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De quel droit le juif s'autorise à blasphémer notre Seigneur?

Четверг, 01 Января 2015 г. 22:03 + в цитатник

La “justice” socialo-maçonnique française s’engage chaque jour un peu plus dans la répression des opposants à la tyrannie jacobino-républicaine en place. Voici un communiqué de l’AGRIF qui évoque le cas d’un brave Catholique qui a fort justement anéanti l’immonde “Piss Christ”, objet “représentant” Notre Seigneur avec de l’urine. L’acharnement haineux de ces hyènes signe en lettre d’or l’appartenance politique des “magistrats” en question, exécutants zélés de l’esprit de 1793: (http://breizatao.com/2015/01/01/affaire-piss-chris...onne-le-placement-en-detention) Dans l’affaire Piss Christ, qui date d’il y a presque 4 ans, 4 jeunes gens étaient suspectés d’avoir donné le coup de marteau dans le Piss Christ le 17 avril 2011 à Avignon. La presse locale avait même osé les qualifier de «profanateurs du Piss Christ»! Le Parquet avait engagé une enquête préliminaire qui avait abouti à la garde à vue des quatre garçons, qui avaient tous nié leur participation. A l’issue de leur garde à vue, le parquet d’Avignon leur avait fait notifier une convocation devant le tribunal correctionnel d’Avignon. Devant le Tribunal, Jacques Trémolet de Villers défendait le principal suspect, suspecté d’avoir donné le coup de marteau fatal à la vitre de protection de cette oeuvre majeure du 20ème siècle finissant. Me Triomphe défendait l’un de ceux qualifiés de complice. Deux autres avocats défendaient les deux autres qualifiés de complices. Devant le tribunal, la Collection Lambert réclamait 400.000 € de dommages-intérêts et frais divers! Le 19 juillet 2012, les avocats ont plaidé devant le tribunal correctionnel d’Avignon et ont fait annuler les poursuites. Inutile de vous dire qu’ils étaient en face fous de rage. Le Procureur avait alors annoncé qu’il allait engager de nouvelles poursuites et il a saisi un juge d’instruction, Violaine Guadagni. Cette dame a commencé par ordonner une expertise graphologique incompréhensible (il y avait dans le dossier une menace de mort manuscrite mais les suspects avaient déjà fait des lignes d’écriture en garde à vue et ce n’était aucun d’entre eux). Mais ce qui est le plus délirant, c’est que Mme Guadagni avait notifié aux 4 avocats la mission d’expertise en donnant 10 jours à la défense pour demander la modification ou le complément de la mission. Or, les avocats n’étaient pas partie à l’instruction puisque les suspects n’avaient été ni mis en examen, ni placés sous statut de témoin assisté! La défense n’a plus eu aucune nouvelle jusqu’à hier 29 décembre 2014. Là, le greffe de la juge d’instruction appelle Me Jacques Trémolet en lui indiquant que son client a fait l’objet d’un mandat d’arrêt et qu’il va comparaître. Elle l’a mis en examen et, sur réquisitions du Procureur, a saisi “le juge (dit) des libertés et de la détention” qui l’a placé en détention! Motifs: il ne s’est pas présenté à l’expertise (alors qu’il a du être convoqué à une ancienne adresse, qu’il n’était pas mis en examen et qu’il n’avait pas à s’y soumettre!) et au motif qu’on l’avait cherché pendant 2 ans sans le trouver, ayant quitté son ancienne adresse parisienne. Or, sa nouvelle adresse, qui est celle de ses parents à l’étranger, avait été donnée par le suspect lui-même au tribunal le 19 juillet 2012 et tout cela était dans le dossier! Ainsi, au prétexte qu’il risquait de ne pas se présenter à la justice, il a été placé en détention provisoire, alors qu’il n’a jamais été informé de la moindre convocation, qu’on ne l’a jamais convoqué à son adresse actuelle alors qu’elle se trouvait au dossier, alors qu’il a toujours déféré aux convocations qui lui ont été faites (et notamment le 19 juillet 2012), et pour une affaire en réalité politisée qui date de près de quatre ans! Pour Me Tremolet, ce placement en détention est absolument contraire aux dispositions du Code de procédure Pénale. Un référé-liberté a été déposé aujourd’hui même sur le fondement de l’article 187-1 du code de procédure pénale. Le Président de la chambre de l’instruction statuera lui-même ce vendredi 2 janvier au plus tard sur la libération du suspect. Il faut dénoncer le scandale de cette détention monstrueuse, alors que la Collection Lambert va tenter de les ruiner en leur réclamant 400.000 €. Un crucifix dans l'urine, et pourquoi pas des couilles de juif sous vide tant qu'on y est?

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