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Entre Holodomor et Tchernobyl!

Суббота, 29 Марта 2014 г. 16:05 + в цитатник

Le chef du parti dit “nationaliste” Svoboda n’est semble-t-il pas l’ennemi déclaré des juifs au contraire d’un des pères fondateurs du nationalisme ukrainien, Stefan Bandera, qui ne les portait pas dans son cœur (http://breizatao.com/2014/03/06/le-chef-de-svoboda...omate-us-juive-victoria-nuland). Le 7 février 2014, Oleh Tyahnybok, leader de cette “extrême droite” qui a fait parler d’elle ici et là, rencontrait la plus haute représentante des États-Unis en Europe, la juive Victoria Nuland (Nudelman). Cette dernière s’est fait connaître pour la fuite d’une conversation téléphonique avec Geoffray H. Pyatt, l’ambassadeur américain à Kiev, lors de laquelle elle formait, littéralement, le futur gouvernement ukrainien. Oleh Tyahnybok était bien accompagné, puisqu’à ses côtés figurait l’actuel “premier ministre”, Arseni Iatseniouk, qui était – ô surprise – le candidat de Nuland pour ce poste lors de la fameuse conversation. Iatseniouk est tout sauf un patriote ukrainien puisqu’il a participé au dernier sommet de la Commission Trilatérale en Pologne, une organisation transnationaliste créée par le juif Henry Kissinger. Lors de cette réunion, il a parlé sur le thème “l’Ukraine et l’Union Européenne”. Ce qui peut s’expliquer par le fait qu’Arseni Iatseniouk est juif, comme le confirme ce document de l’université anglaise d’Oxford: “Né à Chernivtsi en 1974 de parents juifs ukrainiens”. Lors de ce sommet, étaient présents: Peter Sutherland, président de Goldman Sachs International; Mario Monti, ancien président du conseil des ministres italien; Kurt Lauk, président du conseil économique de la CDU, Elisabeth Guigou, membre du Parti Socialiste et présidente de la commission des Affaires étrangères (France); Michael Fuchs, membre du Bundestag allemand et vice-président du groupe parlementaire CDU/CSU ; Vladimir Dlouhy, conseiller international de Goldman Sachs, ancien ministre tchécoslovaque de l’Économie, ancien ministre tchèque de l’Industrie et du Commerce; Leon Brittan, membre de la Chambre des Lords, vice-président de l’UBS Investment Bank (Royaume-Uni), etc... On y relevait également la présence de Radoslaw Sikorski, ministre des affaires étrangères de Pologne, premier à reconnaître les putschistes de Kiev comme “gouvernement légitime”. Il est marié à la juive américaine Anne Applebaum, journaliste au Washington Post, un journal néo-conservateur et pro-israélien. Etait également présent l’ancien ministre des affaires étrangères polonais, le juif Adam Rotfeld. Dernière figure de la délégation de l’opposition reçue, un ancien boxeur vedette. Son parti, UDAR, a pour sponsor l’International Republican Institute. On retrouve à l’IRI le sénateur John Mc Cain, lié à Bernard Henri Lévy. Nous retrouvons aussi le National Democratic Institute (NDI), une organisation américaine financée par le gouvernement US via le biais de la National Endowment for Democracy (NED) elle même faisant partie du Département d’État américain. Cependant, l’élément le plus intéressant est l’origine ethnique de Klitschko. Le journal Chabad Lubavitch “Lechaïm” l’a évoqué en décembre 2003: “Pendant la guerre, les fascistes ukrainiens se soulevèrent et le grand-père de Klitschko risqua sa vie et celles de sa famille en cachant la jeune juive Tamara Etinzon dans leur cave, après que sa famille fut tuée par les Nazis. Après la guerre, ils se marièrent et partirent en exil.

