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En tuant Dieu, ils ont pris sa place le temps d'une vie.

Il est important de comprendre que l'élément fondateur de toute communauté juive est le trauma qui se matérialise au début de son existence par la circoncision: « La mutilation d'un être sans défense », et qui sera maintenu par la suite de manière artificielle, et éternelle au travers d'histoires de destruction, d'holoco$t , d'invraisemblances, de mensonges et de croyances. Le but étant double :
   -Entretenir la paranoïa vis à vis des autres pour renforcer les liens de la communauté
   -Le préparer à s'exhiber en victime de l'humanité avec ses larmes, ses tatouages, ses témoignages à coucher dehors,
Peuple élu dans sa haine des Goys, il a appris à faire le spectacle, à se vendre partout, à occuper les esprits pour détourner toute enquête objective sur ses crimes.
Il n'est pas intelligence, il n'est qu'émotionnel et lamentations !

« Parce que l'antisémitisme est la haine de la criminalité juive, pleure Youpin! »

 


Elie Wiesel au coin du feu.

Четверг, 15 Января 2015 г. 22:46 + в цитатник

Cela fait très longtemps que j’avais envie d’écrire quelque chose sur Elie Wiezel qui, à lui tout seul, résume toutes les impostures que nous dénonçons ici. Mais le temps m’a toujours manqué, car le dossier de ce monsieur est tellement énorme, et lui-même représente une figure de proue dans tout le système «hasbaresque». Merci donc aux Chroniques de Rorschach d’avoir fait le boulot. Signé Hervé Ryssen (http://reseauinternational.net/elie-wiezel-les-fabuleuses-aventures-dun-imposteur). Il a reçu le prix Nobel de la Paix, il est payé 25 000 dollars pour faire des discours et il est reçu avec les honneurs un peu partout, pourtant Elie Wiezel ne s’avère être en fin de compte qu’un menteur pathologique qui fait du business avec la Shoah. C’est une pièce majeure du système de culpabilisation des sionistes, il ne faut donc pas compter sur les médias pour faire la lumière sur ce sinistre individu. La gloire internationale d’Élie Wiesel, prix Nobel de la Paix, est largement fondée sur le succès des récits de sa douloureuse expérience concentrationnaire. Son talent de conteur fut d’ailleurs rapidement reconnu par l’écrivain François Mauriac, qui le prit sous son aile bienveillante, ainsi qu’il le relate dans ses Mémoires: “Sans Mauriac, dit-il, que serais-je devenu? Il veilla sur ma “carrière”. Lors de chacun de mes voyages en France, je venais lui rendre visite.” La rencontre entre les deux hommes eut lieu dans une réception mondaine: “Mauriac, je l’ai aperçu en 1955 lors d’une célébration de la fête de l’Indépendance à l’ambassade d’Israël… Surpris, il insista: “Je suis heureux que vous m’ayez invité. Israël me tient à cœur. J’aime participer à sa fête.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, pp. 338, 326). Elie Wiesel, guide touristique. A ses débuts, après la Seconde Guerre mondiale, Elie Wiesel dut travailler dur pour gagner sa vie. Installé à Paris, il servait de guide touristique à ses coreligionnaires de passage en France. Voici une anecdote qui montre de manière assez éloquente son aptitude à enrichir la vérité: “Miriam me demande des explications sur Paris, et je les lui fournis volontiers. Pas besoin d’effort. J’improvise avec un aplomb dont j’ai encore honte aujourd’hui… A cette époque-là, il m’arrive assez souvent de broder, d’inventer des détails piquants sur l’histoire de Paris qu’on ne trouverait dans aucun ouvrage, fût-il romancé. Pourquoi? Par fatigue. Trop de visiteurs israéliens insistent pour que je leur montre le Louvre et la Concorde, Montmartre et les cabarets russes. Au début, je fais mon métier de guide consciencieusement: je ne dis que ce que je sais. Et puis je m’aperçois que les touristes dont j’ai la charge sont insatiables en ce qui concerne la culture parisienne: ils en veulent davantage. Des récits plus pittoresques. La façade de Notre-Dame avec ses Juifs au chapeau pointu, avec sa synagogue aveugle et misérable, ne leur suffit pas. [Elie Wiesel confond avec la cathédrale de Strasbourg]. “Tout cela, disent-ils, nous l’avons appris à l’école. Ici, c’est autre chose qui nous intéresse.” Bon, qu’à cela ne tienne: je me mets à inventer une anecdote pour chaque statue, une histoire pour chaque monument. Réarranger le passé de la capitale pour une heure, une matinée, en quoi cela nuirait-il à la France? “Or, un jour, l’inévitable se produit: un guide, malheureusement professionnel, se trouve place de la Bastille près du petit groupe (francophone) qui m’écoute bouche bée lui décrire les journées de 1789; je suis en forme, je connais le nom de l’officier qui, le premier, ouvrit les portes de la prison; et celui du prisonnier qui, à genoux, implora sa miséricorde. Dans la cellule voisine, une princesse se préparait à la mort; elle souhaitait mourir, mais la vue de l’officier la fit changer de philosophie, et la voilà qui, au scandale de ses amies, clame son amour de la vie et des vivants… Je pourrais continuer à broder ainsi jusqu’à la prochaine révolution, n’était le cri d’animal blessé qu’un bonhomme inconnu pousse à côté de moi… Il se jette sur moi, prêt à me déchiqueter: “Comment… comment osez-vous? Moi qui connais cette ville, l’histoire de chaque pierre, comment osez-vous mentir en ma présence et faire mentir l’histoire?” Nous le quittons plutôt précipitamment. “Ne fais pas attention, me console l’un de mes invités de passage. C’est un fou furieux.” Un autre le corrige: “Mais non, il est jaloux, c’est clair comme le jour.” Mais Miriam, elle, adore les histoires. Vraies ou imaginaires, elles la divertissent. Et puis, elle est belle, Miriam.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, pp. 271, 272). Nous avons ici un bel exemple de fuite précipitée. Mais, une fois n’est pas coutume, l’auteur semble admettre que la colère de son agresseur pourrait être ici éventuellement justifiée, quand bien même ses coreligionnaires sont déjà prêts à le défendre mordicus contre pareille injustice.

Elie Wiesel journaliste. Le métier de journaliste permit à Elie Wiesel de rencontrer nombre de gens intéressants. C’est ainsi qu’il fit la connaissance d’un personnage extraordinaire, un certain Joseph Givon, introduit dans les cercles du pouvoir. Notre journaliste est alors fortement impressionné par cette personnalité mystérieuse et influente. Son correspondant est expéditif dans ses communications téléphoniques: ”»Je passe te chercher demain à midi pile.” Je n’ai même pas le temps de dire ouf; il a déjà raccroché. Téléphoner à Dov? Une toute petite voix me conseille la prudence. Avec Givon, on ne sait jamais. Demain peut signifier la semaine prochaine ou l’an prochain.” L’homme est mystérieux, un brin farfelu, et terriblement manipulateur: “Il me tend sa main invalide (je n’ai jamais su pourquoi il me tendait parfois la droite et d’autres fois la gauche), me dit au revoir et s’en va en clopinant.” Son influence secrète sur la politique est néanmoins bien réelle, ainsi que le petit journaliste peut s’en rendre compte: “C’est donc lui, et pas le président du Conseil qui a décidé du lieu de l’entretien. Mendès France n’a qu’à obéir ! Je ne me suis pas encore remis de ma stupeur que Givon enchaîne: “J’ai demandé qu’on déjeune ensemble. C’est mieux. Et plus intime”… Malheureusement, il doit quitter Paris. L’actualité internationale le réclame ailleurs. L’Histoire aussi. Hô Chi Minh? Giap? Khrouchtchev? Je déverse sur lui une avalanche de questions qui lui font hausser les épaules : “désolé, mais…” Cela ne fait rien, je comprends: zone interdite, défense absolue d’y pénétrer. Une affaire d’espionnage, sans doute. Croire ou ne pas croire? Ne m’a-t-il pas conduit jusque chez les Mendès France? S’il connaît le président du Conseil, il peut très bien fréquenter d’autres grands de ce monde, pas vrai? Le fait est qu’il disparaît de Paris… Désormais, nos contacts se feront exclusivement par courrier: cartes et lettres de Varsovie, de Pékin, de Prague et de Moscou où il deviendra producteur de cinéma… Les Izvestia publieront un article pour dénoncer ses activités de contrebande: arrêté comme trafiquant, il sera condamné à dix ans de prison. “Je suis innocent, me confiera-t-il dans une lettre pathétique. La vérité finira par triompher.” La vérité? Sous la plume de Givon, elle paraît tremblotante. Mais elle triomphera malgré tout. Libéré ─ “grâce à l’intervention de plusieurs ambassadeurs occidentaux” ─ il recevra des excuses du tribunal. Dégoûté du système soviétique, il retournera à Prague, refera surface à Paris… avant d’aller s’installer définitivement en Israël. Il y mourra d’une crise cardiaque. Les journaux et revues de Tel-Aviv lui consacreront de nombreux articles, insistant sur le côté pittoresque, rocambolesque et manipulateur du personnage… Incrédule, fasciné mais amusé, le public tentera d’éclaircir le mystère qui l’entourait. Comment distinguer chez lui la vérité du fantasme, étant admis qu’il ne pouvait pas tout inventer? Souvent, je songe à lui avec affection. Grâce à lui, j’ai presque vécu quelques-unes de ses aventures. Réelles ou imaginaires? Qu’importe. Les aventuriers ne disent pas toujours la vérité: ils l’inventent d’abord. D’ailleurs, n’ai-je pas déjeuné avec les Mendès France?” (pp. 313-319). Agent de renseignement, producteur de cinéma, contrebandier, trafiquant international au carnet d’adresses bien rempli, Joseph Givon était manifestement un homme aussi influent que discret et mystérieux. Les plus puissants moteurs de recherche sur internet ne donnent en effet que cinq réponses à son nom, et qui paraissent correspondre à des homonymes. Et à la page 325 de son livre, c’est-à-dire six pages plus loin, Elie Wiesel écrit: “Mendès France? J’ai fini par le rencontrer à New York, lors d’une réception à l’Institut Weizmann”. Elie Wiesel renouvelle la Torah. Mais d’autres personnages intéressants et pittoresques, réels ou imaginaires, ont croisé la route d’Elie Wiesel, tel ce Mané Katz, avec qui il semble avoir quelques affinités: “Petit pétillant, d’une agilité étonnante pour son âge, il sautillait en marchant, en parlant. Il aimait raconter des anecdotes (vraies ou fausses) sur sa vague ressemblance avec Ben Gourion. Une femme se serait éprise de lui parce qu’elle le confondait avec le Premier ministre israélien. Un espion lui aurait proposé des secrets militaires arabes contre un certificat de bonne conduite adressé à… au bon Dieu qui, comme chacun sait, habite quelque part à Jérusalem. Un voleur lui aurait offert une importante somme d’argent pour les caisses de l’État juif. “Dès que je révèle ma véritable identité, on me tourne le dos”, ajoutait-il en s’esclaffant.” Ce Mané Katz offrit un jour à Elie Wiesel un de ses tableaux, que celui-ci refusa en trouvant astucieusement une “porte de sortie”, en puisant dans la Torah: “Citant sources anciennes et références qui n’avaient rien à voir, puisées dans l’Écriture aussi bien que dans ma fantaisie, je parlai vite, pendant une heure ou deux, peut-être jusqu’à l’aube…: “Or un juge qui accepte des cadeaux, la Bible le traite de tous les noms”. L’ai-je convaincu? Je n’en sais rien. La véritable raison de mon refus, la voici: j’étais trop pauvre pour posséder des œuvres d’une telle valeur. Et puis, ses tableaux, je n’aurais pas su où les mettre. Vagabond par goût et par profession, déraciné, je ne possédais qu’une machine à écrire et une valise. On ne met tout de même pas des œuvres d’art dans une valise!” (pp. 321, 322.).

Elie Wiesel échappe a une catastrophe aérienne. C’est encore dans ses Mémoires qu’Elie Wiesel a raconté comment il a échappé de peu à la mort. Ainsi, en 1955, il a bien failli être la victime d’une terrible catastrophe aérienne: “Pour me remettre et me changer les idées, je partis pour Israël, écrit-il. J’avais réservé une place dans un avion El Al mais l’offris à une amie de Béa qui, venue de Montréal avec ses deux enfants, n’arrivait pas à obtenir trois sièges sur ce vol. L’avion fut abattu au-dessus de la Bulgarie. Je pris la voie maritime.” (p. 345). L’auteur, qui ne fournit aucune autre précision, ne paraît pas plus bouleversé par cette terrible épreuve. Il faut dire que nos recherches d’informations sur cette catastrophe aérienne sont restées tout aussi infructueuses. Peut-être s’agissait-il d’un petit avion, d’un tout petit avion? Les aventures d’Elie Wiesel en URSS. Elie Wiesel eut aussi l’occasion de se rendre en URSS. Sous le régime communiste, depuis que Staline avait évincé les dirigeants “sionistes” du pouvoir après la guerre, les juifs n’étaient plus libres d’émigrer librement en Israël. La “Communauté médiatique internationale” clamait alors à cor et à cri son indignation et réclamait pour les juifs le droit de sortir d’Union soviétique. Elie Wiesel s’était rendu sur place afin d’en savoir davantage. A l’aéroport de Moscou, au moment même de quitter la place avec ses deux gardes du corps, survint un autre épisode rocambolesque de la vie bien remplie du grand écrivain: “Voici l’appareil d’Aeroflot. Au bas de la passerelle, comme toujours, deux ultimes vérifications: à droite, l’hôtesse de l’Intourist prend ma carte d’embarquement; à gauche, un officier examine mon passeport. La jeune fille me fait signe de monter, mais l’officier crie quelque chose à quelqu’un. Brusquement, les événements se précipitent. En un clin d’œil, mes deux Israéliens surgissent à mes côtés. L’un d’eux s’empare de mon billet d’avion, l’autre arrache mon passeport des mains de l’officier; je me sens soulevé comme un malade, comme un colis; ils courent, je cours. Coups de sifflets, ordres rauques, bousculades. Je ne sais comment nous parvenons à franchir toutes les portes, tous les barrages, nous sautons dans la voiture de l’ambassade et déjà nous roulons à tombeau ouvert. Pourquoi la police ne nous barre-t-elle pas la route? Je n’en sais rien. [Nous non plus!] Je resterai trois jours et trois nuits à l’ambassade avant de recevoir le feu vert. Comment David s’est-il débrouillé? Il ne me l’a jamais révélé, et à vrai dire, je ne l’ai pas interrogé, même si le journaliste en moi aurait bien aimé savoir. L’important, c’était de quitter Moscou. De retrouver la liberté. Toujours accompagné de mes deux gardes du corps israéliens, je retourne à l’aéroport. Tout se passe comme si j’étais un touriste ordinaire.” (Mémoires, tome I, pp. 495, 496). Elie Wiesel, rescapé de la guerre du Golfe. Il est certain en tout cas que la chance a toujours souri à Elie Wiesel. Dans le tome II de ses Mémoires, il raconte l’épisode extraordinaire qui lui est arrivé pendant la guerre du Golfe en 1991. Il partit alors en Israël pour soutenir sa communauté pendant la dure épreuve où l’Irak, bombardé par les Américains, envoyait par vengeance ses vieux missiles Scuds sur l’État hébreu: “Mon cousin Eli Hollender est content que je sois venu: “Viens à la maison me dit-il. Viens dîner. Nous attendrons les Scuds ensemble.” Drôle d’invitation, drôle d’idée, écrit Elie Wiesel… J’accepte son invitation. Nous fixons un rendez-vous. A la dernière minute, je décommande. Empêchement imprévu. Le soir même, chacun de son côté, nous écoutons à la radio les informations sur l’attaque des missiles qui vient de se déclencher… Un mois plus tard, je reçois une lettre d’Eli dans laquelle il remercie Dieu de mon empêchement: “Si tu étais venu, nous serions restés chez nous au lieu d’aller passer la nuit chez nos enfants. Et qui sait ce qui nous serait arrivé. Un Scud est tombé sur notre maison et l’a entièrement démolie. C’est un miracle que tu ne sois pas venu.” (Elie Wiesel, Mémoires 2, Editions du Seuil, 1996, p. 148). Elie Wiesel est donc incontestablement un rescapé de la guerre du Golfe. Son aventure est d’autant plus extraordinaire que, ainsi qu’il le reconnaît lui-même, “les Scuds n’ont fait aucune victime. L’homme qui est mort à Bnei Brak? Crise cardiaque. Ailleurs, une femme s’est enfermée dans une armoire et a récité des psaumes. La pièce s’est effondrée, mais l’armoire est restée intacte.” On vous le dit: Israël est le pays des miracles! Elie Wiesel et les enfants dans les flammes. Elie Wiesel a aussi connu évidemment les atrocités des camps de la mort. personnellement l’expérience des camps de la mort. C’est avec beaucoup d’émotion qu’il relate les atrocités qu’il a pu voir de ses yeux: “C’est en rêve, un mauvais rêve de Dieu, que les êtres humains lancent des enfants juifs vivants dans les flammes des fosses béantes. Je relis ce que je viens d’écrire, et ma main tremble, tout mon être tremble. Je pleure, moi qui pleure rarement. Je revois les flammes, et les enfants, et je me répète qu’il ne suffit pas de pleurer. Il m’a fallu du temps pour me convaincre que je ne m’étais pas trompé.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 102).

Elie Wiesel et les geysers de sang. Ce qu’il a vu est tout simplement inouï; mais ce qu’il a entendu dire l’est peut-être plus encore. Dans Paroles d’étranger, il relate les massacres de Babi-Yar, en Ukraine, où les Allemands avaient exécuté des Soviétiques, dont de nombreux juifs: “Plus tard, j’appris par un témoin que, pendant des mois et des mois, le sol n’avait cesser de trembler; et que, de temps en temps, des geysers de sang en avaient giclé.” (Paroles d’étranger, Seuil, 1982, p. 86). On peut rapprocher ce témoignage avec celui qu’a laissé un prix Nobel de littérature, Isaac Bashevis Singer, qui relate, dans l’un de ses romans intitulé L’Esclave, les atrocités innommables commises par les Cosaques au XVIIe siècle: “Les Cosaques avaient presque rasé la ville, écrit Singer; ils avaient tué, égorgé, brûlé, pendu; mais il y avait eu quelques survivants… Les assassins avaient même retourné les tombes. Pas un seul chapitre des rouleaux sacrés, pas une seule page des livres de la maison d’étude ne restaient intacts… “Pourquoi ceci nous est-il arrivé? demanda l’un des hommes. Josefov était un foyer de la Torah. ─ C’était la volonté de Dieu, répondit un autre. ─ Mais pourquoi? Quels péchés les petits enfants avaient-ils commis? Ils les ont enterrés vivants… ─ Quel mal leur avions-nous fait?… Le Créateur avait-il besoin des Cosaques pour révéler sa nature? Était-ce une raison suffisante pour enterrer vivants des enfants?” L’antisémitisme est décidément incompréhensible, aujourd’hui comme autrefois. “Les puissances du Mal” ne cesseront-elles donc jamais leur œuvre de destruction? Comme toujours, les bourreaux rivalisaient de cruauté envers leurs victimes, faibles et désarmées. A lire le romancier Isaac Bashevis Singer, le raffinement des Cosaques dans ce domaine n’a rien à envier à celui des Allemands: “Ils ont empalé Moishe Bunim et il ne cessa pas de gémir de toute la nuit. ─ Vingt Cosaques ont violé ta sœur Leah et puis ils l’ont coupée en morceaux… On ne pouvait concevoir qu’en ce monde, on massacrait des enfants, on les enterrait vivants et que la terre s’imbibait de sang, comme au temps de Caïn.” (Isaac Bashevis Singer, L’Esclave, 1962, Stock, 1993, pp. 100, 103, 120). Il faudrait tout de même vérifier si cette image récurrente n’est pas déjà dans le Talmud ou l’Ancien Testament. Elie Wiesel doit choisir. “18 janvier 1945: l’Armée rouge se trouve à quelques kilomètres d’Auschwitz… Berlin décide d’évacuer les détenus vers l’intérieur de l’Allemagne. Une agitation fébrile règne dans toutes les baraques… Mon père vient me voir à l’hôpital. Dans le désordre général, on le laisse entrer. Je lui dis: “les malades peuvent rester au KB, mais… ─ Mais quoi? demande mon père. ─ Il y a que… je ne veux pas me séparer de toi.” J’ajoute: “Mais tu pourrais rester avec moi, tu sais. ─ Est-ce possible? demande-t-il. ─ Oui, c’est possible.” Il y a de la place. Aujourd’hui, la surveillance se relâche. Dans le va-et-vient, tout est possible. Idée tentante, mais nous la repoussons. Nous avons peur. Les Allemands ne laisseront pas de témoins derrière eux; ils les tueront. Tous. Jusqu’au dernier. C’est dans la logique de leur monstrueuse entreprise. Ils feront tout sauter pour que le monde libre n’apprenne pas la nature et l’étendue de leurs crimes.” Voilà comment Elie Wiesel et son père choisirent de partir avec les Allemands, plutôt que d’attendre l’Armée rouge. Ceux des malades qui étaient restés, contrairement aux prévisions des Wiesel, père et fils, n’avaient finalement pas été exterminés: “Que serait-il advenu de nous si nous avions choisi de rester? Tous les malades, ou presque tous, ont survécu. Libérés par les Russes neuf jours plus tard. Autrement dit, si nous avions choisi de rester à l’infirmerie, mon père ne serait pas mort de faim et de honte dix jours après, à Buchenwald.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 119). On soignait donc les gens à Auschwitz, et même les pauvres juifs. Comment Elie Wiesel a stupéfié le médium. Lors d’un voyage de jeunesse en Inde, Elie Wiesel raconte encore une de ses histoires stupéfiantes: “Un Sage m’aborde à la sortie de mon hôtel à Bombay: “Pour cinq roupies je te dirai ton avenir.” Je lui réponds: “Je vous en donne dix si vous me dites mon passé.” Interloqué, il me demande de noter ma date de naissance et une date quelconque sur un bout de papier. Il le saisit d’un geste rapide, me tourne le dos pour faire ses calculs, et reste un moment figé. Quand il se retourne, il semble effrayé: “Je vois des cadavres, dit-il. Beaucoup de cadavres.” Là, il m’étonne. Il ne peut pas savoir ce que le 11 avril 1945 signifie pour moi. Et pourtant.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 287). Elie Wiesel invente un langage. Elie Wiesel a fortement incité les survivants d’Auschwitz à témoigner, pour ne pas oublier. “En vérité, dit-il, mon principal souci a toujours été les rescapés. En écrivant, j’ai essayé de les convaincre de la nécessité et de la possibilité du témoignage: “Faites comme moi, leur disais-je. Déposez, racontez, même s’il vous faut inventer un langage.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 443). Elie Wiesel et la bénédiction du rabbi. Se rendant “à Bnei Brak, le faubourg le plus religieux de Tel-Aviv”, il y rencontre le vieux Rabbi Israël: “Il me fait parler de mes travaux. Il veut savoir si les histoires que je raconte dans mes livres sont vraies, c’est-à-dire si elles sont vraiment arrivées. Je lui réponds: “Rabbi, en littérature, c’est ainsi: il y a des choses qui sont vraies, et pourtant, elles ne sont pas arrivées; et d’autres qui ne le sont pas, alors qu’elles sont arrivées.” J’aurais tellement souhaité recevoir sa bénédiction.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 347).

Elie Wiesel vole dans les airs. Dans L’Industrie de l’holocauste, paru en 2000, Norman Finkelstein a lui aussi relevé les multiples contradictions d’Elie Wiesel. Ainsi, Wiesel raconte dans ses Mémoires qu’à sa sortie de Buchenwald, à l’âge de 18 ans, il a “lu la Critique de la raison pure, ne riez pas, en yiddish”. Et Norman Finkestein rappelle que Wiesel avait pourtant affirmé qu’à cette époque-là, il ignorait “tout de la grammaire yiddish. Mais surtout, ajoute malicieusement Finkelstein, “la Critique de la raison pure n’a jamais été traduite en yiddish”. Et il poursuit: “Wiesel se souvient aussi, de la façon la plus détaillée, d’un “mystérieux érudit talmudiste” qui “apprit le hongrois en quinze jours, juste pour m’étonner”. Il a raconté à un hebdomadaire juif qu’il avait souvent “la voix enrouée ou même aphone” à force de se lire ses propres livres “à haute voix en lui-même”. Il a raconté à un reporter du New York Times qu’il avait été heurté par un Taxi à Times Square: “J’ai parcouru la distance d’un bloc en vol plané. J’ai été heurté au coin de Broadway et de la 45e rue, et l’ambulance m’a ramassé à la 44e.” Je présente la vérité sans fard, dit Wiesel. Je ne peux pas faire autrement.” Sources: Elie Wiesel, All Rivers, pp. 121 à 130, 139, 163-164, 201-202 et 236. Jewish Week, 17 septembre 1999. New York Times, 5 mars 1997, in Norman Finkelstein, L’Industrie de l’holocauste, La vieille Taupe, 2000, p. 84. Elie Wiesel indigné.Dans ses Mémoires, Élie Wiesel s’indigne de l’incrédulité de certains membres de la communauté juive concernant les témoignages des “survivants”. Il en est ainsi par exemple de cet Alfred Kazin, critique “inconnu en France, mais écouté en Amérique”, qui se permet d’émettre des doutes concernant la sincérité de la douleur des rescapés: “Au début, poursuit Wiesel, nous nous voyons ou nous téléphonons régulièrement. Il fait partie d’un jury littéraire fondé par les survivants de Bergen-Belsen dont un certain Yossel est le président: Kazin nous accompagne à Belsen, puis à Jérusalem, et Yossel le comble: chambre d’hôtel plus que confortable, argent de poche, cadeaux pour lui et sa femme. Il l’invitera même chez lui. Et tout ce que cet intellectuel new-yorkais a trouvé à dire de cette visite, dans un article pompeux et suffisant, c’est que l’épouse de Yossel était propriétaire non seulement d’un appartement luxueux mais aussi d’un numéro démesurément grand tatoué sur le bras: comme si elle se l’était fait faire exprès chez Cardin… Pire que tout le reste: dans un texte où il essaie de rappeler “ce qu’il doit” à Primo Levi et à moi-même, il écrit qu’il ne serait pas surpris d’apprendre que j’ai inventé l’épisode de la pendaison dans La Nuit.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 436). Une centaine de pages plus haut, à la page 342 du tome premier de ses Mémoires, Élie s’était déjà vu obligé de rectifier une note de Mauriac dans un de ses Blocs-notes, en 1963, dans laquelle celui-ci citait les “quatre romans” d’Élie Wiesel: La Nuit, L’Aube, Le Jour, La Ville de la chance: “La Nuit n’est pas un roman”, tient à préciser Élie Wiesel, pour ceux qui en douteraient encore.


«Et le nègre, lui, il n'a pas le droit à la liberté de parole?»

Воскресенье, 11 Января 2015 г. 21:07 + в цитатник

Sans vouloir jouer aux rabats joie, Manuel Valls, Christiane Taubirat, Bernard Cazeneuve, et toute la clique judéo-sioniste, ce sont un peu les mêmes qui nous ont censuré l'humour, Internet, et la liberté de parole depuis 2 ans en usant de tous les artifices à la limite de la légalité (et encore, je suis gentil), notamment pour faire taire Mbala-Mbala Dieudonné et son avocat. Et maintenant, virage à 180°, ils voudraient nous faire croire qu'ils sont les garants depuis toujours de la Liberté. Bien sûr que cette dernière, ils ne la connaissent pas sauf pour applaudir leurs officines sémites (Gad El Maleh, Timsit, Arthur, Elie Seimoun, …) qui font la promotion du métissage au sein d'une société française déstructurée, l'apologie du Grand Israël pacifique, et organisent les commémorations de la $hoah pécunière. Mais ne mélangeons pas les torchons et les serviettes. Sur le site Internet de Charlie Hebdo, son directeur Charb s’exprimait contre «l’imbécile amalgame entre «Charlie» et Dieudonné» que font certains: [...] «Interdire un délit des mois avant qu’il ait eu lieu, c’est grotesque. On ne combat pas l’ignoble par le grotesque. Le grotesque, on l’a retrouvé dans les propos d’un certain nombre d’abrutis qui, sur France Inter notamment, n’ont pas hésité à comparer le cas Dieudonné avec celui de Charlie Hebdo. Dieudonné est poursuivi lorsqu’il tient des propos antisémites, pourquoi Charlie n’est-il pas poursuivi lorsqu’il met en scène les symboles de l’islam et des musulmans de manière caricaturale? D’abord, Charlie Hebdo est régulièrement poursuivi par l’extrême droite catholique et l’extrême droite musulmane. Le fait est que notre journal n’est jamais condamné pour racisme lorsqu’il se moque de quelques adeptes d’une religion. Pourquoi? Parce que, pour la millième fois, insulter une prétendue race n’est pas la même chose que de se moquer des aspects d’une religion. Critiquer un courant de pensée, ce n’est pas du racisme. Critiquer Marx et se moquer des communistes, ce n’est pas du racisme anticommuniste. Critiquer Descartes et se moquer des cartésiens, ce n’est pas du racisme anticartésien. […] [...] Insulter tous les Juifs, tous les Arabes, tous les Asiatiques, tous les Noirs parce qu’ils sont juifs, arabes, asiatiques ou noirs peut être l’expression d’un racisme. Il n’y en a pas trace dans Charlie Hebdo. Et lorsque nous mettons en scène le racisme ou l’antisémitisme, c’est pour les dénoncer. Pardon de rappeler ce qui vous semble être des évidences, mais les propagandistes de la religion et du communautarisme qui cherchent à faire l’amalgame entre origine ethnique et appartenance religieuse sont en pleine effervescence. Notre seule arme contre eux: le verbe rabâcher». Personnellement, on n'a rien compris à ses arguments, il faudra qu'on lui demande quelques éclaircissements à l'occasion. La suite est nettement plus intéressante, ce sont les ennuis judiciaires de l'avocat de Dieudonné.




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#jesuischarlie

Воскресенье, 11 Января 2015 г. 20:10 + в цитатник

Quelle fierté d'être Français dans des moments comme cela, dans des moments où tout le monde défend la liberté d'expression, où tout le monde se déclare artiste pour lancer son esquisse à la gueule de l'obscurantisme musulman. Une communion des âmes libres qui nous portera vers un monde meilleur, peuplé d'actes d'amour et de paroles de paix. Même si Charlie Hebdo n'était pas notre tasse de thé, au pire, on a dû le lire deux fois dans notre existence, mais cela valait vraiment le coup!

Nous supposons que Vincent Reynouard (Historien et grand spécialiste des sectes) va bientôt pouvoir bénéficier d'un non lieu dans son procès qui l'opposait à quelques stagiaires de Charlie Hebdo dans le but de le ruiner financièrement. En effet, l'on voit mal la partie civile plaider façon puzzle.






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Loin de la thèse officielle.

