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Ils ont tombé le masque: par un sentiment d'éternité et de supériorité.

Ñóááîòà, 28 Ôåâðàëÿ 2015 ã. 13:34 + â öèòàòíèê

Au mois de février 2015, le lobby sioniste international était aux prises avec d’innombrables états et ce simultanément, dont la superpuissance américaine, l’Iran, l’Argentine, l’Ukraine, la Russie, le Vatican, l’Australie ou la France. Netanyahou au congrès américain sans avoir été invité par Obama. Les USA sont fortement ébranlés par une polémique qui oppose la présidence américaine d’une part et le lobby juif de l’autre. Le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a décidé de se rendre aux USA sans avoir reçu d’invitation de la part du président américain. Les règles diplomatiques veulent qu’un chef de gouvernement ou un chef de l’état d’un pays désirant en visiter un autre s’accorde avec les autorités locales. C’est la première fois qu’un chef de gouvernement étranger se comporte de la sorte aux USA. Netanyahou entend venir aux USA pour tenir un discours au parlement américain sur la question du nucléaire iranien, malgré l’opposition du président des États-Unis qui dénonce une ingérence flagrante. Ce discours vise à appeler les parlementaires américains à contrer la Maison Blanche dans sa recherche d’un compromis diplomatique avec l’Iran au sujet de son programme nucléaire. L’ingérence du gouvernement israélien est à ce point humiliante pour le chef de l’État Américain, que ce dernier n’assistera pas au discours prévu. Une première dans l’histoire des relations diplomatiques des deux pays qui se retrouvent à un plus bas historique (http://breizatao.com/2015/02/24/guerre-sainte-juiv...ance-laustralie-liran-la-syrie). Le lobby sioniste mobilise ses figures de proue les plus fameuses, comme le Prix Nobel de la Paix Elie Wiesel – dont les récits sur l’holocauste sont largement remis en cause. Le milliardaire juif américain Sheldon Adelson a menacé d’user de tout son argent pour humilier et empêcher la réélection de tout élu au Congrès qui boycotterait le discours du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Israël tente de renverser la présidente de l’Argentine. Au même moment, Israël et le lobby sioniste international sont lancés dans une vaste campagne visant à renverser le gouvernement argentin et sa présidente, Cristina Kirchner. Kirchner est une opposante déterminée au lobby sioniste et à l’Etat d’Israël (source) et entretient à ce titre de bonnes relations avec l’Iran. Israël a tenté à plusieurs reprises de déstabiliser Kirchner afin d’enrayer le soutien diplomatique de l’Argentine à Téhéran. Pour cela, Tel Aviv a tenté d’agiter la communauté juive locale contre la diplomatie de Buenos Aires ou encore d’accuser le gouvernement de complaisance face à l’attentat ayant visé l’ambassade d’Israël en 1992. Kirchner a récemment critiqué les chefs de la communauté juive pour placer les intérêts d’Israël avant ceux de l’Argentine. Mais la situation a pris une tournure spectaculaire ces dernières semaines. Les services secrets israéliens ont lancé une campagne autour de l’assassinat d’un juge argentin d’origine juive qui accusait la présidente de couvrir l’Iran dans un attentat contre un centre communautaire juif en 1994. Tel Aviv accuse Téhéran d’avoir mené ces attentats et soutient depuis des années un magistrat argentin d’origine juive, Alberto Nisman, qui était parti en croisade, sur ordre d’Israël, contre le gouvernement argentin. Son assassinat, présenté par le lobby juif comme le fait d’agents iraniens soutenus par Kirchner, a servi à mobiliser des centaines de milliers d’Argentins lors de manifestations anti-gouvernementales. Kirchner a dénoncé une “ingérence israélienne” dans les affaires intérieures du pays. Elle a notamment souligné une lettre communiquée par Alberto Nisman au gouvernement américain et israélien demandant d’intégrer dans les négociations autour du nucléaire iranien l’affaire de l’attentat de 1994. Le but: torpiller les négociations en cours entre Téhéran et Washington, actuellement très avancées, dont nous parlions précédemment. Kirchner a également souligné, lors d’une visite d’une centrale nucléaire, que “certaines personnes veulent que l’Argentine demeure sans plan nucléaire, une Argentine qui ne se développe pas scientifiquement, une Argentine avec de bas salaires et un faible coût du travail”. Il s’avère en réalité que l’Argentine a noué un partenariat stratégique avec l’Iran pour développer son propre programme nucléaire civil. L’Argentine, en échange d’une étroite coopération bilatérale dans le domaine, soutient logiquement la normalisation du programme nucléaire iranien. Tant