui réagissent. N'oubliez jamais ceux qui tirent les ficelles, ceux qui tiennent les médias, ceux qui dirigent les organes de décision étatiques, leur tour approche à grands pas!

Quant aux clandestins, les pissenlits par la racine en plat de résistance.




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Les enfants de Mahomet aux ordres de Moïse!

Суббота, 11 Октября 2014 г. 17:05 + в цитатник

Le groupe État islamique (EI) renforçait samedi 11 Octobre 2014 son emprise sur une grande partie de la ville syrienne de Kobané défendue désespérément par des forces kurdes moins bien armées, l'ONU disant craindre pour la vie de milliers de civils. Les avions de la coalition dirigée par les États-Unis ont mené deux nouvelles frappes avant l'aube sur les positions djihadistes dans l'est et le sud de cette ville kurde clé, située à la frontière turque, selon une ONG syrienne (http://www.lepoint.fr/monde/syrie-les-djihadistes-...bane-11-10-2014-1871458_24.php). Alors que la campagne aérienne contre l'EI est entrée dans son troisième mois en Irak et dans sa troisième semaine en Syrie, sans parvenir à entamer la capacité du groupe à s'emparer de nouveaux territoires, les chefs militaires de vingt et un pays de la coalition doivent se réunir mardi à Washington pour évaluer leur stratégie. Dans Kobané, devenue le symbole de la résistance à l'EI, les forces kurdes ont réussi dans la nuit à repousser, au terme de combats acharnés, un assaut des djihadistes en direction du centre-ville, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Depuis son entrée lundi dans cette troisième ville kurde de Syrie, l'EI en a pris 40 % après s'être emparé de secteurs dans l'est, le sud et l'ouest de la ville, et avoir pris le contrôle vendredi du QG des forces kurdes dans le nord de la cité, à un kilomètre environ de la frontière turque. Son objectif est de prendre le poste-frontière et s'assurer ainsi la maîtrise sans discontinuité d'une longue bande de territoire à la frontière syro-turque. Du côté turc de la frontière, les journalistes de l'AFP ne pouvaient voir Kobané le matin en raison d'une brume couvrant le secteur, mais entendaient les tirs ainsi que le survol des avions de la coalition, peut-être en prévision de frappes. Selon Mustafa Ebdi, un militant kurde originaire de Kobané, ville d'une superficie de 6 à 7 kilomètres, les forces kurdes, de plus en plus désespérées, voient leurs munitions diminuer et réclament plus de frappes. "Nous entendons le bruit des combats. Cela ne s'arrête jamais", a-t-il déclaré à l'AFP. "Les combattants sont résolus à combattre jusqu'à la dernière balle." Depuis le début le 16 septembre de l'offensive djihadiste, plus de 500 combattants ont péri selon l'OSDH, et quelque 70 villages sont tombés aux mains de l'EI. En outre, 300 000 habitants ont pris la fuite, dont plus de 200 000 en Turquie. Profitant de la guerre civile qui ravage la Syrie depuis plus de trois ans, l'EI, fort de dizaines de milliers d'hommes, dont des Occidentaux, a réussi à s'emparer de larges pans de territoires dans le nord et l'est du pays. Il contrôle en outre de grandes zones dans l'Irak voisin. Connu pour son extrême brutalité, ce groupe sévit dans les régions sous son contrôle en commettant viols, exécutions, décapitations, rapts et persécutions. L'émissaire spécial de l'ONU pour la Syrie, Staffan De Mistura, a d'ailleurs dit craindre un "massacre" à Kobané. Jusqu'à 700 civils se trouvent encore dans le centre-ville, dont une majorité de personnes âgées, et entre 10 000 à 13 000 sont rassemblées tout près de la frontière, a-t-il dit. Si la ville tombe, ces civils seront "très probablement massacrés". Il a en outre appelé la Turquie à "autoriser le flot de volontaires" qui avaient trouvé refuge en Turquie à retourner défendre leur ville. Mais Ankara a estimé que renvoyer des civils vers la guerre serait "un crime". Les États-Unis, frustrés par les hésitations turques, ont fait état d'avancées avec la Turquie pour qu'elle s'implique davantage dans le combat, notamment grâce à son appui pour former et équiper les rebelles syriens modérés combattant le régime de Bachar el-Assad et l'EI. Que ce soit en Syrie ou en Irak, ce qui fait la force de l'EI est avant tout la faiblesse de ses opposants. Excluant des troupes au sol, les États-Unis ont préconisé dans leur guerre contre l'EI de renforcer, en entraînement et en équipements, les troupes irakiennes et la rébellion syrienne modérée. Selon des responsables américains, les forces pro-gouvernementales se trouvent dans une position "fragile" dans la province occidentale irakienne d'Al-Anbar, où l'EI contrôle de larges secteurs. Grâce au soutien aérien américain, ces forces "conservent de l'avance, mais c'est difficile et éprouvant", a assuré l'un d'eux. "Ce n'est pas une bonne situation", a dit un autre. Selon les experts, au lieu de décimer l'EI, les frappes semblent au contraire galvaniser les djihadistes qui engrangent les ralliements d'autres groupes extrémistes comme symboles de la "résistance à l'Amérique". Dans ce contexte, les États-Unis ont dit redouter des attentats perpétrés dans le monde contre des intérêts occidentaux (mais surtout pas contre leurs amis juifs), après les menaces djihadistes de représailles. Comme d'habitude, on vous met en garde contre l'EI, pour nous, ça sent encore à plein nez la mise en scène par les «Piétons de la Mer Rouge».


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Cohésion Nationale contre le pouvoir maçonnique

Суббота, 11 Октября 2014 г. 16:30 + в цитатник

La famille traditionnelle est le ciment de toute société pérenne, n'en déplaise aux Jud'arabes qui pullulent dans nos gouvernements et associations libertaires pro-pédophiles.

Ils sont revenus. Égaux à eux-mêmes, souriants, déterminés. Et surtout incroyablement nombreux. Deux ans que ça dure! 500.000 selon les organisateurs, 70.000 selon la police, toujours aussi… facétieuse. Comme si rien ni personne ne pouvait réussir à les essouffler, les dissuader, les faire douter (http://www.bvoltaire.fr/gabriellecluzel/manif-on-lache-rien,122197). Ils ont résisté à tout, même aux manœuvres de diversion les plus sophistiquées: L’Express titrant, il y a trois semaines, «La manif pour tous commencerait-elle à digérer le mariage pour tous?», ou Manuel Valls jurant ses grands dieux que jamais dans ce pays la GPA ne serait légalisée. Certains l’appellent en secret LCPT, Le Cauchemar Pour Tous. Cauchemar pour le gouvernement, bien sûr, mais aussi pour la droite, mal à l’aise, que LMPT regarde comme l’œil regarde Caïn: que votre oui soit un oui. Pas un «on-va-réécrire-la-loi-en-tout-cas-on-empêchera-la-GPA-enfin-disons-qu’on fera-ce-qu’on-pourra». On dit que ce gouvernement n’a rien fait pour les familles. C’est bien le calomnier, car il les a soudées. Comme personne n’était parvenu à le faire avant lui. À cette manif, il y avait, coude-à-coude, tous ceux que l’on pensait impossibles à inviter encore ensemble, ceux qui s’écharpent à la fin des repas arrosés, et ceux qui se regardent en chiens de faïence depuis les dernières élections: des sympathisants de l’UMP voisinaient avec des militants du FN, des curés en soutane avec des prêtres barbus à grande croix en bois battant la poitrine, des cathos pratiquants avec des cathos intermittents, et même des athées militants avec quelques musulmans. Oui, ils étaient tous là, réconciliés, comme on se réconcilie – au moins un temps – autour de la vieille mère qui est à l’agonie. La vieille mère France qui a perdu la boule. On vient là contre la GPA, on vient là contre la loi Taubira. On vient là parce qu’on ne lâchera pas. Comme on ne lâche pas un noyé passé par-dessus bord que l’on retient par un doigt. Si l’on desserre la prise une seconde, tout est foutu. Mais si on s’y met tous… Rien n’est peut-être perdu. LMPT est ce doigt. Ce doigt par lequel notre civilisation s’accroche encore au navire avant de sombrer. Tout le reste a basculé. On entendait dire, ce dimanche soir autour de la gare Montparnasse, que LMPT était décidément typée «bourgeoise», ou qu’une présence un peu trop prégnante de certains élus (dont l’allocution, enregistrée, était diffusée sur grand écran) sentait la tentative de «récup’» politicienne. La Manif Pour Tous n’est pas parfaite? Peut-être. Mais on ne refuse pas de saisir un index agrippé au bastingage sous prétexte que la manucure n’est pas nickel. Ce qui compte, c’est tenir. Surtout ne rien lâcher. Moins que jamais. Les gens ne sont pas égaux, ils sont complémentaires. On vous rappelle que l'on a rien contre les homosexuels (les Péd'homos), du moment qu'ils se tiennent éloigné de nos enfants, et qu'ils ne viennent pas souiller nos valeurs (le mariage en fait partie). Et peut être qu'un jour, ils comprendront qu'ils sont le jouet des forces occultes et juives contre la Civilisation Blanche.


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Masquer sa haine, ou la décupler? Le paradoxe juif

Суббота, 11 Октября 2014 г. 15:24 + в цитатник

Comme on vous l'a répété 100 fois, Israël, c'est le juif au naturel. Là-bas, pas d’Égalité, de Liberté, de Fraternité pour les étrangers à la secte, les esclaves doivent servir jusqu'à l'usure puis déguerpir sans attendre aucune compensation. Avez-vous déjà vu un Rom traîner dans les colonies? Non, jamais! Voici une manifestation d’Israéliens à Tel Aviv le 5 octobre 2014 contre l’immigration noire d’Afrique. Parmi les slogans scandés: “Les Soudanais au Soudan” ou encore “Les nègres rentrez chez vous!” Nos humanistes, journalistes, et intellectuels n'ont pas moufté cette fois. (http://breizatao.com/2014/10/09/israel-manifestation-anti-noirs-tel-aviv-video).




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Une pièce de théâtre fait sensation

Суббота, 11 Октября 2014 г. 14:31 + в цитатник

Comme aurait dit Molière: «Le juif est le malade imaginaire qui le conduira à une mort imaginaire!» En 2013, une controverse — tristement significative des menaces qui s’accumulent — était née autour d’une abjecte pièce de théâtre antisémite co-écrite et jouée par des étudiants de l’université de La Rochelle. Les auteurs avaient, entre autres, cru du meilleur goût d’attribuer, dans leur texte, à une entreprise financière odieuse de rapacité et de veulerie le nom même de l’un des enseignants de l’université: Goldberg (https://www.stormfront.org/forum/t968504). La Règle du Jeu s’était fait l’écho de cette sinistre affaire. Les animateurs de l’initiative à prétention théâtrale étaient un auteur canadien, Eric Noël, et une metteuse en scène locale, Claudie Landy, en partenariat avec deux institutions rochelaises: le Centre Intermondes et le théâtre «Toujours à l’horizon». En août 2014, ces deux institutions avaient eu le tranquille culot d’inviter à nouveau en résidence à La Rochelle le fumeux dramaturge canadien. Ce qui relança inévitablement la polémique alors que la pièce avait entre-temps été dénoncée par la Mme la ministre Fioraso, des députés, maires, chercheurs, comédiens, metteurs en scène et, sur les réseaux sociaux, par des milliers de citoyens. Le projet avait été annulé in extremis suite à l’intervention du maire, soucieux de ne pas donner de prime à la haine anti-juive. Aujourd’hui, le théâtre «Toujours à l’horizon» et le Centre Intermondes de La Rochelle se présentent — air connu — comme des victimes de la censure. Cohérents avec eux-mêmes, et dévoilant du coup le fond de leur pensée, ils ont invité il y a quelques jours des orateurs qui ont plaidé en faveur de la libre parole de Dieudonné et de Robert Faurisson, après avoir soutenu avec acharnement la troupe qui avait monté la pièce ordurière. Sans craindre le ridicule, ils prétendaient ainsi combattre l’antisémitisme… La Règle du Jeu publie la lettre adressée au maire et au député de La Rochelle pour les alerter de ces dérives dont Michel Goldberg, l’un des deux signataires, estime qu’elles «contrastent avec le projet culturel de la ville». Signé Bernard Schalscha.

Voici la lettre de MM. Michel Goldberg et Alain Richer adressé le 30 septembre 2014 à Monsieur Fountaine (maire de La Rochelle) et à M. Falorni (député de La Rochelle). Avec copies à toute la secte: M. Bussereau (président du Conseil de Charente-Maritime); Mme Suzanne Tallard (députée de Rochefort) ; M. Soubeste (adjoint aux mobilités urbaines à La Rochelle); M. Jakubowicz (président de la LICRA); Mme Bernadette Hetier (co-présidente du MRAP); Mme Fioraso (secrétaire d’État à l’enseignement supérieur) ; M. Blanchard (président de l’université de La Rochelle); M. Jaulin (adjoint à la Culture à La Rochelle). Monsieur le Maire, Monsieur le député. En 2013, le Centre Intermondes et le théâtre «Toujours à l’horizon» ont participé à la création d’une pièce de théâtre antisémite, écrite et jouée par des étudiants de l’université de La Rochelle sous l’autorité de professionnels du théâtre. En août 2014, ils ont voulu inviter à nouveau en résidence à La Rochelle l’auteur canadien qui avait animé l’atelier d’écriture de cette pièce, et heureusement vous êtes intervenu pour mettre un terme à ce projet. Maintenant, ils se victimisent et offrent une tribune pour défendre la libre expression publique de Dieudonné et de R. Faurisson. Ce 27 septembre 2014, le Centre Intermondes et le théâtre Toujours à l’horizon organisaient une soirée Censure et artistes dans le cadre de leur projet culturel Les Traversées. Parmi la soixantaine de spectateurs, ils avaient réuni leurs amis ainsi que des responsables, des comédiens et des financeurs de la pièce de théâtre antisémite de 2013. Cette soirée donnait très largement la parole à des orateurs qui avaient activement soutenu cette catastrophe théâtrale. Ils ont rappelé la controverse autour de cette pièce antisémite en parlant de «l’affaire Beeeeeep» pour insinuer que leurs opposants n’étaient que des censeurs. Dans un mélange de prises de paroles qui pouvait difficilement être compris autrement que comme un amalgame, ils ont aussi parlé des censures opérées dans des dictatures, et des destructions d’œuvres culturelles commises par des organisations terroristes telles que les talibans. Une artiste s’est aussi mise à pleurer sur scène en dénonçant une censure sournoise à son encontre et une volonté de ces obscurs censeurs de lui mettre la main dans la figure. Un enseignant du Lycée Valin a lu avec ferveur un texte contre les atteintes à la liberté d’expression, en citant comme exemple celui qu’il appelle l’humoriste Dieudonné et les atteintes à la liberté de ceux qui font une quenelle qui n’est, selon ce texte, qu’un simple mouvement de la main. Nous pensons que les quenelles, notamment celles photographiées devant le mur des personnes assassinées industriellement durant la $hoah, ne sont pas de simples mouvements de la main. Un enseignant-chercheur de l’université de La Rochelle a lu un texte contre la censure, qui argumentait longuement, à la suite de Noam Chomsky, pour la liberté d’expression de Robert Faurisson, le pseudo-historien négationniste de la $hoah, en précisant son opposition aux thèses de ce dernier. Notons ici que ces deux orateurs rochelais figuraient parmi les défenseurs les plus acharnés de la pièce de 2013. Nous ne comprenons pas que la liberté de parole de Dieudonné et Faurisson, qui ont fait l’objet de nombreuses condamnations en justice, soit défendue dans des lieux subventionnés à La Rochelle. Oublie-t-on que ces discours s’inscrivent dans une mouvance qui n’a pas hésité à tuer dans une école à Toulouse, dans un musée à Bruxelles et dans une cachette à Bagneux? L’art. IV de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen définit la liberté par tout ce qui ne nuit pas à autrui. L’art X affirme que Nul ne doit être inquiété pour ses opinions même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. Cette liberté d’expression n’autorise donc en aucun cas la diffusion de propos constitutifs d’un délit sur le plan pénal, tels que les paroles antisémites, racistes, négationnistes ou homophobes. Nous nous inquiétons aujourd’hui de voir certains membres du personnel rochelais de l’Éducation Nationale défendre la libre parole des négationnistes, même s’ils pensent ainsi la combattre auprès de leurs élèves. On se demande ce qu’ils font de la liberté des jeunes enfants assassinés récemment dans une école parce qu’ils étaient juifs, et au nom de ces mêmes discours dont ils veulent libérer l’expression. Nous ne comprenons pas que le Centre Intermondes et le théâtre «Toujours à l’horizon» aient organisé une soirée sur la censure qui était largement dédiée à un plaidoyer pro domo, sans donner la parole à aucune des centaines de personnes qui avaient montré l’antisémitisme de la pièce de théâtre de 2013. Nous pensons que les grands résistants, les chercheurs, les comédiens, les artistes, la ministre de l’Enseignement supérieur, les députés et les maires qui s’étaient exprimés contre l’antisémitisme de la pièce avaient eux-aussi des choses à dire sur ce sujet. Nous nous inquiétons que les soi-disant pourfendeurs de la censure n’aient invité qu’un tout petit groupe partageant les mêmes opinions pour animer cette soirée, pratiquant ainsi une forme de censure qu’ils prétendent dénoncer. Monsieur le Maire, Monsieur le député de La Rochelle, vous tracez votre chemin politique sur les pas de Léonce Vieljeux, l’ancien maire de La Rochelle, grand résistant assassiné par les nazis. Nous ne doutons pas que votre politique culturelle ne pourra devenir une insulte à sa mémoire. Nous vous prions de croire, Monsieur le Maire, Monsieur le député, en l’expression de notre très haute considération, Alain Richer, responsable de la commission culturelle du Collectif Liste Verte et Ouverte de La Rochelle, Michel Goldberg, maître de conférences. Adresse de contact: Laboratoire LIENSS. Université de La Rochelle. 17000 La Rochelle. PS: la controverse sur la pièce de théâtre antisémite, ainsi que le livret de cette pièce peuvent être consultés. Cette controverse a aussi fait l’objet d’un ouvrage de M. Goldberg L’antisémitisme en toute liberté, éditions Les poches pleines, 2014.Comme on dit toujours: "On ne croit pas à la $hoah pour des raisons historiques, mais pour des raisons pénales!"


