Vinchentcio все записи автора Вчера смотрел один фильмец на РЕН ТВ



https://youtu.be/MNvsIUepcfs

Конечно он не новый, но актуальный! Там очень много интересного! И тот у кого работает логический подход к фильтру информации найдет для себя клад! :)
Несмотря на что что он длинный досмотрел до корки. И вам советую!



В последнее время французским гражданам в почтовые ящики, залетает такого рода "реклама", пропагандирующая сионистский Израиль и всуе с ним провозглашение Иерусалима столицей оного "государства", места-события обильно поливаемые арабской кровью.

Как сказал Поль Камбон(Paul Cambon):« le Juif est un traître par définition »(ЕВРЕЙ ЭТО ПРЕДАТЕЛЬ ПО ОПРЕДЕЛЕНИЮ)

Infos du Jour

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ÉDITORIAL DE LA SEMAINE La France est-elle l'amie d'Israël ?

Depuis la création de l'État d'Israël en 1948, la France entretient avec l'État hébreu des relations passionnelles et contrariées.

Une succession de hauts et de bas, de tentatives de réconciliations et d'incompréhensions réciproques, qui alimentent les controverses et donnent à ce sujet un caractère ultra-sensible.

Il est vrai que la France a une histoire spéciale avec Israël, du fait de l'importance de la communauté juive sur son territoire, de ses liens avec les pays arabes et de sa volonté de s'impliquer dans les affaires du Proche-Orient où son influence a pourtant décliné.

Les liens particulièrement amicaux d'Israël avec la France furent constants et chaleureux jusqu'en 1967, même si l'arrivée de De Gaulle en 1958 apporta un bémol à ces relations.

Mais, en 1967, sous le fallacieux prétexte que les conseils des Français n'avaient pas été suivi par les Israéliens, le Président De Gaulle a décidé de lâcher son «ami et allié», Israël, pour reconquérir ses amitiés arabes mises à mal par le conflit algérien et ...pour renouer avec la tradition antisioniste, voire antisémite, du Quai d' Orsay ( magnifiquement relaté dans l'ouvrage de David PRYCE-JONES : « Un siècle de trahison : La diplomatie française et les Juifs » (https://www.cjfai.com/eventmaster/blog/2018/05/22/...t-les-juifs-par-emilie-maarek/) .

Depuis, malgré quelques embellies passagères, les relations franco-israéliennes n'ont jamais été au beau fixe, même si un espoir avait pu naître pendant le mandat de Manuel Valls.

Les discours de campagne d'Emmanuel Macron ainsi que ses déplacements en Israël laissaient présager une amélioration de ces relations même si certaines références pouvaient paraître ambigües.

Les derniers développements ( transfert de l'Ambassade américaine à Jérusalem, accord sur le nucléaire iranien,...) sur la scène du Proche-Orient préfiguraient un sérieux accroc au réchauffement qui s'était amorcé après la visite de Netanyaou à Paris lors de la cérémonie du Vel d'Hiv.

Mais depuis l'inauguration de l'Ambassade américaine à Jérusalem et la Marche du Retour des gazaouis désireux d'envahir le territoire israélien, les choses se sont sérieusement gâtées.

Pour les Juifs Français et pour les Amis d'Israël, la position de la France était même perçue comme odieuse !

Le communiqué émanant de la présidence de la république nous a particulièrement heurté et choqué, d'autant plus qu’il était en totale contradiction avec les deux affirmations affichées dans le texte du Président Macron.

En effet, d’une part, il déclare : «condamner les violences des forces armées israéliennes contre les manifestants»… et d’autre part, il affirme : «son attachement à la sécurité d’Israël et la position française constante en faveur d’une solution à deux États, Israël et la Palestine, vivant côte à côte dans des frontières sûres et reconnues».

Comment prétendre garantir des frontières sûres et reconnues pour Israël alors qu’on lui reproche de réagir pour les défendre et ainsi protéger ses citoyens, notamment lorsque ces frontières sont ouvertement et volontairement piétinées et violées par une horde de 40.000 gazaouis qui veulent pénétrer, par la force, en territoire israélien souverain.

La reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, et l’évidence de cette vérité, n’était qu’un nouveau prétexte pour embraser la région. En effet, chaque année, à la même date anniversaire de l'indépendance d'Israël, les palestiniens organisent ce genre de manifestations pour proclamer leur détestation d'Israël et démontrer leur refus d'Israël.

Dans ces conditions, comment l'Autorité Palestinienne peut-elle prétendre accepter une solutions à deux États ? Mais , plus grave encore, comment la France peut-elle proclamer défendre une solution à deux États dans des frontières sûres et reconnues alors qu'elle cautionne ce genre d'attitude !

Face à la menace à ses frontières, le droit et la légitimité d'Israël à se défendre étaient, bien évidemment, du côté d’Israël.

Aussi, cette condamnation du Président de la République était «totalement disproportionnée» par rapport à la réalité du terrain.

Aucune démocratie ne peut se plier ainsi au chantage de la violence. La France, principale victime du même type de fatwas, devait le comprendre mieux que quiconque et soutenir Israël.

Mais la crise des relations franco-israéliennes s'est encore accrue avec la position, plus que surprenante, de la France au Conseil de Sécurité de l'O.N.U !

Non seulement la France condamne en des termes très timorées les exactions et les tirs de roquettes sur les civils israéliens mais elle vote une résolution koweïtienne pour demander une «protection internationale des civils palestiniens en Judée-Samarie et à Gaza». Ce faisant, elle est la seule puissance européenne à la voter ( à l'exception de la Suède dont l'animosité à l'égard d'Israël est légendaire) ! Le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Pologne s'étaient abstenus, ce qui était la moindre des choses !

D'autant plus que cette résolution oubliait, entre autre, que Gaza n'était plus occupée depuis 2006 et qu'elle avait un gouvernement défini comme terroriste par la plupart des pays occidentaux dont la France !

Ainsi, le Gouvernement de la France condamne ce gouvernement terroriste et, en même temps, le défend face à Israël qui se protège de ses attaques !

Nous atteignons là la limite du «en même temps» !

Plus grave encore est le fait que le gouvernement français connaît parfaitement la situation particulièrement délicate en France face à l'antisémitisme: notre pays est aux prises avec un antisémitisme virulent sur tout notre territoire; il sait parfaitement qu'en prenant de telles décisions, contraires à la réalité du terrain, il ne fait qu'attiser la haine de ceux à qui ont donne ainsi un alibi inespéré pour cautionner leurs délires antisémites, en leur donnant ainsi une raison d'agir !

Le gouvernement ne peut pas prétendre combattre l'antisémitisme et «en même temps» allumer la flamme qui le répand !

Richard C. ABITBOL


Affaire Alexis Kohler : le ministère de l'Économie perquisitionné

Le secrétaire général de l'Élysée, bras droit d'Emmanuel Macron, est visé par une enquête du parquet national financier sur un éventuel conflit d'intérêts entre ses postes dans la fonction publique et ses liens avec l'armateur italo-suisse MSC. Alexis Kohler, le bras droit d'Emmanuel Macron a-t-il favorisé un armateur privé impliqué dans des discussions avec l'État et auquel il est étroitement lié? C'est, notamment, pour répondre à cette question que des perquisitions ont été menées ce mercredi à Bercy dans le cadre de l'enquête sur des soupçons de conflit d'intérêts visant le secrétaire général de l'Élysée. Ces perquisitions ont été menées dans des bureaux du ministère de l'Économie et des Finances, où Alexis Kohler a travaillé entre 2012 et 2016, a affirmé une source proche du dossier.…

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Le projet de loi sur les "fausses informations" est liberticide - Causeur
Une tribune de la députée et présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen L’Assemblée nationale examinera, jeudi 7 juin, la proposition de loi « relative à la lutte contre la manipulation de l’information », voulue par Emmanuel Macron. La députée et présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, s’y oppose fermement. « On demande si la liberté de la presse est avantageuse ou préjudiciable à un Etat. La réponse n’est pas difficile. Il est de la plus grande importance de conserver cet usage dans tous les Etats fondés sur la liberté : je dis plus, les inconvénients de cette liberté sont si peu considérables vis-à-vis de ses avantages, que ce devrait être le droit commun de l’univers, et qu’il est à propos de l’autoriser dans tous les gouvernements », disait Denis…

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