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Les 2 mobylettes de la «Solution Finale»

Суббота, 14 Марта 2015 г. 14:00 + в цитатник

Comme disait Jésus: «le Diable se cache dans les détails!». Regardez la $hoah, c'est l’événement le plus célèbre de l'histoire de l'humanité, et pourtant on connaît très peu de choses dessus à part les documentaires émotionnels et les films de science fiction à la Spielberg! Pour sûr, c'était de la mort industrielle, mais la machine était loin d'être infaillible. On apprend ainsi que les Nazis ont utilisé deux mobylettes d'appartement pour couvrir les cris des suppliciés, malheureusement elles sont rapidement tombées en panne, et tout le camp a alors pu comprendre que les juifs chantaient faux sous la douche.



Un mois jour pour jour après que quelque quatre millions de Français eurent défilé dans les rues de France pour défendre la liberté d’expression, le 11 février 2015, le révisionniste Vincent Reynouard était condamné par le tribunal correctionnel de Coutances (Manche) à deux ans de prison ferme pour avoir contrevenu à la loi Gayssot interdisant depuis un quart de siècle toute contestation publique de l’“Oh Low Cost” en postant sur la Toile des vidéos pédagogiques historiquement incorrectes (http://www.interet-general.info/spip.php?article21118). Qui connaît un tant soit peu Vincent sait à quel point ce quadragénaire souriant et travailleur est un homme pacifique, apôtre de la non-violence. Le condamner à une peine aussi lourde, alors qu’il n’a commis d’autre crime que de dévoiler les conclusions de ses recherches historiques et de dire publiquement, à visage découvert, sa sympathie sincère pour les puissances de l’Axe est une infamie. Aux conséquences désastreuses, puisque Reynouard, du fait de cette condamnation judiciaire, vient de perdre les deux activités professionnelles qu’il avait réussi non sans mal à obtenir et qu’il se voit condamné à un dilemme cornélien: soit retourner derrière les barreaux d’ici quelques mois, lorsque la cour d’appel de Caen aura, hélas selon toute vraisemblance, maintenu une peine de prison ferme et que la cour de cassation l’aura confirmée, soit s’exiler pour toujours. Que l’on nous permette dans cet éditorial de rappeler à cette occasion —car ils le méritent— les noms des courageux militants révisionnistes actuellement embastillés pour avoir refusé de brûler leur grain d’encens devant l’idole holocaustique (merci à Bocage de nous avoir considérablement aidé dans ce travail). L’Allemagne est sans surprise le pays le plus hostile à la libre expression du révisionnisme. A la prison de Brandenbourg-sur-Havel est détenu depuis le 25 février 2009 l’héroïque avocat Horst Mahler, 79 ans, ancien membre de la Fraction armée rouge dans les années 1970, condamné à 12 ans et 11 mois de prison (qui dit mieux?) et qui ne pourra être libéré qu’en 2021, à 85 ans! Il risque même davantage depuis qu’une affaire a été ouverte contre lui pour avoir été à l’origine de la diffusion sur la Toile —et par la suite sur papier!— d’un livre, Das Ende der Wanderschaft [La fn de l’errance], qu’il a écrit en prison en guise de réponse au livre de Gilad Atzmon, Quel juif errant?, qui lui avait été envoyé à la prison. En Allemagne encore, mais cette fois à la prison de Bützow: Axel Möller, 49 ans, ancien responsable du site Altermedia Deutschland, a été condamné à 3 ans et demi et est incarcéré depuis le 7 décembre 2011 (il devrait normalement sortir le 29 mai 2015). Outre-Rhin toujours, à la prison de Nuremberg est détenu Gerd Ittner, 56 ans (qui a fait des études d’archéologie, de sanskrit et d’indologie). Condamné en 2005 à 2 ans et 9 mois de prison, Ittner s’est enfui, a été en exil pendant 7 ans, arrêté au Portugal le 11 avril 2012 où il reste incarcéré 5 mois, puis est extradé en Allemagne le 18 septembre 2012. Il avait en principe terminé sa peine le 15 octobre 2014, mais on le prévient, deux jours avant sa sortie, qu’une autre affaire est ouverte contre lui et qu’on le maintient en prison en attendant le procès (vraisemblablement pour éviter qu’il n’échappe à la justice): en effet, pendant son incarcération au Portugal il a envoyé à des personnalités des courriers contestant les crimes contre l’humanité, courriers pour lesquels il devrait être jugé prochainement. En Autriche, à la prison de Krems-sur-Stein est incarcéré Wolfgang Fröhlich, 63 ans, ingénieur chimiste (spécialiste des questions de désinfection!). Il a fait l’objet de plusieurs condamnations, toutes pour révisionnisme, condamné au total à plus de 8 ans de prison, incarcéré depuis août 2007 et ne devrait pas sortir avant janvier 2016. Il envoie des courriers à toutes sortes d’autorités —au président de la République Heinz Fischer, au chancelier, à une «commission épiscopale», dépose plainte contre le faux expert Jagschitz, etc.