-

  • (139)
  •     , (20)
  •    , ; (17)
  •    , , , (16)
  •     (15)
  •     (15)
  •     (12)
  •     ; (11)
  •    , , (8)
  •     (7)
  •    , , (5)
  • (123)
  •     (21)
  •     (21)
  •    . (17)
  •     , (17)
  •     (10)
  •     (10)
  •     (9)
  •    . . (9)
  •     (8)
  •     (6)
  •    . (), . (6)
  • (86)
  •     , (54)
  •    , (31)
  • . . (59)
  •     (19)
  •     (15)
  •     (4)
  • . (46)
  •     (31)
  •     (14)
  • (40)
  •     (17)
  •     (17)
  •     (6)
  • (40)
  • (38)
  •     (19)
  •     , (8)
  •     , hand-made . (5)
  • , (37)
  •     (29)
  •     (6)
  • . (33)
  • , (31)
  • , , (29)
  •    , (19)
  • , (16)
  • (12)


/ Yves Montand. +

, 29 2013 . 21:33 +

Sous le ciel de Paris


Sous le ciel de Paris, 
S'envole une chanson. 
Elle est nee d'aujourd'hui 
Dans le coeur d'un garcon. 
Sous le ciel de Paris, 
Marchent les amoureux. 
Leur bonheur se construit 
Sur un fait pour eux. 
Sous le pont de Bercy, 
Un philosophe assis, 
Deux musiciens, quelques badauds 
Puis des gens par milliers, 
Sous le ciel de Paris, 
Jusqu'au soir, vont chanter 
L'hymne d'un peuple epris 
De sa vieille Cite. 
Pres de Notre-Dame, 
Parfois, couve un drame, 
Oui, mais a Paname, 
Tout peut s'arranger. 
Quelques rayons du ciel d'ete, 
L'accordeon d'un marinier, 
L'espoir fleurit 
Au ciel de Paris. 
Sous le ciel de Paris, 
Coule un fleuve joyeux. 
Il endort, dans la nuit, 
Les clochards et les gueux. 
Sous le ciel de Paris, 
Les oiseaux du Bon Dieu 
Viennent du monde entier 
Pour bavarder entre eux 
Et le ciel de Paris 
A son secret pour lui. 
Depuis vingt siecles, il est epris 
De notre ile Saint-Louis. 
Quand elle lui sourit, 
Il met son habit bleu. 
Quand il pleut sur Paris, 
C'est qu'il est malheureux. 
Quand il est trop jaloux 
De ses millions d'amants, 
Il fait gronder sur eux 
Son tonnerre eclatant 
Mais le ciel de Paris n'est pas longtemps 
cruel... 
Pour se faire pardonner, il offre un 
arc-en-ciel...

 

A Paris



Quand un amour fleurit
Ca fait pendant des s'maines
Deux coeurs qui se sourient
Tout ça parce qu'ils s'aiment
A Paris
Au printemps
Sur les toits les girouettes tournent
Et font les coquettes
Avec le premier vent
Qui passe indifférent
Nonchalant
Car le vent
Quand il vient à Paris
N'a plus qu'un seul souci
C'est d'aller musarder
Dans tous les beaux quartiers
De Paris
Le soleil, qui est son vieux copain
Est aussi de la fête
Et comme deux collégiens
Ils s'en vont en goguette
Dans Paris
Et la main dans la main
Ils vont sans se frapper
Regardant en chemin si Paris a changé.
 
Y a toujours
Des taxis en maraude
Qui vous chargent en fraude,
Avant le sationnement
Où y a encore l'agent des taxis
Au café, on voit n'importe
Qui qui boit n'importe quoi
Qui parle avec ses mains
Qu'est là depuis l'matin
Au café
Y a la Seine
A n'importe quelle heure
Ellle a ses visiteurs
Qui lla r'gardent dans les yeux
Ce sont ses amoureurx, à la Seine
Et y ceux, ceux qui ont fait leur lit
Près du lit de la Seine
Et qui s'lavent à midi,,
Tous les jours de la s'maine, dans la Seine
 
Et les autres, ceux qui en ont vu d'trop
Et qui veulent oublier, alors, ils'jettent à l'eau
Mais la Seine,
Ellle préfère
Voir les jolis bateaux naviguer sur elle
Et au fil de son eau, jouer aux caravelles, sur la Seine
Les ennuis, y'en a pas qu'à Paris,
Y'en a dans l'monde entier
Oui, mais dansl'monde entier,
Y'a pas partout Paris
V'là l'ennui
A Paris, au quatorze juillet
A la lueur des lampions
On danse sans arrêt
Au son d'l'accordéon
Dans les rues
 
Depuis qu'à Paris
On a pris la Bastille
Dans tous les faubourgs
Et chaque carrefour,
Il y a des gars et il y a des filles
Qui, , sans arrêt, sur les pavés
Nuit et jour, font des tours
Et des tours

 

Les feuilles mortes


Oh, je voudrais tant que tu te souviennes

Des jours heureux où nous étions amis

En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
 
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois, je n'ai pas oublié
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi.
 
Et le vent du Nord les emporte,
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois je n'ai pas oublié,
La chanson que tu me chantais...
 
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi,
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie.
 
Je t'aimais tant, tu étais si jolie,
Comment veux-tu que je t'oublie?
En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
 
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n'ai que faire des regrets.
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l'entendrai.
 
C'est une chanson qui nous ressemble,
Toi tu m'aimais, moi je t'aimais
Et nous vivions, tous deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
 
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
 
C'est une chanson qui nous ressemble,
Toi tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
 
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
 
 

Quand tu dors près de moi


Quand tu dors près de moi
Tu murmures parfois
Le nom mal oublié
De cet homme que tu aimais
 
Et tout seul près de toi
Je me souviens tout bas
Toutes ces choses que je crois
Mais que toi, ma chérie, tu ne crois pas
 
Les gestes étourdissants
Etourdis de la nuit
Les mots émerveillés
Merveilleux de notre amour
 
Si cet air te rejoint
Si tu l'entends soudain
Je t'en pris, comme moi

Ne dis rien, mais rappelle-toi, chérie

 

Joli mai


Joli mai, c'était tous les jours fête

Il était né coiffé de muguet
Sur son cœur il portait la rosette
La légion du bonheur joli mai
Sur son cœur il portait la rosette
La légion du bonheur joli mai.
 
On l'a gardé le temps de le croire
Il est parti pendant qu'on dormait
Emportant la clé de notre histoire
Joli mai ne reviendra jamais
Emportant la clé de notre histoire
Joli mai ne reviendra jamais.
 
Joli mai, notre amour était brève
L'été vient qui mûrit le regret
Le soleil met du plomb dans les rêves
Sur la lune, on affiche complet
Le soleil met du plomb dans les rêves
Sur la lune, on affiche complet.
 
Joli mai, tu as laissé tes songes
Dans Paris pour les enraciner
Ton foulard sur les yeux des mensonges,
Et ton rouge dans la gorge de l'année
Ton foulard sur les yeux des mensonges,
Et ton rouge dans la gorge de l'année
 

" ":
1 - / Georges Brassens. +
2 - / Yves Montand. +
3 - = =
4 - / Mireille Mathieu
...
10 - ,
11 - ...
12 - . ( + ).


:  

_-   , 29 2015 . 14:28 ()
.
   
: [1] []
 

:
: 

: ( )

:

  URL