Une alliance «judéo-maghrébine terroriste» est'elle envisageable en France? |
Depuis les années 1940, les juifs ont usé du terrorisme sanguinaire de manière fréquente et répétée contre de multiples états de droit: en posant des bombes en Europe et plus particulièrement en France pendant la seconde guerre mondiale (contre les collabos, les dépositaires de l'autorité publique, etc), en posant des bombes en Palestine (contre les Anglais et les Bougnoules), en posant des bombes en Afrique du Sud (contre les Blancs). Il nous est d'avis que de façon anonyme, ils vont recommencer maintenant dans le but d'émanciper les masses musulmanes immigrées vis à vis de la République ruinée par des décennies d'aides sociales. Pour eux, il est temps d'euthanasier la vieille carne bicentenaire et de confier un pouvoir de façade aux Bougniakoués manipulables par le chichon et le bakchich.
Au fil de cet article, nous allons vous démontrer deux points essentiels. Le premier, c'est qu'en Afrique du Sud aussi bien qu’aux États Unis, les Juifs se sont fortement impliqués dans la promotion des «droits civiques» pour les Noirs, à dessein d'exacerber une haine anti-blanche et d'obtenir comme résultat final une domination des oligarques juifs sur les Blancs au travers de marionnettes noirs et autres fondés de pouvoir. Nelson Mandela et Barack Obama sortent de ce moule. Le second, c'est qu'en Afrique du Sud comme partout ailleurs, le Communisme Juif et le Capitalisme Juif – (l’expropriation communiste et la «privatisation» capitaliste) – sont les deux faces d'une même pièce, totalement interchangeables dans leurs résultats et dans leurs exécutants. Ils sont simplement des moyens pour les Juifs de s’approprier la richesse et le pouvoir d’une nation en détruisant le meilleur de leurs rivaux (http://www.counter-currents.com/201...la-et-les-juifs). Nelson Mandela naquit dans la région du Transkeï d’Afrique du Sud en 1918. Après avoir été renvoyé de l’école et avoir fuit un mariage arrangé, il chercha du travail à Johannesburg. Son ami Walter Sisilu le recommanda à Lazar Sidelsky (un des fondateurs du cabinet d'avocats Witkin, Sidelsky, et Eidelman), où Mandela débuta dans l'entreprise en tant que clerc. Sidelsky augmenta même, par générosité, le salaire habituel. C’est là que Mandela rencontra le cousin de Sidelsky, Nat Bregman, qui devint son premier ami blanc. Bregman était un clerc de 18 ans, membre du Parti Communiste, qui l'initia aux rassemblements sociaux. Dans ces réunions multiraciales, Mandela fit la connaissance de figures importantes telle que Michael Harmel (membre du Comité Central du Parti Communiste pendant neuf années, jusqu’à sa dissolution en 1950). Si initialement, Mandela était hostile aux Communistes et surtout à leur influence dans les groupes comme l’African National Congress (ANC) (Le Congrès National Africain), il changea rapidement d'avis au contact de ses nouveaux amis. Il débuta un baccalauréat ès Arts par correspondance, tout en travaillant au cabinet juridique de Sidelsky. Après son examen final, il s’inscrivit à temps partiel à l’Université de Witwaterstrand, et y rencontra les étudiants juifs Ruth First, Harold Wolpe, et Harry Schwarz. Ce dernier se souvient de Mandela comme d'un étudiant réservé et peu impliqué dans les discussions. Ils deviendront tous par la suite de célèbres opposants à l’Apartheid. Après avoir réussi son examen, notre héros fut embauché en tant qu’avocat sous les ordres d’un autre Juif, Hyman Basner (ancien communiste). Dès lors qu'il goûta au luxe, il jeta ses vieux vêtements rapiécés, et s’acheta des costumes à la mode chez un tailleur nommé Alfred Kahn.