Суббота, 10 Января 2015 г. 16:24 + в цитатник

Échaudés par des années de False Flag Sionistes, on ne vous mentira pas en vous déclarant que l'on est un peu sceptique sur cette histoire d'hommes à cagoule, et en tenue paramilitaire, car si l'on veut se fondre dans une ville, l'on s'habille en civil (http://www.wikistrike.com/2015/01/attentat-contre-...e-hebdo-9-points-etranges.html). 1 - Après le passeport indestructible du 11 septembre, l'un des deux suspects, Saïd Kouachi, a oublié, malencontreusement, sa carte d'identité dans la voiture. 2- Lors de la tuerie, entre 3 et 5 tireurs ont été aperçus: "J'ai entendu des coups de feu, j'ai vu des gars cagoulés qui sont partis en voiture. Ils étaient au moins cinq", a précisé Michel Goldenberg, un voisin de Charlie Hebdo. Un autre voisin, Bruno Leveillé, a raconté avoir entendu "à 11 h 30 pile, une trentaine de coups de feu pendant une dizaine de minutes." 3 - La piste israélienne: JSS News semble très bien informé. Ne citant pas leurs sources, ils auraient été les premiers à publier l'identité des terroristes. Selon des informations reçues par JSSNews, un des trois terroristes de Charlie Hebdo, le jeune Hamyd, a été arrêté. Il s'est rendu lui-même à la police - quand il a vu JSSNews publier son identité. Rappelons que JSSNews a déjà publié deux informations exclusives et vérifiées ces dernières heures. La première concernant l'identité des terroristes (Saïd et Cherif Kouachi et Hamyd Mourad) et la deuxième concernant la voiture des terroristes, retrouvée devant un restaurant casher à Paris. Plus tôt, ce soir, Libération titrait: «les trois suspects interpellés» - le titre a été changé par «les trois suspects identifiés et localisés». Toujours selon JSS News, les premiers médias à diffuser la vidéo du policier abattu auraient été ceux d'Israël: Voici une vidéo qui montre des échanges de tirs entre les musulmans qui ont attaqué le journal Charlie Hebdo et la police. BFM TV vient d'annoncer «ne pas vouloir montrer cette vidéo». La vidéo est diffusée par les médias israéliens. Le policier mort dans cet échange de feu serait musulman (son prénom est Ahmed). 4 -Russia Today nous apprend qu'Amchai Stein, l'éditeur en chef de la chaîne israélienne IBA Channel 1, était présent sur les lieux du crime et postait des photos de la fusillade:

5 - La police était injoignable lors du massacre:Un journaliste de Première Ligne, souhaitant rester anonyme, témoigne qu'il a aperçu deux personnes armées de kalachnikov qui demandaient 'C'est où Charlie Hebdo?' Mon collègue est remonté en courant. Nous nous sommes barricadés et nous avons essayé d'appeler la police, mais ils étaient injoignables, c'était hallucinant. 6 - Un temps d'attente anormalement long entre la tuerie et l'arrivée des secours: On était une dizaine dans l'atelier quand on a entendu des tirs, sans trop comprendre d'abord ce qu'il se passait. On entendait des bruits venant de l'immeuble, qu'on n'a pas identifié tout de suite, puis dans la rue. Là on a tout de suite compris que c'était des tirs. On s'est éloigné des fenêtres. Entre une demi-heure et trois-quart d'heure plus tard, les secours sont venus nous dire de ne pas sortir. Cette situation est un peu oppressante. 7 - Moins d'une heure après l'attaque, Hollande se rend, sans aucune peur, sur le lieu du drame: Ce que je trouve fort, c'est que moins d'une heure après, Hollande est déjà sur place, 56 minutes après très exactement.... l'a pas peur des balles perdus ou des bombes planquées dans le périmètre le pantin qui nous sert de Président. 8 - Un commissaire de police de Limoges qui travaillait sur l'affaire Charlie Hebdose suicide mystérieusement dans son bureau: Il travaillait sur une mission de la police judiciaire dans le cadre de l'affaire Charlie Hebdo. Ce suicide intervient un peu plus d'un an après la mort d'un autre responsable du service régional de la police judiciaire de Limoges. En novembre 2013, le numéro 3 de ce service s'était lui aussi donné la mort et c'est le commissaire décédé la nuit dernière qui l'avait découvert. 9 - Des soi-disant «terroristes» ressemblant plus à la police antiterroriste qu'à autre chose: Deux personnes qui ont croisés la route des frères Kouachi témoignent ce matin du 9 janvier. D'abord l'homme qui s'est fait volé sa voiture ce matin dans l'Oise, sur RTL. "Ils étaient en tenues paramilitaires et avec leurs armes à la main, très calmes, très sereins, très professionnels, pas énervés. Ils ont jamais couru ni élevé la voix. Ils n'étaient pas transpirants. Ils donnaient l'impression d'être en opération",explique le conducteur de la clio grise vraisemblablement attaquée par les frères Kouachi vendredi matin. "La simple chose qu'il m'ont dite en partant: "si les médias te posent une question, tu n'as qu'à dire que c'est Al Qaïda Yémen". C'est la dernière chose qu'il m'ont dite." Puis, sur France info, un commercial qui était dans la zone artisanale de Dammartin et qui a d'abord cru avoir affaire à un policier: "Je ne les ai pas reconnus formellement, ils étaient habillés comme des policiers d'intervention, tenue noire, gilet pare-balles et fusil. Ça aurait pu être un policier s'il ne m'avait pas dit 'on ne tue pas les civils'. Ils étaient lourdement armés, comme des policiers qui interviennent avec des fusils type kalach. J'étais devant la porte de l'entreprise, j'ai serré la main de Michel [un client, NDLR] et de l'un des terroristes. Il m'a dit 'je suis la police. Partez, on ne tue pas les civils'. Après je suis parti, et Michel a fermé le portail derrière moi. Je suis parti dans la foulée". Les Israéliens nous refont'ils le coup de l'affaire Lavon?




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«Cherchez Charlie!»

Суббота, 10 Января 2015 г. 15:47 + в цитатник

Ces enfants d'origine maghrébine et africaine, qui galvanisés dans leur refus d'effectuer la minute de silence en souvenir aux victimes chez Charlie Hebdo, ont trouvé la force d'argumenter la barbarie d'un Islam Radical, voilà ce qu'ont affronté les instituteurs des écoles publiques cette semaine. La vénération de la $hoah remplacée par celle de l’État Islamique, ça surprend toujours un peu au début, mais ils s'y feront. De source interne, une circulaire a été envoyée aux directeurs, principaux et proviseurs des établissements de France pour que, lors de la minute de silence en mémoire des victimes des actes terroristes de cette semaine, les soutiens massifs et spontanés des élèves immigrés, singulièrement musulmans, soient tenus sous silence [/url]http://breizatao.com/2015/01/10/censure-de-guerre-leducation-nationale-ordonne-aux-etablissements-de-ne-pas-evoquer-les-soutiens-massifs-des-eleves-musulmans[/url]). En outre, des consignes ont également été jointes demandant aux professeurs, dans les zones les plus délicates, d’éviter de mentionner les attaques afin que ceux-ci “ne se retrouvent pas confrontés à leurs classes”. Des témoignages de plus en plus nombreux font en effet état de manifestations d’hostilité vis-à-vis de cette minute de silence, les élèves musulmans expliquant notamment que les journalistes de Charlie Hebdo “l’avaient bien cherché”. Des témoignages font également état d’apologie du djihad ouverte dans les classes. Par ailleurs, les élèves de la cité dont est originaire Amedi Koulibaly, se sont particulièrement illustrés. Ceux-ci vantant dans l’enceinte de l’ancien établissement de l’intéressé les actions récentes de ce dernier. Toujours de source fiable, des professeurs de cet établissement ont d’ores et déjà demandé leur mutation face à cette adhésion massive de la part de leurs élèves. Saloperie de graines de Bougniakoués conditionnés dans l'environnement familial, qui ne sont pas redevables à l’École de la République et à ses petits serviteurs de professeurs de tous ces efforts faits pour les intégrer, pour les amener à remplacer les De souche.


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Peut'on justifier le terrorisme?

Суббота, 10 Января 2015 г. 15:29 + в цитатник

Il y a 70 ans tombaient les résistants de la bande à Manouchian. Voici soixante-dix ans, jour pour jour, que tombèrent les résistants du groupe Manouchian sous les balles nazies. Vingt-deux hommes, étrangers pour la plupart, fusillés au mont Valérien pour avoir tenu tête, les armes à la main, à ceux qui occupaient un pays, la France, qui n’était pas le leur (http://ragemag.fr/il-y-70-ans-tombaient-les-resistants-de-la-bande-manouchian-67601). Tous communistes et membres des FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée). Ils étaient polonais, italiens, hongrois, espagnols ou arméniens. Juifs, pour certains. Patronymes à couper au couteau. «À prononcer vos noms sont difficiles», écrira Louis Aragon dans un texte que Léo Ferré contribuera à populariser. Nombre d’entre eux n’avaient pas trente ans mais ils étaient prêts à donner leur jeunesse pour une cause qui les dépassait. Leurs actions retentirent dans toute l’Île-de-France: grenades lancées sur un car de la marine de guerre allemande, attaque d’une caserne et du siège central du parti fasciste italien, exécution du général Von Apt et du colonel SS Julius Ritter… On doit leur arrestation, en novembre 1943, ainsi que le démantèlement du réseau qui s’ensuivit, aux enquêtes zélées diligentées par les Renseignements généraux français. Leurs visages, en médaillon sur la célèbre affiche de propagande, couvrirent les murs de la France entière. Trois portraits fermaient le triangle dans lesquels étaient représentés ceux que l’ennemi désigna comme des terroristes membres d’une «Armée du crime». Ceux de Célestino Alfonso, Marcel Rayman (parfois orthographié Rajman) et Missak Manouchian. Le premier, menuisier espagnol ayant combattu aux côtés des républicains contre le soulèvement franquiste, était accusé d’avoir commis 7 attentats; le second, ouvrier juif polonais, 13 attentats; le troisième, poète arménien et chef militaire des FTP-MOI de la région parisienne, 56 attentats. Tous trois écrivirent une lettre à leurs proches quelques heures avant d’être fusillés par ceux qu’ils ne parvinrent pourtant pas à haïr. Nous reproduisons tels quels ces documents historiques d’une rare émotion: restaurer une grammaire parfaite serait en ôter l’authenticité. «Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent. Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps. Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant. Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir. Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant.» – Aragon. Voici l'entretien avec Laurent Galandon, scénariste. Vous avez scénarisé Vivre à en mourir, un roman graphique qui sortira en mai 2014, sur la vie de Marcel Rayman. Comment en êtes-vous arrivé à vous intéresser aux protagonistes de ce qu’il est convenu d’appeler «l’Affiche rouge»? Les XIX et XXe siècle constituent mon territoire «narratif» de prédilection. Et la Seconde guerre mondiale comporte de nombreux événements propices à des récits. Si l’Affiche rouge est connue, je me suis assez rapidement rendu compte qu’on ne connaissait pas bien son histoire. Objet de propagande nazie, elle est devenue un symbole de résistance. Mais une résistance, qui, sans être occultée, n’a pas bénéficié, du moins après guerre, de toute l’attention méritée. En effet, ses membres, les FTP MOI – Les Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée – étaient exclusivement constitués d’étrangers (polonais, allemands, italiens, hongrois, arméniens, souvent juifs), autant dire que ce n’était pas le pan de la Résistance que les vainqueurs souhaitaient trop mettre en avant. Je pense que c’est avant tout cette dimension «internationaliste» qui m’a séduit. Ces hommes (et une femme, Olga Bancic), si différents culturellement, socialement, spirituellement, parfois politiquement (les FTP-MOI étaient liés au parti communiste, mais certains venaient des mouvances anarchistes ou libertaires), ont combattu pour un même idéal. Leur courage et leur abnégation forcent l’admiration. Pourquoi Rayman en particulier? Probablement, pourrait-on écrire 23 fois Vivre à en mourir! Chaque histoire serait alors vue à travers le prisme d’un autre personnage et de son propre parcours personnel: Missak Manouchian, rescapé du génocide arménien; Spartaco Fontano qui a fui le fascisme italien ou Celestino Alfonso qui a combattu dans les Brigades internationales… Tous ont connu un destin étonnant et «mériteraient» de voir conter leur courte vie. Outre Missak Manouchian, Marcel Rayman est le protagoniste qui apparaît probablement le plus souvent dans la documentation historique sur laquelle je me suis appuyé. Il a été à l’initiative de «l’équipe spéciale», chargée d’assassinats ciblés de collaborateurs ou des dignitaires nazis. Enfin, la rencontre avec sa cousine, Elise Cousens/Rayman me permettait d’obtenir des informations qu’aucun livre d’histoire n’abordait. Aussi, Marcel Rayman s’est-il imposé naturellement. J’aimerais ajouter que Vivre à en mourir n’est pas un document historique sur la Résistance, l’Affiche Rouge ou les FTP-MOI. Bien sûr, ces sujets sont abordés mais il s’agit avant tout d’une tranche de vie, celle d’un jeune homme, confronté à la barbarie. Vous avez donc effectué des recherches auprès de sa famille: qu’avez-vous découvert, sur l’homme qu’il était? J’ai en effet rencontré Elise Cousens/Rayman, la cousine de Marcel. Elle ne l’a que peu connu car elle a seulement deux ans lorsqu’il est fusillé au Mont Valérien. Mais elle a grandi auprès de Simon Rayman, le jeune frère de Simon, qui était très proche de son aîné. Par ailleurs, Elise a fait un important travail de mémoire autour de sa famille, dont de nombreux membres ont été assassinés dans les camps d’extermination. Initialement, elle n’était pas franchement enthousiaste à l’idée de voir son cousin devenir le protagoniste principal d’une nouvelle histoire. En effet, elle avait été blessée par l’image que Robert Guédiguian avait donnée de son cousin dans son film, l’Armée du crime. Cependant, après avoir défini quelques modalités de travail, elle m’a accordé sa confiance. Marcel Rayman était un jeune homme doux et pacifique. Lecteur passionné, fils et frère attentionné, il n’était pas préparé à un tel destin. Les événements successifs dont vont être victime sa famille et sa communauté vont le pousser à prendre les armes. Mais un tel choix ne se fait pas aussi facilement. Pour le commun de mortels, contrairement à l’image du héros cinématographique, tuer n’est pas un acte anodin dont on sort indemne. Elise a pu revenir, via la parole rapportée de Simon, sur les doutes, les angoisses et les peurs de son cousin. Autant de sentiments et d’anecdotes qui ont nourri Vivre à en mourir. Dans la dernière lettre qu’il adresse à sa famille, quelques heures avant d’être fusillé, Marcel Rayman affirme qu’il n’a aucun regret. On pourrait trouver ses propos quelque peu bravaches et destinés à apaiser la peine de ses proches. Pour l’avoir « accompagné » pendant la réalisation de cet album, je crois qu’ils sont surtout révélateur d’une véritable conviction et d’une foi inébranlable dans la justesse de ses actes. 70 ans après, la «bande à Manouchian» a-t-elle encore quelque chose à dire à notre époque? Comme, je le rappelle souvent, je ne fais pas œuvre de pédagogie. Je reste simplement un raconteur d’histoires. Au demeurant, au regard des relents antisémites et racistes qui secouent notre début de XXIe siècle, je ne suis pas mécontent de revenir, à ma modeste échelle, sur ces événements. Alors oui, au risque d’être grandiloquent, je crois que l’histoire du groupe Manouchian, par la nature des membres qui le composait, mérite d’être mieux connue: Les FTP-MOI étaient des immigrés et ils se sont battus et sont morts pour le pays qui les avait accueillis. L'avis de la rédaction: pour nous, il n'y a aucune différence entre le gang Manouchian et celui des buttes Chaumont, le terrorisme est un acte barbare qui engendrera de la part du pouvoir en place une répression sanglante et aveugle contre des civils. Même si aux vues des éléments nouveaux de ces derniers jours, un false flag apparaît de plus en plus évident dans cette histoire d'hommes cagoulés.


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Café serré en salle de réunion.

Четверг, 08 Января 2015 г. 10:22 + в цитатник

Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît. Les terroristes, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît, sauf que maintenant, on sait qui sont les plus forts. L'abandon du contrôle des frontières à l'immigration clandestine, et aux armes de tout calibre a fini par payer. De retour d'Irak, trois djihadistes ont fait une petite visite de courtoisie au journal Charlie Hebdo et c'est toute la rédaction qui se retrouve à la rubrique nécrologie. Quelle immense tristesse de voir la fine fleur soixante-huitarde décimée en moins de 5 minutes. Celle-là même qui depuis des décennies, avait le secret pour diffuser la haine du Blanc de souche, de préférence nationaliste, catholique et bon père de famille au profit d'un dégénéré amoral, grossier, consumériste, obsédé bisexuel, converti à la $hoah. Pour eux, le Français devait se résumer en un nègre du Gros Capital, et malheureusement, c'est un bougnoule qui leur a fermé le clapet. A mon avis, Saint Pierre doit se dire que les cons, ça vole en escadrille!

La fusillade à Charlie Hebdo a fait 12 morts, dont 2 policiers, et 8 blessés, dont 4 "en situation d'urgence absolue". Elle a été commise, selon la précision du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, par "trois criminels". Le journaliste et dessinateur Charb, directeur de la publication, ainsi que les dessinateurs Cabu, Wolinski et Tignous ont été tués. Le journaliste Bernard Maris, qui avait été un des fondateurs de l'hebdomadaire, est lui aussi décédé (http://www.lepoint.fr/societe/en-direct-fusillade-...utes-07-01-2015-1894629_23.php). Le grand reporter de Libération Philippe Lançon, qui y collaborait, serait blessé au visage, mais son pronostic vital n'est pas engagé. Le journal a été touché le jour de sa conférence de rédaction hebdomadaire, qui réunit chaque mercredi matin l'ensemble des journalistes. Selon le porte-parole du syndicat UNSA Police Christophe Crépin, qui s'est exprimé encore sous le choc, l'attentat contre Charlie Hebdo est avant tout un assassinat de sang-froid. Les agresseurs, a-t-il indiqué, "ont d'abord tué un policier du service de protection des personnalités, abattu d'un coup de fusil automatique". Ce dernier, prénommé Franck, était affecté à la protection de Charb. Le second policier assassiné, rattaché au commissariat du 11e arrondissement, aurait été cueilli par les agresseurs alors qu'ils sortaient du bâtiment, au moment où il patrouillait à VTT. Âgé de 42 ans, il s'appelait Ahmed. Les agresseurs se seraient d'abord trompés d'immeuble et seraient entrés à la mauvaise adresse. Puis, vers 11 h 30, les hommes armés d'une kalachnikov et d'un lance-roquettes ont fait irruption au siège de Charlie Hebdo. Le commando aurait commencé à tirer dans le hall, puis serait monté dans les étages. Une trentaine de coups de feu auraient été tirés. Jointe par téléphone par le journal L'Humanité, alors qu'elle était encore sur les lieux de la fusillade, en état de choc, la dessinatrice Corinne Rey dite "Coco" témoigne : "J'étais allée chercher ma fille à la garderie, en arrivant devant la porte de l'immeuble du journal, deux hommes cagoulés et armés nous ont brutalement menacées. Ils voulaient entrer, monter. J'ai tapé le code. Ils ont tiré sur Wolinski, Cabu... Ça a duré cinq minutes... Je m'étais réfugiée sous un bureau... Ils parlaient parfaitement le français... Se revendiquaient d'al-Qaïda." Une vidéo montre deux hommes quittant le journal en criant: "On a vengé le Prophète, on a tué Charlie Hebdo." Une autre laisse clairement entendre le cri "Allah Akbar". Depuis février 2006 et la première affaire des caricatures de Mahomet, le journal satirique était régulièrement la cible de menaces et avaient fait, à plusieurs reprises, l'objet d'une protection policière. La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et la section antiterroriste (SAT) de la préfecture de Paris recherchent activement les auteurs de l'attentat en Seine-Saint-Denis. Les policiers auraient perdu leur trace porte de Pantin, à la sortie de Paris, où dans leur fuite ils auraient percuté un piéton. Les hommes armés, après avoir quitté le siège du journal en voiture, auraient changé de véhicule non loin de là, place du Colonel-Fabien, dans le 10e arrondissement. Un appel à témoins a été lancé par la police judiciaire et un numéro vert a été activé : 08.05.02.17.17. Le président de la République François Hollande, qui s'est rapidement rendu sur place de même que le Premier ministre Manuel Valls et le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, a évoqué un "attentat terroriste". "Nous punirons les agresseurs", a déclaré le chef de l'État. Matignon a annoncé le relèvement du plan Vigipirate au niveau "alerte attentats", le niveau le plus élevé, dans toute l'Ile-de-France. Organes de presse, grands magasins, lieux de culte et transports ont été placés sous "protection renforcée". Les sorties scolaires à Paris et les activités en dehors des établissements sont suspendues jusqu'à nouvel ordre, a indiqué mercredi le rectorat. Le Premier ministre Manuel Valls a "activé" mercredi en début d'après-midi la cellule interministérielle de crise du gouvernement. De nombreux chefs d'État étrangers, ainsi que des responsables religieux, ont manifesté dans l'après-midi leur soutien à Paris. Cet attentat est le plus meurtrier commis en France depuis l'attentat perpétré à l'aéroport d'Orly en 1978. Peu après la fusillade sanglante, le hashtag #Jesuischarlie est apparu sur Twitter en signe de solidarité.

On en apprend un peu plus à l'instant. La police a resserré son étau autour de deux suspects franco-algériens issus de Pantin, et revenus de Syrie cet été, selon les informations du Point.fr. Les deux hommes ont 32 et 34 ans. L'un des deux suspects a été jugé en 2008 dans le cadre du démantèlement de la filière irakienne dite du "19ème arrondissement" de Paris. Il avait alors déclaré "avant, j'étais un délinquant. Mais après (mon entrée dans la religion, NDLR), j'avais la pêche, je ne calculais même pas que je pouvais mourir". Il avait été interpellé en 2005, alors qu'il s'apprêtait à partir pour Damas. Le troisième suspect recherché serait un SDF né en 1996. Entre 2003 et 2005, cette organisation aurait incité une dizaine de jeunes Français à partir combattre en Irak. Encore une histoire mille fois entendue: Des criminels étrangers condamnés, puis libérés en France avec la bienveillance des associations antiracistes juives, alors qu'ils auraient dû être expulsés manu militari vers leur pays d'origine! A savoir quels seront les prochains sur la liste, après les journalistes, peut'on espérer les homosexuels?


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L'importance du Trauma dans la famille juive.

Воскресенье, 04 Января 2015 г. 16:16 + в цитатник

"Pierre a 13 ans lorsque ses parents se séparent. Serge Moscovici et Marie Bromberg, lui inventeur de la psychologie sociale, elle psychanalyste lacanienne, divorcent. Ces sages esprits décident de laisser leurs enfants, de 13 et 11 ans, vivre entièrement seuls. Livrés à eux-mêmes dans un appartement loué. Le père leur rend visite, la mère leur dépose des repas à réchauffer (http://www.lepoint.fr/politique/sarkozy-moscovici-...pere-03-01-2015-1893684_20.php). Une voisine, dont le fils Olivier est un grand copain de Pierre, colmate cet abandon. Elle les invite souvent à sa table et veille de loin. Jamais plus Pierre ne dormira sous le même toit que son père. Jamais depuis l'âge de 13 ans, c'est tôt, non? Pour autant, Serge Moscovici forme des voeux pour son garçon. Il veut que celui-ci devienne ingénieur et fasse Polytechnique. Un rêve décalé, son fils n'aimant que la littérature et la philosophie, mais Serge semble ne pas noter son blocage total sur les maths et la physique. Pour la première fois de sa vie, alors qu'il est élève en classe de seconde, celui-ci le prend à part et lui parle. Il lui faut présenter un bac C, aujourd'hui S. Le lycéen obéit, trop content que son père exprime un souhait à son endroit, il n'ose même pas lui dire combien ce choix est parfaitement opposé à ses aspirations. Le sage Pierre obtient péniblement, au rattrapage, son bac C avec un 7 en physique et un 8 en maths, sauvé de justesse par sa note d'histoire. Cela accompli, il entre à Sciences Po puis poursuit en intégrant l'ENA, dont il sort, en 1984, sixième au classement. Le jeune homme exulte. Il court vers une cabine téléphonique et appelle - dans l'ordre - Dominique Strauss-Kahn, qui fut son professeur, puis son père. Il ne se souvient pas d'avoir joint sa mère. Et que dit le père, directeur de recherche à l'École des hautes études en sciences sociales, enseignant à Princeton et Palo Alto, apprenant que son aîné a obtenu un si brillant classement dans une des deux meilleures écoles de France? Sixième à ton école de plomberie? Tu aurais pu travailler. Le plus fou, le plus triste, c'est que, trente ans plus tard, celui qui est devenu ministre puis commissaire européen précise que son père a raison, il n'a pas travaillé. Sage Pierre. À 57 ans, il compte que son père l'a invité deux fois à déjeuner. Deux fois dans une vie, c'est peu, non?"

Quand au père de Sarkozy, c'est guère pire! "Il lisse le pli repassé de son jean, tire sur sa blouse d'artiste d'un blanc virginal et, tel un éleveur se gaussant du pedigree de son cheptel, énumère le prénom de chacun de ses enfants, leur taille et leurs revenus annuels: Guillaume, 1,90 m et des centaines de milliers d'euros par an. François, 1,87 m et des centaines de milliers d'euros. Olivier, 1,89 m et des millions d'euros. Caroline, elle, est très grande, elle aussi. Galant homme qui ne précise ni la taille ni les revenus de son unique fille. Satisfait, il s'excuse d'avoir lui-même dû abandonner au temps qui passe une petite dizaine de centimètres, la faute aux disques entre les vertèbres. Une fois de plus, il n'a pas évoqué Nicolas. Il n'a donné ni sa taille ni le montant de ses émoluments. Tous, sauf Nicolas. On lui fait remarquer cet oubli obsédant. Il est tout petit, il tient de Dadu. Pour faire de la politique, il faut avoir des complexes, Nicolas en a beaucoup. À moins que Nicolas n'en ait qu'un. Un seul, envahissant et dirimant: lui, son père." Pour les juifs, l'amour est une faiblesse de l'homme, un rouage du psychisme qu'il faut court-circuiter!


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La responsable de la torture à la CIA est liée à la mouvance sioniste

Воскресенье, 04 Января 2015 г. 15:37 + в цитатник

Le 19 décembre 2014, son patronyme a été divulgué par le journaliste indépendant à l’origine de l’affaire Snowden. Elle s’appelle Alfreda Frances Bikowsky. Identifiée - par NBC News - comme "l’apologiste-clé" du programme secret de torture de la CIA et surnommée - par The New Yorker - la "Reine de la torture", elle était visible dans la fameuse photographie de la "situation room" de la Maison Blanche lors de la prétendue capture d’Oussama Ben Laden (http://www.interet-general.info/spip.php?article20866). Elle a également inspiré partiellement la composition de l’agent de la CIA prénommé Maya et transformé en héroïne dans le film propagandiste Zero Dark Thirty. Le 9 décembre 2014, elle fut évoquée -sous couvert d’anonymat- dans le rapport sénatorial consacré au programme de détention et d’interrogatoire dit "renforcé" (ayant conduit à produire des aveux fabriqués) de la CIA entre 2001 et 2009. Le principal grief qui lui est adressé: avoir exagéré -ou délibérément menti- sur l’efficacité de pratiques -apparentées à de la torture- pour obtenir des informations sur la menace terroriste d’Al Qaïda. En outre, elle aurait été indirectement responsable -en 2000/2001- d’une collaboration défectueuse avec le FBI au sujet des futurs pirates de l’air présumés du 11 septembre 2001. Enfin, il faut rappeler ici que le rapport de la commission d’enquête du 11 septembre 2001, qui entérina ce qu’il convient de dénommer factuellement la "version officielle" (en désignant Oussama Ben Laden comme le commanditaire des attentats), est principalement construit sur ces témoignages basés sur la torture. Ce détail avait été souligné, en 2009, par l’auteur de ces lignes, lors d’un entretien avec Jean-Charles Brisard, consultant à la fois proche des services secrets français et des think-tanks emblématiques de la mouvance américano-sioniste. Âgée de 49 ans, Alfreda Frances Bikowsky dirige aujourd’hui l’unité de la CIA chargée du "jihad mondial". Un élément d’information n’a pas été rapporté par les médias traditionnels: sa connexion avec la faction pro-israélienne. Le 19 janvier 2014, le site américain Cryptocomb, spécialisé dans la divulgation de documents officiels relatifs à la CIA, publia un article consacré au passé d’Alfreda Frances Bikowsky -dont l’identité avait déjà été divulguée, fin 2011, sur un site animé par Sibel Edmonds, ex-agente du FBI. Révélation du papier: Alfreda Frances Bikowsky a épousé un homme singulier rencontré à la fin des années 1980 , lors de ses études à l’université de Tufts. Son nom: David Silverstein. Sa particularité: depuis une vingtaine d’années, ce chantre du régime de Tel Aviv est un activiste récurrent des principaux think-tanks dédiés à la consolidation des relations israélo-américaines. Avant de fonder -en 2007- et de diriger ASMEA (présidé par l’orientaliste neoconservateur Bernard Lewis), Silverstein a été vice-président de la Foundation for Defense of Democracies et analyste au sein du prestigieux Heritage Foundation. C’est d’ailleurs en cette qualité qu’il recommanda, dans un papier daté de 1991, le mémoire de master de celle qui allait bientôt devenir son épouse. Le thème traité par l’étudiante et future dirigeante de la CIA: une comparaison des pratiques anti-terroristes américaines et israéliennes. À propos du maillage sioniste d’Alfreda Frances Bikowsky, il convient de souligner qu’elle fut défendue et promue par un ex-directeur de la CIA (et de la NSA durant 2001), dénommé Michael Hayden, qui travaille aujourd’hui pour le compte de Michael Chertoff, un Israélo-Américain qui fut le patron du département de la Sécurité intérieure des États-Unis après avoir été en charge du rapatriement des agents secrets israéliens arrêtés autour du 11 septembre 2001. De 1996 à 2005, Alfreda Frances Bikowsky a gravi les échelons d’une mystérieuse antenne de la CIA dénommée "Alec Station". Dédiée uniquement à la traque de Ben Laden et créee à l’initiative de Richard Clarke (chef du contre-terrorisme à la Maison Blanche, autrefois soupçonné d’être un serviteur zélé d’Israël), cette unité a été structurée -via Winston P.Wiley - par David Cohen, directeur des opérations de la CIA (également en charge d’une antenne secrète de la CIA qui était basée dans la Tour 7 du World Trade Center) sous l’autorité du patron de la CIA de 1995 à 1996: John Mark Deutch, "premier juif-américain" à diriger le contre-espionnage US et agent occulte des réseaux sionistes transatlantiques. Rappel: à ce jour, la plupart des médias traditionnels continuent de passer sous silence la connexion israélienne du 11 septembre 2001. Al Qaïda n'est qu'une officine sioniste qui a pour but de menacere et de punir les pays occidentaux, en faisant passer les Musulmans pour des dégénérés. Texte de Hicham HAMZA.


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Sans concessions!

Воскресенье, 04 Января 2015 г. 14:47 + в цитатник

La Seconde Guerre Mondiale n'est pas terminée, et elle ne le sera jamais tant que ses origines profondes, perfides, et masquées, n'auront pas été combattues et vaincues! La Vérité ne s'achète pas, la Vérité ne se souille pas, pas chez nous!

