La $hoah effectue une sortie de route. La chambre à air aurait explosé. |
Comme un poisson n'a jamais prouvé l'existence du monstre du Loch Ness, un cadavre n'a jamais prouvé l'existence des chambres à gaz! L’ancien enseignant révisionniste Vincent Reynouard a été condamné mercredi à deux ans de prison ferme pour avoir diffusé sur Internet des vidéos contestant les crimes contre l’humanité de 39-45, diffusées l’an dernier, avant le 70 ème anniversaire du Débarquement en Normandie. La loi ne prévoyant pourtant une peine d’une année de prison au maximum, la justice a donc rendu un verdict parfaitement illégal, signe de la répression généralisée de la parole (http://breizatao.com/2015/02/12/liberte-dexpressio...-prison-2-fois-la-peine-legale). Le tribunal correctionnel de Coutances (Manche), devant lequel comparaissait Vincent Reynouard, 45 ans, déjà condamné à un an ferme pour une brochure négationniste en 2007, a doublé la peine d’emprisonnement réclamée par le parquet. Cet ancien professeur, radié de l’Éducation Nationale il y a une quinzaine d’années parce qu’il développait ses thèses négationnistes durant ses cours de mathématiques, a été condamné à verser en outre des dommages et intérêts à plusieurs associations, dont les plus élevés (3.500 euros) à la Licra (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme). Son matériel informatique a été confisqué, il devra aussi payer la publication du jugement dans cinq quotidiens nationaux et régionaux. Bien connu en France et à l’étranger, Vincent Reynouard avait déjà été condamné à un an de prison en 2007 et 10.000 euros d’amende pour diffusion d’une brochure contestant l’Oh Low Cost, purgeant sa peine à Valenciennes après avoir été extradé de Belgique où il s’était réfugié. Début 2014 il avait posté une vidéo de 45 minutes dans laquelle il s’insurgeait contre la «propagande» diffusée selon lui à l’occasion du 70e anniversaire du D-Day, et critiquait des voyages d’études de collégiens et lycéens normands dans d’anciens camps de concentration, y voyant un «embrigadement». «Nous sommes très satisfaits de la condamnation de ce forcené du nazisme», a déclaré Christophe Collet, président de l’association Westlake Brothers Souvenir (WBS), qui promeut la mémoire des libérateurs, notamment canadiens, et qui figure dans la vidéo. Néanmoins il ne se fait pas d’illusions. «Dans quelque temps il y aura de nouvelles vidéos du même type», a-t-il pronostiqué. Vincent Reynouard, qui habite Saint-Lô (Manche), s’est défendu sans l’aide d’un avocat: la classe!
Même le dieu Faurisson y va de sa prose pour défendre notre historien face à une religion de l'Oh Low Cost de plus en plus mytheuse! Il y a un mois, des millions de manifestants exprimaient ou même clamaient, notamment à Paris, leur attachement à la liberté d’expression. Aujourd’hui que peuvent bien penser ces braves gens du fait qu’un tribunal français vient de condamner un père de famille (très) nombreuse et sans ressources (ou presque) à deux ans de prison ferme et à de lourdes peines financières essentiellement parce que ce dernier a publié, sur un point d’histoire, le résultat de ses recherches? Vincent Reynouard a été ainsi condamné sur le fondement de la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 qui prévoit au maximum un emprisonnement d’une année. Il serait intéressant de voir comment le tribunal a pu justifier une telle décision. Pour sa part, le procureur semble craindre un cas de nullité et qu’à ce compte sa proie ne lui échappe. Il tient à ce que le coupable aille pour de bon en prison. Il insistera pour obtenir satisfaction (http://www.interet-general.info/spip.php?article21034). Le piquant de l’affaire est que la loi du socialiste Fabius et du communiste Gayssot (aussi appelée "loi Faurisson" 1) interdit la contestation des "crimes contre l’humanité" tels que définis et condamnés en 1945-1946 par le Tribunal militaire international de Nuremberg (trois mensonges en trois mots). Renseignez-vous sur la gredinerie de ce tribunal (1) qui était juge et partie, (2) qui, dans les articles 19 et 21 de son statut, spécifiait qu’il ne serait pas lié par les règles techniques relatives à l’administration des preuves et qu’il n’exigerait pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété publique mais les tiendrait pour acquis, (3) qui refusait aux condamnés toute possibilité d’appel, (4) qui instituait le principe de responsabilité collective et celui de culpabilité d’office, (5) qui a considéré comme preuves authentiques tant de documents et rapports qui, par la suite, se sont révélés faux comme cela s’est trouvé être le cas pour les quatre millions d’Auschwitz, pour les chambres à vapeur de Treblinka, pour les six millions attribués par le tribunal lui-même à Eichmann, pour le crime de Katyn attribué aux Allemands (non mentionné dans le jugement), (6) qui n’était en rien "international" mais "interallié", (7) qui n’avait de militaire que les deux juges soviétiques dont l’un, Nikitchenko, avait été procureur aux abominables "procès de Moscou", (8) qui n’était que "la continuation de l’effort de guerre des Alliés" (procureur Jackson, organisateur dixit), etc., etc., etc. Moi, Robert Faurisson, je suis prêt à témoigner en faveur de Vincent Reynouard en cause d’appel et à démontrer que, sur le plan scientifique, il ne reste plus, en 2015, pierre sur pierre de l’atroce édifice de calomnies (1) du prétendu génocide des juifs, (2) des prétendues chambres à gaz hitlériennes et (3) des prétendus six millions. Un exemple parmi des millions: après la mésaventure de l’expertise médico-légale de la scène du crime et des cadavres juifs du Struthof conduite par le professeur René Fabre, doyen de la Faculté de pharmacie de Paris, expertise terminée le 1er décembre 1945 [1], il ne s’est plus trouvé un seul magistrat pour ordonner et obtenir une quelconque expertise médico-légale démontrant l’existence et le fonctionnement d’une telle arme de destruction massive par le gaz. On s’est passé de preuves au profit de "témoignages" ou d’"aveux". Note de la rédaction: L’expertise de René Fabre visait à établir si les cadavres de prétendus «gazés» du camp de concentration du Struthof, en Alsace, avaient réellement été victimes d’un gazage. L’expertise a démontré que tel n’était nullement le cas. Rudolf Höss a été l’un des commandants du camp de concentration d’Auschwitz. Après son arrestation, les Alliés l’ont torturé pendant des mois, lui faisant «avouer» qu’Auschwitz était un camp d’extermination, que les vieillards, les femmes et les enfants y étaient gazés dès leur arrivée, que les détenus chargés de vider les chambres à gaz y pénétraient aussitôt après une exécution, sans masque à gaz, en mangeant des sandwichs et en fumant des cigarettes, etc... Par la suite, Rudolf Höss a été pendu. Les révisionnistes ont depuis démontré que ses «aveux» étaient mensongers, voire carrément absurdes …. Comme disait Barbie, Klauss pas la poupée: "Un mauvais scénar de série B."
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