-Ïîèñê ïî äíåâíèêó

Ïîèñê ñîîáùåíèé â eternelle_2012

 -Ïîäïèñêà ïî e-mail

 

 -Ñòàòèñòèêà

Ñòàòèñòèêà LiveInternet.ru: ïîêàçàíî êîëè÷åñòâî õèòîâ è ïîñåòèòåëåé
Ñîçäàí: 08.09.2012
Çàïèñåé:
Êîììåíòàðèåâ:
Íàïèñàíî: 719


Il est temps de revenir aux fondamentaux

Ñóááîòà, 14 Ôåâðàëÿ 2015 ã. 16:30 + â öèòàòíèê

L’Antisémitisme a eu le sort de toutes les grandes choses, et de toutes les doctrines élevées. Il a rencontré sur son chemin des calomnies ridicules et des paradoxes ineptes. On a voulu le caricaturer comme une excentricité, une passion basse, une dépravation du sens moral. Les Juifs ont représenté les Antisémites tantôt comme des envieux, tantôt comme des fous ou des imbéciles. Du reste, les Israélites sont imbus de cette idée qu’eux seuls ont le droit de se juger et qu’ils échappent au jugement des autres hommes. Comment l’Antisémitisme ne serait-il pas, à leurs yeux, un crime et un blasphème? (https://bibliothequedecombat.wordpress.com) Quoi qu’il en soit, l’Antisémitisme n’a plus besoin de réfuter ces absurdités trop palpables. Il a pris possession de l’opinion, mais le rang qu’il y occupe est loin de celui qu’il occupera, lorsqu’on comprendra qu’il est au plus haut degré, par essence, une force régénératrice, un puissant et irrésistible essor de l’Idée nationale. L’Antisémitisme, c’est la France qui ressaisit sa personnalité historique, son génie aryen et sa tradition chrétienne. C’est l’or, insolent et faux, qui descend de son trône. C’est la corruption politique et judiciaire pourchassée et impitoyablement punie. C’est le Gouvernement des hommes d’État, que l’intrigue et la police juives ont systématiquement écartés des affaires publiques, succédant au Gouvernement de leurs suppôts. C’est la renaissance, dans la politique européenne et orientale, de l’initiative française, hardie et intrépide. C’est l’esprit français purifié de l’esprit juif qui lui a communiqué sa laideur méchante et sa fange prétentieuse; c’est l’âme française délivrée d’un contact impur qui la matérialise et la déprave. C’est l’unité nationale plus forte, plus vivante, plus active qu’elle ne l’a jamais été. L’Antisémitisme relie les uns aux autres les hommes de toutes les classes et de toutes les professions. Ce sera pour la France un creuset où tous ses éléments, aujourd’hui plus ou moins dés-associés, iront se fondre en un seul et même métal. Il solidarise, en effet, toutes les classes les unes avec les autres par la communauté du danger et la fraternité de la lutte. Le présenter comme une semence de division et comme devant partager la France en deux camps est la plus absurde des erreurs et la plus inconcevable des sottises. La France se divisant pour Messieurs les Juifs! Sont-ils donc des demi-dieux, des êtres quasi surnaturels? Ou bien la France aurait-elle le culte des escrocs, des traîtres? Aurait-elle pour l’insolence des grands Juifs une admiration de dégénérée? Sa grande âme serait-elle devenue une âme de laquais? Et si l’on considère les diverses professions, avec la spécialité de leurs études et de leur développement intellectuel, avec l’expérience particulière qu’elles fournissent des choses de la vie publique et privée, l’Antisémitisme apparaît comme un centre où les plus hautes préoccupations de tous les hommes viennent converger. Le prêtre, dépositaire de l’Idée chrétienne, la défend péniblement contre le dissolvant juif qui la refoule dans les pratiques dévotieuses en lui enlevant la direction sociale. Allez à Lourdes tant que vous voudrez, mais subissez le divorce: telle est la loi que lui fait le Sémitisme. Or, le divorce, le frère et le précurseur de la polygamie, est la négation de la plus belle des conceptions chrétiennes: l’égalité de la femme et de