Boris Le Lay |
Évangile selon Saint-Jean (16:11) “Au sujet du jugement, parce que le Prince de ce monde est déjà jugé.” Ceci est un texte très personnel qui n’engagera que moi. Ce texte sera imparfait, contestable, mais définitif. Celui de mon choix personnel, malgré les nombreuses réserves qui sont les miennes, pour la Sainte Russie comme dernière puissance chrétienne contre l’Occident juif, athée et matérialiste. Ce que l’on appelle de nos jours, la “démocratie”. La Russie est le dernier rempart de l’Europe blanche et chrétienne (http://breizatao.com/2015/02/06/pourquoi-jai-choisi-la-russie-par-boris-le-lay). Toute la Russie n’est pas blanche et toute la Russie n’est pas chrétienne. Mais l’est-elle moins que nos régimes écroulés et voués à la mort raciale et spirituelle que lui promettent les forces occultes de la maçonnerie, du marché, du socialisme ou du marxisme? Quiconque me dira que le poison juif cosmopolite prend racine à Moscou n’aura, de ma part, qu’un sourire dubitatif. Qu’y a-t-il en face? Je choisis, sans idéalisation, la Russie de Vladimir Poutine plutôt que le faux Occident du demi-nègre Obama, idiot utile des juifs et de la finance internationale et de leurs laquais de la ploutocratie systématique. En tant que Breton, en tant que Celte, en tant que Catholique je coupe mes derniers ponts avec le parlementarisme maçon, socialiste et athée qui m’a, dès l’origine, condamné à la mort sociale pour déviationnisme. Je le fais avec d’autant plus de difficulté que j’admire le Peuple Américain à la liberté duquel a contribué mon mentor, le Colonel Armand Tuffin de la Rouërie, Général de la Continental Army. Avec d’autant plus de difficulté que j’aime les nations britanniques. J’aime l’aspiration libératrice des hommes fondateurs de l’Amérique comme celles des individus libres de Grande-Bretagne. Je suis, comme Breton, frère des Gallois et proche des Gaëls d’Ecosse ou d’Irlande. Je les comprends. Je suis un Celte de l’Extrême-Occident. Mais je ne reconnais plus l’élan libérateur de ces peuples dans leur allégeance à l’apostasie démocratique et matérialiste du marché et à l’indifférentisme religieux. De Valera accepterait-il cette insupportable perversion? Non. Breton, ma race est d’abord et avant tout contemplative, voué au service de la Vérité et des spéculations mystiques. Pour moi, Moscou l’Orthodoxe est devenue le dernier phare de la race blanche chrétienne et de sa mission sur terre. L’empire du Mal réside à New York, Londres, Paris et Tel Aviv. Pas à Saint-Pétersburg ou Moscou. En tant que Breton, face à la république des loges et à l’Axe ploutocratique perverti, mon choix est fait. Je choisis le Christ car je choisis la foi de nos 7 saints fondateurs de la Sainte Bretagne. Je ne me reconnais pas davantage dans ce Pape qui couronne les damnés de l’homosexualité et célèbre les socialistes et les maudits de la synagogue. Ce Pape qui bénit l’invasion islamique au lieu d’appeler à la Croisade comme Dieu le lui commande. Cette église faussement catholique, marche-pied de Satan sur la Chrétienté, qui mène à la perdition. Je souhaite que les armées saintes de la Russie chrétienne marchent sur l’Europe athée et l’écrasent dans le sang et qu’elles fassent la volonté de Dieu et de l’Archange Saint Michel. Ne me demandez plus ce à quoi j’aspire, je vous l’ai dit: à la destruction de la démocratie impie et à la victoire des armées chrétiennes sur les chiens qui combattent le Bien décrété par le Ciel. Vous serez avec nous ou contre nous. Peu importe où je me trouve et où se trouvent les Chrétiens. Vous choisirez la Croix ou l’apostasie. Pour ma part, j’ai choisi la Sainte Russie. Vous les traîtres, les laquais des juifs, de l’islam, de la ploutocratie, les traîtres à toutes les patries, il ne vous reste plus qu’à mettre une cible sur ma tête. C’est le moins que vous puissiez faire. Que nos ennemis puissent périr dans le feu éternel préparé pour eux par le Christ. Je me charge, avec des millions d’autres, de les y précipiter. Et toi, Breton, Français, Européen, choisis ton camp. Voici que l’heure est venue. Signé Boris le Lay.