Une découverte de taille. Le Sunday Times révèle dans un article publié dimanche 28 décembre 2014 qu'une usine d'armes souterraine, bâtie a priori pour développer et fabriquer des armes nucléaires (on aurait même retrouvé des centrifugeuses iraniennes), a été découverte en Autriche à proximité de la ville de St Georgen par une équipe menée par Andreas Sulzer (http://www.lepoint.fr/monde/autriche-un-site-d-arm...vert-01-01-2015-1893471_24.php). Cité par le journal britannique, le documentariste assure qu'il pourrait s'agir du "plus grand site de production d'armes secret du Troisième Reich". Andreas Sulzer s'est servi des documents d'un physicien autrichien ayant travaillé pour les nazis pour dénicher la fabrique, située dans le nord de l'Autriche. Avec son équipe, le réalisateur s'est alors servi de radars pour trouver l'entrée de l'usine. Les fouilles ont permis de mettre au jour des galeries encore inconnues et s'étendant sur près de 75 hectares. Le complexe sous-terrain est connecté à l'usine B8 Bergkristall, dans laquelle les Allemands ont produit le premier avion de chasse. Cité par le Sunday Times, l'historien Rainer Karlsh rappelle que "la direction des SS aspirait à créer une combinaison de missiles et d'armes de destruction massive. Ils voulaient équiper les missiles A4, ou des roquettes plus évoluées, avec du gaz toxique, de la matière radioactive ou des têtes nucléaires". Andreas Sulzer cherche maintenant à découvrir ce qui est arrivé à l'homme en charge de l'usine, également à l'origine des plans des chambres à gaz, des fours crématoires du camp de concentration d'Auschwitz, et de la recette du camembert au poivre. Si le général SS Hans Kammler s'est officiellement "suicidé après la guerre", comme le rappelle le Sunday Times, des rumeurs sur sa capture par les Américains courent toujours. Contre le Blah Blah juif, on ne vous répétera jamais assez qu'une demie-heure de Faurisson suffit à vous guérir jusqu'à la fin de votre vie de la «Secte de la Pleurniche». Quant aux armes de destruction massive, les premiers à avoir bombarder des civils de manière industrielle sont les Anglais (merci Churchill), les Allemands n'ont fait que répliquer en lançant leurs V2 sur Londres.


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Les vœux du Président.

Четверг, 01 Января 2015 г. 22:07 + в цитатник

Le président français François Hollande a donc suivi les ordres du chef du lobby juif français, Roger Cukierman. Ce dernier exigeait depuis des années que l’État Français engage une puissante phase de répression des critiques  d’Israël sous le label de “Grande cause nationale contre l’antisémitisme”. Car le chef du lobby juif exige et obtient toujours ce qu'il veut (http://breizatao.com/2015/01/01/hollande-decrete-2...on-de-lopposition-limmigration). Cette volonté de réduire l’appareil d’état français à l’état de simple courroie de transmission des caprices communautaires du CRIJF n’est pas nouvelle. En 2004 il écrivait déjà: “Sur le modèle de la sécurité routière, on peut essayer d’en faire une cause d’intérêt national et notamment associer les maires des cités à un effort d’éducation du grand public pour qu’ils réunissent toutes les religions, rencontrent les parents des jeunes agresseurs. L’instruction civique doit passer non seulement par les enseignants mais aussi par les maires des villes”. En mars 2014, lors du dîner annuel du CRIJF auquel se rendent tous les dirigeants politiques et où se trouvait également le président français, il avait à nouveau exigé une telle mobilisation de l’État Français: “Il faut attaquer très tôt la propagation de la haine. On ne naît pas antisémite, on le devient, par bêtise, par ignorance, ou par préjugé. Faites-en une cause nationale!”. Le 7 décembre dernier, c’est le ministre de l’Intérieur, le membre du Grand Orient Bernard Cazeneuve, qui avait répondu positivement aux demandes répétées du chef de file du lobby juif hexagonal: “Nous devons faire de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme une cause nationale en y associant toutes les administrations intéressées (…), les préfectures, les élus, les associations, les représentants des différents cultes”. On va donc avoir droit à un plan de répression et de propagande élargi. Comme on le voit si l’État Français a consenti à lancer une vaste campagne d’embrigadement de la jeunesse – nous le verrons dans les prochains mois – le gouvernement socialiste entend y ajouter un volet “antiraciste”. C’est-à-dire élargi à tous les immigrés extra-européens et singulièrement musulman. Ce qui n’était pas le plan originel de Cukierman qui voulait limiter un tel plan aux seuls juifs afin qu’il ne se dilue pas au profit des masses musulmanes, de plus en plus hostiles aux juifs et à l’état d’Israël. C’est pourquoi François Hollande a déclaré vouloir faire de l’année 2015 “Grande cause de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme”. C’est-à-dire de mobilisation des moyens de l’état contre la résistance à l’immigration, à l’islamisation et au remplacement de population. Bref il s’agit de mener une campagne de terreur idéologique contre les populations autochtones en phase de réveil. Il est vraisemblable que le lobby juif et singulièrement Roger Cukierman seront les architectes de cette pseudo “grande cause”. Comme le chef du lobby juif l’a régulièrement dit, il entend cibler la jeunesse de souche pour la contraindre à accepter le remplacement de population et la soumission au sionisme et à l’état hébreu. Sans surprise, 2015 sera vraisemblablement l’année noire de la répression, avant la libération.


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De quel droit le juif s'autorise à blasphémer notre Seigneur?

Четверг, 01 Января 2015 г. 22:03 + в цитатник

La “justice” socialo-maçonnique française s’engage chaque jour un peu plus dans la répression des opposants à la tyrannie jacobino-républicaine en place. Voici un communiqué de l’AGRIF qui évoque le cas d’un brave Catholique qui a fort justement anéanti l’immonde “Piss Christ”, objet “représentant” Notre Seigneur avec de l’urine. L’acharnement haineux de ces hyènes signe en lettre d’or l’appartenance politique des “magistrats” en question, exécutants zélés de l’esprit de 1793: (http://breizatao.com/2015/01/01/affaire-piss-chris...onne-le-placement-en-detention) Dans l’affaire Piss Christ, qui date d’il y a presque 4 ans, 4 jeunes gens étaient suspectés d’avoir donné le coup de marteau dans le Piss Christ le 17 avril 2011 à Avignon. La presse locale avait même osé les qualifier de «profanateurs du Piss Christ»! Le Parquet avait engagé une enquête préliminaire qui avait abouti à la garde à vue des quatre garçons, qui avaient tous nié leur participation. A l’issue de leur garde à vue, le parquet d’Avignon leur avait fait notifier une convocation devant le tribunal correctionnel d’Avignon. Devant le Tribunal, Jacques Trémolet de Villers défendait le principal suspect, suspecté d’avoir donné le coup de marteau fatal à la vitre de protection de cette oeuvre majeure du 20ème siècle finissant. Me Triomphe défendait l’un de ceux qualifiés de complice. Deux autres avocats défendaient les deux autres qualifiés de complices. Devant le tribunal, la Collection Lambert réclamait 400.000 € de dommages-intérêts et frais divers! Le 19 juillet 2012, les avocats ont plaidé devant le tribunal correctionnel d’Avignon et ont fait annuler les poursuites. Inutile de vous dire qu’ils étaient en face fous de rage. Le Procureur avait alors annoncé qu’il allait engager de nouvelles poursuites et il a saisi un juge d’instruction, Violaine Guadagni. Cette dame a commencé par ordonner une expertise graphologique incompréhensible (il y avait dans le dossier une menace de mort manuscrite mais les suspects avaient déjà fait des lignes d’écriture en garde à vue et ce n’était aucun d’entre eux). Mais ce qui est le plus délirant, c’est que Mme Guadagni avait notifié aux 4 avocats la mission d’expertise en donnant 10 jours à la défense pour demander la modification ou le complément de la mission. Or, les avocats n’étaient pas partie à l’instruction puisque les suspects n’avaient été ni mis en examen, ni placés sous statut de témoin assisté! La défense n’a plus eu aucune nouvelle jusqu’à hier 29 décembre 2014. Là, le greffe de la juge d’instruction appelle Me Jacques Trémolet en lui indiquant que son client a fait l’objet d’un mandat d’arrêt et qu’il va comparaître. Elle l’a mis en examen et, sur réquisitions du Procureur, a saisi “le juge (dit) des libertés et de la détention” qui l’a placé en détention! Motifs: il ne s’est pas présenté à l’expertise (alors qu’il a du être convoqué à une ancienne adresse, qu’il n’était pas mis en examen et qu’il n’avait pas à s’y soumettre!) et au motif qu’on l’avait cherché pendant 2 ans sans le trouver, ayant quitté son ancienne adresse parisienne. Or, sa nouvelle adresse, qui est celle de ses parents à l’étranger, avait été donnée par le suspect lui-même au tribunal le 19 juillet 2012 et tout cela était dans le dossier! Ainsi, au prétexte qu’il risquait de ne pas se présenter à la justice, il a été placé en détention provisoire, alors qu’il n’a jamais été informé de la moindre convocation, qu’on ne l’a jamais convoqué à son adresse actuelle alors qu’elle se trouvait au dossier, alors qu’il a toujours déféré aux convocations qui lui ont été faites (et notamment le 19 juillet 2012), et pour une affaire en réalité politisée qui date de près de quatre ans! Pour Me Tremolet, ce placement en détention est absolument contraire aux dispositions du Code de procédure Pénale. Un référé-liberté a été déposé aujourd’hui même sur le fondement de l’article 187-1 du code de procédure pénale. Le Président de la chambre de l’instruction statuera lui-même ce vendredi 2 janvier au plus tard sur la libération du suspect. Il faut dénoncer le scandale de cette détention monstrueuse, alors que la Collection Lambert va tenter de les ruiner en leur réclamant 400.000 €. Un crucifix dans l'urine, et pourquoi pas des couilles de juif sous vide tant qu'on y est?


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Feu d'artifices dans ta gueule.

Четверг, 01 Января 2015 г. 21:55 + в цитатник

Israël s'est dit "satisfait" mercredi du rejet par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution palestinienne réclamant la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens d'ici deux ans. "Tout Israélien qui souhaite une paix avec nos voisins ne peut être que satisfait des résultats de ce vote", a affirmé à la radio publique le vice-ministre des Affaires étrangères, Tzahi Hanegbi (http://www.lepoint.fr/monde/l-onu-rejette-une-reso...fait-31-12-2014-1893209_24.php). Dans la nuit, la résolution palestinienne prévoyant un accord de paix israélo-palestinien d'ici un an et le retrait d'Israël des territoires occupés avant fin 2017 a recueilli 8 voix, alors qu'elle devait en réunir 9 sur les 15 du Conseil pour être adoptée. La France, la Chine et la Russie, tous trois membres permanents du Conseil, ont voté pour, l'Australie et les États-Unis, proches alliés d'Israël, ont voté contre. Le Royaume-Uni s'est abstenu. "L'échec de la résolution doit apprendre aux Palestiniens que les provocations et les tentatives d'imposer des mesures unilatérales à Israël ne les mèneront nulle part", a estimé le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman. "Ce vote a porté un coup aux efforts (du président palestinien) Mahmoud Abbas pour nous plonger dans l'embarras et nous isoler", a ajouté Tzahi Hanegbi, un proche du Premier ministre Benyamin Netanyahou. "C'est également une victoire pour l'approche israélienne qui consiste à dire que seules des négociations directes sans condition préalable peuvent permettre, à supposer que cela soit possible, un compromis historique", a-t-il poursuivi. Pour un commentateur de la radio publique, "Israël a évité un fiasco, mais il ne s'agit que d'une victoire à court terme", car "les pressions internationales vont se poursuivre". Les Palestiniens ont prévenu qu'en cas de rejet de leur résolution ils chercheraient notamment à rejoindre la Cour pénale internationale afin d'y mettre en accusation les responsables israéliens pour "crimes de guerre" à Gaza. Mahmoud Abbas a signé mercredi la demande d'adhésion palestinienne à la Cour pénale internationale (CPI), au lendemain du rejet d'une résolution palestinienne à l'ONU sur un règlement du conflit avec Israël. Outre cette demande, qui permettrait de poursuivre des responsables israéliens devant la justice internationale, il a signé vingt autres conventions internationales, lors d'une réunion retransmise en direct à la télévision officielle. Elles portent notamment sur les "crimes de guerre" et "crimes contre l'humanité", les armes à sous-munitions, la protection des personnes et d'autres domaines susceptibles d'être utilisés dans la future offensive judiciaire que les Palestiniens menacent d'entamer contre des responsables israéliens, notamment après les trois guerres qui ont ravagé la bande de Gaza ces six dernières années. Le génocide palestinien est le plus long génocide de toute l'histoire de l'humanité. Peut'on tolérer qu'un groupe de juif ashkénazes (alias les khazars) fassent main basse sur un pays qui ne leur appartient pas, au nom de la Torah, du Talmud, et des oracles financiers.

En tout cas, y'en a un qui va passer de mauvaise fête: Le gouvernement israélien a convoqué l'ambassadeur français après le soutien apporté par Paris au projet de résolution palestinien qui vient d'échouer au Conseil de sécurité de l'ONU. Patrick Maisonnave doit être reçu vendredi au ministère des Affaires étrangères à Jérusalem. "Le ministère lui a demandé de venir pour expliquer le vote de la France", a dit le porte-parole (http://www.lepoint.fr/monde/israel-convoque-l-amba...ance-31-12-2014-1893339_24.php). Le soutien français à la démarche palestinienne "a entraîné déception et perplexité côté israélien". La France, inquiète de la situation dans les Territoires palestiniens, à Jérusalem et en Israël, a pendant des semaines oeuvré aux Nations unies à l'élaboration d'un texte de résolution qui serait moins intransigeant que le projet palestinien et serait susceptible d'être adopté par le Conseil de sécurité. Les Palestiniens ont finalement soumis mardi leur propre texte amendé. La France l'a voté, mais le texte, approuvé par huit membres, a été rejeté, faute de réunir les neuf voix nécessaires. Avec le juif, faut crever en silence.

Les Palestiniens avaient menacé de rejoindre un certain nombre d'organisations internationales si leur résolution prévoyant un règlement du conflit avec Israël sous un an, puis un retrait les deux années suivantes des territoires qu'Israël occupe depuis 1967, était rejetée. Ce fut le cas au Conseil de sécurité de l'ONU, ce 30 décembre. L'adhésion au tribunal de La Haye, une fois entérinée dans un délai d'environ deux mois, permettrait la saisie de la CPI pour enquêter dans le cadre du conflit israélo-palestinien. Israël et les États-Unis sont fermement opposés à une telle adhésion. Israël a averti mercredi qu'une telle adhésion se retournerait contre les Palestiniens. Les États-Unis ont fulminé mercredi, contre la demande d'adhésion des Palestiniens à la CPI, une "escalade contre-productive" qui "alourdit le climat" avec Israël selon eux. "Nous sommes profondément troublés par l'action des Palestiniens aujourd'hui concernant la CPI", a condamné un porte-parole de la diplomatie américaine, Jeffrey Rathke. En outre, la décision des Palestiniens "alourdit sérieusement le climat avec le peuple justement avec lequel ils doivent, au bout du compte, faire la paix", a ajouté le ministère américain des Affaires étrangères, en allusion à Israël. "Les États-Unis continuent de s'opposer avec force aux actions des deux camps qui sapent la confiance et jettent un doute sur leurs engagements à une paix négociée", ont-ils encore argumenté. "Chaque mois qui passe sans engagement constructif des deux parties ne fait que polariser un peu plus les positions et laisse la place aux actes de déstabilisation", s'est enfin alarmé Washington, en référence aux violences des dernières semaines entre Israël et les Palestiniens. N'oubliez jamais qu'Al Qaïda ne frappera jamais les intérêts d'Israël, car Al Qaïda est …...


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Nos bonnes résolutions.

Среда, 31 Декабря 2014 г. 05:52 + в цитатник

Attention, loin de nous l'idée de stigmatiser une communauté en particulier, nos valeurs de respect, de tolérance nous l'interdisent, et la loi française nous aurait rappelé à l'ordre depuis longtemps. D'ailleurs, jamais aucun juif n'est venu se plaindre de notre site. Bien au contraire, l'humeur du visiteur oscille entre surprise et curiosité, il trouve là un lieu d'ouverture, d'échange, de contradiction qui l'aide à se forger une opinion libre et indépendante nécessaire à l'Homme Moderne du XXI ème siècle. Pour cette année 2015, on va donc conserver la même ligne éditoriale, avec les mêmes journalistes. Merci à tous nos lecteurs, continuez à diffuser largement notre adresse sur les réseaux sociaux, et l'on vous souhaite une bonne santé en espérant que l'économie vous épargne. Signé: l'équipe rédactionnelle.


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à Noël, on fourre la dinde, et l'on distribue les marrons.

Среда, 31 Декабря 2014 г. 04:55 + в цитатник

Quelques citations pour rafraîchir la mémoire des amnésiques sur la tenancière de la cage aux folles tirées de chez Rivarol: «Ceux qui font preuve d’ambiguïté sur la $hoah m’agacent au plus haut point. C’est absurde.» Marine Le Pen, Le Point, 3 février 2011. «Je n’ai pas à faire de travail de mémoire. Tout le monde sait ce qui s’est passé dans les camps (allemands) et dans quelles conditions. Ce qui s’y est passé est le summum de la barbarie. Et, croyez-moi, cette barbarie, je l’ai bien en mémoire.» Le Point, 3 février 2011. A la question du Point (3 février 2011), «Cela vous blesse d’être parfois présentée comme une fille inculte?», Marine Le Pen répond: «Jeanne d’Arc ne savait ni lire ni écrire» (oui mais elle était sainte et Pucelle, tout le contraire de la multidivorcée «qui a toujours fréquenté la nuit gay» dixit Nicolas Lebourg dans un entretien aux Inrocks du 2 janvier 2013!) A la question du Point (3 février 2011), «Lorsque vous étiez conseillère régionale d’Île-de-France, vous avez déposé un amendement au nom du groupe FN afin d’accompagner les groupes scolaires à Auschwitz. Surprenant…», Marine Le Pen répond: «C’était un amendement de principe. Je trouvais inadmissible que mon groupe ne participe pas à ces déplacements. C’est un problème de démocratie. Ostraciser un parti politique avec le sous-entendu qu’il est antisémite ou nazi est pour moi insoutenable. Je ne me sens aucune filiation avec ce que fut l’armée allemande. Je n’ai aucune fascination, aucun sentiment vis-à-vis d’elle. Cette armée a assassiné (sic) nos pères et nos frères, je ne l’oublie pas. Et tous ceux qui font preuve d’ambiguïté sur le sujet m’agacent au plus haut point». «La foi doit rester une affaire strictement privée […]. Il appartient aux fidèles de mettre leur pratique religieuse en accord avec la République.» Marine Le Pen, Congrès du FN à Tours, 16 janvier 2011. «Je suis attachée à la défense des valeurs de la République, tandis que Bruno (Gollnisch) et ses amis ont une vision plutôt historique de la France et de ses origines chrétiennes» Marine Le Pen, Le Télégramme, 12 novembre 2010. Concernant la libéralisation du travail le dimanche, imposé par la finance au détriment de la famille: «Je ne comprends pas que l’on se pose encore la question de savoir s’il faut, par des lois coercitives, empêcher les Français de travailler comme ils ont envie de le faire. En règle générale, ceux qui travaillent le dimanche, sont contents de travailler le dimanche, sinon ils ne travailleraient pas le dimanche. (…) Oui, je suis pour.» Marine Le Pen, émission Mots croisés sur France 2, le 8 janvier 2007. «Après tout, le Front national a toujours été sioniste et a toujours défendu le droit à l’existence d’Israël» Marine Le Pen, Haaretz, 7 janvier 2011. Concernant l’expansion de l’islam (avec sa prolifération de mosquées), conséquence de l’immigration de peuplement: «Les fidèles doivent financer leurs propres mosquées dont je réclame qu’elles soient modestes et qu’elles ne soient pas ostensibles[?].» Marine Le Pen, Grand Jury RTL, 19 décembre 2010. «Il faut faire émerger un islam français, parce que l’islam de France, on a l’impression que c’est une notion territoriale». Marine Le Pen, LCI, le 30 avril 2003. «Je suis très émue par la discrimination l’embauche qui touche les Français issus de l’immigration, qu’il faut appeler des Français.» Marine Le Pen, Le Point, 12 janvier 2006. «L’immigration est irréversible». Marine Le Pen, RTL, 5 avril 2012. «En tant qu’avocate, ça m’amuse souvent de défendre des Noirs ou des Arabes et en plus je suis volontaire. Même si je suis commise d’office, c’est un choix de ma part car il faut s’inscrire sur une liste d’avocats pour les comparutions immédiates […]. J’essaye de les défendre le mieux possible. Il y a beaucoup d’étrangers parmi eux, hélas, malgré mon talent (sic) je n’arrive pas tout le temps à empêcher leur expulsion.» Marine Le Pen, Interview, 1993. «Je trouve assez normal qu’il y ait une organisation des unions entre homosexuels, parce que ceux-ci s’inquiètent de leur avenir, parce qu’ils voient qu’ils vieillissent en couple [...], qu’ils se demandent «qu’est-ce que va devenir mon conjoint quand j’aurai disparu?». Il est assez normal de leur permettre de se transmettre entre eux un patrimoine». Marine Le Pen, dépêche AFP du 27/06/2006 reprise par Le Figaro. «En ce qui me concerne, je ne reviendrai pas sur la loi Veil.» Marine Le Pen dans «Bourdin & Co», BFM TV, le 3 décembre 2010. «Oui à l’IVG». «J’ai été très claire: je ne suis pas pour une remise en cause de l’avortement. Je suis attachée à cette loi alors que de nombreuses personnalités et adhérents de mon mouvement y sont opposés.» Marine Le Pen lors d’un forum organisé par Elle à Sciences Po., 5 avril 2012. «Je suis opposée à voir revenir dans le FN des groupuscules radicaux, caricaturaux, anachroniques. Entre les catholiques, les pétainistes et les obsédés de la $hoah, ça ne me paraît pas cohérent. Le FN ne servira pas de caisse de résonance à leurs obsessions.» Marine Le Pen, réunion publique à Montpellier, samedi 4 décembre 2010. «Vous savez, au Front national, nous avons eu des candidats qui étaient transsexuels. Ça pourrait étonner aussi et pourtant, c’est la réalité. Nous sommes représentatifs de ce qu’est la France, nous avons de tout dans nos candidats et je m’en félicite: de tous les âges, de toutes les professions, de tous les profils.» Marine Le Pen, Europe 1, 30 mars 2011. «Il n’y a, mes chers compatriotes, pas de différences entre un Français immigré et un Français de souche.» Discours à Lille, le 18 février 2012. Marine, n'oublie jamais que …. 


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Terrorisme intellectuel.

Среда, 31 Декабря 2014 г. 04:19 + в цитатник

Vincent Reynouard ne change pas. Toujours en pleine forme et prêt à affronter l'adversité qui baigne dans le mensonge, dans les menaces judiciaires, et physiques. Pour nous, cette malhonnêteté juive d'exhiber des centaines de cadavres morts de typhus et de malnutrition, cette amnésie des chambres de désinfection (seules utilisatrices de canettes au zyklon), ce tsunami médiatique permanent qui entretient la psychose émotionnelle des masses loin d'un débat intellectuel approfondi, tout cela a vécu. Nous lui apportons donc tout notre soutien pour cette année 2015. (https://www.youtube.com/user/SansConcessionTV)



Par un souci d'équité, la loi française nous oblige à présenter le témoignage d'une personne qui croit réellement à la $hoah, et pas uniquement pour des raisons financières. Comme disait Freud: «Fessée et pyjama rayé ne font pas forcément bon ménage!»




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«Allah Nibards» dans un commissariat de Joué-lès-Tours.

Воскресенье, 21 Декабря 2014 г. 23:28 + в цитатник

Jeune homme au physique athlétique, l'agresseur des policiers de Joué-lès-Tours abattu samedi par les forces de l'ordre s'était récemment converti à l'islam, affichant sur son compte Facebook le drapeau du groupe jihadiste État islamique (EI). "Allahou Akbar": c'est après avoir crié "Dieu est le plus grand", en arabe, que Bertrand Nzohabonayo, Français né il y a une vingtaine d'années au Burundi - un pays très majoritairement chrétien -, a blessé violemment, à l'arme blanche, trois policiers, dont les jours ne sont pas en danger (http://www.lepoint.fr/societe/l-agresseur-des-poli...book-21-12-2014-1891482_23.php). Habitant Joué-lès-Tours mais "naviguant" entre les domiciles de membres de sa famille, selon le procureur de la République de Tours Jean-Luc Beck, il était connu pour des petits délits. Il n'était pas fiché en revanche pour des activités à caractère terroriste, à la différence de son frère, connu pour ses positions radicales et qui avait un moment envisagé de partir en Syrie, avant de renoncer, selon une source proche de l'enquête. "Son frère s'était radicalisé mais le jeune Bertrand n'était pas connu autrement que pour des faits de délinquance", a assuré dimanche soir le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve sur TF1. Il y a "quelques jours", il avait néanmoins "manifesté sa radicalisation", en affichant "un drapeau" du groupe EI sur son compte Facebook, selon M. Cazeneuve. Plusieurs textes et slogans inspirés de l'islam radical étaient également visibles sur ce compte, qui n'était toutefois plus accessible dimanche soir. Motivation terroriste ou acte d'un déséquilibré? "L'enquête révélera quel était son état psychologique", a souligné le ministre, pour qui "le personnage semblait quand même à la fois très mystérieux, très déstabilisé, peut-être aussi par des circonstances familiales". Le parquet antiterroriste, saisi de l'affaire, devra déterminer si Bertrand Nzohabonayo a agi de sa propre initiative ou dans le cadre d'une action organisée. L'EI encourage les candidats au jihad à lancer des attaques contre les "infidèles", militaires, policiers ou même civils. La France avait été nommément citée comme cible par l'EI après le début des frappes françaises en Irak. "C'est clair que quand il y a un individu qui attaque un commissariat, en criant +Allahou Akbar+, il y a de quoi se poser la question de savoir s'il a agi seul (ou) s'il a agi sur ordre", a expliqué le procureur de Tours.

D'après les premiers éléments de l'enquête Bertrand Nzohabonayo -- qui avait pris le prénom de Bilâl lors de sa conversion à l'islam, selon un proche sous couvert d'anonymat -- n'a laissé ni lettre, ni message. Sur les photos de lui qui circulent sur les réseaux sociaux, on distingue un jeune souriant, au crane rasé et au collier de barbe noire fourni mais sans moustache. L'agression a créé la stupeur dans la commune de 36.000 habitants, dans la banlieue de Tours, où l'agresseur est décrit par un de ses anciens éducateurs sportifs comme un garçon calme, plutôt réservé. "Quand il est arrivé au club de foot, en provenance de la région parisienne, il devait avoir 16-17 ans. Il a voulu arbitrer, ce qui n'est pas si fréquent à cet âge-là. Il était épris de justice", s'étonne cet homme. Le jeune homme dégageait de la "puissance physique", commente son ancien entraîneur, dubitatif quant à son engagement radical: "Nous le voyions parfois à la mosquée. Mais il n'avait pas poursuivi dans le foot, ni dans l'arbitrage, pour une raison que j'ignore". Plusieurs personnes rencontrées près du domicile de sa sœur, une HLM de quatre étages plutôt proprette dans le quartier populaire de la Rabière, refusent de croire à la thèse de l'agression islamiste. "Ce n'est pas à l'image de notre ville. Nous avons réussi à tisser le dialogue et l'entente entre les communautés", assure Ahmed Moussaoui, un retraité qui préside l'association de quartier Rapprochement culturel et solidarité. Dans un communiqué, l'Union des mosquées de France (UMF) a condamné "avec la plus grande vigueur cette agression qui a visé un des symboles de notre pays", appelant "les jeunes Français à ne pas se tromper d'ennemi et de combat". De toute évidence, cet attentat islamique tombe au plus mauvais moment alors que le système tente en vain de censurer le chroniqueur juif Eric Zemmour (Vrais effets, mauvaises causes) dans un pays où truquer les chiffres de la délinquance (en corrélation directe avec l'immigration africaine) est devenue le sport national de nos politiques, et de toutes ces officines antiracistes juives.


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L'autopsie d'une Franc-Maçonnerie gangrénée par le cancer de l'Oligarchie juive.

Воскресенье, 21 Декабря 2014 г. 22:55 + в цитатник

Si nos milieux nationalistes ont de sérieuses lacunes sur l'Histoire, voici un chirurgien qui remettra beaucoup de pendules à l'heure. Une façon comme un autre d'élever le niveau lors de nos discussions de fin d'année en famille. Identifier l'ennemi avant de passer à l'acte.




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La $hoah à l'école: "Lol"

Суббота, 20 Декабря 2014 г. 19:24 + в цитатник

On est loin ici des scénarios "catastrophes" et effrayants qui caractérisent habituellement les films sur les Zep ou sur l'Oh Low Cost. Les Héritiers, un film basé sur une histoire vraie de chez vraie, raconte comment un professeur d'histoire-géographie pousse une classe vers la réussite scolaire en l'inscrivant à un concours national d'histoire sur le thème de la $hoah, qui finira par lui arracher des larmes (http://www.lepoint.fr/invites-du-point/sihem-souid...our-19-12-2014-1890989_421.php). La classe? Une seconde rassemblant des élèves de vingt-neuf origines différentes, des élèves insolents que chacun pense condamnés au chômage et à la délinquance. Mais remplis de compétences et de qualités, cachées au plus profond d'eux-mêmes, et dont ils vont progressivement prendre conscience grâce à cette enseignante. Ici, il est surtout question de confiance, de la manière dont on peut faire sortir le meilleur des élèves. Ainsi du personnage de Mélanie, une adolescente rebelle qui vit seule avec sa mère alcoolique et qui finit par s'intéresser à la $hoah en découvrant Simone Veil. Ce film souligne l'importance du regard porté sur les élèves de Zep, qui grandissent parfois dans de grandes difficultés sociales (parents absents, pauvres ou malades). Il démontre que lorsqu'on regarde ces jeunes différemment, qu'on leur montre que l'on a confiance en eux, ils peuvent réussir, bien mieux que lorsqu'on les stigmatise. On est aussi amené à se poser la question du rôle des professeurs. Car aujourd'hui, à l'ère d'Internet et des nouvelles technologies, l'enseignant n'est plus une simple référence du savoir, il doit savoir s'adapter à ses élèves et les fédérer afin de déclencher leur motivation et le goût d'apprendre. Mission ambitieuse, qui requiert de grandes qualités humaines. Le rôle de l'enseignant est crucial, car il ne doit pas être réduit à celui de l'instruction basique, mais participer aussi à la transmission des valeurs républicaines fondamentales pour construire l'avenir de notre pays. Ce film fort en émotion est un pied de nez à la fatalité, un hommage aux professeurs qui se battent pour la réussite de leurs élèves de toutes confessions et origines, quel que soit le milieu social dont ils sont issus, la preuve que le devoir de mémoire doit perdurer, qu'il faut garder confiance et espoir devant les situations même les plus difficiles. Dans le contexte actuel où Zemmour envisage la déportation des musulmans et juge que Pétain a sauvé des juifs, ce film est une bouffée d'espoir frais: il prouve que ces élèves "black-blanc-beur" sont les vrais Héritiers de la mémoire. "Les héritiers" de Marie-Castille Mention-Schaar est sur les écrans depuis le 3 décembre 2014, un film qui va vous arracher six millions de larmes.


