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Nos aïeux parlaient vrai.

Суббота, 26 Апреля 2014 г. 19:09 + в цитатник

Tiré de Paul-Éric Blanrue, Le Monde contre soi, Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme, préface de Yann Moix, Éditions Blanche, 2007: - Jean Jaurès, "La question juive en Algérie", 1er mai 1895, La Dépêche (quotidien de gauche de Toulouse, cité par Michel Winock, La France et les Juifs, Seuil, 2004): "Dans les villes, ce qui exaspère le gros de la population française contre les Juifs, c'est que, par l'usure, par l'infatigable activité commerciale et par l'abus des influences politiques, ils accaparent peu à peu la fortune, le commerce, les emplois lucratifs, les fonctions administratives, la puissance publique. [...] En France, l'influence politique des Juifs est énorme, mais elle est, si je puis dire, indirecte. Elle ne s'exerce pas par la puissance du nombre, mais par la puissance de l'argent. Ils tiennent une grande partie de la presse, les grandes institutions financières, et, quand ils n'ont pu agir sur les électeurs, ils agissent sur les élus. Ici, ils ont, en plus d'un point, la double force de l'argent et du nombre." Il enfonçait encore le clou dans un Discours au Tivoli, en 1898 (cité par B. Poignant, "Ouest-France", 13 décembre 2005): "Nous savons bien que la race juive, concentrée, passionnée, subtile, toujours dévorée par une sorte de fièvre du gain quand ce n'est pas par la force du prophétisme, nous savons bien qu'elle manie avec une particulière habileté le mécanisme capitaliste, mécanisme de rapine, de mensonge, de corset, d'extorsion."

A Carmaux, le chef de l'Etat souhaitait saluer des gens agglutinés derrière des barrières. Il a été accueilli par des sifflets (http://www.europe1.fr/Politique/Francois-Hollande-...parlait-pas-comme-vous-2101017). Après son retour sur le terrain en Auvergne, la semaine dernière, raté à cause de "'l’Affaire Morelle", François Hollande souhaitait renouer avec les Français à Carmaux, sur les terres de Jean Jaurès, dont on célèbre cette année le centenaire de la mort. Mais à peine descendu de voiture, le chef de l’Etat a été sifflé par les habitants venus à sa rencontre."On est déçus M. Le président". De nombreux riverains avaient auparavant fait part aux journalistes de leur mécontentement devant l'important dispositif policier mis en place, qui les maintenait éloignés de la place. François Hollande a donc cru bon d’aller les voir massés derrière des barrières, mais c’est le mécontentement qui s’est fait entendre. "On est déçus monsieur le président", a lancé une habitante au chef de l'Etat. "En 2012 on était là et aujourd'hui on ne peut même pas aller au dépôt de la gerbe", lui a-t-elle dit. Dialogue tendu entre #Hollande et une dame à Carmaux: - Vous tenez pas vos promesses!- Mais si on les tient- Non vous ne les tenez pas — Sylvie Corbet (@SylvieCorbet) 23 Avril 2014. "Même le pape se frotte à la foule, même Sarkozy a pris des tomates (...) De quoi a-t-il peur?", s'est plainte Catherine Marchetti, chômeuse de 51 ans. "S'il voyait ça, Jaurès se retournerait dans sa tombe!", s'est également indignée Francine Iglesias, 66 ans. "Ça me toujours fait plaisir de rencontrer les Français". Après avoir échangé quelques mots avec eux et serré quelques mains, le président - qui a aussi reçu quelques encouragements - est remonté dans sa voiture pour rejoindre la place. Quelques minutes plus tard, il expliquait aux journalistes que le quartier avait été bouclé "pour des raisons protocolaires". Après le dépôt de gerbe, il a également choisi de faire à pied la distance séparant la place de la salle François Mitterrand où il a ensuite prendre la parole. Là plus de huées, et François Hollande a pu longuement serrer des mains et discuter avec les habitants. "Ça me toujours fait plaisir de rencontrer les Français, avec ce qu'ils peuvent dire parfois d'encouragements - c'est le plus souvent - parfois aussi d'exigence, d'impatience et moi, je suis là pour ça", a lancé François Hollande, avant de prendre la parole à la tribune."On se moque souvent des optimistes"... Lors de son discours, le chef de l’Etat a semblé justifier ses réformes. Il accuse au passage les gouvernements successifs de ne pas avoir réformé la France pendant 30 ans car "le pire risque, c'est de ne pas en prendre, c'est de laisser faire." Et d’adresser un message implicite à ceux qui critiquent sans cesse son action à la tête de l’État: "Jaurès n'était pas un rêveur mais un optimiste. On se moque souvent des optimistes. (...) L'optimisme n'est pas une naïveté." Le président a également "utilisé" Jean Jaurès pour évoquer les élections européennes à venir: "l'Europe d'aujourd'hui est le rêve de Jaurès. La France ne doit pas se demander si elle est pour ou contre l'Europe. Qui imagine aujourd'hui la France sans l'Europe?" Et de conclure, avant La Marseillaise: "le travail, l'action, l'espoir, c'est le cap que nous devons suivre, c'est le cap de Jaurès." Souviens-toi, il y a deux ans... Le 16 avril 2012, le candidat Hollande avait décidé, symboliquement, de terminer sa campagne à Carmeaux, là où François Mitterrand avait débuté la sienne en 1981. Et, à cette époque, porté par des sondages qui l'envoyaient tout droit à l'Elysée, François Hollande avait été acclamé par le peuple de gauche, venu nombreux à son meeting. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts...Hollande a déçu tout le monde, de l'extrême gauche aux partis centristes, du p'tit fonctionnaire au grand ministrable, de l'instituteur à l'homme de lettres, du journaliste scribouillard au patron de presse. Il ne représente que le valet de pied de la Haute finance juive, et en aucun cas le défenseur des valeurs françaises. Et il est loin d'être le seul corrompu.