— mais n’obtient jamais aucune réponse à aucun de ses écrits… A cette liste, il convient d’ajouter tous les révisionnistes qui ont déjà été emprisonnés dans le passé pour leurs travaux: le fondateur et directeur du Courrier du Continent Gaston-Armand Amaudruz (Suisse, emprisonné à l’âge de 83 ans!), René-Louis Berclaz (Suisse), Frank Brunner (Suisse), Günter Deckert (Allemand), Dietlieb Felderer (Suédois), le directeur de Révision Alain Guionnet (Français), Gerd Honsik (Autrichien), David Irving (Anglais), Walter Ochensberger (Autrichien), Franz Radl (Autrichien), Ahmed Rami (Suédois), Fritz Rebhandl (Autrichien), Vincent Reynouard (Français), Manfred Roeder (en tout 12 ans de prison), Germar Rudolf (Allemand), Hans Schmidt (Germano-Américain), Herbert Schweiger (Autrichien), Simon Sheppard et Steven Whittle (Anglais), Sylvia Stolz (Allemande), Fred Toben (Australien), Pedro Varela (Espagnol), Siegfried Verbeke (Flamand), Udo Walendy (Allemand), Ernst-Hubert Zafke (Allemand), Ernst Zündel (Germano-Canadien, 7 ans). Le cas de Jürgen Graf, l’auteur de L’Holocauste au scanner, est particulier car il n’a pas réellement été embastillé: condamné à 15 mois de prison ferme le 16 juillet 1998, confirmé le 23 juin 1999, J. Graf s’est exilé, n’a pas été extradé du lieu de son exil et devrait enfin pouvoir rentrer en Suisse prochainement car la prescription de sa condamnation est acquise depuis le 2 septembre 2014. Seize actuellement dans le monde punissent pénalement le révisionnisme. Il s’agit de l’Allemagne, de l’Autriche, de la Belgique, de l’Espagne, de la France (qui fut la première nation à voter une loi antirévisionniste, dès 1990, il n’y a pas de quoi s’en vanter!), de la Hongrie, d’Israël, du Liechtenstein, de la Lituanie, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la Pologne, du Portugal, de la République tchèque, de la Roumanie, de la Suisse. Un dix-septième État pourrait bientôt s’ajouter à cette liste impressionnante: l’Italie. La loi antirévisionniste a en effet été approuvée le 11 février 2015 par le Sénat et doit repasser devant la Chambre sous peu… Notons toutefois que les persécutions peuvent prendre bien d’autres formes, parfois bien plus insidieuses: les révisionnistes, on les assassine (François Duprat en 1978, vraisemblablement le Polonais Ratajczak), on les vitriole (Michel Caignet), on les roue de coups (Robert Faurisson en 1989 à Vichy), on les chasse de leur emploi (Bernard Notin en 1990, Vincent Reynouard en 1997 et tant d’autres), on les dépossède de leurs titres universitaires ou professionnels (Wilhelm Stäglich, Henri Roques, Eric Delcroix), on s’attaque à leur femme ou à leurs enfants… et/ou on les accable d’amendes et de dommages-intérêts pour les ruiner (Jean-Louis Berger, Martin Peltier, Georges Theil, Fredrick Töben, David Irving, et tant d’autres). Il ne faut pas compter sur les grands media pour évoquer le cas de ces martyrs des temps modernes. Même dans la mouvance dite d’extrême droite combien croient plus sage, plus habile, plus efficace de ne jamais parler du révisionnisme ni même de la redoutable répression qui frappe les révisionnistes! Ce ne sont que des lâches ou des imbéciles, des jeanfoutre pour lesquels nous n’avons que mépris. Si le révisionnisme n’était pas essentiel, si l’“Oh Low Cost” n’était pas la clé de voûte du système mondial, une contre-religion et une contre-morale universelle, croit-on vraiment que le Système se donnerait tant de peine pour faire taire par tous les moyens une poignée de libres chercheurs imperméables à toutes les pressions avouables et inavouables? Les juifs ne peuvent pas argumenter la $hoah, car on n'argumente pas l'émotionnel! Texte de Jérôme BOURBON.



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