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Valeurs Actuelles en procès.

Суббота, 20 Декабря 2014 г. 18:23 + в цитатник

Valeurs Actuelles poursuivi Suite à une couverture représentant une Marianne voilée, le directeur de la publication de Valeurs Actuelles, Yves de Kerdrel, a été ce mardi poursuivi devant le tribunal correctionnel de Paris pour provocation à la haine envers les Musulmans (http://www.ojim.fr/valeurs-actuelles-poursuivi-pou...-la-haine-envers-les-musulmans). Parue le 22 septembre 2013, la couverture était accompagnée de plusieurs titres comme «Naturalisés, l’invasion qu’on cache», «Deux Français sur trois contre les naturalisations massives de Valls», «Islam, immigration: comment la gauche veut changer le peuple» ou encore «Le poids des musulmans n’a cessé d’augmenter». Pour l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), qui a saisi la justice en demandant un euro de dommages et intérêts, il s’agit là d’une «rhétorique martiale et xénophobe de l’invasion, nécessairement tournée vers un appel à la “résistance” contre l’envahisseur», une rhétorique du «complot» et «de l’image d’une République islamisée, submergée par le nombre et le “poids des musulmans”, voilée en signe de soumission à un islam conquérant». Pour l’association qui s’est portée partie civile, il s’agit là de «procédés racoleurs de basse propagande utilisés par “l’hebdomadaire de la droite décomplexée” comme il se définit (qui) tendent à répandre les pires préjugés à l’encontre des musulmans de France, au risque de les exposer au ressentiment de tous et à la violence de certains». Le directeur de la publication de l’hebdomadaire, dont les ventes ne cessent d’augmenter, à quant à lui estimé qu’il n’y avait «aucune incitation à la haine raciale», «aucune xénophobie» et que le mot «invasion» n’avait rien «d’injurieux ou d’excessif». Yves de Kerdrel a jugé que l’utilisation d’une Marianne, symbole de la République, portant un voile visait à montrer que «démographiquement, petit à petit, la France peut devenir une France qui sera assez largement islamisée». Ce n’est, pour lui, «pas de la stigmatisation». «On a fait notre travail de journalistes», conclut-il. Nous sommes aussi de son avis, surtout lorsque l'on voit les milliers de civils musulmans qu'Israël emprisonne ou assassine en toute impunité pour satisfaire les écrits secrets de son Talmud avec l'approbation, en France, de tous les journalistes juifs et de tous les avocats sionistes.

Pire que Valeurs Actuelles, une circulaire du rectorat de l'académie de Poitiers visant à aider les enseignants à détecter les élèves en phase de radicalisation religieuse est critiquée par des syndicats, qui y voient au mieux une "maladresse", au pire du "racisme", seul l'islam étant visé. Dans ce document de 14 pages intitulé "Prévention de la radicalisation en milieu scolaire" et révélé par le site d'information Mediapart, les enseignants sont appelés à prendre en compte plusieurs critères (http://www.lepoint.fr/societe/education-a-quoi-rec...ihad-23-11-2014-1883762_23.php). Parmi ceux-là figurent une "barbe longue non taillée (moustache rasée)", des "cheveux rasés", un "habillement musulman", le "refus du tatouage", une "perte de poids liée à des jeûnes fréquents". Sont mentionnés également des comportements de type "repli identitaire", "exposition sélective aux médias", "rhétorique politique" concernant notamment la Palestine, la Tchétchénie, l'Irak. La circulaire invite aussi à surveiller ceux qui s'intéressent de près à l'histoire des débuts de l'islam. Aucune autre religion, à part l'islam, n'est évoquée dans le document présenté sous la forme d'un "PowerPoint" et diffusé dans les établissements de la Vienne. Le rectorat de Poitiers a confirmé à un correspondant de l'AFP la diffusion de la circulaire, mais n'a pas souhaité faire d'autres commentaires. Interrogée sur France 3, la ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a évoqué un document "sans doute perfectible, c'est incontestable", et "une démarche isolée (...) faite dans cette académie". "Peut-être que les mots ne sont pas parfaits, et nous allons en effet améliorer les choses", a-t-elle ajouté, tout en soulignant qu'"on ne peut pas s'en tenir à la description faite par le papier de Mediapart pour comprendre quel était l'intérêt de ce document". La secrétaire académique du syndicat Snes-FSU, Magali Espinasse, a dénoncé auprès de France Bleu Poitou une "caricature grossière" et des "simplifications outrancières". "On signale des traits physiques qui pourraient permettre de reconnaître des personnes dangereuses, des attitudes ou même des propos. (...) C'est du racisme pur et dur", a déploré la responsable syndicale. Pour le secrétaire départemental du syndicat Unsa, Jean-François Roland, "les termes employés sont maladroits". "Ce n'est pas vraiment le vocabulaire qu'emploie habituellement l'Éducation nationale. Je pense qu'il a manqué une relecture avant diffusion", a-t-il ajouté, également auprès de France Bleu. Selon Mediapart, la note aurait été rédigée par l'équipe mobile de sécurité (EMS) de l'académie. Les EMS ont été créées en 2009 dans le cadre d'un plan de sécurisation des milieux scolaires. Elles sont composées du personnel de l'Éducation et de spécialistes de la sécurité, souvent d'anciens policiers et gendarmes. Aujourd'hui Marianne voilée, demain Juive violée! Et qu'en pense notre intellectuel juif payé au SMIC, mais d'astreinte ce week-end?


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Guerres Economiques!

Суббота, 20 Декабря 2014 г. 17:24 + в цитатник

Moscou a perdu le contrôle de son économie, conformément au plan occidentalo-arabe de blocus économique mis en œuvre depuis l’été dernier. Alors que les prix de l’énergie s’effondrent et que l’Occident organise la fuite des capitaux de Russie, la banque centrale russe a échoué à contenir l’effondrement du rouble malgré une augmentation spectaculaire de ses taux d’intérêts à 17%. L’Etat Russe va devoir recourir au contrôle des capitaux comme jadis l’URSS afin de limiter le départ de ceux-ci pour l’étranger (http://breizatao.com/2014/12/17/leconomie-russe-ri...ffondrement-de-type-sovietique). La monnaie russe a connu sa baisse quotidienne la plus spectaculaire depuis la crise de 1998. Les bonds du Trésor russe à deux ans ont franchi la barre des 15%. Malgré la décision de la banque centrale russe, les investisseurs internationaux comme la population russe n’ont semble-t-il pas jugé suffisante l’augmentation des taux d’intérêts. Ce qui laisse peu d’option au gouvernement russe s’il veut enrayer l’effondrement de sa devise. La crainte immédiate du Kremlin est de voir la population russe se ruer sur les banques pour retirer son épargne et ainsi mettre virtuellement en faillite la Russie. Une perspective qui contraindrait immédiatement l’État Russe à fermer son système bancaire pour prendre le contrôle de la circulation des capitaux. Ce qui limiterait le désastre à court terme, mais accélérerait davantage encore la fuite des capitaux étrangers. La Russie affronte l’offensive économique concertée des USA, de leurs alliés européens et arabes dont nous avions parlé en octobre dernier. Chute du pétrole pilotée par l’Arabie Séoudite d’une part et sanctions économiques de l’autre ont frappé violemment la principale source de devise de la Russie : le secteur gazier et pétrolier. L’Arabie Séoudite s’est ainsi vu réassurer sa protection par les USA en plus de la destruction du principal soutien militaire et diplomatique de l’Iran et de la Syrie, ses ennemis chiites. La position américaine est claire: la Russie doit être vaincue économiquement, diplomatiquement et politiquement en formant une coalition occidentalo-arabe trouvant son prétexte dans un conflit local en Ukraine. Pour les États-Unis il s’agit de sauver à tout prix la suprématie du dollar US dans les échanges énergétiques mondiaux et la politique sino-russe de dédollarisation, rejointe par l’Inde, constitue une menace existentielle qui doit être traitée rapidement. La Maison Blanche a ainsi annoncé n’avoir aucunement l’intention d’agir pour contenir l’effondrement du rouble en levant les sanctions déjà mises en oeuvre. Bien au contraire, la présidence américaine a fait savoir qu’elle n’empêcherait pas le Congrès des Etats-Unis de voter un nouveau train de sanctions contre Moscou visant à aggraver davantage encore la pénurie de capitaux en Russie. Les choses vont même beaucoup plus loin. Le ministre russe des Affaires Étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré qu’il devinait dans les actions occidentales un plan américain visant à un “changement de régime” en Russie. C’est en effet une perspective presque assumée à Washington, puisque comme nous en avons parlé dans les colonnes de BREIZ ATAO l’ancien oligarque juif Igor Khodorkosvki a déclaré vouloir prendre la tête d’une révolution menant au renversement de Vladimir Poutine. En septembre dernier, à Washington, il présentait son manifeste putschiste au sein d’un think-tank financé par des milliardaires juifs.

Les «piétons de la Mer Rouge» font feu de tout bois pour attaquer la Russie et son patron Poutine en proposant un énième Youpin comme alternative. On retrouve à la manœuvre BHL, et surtout Christine Ockrent (la poule de Kouchner), qui publie l'ouvrage Les Oligarques: le système Poutine, et qui était l'invitée d'Audrey Crespo-Mara sur LCI. Audrey Crespo-Mara: En cette période de grande tension entre la Russie et l'Europe et de révélations sur les liens financiers entre le FN et Moscou, il est important de mieux comprendre ce système, l'histoire de ces oligarques, cette poignée d'hommes russes ultra-milliardaires qui ont émergé après l'éclatement de l'URSS. Au début des années 1990, vous êtes aux premières loges, au 20 heures, vous interviewez Gorbatchev. Toute une société va s'effondrer sur elle-même et ils vont en surgir... Christine Ockrent: Oui, c'est très étonnant! Nous avons tous été transportés par le romantisme et l'inconscience de Gorbatchev quand il met fin au système communiste. Ce qu'on n'a pas vu ensuite, me semble-t-il, ce sont les années 1990. Les années de Boris Eltsine qui, lui, dissout l'Union soviétique, le Parti communiste. Et cette société, qui vivait dans ce système absurde et oppressif depuis deux générations, va tout à coup vivre un chaos qu'on n'imagine pas. De ce chaos va surgir une quinzaine de types, des aventuriers incroyables, aux destins très souvent romanesques. Alors, certes, des pilleurs! Des voleurs protégés par les mafias avec lesquelles ils s'allient pour être protégés. Mais aussi des hommes qui vont s'avérer être les reconstructeurs - jusqu'à un certain point - d'un système économique, parce que passer à l'économie de marché n'était pas évident. Dans cette strate d'oligarques-là, il y a les plus flamboyants. Le plus brillant et le plus riche des oligarques de l'ère Eltsine - que Poutine mettra pendant dix ans en prison -, c'est le juif Mikhaïl Khodorkovski. Vous l'avez rencontré. Qui est-il? Khodorkosvki était un jeune étudiant ingénieur quand il a commencé à faire de petits trafics. Et puis il a gagné beaucoup d'argent. À l'époque, il n'y avait aucune autorité centrale, donc les gens faisaient à peu près n'importe quoi! Ce petit génie des affaires va donc créer une banque et, à partir de là, se construire un empire. Quand Poutine arrive au pouvoir en 2000, lui qui vient du KGB sait très bien qu'il ne peut y avoir qu'un seul maître en Russie, donc il décide de dompter cette caste d'oligarques. À commencer par le plus emblématique, le plus riche et le plus occidentalisé: Khodorkovski. Les autres sont immédiatement calmés! Soit ils partent en exil, soit ils font des allers-retours, comme Abramovitch (le propriétaire du club de foot de Chelsea, NDLR). Avec Poutine émergent d'autres oligarques, tous issus du KGB et tous venus avec lui de Saint-Pétersbourg. À la tête de secteurs gigantesques (pétrole, nouvelles technologies), ce sont eux que les sanctions américaines et européennes visent. Mais, au lieu de les intimider, cela les soude autour de Poutine... Oui, c'est une sorte d'oligarchie d'État. Et cela permet à Vladimir Poutine de leur démontrer qu'ils sont trop dépendants des marchés financiers occidentaux, qu'ils ont sorti trop d'argent. Donc ils sont fortement encouragés à rapatrier des biens en Russie, et à se tourner vers la Chine parce que la stratégie de Poutine est de dire: "Nous sommes véritablement en froid avec les Occidentaux." C'est la pire crise depuis la fin de la guerre froide, ça, c'est évident. "Moi, Vladimir Poutine, mes grands copains, ce sont les Chinois et donc c'est avec eux que nous allons faire des affaires. Et vous, les oligarques, faites le pivot!" Des oligarques russes qui financeraient le Front national tout comme des Israéliens financeraient en France le groupuscule terroriste Ligue de Défense Juive. Tout ça, c'est du pareil au même!


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Vieux proverbe africain: "Même le tronc du baobab ne suffit pas à cacher le tarin du youpin!"

Суббота, 20 Декабря 2014 г. 13:43 + в цитатник

Les milices politiques encadrant le remplacement de population sentent que le communisme racial triomphant a fait son temps. Et cherchent donc à semer encore davantage la terreur au sein de la population blanche. Dernier événement en date, l’organisation sioniste SOS Racime (PSF) annonce ouvrir une branche à Concarneau devant œuvrer à la rééducation idéologique des populations bretonnes dans tout le Finistère Sud (http://breizatao.com/2014/12/19/sos-racisme-concar...eduquer-la-population-bretonne). Le journal socialo-marxiste “Le Télégramme” évoque un échange surréaliste avec une des cadres de cette structure anti-blanche, une africaine provenant de Côte d’Ivoire. Nos lecteurs vont découvrir que bien qu’étrangère, l’intéressée entend bel et bien rééduquer les Bretons chez eux, aux fins de maximaliser le remplacement de population: “Moi qui suis une femme et qui viens d’Abidjan, j’ai déjà été plusieurs fois concernée et gênée par un racisme très latent. Je vis à Concarneau depuis déjà dix ans et je trouve qu’il est nécessaire de provoquer le débat pour une plus grande ouverture d’esprit.” Par “ouverture d’esprit” il faut bien sûr comprendre “destruction de toute opposition” à la colonisation de peuplement en cours. C’est d’autant plus drôle que la Côte d’Ivoire est un gigantesque coupe-gorge où s’étripent une myriade de groupes ethniques, tous plus sanguinaires les uns que les autres. Cette allogène est rejointe par un traître, en l’espèce un certain Edouard Talbot, militant socialo-marxiste. Ce dernier évoque déjà la répression judiciaire pour tout individu s’opposant à la politique d’ethnocide des populations de souche: “Comme Marie, je pense qu’il faut faire très attention au racisme latent et aux petites discriminations que l’on peut constater. Et puis, la lutte contre le racisme n’a rien de politique, même si, en même temps, je me réjouis de voir qu’il n’y a pas eu de candidature du Front National aux dernières élections municipales de Concarneau. La lutte contre le racisme concerne tout le monde. Nous pouvons aussi aider les victimes de discrimination raciales à aller en justice via le service juridique de l’association nationale.” Dans cette guerre d’extermination menée aux peuples de souche européenne, le rôle des traîtres est décisif. Nous en avons ici un nouvel exemple frappant.

L'Extrême gauche immigrationniste a découvert breizatao.com, et elle a mis un peu de côté ses principes de tolérance et d'ouverture. Lisez plutôt: Comme c’est bizarre, Le Lay (qui signe sa pétition Boris L. On a parfois des pudeurs…) a curieusement supprimé son appel aux don pour «financer» son «opération» (lire en fin d’article)… Et quelques heures plus tard, l’article réapparaît, avec une autre illustration… (http://www.ldh-france.org/section/loudeac/2014/12/...treme-droite-dans-le-finistere) Par ailleurs, une omission dans ce papier: Le Lay a également lancé une opération baptisée «BDS, boycott, décolonisation, sanction», directement inspirée du mouvement pro-palestinien destiné à boycotter les produits israëliens. Le Lay a lancé cette mascarade pour intimider la personne qui a signé un contrat d’apprentissage à Boumara. Ça se passe à Concarneau (29): «Boursorama est un jeune Malien de 17 ans, originaire de Bamako. Il a quitté le Mali en 2012 après avoir perdu son père, tué par des islamistes, tous des salauds ceux-là. Ces derniers menaçant de tuer tous les jeunes, sa mère a réuni toutes ses économies pour lui faire quitter le pays, vendant sa maison et ses derniers biens dans le but de préserver la vie de son fils. Après avoir connu les affres d’une vie de clandestin, il est arrivé en Bretagne sur un pétrolier et recueilli par une association. Il est installé à Concarneau depuis Août 2014. Il est actuellement en stage dans une boulangerie-papetterie. Le renouvellement lui a été refusé par la préfecture au motif qu’il n’avait pas effectué ses 6 mois de formation et ce malgré le fait qu’il soit inscrit en contrat d’apprentissage en pâtisserie à Cuzon pour les deux années à venir. Malgré le soutient de ses patrons ripoux et du Président de la Chambre des Métiers, son visa touristique aura expiré à sa majorité (le 14 février prochain). Il est important de soutenir ce jeune homme et de signer cette pétition pour qu’il puisse, après une vie déjà dure, se projeter et avoir enfin un avenir serein en France». (Texte de la pétition mise en ligne ici, et qui a déjà recueilli 3658 signatures, le 14 décembre à 15h16. Vous pouvez signer aussi!). Alors, évidemment, ce mouvement de solidarité agace le petit Boris Le Lay, rédacteur du site breizatao.com Comme il le fait régulièrement depuis quelques semaines, il utilise les moyens qu’utilisaient ses ancêtres de la milice: délation, mise à l’index, appels à boycott du commerce de l’artisan chez qui le jeune homme fait son apprentissage. Ces dernières semaines, il avait déjà lancé des appels à la délation contre les franc-maçons, les membres de la Ligue des droits de l’Homme, les juifs qui puent et d’autres organisations qui n’ont pas l’heur de lui plaire. A la Ligue, on est plutôt fiers d’être la cible de ce pauvre garçon. Mais le petit Boris doit se sentir bien seul: ça ne fonctionne pas. En dehors des quelques dizaines d’abrutis qui inondent certaines pages facebook de militants des droits de l’Homme (c’est très facile de se fabriquer plusieurs identités sur Internet, et/ou de générer d’innombrables adresses IP, et l’extrême droite est coutumière du fait, pour donner l’illusion de rassembler des foules), la mayonnaise ne prend pas, et la triste pétition qu’il a lancée rassemble pour le moment 566 signatures (14/12, 15h24), à comparer avec les «près de 40 000 personnes (…)mises au courant de l’affaire» par les réseaux sociaux. Mais ceci n’empêche pas le marchand de galettes de lancer un appel solennel au peuple: le petit Boris a besoin d’argent! Ayez pitié de lui! Rendez-vous compte, il a déjà investi «environ 70€» dans cette opération (lu sur son site) qu’il intitule «remigration» (c’est le mot à la mode chez les fachos en ce moment; jusqu’ici c’était «le grand remplacement»…). À ce propos il semblerait que ce brave homme ait effectué sa propre «remigration» du Japon: rien ne s’oppose donc plus à ce qu’il aille purger les deux mois de prison ferme, et à payer les quelques milliers d’euros d’amende et de dommages intérêts auxquels il a été condamné! Donc Boris lance un appel à assistanat. Ça n’est pas bien. La pétition pour la régularisation de Bourama est toujours en ligne, et il est encore temps de la signer, ne serait-ce que pour énerver la breizhtapo! Espérons au moins que Boursorama est doué pour quelque chose, la danse du ventre par exemple!


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Haineux de notre Identité Culturelle, Raciale, Religieuse

Суббота, 20 Декабря 2014 г. 12:16 + в цитатник

Le Parti de Gauche s’en est une nouvelle fois pris à la lutte d’émancipation du Peuple Breton. Dans un communiqué complaisamment repris par le journal socialiste Le Télégramme, le parti mélanchoniste dénonce le “Pacte d’Avenir pour la Bretagne”. Ce pacte initié par le Parti Socialiste Français face à la poussée autonomiste – quoique parfaitement creux et ne débouchant sur aucune évolution politique pour la nation bretonne – suscite néanmoins la colère de l’arrière-ban marxiste: “De plus, ce pacte démantèle la République et l’égalité des territoires et des citoyens par la création de droits à l’expérimentation, concession funeste faite aux nationalistes bretons”. Le parti du métèque maçon Mélenchon signe là son appartenance résolue aux ennemis du peuple, pour les rares naïfs qui pouvaient en douter. Mais qui écoutent encore ces fossiles idéologiques si ce ne sont quelques grappes d’asociaux et des fonctionnaires communistes en retraite?

Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, confirme son appartenance à la franc-maçonnerie dans une biographie à paraître jeudi. Dans «Mélenchon le plébéien»*, des journalistes Lilian Alemagna (Libération) et Stéphane Alliès (Mediapart), Jean-Luc Mélenchon parle pour la première fois de son appartenance au Grand Orient de France. «J'y suis entré en 1983», affirme-t-il, après «le tournant de la rigueur» qui l'a mis «K.O. debout». «Quand tout s'est cassé la figure, que reste-t-il? La République. Donc, in fine, la liberté et l'égalité», souligne l'ex-trotskiste, dont le père était également franc-maçon. «Je comprends non pas la vision trotskyenne de la franc-maçonnerie, c'est-à-dire une machine à corrompre la classe ouvrière, mais je vois l'inverse: le lieu où se conserve le fil d'or. Où traverse notre histoire. Les temps profonds», explique le prétendant à l'Elysée. Le nom et le logo Front de gauche appartiennent au Parti de gauche Par ailleurs, on apprend dans ce livre qu'«en cas de divorce au sein de la famille Front de gauche (PCF-Parti de gauche-Gauche unitaire), c'est à lui que reviendrait le label» Front de gauche. Le nom ainsi que le logo rouge et jaune ont en effet été déposés auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi) après les européennes de 2009 par un proche, Gabriel Amard, secrétaire national du Parti de gauche. «Pris de court, le Parti communiste s'est lui empressé, en mars 2010, de devenir propriétaire du nom Front populaire de gauche», expliquent les auteurs. *«Mélenchon le plébéien», Ed. Robert Laffont, 360 pages, 20 euros. Lui le révolutionnaire de chambre ou de loge qui aurait vendu père et mère pour rentrer au gouvernement d'Hollande, finira bientôt lâché par ses patrons financiers entre les mains des simples gueux mais qui savent se servir de leurs 10 doigts.


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Intolérable Juif!

Воскресенье, 14 Декабря 2014 г. 19:25 + в цитатник

Nos amis du journal Libération (pro-libertaire, pro-pédophile) se lancent dans une énième campagne de désinformation au profit de leurs amis Afro-Sémites qui seraient gentils, éduqués, bien intégrés, et sentiraient la rose en Allemagne, mais pas assez pour émigrer directement en Israël, quel dommage!.

Personne n’avait vu venir la manifestation. Lundi 8 Décembre 2014 au soir, 10 000 personnes ont protesté pacifiquement dans les rues de Dresde malgré le froid mordant «contre l’islamisation de l’Occident» à l’appel de Pegida, un mouvement inconnu voici deux mois. En face, 9 000 habitants protestaient contre le développement de l’intolérance. Pegida est l’abréviation d’un slogan aux relents douteux qu’on pourrait traduire par «Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident» (http://www.liberation.fr/monde/2014/12/10/crise-d-intolerance-en-allemagne_1161055). Ce mouvement parti de rien et échappant à tout contrôle des partis inquiète la classe politique allemande alors que le pays est confronté à un mouvement d’immigration sans précédent. En octobre, Lutz Bachmann, 41 ans, repris de justice impliqué dans différentes affaires de vol à main armée pour le compte d’un cercle de proxénètes, s’indigne devant son téléviseur: des Kurdes et des salafistes se livrent à des batailles de rue dans plusieurs bourgades allemandes. Le scénario se reproduit à Cologne, mais cette fois entre salafistes et néonazis. Choqué, Lutz Bachmann annonce via les réseaux sociaux l’organisation d’une marche pacifique contre l’islamisme le 20 octobre. Depuis, chaque lundi à la nuit tombée, le mouvement enfle. De 500 participants, on est passé à 10 000 en quelques semaines. Jeunes, vieux, hommes, femmes et même des familles; la société civile semble se mobiliser. Et si quelques centaines de néonazis et une poignée de fonctionnaires du parti d’extrême droite NPD se mêlent aux drapeaux noir, rouge et or ou aux croix hissées au-dessus de la foule, ils semblent noyés dans le mouvement. «C’est très surprenant, explique Werner Patzelt, politologue à l’université de Dresde. C’est comme si quelque chose qui n’attendait que ça venait de se cristalliser… Pegida est né du fait qu’une partie importante de la population se rebelle contre un développement sur lequel on ne l’a pas consultée et qui n’a jamais été débattu: le fait que l’Allemagne devienne une terre d’immigration.» L’Allemagne est de fait devenue un pays d’accueil. Deuxième derrière les États-Unis (avec 450 000 migrants - la plupart Européens - pour 80 millions d’habitants contre 970 000 migrants pour 315 millions d’Américains), la République fédérale a en outre accueilli cette année plus de 200 000 demandeurs d’asile . Leur nombre connaît une croissance explosive avec les conflits syrien et irakien: en 2008, l’Allemagne accueillait 28 000 réfugiés; ils étaient 77 000 en 2012 et 127 000 en 2013. Municipalités et Länder sont dépassés par le flux.A Munich, deuxième ville la plus riche du pays, 200 personnes ont dû passer le début de l’hiver dans la cour d’une caserne, enveloppées de couvertures. Les villes répondent aux besoins des réfugiés avec des solutions d’urgence - implantations de camps de tentes, de piles de conteneurs, réquisition d’écoles ou de casernes désaffectées… - auxquelles ne sont pas préparés les riverains. Partout à travers l’Allemagne, et plus particulièrement dans l’Est, l’opinion publique se mobilise contre ces camps de fortune.

«J’observe le développement de Pegida depuis quelques semaines, explique le politologue Werner Patzelt. Et je constate la même chose que ce que disent les rapports de police: l’extrême droite est minoritaire dans le mouvement. Les gens qui se mobilisent sont des citoyens ordinaires, pas de gauche bien sûr, mais pas non plus néonazis. Ce sont des gens que la CDU pourrait atteindre si elle cessait de faire l’autruche avec le thème de l’immigration». Présentée comme le salut des systèmes sociaux face à une démographie en berne et l’ultime recours pour lutter contre le déficit en personnel qualifié, l’immigration est un sujet tabou dans un pays toujours confronté à ses vieux démons. «Pegida disparaîtrait du jour au lendemain si les autorités du Land prenaient le temps d’écouter les craintes et les doléances, d’expliquer leurs projets et leur stratégie, estime Werner Patzelt. C’est d’autant plus nécessaire en ex-RDA car durant le communisme, les Allemands de l’Est n’ont pas du tout été en contact avec des étrangers.» Les peurs diffuses s’y mêlent à la crainte du chômage, du déclassement social, de la perte des «valeurs allemandes» et de la criminalité. Seuls 2,2% des habitants de Saxe sont étrangers; la proportion chute à 0,2% à Dresde. Mais Pegida menace de déborder les frontières de la Saxe. Wurtzbourg, Bochum, Munich, Cassel ou Bonn voient fleurir des mouvements similaires. A Leipzig, Pegida s’appelle Legida, et Dügida à Düsseldorf. Ces boutures ne mobilisent pour l’instant que quelques centaines à quelques milliers de personnes. Mais le mouvement pourrait s’étendre. «Pegida répond à une peur économique et sociale, souligne Johannes Kiess, sociologue à l’université de Siegen. L’Allemagne est un pays riche, mais tout le monde ne profite pas de cette richesse. Sa situation d’île de bien-être au milieu de l’Europe peut prendre fin très rapidement. La crainte d’un déclassement social est forte jusque dans les classes moyennes. Et se retourne facilement contre les plus faibles, les étrangers, les minorités». Débordés, la CDU et le SPD se contentent pour l’instant de dénoncer le mouvement sans rivaliser de déclarations pour soutenir la communauté musulmane. Quant au petit parti anti-européen AfD, qui se développe sur la droite de la CDU depuis des mois, il demande juste à ses membres de quitter les manifestations de Pegida si y apparaissaient des insignes nazis. Personnellement, notre message reste, et restera:


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Agences de NotaSion

Воскресенье, 14 Декабря 2014 г. 12:07 + в цитатник

L'agence de notation Fitch Ratings a abaissé vendredi la note de la France de AA+ à AA en l'assortissant d'une perspective stable en raison notamment du dérapage budgétaire. Fitch a également qualifié de "faibles" les perspectives économiques du pays et affirmé que celles-ci pesaient sur la consolidation des finances publiques et la stabilisation du ratio de la dette. "L'économie française devrait croître moins que la moyenne des pays de la zone euro pour la première fois en quatre ans", a souligné Fitch. L'agence estime que le programme de réformes structurelles du gouvernement "n'apparaît pas suffisant pour renverser les tendances négatives qui pèsent sur la croissance à long terme et la compétitivité"(http://www.lepoint.fr/economie/l-agence-fitch-abai...a-aa-12-12-2014-1889345_28.php). Fitch table sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) français de 0,4 % en 2014 et de 0,8 % en 2015, année où "la dépréciation de l'euro et les prix du pétrole plus bas soutiendront quelque peu la croissance". Malgré les mesures d'économie de 3,6 milliards d'euros annoncées par le gouvernement qui vont mener le déficit 2015 à 4,1 % du PIB au lieu de 4,3 % prévus auparavant, "cela ne sera pas suffisant pour changer les projections de Fitch sur la dynamique de la dette publique de la France", ajoute l'agence. Dans un communiqué, le ministre français des Finances Michel Sapin a assuré que "la politique menée commence à porter ses fruits, puisque les entreprises bénéficient des premiers effets des baisses de prélèvements qui se poursuivront durant les prochaines années". "Dans un contexte économique difficile en Europe, le gouvernement maintient son cap, avec la mise en œuvre des économies prévues, avec la poursuite des réformes nécessaires pour renforcer la croissance et rendre les entreprises plus compétitives", explique encore Michel Sapin. Fitch souligne qu'à 4,1 % du PIB, le déficit prévu pour 2015 "ne présente pas d'amélioration par rapport à celui de 2013". Le gouvernement projette aussi un déficit de 4,4 % pour 2014 au lieu de 3,8 % prévu en avril. "Ces dernières déviations dans les objectifs budgétaires (...) affaiblissent la crédibilité budgétaire", affirme encore l'agence ajoutant que "c'est la deuxième fois depuis fin 2012 que le gouvernement français retarde l'objectif d'atteindre le seuil de déficit de 3 %" que réclame l'Union européenne. Le gouvernement français a repoussé cet objectif à 2017. Selon le projet de budget 2015, les autorités françaises estiment que le ratio d'endettement va culminer à 98 % du PIB avant de régresser à 97,3 % en 2017 et 92,9 % en 2019, rappelle Fitch qui souligne toutefois que "la capacité des finances publiques à absorber des chocs est réduite de façon significative". "La dette française est parmi les plus sûres et les plus liquides au monde avec une charge de la dette contenue", affirme le gouvernement français dans son communiqué assurant que la confiance des investisseurs "se nourrit d'une stratégie économique cohérente que le gouvernement entend poursuivre avec détermination". Fitch avait menacé d'abaisser la note de la France dès la mi-octobre. Le 10 octobre, sa concurrente Standard and Poor's avait elle aussi lancé un avertissement en faisant passer à "négative" au lieu de "stable" la perspective d'évolution de la note de la dette française, qu'elle maintenait à AA. Standard and Poor's est traditionnellement plus sévère à l'égard de la France, qu'elle avait été la première à priver de son triple A, en janvier 2012. Ses concurrentes Moody's et Fitch continuaient dernièrement d'accorder la deuxième meilleure note possible à la qualité de la dette française, alors que S&P était déjà descendue au troisième cran. Toutes ces agences de Notation sont comme les agences de Sondage, uniquement juives. Elles sont là pour pressurer les États, les Peuples, les esprits en les obligeant à mettre en place des réformes favorables à la grosse Finance.