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Bravo les gars!

Воскресенье, 28 Сентября 2014 г. 20:21 + в цитатник

Compte-rendu des 48 h de garde à vue des deux militants de Lorraine Nationaliste. La semaine dernière, une convocation à l’hôtel de police de Nancy est tombée pour deux de nos militants, âgés respectivement de 20 et 22 ans. Les Français non-reniés se sont rendus à celle-ci ce mardi 23 Septembre 2014, à 16h30. Ils ont été informés à ce moment de leur placement en garde à vue de 24 h, prolongeable une fois, qui est systématique pour les nationalistes (http://la-flamme.fr/2014/09/compte-rendu-des-48-h-...tants-de-lorraine-nationaliste). Nos deux militants sont soupçonnés d’avoir fait des menaces de mort en raison de l’appartenance sexuelle, et d’avoir participé à l’action coup-de-poing à Nancy, contre une marche anti-famille, en mai dernier. Dans cette enquête, toutes les bassesses ont été utilisées, pressions auprès des familles, perquisitions à leur domicile, menace de prison ferme immédiate (comme si nous ne connaissons pas les répugnantes lois de leur démocratie…). Pendant ce temps, une poignée de journalistes se sont regroupés devant l’hôtel de police, pour obtenir des informations sur l’affaire, ils n’ont d’ailleurs pas traîné pour dégueuler des articles tous plus diffamants les uns que les autres. Quant à eux, les fidèles de Lorraine Nationaliste, ont gardé le silence du début à la fin de leur garde à vue, en refusant de signer quoi que ce soit, tout en animant les cellules de chants nationalistes, ce que nous vous invitons à faire systématiquement dans ce cas. Quand vous avez votre GAV prolongée de 24 h à l’issue de la première journée, qu’on vous photographie des pieds à la tête en prenant vos empreintes digitales, et qu’on vous ramène en plus un type, juste en face, qui est là pour exhibition sexuelle devant mineure, que vous constatez qu’il va sortir largement avant vous, vous avez compris qu’il y a un grave problème dans ce pays.

Au terme de leur enfermement dans les geôles de la république, les militants ont été présentés devant le procureur et le juge des libertés et de la détention. Ils leur ont annoncé leur placement sous contrôle judiciaire jusqu’au procès, prévu le 24 octobre 2014, leur interdisant de rentrer en contact entre eux, comme de vulgaires terroristes pouvant à n’importe quel moment comploter dès leur sortie pour poser une bombe dans le tribunal; avec en prime l’interdiction formelle de s’approcher à moins de 100 mètres du local LGBT de Nancy, qui a déposé deux plaintes, ou de s’approcher de leurs membres. Toute infraction à ces règles pourrait leur entraîner de la prison ferme. Les raisons de cette protection se sont éclairées pour nous lorsque nous avons appris qu’ils nous ont accusés d’avoir lancé des fumigènes du haut du parking aérien du centre Saint-Sébastien, brûlant soi-disant plusieurs personnes, ainsi que des casques de motos, sans rire… Quelle calomnie! Peu après leur libération, nous avons appris que des recherches ADN ont été opérées par la police scientifique sur la banderole afin d’identifier les auteurs… Même L’URSS bolchévique n’aurait pas osé utiliser ce moyen pour une simple banderole s’ils en avaient eu la possibilité! FAIRE FACE À LEURS COUPS, tel est la vie de tout nationaliste luttant pour le bien-être supérieur de la Nation. Avec la garde à vue du 26 mai 2013 à Paris, lors de la manif pour tous contre le projet de loi autorisant la parodie du mariage pour les couples sodomites et saphiques, où nos militants ont été enfermé pendant 65 h chacun, notre section en est à un total de 231 heures de garde à vue. Nous voyons la répression comme un thermomètre nous indiquant que nous sommes sur la bonne voie. Qui vive? FRAANNNCE! Jamais le combat que l’on mène pour toi ne s’arrêtera!


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Cet hiver, chauffez-vous au gaz!

Воскресенье, 28 Сентября 2014 г. 19:57 + в цитатник

Des nouvelles de Robert Faurisson, le seul que quand il pète, y'a 5 juifs qui clamsent, et les autres ramassent leurs dents en or à la petite cuillère. Rien que son site est classé Ceveso 6 millions: Risque de dégazage sauvage qu'elle dit la pancarte.

Il est, comme on voit, d'un blanc bleu à la pureté israélienne. Les cinq personnages qui y figurent semblent tout droit venus de Tsahal, d'un même pas conquérant. Contrairement à l'image d'une France où sévirait l'antisémitisme, voici autour de Thomas Sotto, d'abord Jean-Pierre Elkabbach et Nikos Aliagas, puis Anne Sinclair et David Abiker. La prochaine brochette pourrait comprendre, toujours à Europe 1: Denis Olivennes, Nicolas Demorand, Alexandre Adler, Guy Birenbaum et Valérie Benaïm. La brochette suivante compterait: Olivier Duhamel, Michel Field, Cyril Hanouna, Anne Roumanoff et, de retour, Marc-Olivier Fogiel. Les autres brochettes à venir apporteraient à leur tour autant d'heureuses surprises (http://robertfaurisson.blogspot.fr/2014/09/europe-1-est-recevoir-cinq-sur-cinq.html). Un ennui nous ronge mais nous essaierons de le dissimuler sous un sourire vainqueur: chez les historiens de Lol(o), il y a de plus en plus d'eau dans le gaz et de mou dans la corde à noeuds. Certes un archéologue vient, paraît-il, de faire une belle découverte à Sobibor mais, comme le dit si bien Elie Wiesel, «Les chambres à gaz, il vaut mieux qu'elles restent fermées au regard indiscret. Et à l'imagination» (Tous les fleuves vont à la mer / Mémoires, Le Seuil, 1994, p. 97). Aussi a-t-on eu l'idée de ne rien nous montrer de cette découverte sauf dans un cas où l'on ne voit que les fondations d'une quelconque petite maison! (http://www.timesofisrael.com/71-years-later-sobibor-gas-chambers-unearthed). Pour voir, ne suffit-il pas des yeux de la foi? Il nous faut, coûte que coûte, nous imaginer de retour au glorieux jour d'octobre 1998 où Alain Finkielkraut lançait dans Le Monde, journal oblique: Ah, qu’il est doux d’être juif en cette fin de XXe siècle! Nous ne sommes plus les accusés de l’Histoire, nous en sommes les chouchous. L’esprit du monde nous aime, nous honore, nous défend, prend en charge nos intérêts; il a même besoin de notre imprimatur. Les journalistes dressent des réquisitoires sans merci contre tout ce que l’Europe compte encore de collaborateurs ou de nostalgiques de la période nazie. Les Églises se repentent, les États font pénitence, la Suisse ne sait plus où se mettre… (Alain Finkielkraut, «Mgr Stepinac et les deux douleurs de l’Europe», Le Monde, 7 octobre 1998, p. 14). Shalom!


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Du Zyklon aux roquettes.

Суббота, 27 Сентября 2014 г. 20:35 + в цитатник

Le juif est un animal psychiatrique conditionné dès l'enfance dans un climat de peur qui doit induire chez lui un comportement violent et schizophrénique. L’usage systématique des sirènes pendant le conflit à Gaza par les autorités israéliennes, analysé ici par la journaliste états-unienne Belen Fernandez, produit sur la population israélienne un état de stress psychique permanent et un environnement psychologique saturé par la peur destiné à imposer la réalité d’une agression et un rapport de guerre symétrique, alors même que très peu de roquettes ont touché des bâtiments israéliens. Les tirs et la «pluie» de roquettes du Hamas ont ainsi fait 3 morts civils en Israël, alors que l’armée israélienne a tué près de 2000 personnes à Gaza…(http://lesmoutonsenrages.fr/2014/09/12/pavlov-en-i...n-etat-de-stress-psychologique). L’un des plus grands exploits d’Israël a été de contourner la condition nécessaire pour une validation physique des stimulus induisant la peur. Les sirènes d’alerte aux raids aériens retentissent plutôt deux fois qu’une en Israël. Imaginez que votre accès à l’information se limite aux médias israéliens et aux organes de presse internationaux favorables aux sionistes. Il est très probable que vous développerez la notion qu’une vie ponctuée sporadiquement de sirènes d’alerte aérienne, c’est de loin le pire destin qui puisse échoir à quelqu’un sur la planète. Le fait que la sirène d’alerte ne débouche jamais vraiment sur rien, ni en termes de morts et de blessés, ni de dommages à la propriété, est sans importance. Selon la réalité dictée par Israël,vivre avec un arrière-fond de bruits ennuyeux est bien plus difficile que, disons, vivre sous des bombardement in-discriminés. Comme ce fut déjà le cas des précédentes attaques israéliennes contre la bande de Gaza, le massacre essentiellement unilatéral qui se déroule actuellement a été accompagné d’un flux continu d’articles et d’autres productions médiatiques détaillant les souffrances sans égales des habitants d’Israël. Un récent article du Jerusalem Post, par exemple, commence sur le mode mélodramatique: «Au moment où l’État d’Israël tout entier est sous un feu nourri, ce sont les enfants qui souffrent le plus, et ceci vaut en particulier pour ceux qui vivent dans le sud du pays. Au lieu de profiter de leurs vacances d’été, ils sont obligés de rester à l’intérieur, vivant d’une alerte de raid aérien à la suivante, dans la peur constante d’être touchés par des roquettes». Qu’importe la différence entre entendre des sirène et se sentir littéralement soufflé en morceaux – un honneur que peuvent revendiquer les enfants des territoires palestiniens de manière disproportionnée. L’article annonce une excursion de deux jours pour les jeunes Israéliens, offerte par le Fonds National Juif (JNF), vers des forêts plantées par lui dans le nord du Neguev et vers d’autres sites. Le but de voyage: alléger le stress et garantir aux enfants «une merveilleuse occasion de se retrouver dans un environnement naturel calme, d’échapper à la tension et de se trouver en contact avec les magnifiques paysages israéliens». Cela mérite qu’on rappelle que les forêts JNF ont été installées par-dessus les [ruines des] villages palestiniens détruits en 1948 pendant les débuts, sous la menace des armes, de l’état d’Israël. Dans l’intérêt de cultiver de futures occasions de sérénité pour le peuple élu de dieu, le JNF pourrait envisager de remplacer la population de Gaza par des arbres. Une réalité totalement manufacturée. Une vidéo scénarisée sur YouTube intitulée «La vie en Israël: 15 secondes de réalité – les roquettes de Gaza» prétend nous donner une idée de ce à quoi ressemble une journée type pour les blondes mamans israéliennes. L’itinéraire est à peu près le suivant: d’abord un plan sur un rejeton angélique à la crèche avec musique douce émanant du mobile de la crèche. Ensuite devant la fenêtre, un petit signe à un autre chérubin qui joue dans l’herbe avec des poupées, au milieu d’oiseaux gazouillants. Sourire extasié, ensuite repli sur une cuisine comme dans un spot publicitaire de Folgers (*). On s’appuie au mur en dégustant avec bonheur une tasse de café. Soudain les sirène d’alerte aérienne retentissent et la tasse tombe en mille morceaux, sauvetage des rejetons à la crèche, puis des yeux horrifiés quand un autre est frappé par une roquette. (Bien sûr ce n’est jamais arrivé en réalité, mais on attache que peu d’importance est accordé à la réalité dans «la réalité en 15 secondes» d’Israël). Une autre vidéo scénarisés sur le même thème, celle-ci téléchargée par le Ministère des Affaires Étrangères et intitulée: «Un test inattendu – 15 secondes pour vous mettre à courir et sauver votre vie», met en scène d’hypothétiques écoliers israéliens passant un examen tandis que leur prof se pèle une pomme. Quand la sirène se déclenche, ils font de l’hyperventilation et le message qui flashe à travers l’écran est «Voilà la réalité d’Israël aujourd’hui». Les sirènes comme élément central de la réalité israélienne ont été reconnues dans le monde entier, et le 1er août dernier le Tampa Bay Times en Floride rapportait que «les sirènes d’alerte aérienne devaient retentir … faisant partie d’une manifestation de soutien à Israël» dans le quartier de Downtown Tampa. Heureusement pour les habitants et pour l’infrastructure de la ville, aucune reconstitution de la réalité actuelle à Gaza n’avait été prévue. Néanmoins on peut difficilement argumenter que l’institutionnalisation des sirènes d’alertes aériennes en Israël reflète simplement la préoccupation du gouvernement quant à la sécurité de ses citoyens. Il semble plutôt que la transformation de ce qui est avant tout une pollution sonore en une menace apocalyptique ait plus à voir avec l’intérêt qu’a le gouvernement de maintenir un niveau de panique populaire facilement convertible en soutien public écrasant aux activités militaires génocidaires. Mais combien de temps l’Etat pourra-t-il crier «au loup!»? Indéfiniment? Après tout, selon les immortelles paroles de George W. Bush: «Bernez-moi une fois, honte à vous. Bernez-moi deux fois … Honte à moi!».

Maintenir la tradition du traumatisme juif. Techniquement, la réponse pavlovienne des Israéliens aux sirènes – la panique – devrait à présent être retombée, vu que le stimulus audio n’est pratiquement jamais suivi d’un changement dans la condition personnelle pour justifier ladite réponse. Alors, pourquoi les gens ne se sont-ils pas immunisés contre le stimulus? Bien sûr, certains ont fini par l’être. Mais beaucoup s’en sont tenus fermement à la tradition pavlovienne, même s’ils ont sans doute remarqué que les roquettes n’atterrissent pas n’importe où près d’eux. En effet, l’un des grands exploits de l’état juif a été de contourner la condition nécessaire de validation physique des stimulus induisant la peur. Pour la plupart des israéliens, les bruits émis par les sirènes et par le spectaculaire et déraisonnable système de défense anti-missile Iron Dome servent à confirmer que l’ennemi tente de les tuer. Le stress psychologique qui en résulte est évidemment mis sur le compte de cet ennemi plutôt que de l’état lui-même – l’entité directement responsable du chahut et, plus généralement, de la réinitialisation permanente du conflit avec les Palestiniens qui en font les frais mais à qui, en tant que sous-hommes, on dénie le luxe de souffrir psychologiquement ou physiquement. Aussi longtemps que le système nerveux israélien aura une valeur disproportionnée et que le système nerveux palestinien n’en aura aucune, l’État d’Israël continuera d’exploiter un arrangement qui pourrait lui-même être qualifié de «système nerveux».


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Une Europe judéo-bolchévique?

Суббота, 27 Сентября 2014 г. 19:22 + в цитатник

Les experts d'un groupe de réflexion de l'Union européenne exigent que l'UE se prépare à mettre fin au moyen de la force militaire aux grèves et aux manifestations. Du fait de l' inégalité sociale grandissante dans une économie mondialisée et du nombre de conflits armés croissants à l'intérieur des frontières de l'UE, de telles diatribes se multiplieront inévitablement. Dans cette étude réalisée par l'Institut d'Etudes de sécurité de l'Union européenne, les auteurs ont carrément déclaré que face à ces développements, il faudra utiliser l'armée de plus en plus fréquemment pour maintenir l'ordre et protéger les riches de la colère des pauvres. (http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/0...ne-le-recours-larmee.html#more). Le livre, intitulé «Perspectives 2020 pour la défense européenne», a été publié un an après le quasi effondrement du système financier mondial en 2008. Il montre clairement que les universitaires et les politiciens sont parfaitement conscients des implications révolutionnaires de la crise. Ils sont en train de créer différents scénarios qui permettent de réprimer l'opposition de la vaste majorité de la population contre les attaques sociales. En présentant le mois dernier un compte rendu de cette étude, la radio allemande Deutschlandfunk a rapporté que «Dans le cadre de la politique étrangère et sécuritaire conjointe, les responsabilités de la police et des forces armées sont de plus en plus fusionnées et les capacités de lutte contre les protestations sociales renforcées». Officiellement, il est question d'interventions dans des pays à l'extérieur de l'UE. «Mais, en vertu de l'article 222 du traité de Lisbonne, un fondement juridique a été créé pour le déploiement de l'armée et d'unités paramilitaires à l'intérieur d’États de l'UE en crise.» Le livre a été rédigé par une équipe d'universitaires et d'experts dans le domaine de la politique sécuritaire, de la défense et de la politique étrangère. La préface a été écrite par la représentante de la politique étrangère de l'UE, Catherine Ashton. Elle y définit les paramètres à long terme de la politique sécuritaire de l'UE. Son introduction et le fait que l'institut soit une institution de l'UE confèrent à l'étude un sceau d'approbation officiel. La contribution la plus longue du livre intitulée «L'UE et l'environnement sécuritaire mondialisé» résume l'orientation des projets de l'UE. Le professeur, Tomas Ries, directeur de l'Institut suédois des Affaires internationales, y suggère que l'UE combatte de plus en plus fréquemment les problèmes sociaux par des moyens militaires. Durant la Guerre froide, Ries était déjà un acteur externe, expérimenté, sélectionneur d'agenda («agenda-setter») pour les militaires des pays d'Europe du Nord. Après l'effondrement de l'Union soviétique, il se consacra à l'étude de la politique sécuritaire mondiale. Ries considère que la menace principale à la «sécurité» est un violent «conflit entre les classes socio-économiques inégales dans la société mondiale» qui seraient «des tensions verticalement asymétriques dans le village mondial». Pour dire les choses simplement, la principale «question sécuritaire» est la lutte des classes dans l'économie mondiale mondialisée. Pour illustrer ces «tensions verticalement asymétriques», Ries présente un diagramme de l'inégalité sociale. En haut il y a les groupes transnationaux, les «Fortune Global 1000», ou les 1 000 entreprises disposant du plus gros revenu. Il a calculé, qu'en pourcentage de la population mondiale, ils correspondent à 0,1 pour cent, soit près de 7 millions de personnes.