pour y accéder elle-même que pour continuer de bénéficier de l’appui de Téhéran dans son propre programme. Cette coopération constitue un obstacle considérable qui entrave les projets israéliens contre l’Iran et émoussent les sanctions visant Téhéran décrétés par les USA. Le lobby juif combat le gouvernement australien sur la liberté d’expression. Le gouvernement conservateur mené par Tony Abbott en Australie entendait redonner leur liberté d’expression aux Australiens en abolissant les lois dites “antiracistes” relatives au débat intellectuel. Partisan d’une vision libérale d’inspiration américaine de la liberté d’expression, Tony Abbott voulait en finir avec les lois liberticides imposées par la gauche travailliste. Las, le chef du gouvernement australien a subi une violente campagne de presse menée par le lobby juif qui entend maintenir la pression sur les Blancs du pays, en dressant contre eux les minorités raciales immigrées. Le lobby juif, suite à la guerre menée par Israël à Gaza, estime également que toute libéralisation de la liberté d’expression aboutirait à des critiques massives de l’état juif. En 2014, l’ancien premier ministre australien Bob Carr avait dénoncé le “lobby pro-israélien de Melbourne” qui exerçait une “formidable influence sur la diplomatie de l’Australie”. L’ancien chef de gouvernement avait dénoncé un niveau de pression “malsain” de la part du lobby juif sur la conduite des affaires diplomatiques du pays. Le résultat du recul du premier ministre australien Tony Abbott a mené à une prise de conscience en Australie sur la mise en danger de la liberté d’expression. Ainsi un sondage récent montre que pour 39% des Australiens, la liberté d’expression est le droit fondamental le plus en danger dans leur pays. Pire, opérant un retournement complet, le même premier ministre a annoncé vouloir “durcir” les lois sur la presse dès lors qu’il s’agirait de propos “incitant à la haine”. Un virage à 180° qui a profondément choqué les citoyens et les médiats qui dénoncent l’opportunisme de l’actuel chef du gouvernement, au plus bas dans les sondages.

En France, le lobby juif a ordonné au gouvernement français de suspendre la liberté d’expression. Le gouvernement socialiste du juif Manuel Valls devrait suspendre purement et simplement le principe fondamental de pouvoir s’exprimer librement. Christiane Taubira, le 22 février dernier, a annoncé devant le représentant de l’Union des Étudiants juifs de France et la LICRA, la censure générale d’internet. Hier, François Hollande présent au dîner du CRIJF – le lobby juif français – a annoncé que les écrits ou publications “racistes et antisémites” quitteraient la loi sur la liberté de la presse de 1881. Ce qui constitue la conclusion logique de 40 ans de répression de la presse libre. Cette annonce formelle fait suite à celle formulée par le même François Hollande lors des célébrations du 70ème anniversaire de la conquête de la prison d’Auschwitz par les troupes staliniennes. Mais en faisant basculer les publications des écrivains, journalistes, blogueurs ou conférenciers dans le droit commun, une rupture fondamentale est opéré dans la loi française. Après 134 ans d’un régime qui se voulait encore protecteur de la vie intellectuelle – fruit de la Troisième République – le gouvernement français a annoncé que tout écrit déviant serait désormais un délit de droit commun passible de 7 ans de prison. Un recul jamais vu depuis le XIXème siècle en France. Il est à noter que c’est le précédent du passage du délit d’opinion dit “d’apologie du terrorisme” de la loi sur la presse de 1881 au droit commun qui motive cette volonté de faire de même avec tout écrit déviant. Comme pour cette “apologie”, elle s’appliquerait aussi dans le cas de propos tenus en privé entre deux individus. L’Etat pourra donc réprimer les conversations entre deux amis sur internet, s’il le désire. La récente condamnation à deux ans de prison de l’historien révisionniste Vincent Reynouard pour deux vidéos publiées sur internet fait suite aux nombreuses condamnations des auteurs considérés comme idéologiquement déviants par le gouvernement et le lobby juif français. Ce recul est si spectaculaire, que même les associations antiracistes – sauf la LICRA – ont dénoncé une “dérive grave”. Il n’est pas jusqu’au Syndicat de la Magistrature – extrême-gauche – qui ne se soit publiquement déclaré hostile à cette évolution. Pire encore, a été annoncé le blocage par la police, sans possibilité d’appel, des sites désignés “racistes”, “antisémites”, “islamophobes”, “homophobes” ou autres par le gouvernement et à sa discrétion. Le procédé, avec ou sans juge, relevant de la censure pure et simple.