Mandela débuta une liaison adultérine avec une des secrétaires de son bureau, au plus grand dam de sa femme. Avant d’évoquer la carrière politique de Mandela, il est nécessaire de relever certains éléments. Même à cette étape précoce, sa réussite fut très dépendante de ses connaissances juives. Ses liens avec le cabinet juridique de Sidelsky lui ont donné l’opportunité de gagner un petit salaire tout en étudiant, et ont accéléré son ascension vers la célébrité. Mandela, aux côtés de son ami Walter Sisilu, fonda la Ligue de Jeunesse du Congrès, une branche de l’ANC au début des années 1940. Ils représentaient une faction croissante à l’intérieur de l’ANC appelant à plus d’actions agressives contre l’Apartheid, y compris à la désobéissance civile, aux boycotts, et aux grèves massives. À partir de 1949, la Ligue de Jeunesse du Congrès prit de l'importance à l’intérieur de l’ANC. Le groupe de Mandela présenta une critique sévère des politiques de l’ANC au président, le Dr. Albert Xuma. À l’élection suivante, ils soutinrent son opposant le Dr. James Moroka pour défier le leadership de Xuma. Moroka fut élu président de l’ANC en 1949, et il fut décidé d'un changement dans la ligne politique de l’organisation. On adopta alors le «Programme d’Action» pour remplacer les anciennes politiques modérées. En 1952, l’ANC s’embarqua dans la Campagne de Défiance. Elle passa d’une organisation de 7.000 personnes en un mouvement de masse estimé à 100.000 membres. Mais cette nouvelle agitation politique dégénéra rapidement en des manifestations illégales et des comportements indisciplinés. En 1956, l’ANC adopta «la Charte de la Liberté» pour remplacer l’ancien «Programme d’Action». La Charte était une collection d’exigences qui furent écrites sur un document par Lionel «Rusty» Berstein. Berstein n’était pas seulement juif, il était également membre du Comité Central clandestin du Parti Communiste, et aussi son expert en chef de la propagande.
Mandela et le reste des dirigeants de l’ANC adoptèrent le document de Berstein avec seulement quelques petits ajustements. Dans un article de 1956, il défendit les positions d’extrême gauche de la «Charte de la Liberté». Il déclara que seule la «nationalisation des banques, des mines d’or et des terres» pourrait porter un «coup fatal» aux «monopoles financiers, aurifères et aux intérêts terriens qui ont pendant des siècles pillé le pays et condamné son peuple à la servitude». Il affirma ensuite que leur succès ne serait possible qu'à la condition ultime que «ces monopoles soient cassés, et que la richesse nationale soit rendue au peuple». Malheureusement, cet affichage de juifs à l’intérieur de l’ANC ne faisait pas l'unanimité, et pendant la conférence de 1956 (ayant pour but de ratifier la Charte de la Liberté), un groupes d’Africanistes «manifesta bruyamment … aux cris de «L’Afrique aux Africains!» Ces derniers exigeaient un retour au «Programme d’Action» adopté en 1949, et pour un mouvement africaniste purifié qui définirait l’Afrique du Sud comme appartenant seulement aux Noirs. À cause des tactiques de confrontation de l’ANC, et son appel à nationaliser les industries Sud-Africaines, des cadres de l'organisation furent arrêtés en 1956, et accusés d’avoir adoptés «une politique visant à renverser l’État par la violence, avec appartenance à une organisation communiste.» On compta 156 accusés au procès, ou plus précisément:105 Noirs, 21 Indiens, 7 Métisses, et 23 Blancs majoritairement juifs. Ces derniers s’appelaient Jacqueline Arenstein, Yetta Barenblatt, Hymie Barsel, Lionel Berstein, Sonia Bunting, Ruth First, Lionel Forman, Isaac Horvitch, Léon Lévy, Norman Lévy, Ronald Press, Sydney Shall, Joe Slovo, et Ben Turok. Une prépondérance, non seulement en tant qu’accusés, mais aussi en tant qu’avocats et contributeurs financiers. Au début du procès, la défense comptait dans ses rangs les Juifs Maurice Franks et Norman