Il voit un contingent bien plus vaste dans les centaines de millions d'affamés de la population mondiale. Ceux-ci se trouvent tout en bas du diagramme. Pour les conflits sociaux, économiques et politiques inévitables qui découlent de cette inégalité, il recommande que l'UE entre en «symbiose» avec les entreprises mondiales. Le pouvoir de ces entreprises «dans les domaines de la technologie et de l'économie ne cesse de croître et par conséquent elles gagnent aussi de l'influence dans d'autres domaines. Mais, elles ont besoin de l'État et l'État a besoin d'elles». De par la crise financière, l'État a déjà assumé sa part dans la «symbiose». Les dettes des banques ont été chargées sur le dos de la population et les conditions de vie de la classe ouvrière ont été attaquées et minées. Comme conséquence de ces attaques fondamentale contre les droits sociaux de la classe ouvrière, un conflit social va inévitablement se développer, selon Ries, et qui affectera d'importantes parties de l'infrastructure. Ries cite des exemples du type de luttes ouvrières auxquelles il pense: la grève des éboueurs de Naples, en Italie, la grève des pompiers de Liverpool, en Angleterre, et des aiguilleurs du ciel aux États-Unis. Dans toutes ces situations, l'armée avait été utilisée pour maintenir l'infrastructure. Bien qu'il ne s'agisse pas là du travail de l'armée, Ries prévient que dans les années à venir l'armée devra être déployée de plus en plus fréquemment sur le plan intérieur. En raison de ces tensions, écrit-il, on fera appel plus fortement à un «travail de police» qui sera effectué par l'armée. Depuis que ces lignes ont été écrites, des soldats ont été déployés contre des grévistes en Espagne et en Grèce, ou bien la loi martiale a été instaurée pour les forcer à reprendre le travail. Pour Ries, ceci est inévitable. Les riches doivent être protégés des pauvres, explique le professeur. Puisque «le pourcentage de la population qui est pauvre et frustrée continuera d'être très élevé, les tensions entre ce monde et le monde des riches continueront de croître avec les conséquences qui en découlent. Puisque qu'il nous sera à peine possible de surmonter les causes de ce problème d'ici 2020, c'est-à-dire les défauts de fonctionnement de la société, nous devrons nous protéger plus efficacement». Par «défauts de fonctionnement», Ries entend les conséquences sociales du système de profit capitaliste mondial, tout comme les guerres qui sont menées pour garantir son maintien. Mais ce sont là deux composantes fondamentales du système capitaliste et qui poussent de plus en plus de gens dans la pauvreté ou à devenir des réfugiés. La protection des riches contre les pauvres est décrite par Ries comme une «stratégie du perdant», c'est-à-dire une stratégie à l'encontre des perdants du système. Bien que «moralement très suspecte», il n'y aura «aucune façon de la contourner si nous ne sommes pas en mesure de surmonter les causes de ce problème». Par ses remarques, Ries résume la perspective sociale de la classe dirigeante. Elle est prête à défendre ses privilèges et sa richesse face à l'opposition de la population. Ries ne demande pas uniquement un régime militaire européen pour réprimer les grèves mais il réclame aussi un renforcement massif des États de l'UE. D'ici 2020 au plus tard, l'UE devra considérablement élargir ses capacités militaires afin de disposer de toute la gamme de capacités indispensables pour mener un combat de haute intensité, fait remarquer Ries. Selon lui, la paix entre les grandes puissances «est totalement et entièrement tributaire du fonctionnement de l'économie mondiale». «Si elle se brisait, l'ordre politique pacifique serait probablement aussi détruit». C'est à cela que doit se préparer l'UE. Ries décrit la Russie comme étant tout particulièrement dangereuse pour l'UE. «Une forte politique d'hégémonie» est exigée contre ce pays. Entre-temps, depuis que ces lignes ont été écrites, l'UE a établi sa «politique d'hégémonie». Après avoir orchestré un coup d'État fasciste en Ukraine pour repousser l'influence russe, la voie de la confrontation a été adoptée contre le Kremlin. Ries décrit comment ceci va encore évoluer: en une guerre à l'extérieur du pays et une guerre à l'intérieur. Comme le dit le proverbe: Pour situer votre ennemi, situez le juif!


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Le Communisme, trahi par ses origines!

Суббота, 27 Сентября 2014 г. 18:44 + в цитатник

Avertissement: Cet article est moitié intéressant, ou plutôt moitié mensonger. Dans le génocide de l'Homme Blanc, nous ne voyons pas la main des Illuminatis Kabbalistes mais belle et bien celle du Talmud saupoudré de quelques tonnes de dents en or, de $hoah, et d'Anne Frank. (https://henrymakow.wordpress.com/2014/03/15/les-am...dre-une-vague-de-terreur-rouge) Évoquant les Juifs Illuminati, Winston Churchill écrivit en 1920: «cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstruction de la société sur la base du développement arrêté, de l’envie malveillante et de l’égalité impossible, n’a fait que croître régulièrement… à présent cette racaille… ont saisi le peuple Russe par les cheveux et sont devenus les maitres indiscutés de cet énorme empire.» Illustrated Sunday Herald, 8 février 1920. «Pourquoi les victimes du Communisme sont-elles forcées de s’assoir au fond du bus de l’Oh Low Cost?» Par James Perloff. Les mêmes banquiers Illuminati responsables de la Révolution Bolchévique et les plus grands meurtriers de masse de l’histoire humaine, contrôlent aujourd’hui les États-Unis. L’Amérique est-elle sur le point d’expérimenter une autre forme de «Terreur Rouge»? Certains signes sont effrayants: Habilité par le «Patriot Act, le Homeland Security Department (département de la sécurité intérieure – Ministère de l’intérieur) pourrait devenir une Tcheka (police secrète) et les camps de détention de la FEMA, un autre archipel du goulag. L’année dernière cette administration a fait les gros titres en passant commande de 1.6 milliard de munition – suffisamment pour tuer chaque américain 5 fois. Les révélations d’Edward Snowden au sujet de la NSA (espionnant le monde entier). L’Executive Order 13603 donne au président le pouvoir de prendre le contrôle de toutes les ressources nationales, publiques et privées, et d’imposer la loi martiale. NDAA 2014 donne à l’armée le pouvoir de détenir indéfiniment les citoyens américains sans chef d’accusation ni procès. Pour faciliter la réduction en esclavage, les Bolchéviques bannirent la possession d’armes. Leur guerre contre le peuple était devenue celle des «mitraillettes contre les fourches». Bien que les américains ne soient pas encore désarmés, la pression pour bannir le port d’arme n’a jamais été aussi forte, tandis que les manipulations orchestrées de «tireurs fous isolés» ont augmenté. En général, le terrorisme sous faux drapeau comme le 11/09 et Boston démontre un mépris général pour le peuple. Nous n’en sommes pas encore à raser les Églises, mais les médias ne cessent de diaboliser les Chrétiens tandis que les cours de justice suppriment davantage l’expression religieuse. L’armée américaine est entraînée à considérer les Chrétiens comme des extrémistes et des terroristes. Le génocide n’est pas explicite, mais les injonctions de l’élite à propos du contrôle des populations révèlent le projet se tenant derrière la légalisation de l’avortement, l’HAARP, les OGM et les campagnes de vaccinations obligatoire. Rien de tout ceci ne devrait nous surprendre: le réseau maçonnique Illuminati Rothschild qui régnait en 1917, règne encore aujourd’hui. LA TERREUR JUIVE rouge de sang goy.

En 1992, le journal Literaturnaya Rossiya a estimé que par la famine et la guerre civile y compris, le Communisme Soviétique avait fait 147 millions de morts. Même en acceptant le chiffre plus modéré de l’ouvrage publié par l’Harvard University Press, Le Livre Noir du Communisme, selon lequel le Communisme n’aurait entraîne le massacre que de «seulement» 100 millions d’âmes à travers le monde – ce que ces meurtres représentent est au-delà du soutenable. Staline est connu pour avoir déclaré: «un mort est une tragédie; un million une statistique». En décembre 1917, les Bolchéviques mirent en place leur instrument de terreur, la Tcheka (le précurseur du KGB). Lina écrit: «Les listes de ceux qui étaient fusillés et exécutés furent publiées dans l’hebdomadaire de la Tcheka. De cette manière, il peut être prouvé que 1.7 million de gens furent exécutés pendant la période 1918-1919. Une rivière de sang coula à travers la Russie. La Tcheka dût même recruter des compteurs de cadavre.» Par contraste, sous les Tsar, 467 personnes furent exécutées entre 1826 et 1904. Trotski déclara: «Nous réduirons l’intelligentsia Russe à un état de complète idiotie.» Lina écrit: «1,695,604 personnes furent exécutées de janvier 1921 à avril 1922. Parmi ces victimes se trouvaient des archevêques, des professeurs, des docteurs, des officiers, des policiers, des gendarmes, des avocats, des fonctionnaires, des journalistes, des écrivains, des artistes…» Les Bolchéviques considéraient l’intelligentsia comme la plus grande menace à leur dictature. Cela jette une lumière particulièrement révélatrice sur le mot magique marxiste de «prolétariat». Les Illuminati savaient que les nations sont plus faciles à réduire en esclavage si seul les paysans et les éleveurs demeurent. Mais même le prolétariat ne fut pas épargné. La Tcheka supprima des centaines de milliers de paysans qui se soulevaient, exécutant ces victimes comme «contre-révolutionnaires». Des tortures sataniques accompagnaient souvent les massacres. Beaucoup de prêtres furent crucifiés. Certaines victimes avaient les yeux arrachés, leur membres arrachés, ou faisaient face à toutes sortes de mutilations tandis que les prochaines victimes étaient forcées de regarder. Bien que la Russie avait été le «grenier du monde», plus de cinq million moururent de faim au cours de la famine de 1921-22. Cela n’était en rien de «l’inefficacité socialiste», mais bien un génocide par confiscation de grain. Au cours de l’Holodomor, Staline fit périr 7 millions d’Ukrainien, y compris 3 millions d’enfants, en donnant l’ordre de confisquer toutes les denrées, comme punition pour avoir résister à la collectivisation des fermes. Les brigades communistes passaient de maisons en maisons, démolissant les murs à coup de haches en cherchant la nourriture dissimulée. Au sein des goulags Soviétiques (camps de concentration) des millions ont péris. Alexandre Soljenitsyne estime que rien qu’au cours de la «grande purge» de Staline de 1937-38, deux millions moururent au goulag. «LES DÉFENSEURS DU PEUPLE». Pendant ce temps, les Bolchéviques vivaient royalement. Lénine, qui occupait le domaine du Grand-Duc Sergei Alexandrov, déposa 75 millions de franc sur un compte Suisse en 1920. Trotski, qui vivait dans un château confisqué au prince Felix Yousoupov, possédait plus de 80 millions de dollars sur des comptes en banque aux États-Unis. Les gradés de la Tcheka mangeaient dans des assiettes en or. Le Communisme ne fut jamais qu’un gigantesque pillage masqué par des slogans démagogiques et de l’idéologie. L’argent et les bijoux étaient confisqués des habitations sous la menace des armes. Lénine et Trotski engraissèrent largement leurs maîtres banquiers. Juri Lina écrit: «En octobre 1918, des banquiers Juifs de Berlin reçurent 47 caisses remplies d’or en provenance de la Russie, pour un total de 3125 kilos d’or.» Le Grand Orient de France refit la décoration de sa loge de Paris grâce à l’argent envoyé par Lénine en 1919. À New-York, Loeb reçut, rien que dans la première moitié de 1921, 102 millions de dollars de richesses russes.» (Sous le Signe du Scorpion, 278). Les Bolchéviques étaient à majorité Juifs – cela n’est pas surprenant lorsqu’on considère le lien multiséculaire entre les Juifs Kabbalistes, la Franc-maçonnerie et la Révolution. Je constate cela de manière objective, sans antisémitisme. Je suis à moitié Juif; mes grands-parents paternels ont émigré de Russie en 1904. Dans Les Derniers Jours des Romanov (1920), Robert Wilton, le correspondant du Times en Russie, établi une liste nominative de chaque personne composant le gouvernement Bolchévique. Comité central du Parti Bolchévique: sur 12 membres, 9 étaient Juifs. Conseil des Commissaires du Peuple: 22 membres, 17 Juifs. Comité exécutif central: 61 membres, 41 Juifs. Commission extraordinaire de Moscou: 36 membres, 23 Juifs. En 1922, le Morning Post publia une liste des 545 hauts fonctionnaires de l’administration Soviétique; 477 d’entre eux étaient Juifs, 30 d’origine russe. Le terme de «Révolution Russe» n’était qu’un abus de langage… Léon Trotski (de son vrai nom Lev Bronstein) était un Juif Ukrainien. Il fit adopter par l’Armée Rouge le symbole kabbalistique de l’étoile à cinq branches. À New-York, Trotski était membre du B’nai B’rith – l’ordre maçonnique exclusivement Juif –tout comme son richissime protecteur et sponsor, le banquier Jacob Schiff. Juri Lina a découvert les preuves démontrant que Schiff avait ordonné le meurtre du Tsar et de la famille royale. Sous Lénine, l’antisémitisme devint un délit passible de la peine capitale. Les Bolchéviques détruisirent 60,000 églises, beaucoup d’entre elles devinrent des latrines ou des musés de l’athéisme. Pourtant les Synagogues de la Russie furent curieusement épargnées. Les Juifs dominaient au sein de la Tcheka. Lina établit la liste de 15 directeurs de goulag (Sous le Signe du Scorpion, p.310). La Tcheka ciblait les classes sociales et les ethnicités: la «bourgeoisie»; les «koulaks» (les propriétaires terriens); et les Cosaques, dont le Comité Central déclarait qu’ils devaient être exterminés et éliminés physiquement éliminés jusqu’au dernier.» Ils essayèrent d’éradiquer la culture russe, renommant Petrograd et Tsaritsyn après cette Révolution de psychopathes. En Ukraine, les Bolchéviques confisquèrent les costumes nationaux traditionnels. La disparition du nationalisme est le prérequis du Nouvel Ordre Mondial Illuminati. Malgré les allégations déclarant que la domination Juive prit fin sous Staline, en 1937 17 membres présidents sur 27 étaient toujours Juifs, et 115 Commissaires du Peuple sur 133 l’étaient également. Staline se retourna contre les Sionistes en 1949, persécutant lourdement les Juifs au cours de l’année 1952 au cours de laquelle il fut empoisonné. Depuis Bela Kun en Hongrie, à Rosa Luxembourg en Allemagne, aux époux Rosenberg en Amérique (les espions atomiques), en passant par Karl Marx lui-même, les Juifs figuraient indéniablement de manière disproportionnée parmi les communistes. Cette observation ne vise pas à stigmatiser les Juifs. Mais pourquoi les victimes du Communisme sont-elles forcées de s’assoir à l’arrière du bus de l’Holocauste? Pourquoi nous bassine-t-on avec la nuit de cristal, mais jamais avec le fait que les Bolchéviques détruisirent 60,000 églises et massacrèrent 300,000 prêtres? Pourquoi l’historien David Irving fut-il emprisonné pour avoir défié la version officielle de la $hoah, tandis que le correspondant du New-York Times Walter Duranty nia l’Holodomor Ukrainien et fut récompensé par le Prix Pulitzer? Pourquoi aucune Anne Frank Ukrainienne n’est-elle honoré dans les films? Ne sont-elles pas toutes deux des enfants de Dieu? La réponse à ces questions désigne une vérité sous-jacente: les descendants politiques des gens responsables de ces atrocités, contrôlent le monde d’aujourd’hui. Gardons espoir, mais préparons-nous quand même pour le pire.


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D'une nébuleuse à l'autre.

Суббота, 27 Сентября 2014 г. 13:31 + в цитатник

Notre président a trouvé le saint Graal, la façon de justifier ses incompétences à résoudre des problèmes qu'il a lui même amplifiés de manière démesurée: c'est d'accuser la nébuleuse. Regardez le chômage, il a embauché sans réelle nécessité quantité d'instituteurs, et de fonctionnaires en se disant que 1) ils voteraient pour lui en 2017, et que 2) cela inverserait la courbe des destructions de poste. Tout faux, il a juste créé des charges supplémentaires qu'il a fallu éponger avec des augmentations d'impôts chez les Français les plus modestes entraînant par effet domino nombre de fermetures d'entreprises. Regardez l'islamisme radical, il a armé et encadré les djihadistes en Syrie en se disant que 1) on élimine Bachar El Assad (grand ennemi d'Israël et de Fabius), et de 2) on tape sur du Bougnoule (c'est déstressant). Tout faux, il a juste créé une fatwa contre les Français, et leurs intérêts économiques à l'échelle mondiale. On a maintenant peur de sortir dans la rue, encore heureux que la France soit un vivier de Youpins, ça pourra les occuper quelques temps.