L’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky a annoncé la tenue d’une “marche anti-crise” contre Vladimir Poutine et le gouvernement russe auprès de la mairie de Moscou. Une marche aux allures de tentatives d’agitation révolutionnaire parfaitement coordonnée avec le gouvernement américain comme nous en parlions encore récemment (http://breizatao.com/2015/02/02/russie-loligarque-...onnaire-au-mois-de-mars-moscou). En septembre dernier, l’ancien oligarque gracié par Vladimir Poutine faisait part au journal Le Monde de sa volonté de devenir président de la Fédération de Russie: “S’il apparaissait nécessaire de surmonter la crise et de conduire une réforme constitutionnelle, dont l’essentiel consiste à redistribuer le pouvoir présidentiel en faveur du système judiciaire, du parlement et de la société civile, alors je serais prêt à assumer cette partie du travail.” Cette candidature au démantèlement du régime présidentiel russe fut suivi en octobre 2014 d’une annonce formelle, à Washington, de sa candidature à la prise de pouvoir en Russie (source). Reçu par la fondation Freedom House, une organisation liée à la CIA créée par Roosevelt pour préparer l’opinion US à l’entrée en guerre en 1941, l’oligarque juif y présenta son “manifeste” d’essence libérale, promettant d’en finir avec le régime néo-bonapartiste de Vladimir Poutine. Dans ce manifeste, soigneusement rédigé pour satisfaire toutes les branches de l’opposition au Kremlin, Mikhail Khodorkovsky énumère un certain nombre de lignes directrices. Pour satisfaire la diplomatie américaine, il s’y engageait à abandonner toute politique de puissance de Moscou, notamment en Ukraine. Pour s’attirer les sympathies de l’opposition nationaliste comme la bienveillance de la CIA et des multinationales occidentales, il récusait le partenariat sino-russe menaçant selon lui la Russie de transformer celle-ci en “protectorat chinois”. Dans la foulée, voulant donner la part belle aux oligarques pro-occidentaux – les “business men” – et les entrepreneurs russes comme à la finance anglo-américaine et juive, il dénonçait la forme “fasciste” du régime et assurait vouloir rapidement mettre au coeur de la gouvernance “la justice, le parlement et la société civile”. Ce qu’il qualifiait de forme “libérale” de l’état. Khodorkovsky fait consensus chez les opposants de gauche, libéraux et nationalistes, tant dans les organisations politiques qu’au sein de l’élite. Il est le choix des USA et de la finance internationale pour mener la révolution en Russie. Comme juif, il est sûr pour les intérêts transnationaux qui savent qu’il ne mènera pas une politique nationaliste et indépendantiste, à la différence de Vladimir Poutine.Sa candidature annoncée à Washington, comme la vaste stratégie d’étouffement économique de la Russie décidée par les oligarchies occidentales, visaient à préparer le terrain à une révolution dans ce pays. D’où la thématique “anti-crise” de la marche que Khodorkovsky a décidé de lancer à Moscou dans les prochaines semaines aux côtés de l’opposant Alexei Navalny (source). Il évite d’évoquer toutefois le fait que les difficultés économiques du Kremlin sont le fruit d’un plan stratégique américain reposant sur des sanctions et une baisse coordonnée des cours de l’énergie mondiale, avec l’aide de l’Arabie Séoudite.Tout laisse cependant à penser que Vladimir Poutine a saisi le drapeau que les Américains lui tendaient en Ukraine. Ce prétexte a marqué le point de départ d’une campagne globale d’embargo progressif permettant de déclencher une agitation populaire, avant de s’en servir au profit d’éléments pro-américains menés par Khodorkovsky. Le Kremlin, l’armée et les services de renseignement russes sont parfaitement au courant de ce que préparent Washington et ses alliés. Aussi, le gouvernement russe a d’ores et déjà lancé la création de groupes paramilitaires composés de vétérans des guerres d’Afghanistan, de Tchétchénie, de gangs de motards – connus comme les “Loups de la Nuit” – et de jeunes militants nationalistes fidèles au maître du Kremlin pour briser violemment les factieux agités par l’étranger en cas de tentative de putsch sur le modèle ukrainien.
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