l’homme et leur union dans un amour vivifié par des pensées célestes. Que le clergé catholique, si riche de vertus et de courage et auquel il ne manque que d’être plus fortement dirigé, ne l’oublie pas! C’est le jour seulement où la puissance juive sera abattue que le divorce, cette rétrogradation vers l’animalité, disparaîtra de nos institutions. De son côté l’homme de loi, magistrat ou avocat, qui a dû approfondir les affaires juives, ces affaires tortueuses où la filouterie déborde, éplucher ces dossiers où sous chaque pièce, chaque liste d’actionnaires, chaque procès-verbal d’assemblées sociales, chaque lettre, chaque billet, on découvre une fraude, un piège, un faux-fuyant, où le mensonge a, pour ainsi dire, la végétation touffue d’une forêt vierge, comment se désintéresserait-il de la question juive? Celui-là connaît la capacité dévastatrice des Juifs et leurs infernales tactiques; il sait les ruines, les désespoirs, les suicides, les existences déchues, les familles éteintes, les destinées errantes. Le magistrat intègre — et ils sont nombreux en France — a senti la corruption le tâter; quelques mots étranges ont été jetés dans son oreille; peut-être un collègue, endetté ou dépensier, les a-t-il écoutés… Le médecin aliéniste aussi apporte à l’Antisémitisme un précieux contingent d’observations. Le Judaïsme, qui est par lui-même une sorte de névrose, propage autour de lui les maladies nerveuses. Et non seulement, il est un facteur de déséquilibration mentale; mais, comme il règne sur la France, il ne lui permet pas de se débarrasser du poison alcoolique dont lui-même ne souffre pas. Les éminents aliénistes (les docteurs Magnan, Garnier, etc.), qui ont fait sur les ravages de l’alcoolisme des études si complètes, se demandent avec étonnement pourquoi les pouvoirs publics ne prennent pas sans retard les mesures nécessaires pour arrêter le mal grandissant. Qu’ils se rassurent! Lorsque la France aura brisé la domination juive, en quelques semaines leurs propositions seront mises à l’étude et les lois contre l’alcoolisme votées. Je le leur prédis hardiment. Quant à l’agriculteur que les impôts écrasent, que l’hypothèque ronge, que l’agiotage sur les blés ruine, sur qui, plus que tout autre, retombe le fardeau de cette dette publique insensée, œuvre de l’astuce juive, que la France a contractée, s’il n’entrait pas à pleines voiles dans le mouvement antisémitique, c’est qu’il serait un paralytique ou un hébété. De même, le militaire qui s’attend d’un jour à l’autre à de formidables luttes, sait que le Juif n’est pas seulement l’usurier aux doigts crochus, mais aussi l’espion et le traître. Tous les Juifs sans doute ne sont pas des traîtres, mais même en ne considérant la trahison dans le Judaïsme que comme un fait exceptionnel, il faut reconnaître qu’il a, pour produire cette exception, une aptitude inquiétante. Et l’homme politique qui a médité sur la décadence intérieure et extérieure de la France; L’économiste qui a étudié les grands accaparements et le mécanisme si complexe de l’exploitation juive; Le sociologue qui cherche les remèdes au mal social, à cette tendance générale soit au désordre, soit à une mollesse pire que le désordre, qui est la caractéristique de la France contemporaine; Eux aussi ont une foule d’idées, de vues à échanger. Les regards tournés vers l’édifice altier de la puissance juive, ils savent que la France ne retrouvera son orientation que le jour où cet édifice aura couvert le sol de ses ruines, et où alors elle redeviendra elle-même, ayant sa politique, son organisation économique et sa vie morale propres, sans rien emprunter au Judaïsme, son tyran et son corrupteur. Texte de Daniel Kimon dans «La guerre antijuive» (1897)