L'effroyable assassinat de l'otage Hervé Gourdel au nom de l'organisation État islamique a définitivement fait entrer ce groupe djihadiste dans l'esprit des Français et renforcé la détermination de François Hollande à frapper ses positions en Irak. Mais qui est vraiment ce groupe ultra-radical? Qui a contribué à son essor? Pourquoi continue-t-il à faire des émules dans le monde et comment en venir à bout? (http://www.lepoint.fr/monde/ce-que-cache-la-menace...ique-26-09-2014-1866999_24.php) Directeur du projet Égypte-Syrie-Liban du programme Moyen-Orient de l'International Crisis Group, le chercheur Peter Harling, qui a vécu et travaillé pendant sept ans en Irak, livre au Point.fr ses vérités sur la guerre contre l'organisation État islamique. Dérangeant. La détermination de François Hollande à frapper l'organisation EI en Irak est-elle, selon vous, la bonne stratégie?Peter Harling: La question n'est pas le niveau de détermination de François Hollande, mais la nature de cet adversaire et la pertinence des moyens utilisés pour l'affronter. Annoncer qu'on vengera en Irak ou ailleurs un meurtre qui s'est joué en Algérie ressort de la politique spectacle, des relations publiques, et non d'une quelconque stratégie. Ce groupe a tout de même appelé à tuer les "méchants et sales Français". En Occident, Daesh (Peter Harling emploie ce terme péjoratif également choisi par le gouvernement français pour désigner le groupe EI, NDLR) réveille tout un imaginaire du terroriste génétiquement programmé pour incarner et commettre le mal. Cela permet de faire l'impasse sur la politique : c'est comme s'il existait un certain type d'individu qu'il fallait détruire pour régler le problème, d'où des solutions militaires prédominantes. Mais, justement, Daesh attire des gens dont on ne peut pas faire une typologie rigide, et surtout voit sa capacité de mobilisation s'accroître à la faveur des frappes occidentales. Daesh est le réceptacle de toutes sortes d'imaginaires. Qu'entendez-vous par là? Certains Européens désorientés, tentés par l'hyper-violence, trouvent dans la mise en scène des crimes du mouvement une sorte d'idéal radical et viril. En Syrie ou en Irak, Daesh peut être perçu comme un simple allié nécessaire face à des agressions nombreuses, venant d'un gouvernement sectaire, vu comme une sorte de force d'occupation à la solde de l'Iran, par exemple. Daesh exprime aussi des frustrations aussi diverses que profondes avec l'ordre existant, à un moment où il n'existe pas d'alternative puisque les élites séculières sont laminées, les courants islamistes "mainstream" ont échoué et des structures étatiques fragiles sont dépecées dans une logique du "chacun pour soi".

Comment les populations sunnites voient-elles cette organisation? Un groupe terroriste ou un libérateur du joug chiite? Les deux! Le monde arabe sunnite connaît une sorte de crise existentielle. La région a pour l'instant raté, pour ainsi dire, sa sortie de l'ère de régression qui l'avait caractérisée sous la domination de l'Empire ottoman, qui a cédé le pas au colonialisme, à des ingérences occidentales tous azimuts et la création traumatisante d'Israël. Les grands mouvements émancipateurs, qui ont d'abord été d'immenses sources d'inspiration, ont vite dégénéré en coteries autocratiques et cleptomanes. Leurs alternatives islamistes, articulant diverses visions d'avenir séductrices mais utopistes, ont échoué lamentablement dès qu'il s'agissait de les mettre en oeuvre en pratique. Le Printemps arabe, ce moment fulgurant, splendide, qui devait offrir à la région sa rédemption, sa nouvelle chance, a lui aussi viré au désastre. Il faut imaginer les sentiments de confusion, d'échec, d'amertume, d'injustice et d'humiliation qui en découlent. Ajoutez-y la violence inimaginable pratiquée par le régime syrien, sans aucune réaction sérieuse en Occident. Ajoutez-y l'ampleur de la crise humanitaire qui s'est ensuivie. Ajoutez-y le spectacle navrant des courants réactionnaires en Égypte, dans le Golfe et ailleurs. Ajoutez-y enfin les provocations constantes qui viennent du monde chiite, qui, lui, est dans une phase ascendante générant une forme d'hubris. Au total, très peu de gens aiment Daesh, mais il n'y a que lui. Comment l'organisation a-t-elle réussi à s'emparer de tels pans de territoires? Daesh se glisse dans un vide. Il s'est imposé dans le nord-est de la Syrie principalement parce que le régime syrien s'était retiré de cette zone largement désertique. Il a pu prendre le contrôle de Mossoul, en Irak, parce que les autorités centrales n'y étaient présentes qu'à travers des élites locales vendues à Bagdad et un appareil de sécurité pléthorique mais sectaire, cynique et incompétent. De la même manière, Daesh a récemment pénétré au Nord-Liban, dans une frange particulièrement négligée du pays. En revanche, Daesh ne consacre pas ses ressources - limitées - à des tentatives d'expansion vouées à l'échec, c'est-à-dire dans des zones où le mouvement peut s'attendre à une vraie résistance. Voilà pourquoi il a toujours été absurde de penser que l'organisation allait marcher sur Bagdad, bien défendue par des milices chiites, ou prendre d'assaut Erbil, fief des factions kurdes. De la même façon, elle ne s'attaque pas non plus sérieusement au régime syrien. Au contraire, il impose son hégémonie dans les zones qu'il domine, éradiquant tout compétiteur potentiel en milieu arabe sunnite. Qui est coupable, selon vous, de la montée en puissance de cette organisation? Tout le monde y a participé : les Iraniens, en soutenant les régimes syrien et irakien dans des politiques qui visaient expressément à la radicalisation des sunnites, de façon à discréditer et combattre toute opposition au nom d'une prétendue "guerre contre le terrorisme", puis en encourageant un djihad chiite qui ne pouvait que renforcer son pendant sunnite. L'Occident, en encourageant un soulèvement syrien auquel on a fait miroiter notre solidarité et notre soutien, mais qu'on a essentiellement laissé livré à lui-même face à des formes et des niveaux de violence extrêmes. La Turquie, qui jusqu'à récemment a ouvert ses frontières en grand à quiconque prétendait aller combattre Bachar el-Assad. Les monarchies du Golfe, qui ont financé l'opposition syrienne de façon velléitaire et désordonnée, ce qui a profité - indirectement pour l'essentiel - aux djihadistes. Est-ce le massacre des minorités chrétienne et yazidie en Irak qui a réellement motivé l'intervention américaine? Daesh massacre à tour de bras. Mais ses combattants ont également procédé à des exécutions de masse au sein de tribus arabes sunnites, et personne n'a pipé mot. Ils ont aussi décapité bien des combattants alaouites (de Bachar el-Assad, NDLR). Sans compter que d'autres horreurs sont perpétrées par des acteurs qui n'en paient pas le prix: le régime syrien a causé la mort par malnutrition de très nombreux civils, enfants compris, dans des quartiers encerclés à cette fin. Du reste, je ne vois pas très bien comment des frappes aériennes contre Daesh, découplées de toute mesure concernant les autres souffrances, terribles, que connaît la région par ailleurs, vont assurer l'avenir des chrétiens ou des Yazidis. Comment, alors, venir à bout de l'organisation État islamique? La première chose à faire serait de rompre avec la temporalité médiatique. On frappe subitement, de toute urgence, une menace que l'on a vue croître pendant deux ans, dans une indifférence totale. Le vrai tournant qui a précipité l'intervention, c'est l'attention de nos médias, autour de thématiques percutantes : le martyre des chrétiens d'Orient, la barbarie suprême mise en scène dans des décapitations d'Occidentaux et la "guerre contre le terrorisme". C'est cela qui a déclenché une riposte militaire qui, à mon sens, relève d'une "ritualisation" du conflit: tout comme Daesh se donne en spectacle, avec un talent redoutable et pervers de publicitaire, nous nous mettons en scène dans une sorte de lutte eschatologique contre le mal. Or, Daesh est un adversaire tout à la fois limité en taille, profondément ancré dans la psyché régionale et interconnecté avec des enjeux très sérieux liés aux conflits de la région. Il va falloir du temps, du doigté, des moyens considérables et une vraie réflexion stratégique pour affronter cette organisation. Pourquoi se précipiter et multiplier les erreurs, qui seront autant de facteurs aggravants? Pour ne prendre qu'un exemple: au moment où l'on vole au secours des chrétiens d'Irak, soi-disant à grand renfort d'armes très coûteuses, l'ONU annonce qu'elle va réduire son aide alimentaire aux réfugiés syriens. Comment cette population brimée, dépossédée de tout va-t-elle comprendre cette décision? Notre avis, c'est que le terrorisme sémite commence à grave nous courir sur le haricot!


Papa Moati s'en est sorti!

Среда, 24 Сентября 2014 г. 05:36 + в цитатник

Dans un livre publié mercredi, dont un court extrait a été repris par nos confrères du Lab d'Europe 1, Serge Moati dévoile une petite phrase lancée par son ami Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz (un sujet explosif) (http://www.closermag.fr/people/people-francais/jea...-sur-les-chambres-a-gaz-402518). L'ancien président du Front National lui aurait déclaré "on ne fourrait pas tout le monde dans les chambres à gaz", lors d'une discussion portant sur le père du journaliste qui a été conduit par les Nazis dans un camp de concentration. Jean-Marie Le Pen vient d'accrocher une nouvelle polémique à son tableau de chasse. Habitué à défrayer la chronique, le père de Marine Le Pen fait cette fois-ci la Une des médias après les révélations de Serge Moati. Dans son livre Le Pen vous et moi, un ouvrage sorti le 17 septembre dans lequel il relate 25 ans de rencontres et de conversations avec l'ancien président du Front National, le journaliste revient sur une conversation dans laquelle le père de Marine Le Pen aurait tenu des propos polémiques sur les chambres à gaz. Selon les extraits de ce passage publiés par nos confrères du Lab d'Europe 1, Jean-Marie Le Pen aurait affirmé à Serge Moati: "Pardon, mais j'y repense, vous m'avez bien dit que votre père avait été en camp de concentration?" Alors que le journaliste lui aurait confirme les faits en précisant qu'il était "en Allemagne", le leader frontiste lui aurait demandé si "ce dernier est décédé" dans le camp de concentration. Quand Serge Moati lui aurait répondu: "non, sinon je ne serais pas là", Jean-Marie Le Pen aurait répliqué: "Alors vous voyez. Il en est sorti. Ça prouve qu'on ne fourrait pas tout le monde dans les chambres à gaz. Vous en êtes la preuve "vivante", si j'ose dire..."

Ce n'est pas la première fois que Jean-Marie Le Pen fait polémique en évoquant les pseudos chambres à gaz. En 1987, il a fait scandale sur le petit écran en affirmant: "Je crois que les chambres à gaz sont un point de détail de l'histoire de seconde guerre mondiale." Des propos qu'il a affirmé "ne pas regretter" en juillet dernier. En juin, celui qui entretient des relations parfois tendues avec Marine Le Pen a défrayé la chronique en proposant de "faire une fournée" des artistes anti-Front National comme Patrick Bruel (alias Patrick BenGuigui) ou encore le Noir Yannick Noah. Il est vrai qu'avec la fin de la guerre en Algérie, on s'est récupéré une sacrée flopée de parasites bien gorgée d'huile de palme, de suffisance, et d'antiracisme (Julien Dray, Timsit, Michel Boujenah, Gad Elmaleh, Pierre Arditti, Enrico Macias, … et la liste est suffisamment longue pour faire tourner la SNCF pendant tout l'été ).


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Tatoués et vaccinés!

Пятница, 19 Сентября 2014 г. 07:46 + в цитатник

La justice n'attend pas, enfin... presque. Le parquet de Hanovre a mis en accusation cette semaine un ancien gardien du camp d'extermination d'Ochwitz-Birk'now. Oskar Groening, qui est aujourd'hui âgé de 93 ans, est soupçonné de "complicité de meurtre dans au moins 300 000 cas", le nombre estimé de personnes qui seraient mortes de typhus, de malnutrition, ou dans les chambres à douche entre le 16 mai et le 11 juillet 1944 (http://www.lepoint.fr/monde/allemagne-un-nazi-comp...tres-18-09-2014-1864199_24.php). L'ancien officier nazi est l'un des rares Allemands qui reconnaissent avoir été présents dans le camp polonais. Ces années-là comptant double pour sa retraite. Son avant-bras gauche porte encore trace de son groupe sanguin, que se faisaient tatouer tous les membres des SS. Mais si cet amateur d'oiseaux avoue n'avoir jamais rien ressenti quand il voyait les files de juifs marcher vers les chambres à gaz, il nie avoir eu un lien direct dans leur disparition. Ce "comptable de la terreur", comme le décrit un journaliste juif de l'hebdomadaire Spiegel qui l'a longuement rencontré en 2005, avait pour mission de récolter et de renvoyer à Berlin l'argent liquide qui avait été pris aux prisonniers avant leur rééducation. Aujourd'hui retraité en Basse-Saxe, il compte les juifs pour s'endormir la nuit et raconte sa vie tranquille à Auschwitz, qui ressemblait à "une petite ville", avec son barbecue, sa chambre froide, son "magasin de légumes dans lequel on pouvait acheter deux tibias pour faire de la soupe". Oskar Groening ne se décrit pas comme un SS assoiffé de sang, contrairement à certains autres militaires, capables de fesser des homosexuels attachés contre le flanc d'acier d'un camion jusqu'à ce que le silence se fasse", comme il l'a raconté au Spiegel. La cour de Hanovre estime, elle, que cet ancien sergent peut être accusé d'avoir "aidé le régime nazi économiquement et soutenu les massacres systématiques". Le tribunal de Lüneburg doit désormais décider si elle doit entamer un procès. Mais le temps presse... Le fond de pension Simon-Wiesenthal, qui traque les nazis pour les amener devant la justice, estimait l'an dernier qu'à peine 2 % des 6 000 personnes qui ont travaillé comme gardiens dans les camps ou dans les unités mobiles d'extermination (Einsatzgruppen) étaient encore en vie. Et, sur ces 120 criminels de guerre, à peine la moitié d'entre eux peuvent être poursuivis, les autres étant trop malades pour supporter un procès. C'est donc à une véritable course contre la montre que se livre la justice actuellement. En juillet, un Américain de 89 ans né en Tchécoslovaquie, Johann Breyer, est mort quelques heures à peine avant qu'une cour de justice américaine n'annonce son extradition en Allemagne. Les juges outre-Rhin semblent bien décidés à rattraper le temps perdu pour traîner les criminels nazis devant les tribunaux. Même s'ils sont imprescriptibles en République fédérale, les crimes contre l'humanité ne sont avérés que si des preuves irréfutables sont présentées aux magistrats. Mais le procès de John Demjanjuk en 2011 a changé tout cela en créant un précédent. Cet ancien garde du camp de Sobibor en Pologne a en effet été condamné à cinq ans de prison pour complicité dans l'extermination de plus de 28 000 juifs (petit joueur!), alors que sa participation aux meurtres n'avait pas été prouvée. Cette décision a accéléré les procédures contre les autres criminels de guerre présumés. Mieux vaut tard... Le pire, c'est que leurs histoires font autorité de vérité, et que vous n'avez pas le droit de leur demander des compléments de preuves sans vous faire incendier de «Négationniste!»


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Le juif est bon ventriloque! Il est même doué pour faire parler les morts.

Среда, 17 Сентября 2014 г. 23:29 + в цитатник

Ben Laden par ci, Ben Laden par là, sauf que Ben Laden, ça faisait longtemps qu'il avait plié les gaules en laissant la franchise Al Qaïda à l'abandon. Tout juste quelques cassettes audio (authentifiées par la CIA-Mossad) et diffusées par les médias de Jew-York pour entretenir le suspense. Avec les attentats, c'est sûr que pour les sionistes, c'était plus que coup double: Et d'un, on faisait passer les Musulmans pour d'horribles arriérés mentaux avides de haine occidentale, et de deux, on frappait les démocraties européennes hostiles à Israël en se revendiquant d'une nébuleuse terroriste, mélange de Talibans, Djihadistes, et d'Iraniens. Et de trois, on déclenchait des guerres de représailles qui permettaient de piller les pays de Bougnoules (Irak, Afghanistan, Pakistan). La manipulation talmudique dans toute sa splendeur. On se souviendra surtout qu'Oussama, formé par le judéo-sioniste Zbigniew Kazimierz Brzezinski, fut la première victime du 11 Septembre 2001.