L’Ukraine: un coup d’état réalisé par le lobby sioniste international. Le coup d’état en Ukraine, au printemps dernier, a permis à de nombreux oligarques juifs d’accéder au pouvoir, en lien avec la CIA. Ainsi Piotr Poroshenko, d’origine juive et ami de Bernard Henri Lévy, est-il le nouveau président du pays. Son premier ministre, Arseny Yatsenyuk est également juif. Le nouveau maire de Kiev, la capitale, Vitali Klitchko, est également d’origine juive. La première fortune du pays, le juif Viktor Pinchuk, est un des grands soutiens de l’actuel gouvernement. Il a financé un documentaire réalisé par Steven Spielberg sur “l’holocauste en Ukraine”. L’ancienne premier ministre du pays, l’oligarque corrompue Julia Timochenko, est également une juive balte. On pourrait citer Vadim Rabinovich, vice-président du congrès juif européen, ennemi juré de “l’extrême-droite” et fondateur de la chaîne de télévision Jewish News One. On pourrait aussi citer Igor “Benya” Kolomoysky, milliardaire et parrain de la pègre de la région de Dnipropetrovsk. Il a fondé sa fortune sur la spoliation du peuple ukrainien à la chute de l’URSS. Ces individus sont soutenus depuis l’origine par des membres éminents du judaïsme américain. A commencer par la juive Victoria Nuland (Nudelman) qui représentait les USA en Europe lors du coup d’état, ou encore du millionnaire John Kerry (Kohn), l’actuel ministre des Affaires Etrangères américaines. Ils ont également reçu le soutien de l’Anti-Defamation League, la LICRA américaine. Il ne faut pas oublier le soutien déterminé du millionnaire juif Laurent Fabius-Mortimer, actuel ministre des Affaires Etrangères français ou du juif David Cameron (Levita), actuel premier ministre britannique. Un rabbin vit en permanence avec le Pape François au Vatican. Il est un autre lieu où le lobby sioniste a acquis une influence colossale et mène une guerre permanente: le Vatican. Le Pape François est le premier à s’être rendu sur la tombe de Theodor Herzl en Israël, un des pères du sionisme, explicitement rejeté par le Pape Saint Pie X. L’allégeance du Vatican au judaïsme va si loin que désormais un rabbin loge à plein temps au Vatican aux côtés du Pape François. C’est ce qu’indique un soutien de Bergoglio, le procureur argentin Señor Jack Tollers dans une interview publiée sur le blog “From Rome”: “Le rabbin Abraham Skorka se trouve vivre avec lui (le pape François) à Santa Maria, croyez-le ou non”. Abraham Skorka est un rabbin d’Argentine, familier de Bergoglio, servant d’intermédiaire au profit du judaïsme mondial. En guise de hors d’oeuvre signalons que Skorka a fait étudier la Torah à Bergoglio qui l’a fait Docteur de l’Université Pontificale d’Argentine afin de démontrer “qu’un juif peut enseigner des Catholiques”. C’est ce que le rabbin résidant au Vatican indiquait récemment au Jewish Journal. Il ne se passe pas une semaine sans que des délégations juives ne paradent au Vatican, devant un Jorge Bergoglio extatique. Ainsi en est-il de représentants de l’Université Hébraïque de Jérusalem le 26 janvier dernier (source). C’est à un rabbin, Alvin Berkun, que Bergoglio faisait une déclaration emphatique contre “l’antisémitisme” lors d’une rencontre en juin 2013 (source). Détail évocateur, Berkun est un des architectes de la pression exercée sur la Maison Blanche pour libérer l’espion israélien Jonathan Pollard (source). Ce dernier a volé des secrets d’état américains pour les délivrer à l’entité sioniste et est depuis emprisonné aux USA. Le Pape François comme son meilleur ami, le rabbin Skorka, étudient l’oeuvre du rabbin Joshua Heschel. Heschel est connu pour avoir mené les discussions avec les éléments anticatholiques situés dans la diplomatie vaticane, juste avant l’ouverture du Concile Vatican II. Concile qui annoncerait l’effondrement intérieur et extérieure de l’Église Catholique et le triomphe des juifs au sein de celle-ci, tant au plan diplomatique que théologique. La maçonnerie juive, pourtant formellement décrétée comme antichrétienne, est devenue – par son organe officiel qu’est le B’naï Brith – un interlocuteur permanent du Vatican depuis ce concile. En 2006, le Pape Benoît XVI accordait une audience spéciale à celle-ci, le même Benoît XVI qui rappelait en 1983, en tant que cardinal en charge du dogme, l’incompatibilité de la maçonnerie avec la Foi Catholique. Pour en revenir à Heschel, celui avait notamment déclaré: “Heschel expliqua ensuite la stratégie derrière