Juden Kapitalist: Karl Marx roule en Porsche! |
L’extrême-gauche grecque semble être parvenue à nouer un pacte avec la finance juive et anglo-saxonne contre Berlin. Soutenu par le banquier juif Mathieu Pigasse – qui a offert ses bons offices au nom de la la banque Lazard et auquel le premier ministre grec a demandé une “expertise” – Tsipras exige l’effacement de 50% de la dette du pays, détenue essentiellement par la France et l’Allemagne. Il a reçu le soutien de l’administration américaine. Tout ceci n'est que manœuvre de Wall Street contre Berlin (http://breizatao.com/2015/02/02/obama-et-la-banque...pas-rembourser-paris-et-berlin). La City et Wall Street semblent percevoir dans l’arrivée au pouvoir de Syriza à Athènes le moyen politique et diplomatique de contraindre les Allemands à capituler quant à leur politique monétaire fort peu accommodante pour la finance londonienne, juive et new-yorkaise. Cette offensive diplomatique a été préfigurée par l’annonce de Mario Draghi – ancien de Goldman Sachs – contre la volonté de la Banque Centrale d’Allemagne, de l’impression de 1 140 milliards d’euros. Tsipras, dans les petits papiers de la grande finance. Alexis Tsipras avait semble-t-il déjà mis au point sa stratégie, en étroite collaboration avec Londres et Washington. Le 25 janvier 2013, il s’était rendu à Washington au Brookings Institution, un des nombreux groupes de réflexion liés au gouvernement américain. Il y avait déclaré: “J’espère vous avoir convaincu que je ne suis pas aussi dangereux que certaines personnes pensent que je ne le suis”. Tsipras avait envoyé ses émissaires à Londres pour convaincre La City de ce qu’elle avait tout intérêt à soutenir un gouvernement d’extrême-gauche à Athènes (source). Et de fait, son programme fort simple repose sur l’abandon par la France et l’Allemagne de la moitié de la dette grecque détenue par ces pays. Une annonce de campagne immédiatement reprise par Mathieu Pigasse dont la banque Lazard a accompagné le gouvernement grec dans la restructuration de sa dette en 2012. C’est cette même banque que Tsipras a choisi pour opérer une alliance entre la banque juive et anglo-saxonne de New York et le gouvernement grec. Alliance entre l’extrême-gauche grecque et la finance internationale. Cette alliance repose sur un programme fort simple: Tsipras finance son programme d’extrême-gauche par les dons généreux de Paris et Berlin. Ces dons seraient le résultat d’un rabais de 50% sur la dette de son pays, ce qui revient de facto à une validation d’une relance par l’emprunt puisque le gouvernement grec ne serait plus tenu à ses engagements en échange des “tranches d’aides” mutuellement convenues avec les Européens. La finance juive et anglo-saxonne quant à elle utilise la Grèce – et à sa suite l’Italie, l’Espagne et le Portugal – comme “bélier” politique pour faire s’effondrer la politique de sérieux budgétaire décidée par Berlin et Paris en échange du refinancement accordé à ces économies surendettées. Moyennant quoi, elle entend bien contraindre l’Europe du Nord à prendre à sa charge les dettes du Sud. Sud qui s’endetterait auprès de cette même finance anglo-américaine et juive pour sa relance, comme lors des décennies précédentes. Un fantastique transfert de richesses depuis l’Europe vers New York et Londres au détriment des travailleurs européens. Outre que cela fragiliserait le leadership allemand en Europe et l’unité même de l’eurozone – ce à quoi aspirent Londres comme Washington – cela engendrerait un report de capitaux vers la zone dollar. Obama apporte son soutien à l’extrême-gauche grecque. Symbole du soutien de la haute finance aux idiots utiles de l’extrême-gauche des pays du Sud de l’Europe, le président américain Barack Obama a apporté son soutien à Athènes (source). Le chef d’État américain a déclaré sur CNN: “Vous ne pouvez pas continuer à presser des pays qui se trouvent au milieu d’une dépression. A un moment donné, il doit y a avoir une stratégie de croissance afin qu’ils puissent payer leur dette et effacer certains de leurs déficits”. On ne voit pas très bien de quelle dette il s’agirait puisque les mêmes demandent aux Allemands et aux Français de les effacer. Quant à une “stratégie de croissance”, elle revient bien sûr à relancer l’emprunt pour mettre en oeuvre un nouvel enrichissement ne reposant que sur un nouveau flot de dettes. Flot auquel espère bien pouvoir s’abreuver Wall Street et La City. Paris se retourne contre Berlin. Le gouvernement français, soucieux de retrouver un semblant de crédibilité en Europe, s’est alliée au gouvernement d’extrême-gauche grec comme à la finance anglo-américaine, pour faire “payer Berlin”. A ce titre – et à l’initiative de François Hollande – le gouvernement français recevra Tsipras mercredi. Ce dernier tente de rallier Rome et Paris à la ligne de Washington et Londres pour encercler Berlin. Recevant son homologue grec, Michel Sapin – ministre des Finances français – a évoqué dimanche un “nouveau contrat avec Athènes”. Un contrat anti-allemand qui vise à s’allier avec Londres et New York pour désenclaver un gouvernement socialiste lorgnant désespérément sur l’argent allemand pour relancer sa propre économie. Pour le gouvernement socialiste, complètement discrédité en Europe, il s’agit de tenter de jouer à nouveau la carte “de l’Europe du Sud” contre l’Europe du Nord. Carte qui avait été rejetée par Rome notamment. La nécessité de la résistance allemande. Le gouvernement allemand doit adopter un ton intransigeant face aux mendiants d’Athènes et à l’alliance anti-européenne instiguée par la finance internationale contre Berlin et l’Europe continentale. Pour l’heure Angela Merkel a adopté un langage d’autorité vis-à-vis des gauchistes grecs, parfaitement consciente de ce qu’ils ne sont que les idiots utiles de Londres et Washington. Depuis Trotsky (de son vrai nom Bronstein) et la révolution bolchevique, chacun sait que le communisme n’est que l’instrument de Wall Street.
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