Quand on écoute les terroristes islamistes, on est toujours frappé par l'indulgence presque fraternelle qu'ils éprouvent pour les terroristes israéliens. Comprenez que l'armée de Tsahal a décanillé cet été 2 000 civils palestiniens à l'arme lourde, et que les fous d'Allah n'ont émis aucune menace, aucune violence à l'encontre d'Eretz, non, toute leur haine est dirigée contre nous, pauvres Occidentaux. On serait mauvaise langue, on pourrait y voir une «Association Terroriste Internationale Sémite.» Les branches maghrébine (Aqmi) et yéménite (Aqpa) d'al-Qaida ont appelé les djihadistes en Irak et en Syrie à s'unir contre la coalition hostile au groupe de l'État islamique (EI), dans un communiqué commun mis en ligne mardi (http://www.lepoint.fr/monde/irak-al-qaida-appelle-...dent-16-09-2014-1863685_24.php). Dans ce communiqué sans précédent, les deux groupes exhortent leurs "frères moudjahidines en Irak et au Levant à cesser de s’entre-tuer et à s'unir contre la campagne de l'Amérique et de sa coalition diabolique qui nous guette tous". "Faites de votre rejet de la mécréance un facteur d'unité", ajoutent les deux organisations à l'adresse des groupes djihadistes traversés par des divergences entre le groupe de l'EI et le Front al-Nosra, la branche syrienne d'al-Qaida. Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) et al-Qaida dans la Péninsule arabique (Aqpa - fusion des branches saoudienne et yéménite de l'organisation) sont restés fidèles au chef d'al-Qaida Ayman al-Zawahiri, qui est très critique du groupe de l'EI. Cet appel s'adresse aussi à l'opposition syrienne modérée qui cherche à renverser le président Bachar el-Assad et est soutenue par les États-Unis et leurs alliés arabes. Aqmi et Aqpa invitent ainsi, dans leur communiqué, "tous ceux qui ont pris les armes contre le tyran Bachar et ses milices à ne pas se laisser berner par l'Amérique, et à ne pas devenir leurs pions". Les deux branches sollicitent également le tribus sunnites d'Irak et de Syrie pour qu'elles "n'oublient pas les crimes des États-Unis (...) et ne fassent pas partie de la coalition". Les États-Unis, qui ont déjà mené plusieurs raids aériens contre les djihadistes du groupe EI en Irak, tentent de bâtir une large coalition impliquant des pays arabes pour "anéantir" ces djihadistes qui occupent de larges pans des territoires irakien et syrien. Les États-Unis, qui ont déjà mené plusieurs raids aériens contre les djihadistes du groupe EI en Irak, tentent de bâtir une large coalition impliquant des pays arabes pour "anéantir" ces djihadistes qui occupent de larges pans des territoires irakien et syrien. Plus généralement, les deux branches exhortent les musulmans, notamment ceux de la Péninsule arabique, à "empêcher leurs soldats de participer à la guerre (qui s'annonce) contre les djihadistes de l'EI". Elles appellent ces musulmans à se "soulever contre leurs gouvernements" qu'elles qualifient d'"agents de l'Occident" et de les "empêcher de se lancer dans une guerre contre l'islam sous le couvert de la lutte contre le terrorisme". À la coalition anti-EI, les deux branches d'al-Qaida "promettent des journées noires", une menace à peine voilée d'actions violentes contre les pays occidentaux et leurs alliés arabes.


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Un Grand Homme!

Суббота, 13 Сентября 2014 г. 15:28 + в цитатник

Anders Behring Breivik, le pro-juif, pro-Franc-Maçon, pro-gay, pro-$hoah et anti-bougnoule qui avait tué 77 personnes en 2011, veut créer un parti politique "fasciste" en Norvège pour intégrer le système démocratique plutôt que de commettre une nouvelle "barbarie" (http://www.lepoint.fr/monde/norvege-breivik-veut-c...iste-05-09-2014-1860643_24.php). Dans une lettre de dix-sept feuillets reçue vendredi par l'AFP, l'extrémiste lance "un ultimatum" au ministère norvégien de la Justice, le sommant de lever les obstacles placés délibérément, selon lui, pour l'empêcher de fonder le "Parti fasciste norvégien" (NFP) et "la Ligue nordique" (NL). Le 22 juillet 2011, Breivik, aujourd'hui âgé de 35 ans, avait tué 77 personnes au nom de la lutte contre le multiculturalisme et "l'invasion musulmane". Il avait d'abord fait exploser une bombe près du siège du gouvernement à Oslo, faisant huit victimes, puis ouvert le feu sur un rassemblement de Jeunes travaillistes sur l'île d'Utoeya, tuant soixante-neuf autres personnes, des adolescents pour la plupart. Breivik assure aujourd'hui s'être "converti" à la cause démocratique depuis août 2012, disant avoir été inspiré par le succès électoral en Grèce du parti néonazi Aube dorée, et voudrait créer un parti pour défendre son idéologie - inchangée - sans avoir à recourir à la violence. "En tant qu'ex-militant, mon cœur pleure pour la barbarie que j'ai perpétrée le 22 juillet", écrit-il dans la lettre rédigée depuis la prison où il purge une peine de vingt et un ans, susceptible d'être prolongée ultérieurement. "En tant qu'ex-militant, le plus important dans ma vie est d’œuvrer pour que quelque chose de comparable ne se reproduise plus jamais. Tout le but du NFP et de la NL est que cela ne se reproduise pas", écrit-il, avant de signer "Anders Behring Breivik, secrétaire du parti et candidat à la députation du NFP et de la NL". Il aurait retenu le qualificatif "fasciste" pour éviter d'être estampillé comme "nazi". "Puisqu'on sera de toute façon diabolisé, il est tactiquement justifié de l'endosser", se justifie-t-il. Ce n'est pas la première fois que Breivik tente de communiquer avec le monde extérieur: il a dans le passé envoyé aux médias plusieurs courriers sur son engagement idéologique dans lesquels il déplore ses conditions de détention. Ses propos trouvent généralement peu d'écho en Norvège, où les gens souhaitent tourner la page et ne plus entendre parler de lui, mais ont un certain retentissement dans le reste du monde, qui reste stupéfait par l'atrocité du crime dans un pays d'ordinaire si paisible. "C'est impossible d'y croire", a réagi vendredi le groupe de soutien aux familles de ses victimes. "Ce qu'il écrit est plein de contradictions." En février, l'AFP avait reçu une autre lettre dans laquelle Breivik menaçait d'entamer une grève de la faim s'il n'obtenait pas satisfaction sur douze exigences, y compris sur l'obtention d'une console de jeux Playstation 3 à la place de la Playstation 2 dont il dispose en prison. Une plainte qu'il avait déposée pour "torture grave", notamment à cause de son maintien en isolement quasi total, a été classée sans suite à la même période. En 2012, le grand enjeu de son procès avait été la question de sa santé mentale, les experts psychiatriques ayant des avis divergents sur ce point. Le tribunal d'Oslo l'avait finalement jugé pénalement responsable et condamné à la peine maximale. En Norvège, les détenus conservent tous leurs droits civiques, quelle que soit la lourdeur de leur peine. "Rien dans notre réglementation ne l'empêche de créer un parti. Il a en parfaitement le droit pour peu qu'il remplisse les conditions requises", a réagi Andreas Skulberg, un haut fonctionnaire du ministère de la Justice. Mais Breivik affirme que, dans la pratique, les autorités pénitentiaires entravent ses droits en confisquant les lettres destinées à recueillir les signatures nécessaires à l'enregistrement de son parti. Selon les termes de son "ultimatum", il donne trente jours, à compter du 18 août, au ministre de la Justice Anders Anundsen pour contribuer à lever ce blocage, faute de quoi il menace de l'assigner devant les tribunaux. Les autorités carcérales ont démenti les allégations de Breivik, mais expliqué qu'elles devaient censurer les courriers de détenus susceptibles d'inciter à des faits criminels. "Ce n'est absolument pas une tentative délibérée de faire traîner les choses pour l'empêcher de créer un parti", a expliqué Karl Hillesland, directeur par intérim de la prison de Skien où Breivik est actuellement détenu. "Mais nous avons un cadre réglementaire que nous essayons de mettre en pratique de notre mieux." Notre avis sur cet homme ne changera plus: un pion du Mossad. Cette entreprise terroriste étant la seule à pouvoir garer pendant plusieurs heures une camionnette chargée d'une tonne de TNT en plein quartier des affaires à Oslo, et par la suite, à couvrir la vérité au travers de ses vastes réseaux de désinformation (presse, télévision, internet) pour nous parler d'explosif à base d'engrais pour géranium. Petit comique! Le béton est éventré, les poutres d'acier ont été balayées comme de la paille.


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Rester maître de sa destinée.

Суббота, 13 Сентября 2014 г. 14:29 + в цитатник

Nous ne sommes pas très optimistes sur la capacité de l’Écosse à opter pour l’indépendance et notre sentiment – nous espérons nous tromper – est bien que celle-ci ne votera pas en faveur de son émancipation. Cependant, la tenue prochaine du référendum écossais terrorise les cercles mondialistes, du FMI aux tenants actuels de l’UE technocrato-cosmopolite en passant par les défenseurs de la première étape de la mondialisation qu’est le jacobinisme tricolore (http://breizatao.com/2014/09/13/mondialisme-lindep...le-fmi-et-les-cercles-jacobins). La France: un état sans nation contre des nations sans état. Les partisans du national-cosmopolitisme français – le fameux pseudo “nationalisme” assimilateur hérité de 1789 – dénoncent vertement, avec leurs amis espagnols ou britanniques, la perspective d’une Écosse libre. En France, pays consubstantiellement universaliste et égalitariste après avoir bu le lait révolutionnaire jusqu’à la nausée, l’argumentaire repose essentiellement sur la fiction d’une agitation de la “finance” contre les très respectables “états-nations”, lesquels seraient les garants du socialisme. Comme si la puissance britannique et Londres étaient considérées par la finance comme des ennemies, alors qu’elles en procèdent historiquement. Naturellement, si les états-nations protégeaient du processus cosmopolite, cela se saurait. En réalité, l’état-nation n’a rien de national. Le mot “nation” renvoie à la racine latine “natio”, “naître”, c’est-à-dire à une filiation commune, à la souche ethnique, “matrice” commune du peuple. Or, pour les Français, c’est le politique, “l’État”, qui fait le peuple et non l’inverse. Aucune dimension ethnique n’y a sa place. Fort logiquement la France, aux côtés de l’Angleterre, fut l’un des propagateurs majeurs du mondialisme, dans un versant collectiviste et socialisant. Avant la révolution française, ce qui distinguait le peuple “français” des autres était par la soumission politique d’un individu au Roi de France. Après, ce fut la soumission du citoyen à l’état révolutionnaire et ses valeurs. Le jacobinisme était en germe dans l’absolutisme royal dont il a hérité des outils de la puissance. Le mariage de la carpe et du lapin au XIXème siècle par les monarchistes français, à savoir du nationalisme et du monarchisme catholique, n’accoucha que de l’Union Sacrée en 1914 comme en 1939. C’est-à-dire au ralliement, pour cause de chauvinisme exacerbé, aux ligues démocratiques tournées contre les empires autoritaires en 1914 et contre le fascisme en 1939. Et pour cause: les frontières géographiques si vénérées par le nationalisme français, les fameuses “frontières naturelles” de Danton, étaient depuis beau temps devenues incapables de se défier d’un ennemi qui n’était pas extérieur, mais à la tête même de l’État. La nation française est si peu nationale que les nationalistes de ce pays brandissent régulièrement et fièrement leurs Antilles comme “françaises avant la Savoie”. Ils deviennent fous de rage quand la perspective de voir les Kanaks obtenir leur indépendance se précise. Ils soupirent après la “francophonie” et ses nègres. Ils ne voient pas de différences entre un Alsacien de souche germanique et le dernier Libanais “francophile” échoué à Roissy. Preuve s’il en est de l’absence totale de dimension ethnique de cet état qui au final n’est qu’une administration centralisée ayant connu d’heureux succès militaires. Ce que l’on appelle une oligarchie. A présent que de colonisateur cet état est devenu colonisé, la même idéologie stato-nationale enrobe le tout, pour le profit des mêmes. Les populations de souche, comme de juste, n’ont pas leur mot à dire. Voire se revendiquent des idées mortifères que leur a inculqué l’État Français pour leur propre sujétion. Ces contradictions internes insurmontables ont convaincu depuis longtemps le verbeux nationalisme français d’impuissance. L’État Français se résume à une pathologie de la grandeur, pathologie qui a réclamé les vies de millions de pauvres Gaulois écrasés sur mille champs de bataille sans que jamais il ne fut question de leur salut particulier. Dans une sorte de syndrome de Stockholm, les tenants du nationalisme jacobin veulent arrêter le processus de mondialisation au stade où il marchait en faveur de l’expansionnisme de l’empire français, c’est-à-dire de l’État-Nation omnipotent. Pourtant l’État Français n’ est le développement logique et malheureux du Traité de Verdun qui créa, au cœur de l’Europe, une division funeste avec les conséquences que l’on sait. Il fut toujours utilisé à point nommé contre le continent par les intrigants internationaux que nous connaissons. Et puisque nous parlons d’intrigants, nous en arrivons logiquement à ce Royaume-Uni qui ne fut jamais que le produit de l’oligarchie londonienne, liée depuis 4 siècles au cosmopolitisme israélite sous l’action décisive de Cromwell.

La Finance se dresse contre l’Écosse. Cette oligarchie panique, et avec elle toute sa superstructure qui craint le réveil ethnique des peuples réels, de ces nations – véritables celles-là – européennes. Et pour cause! Quiconque sait d’où il vient peut s’armer contre la dissolution cosmopolite et peut s’opposer à cet “homme nouveau”, de préférence métissé, que propose le mondialisme en marche depuis Londres, Paris ou New York. Le FMI a fait connaître son “inquiétude” face à la perspective d’une indépendance écossaise. La “Banque d’Ecosse”, qui n’a d’écossaise que le nom, a menacé de quitter le pays pour Londres si l’indépendance était votée. Le juif Ed Miliband, pour le Parti Travailliste, était en Ecosse pour conjurer la même perspective, côté-à-côte avec le non moins juif David Cameron. Washington vocifère à l’unisson contre une Ecosse libre qui affaiblirait une Grande-Bretagne, alliée historique des USA. Il n’est pas jusqu’au financier juif George Soros qui n’ait bruyamment dénoncé une indépendance écossaise. De la même façon que le combat breton a toujours existé, de la bataille de Jengland à la Guerre de Succession au XIVème siècle en passant par la guerre d’indépendance en 1488 et la Chouannerie, le combat écossais est séculaire. Il n’a pas attendu l’avènement de l’UE ou de l’OTAN pour exister. Non plus que celui des Flamands, des Catalans ou des Basques et des Alsaciens. Les tenants du socialo-jacobinisme français ont toujours trouvé toutes les excuses possibles pour délégitimer ces minorités nationales menant un combat explicitement tourné contre le constructivisme issu de la modernité révolutionnaire. Et contre la puissance de leur état factice. Ce retour des communautés organiques que sont les nations ethniques terrorise les socialo-étatistes qui ne comprennent que trop bien que leurs frontières n’ont rien d’intangible, et avec elles, leur pouvoir. La pourriture nostalgique de 89 trouvera toujours de quoi remuer son fumier et légitimer son parasitisme. Et comme de juste, le métèque juif Eric Zemmour faisait la leçon à ces mêmes Ecossais, présentés comme le levier de la Finance internationale. Ce qui est faux, comme nous l’avons détaillé. Peu importe, les métèques tricolores savent ce qu’ils doivent à l’état jacobin et savent d’instinct que le réveil du sentiment ethnique des indigènes annonce par obligation la fin de leur parasitisme. Le chauvinisme cosmopolite, voilà le seul résultat tangible du nationalisme français, tout entier bâti sur une contradiction. Si à Madrid l’argumentaire est tourné contre “la gauche”, à Paris, il l’est contre “la droite”. Les minorités nationales sont suspectes de fascisme, de racisme, pire “d’ultra-libéralisme”, ce fantôme que l’état socialiste français n’a pourtant jamais vu. Argumentaires dont le fond est insignifiant au final puisqu’il demeure celui des idiots utiles des grosses oligarchies luttant pour maintenir la prédominance de leur centre principal de pouvoir sur des périphéries historiquement révoltées. L’Europe des peuples contre l’Europe des états factices Non seulement le salut de Londres ou de Paris ne nous intéresse pas, mais c’est encore à la destruction de ces Babylones modernes qu’il faut travailler. Le retour des nations ethniques amorce celui plus général d’une Europe délivrée des idées issues des Lumières dont les pseudo “états-nations” ne sont que les premiers marche-pied. Le visage de Paris, véritable tête de pont de l’Afrique en Europe, donne le ton quant au “nationalisme” que ces capitales d’états factices incarnent. Et encore, nous retrouvons marginalement dans certains cercles chauvins de France des gens pour soutenir l’indépendance écossaise, simplement pour la nuisance qu’elle générerait en Angleterre, tout en luttant pied-à-pied contre Bretons, Corses, et autres dans l’Hexagone. Cette duplicité ne trompe pas grand monde. Le salut ne passera pas par l’Écosse seule. Mais en inscrivant le cadre du politique dans une dimension ethnocentrée et fédérative, c’est bien à un regroupement confédéral des peuples européens – enfin unis par un outil de puissance qui reste à créer – que cette indépendance annonce indirectement. Paradoxalement, c’est bien le nationalisme français qui est aujourd’hui un “régionalisme” nuisible en Europe, tandis qu’Ecossais, Catalans et autres Bretons appellent de leur vœu l’émergence d’une Europe puissance, inclusive, bref, impériale. Certes, ces peuples sont également exposés à la décadence occidentale, mais leur premier mouvement est salutaire, quoique incomplet et même souvent schizophrène. Ces régionalismes espagnols, français ou britanniques sont nuisibles à l’unité continentale. Ces égoïsmes ressassent une grandeur passée qui les poussent à nuire à cette unité naturelle, hiérarchique et organique, autour d’une commune famille de civilisation. Ces particularismes d’états sans nation, d’oligarchies des grandes capitales, redoutent le retour de ce sentiment identitaire qui fait voler les frontières artificielles en éclats et, paradoxalement, hâte l’unité européenne, par la base. Ce sont ces chauvinismes hors de saison que combattent Écossais, Catalans et Flamands pro-continentaux. A la bonne heure!


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"Ils ont tué le fils de Dieu!"