Jamais un gouvernement n’aura fait autant reculer les libertés publiques que celui de Manuel Valls, à croire que la champ d’action du ministre de l’Intérieur se réduit à sanctionner l’expression d’opinions dissidentes. Chaque affaire médiatique est l’occasion de nouveaux reculs: affaire Mehra, affaire Clément Méric, affaire Dieudonné, fusillade de Bruxelles, attentat de Charlie Hebdo… autant de fenêtres d’opportunité pour gagner le soutien de l’opinion et faire passer des lois liberticides (http://www.interet-general.info/spip.php?article21038). Chaque situation de crise provoque un sentiment d’anxiété sociale appelant une reprise en main par l’État: le gouvernement et les médias dominants sont passés maîtres dans l’art de manier à dessein ce mouvement d’insécurisation/sécurisation par lequel ils soumettent l’opinion. On assiste ainsi à une véritable mutation du contrôle social: hier l’instrument du combat contre la délinquance classique, il est aujourd’hui le moyen de défendre un ordre qui se veut moral et républicain mais qui est surtout identitaire et discriminatoire. Façonner les consciences et sanctionner les récalcitrants, voilà pour l’essentiel à quoi se réduit la politique autoritaire du gouvernement socialiste. Elle est le point d’achèvement d’un processus qui débute au milieu des années 1980 et dont nous voudrions rappeler ici les grandes lignes. On n’a sans doute jamais mesuré totalement les conséquences du changement de cap décidé par le gouvernement Mauroy en mars 1983. Confronté à une fuite de capitaux, à un creusement du déficit budgétaire et à une série d’attaques contre le franc, François Mitterrand abandonne la politique de relance par la consommation qu’il avait suivie jusque là. Son souhait de maintenir la France dans le Système Monétaire Européen a eu raison de ses ambitions réformatrices inspirées du Programme commun d’union de la gauche. Suivra alors une politique sociale-libérale qui montera en puissance avec la nomination de Laurent Fabius à Matignon -privatisations, blocage des salaires, déréglementation des marchés financiers, orthodoxie budgétaire et promotion du modèle entrepreneurial- totalement à rebours des promesses de campagne du candidat Mitterrand. Dans leur conversion à l’économie de marché, les socialistes ont fait preuve d’un zèle remarquable: une note de l’Insee de 1990 donne même à la France la palme européenne du monétarisme et de la rigueur budgétaire, devant la Grande-Bretagne de Margaret Thatcher et l’Allemagne d’Helmut Kohl. Et deux ans plus tard, le Parti Socialiste fera logiquement le choix d’adopter le très libéral traité de Maastricht. Entre la justice sociale et l’intégration européenne, le gouvernement socialiste de Pierre Mauroy a choisi et n’est jamais revenu sur cet engagement lourd de conséquences. Trois décennies plus tard, l’histoire se répète. Le cocktail est identique: intégration européenne à marche forcée, libéralisme économique et austérité budgétaire. L’équation aussi: de quelle légitimité le Parti socialiste et ses alliés peuvent-ils se prévaloir pour mettre en œuvre une politique qui trahit leurs engagements de campagne et ne répond en rien aux attentes des classes populaires? La réponse est à l’avenant: éluder la question sociale en faisant diversion sur les questions de société. La recette avait bien fonctionné dans les années 1980: lutte contre le racisme et l’antisémitisme, avec l’appui logistique de SOS Racisme lancé en 1984, en lieu et place de la défense du travail contre le capital. Le combat électoral contre le Front National devient rapidement le seul marqueur de gauche d’une politique totalement acquise aux intérêts du capital, et d’autant plus aisément que la démission économique des socialistes favorise la montée en force du vote protestataire d’extrême-droite. Mais pour la période actuelle, le tableau est légèrement modifié par une touche supplémentaire: le gouvernement socialiste a fait sienne la rhétorique de la «guerre contre le terrorisme», héritage des années Bush. L’alignement complet de la diplomatie française actuelle sur les intérêts du bloc américano-sioniste influence aussi sa politique intérieure. De fait, la question sociétale rejoint aujourd’hui la question identitaire: civilisation judéo-chrétienne d’un côté, Islam «barbare et conquérant» de l’autre. Les thèmes fétiches de la gauche –défense de la laïcité et combat contre l’antisémitisme, notamment– sont passés à la moulinette néoconservatrice. La politique actuelle sort ainsi les valeurs républicaines du contexte de l’immigration et des questions d’intégration qui était le leur dans les années 1980 pour les inscrire dans une problématique du choc des civilisations: «Je suis Charlie» (contre la barbarie islamiste) en