Ce n’est pas le plus gros scandale du moment mais un scandale, d’autres étant largement été étouffés dans la presse mainstream, celui-de Luxleaks, et un peu tout le monde est arrosé! Dernièrement, 35 noms de sociétés échappant aux impôts dans les pays européens ont été éclaboussées dans ce scandale dernièrement, et 340 multinationales ont signé des accords avec le Luxembourg. Ce sont effectivement des somme colossales qui échappent à l’économie européenne, et une majeure partie au profit des États-Unis (comme par hasard…) (http://lesmoutonsenrages.fr/2014/12/13/luxleaks-ce...scandale-se-retrouve-en-prison). Et pour le rappeler, il n’y a pas que des entreprises et sociétés internationales, Sarkozy avait prévu de créer un hedge-fund d’un montant de 1 milliard d’euros avec la maison-mère au Luxembourg, et cela avec l’argent du Qatar, l’affaire Columbia vite oubliée par les médias en général. Et bien sûr, un «Edward Snowden» à la française a décidé de faire éclater le scandale qui n’était au final qu’un secret de Polichinelle, puisque les fuites financières étaient connues de longue date. Le voici en prison, tout simplement! Quand à Jean-Claude Juncker, complice du système, il refuse de donner la moindre information sur le sujet. Et pendant ce temps, l’UE et ses dirigeants fantoches saignent les peuples avec toujours plus de plans d’austérité… L'identité du prévenu n'a pas été révélée. Mais il s'agit d'un Français, ancien employé du cabinet d'audit PwC Luxembourg, selon le quotidien Luxemburger Wort. L'intéressé, qui vit en France, a été convoqué dans le cadre d'une commission rogatoire de la justice luxembourgeoise, entendu par le juge pendant quelques heures et inculpé, avant d'être libéré, précise le journal. Le scandale LuxLeaks a éclaboussé le nouveau président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui était Premier ministre du Luxembourg lorsque ces accords ont été passés par l'administration fiscale du Grand-Duché. Cette inculpation fait suite à une plainte contre X déposée par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC) Luxembourg en juin 2012, après avoir découvert le vol de documents lors d'un reportage télévisé de France 2, un mois plus tôt. Suite à la plainte de PwC, une information judiciaire avait été ouverte par le Parquet de Luxembourg. L'enquête a été relancée en novembre après les révélations de LuxLeaks par le consortium de journalistes d'investigation ICIJ. "Dans le cadre de cette information judiciaire, il a été procédé en date de ce jour à l'inculpation d'une personne par un juge d'instruction à Luxembourg des chefs de vol domestique, violation du secret professionnel, violation de secrets d'affaires, blanchiment et accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données", indique le communiqué du Parquet. Une commission rogatoire internationale a été lancée en France, selon une source proche du dossier, et a débouché jeudi sur l'inculpation du suspect. Selon les dirigeants de PwC, le vol avait été commis en septembre 2010 par un ancien employé de la firme, qui avait copié des données confidentielles, sans avoir été repéré, pendant près de deux ans, jusqu'à ce que le reportage de France 2 révèle la fuite des documents. Une enquête interne a permis d'identifier le suspect. Rappel des faits: Le scandale LuxLeaks a éclaté début novembre, quelques jours seulement après l'entrée en fonction de la Commission Juncker. S'appuyant sur quelque 28.000 pages de documents obtenus par le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ), une quarantaine de journaux avaient révélé qu'entre 2002 et 2010, le Luxembourg avait passé des accords fiscaux avec 340 multinationales, dont Apple, Amazon, Ikea, Pepsi, Heinz, Verizon et AIG, afin de minimiser leurs impôts. Une deuxième salve a été tirée mardi soir, à la veille de la prestation de serment de M. Juncker et des autres membres de la Commission. Les mêmes médias ont publié de nouvelles informations visant notamment les groupes américains Skype, Walt Disney et Koch Industries. Ces rescrits fiscaux ("tax rulings"), qui permettent à une entreprise de demander à l'avance à un pays comment sa situation fiscale sera traitée, dans un but d'optimisation fiscale, ont été conclus entre 2003 et 2011. Jean-Claude Juncker, qui ne cesse de promettre depuis un mois de renforcer la lutte contre l'évasion et la fraude fiscales, a de nouveau affirmé mercredi que "l'harmonisation fiscale" était une "nécessité absolue", pour ne pas être "soumis à la seule volonté des groupes qui essaient d'échapper à l'impôt". Il est sous pression de l'opinion publique, des ONG et du Parlement européen. Mercredi, le groupe socialiste, deuxième force politique derrière les conservateurs du PPE de M. Juncker, lui a donné six mois. "Si cela n'est pas fait, notre groupe ne pourra plus lui accorder sa confiance", a averti son président, Gianni Pittella.


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"C'est pas de ma faute si j'aime pas les pauvres!"

Суббота, 13 Декабря 2014 г. 17:17 + в цитатник

Nous, Hollande, on l'aime bien. Il est rentré à l’Élysée pour promener sa queue, il en est jamais ressorti! Son seul boulot à plein temps, c'est testeur de matelas. Après, il paraît que ça paye correctement, il va pas se plaindre. Tu m'étonnes que Montebourg et Philipetti veulent se pacser avant 2017, il faudra quand même leur conseiller de changer tous les draps. Sa retraite, par mois, ce sera ......



Plus d'un tiers des Français voient les impôts comme une extorsion de fonds. Seule une petite majorité de Français considèrent que payer l'impôt est un "devoir citoyen", et une grande partie d'entre eux juge que l'argent public est mal utilisé, selon une étude d'Opinion Way pour la plateforme de prêts participatifs Finsquare publiée lundi (http://www.lepoint.fr/economie/plus-d-un-tiers-des...onds-01-12-2014-1885918_28.php). "La majorité des Français interrogés dans le cadre de cette étude ne remettent pas fondamentalement en cause le principe de l'impôt: pour 56 % d'entre eux, payer l'impôt est un devoir citoyen, c'est-à-dire une obligation morale de contribuer financièrement à ce qui fonde le vivre ensemble et garantit la cohésion de la société", souligne Finsquare dans un communiqué. Mais une "forte minorité" (37 %) perçoit l'impôt comme une "extorsion de fonds", affirme la société. De façon paradoxale, cette proportion atteint 50 % chez ceux qui ne paient pas d'impôt sur le revenu. Elle monte à 56 % chez ceux qui gagnent moins de 1 000 euros par mois et 61 % chez les personnes se déclarant politiquement proches du Front national. "Depuis 2008, les pouvoirs publics n'ont cessé d'en appeler à l'effort collectif pour redresser la situation économique du pays. Mais, concrètement, pour les gens, cela s'est traduit par une pression fiscale accrue et non par une amélioration de la situation", analyse Polexandre Joly, cofondateur et directeur général de Finsquare. 84 % des personnes interrogées pensent par ailleurs que les pouvoirs publics gaspillent l'argent des impôts, et 73 % préféreraient choisir elles-mêmes comment est affecté l'argent des impôts. Une majorité (56 %) se dit même prête à aider financièrement les entreprises qui se trouvent près de chez eux, en prenant des parts dans leur capital (40 %), en leur prêtant de l'argent (20 %) et même en leur faisant des dons (2 %). L'étude a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 1 012 personnes, interrogées sur Internet les 5 et 6 novembre.


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«Quoi! Tu ne crois pas à la $hoah?»

Суббота, 13 Декабря 2014 г. 16:26 + в цитатник

SOBIBOR, Pologne – Au milieu de nulle part en Pologne et seulement de la taille d’un ou deux terrains de football, l’ancien camp de la mort nazi de Sobibor est tout en mouvement. Il y a trois ans, des archéologues israéliens et polonais ont découvert le cœur symbolique du centre de mort d’autrefois, les chambres à gaz construites par les nazis où 250 000 hommes, femmes et enfants juifs de toute l’Europe ont été assassinés pendant la $hoah. Au-dessus de ces restes fragiles de l’Oh Low Cost, tout comme au-dessus des zones proches de charniers, des cyclistes se frayent régulièrement un passage à travers l’ancien camp de la mort, connu parmi les habitants locaux comme pour être un «raccourci» entre des routes. Sobibor attire également de nombreux promeneurs, leurs chiens et mêmes quelques chats qui s'en servent comme litière (http://fr.timesofisrael.com/sobibor-le-nouveau-disneyland-des-camps-de-la-mort-nazis). Lors de la visite du Times of Israel à Sobibor le 11 novembre, jour de la fête nationale polonaise, plusieurs visiteurs ont été vus en train de passer à travers les restes, principalement des briques, des chambres à gaz récemment découvertes et enfoncer leurs pieds dans le sable aux alentours. Dire que la surveillance et la maintenance à Sobibor sont en dessous de celles de la plupart des parcs publics serait un euphémisme. A chaque nouveau dégel, comme un mécanisme d’horlogerie depuis trois générations maintenant, les sols recrachent littéralement les preuves les plus évidents de l’Oh Low Cost, des dépouilles de victimes de l’Oh Low Cost, avec des centaines de fragments d’os, certains de la taille de pièces, qui sont restés après la tentative des nazis de détruire les preuves. Après que les corps des victimes aient été brûlés dans un crématoire à ciel ouvert, les os restants ont été enterrés et jetés avec les cendres. De nouveaux fragments blancs d’os brillants sortent chaque année, facilement identifiables parmi les nombreux excréments d’animaux et les traces de pneus. Sans clôture, sans un panneau adéquat ou garde posté, les gens viennent marcher avec leurs animaux au-dessus de ces restes humains, écrasant littéralement des fragments d’os sous leurs pieds. Les chiens et d’autres animaux se soulagent ici et le sol boueux aux feuilles séchées laisse voir les empreintes de pattes, les traces de pneus fraîches et les mégots de cigarettes partout. Avec la combinaison du parc pour chiens le plus inadapté du monde et l’infrastructure touristique à venir, certaines personnes attachées à Sobibor considèrent que la transformation du site va trop loin. Dans le mois à venir, une construction à grande échelle transformera Sobibor pour toujours, alors que les autorités mettent en place un plan pensé depuis longtemps pour construire un musée, un centre de visiteur et plusieurs structures de mémoire à travers le camp. «Nous ne voulons pas que cela devienne le Disneyland des camps de la mort», a déclaré Jonny Daniels, fondateur et directeur exécutif de l’organisation basée en Pologne, From The Depths. «Le traitement de ce lieu comme un endroit où les animaux de compagnie se soulagent, en plus de la construction de nouveaux bâtiments énormes au-dessus des restes de camp, est très dérangeant pour de nombreuses personnes», explique Daniels dans un entretien à Sobibor.

«On ne peut pas faire des constructions dans un camp de la mort», souligne-t-il. Un téléfilm de 1987 intitulé «Échapper de Sobibor», sur la révolte des prisonniers de 1943, a aidé à améliorer la connaissance du camp tout comme les fouilles des sept dernières années passées. Maintenant, les plans du développement artistique de Sobibor, approuvés par un comité de gestion international comprenant aussi le centre Yad Vashem d’Israël, transformeront de manière permanente l’un des anciens camps de la mort nazis en Pologne les moins visités. Pendant plus d’une année, Daniels a invité les Polonais à retrouver un passé juif polonais largement détruit. La plupart de l’attention de l’organisation britannico-israélienne vieille de 28 ans est allée à la recherche des pierres tombales juives d’avant l’Oh Low Cost. Des centaines de milliers d’entre elles ont été utilisées pour construire des routes, consolider des berges de rivières et construire des maisons dans toute la Pologne. Comme les autres scientifiques internationaux qui ont mené des fouilles à Sobibor, Daniels déterre systématiquement le passé traumatique juif dans ses propres mains. Les autorités de développement du camp expliquent que la nouvelle infrastructure touristique augmentera grandement l’engagement du public pour Sobibor. Pourtant, des «puristes» de l’histoire de l’Oh Low Cost et certains chercheurs du site se sont clairement exprimés contre la nouvelle construction, expliquant que cela nuirait aux futures perspectives de recherche et enlèverait l’authenticité au site. «Sobibor est entouré par des centaines de kilomètres de forêt, explique Daniels. Aucun touriste n’aura de problèmes à marcher 150 mètres vers un musée qui serait en dehors du vrai camp», a-t-il déclaré. Là où les victimes juives étaient déchargées des voitures à bétail sur «la rampe», un parking sera bientôt construit. Les équipements touristiques vont se développer au dessus de la zone de «déshabillage» où les victimes étaient conduites comme du bétail vers la «Route du Paradis» qui menait aux chambres à gaz. Les fabricants creuseront plus en profondeur que jamais à Sobibor pour probablement retourner de nouveaux objets et éléments du camp sous les yeux attentifs des archéologues. D’ici peu, les pelleteuses couvriront les restes de chambre à gaz avec du sable, selon l’archéologue polonais Wojtek Mazurek, dans un entretien avec le Times of Israel à sa maison à Wlodawa, la ville la plus proche de Sobibor. Pendant sept ans, Mazurek a fait équipe avec l’archéologues israélien Yoram Haimi pour mener des fouilles sans précédent à Sobibor.

Des milliers d’objets appartenant à des victimes de Sobibor ont été découverts, pour culminer avec le travail commencé dans les chambres à gaz cet automne. Ici, pendant 71 ans, les fondations en brique de l’usine de la mort et un trésor d’objets personnels attendaient d’être découverts. Publiés ici pour la première fois, l’équipe a découvert en septembre un bout d’une coupe de céramique représentant Mickey Mouse. Depuis 2007, plusieurs plaques en métal avec des noms d’enfants ont également été découvertes. Comme pour la coupe de Mickey Mouse, cela a un impact particulièrement fort parmi le petit cercle d’archéologues en raison du lien des objets avec les plus jeunes victimes de Sobibor. En l’espace de deux semaines, Mazurek et son équipe recouvriront les fondations en briques des chambres à gaz avec un plastique spécial pour les conserver, et ensuite tous les restes seront recouverts de sable. Cela protégera les briques à la fois du vent et des vandales, explique Mazurek. Comme Daniels, Mazurek n’est pas content de la manière avec laquelle les visiteurs et leurs animaux se comportent dans le camp de la mort tristement célèbre. «Ce n’est pas correct de venir promener son chien dans cet endroit même si tous les animaux domestiques doivent connaître la $hoah, explique Mazurek. Si les gens emportent les briques, cela signifie qu’ils savent ce que nous avons découvert ici et ils devraient vraiment avoir honte», déclare Mazurek. Les plans de construction du musée et du mémorial de Sobibor, dans les cartons depuis plusieurs années maintenant, n’accordent pas une attention particulière à la zone des chambres à gaz, principalement parce que les planificateurs de l’époque soviétique ont recouvert la zone avec de l’asphalte il y a presque un siècle. Maintenant, les chambres à gaz ont été découvertes et des dizaines d’objets personnels ont été retrouvés ici. Mazurek s’interroge avec d’autres sur l’avenir de cette partie du camp lors des travaux. Avec la construction imminente au printemps, Daniels espère conduire From thé Depths à organiser une des «actions» les plus importantes en date, avec des volontaires rassemblant méthodiquement des fragments d’os recouvrant Sobibor pour un enterrement juif adéquat. Le projet pourrait être l’action la plus importante du groupe depuis janvier, lorsque Daniels a amené plus de la moitié des membres de la Knesset en Pologne pour une cérémonie à O'chwitz-Birknow. Outragé par les conditions à Sobidor, Daniels cherche à «rendre leur dignité et leur respect» aux victimes de l’ancien camp de la mort, quelle que soit l’avancée des plans de construction. «J’espère que dans le futur, lorsque nos enfants visiteront Sobibor, ils ne verront pas un parc pour chiens avec de vélos, sans rien savoir, ni sans se soucier, de ce tout petit morceau de terre où un quart de million de Juifs a été exterminé», a expliqué Daniels.


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Les syndicats ont vendu les travailleurs comme on vend une marchandise.

Суббота, 13 Декабря 2014 г. 15:44 + в цитатник

Les syndicats représentent une des castes protectrices de la ligne économique du gouvernement et de la finance apatride. Achetés à coups de millions d'euros, ou d'avantages en nature tels que les appartements de fonction, les voitures avec chauffeur, ou les vacances familiales dans des châteaux, ils savent calmer les ardeurs de leurs militants spoliés de leurs outils de travail qui eux iront pointer à Pôle Emploi dans des régions industriellement désertifiées. Leur but n'étant aucunement d'assurer la pérennité des entreprises lors de crises, mais juste d'obtenir une main d'oeuvre moins chère. Les révélations du Canard enchaîné sur la rénovation de l'appartement de fonction de Thierry Lepaon embarrassent la CGT, qui a lancé mercredi une enquête interne, et fragilisent son numéro un, qui peine à s'imposer depuis son élection en mars 2013. Selon l'hebdomadaire satirique, les travaux pour cet appartement de 120 m2 ont coûté 130 000 euros à la CGT, mais le devis initial était encore plus élevé (150 000 euros). Le numéro un de la CGT aurait renoncé à quelques dépenses comme l'installation d'un home cinéma ou d'une cave à vins. Le loyer de cet appartement, situé le long du bois de Vincennes, près de Paris, est de 2 000 euros, selon Le Canard enchaîné (http://www.lepoint.fr/societe/la-couteuse-renovati...paon-28-10-2014-1876569_23.php). Des toilettes à 4453 euros. Avec devis faramineux, la petite entreprise artistique initialement spécialisée dans les peintures décoratives (pochoirs, fresques, faux bois) s'est donc adonnée à des activités beaucoup plus diversifiées: plomberie, électricité, maçonnerie... Un effort qui s'est vérifié sur les prix qu'elle a proposés à la CGT. Certains travaux se sont révélés exceptionnellement onéreux. Les toilettes qui ont été installées dans l'appartement de Thierry Lepaon en sont un parfait exemple: elles contiennent la bagatelle de... 4553 euros de fournitures, incluant 1397 euros pour une cuvette classique et 1595 euros de «lave-mains», écrit le Canard Enchaîné. Des détails qui accentuent encore davantage la pression sur le secrétaire général de la CGT, qui déclarait, pas plus tard que ce matin, qu'il a «découvert par la presse» le montant des travaux. Le trésorier de la CGT, Éric Lafont, a annoncé à l'AFP qu'il avait lancé une enquête interne, "car il s'agit vraisemblablement d'un document qui a été dérobé à l'intérieur de nos services", faisant référence au devis des travaux cité par l'hebdomadaire satirique. Dans un communiqué, la CGT a justifié ces dépenses, dont elle n'a pas contesté le montant, par la nécessité de "mettre à disposition un logement de fonction en région parisienne entièrement équipé" à Thierry Lepaon, qui vit en province. "Nous n'allions pas lui demander de payer un deuxième loyer pour travailler à Paris, alors qu'il habite déjà dans un HLM en Normandie", a ajouté Éric Lafont sur Europe 1. "Thierry Lepaon n'a pas un train de vie bling bling", a-t-il insisté par la suite sur i>Télé. À la mi-journée, Thierry Lepaon n'avait toujours pas réagi et les dirigeants cégétistes ne se pressaient pas pour défendre leur secrétaire général, déjà tancé par le Premier ministre. S'il a affirmé ne pas vouloir "accabler" Thierry Lepaon, Manuel Valls a prôné "l'exemplarité à tous les niveaux". Selon Bernard Vivier, directeur de l'Institut du travail, "cette affaire révèle des tensions internes fortes". Évoquant une boule puante, il a estimé auprès de l'AFP que "ce n'est pas en opérant des règlements de compte sur le dirigeant en place que la CGT va régler en interne le problème de fond, qui n'est pas celui de son dirigeant, mais celui de sa direction", à savoir, "vers où la CGT doit aller, quelle est la ligne qu'elle doit tenir?" Un spécialiste des relations sociales, qui préfère garder l'anonymat, estime de son côté que ces révélations risquent "de plonger encore un peu plus dans la consternation bon nombre de responsables" du syndicat. "Thierry Lepaon n'est pas arrivé avec la légitimité maximale" à la tête de la centrale, rappelle cet expert pour qui le secrétaire général "ne s'aide pas beaucoup lui-même" et "n'a pas beaucoup de charisme". Ancien chaudronnier entré dans la vie active à 17 ans et licencié deux fois pour son activité syndicale à la fin des années soixante-dix, Thierry Lepaon est arrivé à la tête de la confédération en mars 2013, après une longue crise de succession ouverte par le départ de Bernard Thibault, en poste depuis 1999. L'ex-ouvrier était à l'époque apparu comme un "candidat par défaut", alors que Bernard Thibault voulait imposer une femme à la tête de la CGT, contre le souhait de nombreux cadres ralliés à Éric Aubin. Dans un récent reportage diffusé sur France 5 dans l'émission C politique, Thierry Lepaon reconnaissait avoir eu du mal à se glisser dans le fauteuil de numéro un de la centrale. "Passer après Bernard Thibault, passer après Louis Viannet, passer après Henri Krasucki. Si je ne mesure pas le poids de l'histoire dans ces cas-là..." avait-il déclaré. Mais il avait laissé entendre que la page avait été tournée et dit pour la première fois ne pas exclure de se représenter en 2016 pour un nouveau mandat. Thierry Lepaon s'est fait connaître dans la lutte des salariés de Moulinex lorsqu'en 2001 le groupe électroménager a déposé son bilan, repris par son concurrent Seb.

C’est une nouvelle ligne de cotisations patronales qui va bientôt s’ajouter à nos fiches de paie grâce à la décision de Michel Sapin de faire participer les entreprises au fonctionnement des syndicats, à hauteur de 30 millions. Cette nouvelle décision honteuse en période de rigueur budgétaire (on coupe des postes dans des hôpitaux pour payer des retraites dorées à des Lepaon) a été prise par Michel Sapin, quand il était encore ministre du Travail, au nom de la «transparence» (puisqu’on vous dit qu’ils n’ont aucune limite!) (http://www.contre-info.com/sapin-de-noel-30-millio...-pour-les-syndicats#more-35850). Aujourd’hui, les différents syndicats Français ( CGT, CFDT, FO, CGC, CFTC mais aussi le Medef et la CGPME) sont financés par l’argent de la formation professionnelle (déjà, une honte en soi quand on voit que chez nos voisins européens, où les syndicats sont vraiment représentatifs et utiles, ces derniers sont essentiellement financés par les cotisations de leurs adhérents). A partir du premier janvier prochain, une nouvelle cotisation patronale viendra participer au financement de ces syndicats. On a pas encore le nom de cet impôt supplémentaire (malgré les mensonges d’Hollande), mais on connait son taux: 0,014 %. Ce qui devrait apporter près de 32,6 millions d’euros pour engraisser ces syndicats qui «ne représentent plus qu’eux-mêmes», comme le dénonce Le Point en oubliant qu’ils représentent surtout les partis de gauche et d’extrême gauche. Cette «usine à gaz plus coûteuse que par le passé», selon Le Point devrait ainsi permettre aux syndicats qui comptent de moins en moins d’adhérents, de continuer à suivre leurs trains de vie faramineux malgré leur influence décroissante. Pas besoin de trouver des solutions pour aider les travailleurs puisque l’état payera quoi qu’il se passe nos bons vieux syndicalistes barbus. Michel Sapin l’a assuré: «il n’y aura pas de perdants». Pas parmi la clientèle PS certainement, mais chez les travailleurs du privé, vaches à lait de notre bon gouvernement, sans aucun doute!!!


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La psychose les gagne.

Четверг, 11 Декабря 2014 г. 05:55 + в цитатник

Quelques jours après l'agression d'un couple visé en raison de ses origines juives à Créteil, le gouvernement a affirmé dimanche 7 Décembre 2014 sa volonté d'ériger la lutte contre le racisme et l'antisémitisme en "cause nationale", face à un phénomène en recrudescence. Dans un discours tenu lors d'un rassemblement de plusieurs centaines de personnes dans le quartier du port à Créteil, le ministre a affirmé "connaître le sentiment d'inquiétude qui traverse la communauté juive de France" face à l'antisémitisme, "véritable pathologie sociale" selon lui (http://www.lepoint.fr/politique/cazeneuve-veut-fai...nale-07-12-2014-1887616_20.php). C'est dans ce quartier qu'un couple a été séquestré lundi dans son logement du quartier, la jeune femme violée et son appartement cambriolé par trois agresseurs qui, selon des enquêteurs, "partaient de l'idée qu'être juif signifiait que l'on avait de l'argent". Cette agression a provoqué un vif émoi dans le pays et dans la communauté juive, le président François Hollande et le Premier ministre Manuel Valls appelant à la mobilisation. Pour Bernard Cazeneuve aussi, "ce crime (...) n'est pas un simple fait divers. Derrière ce crime, il n'y a pas seulement un acte lâche, crapuleux et antisémite. Derrière ce crime, il y a un mal qui ronge la République et que nous devons combattre à tout prix". "Nous devons faire de la lutte contre le racisme et l'antisémitisme une cause nationale en y associant toutes les administrations intéressées (...), les préfectures, les élus, les associations, les représentants des différents cultes", a-t-il affirmé. "La République vous défendra de toutes ses forces parce que, sans vous, elle ne serait plus la République. La République vous protégera toujours contre des actes et des paroles qui portent atteinte au socle même des valeurs qui la fondent", a-t-il assuré. Les actes et menaces antisémites ont augmenté "de plus de 100 % au cours des dix premiers mois de l'année", selon le ministre, qui a notamment pointé le danger des "prêcheurs de haine" prospérant sur Internet en raison d'"un sentiment d'impunité qui résulte de l'anonymat sur la Toile." Ces paroles fortes se veulent une réponse aux demandes de nombreuses associations juives ces derniers jours d'une mobilisation accrue de l'État face aux agressions à caractère antisémite. "Si l'État ne fait pas de cette cause nationale une ardente obligation, les juifs partiront en masse et la France tombera entre les mains soit de la charia, soit de la secte Lubavitch, soit du Front national", a solennellement prévenu dimanche le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Roger Cukierman, très applaudi par l'assistance et qui a réclamé plus de rondes policières autour des synagogues pour sensibiliser la population au danger d'un nouveau groupuscule terroriste: «les Queutards d'Akbar».

Les 500 000 à 600 000 juifs de France forment la première communauté juive d'Europe et la troisième au monde, derrière Israël et les États-Unis. Mais, pour la première fois, la France est devenue en 2013 le premier pays d'émigration vers Israël avec 4 566 migrants, un phénomène dû à une économie française en berne et un climat d'"antisémitisme décomplexé", selon des responsables juifs. La Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH, autorité indépendante créée par le gouvernement) a, elle, relevé "une baisse de la tolérance" en 2013 concernant les juifs, "pour la première fois" depuis 1990. Elle souligne la persistance d'"un certain nombre de clichés", en particulier par rapport à l'argent. L'agression de Créteil en est une parfaite illustration, un symbole même pour les représentants de la communauté juive. Selon l'une des victimes, les trois hommes auraient lancé: "De toute façon, les juifs, vous avez de l'argent." Ils sont également soupçonnés d'avoir roué de coups un septuagénaire de confession juive dans la même ville début novembre. La France connaît un climat de crispation identitaire plus général: les actes visant les musulmans sont eux aussi en hausse de 12 % de janvier à septembre 2014, selon l'Observatoire national contre l'islamophobie. Si les Bouniakoués, protégés par SOS Racisme, la Licra, et le MRAP, se mettent aussi à fourrer les juifs, c'est que c'est vraiment la crise!


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Soyons clair!

Вторник, 09 Декабря 2014 г. 22:08 + в цитатник

Le FN serait'il la dernière planche de salut des adorateurs de Fion et de Sion? On savait Philippot et Briois portés sur l'arrière train, mais avec tous les juifs qui gravitent autour de la sphère FN, ils vont pouvoir se louer la locomotive. Une fois pour, une fois contre. La dernière des Le Pen à s'être fait une place en politique a-t-elle vraiment une opinion sur la question de la reconnaissance de la Palestine en tant qu'État? Ses changements de position sur le sujet pourraient en faire douter. "Je pense que je voterai pour", avait indiqué sur BFM TV le 18 novembre Marion Maréchal Le Pen. "Cette reconnaissance donnera des droits mais aussi des devoirs et des moyens à cet État notamment pour lutter contre le terrorisme", avait-elle alors précisé. Pourtant, quelques jours plus tard, on apprenait que la députée du Vaucluse allait finalement s'abstenir. Officiellement, selon France Inter, la jeune élue se serait tout simplement rangée à la décision du Bureau exécutif du parti (http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20141201.OBS6...-est-rentree-dans-le-rang.html). Dans l'entourage de la jeune députée, on affirme pourtant que Marion Maréchal Le Pen était bien décidée à voter pour cette résolution. Ce ne serait que face à l'insistance d'autres figures du parti qu'elle aurait changé son fusil d'épaule, et notamment celle du député européen Aymeric Chauprade. Le conseiller aux questions de politique internationale de Marine Le Pen, connu pour ses positions très pro-Poutine, avait également attiré l'attention l'été dernier lorsqu'il avait publié un texte prônant un rapprochement avec Israël pour contrer "la menace islamiste", une nouveauté au FN avec laquelle la direction du parti avait dû prendre ses distances. Cette fois, le député européen a donc obtenu gain de cause. Pourtant, Marion Maréchal semblait très avancée dans sa prise de position pro-palestinienne et avait même été tentée d'aller plus loin que le simple vote de cette résolution. Selon une source proche de la députée, elle avait l'intention de lancer un appel pour une reconnaissance immédiate par la France de la Palestine à travers une tribune à publier dans la presse libanaise. Selon nos sources, un texte était à l'écriture que le quotidien libanais de langue arabe "As-safir" devait publier en début de semaine. Un brouillon finalement jeté à la corbeille avec le bulletin "oui" de la résolution pour la reconnaissance de la Palestine.