Суббота, 13 Сентября 2014 г. 13:16 + в цитатник

Les faits sont simples: le 12 février 2013, à l’occasion de la renonciation du pape Benoît XVI à sa charge, neuf Femen financées par le multimilliardaire juif Georges Soros ont pénétré dans la cathédrale Notre-Dame de Paris et, juchées seins nus sur le socle de trois cloches, exposées provisoirement dans la nef à l’occasion du jubilé des 850 ans de l’édifice, ont crié «Pope No More» tout en tapant à l’aide de bâtons sur les cloches, qu’elles ont légèrement dégradées (http://www.thomasjoly.fr) Citées à comparaître devant le tribunal correctionnel pour dégradation volontaire, elles ont été relaxées le 10 septembre dernier au motif que les éléments soumis au tribunal ne permettaient pas de leur imputer avec certitude les dégradations. En revanche, les vigiles ont été condamnés à des peines d’amende avec sursis… Le parquet a interjeté appel de ce jugement. Voilà pour les faits. Reste le scandale de poursuites inadaptées, du fait du ministère public. Reprocher aux Femen des dégradations matérielles était le plus sûr moyen de les faire relaxer: la décision du tribunal est logique; la cour d’appel ne la réformera sans doute pas. La vraie question n’est pas celle des cloches! Elle est celle de l’intrusion dans un édifice religieux de neuf hystériques dont le but affiché est de provoquer, de choquer, de ridiculiser. Il suffit de voir les photographies de l’événement pour constater le regard effaré des touristes, manifestement choqués de cette mise en scène dans un lieu que chacun – croyant ou non – s’accorde à reconnaître comme sacré. Dans une société libérale – et prétendument libérée –, faut-il que la religion catholique dérange à ce point pour être la cible unique d’excitées du téton qui seraient bien incapables, d’ailleurs, de dire en quoi la parole apostolique les empêche de vivre comme elles l’entendent? Les chrétiens étant, dans notre Occident décadent, la seule minorité qu’il est permis de ne pas respecter, le parquet n’a pas pensé à user des dispositions qui lui permettaient de poursuivre efficacement ces militantes. La justice, une fois encore, a montré qu’elle appliquait la vieille règle du deux poids deux mesures. Quand elle est forte avec les faibles et faible avec les forts, elle ne craint ni le courroux des chrétiens, ni l’opprobre de la presse, ni les pressions du pouvoir. Mais le jeu qui consiste à juger en fonction de la capacité de nuisance de la victime risque de se retourner contre elle! Lorsqu’elle aura à juger les incendiaires musulmans d’une synagogue, lui faudra-t-il s’indigner de l’acte antisémite ou refuser de stigmatiser une communauté habituée à la coupable indulgence des juges? L’autre vraie question est celle des attaques systématiquement portées contre les chrétiens et les symboles de leur foi. Bien sûr, à côté de ce qui se passe en Irak, cette danse pectorale n’a qu’une gravité relative. En apparence seulement: à force d’accepter ces manifestations d’hostilité, on prépare les esprits à une forme d’indifférence qui, le jour où surviendront de vraies persécutions, se révélera dans toute son ampleur. Ne sous-estimons pas la portée de ces actions: ne serait-ce pas leur seul objet? Que nos juges complaisants prennent garde. À force de mépriser les chrétiens, ils sapent les fondements – chrétiens – du droit pénal dont l’application leur incombe. Et ils soufflent sur des braises qui ne demandent qu’à s’enflammer. C'est pas à Ochwitz qu'elles iraient montrer leurs loches et se frotter l'oignon sur la ménorah, ces salopes salariées du Talmud!


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Une race de parasites.

Суббота, 13 Сентября 2014 г. 12:37 + в цитатник

Thomas Thévenoud quittait le gouvernement jeudi 4 septembre 2014 après la révélation d'une légère irrégularité sur le paiement de ses impôts, il s'est non-déclaré pendant 3 ans (http://www.economiematin.fr/news-091014-thevenoud-...scandale-phobie-administrative). Il sera resté à son poste de secrétaire d’État moins de deux semaines créant par là le premier scandale du gouvernement Valls II. Mais voilà que le Canard Enchaîné en remet une couche: dans son édition de ce mercredi 10 septembre 2014, le journal révèle également que le député aurait «oublié» de payer ses loyers... pendant près de trois ans. Une situation aujourd'hui réglée et qui remonterait à «avant son élection à l'Assemblée Nationale» a-t-il déclaré sur Europe 1 tout en confirmant les faits. Mais combien ça fait, trois ans de loyer? petit calcul: supposons que le logement de M. Thévenoud coûtait à l'époque (avant son élection donc avant 2012) comme un deux pièces à Paris actuellement (on suppose que M. le député n'habitait pas dans un studio) soit, en moyenne, 1 250 euros. Trois ans, cela fait 36 mois d'impayés. On peut donc estimer le dû de M. Thévenoud à quelque chose comme 45 000 euros. (Disclaimer: ce calcul est purement théorique, nous n'avons aucune information sur le loyer du logement en question ou sur le niveau de vie de M. Thévenoud). Décidément... tête en l'air que cet élu. Au Canard Enchaîné, le député a déclaré souffrir d'une «phobie administrative». On ne peut que le comprendre... l'administration n'est pas ce qu'il y a de plus agréable dans la vie de quelqu'un. Mais on se demande comment un député peut avoir peur de ce que les «Sans Dents» appellent vulgairement «la paperasse». N'y en a-t-il pas à l'Assemblée? Malgré ces deux scandales, Thomas Thévenoud n'a pas démissionné de son mandat de député de Saône-et-Loire. A gauche comme à droite, les élus sont choqués par cette décision et le juif Christian Jacob, président du groupe UMP, a déclaré qu'il allait saisir la commission des infractions fiscales «pour voir s'il n'y a pas eu de fraude intentionnée». Mais non, il est « phobique », le pauvre. Le secrétaire d’État au Commerce extérieur, au Tourisme et aux Français de l’étranger a «démissionné» selon l’Élysée ou a été contraint à «remettre sa démission» du gouvernement selon Matignon. François Hollande, ajoutant un nouveau mensonge à son palmarès, a annoncé dans un communiqué le départ de son ministre soupçonné de corruption en prétendant que Thomas Thévenoud partait «à sa demande et pour des raisons personnelles». Les services de Manuel Valls ont eux reconnu qu’il s’agissait d’une nouvelle affaire de corruption, précisant qu’il s’agissait d’un problème de «conformité [sic] avec les impôts». Ce proche du juif Laurent Fabius aurait été confondu par les services fiscaux, pour avoir, au moins ces trois dernières années, menti sur ses déclarations de revenus. Ce libéral de gauche, spécialiste des questions financières et économiques, avait été nommé en 2013 par les députés socialistes vice-président de la mission d’information sur la fraude fiscale et vice-président de la commission d’enquête sur l’affaire Cahuzac à l’Assemblée antinationale. Il y a quelques jours, il se vantait d’avoir voté en faveur la loi sur la transparence du patrimoine des députés. «En cette période particulière, il faut aller au-delà du factuel et expliquer les choses aux citoyens: on n’est pas tous des Cahuzac!» déclarait-il. Il pourrait retrouver rapidement son poste de député de Saône-et-Loire. Entre-temps sa famille continuera à vivre sur le dos des Français, sa femme étant elle chef de cabinet du président du groupe socialiste au Sénat, Didier Guillaume. Dans son dernier article paru sur son site www.thomasthevenoud.fr, Thomas Thévenoud faisait la promotion des ABCD de l’Égalité et de l’idéologie du genre, des théories antiracistes, et de la repentance des Blancs sur l'Oh Low Cost. On apprend qu'il aurait aussi oublié de payer les PV de sa voiture de fonction, et les séances chez son kinésithérapeute. De toute évidence, pour continuer à tromper son monde si longtemps, il a bénéficié d'appuis très haut placé!

Les Thévenoud forment un couple unique au monde, réunissant les deux seuls individus au monde touchés par une maladie orpheline terrible: la «phobie administrative» (http://www.thomasjoly.fr). L’ex-nouveau ministre Thomas Thévenoud a non seulement des «oublis» de déclaration fiscale, mais également d’activité professionnelle, dans le cadre de la publicité du patrimoine des élus, comme son collègue écologiste Jean-Vincent Placé avait «oublié» de déclarer sa participation à une société, comme Yasmina Benguigui en son temps, comme l’autre socialiste Jean-Marie Le Guen qui a minoré ses déclarations de patrimoine, etc. Alors qu’il aurait dû déclarer cette activité professionnelle, ce très éphémère ministre a inscrit «néant» dans la case correspondante – une majuscule à ce mot aurait permis de décrire le gouvernement dans son ensemble… La ligne de défense de l’élu de la république est qu’il aurait créé cette entreprise exprès pour «rémunérer la femme de ménage de sa permanence» de député, ici encore, un cas unique, puisque tout est déjà prévu pour que les députés n’aient pas à se lancer dans de telles démarches administratives si pénibles, particulièrement pour les phobiques maladifs. Ce montage juridique lui permet de déclarer un déficit professionnel déductible de son impôt sur le revenu, alors que l’activité professionnelle est fictive, ce qui s’apparente à une fraude. Il convient de ne pas accabler l’ex-ministre exemplaire: comment, d’ailleurs, peut-on opérer un redressement fiscal sur quelqu’un qui «oublie» de déclarer ses revenus? Précisons qu’en 2009, un contribuable – qui, il est vrai n’était ni politicien, ni administrativophobique (dit aussi: virus éboladministratif)– a été condamné à dix-huit mois de prison pour avoir oublié de déclarer ses revenus, écopant finalement d’un an en appel en 2010. De combien écopera le ministre socialiste en 2014? Deux jours de travaux d’intérêt général à l’École nationale des impôts? Après cela, il pourra prendre sa double retraite bien méritée de ministre (9 jours tout de même) et de député; à moins qu’il ne choisisse de se mettre en longue maladie – longue car les spécialistes sont formels: le traitement des phobiques de l’administration n’est pas prêt d’être trouvé. Le Canard enchaîné dévoile enfin dans son édition de mercredi que Thomas Thévenoud, en plus de tout cela, a refusé de payer son loyer durant plusieurs années. Thomas Thévenoud rejoint Jérôme Lavrilleux, Jérôme Cahuzac, Jean-Marie Le Guen, Yasmina BenGuigui, Serge Bloch – dit Dassault –, Patrick Balkany-Smadja, Kader Arif, Arlem Désir, Alain Juppé, Laurent Fabius, Julien Dray, et de nombreux autres politiciens corrompus (Juifs ou Franc-Maçons) toujours députés ou sénateurs au rang d’icônes parfaites de la République Sioniste exemplaire.


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«Messire, ça puire votre haleine!»

Суббота, 06 Сентября 2014 г. 22:03 + в цитатник

Parce que personne n'a envie de finir comme ça!

Pourquoi l'expression "les sans-dents" est un sérieux accroc dans la carrière de Hollande? La petite phrase, prêtée au président de la République par Valérie Trierweiler dans son livre "Merci pour ce moment", entache gravement son image politique (http://www.francetvinfo.fr/politique/valerie-trier...rriere-de-hollande_686147.html). "En réalité, le président n'aime pas les pauvres. Lui, l'homme de gauche, dit en privé : 'les sans-dents', très fier de son trait d'humour." Cette phrase, écrite par Valérie Trierweiler dans son livre Merci pour ce moment, est cruelle et désastreuse pour l'image de François Hollande. Car le chef de l'Etat risque de trainer cette expression comme un boulet durant toute sa carrière politique. Francetv info vous explique pourquoi. C'est une formule choc. Cette petite phrase serait "la synthèse du débat politique français actuel, à savoir l'opposition entre le peuple et l'élite, la défiance du peuple vis-à-vis du politique", juge Philippe Moreau-Chevrolet, communicant, interrogé par BFM TV. "Ces [propos] seraient évidemment graves s’ils étaient exacts, parce qu’effectivement, en France, la capacité d’assumer des soins dentaires coûteux constitue un marqueur social", abonde Christophe Bouillaud, professeur de sciences politiques à l'IEP de Grenoble, sur Atlantico. François Hollande ne serait pas le premier à se retrouver ainsi marqué par une formule choc. En pleine visite au Salon de l'agriculture, en février 2008, Nicolas Sarkozy avait lâché son célèbre "casse-toi, pauvre con" face à un homme qui refusait de lui serrer la main. Cette expression est devenue le symbole du "mépris de classe" du président, rappelle Rue 89. Une expression que Nicolas Sarkozy a eu bien du mal à faire oublier. Ça brise son image politique. En 2012, François Hollande était le candidat "qui n'aime pas les riches". Deux ans plus tard, le voilà catalogué "président qui n'aime pas les pauvres". "C'est très symbolique du parcours de Hollande, de candidat socialiste à président aujourd'hui contesté par la gauche", explique Philippe Moreau-Chevrolet. Une évolution qui lui enlève le seul, maigre, atout qui lui restait. "Jusqu'ici, François Hollande apparaissait comme pas vraiment compétent, mais plutôt sympathique", poursuit le spécialiste de la communication. La cote de popularité du chef de l'Etat, en chute libre cette semaine, risque encore donc d'en pâtir. "Ses chances de réélection sont sérieusement entamées", tranche de son côté Yves-Marie Cann, directeur d'opinion à l'institut CSA, à Europe 1. Ça fait un carton sur les réseaux sociaux. L'expression a très vite été relayée sur Twitter, où plusieurs comptes portant le nom de "sans-dents" sont apparus dès mercredi 3 septembre. La formule est aussi en deuxième position des "trending topics", les sujets les plus suivis sur le réseau social, depuis deux jours. Elle a donné lieu à de nombreux détournements de la part des internautes. Des pages Facebook, des blogs et des sites web ont été créés dès mercredi, rapporte le Monde. La page "Les Sans-Dents", tenue par des militants de droite proches du collectif "Hollande dégage", compte vendredi 5 septembre près de 28 000 likes. Selon le Nouvel Observateur, elle n'était suivie que par 2 300 abonnées mercredi. C'est du pain bénit pour ses opposants politiques. Si l'expression connaît un tel succès, c'est aussi parce qu'elle est reprise en boucle par tous les opposants de François Hollande. "Elle lui sera forcément renvoyée par ses adversaires au cours de débats futurs, estime Philippe Moreau-Chevrolet sur le site de BFM TV. C'est une véritable bombe politique, elle ne le lâchera pas." L'extrême-droite a sauté sur l'occasion. "Hollande méprise les 'sans-dents', le Front national les défend", a déclaré le parti de Marine Le Pen dans un communiqué, dès mercredi après-midi. Le Franc-Maçon Gilbert Collard renchérissait dans la soirée en qualifiant le président de "sans cœur" sur Twitter, rapporte le Figaro.

"Je suis au service des plus pauvres, c'est ma raison d'être." C'est donc ainsi que réagit François Hollande à la polémique provoquée par le livre de Valérie Trierweiler et plus particulièrement par l'expression "Sans-dents" qu'aurait utilisé selon elle le président pour parler des plus pauvres (http://www.huffingtonpost.fr/2014/09/05/francois-h...-pour-ce-moment_n_5772522.html). "La fonction présidentielle doit être respectée", a-t-il ajouté lors d'un conférence de presse en clôture du sommet de l'Otan au Pays de Galles. "Je n'accepterai jamais que puisse être mis en cause ce qui est l'engagement de toute ma vie, de tout ce qui a fondé ma vie politique, mes engagements, mes responsabilités, mes mandats que j'ai exercés", a-t-il aussi déclaré à Newport. "Je ne laisserai pas mettre en cause la conception de mon action au service des Français, et notamment de la relation humaine que j'ai avec les plus fragiles, les plus modestes, les plus humbles, les plus pauvres, parce que je suis à leur service et parce que c'est ma raison d'être, tout simplement ma raison d'être", a-t-il déclaré. Avant de s'exprimer sur ce livre, Hollande avait souligné être "au Conseil de l'Otan, là où se décident la paix, la guerre, la sécurité de l'Europe, de la France, et ce sont les seuls sujets qui depuis 48 heures (l)'ont mobilisé pour la France". Il a toutefois tenu à répondre "car il y a des questions de principe qui sont en cause". "Je ne répondrai à plus aucune autre question là-dessus", a-t-il ensuite conclu. Il doit donner une grande conférence de presse le 18 septembre. François Hollande en a aussi profité pour s'exprimer sur les sondages catastrophiques sortis ces derniers jours et les demandes de démissions de certains politiques. "J'agis et j'agirai jusqu'au bout"‎, a-t-il répliqué. "Il n'y a pas de sondage qui puisse interrompre le mandat que donne le peuple". Interrogé sur les derniers sondages qui en font le président le plus impopulaire de la Ve République, il a souligné qu'il avait "été élu pour cinq ans". "Je suis à mi-mandat et il n'y a pas de sondage, aussi difficile soit-il, que je regarde en face, qui puisse interrompre le mandat que donne le peuple au président de la République", a-t-il dit. "Mon devoir, c'est de ne pas céder à je ne sais quelle pression, c'est de ne pas simplement être le commentateur d'une situation -parce que la défiance, elle est là, installée dans notre pays depuis longtemps-, c'est de régler les grandes questions qui sont posées à la France", a déclaré François Hollande. "Je ne me départirai pas de mes responsabilités, je ne dévierai pas de cette règle de conduite", a-t-il insisté, comme un automobiliste à 170km/h dans une rue piétonne.

Pire que tout, cette expression "Sans Dents" nous renvoie au Moyen Age, à l'époque des Visiteurs, en associant les Français du bas de l'échelle sociale à des gueux. Et si avant on gardait pépère à faire du gras avec quelques poules de luxe à l'Elysée, c'était un peu par pitié. Maintenant, je pense que ça va changer, et que le billot va servir avant de passer à la cheminée.