Rosenberg, rejoints plus tard par Israël Maisels et Sydney Kentridge. Le procès dura jusqu'en 1961. C'est Alex Hepple qui émit l'idée la création d'un comité de soutien pour les accusés. Cet appel fut le plus réussi des années 1950, et il a représenté la première attaque majeure contre l’Apartheid. Bizarrement, des 22 signataires, 7 étaient Juifs, et c'est à cette époque que la forte présence juive à l’intérieur du mouvement anti-Apartheid commença à attirer l'attention du public Sud-Africain. Dans une lettre de 1956 à l’éditeur Die Tansvaler, on pouvait lire: «Que le soutien des Juifs soit accordé d’emblée aux forces qui veulent la chute des Boers [les Blancs], ce doit être déduit du comportement des Juifs.» Elle continuait: «Quand les photographies de processions de résistance apparaissent dans les journaux, ou de chants et de danses communs avec les ‘Africains’, ou des tableaux calomnieux des ‘Black Sash’ [1], le type facial juif est clairement visible. Quand un livre est publié sur les ‘mauvaises conditions de vie’ en Afrique du Sud, on a neuf chances sur dix que l’écrivain soit Juif. Sous les pétitions protestant contre la politique Boer, se cachent toujours de nombreux noms Juifs. Les professeurs Juifs, les maîtres de conférence, les médecins, les Rabbins et les avocats se bousculent pour aller signer. Derrière les tables dans la rue collectant les signatures contre la politique Boer, trône habituellement la bigote juive.» Il est à noter que des événements importants se déroulèrent pendant le Procès pour Trahison, puisqu'en 1959, la faction africaniste quitta l’ANC pour former le Pan Africanist Congress (le Congrès Pan Africain.) Ils estimaient que l’Afrique se devait d'être libérée par les Africains, sans l’aide des ‘Blancs’ ou des communistes. Sa direction se lança dans une campagne de résistance aux politiques d’Apartheid, visant plus particulièrement le système de passeport appliqués aux Noirs. Le 21 mars 1960, le PAC organisa une journée de manifestation générale appelant les Noirs à brûler leurs passeports, et à se faire arrêter. Robert Sobukwe et les principaux leaders du PAC qui marchaient en tête de la manifestation furent parmi ceux arrêtés. L’appel à la manifestation fut peu suivi à travers le pays, exception faite à Sharpeville, où les organisateurs avaient réussi à regrouper plusieurs milliers de Nègres agressifs. Face à une police traumatisée par le meurtre de 9 des siens dans la banlieue de Durban deux mois auparavant, le face à face dégénéra, et une douzaine de manifestants succombèrent. Mandela, cependant, accusa le PAC d’avoir volé l’idée de l’ANC et rejeta les sacrifices du PAC comme “un exemple flagrant d’opportunisme.” L’ANC suivit les manifestations du 21 Mars par une campagne d’opposition de son cru le 28 Mars. Le 30 Mars, le gouvernement déclara l’État d’urgence et le 8 avril, les deux organisations furent interdites. Le PAC, cependant, n’était pas totalement défait. Ils commencèrent rapidement à former une aile militaire connue sous le nom de ‘Poqo’, un mot Xhosa signifiant ‘seul’ ou ‘pur.’ Le 29 Mars 1961, le tribunal acquitta Mandela et d’autres accusés. Le long «Procès de la Trahison» était maintenant achevé. Mandela se terra dans la clandestinité. Un appel à la grève générale fut lancé, mais s’avéra décevant du fait des mesures préventives prises par le gouvernement. Ce fut cet échec qui poussa Mandela à utiliser des méthodes violentes. Drôle d'ironie, quand on sait qu'il sortait d'un procès marathon où toute sa défense reposait sur la présentation d'une ANC non violente. Dans ces circonstances extrêmes, Mandela ne se fia presque exclusivement qu’à ses contacts juifs, surtout ceux de l’appareil clandestin du Parti Communiste. Les Juifs de son premier cercle, adhérèrent à sa campagne de violence avec enthousiasme. Joe Slovo devint “la figure clé de la conception de la lutte armée militaire du Parti” et fut choisi comme Chef de l’aile militaire de la nouvelle armée, connue sous le nom d’Umhonto we Sizwe, ou MK. La constitution du MK fut largement rédigée par Mandela, Slovo et Bernstein. Les quartiers généraux du MK s'établirent dans la banlieue de Johannesburg à Lilliesleaf, dans une ferme qui avait été achetée en juillet 1961 sous un nom d'emprunt, avec une société bidon par Harold Wolpe et Michael Harmel, pour servir à l’appareil clandestin du Parti Communiste. La ferme était occupée principalement par Arthur Goldreich, sa famille, et les ouvriers agricoles noirs. Goldreich avait passé sa jeunesse au Palmach, une branche de l’appareil clandestin de l’armée juive en Palestine. Mis à part les ouvriers agricoles, tous étaient Juifs et membres du Parti Communiste. Jack Hodgson, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, devint le premier instructeur du MK en explosifs. Avec d'autres, ils fabriquaient des bombes pour le MK et les testaient dans une briqueterie à l’est de Johannesburg, propriété du frère de Wolfie Kodesh, Juif et aussi membre du Parti Communiste. Mais c’était seulement le début du terrorisme industriel. Dans une propriété nouvellement acquise à Krugersdorp, on donna la responsabilité à Denis Goldberg de fabriquer les armes de la nouvelle organisation clandestine. Cet ingénieur de trente ans, acquit les matières premières sous beaucoup de noms d’emprunt: 144 tonness de nitrate d’ammonium, 21,6 tonnes de poudre d'aluminium, et 15 tonnes de poudre noire, qui devaient servir à construire 1.500 bombes à retardement, 48.000 mines antipersonnel, et 210.000 grenades. Le financement de toutes ces activités provenait, bien sûr, du Parti Communiste Clandestin et de leurs sponsors de l’étranger.
Les juifs renouaient ainsi avec leurs vieilles racines de terrorisme aveugle sur les populations civiles. Ils estimèrent que les attentats à la bombe sur les bâtiments d’État engendreraient une fuite des capitaux étrangers, et par effet domino pousseraient l’Afrique du Sud à la capitulation. La vague d’attentats à la bombe et l'acte de naissance du MK durent être retardées de plusieurs semaines, le temps que le président de l’ANC, Albert Luthuli, qui voyageait à Oslo reçoive son Prix Nobel de la Paix! La cérémonie de remise des médailles se tint le 11 décembre 1961, et les attaques terroristes commencèrent cinq jours plus tard. En juillet 1963, la campagne de sabotage avait déjà frappé près de 200 cibles: installations de communication, de transport, les dépôts de carburant, services publics, et bâtiments gouvernementaux. On sait que dès mars 1961, une cellule de soutien avait été mise sur pied pour gérer l'existence clandestine de Mandela sous divers noms d'emprunt dans ses déplacements, ou ses caches. Des Juifs tels que Wolfie Kodesh, Bob Hepple Michael Harmel, Arthur Goldreich lui apportèrent de saines lectures révolutionnaires. En janvier 1962, la vague d'attentats à peine lancé, Mandela partit au-delà des frontières dans le but de faire connaître son mouvement, et à sa grande surprise, le PAC était en réalité plus populaire à l’étranger que l’ANC, qui était largement considérée comme une organisation dominée par les Communistes. C'est à son retour en Afrique du Sud, le 5 Août 1962, que Mandela fut capturé. Il fut condamné à trois ans de prison pour incitation à la grève de 1961, et de deux ans pour avoir voyagé à l’étranger sans papiers. Le gouvernement d’Afrique du Sud déclara l’ANC comme étant une organisation de “communistes et de terroristes.” Curieusement, certains historiens rejettent encore ces affirmations comme de la pure propagande. Joe Slovo et un ami proche de sa femme, Govan Mbeki, développèrent un plan de guérilla à grande échelle connu sous le nom «d’Operation Mayibuye» alors que Mandela était incarcéré. Dans le même temps, Arthur Goldreich fit du lobbying en visitant des pays amis tels que la Chine, la RDA, et l’Union Soviétique, il