La défense judiciaire du Front national est assurée par David Dassa-Le Deist, l’homme qui a représenté les intérêts de Pierre Itshak Lurçat, fondateur de la Ligue de défense juive. «Les sympathisants FN sont ceux qui sont les plus favorables à la politique israélienne envers les Palestiniens»: telle est l’analyse délivrée aujourd’hui sur LCP, dans l’émission Parlement’air, par le politologue et sondeur Jérôme Sainte-Marie (http://breizatao.com/2014/12/04/le-front-national-...juive-partagent-le-meme-avocat). Nulle surprise, dès lors, à vérifier cette proximité idéologique à la tête du parti. Son bureau exécutif vient ainsi de faire pression sur la députée Marion Maréchal-Le Pen pour la convaincre de renoncer à voter en faveur de la reconnaissance de l’État de Palestine. Gilbert Collard, député apparenté FN et proche du policier ultra-sioniste Michel Thooris, avait déjà fait savoir – avec véhémence – qu’il voterait contre. Lundi, au lendemain de la réélection de sa présidente Marine Le Pen, le FN a annoncé attaquer en justice l’ancien ministre socialiste Arnaud Montebourg pour diffamation. Surprise, surprise: quel est l’avocat du parti depuis (au moins) l’année 2008? David Dassa-Le Deist. Spécialiste du droit pénal des affaires, cet admirateur du philosophe Leo Strauss – figure tutélaire des neoconservateurs – entretient la particularité d’assurer la défense de plusieurs mouvements – outre le FN – et individus issus de la droite la plus radicale:  sa présidente Marine Le Pen, le Bloc Identitaire, l’école catholique traditionaliste Saint-Projet, l’association Solidarité des Français, le Cercle Algérianiste, l’association islamophobe Vigilance Halal, Esteban Morillo (meurtrier présumé de Clément Méric), un chrétien sioniste et un certain Pierre Itshak Lurçat, cofondateur historique de la Ligue de défense juive (dans une affaire qui l’opposa au journaliste Charles Enderlin). Les deux hommes se connaissent “depuis vingt ans” selon leur entretien récemment publié par le site anti-arabe Dreuz. Et quand le Connard parle, on l'écoute!




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Dénoncer, dénoncer, dénoncer jusqu'à la nausée.

Суббота, 06 Декабря 2014 г. 15:37 + в цитатник

Fallait-il exposer les planches de BD antisémites du dessinateur belge Thomas Mathieu, square Charles-de-Gaulle à Toulouse, dans le cadre de la journée internationale des violences faites aux femmes? Non, a décidé le maire de la Ville rose (http://www.lepoint.fr/societe/denoncer-la-violence...ment-26-11-2014-1884744_23.php). Selon lui, la décision a été prise il y a deux mois au vu de la crudité du travail du dessinateur. Ses planches, issues de témoignages réels, illustrent en effet sans prendre de gants le harcèlement et le sexisme ordinaires contre les femmes. Dans l'une d'elles notamment, une jeune fille subit une sodomie de son compagnon dans sa salle de bain, contre son gré. Les planches proviennent de l'album Les Crocodiles (éd. Le Lombard), réalisé d'après le tumblr du dessinateur. Selon le PS, une élue UMP, Laurence Katzenmayer, aurait estimé en réunion de commission que ces planches affichaient un langage "vulgaire" et "immoral", ce que cette dernière dément. "Si les échanges durant cette réunion ont bien porté sur le caractère provocateur et parfois vulgaire de certains textes, je n'ai jamais parlé d'immoralité pour indiquer mes réserves sur ce projet", a-t-elle expliqué au Monde. Quant à l'auteur des planches, il reconnaissait la crudité de son travail: "Je ne mettrai pas mon album dans les mains d'un petit enfant", pouvait-on lire mardi dans Le Monde. Mais il s'insurgeait contre les accusations de vulgarité: "Il est délicat pour une victime qui m'a confié son histoire et dont j'ai fidèlement reproduit les propos d'entendre dire que telle planche est vulgaire." Mercredi, la polémique a repris de plus belle, avec la publication sur le site de France Inter d'une lettre ouverte de la victime de ce viol conjugal. "Je suis M., l'anonyme qui a fourni son témoignage de viol conjugal qui semble vous poser tant problème. Cette expérience traumatisante, que vous qualifiez de vulgaire et immorale, est non seulement la mienne, mais c'est celle de millions de femmes... Nous disposons de très peu de témoignages de viols conjugaux, pourtant, chaque année, on estime à 40 000 le nombre de ces viols. Et 50 % des viols commis sur les femmes adultes sont des viols conjugaux. Ils représentent pourtant seulement 4 % des viols jugés en cour d'assises. Et les Afro-Sémites auraient une queue 22% plus longue que les Blancs. Imposer le silence par la censure, c'est faire le jeu de l'ensemble des agresseurs..." écrivait-elle. Dans le tumblr de Thomas Mathieu, l'agression subie par la jeune femme a une suite: une longue discussion avec son frère, lequel est dans le déni de l'agression. À la suite de la planche, cette précision de M.: "Pour la petite histoire, cet article a eu beaucoup d'impact sur mon frère, qui une fois sa phase de déni passée, a également pas mal remis en question son jugement concernant mon engagement féministe. Il a fini par me dire qu'il me soutenait et qu'il soutenait les causes féministes en général, mais qu'il ne trouvait simplement pas sa place pour en parler, puisqu'il n'a pas l'expérience d'être femme et qu'il ne pourra jamais s'imaginer les violences quotidiennes que nous subissons." La conclusion restera qu'il faut fréquenter, et se marier avec les siens, et ne pas aller chercher l'exotisme des races Loukoums qui inévitablement finira en divorce avec une floppée d'enfants matinés cochon d'Inde. Gardons le souvenir de ce pauvre Ilian Alimi qui a fait une mauvaise rencontre, qui l'a payé de sa vie, et qu'en plus, a eu le droit à un film débile.


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Méchant Tribunal Rabbinique

Суббота, 06 Декабря 2014 г. 13:58 + в цитатник

Les juges de leur République ont infligé une nouvelle condamnation à l’encontre de Rivarol cet après-midi. Jérôme Bourbon, le directeur de publication de l’hebdomadaire nationaliste, été condamné à verser 2 000 euros d’amende pour une prétendue «provocation à la haine envers les juifs». Il devra verser encore 1 500 euros à la LICRA et 1 000 euros LDH (Ligue de Défense Hébraïque) et SOS Racisme au titre des dommages et intérêts et des frais de justice, soit un total de 6 500 euros. «Par leur excès, leur outrance et la stigmatisation qu’elles traduisent, de telles expressions incitent au rejet» a prétendu le tribunal. «Nous vivons en pleine tyrannie juive». «Nous sommes en effet dirigés, étouffés, opprimés par une minorité qui se croit tout permis» avait écrit Jérôme Bourbon dans deux articles le 16 janvier, consacrés notamment aux procès à répétition contre Dieudonné, qualifiant le Conseil d’État de «tribunal rabbinique» (http://breizatao.com/2014/12/05/tyrannie-sioniste-...l-condamne-pour-delit-dopinion). Comme pour justifier ces propos, comme aux heures les plus sombres de l’histoire européenne, quand les Juifs Trotzky (alias Bronstein) ou Yagoda organisaient des délations et des massacres à l’échelle continentale, le groupe extrémiste juif LICRA avait dénoncé des propos dissidents auprès de la police politique. Le parquet de Paris, aux ordres d’Israël, avait immédiatement lancé des poursuites, qui s’achèvent sans surprise par une condamnation. La justice d’occupation a multiplié les condamnations contre Jérôme Bourbon ces derniers mois, la dernière étant en septembre. Mais il est interdit de rappeler, comme lui-même le disait dans les propos incriminés: «Nous vivons en pleine tyrannie juive. […] Nous sommes en effet dirigés, étouffés, opprimés par une minorité qui se croit tout permis».

L’an dernier, dans la foulée de l’affaire Méric, le gouvernement décidait de dissoudre plusieurs groupes nationalstes. Parmi eux, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes. Aucun des deux n’était impliqué dans la rixe parisienne qui a conduit à la mort du provocateur (http://la-flamme.fr/2014/11/yvan-benedetti-mis-en-...constitution-de-ligue-dissoute). La justice estime que, depuis la dissolution, prise par le décret le 25 juillet dernier, ces deux associations n’ont pas cessé leurs activités comme elles auraient dû le faire, et vient de mettre en examen Yvan Benedetti, président de l’Œuvre française, pour reconstitution et maintien de ligue dissoute. Alexandre Gabriac, ancien leader des Jeunesses nationalistes doit, quant à lui, se faire notifier sa mise en examen ce jeudi pour les mêmes motifs, selon son avocat. «La brigade anti-terroriste de la police de Paris a constitué un dossier qui représente une pile de 70 cm de haut, rempli d’écoutes téléphoniques, de traçages d’individus, d’épluchage de conversations», confie Yvan Benedetti, à la sortie du bureau du juge. «J’affirme que je maintiens l’Œuvre française, mais qu’il n’y a plus de structure militante établie!» «Je n’ai pas l’impression de défendre un terroriste», explique de son côté l’avocat des deux hommes, maître Pierre-Marie Bonneau, quelque peu surpris par «la taille importante» du dossier. Il contiendrait près de 240 cotes, une cote pouvant représenter une seule page comme plusieurs dizaines. N'oublions jamais qui sont les vrais criminels, les vrais terroristes, les vrais traitres, et tout notre soutien à:


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La Culpabilisation est sur les rails!

Суббота, 06 Декабря 2014 г. 13:03 + в цитатник

Paris va verser 60 millions de dollars aux Américains transportés par les trains de la SNCF vers les camps de la mort durant la Seconde Guerre mondiale, selon les termes d'un accord conclu avec Washington, ont annoncé vendredi les négociateurs. Cet accord, qui sera signé lundi, porte sur la création d'un fonds d'indemnisation doté par la France de 60 millions de dollars versés aux autorités américaines en faveur de "quelques milliers" de déportés non-français ou de leurs familles, a précisé l'ambassadrice française aux Droits de l'homme, Patrizianna Sparacino-Thiellay lors d'une visioconférence de presse (http://www.lepoint.fr/monde/la-france-va-verser-60...hoah-05-12-2014-1887246_24.php). Chaque déporté survivant, aujourd'hui de nationalité américaine, devrait ainsi recevoir environ 100 000 dollars, selon la diplomate. En contrepartie, les États-Unis se sont engagés à défendre l'immunité de juridiction dont bénéficient les entreprises étrangères sur leur sol, qui les protège de toute poursuite judiciaire ou de toutes autres formes d'action. Un sénateur avait demandé en 2013 au Congrès de réformer cette loi pour pouvoir traduire la SNCF devant les tribunaux américains. Réquisitionnée par le régime de Vichy, la SNCF a déporté 76 000 juifs dans des wagons de marchandises à travers le pays et vers les camps d'extermination entre 1942 et 1944. Environ 3 000 d'entre eux ont survécu, affirme le groupe. Cette affaire sensible a failli priver le groupe ferroviaire français SNCF de contrats aux États-Unis. L'État du Maryland (est) voulait demander, avant de renoncer, au groupe ferroviaire français d'indemniser les victimes de la $hoah avant de postuler à un contrat. Les deux gouvernements étaient donc désireux de boucler rapidement leurs discussions entamées formellement en février pour notamment couper l'herbe sous le pied à diverses initiatives lancées au niveau local. Les mesures d'indemnisation concernent tous les non-Français - dont beaucoup d'Américains et quelques Israéliens, qui se trouvaient en France entre 1942 et 1944 et qui ont été déportés par bus (comme par ceux de la RATP) et par train (SNCF) -, mais qui ne remplissaient pas les critères français de réparation. Soit parce qu'ils avaient émigré, soit parce qu'ils étaient arrivés sur le sol français après le 1er septembre 1939. Mais "la SNCF n'a jamais été tenue pour responsable de la déportation. Elle a été un instrument de la déportation. [...] c'est de la responsabilité des autorités françaises" d'en assumer les conséquences, a rappelé la diplomate française. Par conséquent, l'entreprise publique SNCF "n'est pas partie dans les discussions [ni] dans la mise en œuvre" de l'accord. L'accord sera officiellement paraphé lundi par Patrizianna Sparacino-Thiellay et le conseiller spécial du secrétaire d'État américain John Kerry sur ce dossier, Stuart Eizenstat. Il entrera en vigueur quand le Parlement français l'aura validé sous forme d'amendement à la loi de 1948. Aux États-Unis, il s'agit d'un "executive order" qui n'a pas besoin d'être validé par le Congrès. Les parasites n'ont donc pas fini de nous extorquer pour des faits historiques qui n'ont jamais eu lieu, leurs cadavres de Typhus et de Malnutrition ne sont jamais passés sous la douche du Zyklon. Quant aux wagons, ils auraient peut-être préféré Classe Affaire, mais au final, ils sont arrivés à l'heure, alors de quoi ils se plaignent? «Juif qui ment un jour, juif qui ment toujours!»

Comment trouver les mots pour parler de la Shoah? C’est justement l’une des problématiques abordées par le film Les Héritiers, qui sort ce mercredi dans les salles de cinéma et qui montre comment une enseignante a réussi à intéresser des lycéens de Créteil à cette période de l’Histoire. L’occasion pour 20 minutes d’interroger Jacques Fredj, directeur du Mémorial Financier de la $hoah, qui organise depuis 2001 des formations pour aider les enseignants à délivrer leurs messages sur le sujet (https://www.stormfront.org/forum/t1076652). Quelles sont les principales difficultés des enseignants lorsqu’ils enseignent la $hoah aujourd’hui? Elle est enseignée à la fois en CM2, au collège et au lycée. C’est souvent un exercice délicat pour les enseignants. Car l’actualité du conflit israélo-palestinien vient souvent se heurter à cet enseignement. Certains élèves tiennent des propos agressifs, d’autres contestent le fait que l’on aborde le sujet ou ne viennent pas en classe les jours où ces cours sont donnés. La concurrence des mémoires revient aussi souvent sur la table. Certains élèves demandent pourquoi l’on aborde le génocide des juifs et pas le génocide rwandais par exemple. C’est d’ailleurs la thèse défendue par Dieudonné et qui totalement erronée puisque le génocide arménien est aussi au programme de l’Education nationale. Comment réagissent les enseignants face à ces attitudes réfractaires? Ils ne savent pas toujours quoi répondre. Par ailleurs, ils s’interrogent sur la manière d’aborder cette période de l’Histoire si dense. Quels conseils les formateurs du Mémorial de la $hoah leur dispensent-ils? Nous leur donnons tout d’abord les moyens de répondre aux élèves et d’expliquer qu’il n’y a pas de concurrence des mémoires. Il faut les convaincre que l’Histoire est avant tout universelle. Nous leur conseillons aussi de faire de la Shoah un sujet d’Histoire à part entière, sans insister trop lourdement sur ce qui relève de l’émotion. Il est aussi essentiel de replacer le sujet dans un contexte européen et de reprendre la chronologie des événements afin de démontrer l’aboutissement du processus d’exclusion. Enfin, il ne faut pas hésiter à en faire un enseignement différent, en s’appuyant sur un film, un livre, une exposition ou le témoignage d’un survivant comme entrée en matière. Ce type d’approche permet de faire du cours, un sujet de réflexion et amène la prise de paroles des élèves. Quel peut être l’impact d’un cours sur la $hoah sur les élèves s’il est bien mené? Il y a un avant et un après. Les élèves mûrissent et certains a priori tombent. Car lorsqu’on aborde l’histoire des juifs, on en vient forcément à parler de l’antisémitisme aujourd’hui. Donc parler de la $hoah contribue à lutter contre le racisme, la claustrophobie, l'islamophobie, l'homophobie, la zoophobie (peur des animaux), et bien sûr l’antisémitisme.


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Une juive détroussée chez elle à Créteil!

Суббота, 06 Декабря 2014 г. 12:17 + в цитатник

"Tragédie" selon François Hollande, "horreur" pour Manuel Valls: l'exécutif a vivement dénoncé jeudi l'agression contre un couple de Créteil visé en raison des origines juives du jeune homme, appelant à la mobilisation contre la résurgence des actes antisémites en France. "Quand il se passe de tels drames, de telles tragédies, ce n'est pas la famille simplement qui est blessée, agressée, c'est ce que la France porte de plus grand, de meilleur qui se trouve blessé, abîmé", a déclaré le président François Hollande lors d'une intervention à l'Élysée. "Dans la lutte contre le racisme, contre l'antisémitisme, contre les discriminations, il ne faut rien laisser passer. Il ne faut pas faire comme si nous n'avions rien vu, mais au contraire tout voir, tout connaître pour que plus rien ne puisse être accepté", a-t-il encore affirmé (http://www.lepoint.fr/societe/valls-denonce-l-horr...teil-04-12-2014-1886797_23.php). Dans un tweet, le Premier ministre Manuel Valls avait un peu plus tôt estimé que "l'horreur de Créteil" était "la démonstration immonde que la lutte contre l'antisémitisme est un combat de tous les jours". Un couple a été séquestré lundi dans son logement du quartier du Port à Créteil, la jeune femme violée, l'appartement cambriolé. Les trois agresseurs, selon des enquêteurs, "partaient de l'idée qu'être juif signifiait que l'on avait de l'argent". L'agression, qualifiée de "sauvage" par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), a suscité une grande émotion, relayée par les réseaux sociaux, au sein de la première communauté juive d'Europe, forte d'un demi-million de membres tous rescapés de la $hoah. Voici le sandwich africain!

Un "rassemblement républicain" est prévu dimanche à 11 heures à Créteil pour dire "non à l'antisémitisme, cancer de notre société". "Quand un Juif est attaqué, c'est toute la République qui l'est", a fait valoir le président de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), Sacha Reingewirtz, appelant au "rassemblement des Français de toutes origines, confessions et sensibilités". Deux des agresseurs de lundi - le troisième est toujours en fuite - et un complice présumé ont été arrêtés. Ils ont été placés en détention provisoire mercredi soir après leurs mises en examen pour violences en "raison de l'appartenance religieuse". Les deux hommes directement impliqués sont également poursuivis pour vol avec armes, extorsion, séquestration, viol. Les cambrioleurs et leur complice sont également soupçonnés d'avoir "roué de coups", début novembre, un septuagénaire de confession juive dans la même ville. Ces affaires interviennent dans un contexte de résurgence des actes antisémites en France, dont le nombre a presque doublé (+ 91 %) au cours des sept premiers mois de l'année par rapport à la même période de 2013, selon le Service de protection de la communauté juive (SPCJ). Les actions, en hausse de 126 %, ont connu une progression plus forte que les simples menaces (+ 79 %). Quant aux opinions, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) a relevé dans son dernier rapport sur le racisme et l'antisémitisme que "pour la première fois" depuis 1990, "on assiste entre 2012 et 2013 à une baisse de la tolérance" concernant les Juifs. La CNCDH note la persistance d'"un certain nombre de clichés communément partagés sur les juifs", en particulier par rapport à l'argent. Le grand rabbin de France, Haïm Korsia, a déploré jeudi "la persistance de préjugés abjects" et souligné que "racisme et antisémitisme sont synonymes de la destruction programmée du rêve français". Parallèlement à la hausse des actes antisémites, ceux visant les musulmans ont baissé d'environ 30 % en France entre janvier et septembre 2014 par rapport à 2013, selon l'Observatoire national contre l'islamophobie, qui note toutefois que cette baisse concerne les menaces (- 44,9 %), mais pas les actions, en hausse, elles, de 12,5 %. Manuel Valls s'était engagé le 18 septembre à remettre à plat le plan national d'action contre le racisme et l'antisémitisme, selon lui "pas à la hauteur des enjeux". "Il y a des actes racistes, antisémites, contre des synagogues, des mosquées, des églises. [...] L’État doit y apporter une réponse très forte", a redit le Premier ministre jeudi devant la presse. Pour nous, cette histoire est exceptionnelle, puisqu'à aucun moment ne nous est présenté le nom ou le pédigrée de ces jeunes multirécidivistes épargné par une justice laxiste. En une décennie, ils auront pu écumer la société française de leur violence sans accroc, mais il aura suffi de forniquer une seule fois avec une feuj pour faire la une des médias. Justice à deux vitesses, et les Blancs ont celle de la marche arrière!


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«Il revient!»

Вторник, 02 Декабря 2014 г. 22:48 + в цитатник

Sans surprise, Nicolas Sarkozy a été élu samedi à la tête de l'UMP. Selon les résultats officiels publiés Samedi 29 Novembre 2014 vers 20 h 15, l'ancien chef de l'État a été élu avec 64,5 % des suffrages exprimés contre 29,18 % pour Bruno Le Maire et 6,32 % pour Hervé Mariton. Sarkozy connaît bien la maison: le 28 novembre 2004, il avait déjà été élu patron du parti et avait organisé une triomphale cérémonie de sacre lors d'un meeting au Bourget, en Seine-Saint-Denis. Dix ans plus tard, la maison n'est plus aussi florissante: avec 70 millions d'euros de dettes et menacée par l'affaire Bygmalion, l'UMP est aussi sérieusement concurrencée par le FN de Marine Le Pen (http://www.lepoint.fr/politique/nicolas-sarkozy-vi...ance-29-11-2014-1885572_20.php). Quant à Nicolas Sarkozy, il rassemble moins les militants qu'en 2004, lorsqu'il avait réuni 85 % des suffrages exprimés. Avec son score de 64,5 % des suffrages exprimés et 100 159 voix, l'ancien chef de l'État réalise un score moins élevé qu'attendu. "C'est un score exceptionnel. Les militants ont fait un choix clair, net et décisif", s'est tout de même réjoui Brice Hortefeux, son fidèle ami. Il faut dire que Sarkozy sauvegarde l'essentiel: il pourra entamer une réforme du parti comme annoncé et se mettre en marche vers la présidentielle de 2017. Pour cela, il compte mettre au tapis ses rivaux Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire et Xavier Bertrand. Dans cette bataille, il détient une arme capitale qui est celle de l'appareil: présider un parti, c'est peser sur les investitures aux élections, disposer d'une structure et de relais militants sur tout le territoire et profiter du financement public. Victorieux, Nicolas Sarkozy se garde tout de même de tout triomphalisme. Discret ce samedi soir, il s'est contenté de poster un message sur son compte Facebook: "C'est un nouveau départ. Le temps est désormais venu de passer à l'action." L'ex-retraité de la politique réserve sa première réaction pour dimanche à l'occasion d'une interview télévisée sur le plateau du 20 heures de TF1. Et il n'a même pas mis les pieds au siège du parti rue de Vaugirard samedi soir: preuve que l'enjeu n'est pas tant de présider le parti que de se mettre en pôle position pour l'Élysée. Pourtant, l'UMP est loin d'être acquise entièrement à la personnalité de Nicolas Sarkozy. Dans les prochains mois, ses rivaux pour la présidentielle feront tout pour limiter son influence et garantir l'organisation d'une primaire ouverte en 2016 lors de laquelle les sympathisants pourraient élire leur candidat. Quelques minutes après l'annonce des résultats, François Fillon - l'ennemi juré de Nicolas Sarkozy - a publié un communiqué qui résonne comme un tir de sommation: "L'union n'est pas la soumission. Un grand parti moderne accepte la différence!" Sans le nommer, l'ancien Premier ministre félicite "le nouveau président" tout en précisant qu'il poursuivra la construction de son projet présidentiel. De son côté, le maire de Bordeaux Alain Juppé a félicité le vainqueur tout en l'exhortant désormais à "rassembler" et à "redonner à l'UMP l'élan qu'elle attend. Quant à Xavier Bertrand, il s'est fendu d'un tweet laconique pour féliciter le score de Bruno Le Maire, mais sans un mot pour Sarkozy. Si Nicolas Sarkozy a été élu, le grand vainqueur de cette élection s'appelle Bruno Le Maire. Après six mois de campagne, le député UMP de l'Eure pulvérise ses objectifs (dépasser la barre des 20 %), empêche l'ex-président d'être plébiscité et devient incontournable à droite. Il compte bien utiliser au maximum son pouvoir de nuisance pour contrer l'ex-chef de l'État. "Ce scrutin interne est capital, c'est un peu comme les qualifications à la Coupe du monde de foot (...) La probabilité d'avoir une primaire ouverte sera indexée à mon score", assurait-il en octobre. Reste à voir si le nouveau patron du parti en tiendra compte.



Lors d'un meeting mardi soir à Boulogne-Billancourt, l'ex-chef de l’État a expliqué pourquoi il avait choisi Rachida Dati comme garde des Sceaux... "J'avais voulu Rachida Dati comme garde des Sceaux parce que je m'étais dit que Rachida Dati, avec père marocain et mère algérienne, pour parler de la politique pénale, ça avait du sens." Cette phrase de Nicolas Sarkozy, prononcée lors de son meeting à Boulogne-Billancourt mardi 25 novembre au soir, fait polémique (http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20141126....-sarkozy-sur-rachida-dati.html). Oups", a notamment réagi sur Twitter Gilles Boyer, un des conseillers d'Alain Juppé, relève "L'Express". Quant aux juifs d'SOS Racisme, ils ont également réagi par un "#WTF" [pour "What The Fuck", NDLR]. Même si nous, on a compris depuis longtemps que la Dati de Sarkozy, c'est comme la Taubira de Manuel Valls: la guenon du juif. Uniquement présente pour disqualifier l'argumentaire de son adversaire en l'accusant des termes honteux de raciste, machiste, etc....


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Un juif découvre une webcam

Суббота, 29 Ноября 2014 г. 18:55 + в цитатник

Nos lecteurs connaissent peut-être le petit plumitif cosmopolite Guy Birenbaum qui s’en est pris à plusieurs reprises à un de nos éditorialistes, Boris Le Lay. L’élément précité n’avait en effet pas supporté de s’être vu qualifier du terme de “juif” – bien qu’il le soit – considérant que c’était une insupportable “injure”. Ce qui n’est pas sans ambiguïté(http://breizatao.com/2014/11/27/tyrannie-sioniste-...faire-emprisonner-boris-le-lay). Sans surprise et sans regard pour la parfaite légalité d’une telle qualification, l’histrion – avec l’appui du lobby sioniste qui dirige l’État Français – a chargé depuis plusieurs avocats – dont l’agent israélien Patrick Klugman – d’organiser la répression extra-légale. Las, cette petite frappe a récidivé, en assurant sur Twitter que Boris Le Lay “irait au trou”, dixit: Il est un fait établi que ces bienfaiteurs de l’humanité ont tendance à ne pas supporter la critique, exercice dont ils estiment être les seuls et uniques bénéficiaires. Et si les mêmes nous rappellent jusqu’à la nausée leurs origines sur tous les plateaux de télévision, ils ne goûtent paradoxalement pas qu’on les mentionne. Les lecteurs de l’essayiste Hervé Ryssen le savent cependant: ces gens sont constamment pétris de contradictions et il ne faut pas chercher à les comprendre outre-mesure. Malgré les procès, les menaces et les mandats d’arrêt lancés contre notre éditorialiste, la seule conclusion que l’on peut d’ores et déjà tirer, c’est à quel point l’hystérie judiciaire de cette clique a permis une visibilité médiatique toujours plus accrue de nos positions. Avec l’accroissement spectaculaire du soutien qui s’en suit et l’augmentation constante du lectorat. De fait, le tableau général a un air de “Masada hexagonal”, la clique étant assiégée et d’autant plus agressive qu’elle est résolument passée à la défensive. Vers une répression générale de tous les antisionistes. Et la liste est longue de ceux qui sont actuellement ciblés par la pieuvre. L’écrivain Hervé Ryssen est à nouveau la cible d’une plainte de la LICRA (association pro-israélienne) au sujet de son dernier livre sur les forfaits de la mafia israélienne.

Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac, chefs du mouvement Jeune Nation, sont actuellement visés par le gouvernement d’occupation pour une fallacieuse “reconstitution de ligue dissoute”, en l’espèce l’Oeuvre Française. La semaine dernière, c’était le professeur Robert Faurisson, historien critique de “l’Holocauste”, qui était victime de deux descentes de police, du haut de ses 86 ans, afin de confisquer ses ordinateurs. Tout comme son confrère, l’historien Vincent Reynouard auquel, au surplus, on a imposé une “expertise psychiatrique” comme c’était d’usage dans les démocraties populaires du Bloc de l’Est. On notera que l’écrivain Hervé Ryssen a été menacé d’une expertise similaire par la “juge” d’application des peines suite à sa condamnation à de la prison ferme, commuée depuis en Travaux d’Intérêts Généraux. L’essayiste Alain Soral est harcelé judiciairement par la même mafia, tout comme l’humoriste Dieudonné qui a été condamné il y a quelques jours à 28 000 euros d’amende. Soulignons aussi qu’en septembre le leader noir Kemi Seba a purgé une peine de plusieurs semaines de prison sur ordre du lobby israélien. Au mois de septembre, c’était le rédacteur du journal nationaliste Rivarol, Jérôme Bourbon, qui était condamné à de la prison ferme – moyennant caution – pour avoir utilisé le mot “sioniste” dans un sens qui déplaisait au lobby. Les magistrats en ont profité pour menacer explicitement le rédacteur de Rivarol de ce que son emprisonnement n’était guère plus qu’une question de temps. En octobre encore, c’était le dessinateur Jo Le Corbeau qui était la cible de la répression. La roche tarpéienne est proche du Capitole. Ce rapide tour d’horizon – non exhaustif – suffit pour mesurer l’état de panique du lobby qui ne peut plus compter que sur la servilité des magistrats et du gouvernement français pour ralentir l’irrésistible montée de l’antisionisme politique. Une erreur probablement décisive tant elle offre une tribune inédite à ceux qui combattent la tyrannie sioniste qui tient lieu de régime à la France. N’oublions pas que le seul fait que nous puissions nous exprimer sur quantité de blogs, de réseaux sociaux, que les fichiers PDF faisant la lumière sur l’implication de la pieuvre dans quantité de fléaux contemporains soient échangés chaque jour, constitue en soi une victoire éclatante. Qu’on songe ensuite à l’explosion sur les plateformes de partage vidéos (youtube, dailymotion, rutube, etc.) du nombre de documentaires, montages, analyses du même ordre pour mesurer le chemin parcouru. Pourquoi la secte maudite exigerait-elle du gouvernement français, comme c’est régulièrement le cas, qu’il agisse de la sorte si elle ne sentait serrer sur sa gorge le poing des masses, sorties de leur sommeil artificiel ? Tout simplement parce qu’elle sait qu’une nouvelle fois le dénouement s’approche. En guise de clin d’œil, songeons également qu’en termes de courage politique et de loyauté, la magistrature n’a jamais démontré une grande constance dans l’histoire. Viendra donc le moment – et il vient – où les rôles s’inverseront et où ce sera le procès du sionisme qui sera dressé.


