«Je visite la France, quand même!» |
Le Premier ministre Manuel Valls a martelé vendredi soir son ambition de faire campagne pour les départementales "jusqu'au bout, pour mobiliser, sans relâche" lors d'un meeting dans les Côtes d'Armor, à dix jours du premier tour. Il est partout, en ville avec les immigrés analphabètes, en campagne avec les cochons et les poules, même à l'hippodrome d'Yffiniac devant 500 militants séniles, tout près de Saint-Brieuc. Là-bas, notre juif a d'abord rendu hommage à Claudy Lebreton, président PS du conseil général des Côtes d'Armor et qui ne se représente pas: "Tu as fait beaucoup pour ce département. Mais tu as aussi fait beaucoup pour les départements dont tu présides l'association". "Nous avons beaucoup discuté, et nous sommes entendus sur l'essentiel", a-t-il souligné. "Les régions sont une force inouïe pour notre pays (...). Un échelon dont l'histoire puise au plus profond de notre République" (http://www.lepoint.fr/politique/valls-je-ferai-cam...ache-13-03-2015-1912689_20.php). Le Premier ministre a ensuite souligné "deux promesses tenues (...): le non cumul des mandats et la parité". "Oui, la parité, c'est nous qui l'avons faite". "Il est temps de réhabiliter la politique", a ajouté Manuel Valls en faisant applaudir les candidats par l'assistance. "Le choix, désormais, il appartient aux électeurs de le faire", a-t-il dit. "A nous aussi de rappeler que chaque élection a des conséquences!" "Mobilisons-nous aussi pour notre pays, pour dire aux Français que nous avançons. Dans le dialogue", a-t-il ajouté. "L'objectif, c'est une France plus juste et plus forte". "Quand on a été Président de la République, on respecte le peuple, on fait un choix, on ne fait pas de ni ni", a-t-il dit en allusion à son co-religionnaire Nicolas Sarkozy. "Je ne veux pas laisser le Front national gravir une marche de plus à l'occasion de ces élections!", a-t-il poursuivi. "Je ne veux pas que ce soit cela l'image de la France, en Europe, dans le monde". "Je ne veux pas laisser le champ libre à ce parti qui tolère dans ses rangs des propos - et un seul propos, c'est déjà trop! - racistes, antisémites, sexistes, homophobes", a-t-il ajouté, affirmant que "l'abstention, c'est faire le jeu du FN". Une longue litanie de formules creuses sorties tout droit de la bouche d'un parasite de la politique rémunéré à vie.
Il y a une semaine, lors de la journée internationale des droits des femmes, ce sont deux hommes qui se sont écharpés dans les médias. Manuel Valls a accusé le philosophe Michel Onfray de "perdre les repères" et de préférer l'intellectuel de la Nouvelle Droite, Alain de Benoist, à Bernard-Henri Lévy. "Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu'Alain de Benoist, qui était le philosophe de la Nouvelle Droite dans les années 70 et 80, qui d'une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l'Horloge, le Grece, (...) au fond vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu'on perd les repères", a dénoncé le Premier ministre sur Europe 1/i>Télé/Le Monde (http://www.lepoint.fr/politique/valls-accuse-miche...eres-08-03-2015-1911200_20.php). "Dans ce moment-là, mon rôle, le rôle des formations politiques, c'est de faire en sorte qu'on comprenne quels sont les enjeux", a-t-il confié. Ces propos du Premier ministre font suite à une interview de Michel Onfray au Point, où il affirmait "préfére(r) une analyse juste d'Alain de Benoist à une analyse injuste de Minc, Attali ou Bernard-Henri Lévy" (la basse cours juive). "Les Papous vont hurler! Mais ils ne me feront pas dire que je préfère une analyse injuste de BHL sous prétexte qu'il est dit qu'il est de gauche (...)", ajoutait-il. "Manuel Valls, l'ami de BHL, perd les pédales!" a réagi dimanche après-midi dans un communiqué le philosophe. "S'il faut une explication de texte à Manuel Valls (...) je disais que, moi qui suis de gauche, je préférais une idée juste, fût-elle de droite, à une idée fausse même si elle est de gauche, surtout si elle est de gauche. Quel philosophe, quel citoyen même, pourrait soutenir le contraire d'ailleurs, sauf à préférer l'erreur et le faux pour des raisons idéologiques?" s'est-il défendu. La gauche politique prouve une nouvelle fois qu'elle n'a pas de projets pour la France, et qu'elle se contente de critiques faciles envers ses opposants. Heureusement que ces départementales vont nous offrir l'occasion de passer un bon coup de balai sur les pourris du système: Francs-Maçons, Juifs et Associations de la Mémoire sélective. Tous dehors!
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