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Les juifs ont mis les voiles!

Суббота, 06 Сентября 2014 г. 20:21 + в цитатник

Tu t'es levé ce matin, et t'as trouvé la rue désert!

C'est pas une rafle, ils ont juste changé de crémerie, d'hôtel, d'écuelle. La France est en tête des pays d'émigration vers Israël cette année, une première qui jette une lumière crue sur ses causes: une économie française en berne, mais surtout un climat d'antisémitisme "décomplexé", qui touche la communauté juive dont ses élites ont favorisé à outrance l'immigration maghrébine en France, et en Europe depuis 70 ans au travers d'associations antiracistes, de filières économiques clandestines, et de médias haineux de la culture occidentale. (http://www.directmatin.fr/france/2014-09-05/lemigr...-israel-monte-en-fleche-690827). Selon les chiffres du ministère israélien de l'Intégration, la France, avec 4.566 migrants vers Israël du 1er janvier au 31 août, devance largement l'Ukraine (3.252), la Russie (2.632) et les États-Unis (2.218). Le nombre de personnes ayant fait leur "aliyah" ("montée" vers Israël) depuis la France sur toute l'année 2014 s'établira "sûrement autour de 5.500", un record français depuis la création de l’État d'Israël en 1948, a déclaré à l'AFP le directeur de l'Agence juive en France, Ariel Kandel. Saison traditionnellement favorable à cette émigration, l'été a boosté les statistiques, avec plus de 2.000 arrivées cumulées en juillet et août. Et aucune annulation selon l'Agence juive, malgré le projet d'installation de certains migrants dans des localités à portée des cailloux, et des roquettes du Hamas, comme Ashdod ou Ashkelon. Entre 500.000 et 600.000 juifs vivent en France, souvent dans des caves, ce qui en fait la première communauté juive d'Europe, et la troisième mondiale derrière Israël et les États-Unis. "Dans le monde occidental ou libre, voir 1% d'une communauté juive qui fait son aliyah en un an, ça n'a jamais eu lieu", estime Ariel Kandel, qui souligne que les juifs sont "dix fois plus nombreux" aux États-Unis qu'en France. Les motivations traditionnelles de l'aliyah sont connues: un attachement à la terre d'Israël, souvent de nature identitaire ou religieuse. "Ce qui a changé ces derniers mois en France c'est ce qu'on appelle le climat antisémite, avec un antisémitisme complètement décomplexé", relève le directeur de l'Agence juive. Il voit dans les incidents de juillet près de synagogues, notamment à Paris et à Sarcelles (Val-d'Oise), en marge de manifestations pro-Gaza, un "facteur accélérateur". En un peu plus d'un an, les réunions d'information en France sur cette émigration auront touché, directement ou indirectement, environ 30.000 personnes, selon l'agence para-gouvernementale. "Les chiffres d'aliyah correspondent pour une part au climat d'insécurité", abonde Joël Mergui, président du Consistoire de France, l'instance de représentation religieuse de la communauté. "Soixante-dix ans après la $hoah, la France et l'Europe doivent se poser la question des moyens à mettre en œuvre pour que la communauté juive, qui est là depuis cinq mille ans, ne s'interroge pas sur son avenir. Là, elle s'interroge." Même constat pour Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), l'organe de représentation politique), qui voit dans ces départs "un signal fâcheux sur l'état de la France, car l'antisémitisme n'est pas seulement le problème des juifs". Si, si.... La crise économique joue aussi, souligne Ariel Kandel, relevant que le chômage est beaucoup plus faible en Israël. L'Agence juive en France ne se ménage pas pour favoriser l'aliyah, grâce à diverses mesures dont la meilleure reconnaissance des diplômes (dans les carrières paramédicales notamment), ainsi que le rapatriement de fonds bancaires acquis de manières louche en Europe. Mais l'aliyah demeure une démarche "très difficile", prévient Ariel Kandel, citant la recherche d'un emploi et la barrière de la langue. "Il ne faut pas croire qu'on arrive dans un pays où coulent le lait et le miel", prévient-il, tout en se refusant à communiquer sur les phénomènes de retour au pays d'origine, ou "yerida" ("descente"), que son agence ne comptabilise pas. Si certains juifs de France reviennent au pays, d'autres partent ailleurs qu'en Israël. "Des gens qui ne se voient pas d'avenir économique et social s'installent aux États-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne, à Barcelone", confie l'un des fondateurs du think tank Avenir du judaïsme, Jean-François Strouf. Et "les juifs de France qui ont choisi de rester au pays sont mal à l'aise de voir que d'autres le quittent justement à cause d'un malaise", résume-t-il. «Bon voyage les parasites!»


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Poker Menteur.

Суббота, 06 Сентября 2014 г. 19:05 + в цитатник

Je voulais faire aujourd’hui un papier «sérieux», traiter un sujet de fond avec calme et pondération mais finalement, ce sera sans doute plus un billet d’humeur en réaction aux derniers propos de notre sinistre du Chômage, François Rebsamen, pour qui la seule façon de baisser le nombre de demandeurs d’emploi dans notre pays ce n’est pas en créant du boulot pour tous, mais en radiant le maximum de demandeurs d’emploi pour fraude… (www.lecontrarien.com.)Voilà un beau programme «socialiste» en approche. Revenons sur les propos exacts: Chez Pôle Emploi, Rebsamen veut «renforcer les contrôles». «Le ministre du Travail, invité d’iTélé ce mardi matin, veut vérifier que les chômeurs inscrits «cherchent bien un emploi», soulignant le risque de «sanction» pour les irrégularités. «En France, 350 000 emplois ne trouvent pas preneurs.» Partant de ce constat, le ministre du Travail, François Rebsamen, a demandé ce mardi à Pôle Emploi de «renforcer les contrôles» pour vérifier que les chômeurs inscrits «cherchent bien un emploi». Et de souligner qu’une «sanction» était nécessaire dans le cas contraire.» «Le ministre, invité d’iTélé, a rappelé qu’être «chômeur au sens du bureau international du travail» c’est rechercher un emploi. Et d’ajouter: «C’est négatif pour ceux qui recherchent des emplois d’être à côté de personnes qui ne cherchent pas d’emploi.» Je vous passe les aspects langagiers avec une novlangue dans toute son horreur, notamment lorsqu’il affirme pour «adoucir» faussement ses propos qu’il est insupportable que les vrais chercheurs de travail soient à côté des faux chercheurs. Personnellement, si je suis chômeur, je préfère être en concurrence qu’avec des faux chercheurs, j’aurais plus de chances de trouver, et puis la recherche d’emploi est un acte solitaire, individuel, personnel, ce n’est pas un travail d’équipe mon cher ministre, donc savoir si le gusse d’à côté cherche ou pas est bien la dernière de mes préoccupations. Ce n’est pas le cas en revanche si je mets ma casquette de «cotisant» ou de «con-tribuable». Là, effectivement, cela me «coûte» de l’argent et je souhaiterais qu’on lutte contre les abus, mais des abus y en-a-t-il seulement de significatifs? La réponse est objectivement non. Bien sûr que beaucoup recherchent mollement et qu’ils sont sans doute trop nombreux. Cependant, le véritable problème c’est le manque de travail et sa raréfaction. Ensuite, je rappelle que contrairement à nombre de minima sociaux comme le RSA ou les allocations handicap, les «Assedic» sont limitées dans le temps. Très limitées dans le temps même puisque l’on bénéficie au maximum de 23 mois d’indemnisation. C’est plutôt dans l’assistanat à long terme qu’il faut trouver la cause des emplois non pourvus et j’y reviendrai plus loin. Et puis, de vous à moi, le régime particulier des intermittents du spectacle coûte légalement infiniment plus cher que la fraude illégale à la collectivité. Mais de cela, le ministre ne parlera pas. Le mythe des emplois qui ne trouvent pas preneurs…Haaaaahhhh, mais quel discours de droite, une droite rance, nauséabonde, qui nous rappelle les «heures les plus sombres de notre histoire», jetant à la vindicte populaire cette catégorie de chômeurs-profiteurs… Haaaaahhhh, ma femme me glisse dans l’oreillette que non, ce n’est pas Marine Le Pen qui vient de déclarer que des centaines de milliers de paresseux pompaient l’argent du travailleur français honnête et qui se lève tôt demain matin de bonne heure, mais un bon circoncis de socialo bon teint bien rosé et bien nourri. Non, la réalité pour les emplois non pourvus c’est que c’est beaucoup plus compliqué qu’un simple chiffre pour la bonne et simple raison que cela ne veut rien dire et que les estimations des emplois non pourvus va de 40 000 (selon le… MEDEF lui-même) à 500 000 selon certains «sarkozystes». Ensuite, si les emplois sont non pourvus c’est qu’ils ne trouvent pas preneurs… (si, si) et s’ils ne trouvent pas preneurs, c’est parce que vider des poulets toute la journée par le croupion (et pas des ministres parce que là, il y aurait plein de volontaires) dans un abattoir en se levant à 4 heures du matin pour 800 euros par mois alors qu’en ne faisant rien et avec vos deux gosses, votre femme et l’aide alimentaire vous gagnerez beaucoup plus en demandant le RSA et les allocations logement, vous ne paierez pas d’impôt, ni la cantine, ni le centre de loisirs pour les gamins, etc, etc. La véritable question c’est peut-on rémunérer plus l’inactivité que l’activité! Voilà la seule question que l’on devrait se poser collectivement.

Jusqu’où assiste-t-on quelqu’un, comment, pourquoi, en échange de quoi? La véritable réalité vraie, c’est que ceux qui «profitent» du système le font parfaitement légalement!! C’est le système en lui-même qui est générateur de «trappes» à inactivité. Notre système les crée lui-même. Pourtant, je considère que la solidarité est essentielle, que c’est cette solidarité qui fonde le socle même d’une nation, que moralement les forts doivent tendre la main aux faibles car celui qui est fort aujourd’hui sera sans doute ou peut-être le faible de demain. Mais cette solidarité doit être pensée pour être efficace, pertinente et supportable financièrement par la collectivité qui finance. Le petit bout de la lorgnette C’est tout le drame de notre pays que d’avoir à sa tête des nodocéphales ne voyant les choses que par le petit bout de la lorgnette. Le problème de la fraude n’est pas un sujet significatif en terme macro-économique, ce qui ne veut pas dire qu’il faut supprimer les contrôles… au contraire. Le véritable enjeu macro-économique c’est d’avoir une vision du partage des richesses dans un monde où le travail tel que nous l’avons connu est en voie de disparition pour la simple et bonne raison que votre boulot sera fait soit par un petit Chinois pas cher, soit par un serveur informatique, soit par un robot. Alors comment faire? L’autre véritable enjeu est bien sûr de créer du travail autant que faire se peut en axant les politiques économiques sur ce qui n’est ni délocalisable, ni «robotisable» (pour le moment). Et enfin, nous devons aborder sans plus attendre la façon dont la solidarité nationale s’exprime et les problèmes que cela engendre à long terme en excluant, en les aidant, les gens du marché du travail et de l’effort ce qui nuit plus que fortement à leur «employabilité» sur le long terme. On ne peut pas accepter en terme intellectuel qu’un bénéficiaire de la solidarité publique gagne plus qu’un smicard, ce n’est économiquement tout simplement pas viable dans l’état actuel de nos modes de fonctionnement. Monsieur le Ministre, il n’y a pas de travail. Alors pour conclure, je voulais juste rappeler à notre ministre, qui n’a jamais envoyé un seul CV pour chercher un seul vrai boulot comme l’écrasante majorité de notre gouvernement et comme la plus grande partie de la majorité actuelle, qu’il n’y a actuellement tout simplement pas de boulot. Être chômeur est généralement vécu comme un drame et une déchéance sociale, comme une humiliation. Ceux qui perdent leur boulot ne sont pas «fiers» et ils essaient vraiment d’en retrouver. Mais dans nos provinces, les usines ferment toutes, les PME suivent et il n’y a plus de boulot. Dans nos grandes villes, y compris à Paris, même pour les cadres la situation est devenue très difficile et rares sont les élus au CDI. D’après les statistiques de votre propre ministère, 85 % des embauches sont réalisées en CDD, 85 % Monsieur le Ministre, alors avant de venir nous faire la leçon, avant de m’expliquer que je suis un tricheur (pas moi, j’ai la chance d’avoir un boulot, mais par exemple ceux de ma famille ou mes proches qui sont au chômage) j’aimerais Monsieur le Ministre qu’une fois, dans votre vie, vous preniez le temps de rédiger un CV sous Word en tapant vous-même, puis de chercher un boulot, un vrai, un travail de «mec», comme chauffeur routier, couvreur l’hiver par -40 ou l’été par +60 sur les toitures, j’aimerais que vous postuliez pour quelques années dans un abattoir pour travailler dans la crasse et la puanteur, ou encore dans une serre pour ramasser des tomates 7h15 par jour (histoire de vous faire apprécier les 35 heures). Je pourrais évidemment multiplier à l’envie ces exemples de boulots de merde dont personne ne veut parce que personne n’en rêve, parce que c’est dur, parce que c’est épuisant, bien plus qu’une sieste sur les bancs de l’Assemblée. Et pourtant, vous savez quoi Monsieur le Ministre, chaque jour, finalement, ce pays tourne sans vous, les tomates sont ramassées, les poulets vidés, transportés par camion jusqu’à chez vous pour que vous puissiez vous remplir la panse aux frais des con-tribuables alors que vous accusez ceux qui souffrent de tous les maux. Finalement, à ce rythme-là, je serai bien vite plus socialiste que les socialos, moi qui me pensais social-libéral en fonction des jours, de mon humeur et de mes besoins. À mes concitoyens chômeurs, ceux qui n’ont pas pu faire la rentrée, je souhaite bon courage et force face à l’adversité, sachez que les ministres, eux, ne font que passer. Préparez-vous et restez à l’écoute. «À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes» Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société AuCOFFRE.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques.


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«J'y étais!»

Суббота, 06 Сентября 2014 г. 15:11 + в цитатник

C'est quand même plus sympa que de faire le selfie d'une fourmi!

En janvier 2014, lors de l’émission télévisuelle de Thierry Ardisson «Salut les terriens», l’avocat pénaliste Eric Dupond-Moretti s’était dit prêt à défendre sous conditions Pétain, Hitler et Dieudonné mais, en revanche, il se refusait totalement à défendre Faurisson, «cette saloperie qui nie les camps de concentration». (http://la-flamme.fr/2014/09/reponse-a-m%C2%B0-dupo...ti-par-le-professeur-faurisson) Rendant compte de l’émission, Thierry de Cabarrus, chroniqueur politique, se pâmait d’admiration devant la force de conviction de l’avocat et la qualité de ses arguments qu’il jugeait dignes du réquisitoire d’un procureur. Il écrivait: Ce réquisitoire implacable en six points, le rappeur Rost a bien tenté de l’affaiblir en demandant, à juste titre, à Dupond-Moretti pourquoi il accepterait de défendre Pétain et Hitler, comme il l’avait déclaré en tout début d’émission, mais pas Dieudonné. Ce à quoi l’avocat a répondu qu’il ne fallait «pas tout confondre». Tout criminel a droit à un défenseur, quelle que soit la monstruosité de sa faute, à condition que cet avocat conserve sa liberté de penser et ne soit pas contraint, par exemple, de faire l’apologie du nazisme (à la 13e minute). Dès lors, Dupond-Moretti pourrait évidemment être l’avocat de Dieudonné: «Je suis prêt à défendre Dieudonné s’il accepte l’idée qu’il s’est fourvoyé.» Ce qui ne semble pas être le cas quand, dans un spectacle, le «comique» fait monter Faurisson sur scène, «cette saloperie qui nie les camps de concentration», ou quand un type en pyjama le rejoint «avec une étoile jaune» sur la poitrine (http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1124551-d...i-dans-salut-les-terriens.html). Dans le blog qui porte son prénom, «Nicole» avait alors rétorqué: Faurisson n’a jamais nié l’existence des camps de concentration, comme [Dupond-Moretti] le prétend, ce qui donne la mesure de son rapport à la réalité, mais [la réalité] des chambres à gaz homicides, ce qui est tout autre, quand on sait qu’un spécialiste comme Fred Leuchter dit qu’elles sont TECHNIQUEMENT impossibles!» [Le blog de Nicole, http://www.les-attentats-du-11-septembre-vus-par-u...onne-la-nausee-122024266.html]. Du coup, en ce 28 août, sur les antennes d’Europe 1, changeant son fusil d’épaule, Dupond-Moretti modifiait sa formulation et lançait: «J’aurais pu défendre Faurisson à la condition qu’il ne me demande pas de dire que les chambres à gaz n’ont pas existé» (http://www.europe1.fr/france/me-dupond-moretti-auc...de-l-affaire-d-outreau-2214817, dans le dernier segment, à 2’59”). Dupond-Moretti ne fait là qu’illustrer une tradition que respectent tant de ses confrères du barreau français. Pour ma part, j’ai observé le même comportement chez Me Jacques Isorni, Me Jacques Vergès-le-parfait-casseur-d’assiettes, Me Gilles-Jean Portejoie, Me Gilbert Collard (député du Front national) et aussi quelques autres avocats dits d’extrême droite qui, dans leur défense de Barbie (Klauss, pas la poupée), de Touvier, de Papon, ont joué la connivence avec l’accusation. Au lieu de plaider: «Mon client n’a encouru aucune responsabilité dans le crime des crimes, celui de l’envoi de juifs dans des camps d’extermination; cela pour la bonne raison que de tels camps et une telle politique d’extermination n’ont jamais existé», ils ont préféré faire chorus avec les menteurs ou les crédules, affirmant ou laissant affirmer la réalité de tels crimes ou de tels camps et ils se sont contentés de plaider que leur client n’avait encouru aucune responsabilité personnelle en l’affaire. Telle a été en somme l’attitude des avocats allemands durant le procès de Nuremberg et tant d’autres procès tout aussi dégradants. Pour ces gens, un tabou ne se heurte pas de front; il se respecte, quitte à rester sourd à la voix de sa propre conscience. Lors de mes diverses gardes à vue, les policiers ne sont jamais parvenus à obtenir qu’un avocat accepte de venir m’assister comme la loi, pourtant, le prévoit. Tant s’est ancrée la conviction que, par prudence, mieux vaut ne pas «tente[r] de briser ce tabou qui protège notre société» (ces mots sont de T. de Cabarrus résumant la pensée de Dupond-Moretti au moment où ce dernier répond au rappeur Rost: voyez le point 3 à http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1124551-d...i-dans-salut-les-terriens.html). Chez nos brillants avocats ce comportement de refus ou de fuite peut s’expliquer par la répugnance qu’inspire généralement mon nom chez nos «élites» ainsi que par la peur omniprésente que suscitent à la fois les organisations juives, les grands médias, les pouvoirs publics et la loi Fabius-Gayssot. Ce même comportement peut aussi être dû à une contingence qu’ignore le grand public mais que connaissent bien les gens du métier qui ont assisté à mes propres procès ou qui en ont entendu parler par leurs confrères: j’attends de mes avocats qu’ils ne cherchent pas à arrondir les angles, à entrer si peu que ce soit dans les concessions d’usage, à se faire bien voir de la basoche; ils me doivent et se doivent de parler sans crainte, d’appeler un fripon un fripon, de «porter la plume dans la plaie» (Albert Londres), de montrer, en s’aidant de la pléthore d’arguments que je leur prépare, que ces histoires d’«Oh Low Cost» ou de «$hoah», ces chambragazeries, ces diableries ne sont que d’atroces inventions d’un autre âge nées d’une propagande de guerre et de haine qui n’a que trop duré. D’ailleurs, mille signes en attestent, le Grand Mensonge est déjà mort sur le plan strictement historique et scientifique et c’est précisément pour détourner notre attention du fiasco des historiens proprement dits que le tam-tam holocaustique se fait plus bruyant que jamais dans le monde des grands médias, du spectacle et de la sacro-sainte «Mémoire (juive)». Un avocat, s’il se prétend un homme ou une femme de caractère, se doit de ne composer ni avec le mensonge historique ni avec ceux qui, avocats, procureurs ou magistrats, d’une manière ou d’une autre se font, peu ou prou, les défenseurs dudit mensonge.