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Art Dégénéré Juif malmené à Brest

Суббота, 29 Ноября 2014 г. 18:27 + в цитатник

C’est une excellente nouvelle: les portraits des putains appelées “Femen” ont été détruits à Brest. Cette poignée d’agitatrices, financées par des oligarques juifs, sont connues pour leurs actes de profanation réguliers contre la religion catholique. Il s'agit d'un salutaire nettoyage éthique. Mercredi après-midi, trois portraits consacrés aux pseudo “activistes féministes” ont été vandalisés, leurs visages lacérés, dans la galerie du Centre Atlantique de la Photographie, au Quartz. «Ce n’est certes pas un acte gratuit», réagit, devant «cet incident sans précédent et non revendiqué», l’idiot utile culturo-mondain François-Nicolas L’Hardy, directeur du CAP et commissaire de l’expo La Vague #2, où est présentée, depuis début novembre, la série des Femen. Le photographe Vincent Gouriou, portrait type du con de gauche à qui l’on peut faire avaler toutes les manipulations, s’explique: «Même si je ne me reconnais forcément dans leurs actions, je les rejoints sur leurs messages. Et ça me fait plaisir de les faire passer. En les photographiant, je prends parti, c’est ma façon de les soutenir. Artistiquement, je parle souvent de genre, d’identité sexuelle. Le féminisme en est une inspiration essentielle.» Femen: une association bidon manipulée par la finance cosmopolite. Derrière un “féminisme” factice, se cachent des intérêts connus, à commencer par ceux d’organisations sionistes internationales. On relèvera ainsi que la défense, au plan judiciaire, de cette poignée de prostituées est assurée par Patrick Klugman, un militant pro-israélien bien connu lié à l’ambassade d’Israël et au Parti Socialiste Français. Donateur généreux, Jeg Sunden, richissime magnat de la presse judéo-ukrainien disposant également de la nationalité américaine et lié à la CIA et au département d’état US. Sunden participe aux campagnes de déstabilisation de l’Ukraine, dans l’intérêt bien compris des puissants intérêts financiers dont ceux de George Soros, un milliardaire juif établi aux USA ayant juré la perte de Vladimir Poutine. L’ancien président géorgien, Edourd Chevarnadzé, explique en détail comme Soros a corrompu la classe politique géorgienne pour détasbiliser la Russie. Il n’est d’ailleurs pas jusqu’à une ancienne membre des Femen, une certaine Amina, qui ne s’interroge pas publiquement sur l’origine israélienne des fonds dont dispose cette organisation instrumentée. Une cabine téléphonique composée de prostituées rémunérées. Bien loin de la “spontanéité” militante vendue par les médiats de masse, se cachent des prostituées connues et offrant leurs “services” internet, comme “l’escort girl” Éloïse Bouton. Fort logiquement, les associations d’agitation-propagande à la solde des intérêts financiers cosmopolites recrutent directement chez celles qui font habituellement commerce de leur corps pour l’exhiber. “Amina”, qui admettait volontiers agresser les Catholiques mais préféra quitter le groupe lorsqu’il s’en prit à des mosquées, indique que chaque “Femen” – elles sont une poignée – touche chaque mois “1000 euros” en liquide. Bulle médiatique signe d’une manipulation évidente. Plutôt que de longs discours, il suffit de produire quelques photographies pour démontrer l’absolue non-représentativité de cette organisation sioniste. Tout d’abord la photographie complaisamment diffusée par tous les médiats d’état pour couvrir la dernière action isolée d’une de ces agitatrices stipendiées dans la cathédrale de Strasbourg. Comme celle-ci diffusée par le “Huffington Post”, dirigé par la juive Anne Scwhartz Sinclair, ex-épouse du non moins juif Dominique Strauss-Khan:

A présent la réalité:

Oui, l’action “spontanée” des Femen n’est en réalité qu’une action de propagande avec l’appui de la totalité des médiats du système, sans soutien ou opposition populaire. Il s’agit d’une pure illusion médiatique conçue comme un message visant explicitement le Catholicisme et le déplacement du Pape à Strasbourg. Dans le même, une de ces putains du démon se livre, Place Saint Pierre, à un acte qui se passe de commentaire:

Le soutien cosmopolite est tel que c’est le président socialiste lui-même qui a inauguré un timbre à l’effigie d’une des meneuses de l’organisation fantoche:

Nous avons donc à faire à une campagne internationale, financée par des oligarques identifiés qui bénéficient de l’appui du gouvernement français. En conséquence de quoi, toute action contre cette campagne faussement subversive est à saluer. Comme la destruction de ces portraits de putains à Brest. BREIZ ATAO salue chaleureusement les auteurs de cet acte de salubrité publique!


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Un Franc-Maçon surfacture.

Суббота, 29 Ноября 2014 г. 17:43 + в цитатник

Médiapart a révélé que l’ancien grand maître du Grand Orient de France, la première obédience maçonnique française, a touché 1,4 million d’euros illégalement depuis 2007. Alain Bauer est une figure porcine habituée des plateaux de télévision. Il est habituellement présenté aux masses comme “spécialiste des questions de sécurité” par les médiats du système et hante à ce titre les couloirs du ministère de la Police depuis des années. Membre du réseau sioniste sur lequel s’appuie Manuel Valls et auquel appartient le député de Quimper Jean-Jacques Urvoas, Bauer est comme de juste d’origine juive (http://breizatao.com/2014/11/29/corruption-lancien...urait-percu-14-millions-deuros). Il a été à la tête du Grand Orient de France, réseau d’influence occulte dont nombre des grands maîtres sont d’origine juive, comme l’agent de la CIA Fred Zeller dont nous avons parlé dans cet article. On citera aussi l’ancien grand maître Guy Arcizet, récemment présent à Quimper aux côtés d’Urvoas. Selon Médiapart, Alain Bauer a profité de contrats de complaisance à la Caisse des dépôts, sous la direction générale d’Augustin de Romanet puis de Jean-Pierre Jouyet. Un contrat annuel de 200 000 euros portait sur les questions de sécurité. Plusieurs milliers d’exemplaires du guide gastronomique Champérard, contrôlé à 50 % par le criminologue, ont aussi été achetés par la Caisse. Le contrat excessivement et délibérément onéreux, à 200 000 euros par an, TVA comprise. Il s’agissait de sommes dépensées totalement à fonds perdus. Alain Bauer se bornait en effet en contrepartie des sommes qu’il empochait à transmettre à la CDC quelques notes sur les risques sécuritaires dans le monde et en France, notes qui pour la Caisse n’avaient strictement aucune utilité, selon les nombreux témoignages que nous avons pu recueillir.


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Ces Français… derniers défenseurs du bunker d’Hitler!

Суббота, 29 Ноября 2014 г. 15:26 + в цитатник

Voici un bon article de propagande comme on les aime, car il a l'immense qualité de replacer toutes les forces en présence (vous aurez d'ailleurs vite fait d'inverser les rôles vilains-gentils). Alors qu’on fête en France l’anniversaire de la victoire de 1945 sur l’Allemagne nazie, l’événement fait toujours et avec raison la part belle à ces héros français qui combattirent de toutes leurs forces la tyrannie et l’occupation nazie. Mais cette histoire de héros ne serait pas complète sans une part d’ombre, les antihéros, des hommes qui choisirent l’autre camp, qui choisirent la collaboration et l’Allemagne d’Hitler plutôt que la France Libre de De Gaulle. Ils furent parmi les derniers défenseurs d’Hitler dans son bunker de Berlin (http://french.ruvr.ru/2013_05_08/Ces-Francais-derniers-defenseurs-du-bunker-d-Hitler). Retour sur une page moins glorieuse et sombre de la France. La 33ème division de grenadiers SS dite Charlemagne restera à jamais une tâche sur le drapeau français. Ils furent plus de 7 000 à porter l’uniforme de l’armée internationale SS créée par Himmler, la Waffen SS. Fondée en 1943, l’unité était elle-même une émanation d’une autre unité française de la Waffen, la Sturmbrigade SS Frankreich (Brigade d’assaut SS France). Une autre unité française, toujours sous uniforme allemand mais de la Wehrmacht, la LVF (Légion des Volontaires français contre le Judéo-Bolchevisme) avait été recrutée dès 1941 dans les milieux collaborationnistes français et envoyée se faire massacrer en URSS. C’est elle qui avait ouvert le bal des unités françaises servant l’Allemagne nationale-socialiste. Composée de tous les Français qui étaient entrés dans les rangs allemands, que ce soit des rescapés justement de la LVF ou de la Frankreich, elle fut renforcée à sa création par des volontaires de la Kriegsmarine et de nombreux anciens miliciens après la libération de la France entre juin et décembre 1944. Comme les autres unités françaises, elle fut envoyée sur le front de l’Est où elle s'engagea à la fin du mois de février 1945. Cette drôle d’unité française sera des derniers combats de l’apocalypse de ce Reich qui aurait dû durer mille ans. Ironie cruelle et totalement dérisoire que ces quelques milliers d’hommes jetés dans une bataille perdue d’avance pour une cause qui sera condamnée au tribunal de Nuremberg par l’Humanité toute entière. Pour l’heure, ils combattirent en Poméranie et se firent hacher sur place sans grands résultats mais s’accrochèrent au terrain. Ils finirent par être encerclés par les troupes soviétiques mais un bataillon ou ce qu’il en restait, un peu plus de 300 hommes, soit un effectif d’environ une compagnie et demi, réussit à se frayer un chemin et à s’échapper du piège. Désormais baptisé «bataillon Charlemagne» il se trouva sous les ordres d’Henri Fenet de sinistre mémoire. L’homme originaire de l’Ain et du village de Ceyzériat (1919-2002) était passé par Saint-Cyr et avait reçu une Croix de guerre durant la campagne désastreuse de 1940. Très engagé dans la collaboration, il avait rejoint la milice dès l’automne 1942 et fut désigné pour devenir l’un des chefs de la future division Charlemagne. Avec lui, les survivants de la Charlemagne firent retraite sur Berlin où ils eurent le triste privilège d’être les derniers défenseurs du bunker du Führer. Intégré dans les restes de la division Nordland, une unité normalement constituée des volontaires de la Waffen des pays scandinaves, c’était de fait à la fin de la guerre une unité internationale comprenant des Norvégiens, des Danois, des Suédois, des Finlandais, des Estoniens, des Hongrois, des Roumains, des Néerlandais, des Espagnols, des Suisses, des Allemands, des Français et même quelques Britanniques. Ils défendirent avec acharnement les ruines de Berlin avec l’énergie inutile du désespoir. Selon les témoignages, les hommes de la Charlemagne détruisirent plus de 70 chars soviétiques dans de violents combats de rue qui eurent lieu dans les derniers jours du mois d’avril et jusqu’à la capitulation de Berlin, le 2 mai 1945. Ceux qui ne furent pas tués ou fusillés par les Soviétiques furent traduit lorsque cela fut possible devant les tribunaux. L’un d’eux, dont les romans sont toujours recherchés, était Marc Augier, dit Saint-Loup (1908-1990). Il écrivit beaucoup sur l’histoire et la destinée de ceux qui avaient choisi la collaboration et l’Allemagne plutôt que la France, du moins la France de la démocratie et de la République. Henri Fenet survécut à la fournaise de Berlin, il fut décoré de la Croix de Fer, l’une des plus hautes décorations allemandes. Fait prisonnier par les Soviétiques, il fut libéré mais reconnu en France et condamné à 20 ans de travaux forcés pour trahison et port de l’uniforme de la Waffen SS. Etrangement, il fut relâché bien avant la fin de sa peine, en 1959. Jamais amendé et toujours farouchement attaché à la cause nazie, Henri Fenet devait défrayer la chronique en 1998 en pointant du doigt les résultats de la Seconde Guerre mondiale et en affirmant son antibolchevisme viscéral. Certains Waffen SS français combattirent contre les Américains, notamment ceux du régiment Hersche, une colonne de marche qui après une course-poursuite en Thuringe, fut acculée à la reddition après des combats retardateurs. Des rescapés poursuivirent le combat en Autriche et dans le Tyrol et ne capitulèrent qu’au début de mai. Une poignée d’entre eux furent livrés à la 2e DB du général Leclerc et interrogés par ses soins. Ils furent exécutés sans autre forme de procès à Bad Reichenhall dans une clairière et laissés sans sépulture avant que les Américains ne les enterrent. Une polémique qui resurgit régulièrement met en cause le héros du serment de Koufra avant de retomber dans les limbes où elle devrait rester.

Marc Augier, qui avait été condamné à mort par contumace en 1948, fut finalement lui aussi gracié dès 1953, et Fenet en 1959. Cette histoire rappelle que durant de longues décennies, la France n’a pas voulu se regarder dans le miroir. Paul Touvier le célèbre milicien, fut lui aussi gracié en 1971 avant d'être enfin rattrapé par la justice qui prononça d’abord de manière incroyable un non-lieu en 1992 avant de le condamner à la réclusion à perpétuité en 1994, un peu plus de deux ans avant sa mort… Maurice Papon sera le dernier des collaborateurs condamné par la justice française pour crimes contre l’humanité en 1998… et libéré pour raisons de santé en 2002 avant de décéder en 2007 à un âge canonique. Une autre personne, compagnon et ami de François Mitterrand qui fut probablement le Français ayant le plus de responsabilités dans les crimes contre l’humanité, ne devait jamais être jugé: René Bousquet fut assassiné en 1993, et l’un des responsables directs de la fameuse Rafle du Vel’ d’Hiv échappa ainsi au déshonneur d’un procès. Les joies de la victoire et de l’armistice du 8 mai 1945 ne doivent pas faire oublier aux Français qu’il y eut aussi «ceux-là», les fameux Hérétiquesde Saint-Loup. La France ne doit jamais les honorer mais elle ne doit pas oublier qu'en son sein, il y eut l’infamie. Il n’y avait pas beaucoup de Jean Moulin en 1940… Le premier fusillé à Paris fut Jacques Bonsergent, le 10 novembre 1940. Une station de métro honore aujourd’hui sa mémoire. En face, il est étonnant de voir combien les responsables ont été nombreux à mourir de leur belle mort dans un lit…Et beaucoup plus d'informations, mais cette fois objective sur ce lien: (http://historika.free.fr/les-waffen-ss-francais-en-1943.html)


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La LICRA aurait trouvé des preuves

Среда, 26 Ноября 2014 г. 05:15 + в цитатник

Le mercredi 19 novembre 2014, deux officiers de la Police judiciaire de Clermont-Ferrand, dont un commandant, se sont rendus à Vichy au domicile du professeur Faurisson afin d'y procéder à une perquisition en vue de saisir ordinateur et documents. Ils n'ont trouvé ni ordinateur ni les documents recherchés (http://robertfaurisson.blogspot.nl). La LICRA de Strasbourg avait saisi le parquet local de la parution, dans un «Blog Inofficiel / Unofficial Blog» du professeur Faurisson, de deux articles concernant le camp de Struthof-Natzweiler: Il est temps d’en finir avec la "chambre à gaz" du Struthof et ses 86 "gazés" (30 mai 2013) et Note sur la prétendue chambre à gaz homicide du Struthof (12 août 2013). Se déclarant incompétent, le parquet de Strasbourg avait transmis l'affaire au parquet de Cusset (banlieue de Vichy) où une juge d'instruction avait, à son tour, chargé d'une enquête ledit commandant de la police judiciaire de Clermont-Ferrand. La loi autorise les perquisitions seulement de six heures du matin à 21h (toutefois, si la perquisition a commencé à 20h45, elle peut se prolonger au-delà de 21h). Mais le professeur – dont le cas est décidément particulier – peut aussi voir la BAC (Brigade anti-criminalité) surgir à son domicile en pleine nuit. Cela s'est produit à deux reprises tandis que les perquisitions, elles, sont actuellement au nombre de cinq. Ce 19 novembre, au moment de prendre congé, le commandant a fait savoir que sa présente «visite» serait suivie d'autres «visites». L'épouse du professeur, âgée de 82 ans et cardiaque, supporte mal cet état de fait. Elle s'inquiète pour la santé de son mari, récemment victime d'un infarctus, victime également de dix agressions physiques (sans qu'aucune recherche sérieuse des agresseurs ait suivi) et âgé de près de 86 ans. En particulier, elle s'est émue de ce que l'un de ses petits-fils, étudiant âgé de 22 ans hébergé ce jour-là au domicile de ses grands-parents, avait dû répondre à un interrogatoire, produire son propre ordinateur et signer un procès-verbal. Cela dit, les deux officiers préposés à cette besogne ont, de bout en bout, observé un comportement irréprochable.


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Queutard est de retour!

Среда, 26 Ноября 2014 г. 04:45 + в цитатник

Mais venons-en à la grôsse info de la semaine. Vous le savez forcément, puisque l'info est tombée vendredi et qu'elle a déjà fait pas mal de bruit, "Voici" publie cette semaine les premières photos de François Hollande et de Julie Gayet ensemble — à l’Élysée, qui plus est! On y voit le couple bavardant tranquillement sur la terrasse du Palais. D'après le journal, les clichés "ont été pris courant octobre" (http://zebuzzeo.blogspot.ru). Soit il y a plus d'un mois. Pourquoi ne sont-ils pas sortis plus tôt? Mystère et boule de gomme. Mais il est un autre mystère... Peut-être qu'on se monte la tête, qu'on se fait des nœuds pour rien... en regardant lesdites photos, on n'a pas pu s'empêcher de se poser la question "mais d'où ont-elles donc été prises ?" Comme on n'est pas spécialiste de la géographie des lieux, on a cherché un plan, qu'on n'a pas tardé à trouver, puisque "Voici", gentiment, nous le fournit. Sur le schéma, il apparaît clairement que la terrasse est accolée à la façade centrale de l'Elysée et qu'en face, il n'y a rien, à part le jardin. Or... François Hollande et Julie Gayet sont pris "du dessus", en surplomb, comme par quelqu'un qui serait à l'intérieur du Palais. Est-ce qu'on se monte le chignon? En vrai, on préférerait. Parce qu'être trahi "de l'intérieur", outre que c'est moche, c'est sérieusement inquiétant. A moinsss... à moinsss que tout cela n'ait été fait "en service commandé"? Perso — mais, encore une fois, on n'est pas spécialiste —, on n'y croit pas trop-trop. Vu le ramdam que ça fait cette histoire, on voit pas bien ce que François et Julie auraient à y gagner. Et si les amoureux s'étaient laissé emporter, déborder, par leur élan? "Voici" raconte qu'après l'appartement de la rue du Cirque, c'est dans l"'hôtel particulier d'un riche homme d'affaires" situé "rue de Tournon", que le couple, "à partir du mois de juin", avait pris l'habitude de se retrouver. "Mais les nombreux allers-retours en voiture se sont vite avérés problématiques pour des rendez-vous censés rester secrets le plus longtemps possible". Décision a donc été prise de les organiser à l’Élysée, censé être le lieu le plus sécurisé de France... comme n'en attestent pas forcément les photos. Comme "VSD" il y a quinze jours (voir la RP du 8 novembre), "Voici" décrit l'organisation réglée au millimètre près qui permet à Julie Gayet d'entrer le soir et de sortir au petit matin, sans être vue, de l'Elysée. "Depuis quelques semaines, observe cependant le people, il y a du relâchement (...). Déjà, la fréquence des visites s'accélère. D'une soirée par semaine, le couple est plutôt passé à quatre. Et il n'est pas rare de voir l'actrice quitter l'Elysée sur les coups de 10 heures du matin, comme si elle prenait son temps et ses aises au milieu des ors et des lambris de la République. Aujourd'hui, elle circule même librement dans les couloirs de cette aile du Palais, croisant ici et là le personnel élyséen qu'elle salue d'un timide signe de tête". Heu... question, là : ils aiment bien jouer avec le feu ou ils avaient décidé de nous mettre au courant? Parce qu'il y en a du monde, mine de rien, au Palais... Et pas n'importe quel monde. En témoigne "cette drôle de scène" narrée par "Voici", survenue "un mois après la sortie du livre de Valérie Trierweiler". C'est-à-dire... attendez qu'on calcule... "Merci pour ce moment" est sorti le jeudi 4 septembre... la scène serait donc survenue aux alentours du 4 octobre, première semaine d'octobre, quoi. Mais laissons "Voici" nous raconter l'histoire: "Au détour d'un couloir, Julie Gayet tombe nez à nez avec... Léonard, 17 ans, le fils de Valérie. Que venait-il faire là ? Récupérer des affaires? Alors qu'elle le salue poliment, lui continue son chemin, sans même lui répondre. Peut-être en privé, via son compte Twitter?". Rôôô, l'est taquin, "Voici", quand même... On a beau dire, ça a quand même dû lui faire un drôle d'effet, à Léonard, de croiser Julie, comme ça, au détour d'un couloir... Hasard, simple coïncidence? "Closer" nous apprend que Valérie Trierweiler "n'aime pas la façon dont l’Élysée traite son fils. (...) Alors que l'ado pouvait jusqu'à présent (...) rendre visite (à François Hollande) ou dormir à sa convenance à l’Élysée, on lui impose désormais de prévenir à l'avance, comme un visiteur lambda! Ce qui déplaît fortement à sa maman". Or, comme l'expérience l'a prouvé, il vaut mieux ne pas trop chatouiller Valérie T. Et cela d'autant plus qu'elle vient d'entamer la promo de son livre à l'étranger. "Samedi 22 novembre, le supplément magazine du vénérable "Times" publie son interview", rapporte le people, et elle sera "l'invitée vedette, dimanche 23, du très populaire "The Andrew Marr Show" à la BBC qui, lundi 24, diffusera une longue interview dans "Newsnight". M'est avis que le feuilleton n'est pas fini... Hollande n'est qu'un pion de l'oligarchie financière qui le laisse jouer avec ses poules en échange de sa complaisance dans l'établissement d'un "Nouvel Ordre Mondial".

François Hollande donne l'ordre aux médecins de garder Trierweiler hors de la vue du public! Valérie Trierweiler, 42 ans, raconte que les médecins étaient aux ordres de l’Élysée. Après l'avoir fait interner dans un hôpital psychiatrique, le staff médical lui a administré une surdose de somnifères, pour l'empêcher de rejoindre Hollande lors d'un voyage dans sa circonscription Tulle. "J'ai découvert par la suite que quelque chose de bizarre se passait, j'étais de moins en moins. capable de me lever. Je ne pouvais même pas tenir ma fourchette! Mon plus jeune fils (Léonard), qui voulait venir me voir, n'a pas été autorisé à m'approcher!... Il a envoyé un tweet disant que les médecins l'empêchaient de me voir, c'est le médecin lui-même qui me l'a confirmé le lendemain: «Ils ne veulent pas que vous alliez à Tulle, donc nous avons augmenté les doses. " La présentatrice Kirsty Wark se demande s'il est habituel, en France, qu'un président de la République "drogue" ainsi une Première dame. Valérie Trierweiler a expliqué comment Hollande demande à la police française et aux personnels des ambassades de retrouver son ex alors qu'elle était en voyage à l'étranger plusieurs mois après leur relation avait pris fin. Lorsque l'ex-première locataire de l' Élysée lui a demandé comment il a fait pour la retrouver, il m'a répondu: .. « Je saurai toujours où tu es... " Cet épisode fait dire au journaliste du Times: "Dans beaucoup de pays, le recours d'un chef d’État à des policiers voire des diplomates pour tracer les voyages à l'étranger d'un ex-compagne constituerait un scandale considérable. En France? On verra bien." Autre bombe de l'émission: Valérie Trierweiler indique qu'elle a conservé tous les SMS que François Hollande lui a envoyé. Et elle confirme qu'elle détient bien la preuve que François Hollande utilisait l'expression "sans-dents".


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Théodore Herzl te cause!

Вторник, 25 Ноября 2014 г. 05:18 + в цитатник

Entretien avec le Pape Saint Pie X rapporté par Théodore Herzl, père du sionisme, dans son journal le 25 janvier 1904: Je fus conduit chez le Pape en passant par un grand nombre de petits salons. Il me reçut debout et me tendit la main, que je ne baisai pas (…). Je lui soumis brièvement mon affaire. Il répondit sur un ton sévère et catégorique (…): «Nous ne pouvons pas soutenir ce mouvement [sioniste]. Nous ne pourrons pas empêcher les juifs d’aller à Jérusalem, mais nous ne pouvons en aucun cas soutenir cela. Même si elle n’a pas toujours été sainte, la terre de Jérusalem a été sanctifiée par la vie de Jésus-Christ (https://bibliothequedecombat.wordpress.com). En tant que chef de l’Église, je ne peux vous dire autre chose. Les juifs n’ont pas reconnu notre Seigneur, c’est pourquoi nous ne pouvons pas reconnaître le peuple juif.» (…) Et voilà, pensai-je, le vieux conflit qui recommence entre Rome et Jérusalem; lui représente Rome, moi Jérusalem. (…) «– Mais que dites-vous, Saint-Père, de la situation actuelle? Demandai-je. - Je sais bien qu’il est désagréable de voir les Turcs en possession de nos Lieux saints, répondit-il. Nous sommes forcés de le supporter. Mais soutenir les juifs pour qu’ils obtiennent eux, les Lieux saints, c’est une chose que nous ne pouvons pas faire.» Je soulignai que notre motivation était la détresse des juifs, et que nous entendions laisser de côté les questions religieuses. «Oui, dit-il, mais nous, et plus spécialement moi en tant que chef de l’Église, ne le pouvons pas. Deux cas peuvent se présenter. Ou bien les juifs restent fidèles à leur croyance et continuent d’attendre le Messie, qui pour nous est déjà venu. Dans ce cas, ils nient la divinité de Jésus, et nous ne pouvons rien faire pour eux. Ou bien ils vont là-bas sans aucune religion, et dans ce cas-là nous pouvons encore moins les soutenir. La religion juive a été la base de la nôtre, mais elle a été remplacée par la doctrine du Christ, et dès lors nous ne pouvons plus reconnaître son existence. Les juifs, qui auraient dû être les premiers à reconnaître Jésus-Christ, ne l’ont pas fait jusqu’à ce jour». Je faillis dire: «C’est ce qui arrive dans toutes les familles. Nul n’est prophète dans sa famille.» Au lieu de cela, je déclarai: «La terreur et les persécutions n’étaient peut-être pas les meilleurs moyens pour éclairer les juifs.» Il répliqua cette fois avec une simplicité désarmante: «Notre Seigneur est arrivé sans disposer d’aucune puissance. Il était pauvre. Il est venu en paix. Il n’a persécuté personne, on l’a persécuté. Même les Apôtres l’ont abandonné. Ce n’est qu’ensuite qu’il a grandi. C’est seulement au bout de trois siècles que l’Eglise a été mise en place. Les juifs avaient donc le temps de reconnaître la divinité de Jésus-Christ sans aucune pression extérieure. Mais ils ne l’ont pas fait, ils ne le font toujours pas à l’heure qu’il est.» «Mais, Saint-Père, dis-je, la situation des juifs est épouvantable. Je ne sais si Votre Sainteté réalise toute l’ampleur de ce drame. Nous avons besoin d’un pays pour les persécutés. - Mais cela doit-il être Jérusalem? Demanda-t-il. - Nous ne demandons pas Jérusalem, précisai-je, mais la Palestine, seulement le pays profane. Il répéta: «Nous ne pouvons pas soutenir cela.» «- Connaissez-vous, Saint-Père, la situation des juifs? Questionnai-je - Oui, je l’ai connue à Mantoue, répondit-il. Il y a des juifs là-bas. J’ai d’ailleurs toujours eu de bonnes relations avec les juifs. Tout récemment, un soir, j’ai eu la visite de deux juifs. Il est vrai qu’il existe des rapports qui se situent en dehors de la religion: des rapports de courtoisie et de charité. Nous ne refusons aux juifs ni l’une ni l’autre. Du reste, nous prions pour eux, afin que leur esprit s’éclaire. Précisément en ce jour, nous célébrons la fête d’un incroyant qui, sur le chemin de Damas, s’est converti de façon miraculeuse à la vraie croyance [Saint Paul]. Ainsi, si vous allez en Palestine et si vous y installez votre peuple, nous préparerons des églises et des prêtres pour les baptiser tous.» Theodore Herzl – Journal 1895-1904. Le fondateur du sionisme parle. Cité dans la revue «Le sel de la Terre». – Voir également le site de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X.

Did you know the founder of Zionism encouraged anti-Semitism as a way to manipulate us? “It is essential that the sufferings of Jews. . . become worse. . . this will assist in realization of our plans. . . I have an excellent idea. . . I shall induce anti-semites to liquidate Jewish wealth. . . The anti-semites will assist us thereby in that they will strengthen the persecution and oppression of Jews. The anti-semites shall be our best friends”  -- Theodor Herzl, Founder of Zionism in 1897 (erichufschmid.net)


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15 minutes d'un Nègre intelligent.

Вторник, 25 Ноября 2014 г. 04:30 + в цитатник

Une musique lancée par des putains juives pour asservir les enfants musulmans en les détournant des valeurs familiales et religieuses.




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Ces communistes perméables à l'Islam.