lieu et place de «Touche pas à mon pote. Mais dans tous les cas, il s’agit encore de masquer la question sociale par la question identitaire: aviver les tensions communautaires entre français dits «de souche» et français issus de l’immigration pour désamorcer la lutte des classes et tourner le dos à la justice sociale. Et souvent à grands renforts de communication: l’union sacrée face au terrorisme affichée lors de la mobilisation générale du 11 janvier 2015 a relégué au second plan les antagonismes de classe, servant ainsi les intérêts des élites politiques et financières. Comment obtenir l’adhésion du peuple à une politique contraire à ses intérêts? Seule une minorité peut tirer profit du libéralisme économique et de la montée en force des tensions communautaires. L’adhésion spontanée étant donc exclue, il ne reste que le conditionnement idéologique et la pénalisation de la dissidence, deux recettes qui ont notamment fait leurs preuves dans le contexte de crise politique provoquée par la fusillade de Charlie Hebdo. L’anxiété sociale alimentée par la couverture médiatique de l’islam radical suscite une demande de sécurité et permet au gouvernement de mener sa chasse aux sorcières avec le soutien de l’opinion. Des dizaines de procédures judiciaires pour apologie du terrorisme (qui relèvent en fait du délit d’opinion) pour un message posté sur les réseaux sociaux, pour une parole de trop ou pour un refus de la minute de silence, visant des simples citoyens parfois même des collégiens, n’ont pas suscité la moindre indignation politique à l’exception d’associations de défense des droits de l’Homme dont Amnesty International qui a pointé un risque de dérive judiciaire et d’atteintes graves à la liberté d’expression. Peu actif sur le front de la délinquance classique –comme en témoignent les derniers chiffres de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales – le gouvernement déploie en revanche une énergie remarquable pour sanctionner les idées ou les propos qu’il juge politiquement incorrects. La loi sur la presse de 1881 a été modifiée à plusieurs reprises par les socialistes, déjà en 1990 par la loi Fabius-Gayssot qui criminalise le négationnisme historique en faisant d’un délit la contestation de l’existence des crimes contre l’humanité tels que définis dans les statuts du Tribunal militaire de Nuremberg. La «mère de toutes les lois mémorielles» a valu à Vincent Reynouard une nouvelle condamnation pour une vidéo postée sur Youtube, cette dernière à deux ans de prison ferme, soit le double de la peine encourue pour ce type de délit. La jurisprudence Dieudonné, fruit de la croisade lancée par Manuel Valls contre l’humoriste, lamine la protection dont bénéficiait la création artistique vis-à-vis du pouvoir et rend possible l’interdiction préventive d’une réunion ou d’un spectacle pour des motifs politiques. Last but not least, la création récente d’un délit d’apologie du terrorisme par la loi du 13 novembre 2014 est une arme (redoutable) de plus dans l’arsenal contre la liberté d’expression. Réprimer ceux qui ont le tort d’exprimer des idées non conformes: la politique du gouvernement consiste à défendre un ordre moral au besoin par la contrainte mais plus généralement par la persuasion. Le catéchisme républicain est tout ce qu’il reste à une gauche démissionnaire sur le front économique et social. Mais le moralisme, une fois déconnecté de toute réalité matérielle, tourne à vide. La politique actuelle pousse jusqu’à l’absurde cette contradiction: d’un côté la loi Macron qui achèvera de démanteler le code du travail et de dépouiller les salariés de leurs derniers vestiges de protection sociale, de l’autre le bourrage de crâne sur les valeurs républicaines de liberté, de tolérance et d’égalité chaque jour démenties dans les faits. Signe de la fragilité du pouvoir, la propagande laïciste a atteint des sommets dans le contexte créé par l’attentat contre Charlie Hebdo, notamment quand la ministre de l’Éducation nationale a évoqué «de trop nombreux questionnements de la part des élèves» montrant ainsi les limites de sa conception de la démocratie… L’autoritarisme politique et la négation de l’esprit critique sont devenus la norme d’un gouvernement ayant perdu toute crédibilité économique et sociale et foulant au pied les valeurs qu’il prétend défendre. Victime collatérale, la liberté d’expression vit ses derniers moments. Texte de Nicolas BOURGOIN, mais surtout lisez le commentaire de Frank Brunner qui suit: Nicolas Bourgoin passe complètement sous silence le rôle central du lobby juif dans la situation qu’il dénonce. Tout d’abord, l’apôtre du néolibéralisme est l’économiste juif Milton Friedman dont les idées ne servent que le 1% le plus riche, c’est-à-dire