récolta 2,8 millions de dollars. En 1963, les autorités sud-africaines firent un raid à la ferme de Lilliesleaf, et interpellèrent sur place 19 membres dirigeants de l’ANC et du MK, dont cinq Israélites (Lionel Bernstein, Hilliard Festenstein, Denis Goldberg, Arthur Goldreich, et Bob Hepple). Toutes les arrestations qui suivirent, notamment celles de James Kantor et Harold Wolpe, furent un revers dévastateur au mouvement de libération “Africain.” Wolpe et Goldreich, laissés sous la garde d’un jeune soldat réussirent à prendre la poudre d'escampette, en lui promettant un pot de vin conséquent. Ils trouvèrent refuge pendant 2 jours chez Barney Simon, avant de fuir à l'étranger. Simon, comme Benjamin Pogrund, avait été un membre de la Habonim dans sa jeunesse, et c'est lui qui édita The Classic, le “premier magazine de littérature non racial” en Afrique du Sud. Pendant ce temps, Ronald Kasril, juif Sud-Africain chargé du Commandement Régional du MK au Natal avait été forcé de quitter le pays avec sa petite amie Eleanor Anderson en toute urgence, après qu’un de ses camarades terroristes, Bruno Mtolo, ait été arrêté lors d'une beuverie en ville. Mtolo en savait beaucoup pour avoir visité les quartiers généraux du MK à Rivonia, et pouvait se vanter d'un CV long comme le bras en petite délinquance. Il se mit à table, et accepta de témoigner quelques heures seulement après son arrestation. Kasrils expatrié joua un rôle dans la coordination du mouvement à l’étranger avec ses amis Juifs Joe Slovo et Gill Marcus. Nelson Mandela fut finalement amené au nouveau procès Rivonia, à cause des nombreux documents signés de sa main qui avaient été saisis à Lilliesleaf. D’autres documents comprenaient les plans de «l’Operation Mayibuye». Deux des trois avocats de la défense, Arthur Chaskalson et Joel Joffe, ainsi que le procureur en chef, Percy Yutar, étaient Juifs. Lors d’une interview de 1988, ce dernier affirma qu’il avait délibérément réduit les charges, de trahison à sabotage, pour éviter aux accusés la peine de mort. Et le 11 juin 1964, le verdict tomba pour Mandela, Sisulu, et Mbeki: prison à vie. Interné jusqu’en 1990, Mandela maintint toujours ses positions d’extrême gauche: «La nationalisation des mines, des banques, et le monopole des industries est la politique de l’ANC, et le changement ou la modification de nos opinions sous cet aspect est inconcevable. L’autonomisation des Noirs est un but que nous soutenons et encourageons complètement, mais dans notre situation le contrôle de l’État sur certains secteurs de l’économie est inévitable». Deux semaines plus tard, Mandela fut relâché de prison par F. W. de Klerk. Le gouvernement Sud-Africain légalisa les organisations politiques telles que l’ANC, le Parti Communiste, et ses anciens amis communistes tels que Slovo, Kasrils, et Marcus furent autorisés à rentrer au pays. A ce moment là, Mandela débuta une série de rencontres régulières avec Harry Oppenheimer, ancien président d’Anglo American et de De Beers, et il effectua un virage à 180 degrés sur la position économique de l’ANC. Dans sa première interview post-élection en tant que président, Mandela déclara: «Dans nos politiques économiques…il n’y a pas la moindre référence à des choses telles que la nationalisation, et ce n’est pas un accident…» Après l’élection de 1994, où Mandela fut élu président, l’ANC soumit son programme économique à Oppenheimer “pour approbation.” Ironiquement, entre 1997 et 2004, 18 entreprises publiques subirent une privatisaZion, levant 4 milliards de dollars. Encore plus étrange, le Ministre des Finances élus pendant les élections de 1994 ne fut personne d’autre que Gill Marcus. Et c'est sous cette nouvelle équipe que la Banque centrale de Réserve Sud-Africaine fut privatisée. Marcus d'abord Gouverneur Adjoint de la Banque de Réserve en 1999, devint son Gouverneur en 2009.
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