sa référence à Auschwitz: “Les Chrétiens ont correctement compris que je les comparais aux Nazis. Si j’avais fait une déclaration frontale en leur disant: “Vous êtes des Nazis”, cela aurait eu l’air ridicule. Mon style d’écriture repose sur des indices, parce que la vérité se trouve dans les profondeurs. Il y a ceux qui veulent attaquer leurs corps, moi je veux attaquer leurs âmes.” ( Interrogé par Geula Cohen pour le journal Ma’ariv le 4 janvier 1965). Heschel, maître à penser de Bergoglio, était l’architecte des futures relations entre judaïsme et Catholicisme, ou plus exactement de la prise de contrôle du Vatican par le judaïsme. Le Cardinal Bea et Heschel se rencontrèrent le 13 juillet 1961 dans les sous-sols du Vatican pour “expurger de la liturgie catholique” tous les “éléments antijuifs”, c’est-à-dire incompatible avec le judaïsme (source). Furent ciblées les références au meurtre de Jésus par les juifs et la revendication de ce meurtre lors des célébrations de Pâques, sur la base de l’évangile selon Saint Matthieu: “Et tout le peuple répondit: Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants !” (Saint Matthieu 27:25) L’on sait depuis que le judaïsme international n’a de cesse de faire pression pour que la prière pour la conversion des juifs, faite le Vendredi Saint, soit définitivement abandonné. Il s’agit là de vaincre définitivement le Catholicisme car si les Chrétiens ne prient plus pour la conversion des juifs, cela signifie que l’erreur juive est admise comme juste par l’Église et avec cette erreur disparaît la Vérité dont est dépositaire le Catholicisme. Comme on le voit, si le Vatican a été subjugué par le judaïsme mondial, l’avènement de Bergoglio a signifié l’entrée des rabbins antichrétiens au plus haut sommet de l’Eglise Catholique ou du moins de son siège. La tentative de résistance traditionnaliste menée par Monseigneur Lefebvre avec la fondation de la Fraternité Sacerdotale Sainte Pie X n’a pas empêché les juifs de neutraliser ce dangereux mouvement. Ainsi, c’est désormais un juif américain connu pour son soutien radical à l’Etat d’Israël qui gère les finances de cette fraternité: Maximilien Krah. Depuis son avènement, ladite fraternité cherche à rallier le Vatican de Bergoglio, malgré ses déclarations et initiatives objectivement hérétiques (synode sur la Famille, etc.). Le sionisme international plus que jamais en guerre. Ce serait oublier que dans le même temps, le lobby sioniste international mène une guerre par procuration contre la Syrie et le Hezbollah libanais. Ou qu’il la fait directement – contre des civils désarmés – dans le camp de concentration de Gaza. Il faudrait aussi évoquer la grande guerre menée contre la Russie dont notre éditorialiste Boris Le Lay a parlé extensivement dans cette vidéo. Cette débauche d’énergie au niveau mondial dépasse – et de loin – le seul état d’Israël et ses quelques millions d’habitants. Cette Internationale Noire, à l’œuvre sur tous les continents, déclarant une guerre ouverte ou fermée à tous ceux qu’elle entend réduire en soumission – individu, église ou état – dispose de moyens matériels quasi illimités. Ainsi contrôle-t-elle les finances de la première puissance planétaire, en l’occurrence la Réserve Fédérale des USA. Ses trois derniers directeurs ont été des juifs: Alan Greenspan, Ben Bernanke et Janet Yellen. Ce à quoi s’ajoute la puissante place financière juive qu’est New York et son vaisseau amiral qu’est la Goldman Sachs. Si l’on y ajoute l’action de cette puissance satanique dans l’appareil d’état américain, il n’est pas exagéré de dire que l’Amérique n’est plus qu’une proie dont ce vampire se nourrit des forces vitales jusqu’à la dévorer vivante. Il en va de même de la France, subjuguée par cette force des ténèbres. A mesure que la tyrannie du sionisme international devient chaque jour plus agressive, carnassière et arrogante, la résistance – autrement appelée “antisémitisme” par la presse dévouée à la pieuvre mondiale – explose. Plus la guerre progresse et plus l’antique haine des juifs se répand, enflammant un pays après l’autre. Ce n’est pas là un phénomène accidentel: c’est bien le Sionisme le moteur de l’Antisémitisme et c’est à la confusion entre cause et conséquence que travaillent les propagandistes de ce vaste empire invisible. Il y a là une évidence qu’il faudrait aveugle pour ne pas voir, sourd pour ne pas entendre.

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