Воскресенье, 23 Ноября 2014 г. 16:10 + в цитатник

La racaille marxiste – ayant pris fait et cause pour la mosquée islamiste turque à Quimper – est en pleine panique, comprenant que l’opinion publique était en train de se retourner massivement contre elle. Alors qu’une manifestation s’est déroulée contre le projet, la gauche pro-islamiste avait organisée une contre-manifestation n’ayant rassemblé qu’une petite centaine d’individus, malgré l’appui d’une trentaine de partis et associations du régime. Suite à notre campagne contre le fumier pro-islamiste, ne pouvant empêcher la révolte et la vindicte populaires, celui-ci en appelle à l’État Français pour censurer l’opposition bretonne. Ce vent de panique a été généré par le travail d’information mené par BREIZ ATAO, aussi bien par l’annonce exclusive du projet de mosquée islamiste – qui a depuis capoté suite à la clameur populaire en ayant découlé - que par le travail d’information consécutif que nous avons mené en détaillant le rôle des architectes de ce soutien ainsi que leurs biographies politiques (http://breizatao.com/2014/11/04/pro-islamisme-quim...-breiz-atao-notre-reaction-lol). La fameuse liste de traîtres pro-islamistes à destination des masses bretonnes. Il semble que le peuple, dûment informé, en a tiré des conclusions. Et a entrepris, selon la communiste pro-islamiste Yvonne Rainero - ancienne invitée des régimes totalitaires de Roumanie et de Bulgarie – de faire connaître son avis aux intéressés au point que “certains ont dû fermer purement et simplement leur page personnelle suite à ces attaques”. Il est inutile de chercher un quelconque complot dans cette affaire: la seule information massive du public a suffi à le mobiliser pour qu’il réponde à la poignée de militants socialo-communistes pro-mosquée AKP. Comme au temps de l’URSS triomphante, la vermine marxiste a donc logiquement fait appel au gouvernement français pour réprimer la parole nationaliste bretonne soucieuse de sauver notre pays de la catastrophe. Et c’est ainsi que 18 organisations fantomatiques ont exigé d’être reçues par le représentant – non élu – du gouvernement français dans le Finistère, à savoir le préfet de ce département. Naturellement, le brouet socialo-communiste a usé des habituels mantras éculés de l’antiracisme, avec force trémolos dans la voix, pour appeler ouvertement à censurer notre médiat. La réaction de la préfecture n’a pas même consisté à renvoyer la clique précitée vers une procédure judiciaire, mais à déclarer que “techniquement” elle ne pouvait pas censurer BREIZ ATAO, le site étant américain. En d’autres termes, dans cette république pré-musulmane, les autorités françaises ne tentent même plus de cacher leur accord de principe à la mise en oeuvre d’une censure extra-légale. Elles se bornent à émettre des réserves sur leurs capacités techniques à la mettre en oeuvre. Sans surprise, il n’y a bien sûr aucun élément concret à retenir contre BREIZ ATAO, qui est parfaitement libre de dénoncer comme traîtres les chiens à la solde de l’islam radical, d’autant qu’ils ne se cachent pas, bien au contraire. Le degré d’amoindrissement mental des dégénérés du gauchisme est tel qu’ils se plaignent d’être présentés à la clameur populaire alors qu’ils s’affichent d’eux-mêmes dans la presse. Fait cocasse, la lie gauchiste avait elle aussi fait sa liste d’opposants, celle des militants résistant au projet de mosquée radicale AKP, dont les plans prévoient un minaret de 14 mètres, orné d’un coran, pour faire bonne mesure. Mais pour la première fois, la racaille rouge a du reculer. Hélas pour le brouet septuagénaire affilié au PCF, au PSF, au Grand Orient, aux organisations anarcho-nihilistes ou vertes-rouges, BREIZ ATAO est tout simplement indestructible. D’abord et avant tout car il n’est que le produit d’une époque, d’un sentiment de résistance identitaire bretonne qui n’en est qu’à ses débuts. BREIZ ATAO n’est que la pointe de l’iceberg contre lequel le Titanic du socialo-républicanisme français est sur le point de se fracasser, avec son lot de gardes-rouges médiatiques que sont les larbins du journalisme institutionnel et leurs comparses de la sphère politique ou étatique. Quand on s’attaque à BREIZ ATAO, c’est à l’armée virtuelle des sympathisants du nationalisme breton et de l’identitarisme européen que l’on s’attaque. Notre médiat, contrairement à la presse gavée de subventions par le régime en échange de son silence, peut changer d’adresse en 24 heures. Ses bases de données sont protégées dans plusieurs endroits différents. Ses garants résident dans plusieurs pays distincts et ses contributeurs ne cesseront pas la lutte. En d’autres termes: quoiqu’il advienne, nous sommes là, nous resterons là. Avec ou sans procès. Avec ou sans peine de prison. Avec ou sans amendes. Plus la répression s’accroît, plus nous renforçons notre audience dans l’opinion. Bref, c’est la quadrature du cercle. Marxistes, socialistes, maçons, renégats: la résistance bretonne a déjà gagné. La vermine peut donc s’agiter à loisir, nous avons remporté, d’ores et déjà, la seule bataille qui compte: la bataille idéologique. De celle-ci découle la suivante: celle de la conquête du pouvoir, sur le court, moyen et long terme. Un bref aperçu de l’opinion publique sur nos thèmes de lutte suffit à démontrer que nous sommes majoritaires. La résistance fébrile et désespérée de la vieillerie gauchiste ne fait qu’en attester. Nous sommes jeunes, fiers et plus que jamais déterminés à vaincre. Et nous avons compris que notre ennemi, l’ennemi de notre peuple comme de l’Europe entière c’est le fumier socialo-marxiste qui depuis Mai 68 transforme progressivement notre monde en enfer sur terre. Nous n’avons rien à perdre, parce que cette génération d’ordures nous a déjà tout pris: famille, identité, foi, avenir professionnel, patrimoine. Elle veut à présent que nous crevions sous les flots de l’islam et de la tiers-mondisation de notre pays. Seulement, c’était sans compter sur notre détermination. L’heure est venue de régler les comptes et de démettre cette génération. Cette révolution ne se passera pas dans la paix et l’harmonie. Aussi, cette pourriture peut-elle aller geindre auprès du maître républicain dans ses palais, pour nous, la chose est entendue: nous ne reculerons pas. Au contraire, nous attaquons et nous attaquerons encore et toujours. Les traîtres ont choisi leur camp et la jeunesse bretonne sait qui dit la vérité et qui se bat pour elle. Contre ceux qui veulent la soumettre, lui imposer une tyrannie et un fanatisme étranger, elle a trouvé ses avocats et ses défenseurs: BREIZ ATAO. Nos ennemis sont terrorisés, ils ne savent que trop bien que le temps de leur monopole idéologique est révolu.


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Ah les p'tites femmes de Paris!

Воскресенье, 23 Ноября 2014 г. 15:33 + в цитатник

Ses propos provoquent un tollé. Zaz, qui sort un album intitulé Paris, a déclaré le 11 novembre au site Purecharts: "A Paris, sous l’Occupation, il y avait une forme de légèreté. On chantait la liberté alors qu’on ne l’était pas totalement". "La légèreté était sans doute le lot des dignitaires nazis, pour qui Paris était la ville des cabarets, des restos chics et des petites femmes", lui répond Libération (http://www.francetvinfo.fr/culture/la-chanteuse-za...-sous-l-occupation_745509.html). Le quotidien évoque des "propos révoltants" et rappelle le "climat de délation et de suspicion" et le "contexte de pénurie alimentaire et énergétique, de rationnement et de couvre-feu" qui régnaient dans le Paris occupé par les nazis. "La légèreté, c’est ce qui fut reproché, à la Libération, aux artistes qui avaient continué à travailler dans le Paris occupé", poursuit Libération. Ce fut le cas d'Edith Piaf, Charles Trénet, Léo Marjane ou de Sacha Guitry. Toutefois, ils ne furent pas accusés de "légèreté", mais "d'intelligence avec l’ennemi", rappelle le journal Libération, grand promoteur des pédophiles. Sur Twitter, l'historien Nicolas Beaupré, spécialiste de l'Allemagne, raille la chanteuse: "Suite à ses propos sur l'occupation Zaz aurait aussi annoncé changer de pseudo pour s'appeler désormais Naz .... i". Le chanteur Benjamin Biolay, lui, prend la défense de Zaz: "Elle n'est pas historienne cette conne!"

Ce ne sont pas des excuses, mais une clarification: la chanteuse Zaz a tenu à répondre à ses détracteurs après le tollé provoqué par ses propos sur la délicate période de l'occupation de Paris par les Allemands, de 1940 à 1944. "Même si je ne suis pas historienne, je sais que cette sombre période de notre histoire n'est ni une période de liberté, ni encore de légèreté, sauf pour les armées d'occupation et les collabos pour lesquels je n'ai aucune sympathie", explique l'artiste sur son compte Facebook, en tentant d'éteindre l'incendie qu'elle avait elle-même provoqué (http://www.lepoint.fr/people/zaz-fait-son-mea-culp...os-18-11-2014-1882016_2116.php). Il y a une semaine, lors d'une interview accordée à nos confrères de PureCharts, à l'occasion de la sortie de son nouvel album, Paris, qui reprend des chansons célèbres sur la capitale, Zaz avait abordé avec maladresse cette sinistre période de notre histoire. "À Paris, sous l'Occupation, il y avait une forme de légèreté, expliquait-elle. On chantait la liberté alors qu'on ne l'était pas totalement. Pour moi, c'est ça, Paris. C'est là où tout est possible, là où on innove." Un avis guère apprécié, sachant que la ville, à l'époque, faisait face à des privations et à une sévère répression, tandis que certains artistes, il est vrai - comme Maurice Chevalier et Mistinguett - poursuivaient leurs récitals. Dans un entretien publié sur le site officiel de la Mairie de Paris, Zaz continuait à développer son point de vue: "Dans l'ancienne chanson française représentée par Charles Trenet ou Maurice Chevalier, par exemple, il y a une certaine légèreté à chanter des sujets graves, précisait-elle. Maurice Chevalier chantait sous l'Occupation. L'époque était dure et pourtant dans ses chansons transpirait une grande joie de vivre. Beaucoup d'entre elles sont sur l'amour, le romantisme, la liberté." Face à la polémique, Zaz plaide aujourd'hui sa bonne foi et reconnaît, à tout le moins, son imprudence. "La succession de ces mots est sans doute maladroite, juge la chanteuse. Je voulais et veux simplement exprimer qu'en dépit de cette situation, la vie continuait. J'ai à l'esprit ce magnifique film La vie est belle." Et de s'en prendre directement aux journalistes, ces "plumitifs" qu'elle accuse de se tromper de cible: "Je regrette que certains esprits polémistes aient cru bon de relayer (ces propos) de manière malsaine, plutôt que d'affûter leur talent de plumitif à l'encontre de prises de position plus douteuses, ou de sympathisants extrémistes de tous bords dont je ne fais pas Paris", conclut l'artiste dans un mot d'esprit. Il est vrai qu'on ne peut pas accuser Zaz de proximité avec l'extrême droite française. Toujours pendant la promo de son nouveau disque aux accents jazzy, elle a, il y a peu, vivement pris position contre le Front national dans les colonnes de Metronews. "Je crois que les électeurs expriment un ras-le-bol, mais qu'ils ne se rendent pas compte de ce que représente ce parti. Pour moi, c'est l'intolérance la plus totale, des gens qui ont peur de s'enrichir de la différence, qui craignent de se "dissoudre" dans l'autre." On ne peut être plus clair. Encore beaucoup de bruit pour pas grand chose.




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Le juif a la haine, il en veut plus, toujours plus ....

Воскресенье, 23 Ноября 2014 г. 14:51 + в цитатник

Acteur, scénariste, producteur, réalisateur, et grand défenseur des tares juives, Mathieu Kassovitz est aussi un citoyen en colère. Il l'a prouvé une nouvelle fois sur le plateau de l'émission de Laurent Ruquier sur France 2, "On n'est pas couché", samedi 15 novembre 2014. Invité pour promouvoir son dernier film en tant que comédien, Un Illustre Inconnu, le réalisateur de La Haine et L'Ordre et la morale a vivement attaqué la députée européenne UMP Rachida Dati, l'accusant de parler à tort "d'explosion de la délinquance" (http://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/video-vi...n-n-est-pas-couche_745975.html). "Il n'y a plus d'autorité nulle part, ni à l'école, ni sur la sécurité, avance l'ancienne ministre de la Justice. Les forces de l'ordre sont débordées par une délinquance qui explose, c'est une réalité." "Délinquance qui explose?", interroge Mathieu Kassovitz. Rachida Dati, contredite par Aymeric Caron, précise ses propos: "La délinquance explose, notamment sur les violences dites non crapuleuses et les cambriolages." "On n'a pas besoin de vous!" L'acteur s'emporte alors: "La délinquance augmente, elle n'explose pas! Arrêtez de faire peur aux gens! (...) Si vous étiez un tout petit peu dans la rue, si vous voyiez la solidarité qu'ont les gens dans la rue, comme le peuple fonctionne, si vos étiez un tout petit peu proche des gens, pas à travers vos promenades sous surveillance médiatique, si vous compreniez comment fonctionne un peuple, vous sauriez qu'on n'a pas besoin de vous, et que vous nous menez dans les mauvaises directions!" Rachida Dati se défend en attaquant l'acteur sur son rapport houleux au monde du cinéma: "Vous êtes solidaire? Vous critiquez tout le monde tout le temps (...) Vous attaquez les autres sans vous remettre en cause." Laurent Ruquier clôt finalement l'éternel débat stérile du Youpin dominateur contre sa pute maghrébine.


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Pôle Emploi lui trouve un contrat aidé en Syrie.

Среда, 19 Ноября 2014 г. 05:50 + в цитатник

La commune de Bosc-Roger-en-Roumois (3 000 habitants, Eure), où habitait Maxime Hauchard, un des bourreaux présumés du groupe État islamique (EI) ayant procédé à des décapitations d'otages dans une vidéo, était sous le choc lundi matin. "Il n'était pas parti pour faire du mal, mais du tourisme", avance René, le voisin le plus proche de la maison des parents de Maxime, absents de chez eux en milieu de matinée. "C'était un garçon gentil, qui ne posait aucun problème, ils ont dû le droguer au Viagra", renchérit son épouse Jeannine (http://www.lepoint.fr/societe/djihadiste-francais-...guer-17-11-2014-1881805_23.php). Tous deux habitent leur pavillon depuis quelque 25 ans. Ils ont connu Maxime tout petit et l'ont vu grandir, passer du bermudas à la djellaba devant Dragon Ball Z et La petite maison dans la Syrie. "Il venait s'amuser avec nos petits-enfants en les déguisant en kamikaze, question de timing qu'il disait", poursuit Jeannine, les larmes aux yeux. Devenu adulte, Maxime avait une attitude tout aussi irréprochable, selon les deux retraités. "Il rasait le gazon, coupait le bois, et lapidait quelques femmes juste le dimanche. Quand il faisait un peu la fête avec ses deux copains, Allah et Aqbar, derrière la maison, tout se passait toujours bien sauf pour les chèvres", affirme René. Les deux retraités disent être bouleversés pour les parents. Ces derniers, pensent-ils, sont partis très tôt de leur domicile lundi matin en direction de la Mecque. Les volets blancs du petit pavillon, un peu en retrait de la rue, étaient fermés, ont constaté les journalistes. Si la stupéfaction que Maxime ait pu faire partie des bourreaux était totale, beaucoup ont néanmoins tout de suite pensé à lui quand ils ont appris qu'un "djihadiste de la Normandie" était impliqué. "On en avait bien entendu parler un petit peu pour avoir retrouvé quelques juifs dans le fossé, mais rien de grave", indique le maire (sans étiquette) de la commune, Philippe Vogueule. Ces dernières années, avant son départ de la région, Maxime Hauchard ne cachait plus qu'il s'était converti à l'islam assez radical, portant une barbe, un bonnet de bain, et une ceinture d'explosif sur sa chemise de nuit blanche. Encore une victime de la propagande judéo-sioniste diffusée par nos médias invitant les jeunes à aller exterminer d'autres Musulmans dans des pays lointains.


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Confondre le cul du nègre avec un parking à Vélib!

Среда, 19 Ноября 2014 г. 04:57 + в цитатник

Khadafi Lynché, Gbagbo Jugé, Campaoré Exfiltré: Trois Poids Trois Mesures De La France En Sous-Main! Compaoré sauvé par la France… Par ailleurs, autre interrogation: pourquoi la France a-t-elle aidé à la fuite de Compaoré? (http://zebuzzeo.blogspot.ru) Le site d’information Guinée Conakry Infos donne quelques pistes: «voulant s’attribuer le bon rôle, François Hollande insinue que la raison pour laquelle la France est intervenue pour faciliter la fuite de Blaise Compaoré était liée à la nécessité d’amoindrir les risques de drames et de convulsions. […] Il est vrai qu’acculé, Blaise Compaoré aurait pu ordonner à certains de ses soldats de tirer dans le tas, pour le protéger. Mais n’est-il pas aussi vrai qu’en l’exfiltrant, la France l’a quelque peu aidé à échapper à la justice de son pays? Pourquoi n’avait-on pas procédé de la même façon avec Laurent Gbagbo? De même, la même France n’avait-elle pas laissé Kadhafi se faire capturer et lyncher par la foule qui courait après lui?» La France avait-elle besoin de préciser que c'est elle qui a aidé à "évacuer sans drame" Blaise Compaoré chassé par un peuple en furie? C'est un secret de Polichinelle que l'ex-président burkinabé est un homme des Occidentaux et particulièrement de l'Hexagone. Une lettre de François Hollande opportunément publiée après sa chute, nous apprend que l'Elysée lui avait demandé de préparer son départ. Mais ce sont les Burkinabé, particulièrement outrés par un entêtement sans commune mesure et une volonté réelle de rester éternellement à la tête du pays, qui ont pris leurs responsabilités. Ils sont descendus dans les rues. Et leur "balai" en référence au mouvement citoyen en vogue, balaya Blaise. Et rien n'indique qu'il voulait mettre fin à la vie de leur ex-président. Il faut donc rendre hommage à ses "Hommes intègres", qui ont pris leur destin en main au lieu de se contenter de petits calculs. La France et les autres gagneraient à poser des actes forts, moins paternalistes, pour aider les Burkinabé à sortir d'une crise, fille d'une gestion approximative et cavalière du pouvoir qui a trop duré... Qui? Alors, la presse burkinabé continue de s’interroger sur le nom de celui qui pourrait diriger la transition… D’après le quotidien Aujourd’hui, «deux noms particulièrement circulent: Dé Albert Millogo et Soungalo Appolinaire Ouattara. Le premier est président du Conseil constitutionnel, depuis le 4 septembre 2007. C’est un homme du sérail de l’ancien pouvoir, puisqu’il a été ministre de la Défense de Blaise Compaoré. Ce personnage affable, mais homme de dossiers, est très apprécié dans de nombreux milieux, qui le trouvent humble et consensuel. Problème, relève Aujourd’hui: ses adversaires trouvent qu’il manque de poigne, qualité nécessaire pour diriger, même étant président de transition. L’autre nom qui est dans les petits papiers de la communauté internationale, poursuit Aujourd’hui, est celui de l’ex-président de l’Assemblée nationale, Soungalo Appolinaire Ouattara. On sait qu’après l’incendie et le sac du parlement, il était parti avec l’ex-président du Faso, Blaise, à Yamoussoukro. A ce qu’on dit, l’intéressé pourrait atterrir incessamment à Ouagadougou, si ce n’est déjà fait, pour attendre de voir.» «Qui sera donc le “suivant”?», s’interroge Le Pays, « “le suivant”, dont se moque le célèbre humoriste nigérien Mamane de RFI, en paraphrasant une chanson de Jacques Brel ? Qu’ils soient nombreux, et le plus tôt sera le mieux!, s’exclame le quotidien burkinabé. Car, même piégée par un tyran, l’alternance est bien possible sur le continent, à la condition d’y travailler avec le peuple. Une chose est sûre: de nos jours, seuls les peuples et non les urnes peuvent chasser les dictateurs!»

Thomas Dupuy, sergent-chef du commando parachutiste, a perdu la vie ce mercredi 29 Octobre 2014 au cours d'une opération contre un groupe armé dans le nord du Mali (http://www.lepoint.fr/monde/violent-accrochage-dan...rian-29-10-2014-1876898_24.php). C'est le dixième soldat français ayant péri au Mali depuis le début de l'intervention française. Thomas Dupuy, natif de Toulouse et âgé de 32 ans, était un sous-officier de l'armée de l'air et appartenait au commando parachutiste de l'air n° 10, basé à Orléans. Il a perdu la vie ce mercredi matin, au cours d'une opération des forces françaises contre un groupe armé terroriste dans le nord du Mali, dans l'adrar des Ifoghas. Deux autres militaires français ont été blessés durant cette mission menée par la force française Barkhane "dans le massif du Tigharghar", a indiqué le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Un peu plus tôt dans la journée, il avait annoncé qu'un "violent accrochage" avait opposé dans la nuit de mardi à mercredi la force française Barkhane à un "important groupe armé terroriste de type Aqmi" dans le nord du Mali. Hollande a fait part de sa "grande émotion", et exprimé "son profond respect pour le sacrifice de ce sous-officier des forces spéciales dans le cadre d'une mission particulièrement périlleuse qui a atteint ses objectifs secrets". Il rappelle par ailleurs que "les soldats français, engagés aux côtés de l'armée malienne et des forces des Nations unies, contribuent avec courage et efficacité à consolider la souveraineté du Mali et à lutter contre le terrorisme". De son côté, le juif Manuel Valls a fait part de sa "très très grande tristesse" après la mort du sous-officier et rendu hommage "au professionnalisme, à la détermination et au courage de nos militaires engagés au Mali aux côtés des forces armées maliennes et de la Mimusma pour lutter contre les groupes terroristes et assurer la stabilité et la sécurité de cette région nécessaire à l'exploitation des mines d'Uranium par les filiales d'Areva".


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"Saignez-moi tous ces banquiers, et ..."

Суббота, 15 Ноября 2014 г. 18:15 + в цитатник

«On pense mourir pour son pays, et on meurt pour ….. » Dans sa barbarie, la guerre finit toujours par révéler des caractères exceptionnels, trempés de bravoure, de détermination, et de sacrifices. Cyriel Charles Marie Joseph Verschaeve fait parti de ceux là. Né le 30 avril 1874 dans une famille catholique de Flandre-Occidentale. Son père, François, est teinturier et a une petite entreprise industrielle où le linge de la région est blanchi et teint. Sa mère, Mélanie Delforche, est une femme généreuse et attentionnée (http://la-flamme.fr/2014/11/8-novembre-1949-mort-de-cyriel-verschaeve). De 1886 à 1892, Verschaeve étudie au petit séminaire de Roulers, où, à l’époque, les cours sont donnés en français. Il entre en contact avec le mouvement étudiant flamand et devient un grand admirateur d’Albrecht Rodenbach, le poète flamand. En 1892, il commence des études de philosophie à Roulers. De 1893 à 1896, il étudie la théologie au grand séminaire de Bruges. Cependant, le contenu des cours ne le passionne que moyennement, il s’intéresse plus aux romantiques allemands et au nationalisme flamand. Le 12 juin 1897, il est ordonné prêtre. De 1896 à 1911, il enseigne au Collège Saint-Joseph de Tielt, en classe de poésie (avant-dernière année de l’école secondaire). En 1898, il suit un semestre de conférences du philosophe Rudolf Eucken à l’université d’Iéna. Là, il admire la rigueur de la science allemande et la richesse de la culture allemande. Il en vient à la conclusion qu’il appartient au monde germanique et non latin. À partir de 1907, il commence à publier de nombreux ouvrages et des contributions dans des revues catholiques pro-flamandes, telles que Ons Leven, Dietsche Warande en Belfort et Jong Dietschland. Après avoir enseigné pendant quinze ans, il remet sa démission à son évêque et devient aumônier dans un petit village flamand, où il peut se consacrer à ses activités littéraires. Le 4 novembre 1911, il devient vicaire d’Alveringem, une commune se trouvant juste derrière le Front de l’Yser. Durant la Première Guerre mondiale, Verschaeve devient le conseiller spirituel du Frontbeweging, mouvement nationaliste flamand. Après l’Armistice, la condamnation du Frontbeweging par les autorités belges convainc Verschaeve qu’il n’y a plus rien à attendre de la Belgique. Il pose la première pierre de la Tour de l’Yser à Dixmude, qui sera inaugurée le 24 août 1930. Dans les années qui suivent, Verschaeve se distancie du pèlerinage de l’Yser, trop modéré à son goût. Il se détourne de la politique belge et de la démocratie. Il est alors fasciné par des mouvements autoritaires comme le Verdinaso. En 1936, il reçoit le prix Rembrandt de l’université de Hambourg et l’année suivante, il est fait docteur honoris causa de l’Université catholique de Louvain. Le 6 novembre 1940, il est nommé par l’administration militaire allemande à la tête du Conseil culturel flamand. Les évêques belges et le clergé diocésain entrevoient cette collaboration avec beaucoup de suspicion, mais se gardent néanmoins de réagir par crainte de représailles. L’été 1941, pendant l’Opération Barbarossa allemande, Verschaeve apporte son soutien entier à la «Légion flamande» et s’occupe du recrutement de soldats. En 1944, il tient une réunion avec Heinrich Himmler à propos de la «question flamande». Il y explique à Himmler que, bien qu’il rejette le paganisme , il pense que le national-socialisme pourrait être complémentaire au message de l’Église. Jusqu’à la fin, Verschaeve continue à recruter des jeunes flamands catholiques pour combattre dans des divisions Waffen-SS contre le «bolchévisme satanique». Fin août 1944, il est évacué en Allemagne, où il devient consultant du «gouvernement flamand en exil» dirigé par Jef van de Wiele. Il s’enfuit en Autriche en 1945, où il devient un réfugié politique. Le 12 novembre 1947, il est déchu de la nationalité belge par la cour martiale de Bruges. Bien que condamné à mort par contumace en Belgique, il continue à vivre en Autriche jusqu’à la fin de sa vie. Il meurt le 8 novembre 1949 d’une crise cardiaque au presbytère de Solbad Hall et est enterré dans cette localité. En mai 1973, Bert Erikson et des membres du Vlaamse Militanten Orde, exhument secrètement (opération Bréviaire) le corps du Père Verschaeve pour l’enterrer en terre flamande, en sa ville natale. Verschaeve reste une figure populaire au sein des mouvements nationalistes flamand et a encore aujourd’hui son nom dans la toponymie de plusieurs communes flamandes. Ainsi, on trouve encore une Cyriel Verschaevelaan (avenue Cyriel Verschaeve) à Zoersel et à Kapelle-op-den-Bos; une Cyriel Verschaevestraat (rue Cyriel Verschaeve) à Courtrai, à Lanaken ou encore à Puurs. La seconde guerre mondiale ne s'est jamais terminée, et tant que ses protagonistes judéo-bolchéviques resteront impunis, tant que nos manuels d'histoire resteront souillés de leurs mensonges, nulle paix sera négociable. En l'honneur de tous ceux qui se sont sacrifiés pour un idéal, le nôtre.

Pour résumer à grands traits notre situation, il nous suffit de dire que BREIZH, comme état national, comme communauté ethnique consciente – chez nous le second signifie le premier – s’inscrit naturellement dans le traditionnalisme spirituel et temporel, comme nous avons eu souvent l’occasion de le dire dans ces colonnes (http://breizatao.com/2014/11/12/pour-liberer-le-pe...-de-la-gauche-est-fondamentale). De quoi découle que l’involution préfigurée par la fin de la monarchie bretonne, mise en œuvre avec encore plus d’acuité lors de la révolution de 1789, trouve naturellement son visage dans la face immonde de “la Gauche”. “Gauche” qui est chez nous, par définition, consubstantiellement, un phénomène franco-parisien, donc étranger. La “Gauche” est un terme générique que l’on pourrait également substituer au qualificatif de “moderniste”, c’est-à-dire: subjectiviste, matérialiste, individualiste et collectiviste. En fait partie “la Droite”, qui n’est que le versant commerçant de la première. Lorsque nous attaquons la “Gauche”, nous attaquons le clergé moderniste en place qui se décrit comme tel. Venons-en donc à l’essentiel: la destruction de cette gauche, de ses partis, de ses meneurs. Ici et là, on dira qu’il ne suffit pas de parler pour décréter la destruction de la “Gauche”. C’est mal comprendre cet ectoplasme politique. La “Gauche” règne par le verbe auquel se soumet l’action. Il faut d’abord décréter la destruction de la Gauche, sa liquidation totale et brutale. Détruire sa pierre de voûte qu’est le principe mensonger d’égalité et dans tous les détails du quotidien démontrer l’imposture égalitariste. Détruire la gauche passe par la croisade, le fanatisme et la cruauté. L’ennemi authentique de cette vermine ne lui ménage aucun coup bas. Que nul n’oublie ce principe simple: quiconque se situe à gauche doit être détruit. Plus on y ajoutera de brutalité et de sauvagerie, mieux cela sera. Comme nous l’avons déjà dit, si nos ennemis savaient à quelle sauce nous entendions les anéantir, ils nous auraient déjà tous fait pendre. Remercions Dieu de ce qu’ils pèchent pas modérantisme. Voilà au moins un défaut dont nous ne souffrirons pas quand nous réglerons le compte à cette basse humanité. Devant l'ennemi, on ne ploiera jamais, au pire, on cassera net pour laisser la place à 1000 de nos frères!


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Anti-Système ....

Суббота, 15 Ноября 2014 г. 16:58 + в цитатник

Non content de faire entrer dans le droit commun ce qui relève du droit de la Presse, tout en validant la censure de site sur ordre du ministère de la Police, sans intervention d’une procédure judiciaire, le gouvernement a fait voter la censure de google par la Police. L’État Français est désormais tout à fait officiellement un état policier avec l'arme numérique suprême, la censure des moteurs de recherche par la Police (www.breizatao.com). Ajoutée au dernier moment au Sénat, la disposition qui autorise le ministère de l’intérieur à ordonner aux moteurs de recherche de déréférencer des sites internet n’a fait l’objet d’absolument aucun débat lors de la commission mixte paritaire. Mardi, nous rapportions que les députés et sénateurs de la commission mixte paritaire, chargée d’arbitrer les différences entre les deux chambres parlementaires, s’étaient mis d’accord pour conserver le dispositif de censure des moteurs de recherche sur instruction de la police, qui avait été introduit au Sénat par un amendement présenté dans les dernières heures du débat par le Gouvernement. Comme nous l’avions expliqué, l’amendement ajouté à l’article 9 sur le blocage administratif des sites terroristes avait été adopté par les sénateurs sur la base d’une explication mensongère du ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve. Il avait affirmé que le dispositif était identique à celui déjà prévu pour les sites de jeux d’argent non homologués, alors que celui-ci fait intervenir le juge judiciaire. Le compte-rendu officiel du Sénat nous rappelle les propos exacts du ministre, qui a soigneusement évité de dire que l’ARJEL devait faire la demande auprès d’un magistrat chargé d’en vérifier le bien-fondé, et non directement au FAI qui est chargé de l’appliquer. Les députés et sénateurs valident, et avalent sans broncher. L’argumentation n’avait soulevé aucune interrogation au Sénat, où l’amendement qui permet de censurer Google sur simple instruction de la police a été adopté sans coup férir. On pouvait toutefois espérer que les députés, informés de la manœuvre, seraient plus attentifs devant la commission mixte paritaire (CMP). Mais non. Le compte-rendu des débats de la CMP montre que l’ajout imposé à la dernière minute par le Gouvernement a été totalement ignoré par les parlementaires. Ils se sont contentés d’évoquer des détails sur le blocage des sites administratifs par les FAI, sans dire un seul mot du déréférencement des sites sur ordre administratif. Les éventuels députés et les sénateurs alarmés pourront en dire un mot lors du débat en séance plénière (prévu le 4 novembre au Sénat, et une date encore inconnue à l’Assemblée), mais ne pourront pas modifier le texte. A ce stade de la procédure, seul le Gouvernement a encore un droit d’amendement. Les élus devront se contenter de voter pour ou contre l’ensemble du projet de loi anti-terroriste, or un rejet est plus qu’improbable. Et comme la censure est la meilleure arme pour protéger la corruption d'un État, CQFD.

Notre édorialiste Boris Le Lay, 33 ans, a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à 100 jours de prison a-t-on appris par l’AFP aujourd’hui(http://breizatao.com/2014/10/29/boris-le-lay-conda...crits-politiquement-incorrects). Le motif en est un délit de presse datant de 2010. Lui était reproché d’avoir écrit que les juifs étaient «surreprésentés chez les violeurs et autres désaxés mentaux» et qu’ils avaient une «nature exclusivement parasitaire et improductive». La peine d’emprisonnement sera exécutée si notre éditorialiste ne s’acquitte pas d’une somme de 50 euros par jour pendant 100 jours, soit 5000 euros. Son passeport lui a été retiré sur ordre des ministères de l’Intérieur et des Affaires Etrangères avant même le prononcé du verdict. Détail intéressant, notre éditorialiste n’a même pas été convoqué à son procès et n’a pu être représenté par un avocat. Nous avons bien sûr sollicité notre chroniqueur sur cette condamnation dont s’est fait l’écho la Ligue de Défense Juive: “Je n’ai pas été averti de la tenue du procès. Je n’avais en conséquence pas d’avocat. Mais c’est là un détail puisqu’il s’agit d’une décision politique pour un pseudo délit de nature idéologique. En septembre, c’est Jérôme Bourbon, du journal Rivarol, qui a été condamné à 80 jours de prison moyennant amende pour avoir utilisé le terme “sioniste” dans un sens qui ne plaisait pas au Sanhédrin. Plus récemment, l’essayiste Alain Soral s’est vu menacer de 3 mois de prison ferme pour avoir égratigné le journaliste juif Frédéric Haziza” nous confie-t-il. Avant d’ajouter: “Je ne travaille pas dans le diamant, ni au Fonds Monétaire International. Je ne suis pas non plus un cousin de Roger Cukierman. Je ne dispose pas des sommes évoquées, n’ayant que ma seule plume en guise de bien propre. L’État Français n’a qu’à me boucler pour délit d’opinion, c’est une chose à laquelle un nationaliste breton, catholique de surcroît, s’expose par définition quand il écrit. Ce que je perds en temps je le gagnerai au moins en honneur. Et en publicité.”


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