essentiellement des banquiers juifs, des milliardaires juifs et autres nantis non-juifs parmi lesquels il est de bon ton de faire ostentation de son allégeance au lobby juif et à Israël. La politique néolibérale est caractérisée par une cupidité sans limite n’éprouvant aucun scrupule à dévaster l’environnement et plonger des populations entières dans la misère au seul profit du 1% le plus riche. Cette politique vise systématiquement à détruire toutes les solidarités sociales et n’éprouve que mépris pour ses victimes, désignées comme «des perdants». Elle reflète l’absence de tout sentiment de solidarité, chez la plupart des juifs, à l’égard des non-juifs, le plus souvent considérés comme des ennemis volontiers assimilés à autant de génocidaires potentiels. C’est une logique sectaire qui se résume à «nous contre les autres». Il est frappant de constater que les organisations juives sionistes, dans leurs interventions publiques, ne se préoccupent que des juifs. On n’a jamais vu le lobby juif mobiliser les moyens dont il dispose en faveur des sans abri ou des travailleurs précaires, par exemple. Dans la plupart des cas, les philanthropes juifs réservent leurs dons à Israël ou à des institutions juives. On retrouve le lobby juif derrière l’islamophobie, car il mène une campagne islamophobe permanente dans le monde entier, n’hésitant pas à afficher des messages islamophobes sur les bus et dans les stations de métro partout où la loi l’y autorise. Des officines israéliennes passent leur temps à diffuser des commentaires d’internautes anonymes islamophobes dans les médias du monde entier. Dans ces mêmes médias, journalistes et prétendus «experts» juifs ne ratent pas une occasion pour stigmatiser les musulmans. Les islamophobes notoires sont quasiment toujours soit des juifs, soit des non juifs qui font ostentation de leur soutien à Israël. Les guerres d’Afghanistan, d’Irak, de Libye, et les guerres civiles de Syrie et d’Ukraine ont été fomentées par le lobby juif et les gouvernements occidentaux impliqués se distinguent tous par leur allégeance au lobby juif et à Israël. Le lobby juif est une organisation totalitaire. Dans le monde entier, le lobby juif préconise des lois liberticides. Face à lui, nul n’est censé avoir un quelconque droit. Le lobby juif a soutenu l’espionnage massif et systématique de la population, l’usage de la torture, les prisons secrètes, la détention sans jugement, les assassinats extra-judiciaires. Autant de pratiques routinières du régime israélien. Les révisionnistes doivent être stigmatisés, ostracisés et réduits au silence parce qu’ils compromettent le shoah business. Toute critique du lobby juif est aussitôt qualifiée d’«incitation à la haine» et criminalisée. Le lobby juif impose sa dictature par l’intimidation des opposants, par des campagnes de calomnies systématiques à l’encontre de quiconque le contrarie, et par la corruption des élus de tous bords, en sorte que partout la politique des Etats soit inféodée aux intérêts d’Israël. La volonté démocratique de la population locale n’a aucune espèce d’importance aux yeux du lobby juif. On achète les gouvernements et les parlements, puis on récupère la mise sous la forme de cadeaux fiscaux aux 1% les plus riches, sous forme d’aide à Israël, d’accords de libre échange avec Israël et du pillage des finances publiques au profit d’organisations juives subventionnées sous prétexte de lutte contre l’antisémitisme ou de $hoah business. Les gouvernements du Canada, des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Allemagne, de l’Ukraine, etc..., sont dirigés par des juifs ou des marionnettes faisant ostentation de leur allégeance au lobby juif. Les politiciens de tous bords rivalisent de servilité à l’égard du lobby juif, et même ceux qui ne rampent pas sont dissuadés d’exprimer la moindre critique. L’affaire Dieudonné a amplement mis en évidence le contrôle du lobby juif sur les médias mainstream dans le monde entier. Le lobby juif contrôle également les ressources publicitaires de ces médias. Il lui a suffi de désigner un comique pour cible et, aussitôt, les médias du monde entier ont traîné celui-ci dans la boue, appelant à l’interdiction de ses spectacles et à son emprisonnement. Dieudonné était coupable de s’opposer ouvertement au lobby juif. Ce même contrôle des médias permet au lobby juif d’imposer partout la fuite en avant néolibérale, occultant ou travestissant ses conséquences socio-économiques, et censurant ou tournant en dérision n’importe quelle alternative politique. Le lobby juif doit être reconnu pour ce qu’il est: une organisation criminelle internationale bien plus dangereuse que la mafia. Il faut l’interdire et arrêter tous ses membres ainsi que leurs laquais non juifs.

Ìåòêè: