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Cagoules et suicides en pagaille!

Ñóááîòà, 17 ßíâàðÿ 2015 ã. 14:38 + â öèòàòíèê

Du casque de Mohamed Merat aux cagoules des frères Kouachi, on retrouve l'alibi du terrorisme d’État, et cela même si le profil des tueurs est totalement différent. Pour Merah, son seul tort fut d'être indic à la solde du gouvernement, et quand les assassinats sur des soldats français débutèrent, bien que sa corpulence ne corresponde pas au portrait robot dressé, on le balança aux médias, et le GIGN passa récupérer ses étrennes. Quand aux frères Pieds Nickelés, cette idée de se balader en tenue paramilitaire en plein Paris nous interpelle, alors qu'au vu de leur faciès, un simple pastiche et une casquette leur aurait suffi pour se fondre dans la rue jusque dans une bouche de métro, mais eux canardent pendant 15 minutes puis reprennent tranquillement la voiture. 15 minutes largement suffisantes en théorie pour mettre en place des barrages dans la capitale. En gros, la théorie officielle, c'est de rester anonyme, mais pas trop. T'as pas le droit de montrer ton visage, mais si tu pouvais laisser ton relevé de Caisse d'Allocations Familiales derrière toi, ce serait cool. Aujourd'hui, le seul conseil que l'on puisse donner à nos lecteurs est de bien surveiller vos papiers d'identité. Parce que les perdre et il ne serait pas étonnant que vous deveniez comme par enchantement propriétaire d'un hôtel au Yémen! (http://lesmoutonsenrages.fr/2015/01/16/black-out-p...ntre-charlie-hebdo/#more-76099) On en a parlé dès le 08 Janvier, le commissaire Helric Fredou qui enquêtait sur Charlie Hebdo s’est suicidé dans un grand silence, combien de médias en ont parlé? Une chaîne de télévision a-t-elle consacré quelques minutes à ce commissaire? Étrangement non, rien, alors que de nombreux médias à travers la planète ont mis en avant ce suicide comme étant un fait important, comme le journal américain NSNBC pour ne citer que lui. Il suffit de chercher le nom de ce commissaire dans un moteur de recherche pour bien s’en rendre compte…Le commissaire de police Helric Fredou, numéro deux du Service régional de la police judiciaire de France (JP), à Limoges (Haute-Vienne), s’est suicidé dans la nuit de mercredi à jeudi sur son lieu de travail. Il enquêtait sur l’attaque terroriste contre le journal Charlie Hebdo. Les frères Cherif et Saïd Kouachi qui ont été abattu par la police le 9 Janvier, ont passé leurs années de lycée dans la région de Limoges. Nul doute que c’était l’objet de l’enquête de la police de Helric Fredou. Pourtant, la police et les médias affirment que ce même mercredi, il a participé à une réunion avec la famille de l’une des victimes Charlie Hebdo. Le mercredi, dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Charlie Hebdo, il a dépêché une équipe de fonctionnaires de police sous sa juridiction. Il aurait attendu le retour de son équipe pour un débriefing. Immédiatement après le débriefing, il a commencé à rédiger de son rapport de police. Selon les rapports des médias, il s’est suicidé à environ 1 heures du matin le jeudi, quelques heures après le débriefing. Il a utilisé son arme de police, un SIG-Sauer. Au moment de sa mort, la police a prétendu ne pas connaître la raison de son suicide présumé. Cela s’est reflété dans leurs déclarations officielles aux médias: «On ne connaît pas à ce moment les raisons de ses actions». Cependant, la police a ensuite déclaré à la presse que Fredou était «déprimé et surchargés de travail. Pour tout agent de l’application des lois en France, il serait assez étrange que quelqu’un souhaite manquer le plus grand événement unique terroriste du siècle. (Wire 21e siècle, ) Une autopsie a été pratiquée à l’Hôpital de l’Université de Limoges, «confirmant le suicide». Les médias français ont décidé ou ont été chargé de ne pas couvrir l’incident. Black Out total? Voilà pour le «Je suis Charlie» et «la liberté d’expression» dans le journalisme. De même, les médias occidentaux, y compris tous les services d’information majeurs (AP, AFP, Reuters, Deutsche Welle, etc.) n’ont pas couvert la question. Un rapport isolée dans Le Parisien présente l’acte de suicide comme étant totalement sans rapport avec l’enquête autour de Charlie Hebdo. Bien que décrit comme étant dépressif et souffrant d’un épuisement professionnel, les rapports de police indiquent que le suicide de Helric Fredou était totalement inattendu.

S’est-il réellement suicidé ou a-t-il été suicidé? Son rapport a-t-il été publié? Ce sont des questions pour les journalistes français. Ce est ce qu’on appelle le journalisme d’investigation. Ou est-ce pure et simple censure des médias? «Des papiers pourris», rétorque la soeur du défunt. Mercredi 14 janvier, au lendemain des obsèques d’Helric Fredou, Panamza a contacté sa soeur -qui préfère demeurer non identifiée- afin de clarifier l’implication du policier, vaguement évoquée par la presse régionale, dans l’enquête relative à l’attentat de Charlie Hebdo. Extraits principaux de l’échange téléphonique avec sa sœur (http://lesmoutonsenrages.fr/2015/01/17/suicide-du-...view-de-la-famille/#more-76149). «Sur le coup, je me suis dit c’est pas possible, quelqu’un l’a flingué mais on est pas dans un film»:la sœur refuse de croire en la possibilité angoissante d’un meurtre mais continue de s’interroger sur les circonstances exactes de la mort du policier. «Pas de courrier laissé ni de plaque sur son bureau»: Helric Fredou n’a laissé aucune lettre pour expliquer son geste.  De même, il n’a pas déposé sa plaque de police en évidence comme le font parfois certains de ses collègues retrouvés suicidés. «C’était quelqu’un de calme, avec un grand esprit de discernement selon son formateur»: la soeur a plusieurs fois souligné le sang-froid du policier -tenu en estime par son formateur en raison de sa perspicacité- et le fait qu’il n’était ni violent ni impulsif. «On nous a enlevé les ordinateurs et son portable perso, on nous a tout pris, ça nous a choqués mais c’est la procédure, nous a-t-on dit»: dans l’après-midi du 8 janvier, les policiers ont fouillé le domicile du défunt, en présence de sa mère et de sa soeur, avant d’emporter son matériel informatique et son smartphone personnel. «Ma maman, qui était très fusionnelle avec lui, est retournée contre la terre entière: elle veut savoir comment il s’est tué. Il a un pansement sur le front. Sur le côté, c’est trépané à cause de l’autopsie. À l’arrière du crâne, il n’y a rien»: informée vers 5 heures du matin du décès, la soeur rapporte avoir dû insister pour accéder au corps du défunt. C’est seulement en fin de journée qu’elle et sa mère ont été autorisées à voir le corps d’Helric Fredou. «Mon frère avait lui-même trouvé deux suicidés -dont l’un à Melun- et avait dit  à maman ‘je te ferai jamais un truc comme ça’, à savoir me tuer et te laisser seule. Il n’était pas dépressif»: en novembre 2013, Helric Fredou avait effectivement été le policier qui avait découvert le corps de son collègue Christophe Rivieccio, retrouvé mort dans le même commissariat de Limoges. «Mon frère était chez lui ce soir-là et comme il était de permanence, ils l’ont appelé et il est venu au commissariat vers 23h30… La journée avait été très tendue selon ses collègues…. Des policiers de Paris étaient présents dans la soirée… Il devait rédiger un rapport mais il y a eu des frictions, je ne sais pas sur quoi… Il leur a dit qu’il devait passer de toute urgence un coup de téléphone et comme ils ont vu qu’il ne revenait pas, un collègue est allé le chercher à son bureau et l’a découvert mort»: ce mercredi soir, des policiers partis procéder à des vérifications de sécurité auprès d’une famille de victime de l’attentat ont été débriéfés par Helric Fredou. Le témoignage de sa soeur apporte deux éléments troublants : des «frictions» se seraient manifestées entre policiers au sujet du rapport (finalement jamais entamé) que devait rédiger Helrou; dans ce contexte tendu, l’homme a été retrouvé mort quelques minutes après avoir déclaré à ses collègues qu’il devait à tout prix téléphoner à quelqu’un de non identifié. «Des gens de Paris sont descendus pour nous expliquer comment cela s’est passé»: la sœur souligne que des cadres de la police nationale se sont déplacés expressément le lendemain à Limoges et ont tenu à lui certifier qu’il s’agissait d’un suicide. Encore un suicide accidentel pour notre République exemplaire, ça commence à faire beaucoup! Et vous, vous n'auriez pas une petite idée?

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