PS: Quand Dupond-Moretti se lâche plus complètement, il peut, d’aventure, dire au sujet de Dieudonné: «S’il me demande de dire que la $hoah n’a pas existé, s’il me demande de chanter $hoananas, s’il me demande de faire des quenelles, s’il me demande de citer Faurisson comme témoin de moralité, hors de question que je le fasse. Je le défendrai d’autant plus volontiers que je sais qu’il a de l’argent». La dernière phrase s’accompagne d’un sourire entendu mais elle est à prendre au sérieux: l’avocat de Bernard Tapie y parle d’or; son œil, qu’il a terne, s’allume; sa face, qu’il a grise, s’anime: Sa Suffisance Dupond, déjà rebondie, prend alors toutes ses aises (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-316937-er...ntiers-dieudonne-regardez.html).

NB: Dans sa livraison de septembre 2014, la revue L’Histoire (de Michel Winock) publie un article, particulièrement nul et vide, d’Olivier Thomas (p. 34). Intitulé «Décrypter la haine», il est présenté dans les termes suivants: «Médias / Michaël Prazan et Valérie Igounet expliquent, dans un documentaire pédagogique, ce qu’est le négationnisme». Ce documentaire, Les Faussaires de l’histoire, sera projeté le 28 septembre 2014 sur France 5. A ne pas manquer!


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Le Jud'Empire bâti sur la Mort

Суббота, 06 Сентября 2014 г. 14:19 + в цитатник

1. VIETNAM (1964-1975) – Les médias nous ont dit: Les 2 et 3 août 1964, le Nord Vietnam aurait attaqué deux navires US dans la baie du Tonkin. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: L’attaque n’a jamais eu lieu. C’est une invention de la Maison-Blanche. VERITABLE OBJECTIF: Empêcher l’indépendance du Vietnam et maintenir la domination US sur la région. CONSEQUENCES: Millions de victimes, malformations génétiques (Agent Orange), énormes problèmes sociaux.
2. GRENADE (1983) - Les médias nous ont dit: La petite île des Caraïbes est accusée de construire une base militaire soviétique et de mettre en danger la vie de médecins US. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: Entièrement faux. Le président US Reagan a fabriqué ces prétextes de toutes pièces. VERITABLE OBJECTIF: Empêcher les réformes sociales et démocratiques du premier ministre Bishop (qui sera assassiné). CONSEQUENCES: Répression brutale et rétablissement de la mainmise de Washington.
3. PANAMA (1989) - Les médias nous ont dit: L’invasion vise à arrêter le président Noriega pour trafic de drogue. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: Bien que créature de la CIA, Noriega réclamait la souveraineté à la fin du bail du canal. Intolérable pour les USA. VERITABLE OBJECTIF: Maintenir le contrôle US sur cette voie de communication stratégique. CONSEQUENCES: Les bombardements US ont tué 2.000 à 4.000 civils, ignorés des médias.
4. IRAK (1991) - Les médias nous ont dit: Les Irakiens auraient volé les couveuses de la maternité de Koweït City. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: Invention totale par une agence publicitaire payée par l’émir du Koweït, Hill & Knowlton. VERITABLE OBJECTIF: Empêcher que le Moyen-Orient résiste à Israël et acquière son indépendance envers les USA. CONSEQUENCES: D’innombrables victimes par la guerre, puis un long embargo y compris sur les médicaments.

5. SOMALIE (1993) - Les médias nous ont dit: Monsieur Kouchner se «met en scène» comme héros d’une intervention humanitaire. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: Quatre sociétés US avaient acheté un quart du sous-sol somalien riche en pétrole. VERITABLE OBJECTIF: Contrôler une région militairement stratégique. CONSEQUENCES: Ne parvenant pas à la contrôler, les États-Unis maintiendront la région dans un chaos prolongé.
6. BOSNIE (1992 – 1995) - Les médias nous ont dit: La firme US Ruder Finn et Bernard Kouchner mettent en scène de prétendus camps serbes d’extermination. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: Ruder Finn et Kouchner mentaient. C’étaient des camps de prisonniers en vue d’échanges. Le président musulman Izetbegovic l’a avoué. VERITABLE OBJECTIF: Briser la Yougoslavie trop à gauche, éliminer son système social, soumettre la zone aux multinationales, contrôler le Danube et les routes stratégiques des Balkans. CONSEQUENCES: Quatre années d’une guerre atroce pour toutes les nationalités (musulmans, serbes, croates). Provoquée par Berlin, prolongée par Washington.
7. YOUGOSLAVIE (1999) - Les médias nous ont dit: Les Serbes commettent un génocide sur les Albanais du Kosovo. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: Invention pure et simple de l’Otan comme le reconnut Jamie Shea, son porte-parole officiel. VERITABLE OBJECTIF: Imposer la domination de l’Otan sur les Balkans, et sa transformation en gendarme du monde. Installer une base militaire US au Kosovo. CONSEQUENCES: Deux mille victimes des bombardements OTAN. Nettoyage ethnique du Kosovo par l’UCK, protégée de l’Otan.


8. AFGHANISTAN (2001) - Les médias nous ont dit: Bush prétend venger le 11 septembre et capturer Ben Laden. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: Aucune preuve que ce réseau existe. De toute façon, les talibans avaient proposé d’extrader Ben Laden. VERITABLE OBJECTIF: Contrôler militairement le centre stratégique de l’Asie, construire un pipeline permettant de contrôler l’approvisionnement énergétique de l’Asie du Sud. CONSEQUENCES: Occupation de très longue durée, et forte hausse de la production et du trafic d’opium.
9. IRAK (2003) - Les médias nous ont dit: Saddam posséderait de dangereuses armes de destruction, affirme Colin Powell à l’ONU, éprouvette en main. CE QU’ON APPRENDRA PLUS TARD: La Maison- Blanche a ordonné à ses services de falsifier des rapports (affaire Libby) ou d’en fabriquer. VERITABLE OBJECTIF: Contrôler tout le pétrole et pouvoir faire chanter ses rivaux: Europe, Japon, Chine… CONSEQUENCES: L’Irak plongé dans la barbarie et l’obscurantisme, les femmes ramenées à la soumission, les armes expérimentales et les missiles à uranium appauvri ont fait plus de dégâts génétiques que la bombe de Hiroshima.
10. LIBYE (2011) - Les médias nous ont dit: Kadhafi veut faire couler des rivières de sang en faisant massacrer les populations de Benghazi. Il faut intervenir militairement pour le stopper. Obama et Sarkozy lancent guerre en violant la résolution 1973 de l´ONU. VERITABLES OBJECTIFS de la guerre en Libye: Faire main base sur le pétrole libyen – Mettre fin au Premier satellite Africain RASCOM 1 – Faire main basse sur les devises et réserves libyennes – Arrêter le fond Monétaire Africain, Banque Centrale Africaine, Banque Africaine des Investissements – Créer une base militaire d´Africom en Libye – s´emparer des compagnie pétrolières libyennes – Tuer Mohammar Kadhafi. CONSEQUENCES: près de 50 000 libyens tués par l´Otan.
11. Syrie(2013) - Les médias nous ont dit: Bachar al assad aurait gazé sa population au gaz de Sarin. Les Etats-Unis ne veulent pas attendre pas le rapport de l’ONU pour frapper la Syrie. Suite à la diffusion des images, distribuées par l’Armée syrienne libre et reprises par les services états-uniens et français, du massacre de la ghouta, des familles alaouites de Lattaquié ont porté plainte pour assassinats. Certaines des vidéos ont été réalisées et postées sur YouTube avant l’événement qu’elles décrivent. On peut y voir des enfants étouffer d’une intoxication chimique qui ne peut être du gaz sarin (ce gaz provoque de la bave jaune et non pas blanche). Les enfants ne correspondent pas à un échantillon de population: ils ont presque tous le même âge et ont les cheveux clairs. Ils ne sont pas accompagnés par leur famille en deuil. Il s’agit en fait d’enfant enlevés par des jihadistes, deux semaines auparavant dans des villages alouites aux environs de Lattaquié, à 200 kms de la ghouta. Contrairement aux affirmations de l’Armée syrienne libre et des services occidentaux, les seules victimes identifiées du massacre de la ghouta sont donc issues de familles soutenant le gouvernement syrien. VERITABLE OBJECTIF: Continuer la construction du grand Eretz en génocidant les peuples arabes! CONSEQUENCES: Des centaines de milliers de civils assassinés, des millions de réfugiés, mais une haine de la juiverie désormais hors de contrôle.


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Une nouvelle affaire Dieudonné?

Суббота, 06 Сентября 2014 г. 13:30 + в цитатник

Selon RTL, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire contre l'humoriste controversé pour "apologie d'actes de terrorisme", enquête confiée à la Brigade de répression de délinquance aux personnes (BRDP) de la police judiciaire parisienne (http://www.huffingtonpost.fr/2014/09/05/dieudonne-...ctes-terrorisme_n_5770304.html). D'après les informations de la radio, cette enquête a été ouverte après la diffusion d'une vidéo de Dieudonné intitulée "Feu Foley" et dans laquelle il commente l'assassinat du journaliste américain James Foley par les jihadistes de l'Etat islamique. "Dieudonné compare la mort du journaliste à celles du colonel Kadhafi en Libye ou de Saddam Hussein en Irak. Morts qui n’ont, à ses yeux, jamais ému 'la mafia des Rothschild'", détaille RTL. Cette enquête s'ajoute aux nombreuses procédures judiciaires déjà en cours. Dieudonné doit être jugé le 26 novembre devant la 17 ème chambre du tribunal correctionnel de Paris pour provocation à la haine raciale, pour des propos tenus le 19 décembre 2013 lors d'un spectacle à Paris, au théâtre de la Main d'Or. "Quand je l'entends parler, Patrick Cohen, je me dis, tu vois, les chambres à gaz... Dommage", lançait Dieudonné, déclenchant des rires chez ses fans. "La décapitation, ça symbolise avant tout le progrès, l'accès à la civilisation, estimait-il également, comparant cette exécution à celle de Louis XVI. Il encourt une peine maximale d'un an de prison et 45.000 euros d'amende. Patrick Cohen n'est pas partie civile dans ce dossier. Le tribunal a par ailleurs fixé au 28 janvier 2015 le procès du polémiste concernant l'appel aux dons qu'il avait lancé sur internet pour payer ses condamnations pécuniaires. Dieudonné a été condamné à plusieurs reprises, notamment pour de propos antisémitismes ou injures raciales, mais aussi pour quelques délits routiers (il aurait écrasé quelques juifs). Le fait "d'ouvrir ou d'annoncer publiquement des souscriptions ayant pour objet d'indemniser des amendes, frais et dommages-intérêts prononcés par des condamnations judiciaires", autre que pour la $hoah, est passible de six mois d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende. L'enquête avait été ouverte après un signalement de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) concernant des vidéos sur internet appelant aux dons. Par ailleurs, Dieudonné doit être jugé le 3 février 2015 pour injure à l'encontre de Manuel Valls. Dans une vidéo mise en ligne fin août 2013, le polémiste qualifiait Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, de "Mussolini à moitié trisomique". L'association des trisomiques de France envisage de porter plainte, ainsi que la famille du Duché! Se faire comparer à un juif, ça craint!


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Content de vous récupérer!

Суббота, 06 Сентября 2014 г. 13:26 + в цитатник

On a eu des soirées, je vous raconte même pas!


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Sûr que c'est pas de l'indélébile!

Суббота, 09 Августа 2014 г. 18:49 + в цитатник

Il faut savoir que dans les camps de concentration, les Allemands cousaient sur les pyjamas des matricules et des triangles de couleur pour identifier les prisonniers juifs et leur délit. Or sur le bras de nombreux rescapés est aussi apparu le même numéro mais cette fois sous forme de tatouage. Alors info, ou intox?

Personnellement, on n'en voit pas trop l'intérêt puisque théoriquement, ils étaient tous voués à la mort, mais bon admettons. Là où ça en devient cocasse, c'est qu'il y a autant de tatouages différents que de survivants tatoués. Je m'explique, premièrement, tous les survivants ne sont pas tatoués, ou alors c'est parti sous la douche. Deuxièmement, ceux qui sont tatoués le sont dans tous les sens: à l'intérieur ou à l'extérieur de l'avant bras, à l'endroit ou à l'envers, en petit ou en gros caractère, droit ou de biais. Certes toujours sur le bras gauche, normal puisque le n° d'identification sur le pyjama était aussi à gauche.

Troisièmement, certains ont aussi, à côté du numéro, un triangle de dessiné, du grand n'importe quoi, puisque sans couleur, le triangle ne signifie rien!

En gros, c'est de l'industriel, mais y'a pas de plans, y'a pas de normes, pire y'a aucune preuve de toutes ces fadaises!


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Manipulation de l'Information.

Суббота, 09 Августа 2014 г. 14:28 + в цитатник

Autrefois, nous n'avions pas le droit de connaître le nom des suspects pour ne pas stigmatiser une communauté en particulier (sauf pour les Blancs), mais maintenant, c'est devenu pire, on ne peut même plus connaître le nom des condamnés par la justice française. (http://www.lepoint.fr/societe/violences-a-barbes-t...ratp-07-08-2014-1852089_23.php). Violences à Barbès: 3 ans de prison pour avoir détruit une camionnette de la RATP. Interpellé en marge d'une manifestation pro-palestinienne, l'homme, âgé d'une trentaine d'années, avait déjà été condamné trois fois en 2014. "C'est vrai, c'est une peine significative", concède le parquet de Paris. Un homme de 30 ans, né en 1983, a été condamné mardi à trois ans de prison ferme pour avoir détruit une camionnette de la RATP lors de la manifestation pro-palestinienne interdite le 19 juillet dans le quartier parisien de Barbès. Lors des violences qui ont émaillé ce rassemblement, ce trentenaire aurait détruit, aux côtés d'une vingtaine de casseurs, une camionnette de la RATP à coups de barre de fer avant de l'incendier. Identifié par la vidéo surveillance de ce quartier du nord de Paris, il y a été arrêté lundi. Poursuivi des chefs de destruction d'un bien privé à usage public et de participation à une manifestation non autorisée, l'homme a finalement été condamné à trois ans de prison ferme, assortis d'un mandat de dépôt à l'audience. Le préjudice des dégâts causés avait été estimé à 26 000 euros. Le délinquant est déjà connu des services de police. Il avait été condamné à trois reprises en 2014, une fois en février et deux fois au mois de juin. Il n'était cependant pas, au moment de sa comparution immédiate, en état de récidive légale. La préfecture de police de Paris avait annoncé le 30 juillet que les casseurs ayant sévi lors de manifestations pro-palestiniennes interdites des 19 et 26 juillet seraient "prochainement interpellés". Près de 110 personnes avaient été interpellées à l'issue de ces deux rassemblements qui s'étaient tenus dans le quartier de Barbès le 19 juillet et place de la République le samedi suivant. Une dizaine d'entre elles ont été condamnées par la justice, certaines à des peines de prison ferme. Le juif fait donc régner chez nous une omerta pour éviter que les Français ne fassent le lien entre criminalité et immigration.


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