Leur fils Vladimir devint officier pour Staline, et leurs fils sont nés au Kirghizistan et grandirent à Kiev vivent maintenant en Allemagne”. Notre brave boxeur Vitali est donc juif par sa grand-mère maternelle, c’est-à-dire au regard de la loi juive, intégralement juif, tout comme le financier de son parti, le milliardaire ukraino-israélien Ihor Kolomoisky, qui vient d’être nommé gouverneur d’une région prorusse par les putschistes de Kiev. Il en va de même pour Ioulia Tymochenko, d’origine juive de Baltique (née Grygian), et désormais candidate à l’élection présidentielle du 25 mai prochain. C’est elle qui a imposé ses lieutenants à la présidence et au ministère de la Police. En outre, le premier ministre Arseni Yatsenyuk est également juif et était soutenu par Victoria Nuland (née Nulman), la représentante des USA en Europe et également juive. Yatsenyuk avait participé fin octobre 2013 à la 37ème réunion européenne de la Commission Trilatérale. C’est peut-être là qu’a été décidé le coup de force contre Yanukovitch, président élu d’Ukraine, et que Yatsenyuk a été adobé comme candidat naturel au poste de premier ministre. Peu surprenant dans ces circonstances que tous les candidats secondaires à des postes gouvernementaux courtisent les différents représentants du judaïsme politique. Ainsi en est-il de “Secteur Droit”, dont les dirigeants se sont engagés à l’ambassade d’Israël de “lutter contre l’antisémitisme et le racisme”, sous les applaudissements d’Abraham Foxman, chef de l’Anti-Defamation League, un puissant relais du sionisme international basé aux USA. John Kerry est quant à lui le Secrétaire d’Etat des Affaires Etrangères américain. Il a été en pointe sur les dossiers syrien et ukrainien. En réalité, son nom est Kohn (Cohen). Nous allons présenté ici son ascendance juive dans le détail sur la base des études de généalogistes juifs. Loin d’être une lointaine origine familiale, John”Kerry” Kohn est en réalité demi-juif, comme Bernard Henri Lévy. Ce qui suffit donc amplement. L’arrière grand-père de John “Kerry” Kohn est Benedikt Kohn, né en 1824 en Moravie. En 1868 il s’installe à Bennisch (aujourd’hui Horni Benesov, République Tchèque) où il épouse Mathilde Frankel Kohn, membre de la petite communauté juive locale. Il aura trois enfants: Ilda, Friedrich et Otto. Après sa mort en 1876, sa femme Mathilde déménage à Vienne, en Autriche avec ses trois enfants. En 1898, Otto décide de changer de nom pour mieux dissimuler son origine. Il prend une carte de l’Europe et, en fermant les yeux, place un crayon sur un point de celle-ci. Ce sera la région du “Kerry” en Irlande. En 1901, son frère Friedrich -  le grand-père de John “Kerry Kohn” – décide de l’imiter et adopte le même nom, “Kerry”. Friedrich “Kerry” Kohn, épouse une juive originaire de Budapest, Ilda Loewe, qui s’avère être une descendante de Sinaï Loewe, le frère du rabbin de Budapest Judah Loew, fameux cabaliste propagateur du mythe du Golem. En 1905 le couple s’installe, avec leur jeune enfant Erich, en Amérique où ils auront deux autres enfants: Mildred (1910) et Richard (1915). Richard “Kerry” Kohn est le père de John “Kerry” Kohn. Richard “Kerry” Kohn épouse une des héritières de la fortune Forbes, Rosemary. Ils ont deux fils, John “Kerry” Kohn et Cameron, (re)converti au judaïsme et puissant avocat de Boston. John “Kerry” Kohn est un des hommes politiques américains les plus riches, bien que classé “à gauche”.

L'ancien soldat israélien qui a dirigé une unité de combat à Kiev. «Delta» était le meneur de ce qu'il appelle les «Casques bleus de Maidan», une équipe de 40 hommes et femmes, dont certains vétérans de l'Armée de Défense Israélienne, dans de violentes confrontations avec les forces gouvernementales ukrainiennes (http://www.haaretz.com/mobile/1.577114). He calls his troops “the Blue Helmets of Maidan,” but brown is the color of the headgear worn by Delta — the nom de guerre of the commander of a Jewish-led militia force that participated in the Ukrainian revolution. Under his helmet, he also wears a kippah. Delta, a Ukraine-born former soldier in the Israel Defense Forces, spoke to JTA Thursday on condition of anonymity. He explained how he came to use combat skills he acquired in the Shu’alei Shimshon reconnaissance battalion of the Givati infantry brigade to rise through the ranks of Kiev’s street fighters. He has headed a force of 40 men and women — including several fellow IDF veterans — in violent clashes with government forces. Several Ukrainian Jews, including Rabbi Moshe Azman, one of the country’s claimants to the title of chief rabbi, confirmed Delta’s identity and role in the still-unfinished revolution. The “Blue Helmets” nickname, a reference to the UN peacekeeping force, stuck after Delta’s unit last month prevented a mob from torching a building occupied by Ukrainian police, he said. “There were dozens of officers inside, surrounded by 1,200 demonstrators who wanted to burn them alive,” he recalled. “We intervened and negotiated their safe passage.” The problem, he said, was that the officers would not leave without their guns, citing orders. Delta told JTA his unit reasoned with the mob to allow the officers to leave with their guns. “It would have been a massacre, and that was not an option,” he said. The Blue Helmets comprise 35 men and women who are not Jewish, and who are led by five ex-IDF soldiers, says Delta, an Orthodox Jew in his late 30s who regularly prays at Azman’s Brodsky Synagogue. He declined to speak about his private life. Delta, who immigrated to Israel in the 1990s, moved back to Ukraine several years ago and has worked as a businessman. He says he joined the protest movement as a volunteer on November 30, after witnessing violence by government forces against student protesters. “I saw unarmed civilians with no military background being ground by a well-oiled military machine, and it made my blood boil,” Delta told JTA in Hebrew laced with military jargon. “I joined them then and there, and I started fighting back the way I learned how, through urban warfare maneuvers. People followed, and I found myself heading a platoon of young men. Kids, really.” The other ex-IDF infantrymen joined the Blue Helmets later after hearing it was led by a fellow vet, Delta said. As platoon leader, Delta says he takes orders from activists connected to Svoboda, an ultra-nationalist party that has been frequently accused of anti-Semitism and whose members have been said to have had key positions in organizing the opposition protests. “I don’t belong [to Svoboda], but I take orders from their team. They know I’m Israeli, Jewish and an ex-IDF soldier. They call me ‘brother,’” he said. “What they’re saying about Svoboda is exaggerated, I know this for a fact. I don’t like them because they’re inconsistent, not because of [any] anti-Semitism issue.” The commanding position of Svoboda in the revolution is no secret, according to Ariel Cohen, a senior research fellow at the Washington D.C.-based Heritage Foundation think tank. “The driving force among the so-called white sector in the Maidan are the nationalists, who went against the SWAT teams and snipers who were shooting at them,” Cohen told JTA. Still, many Jews supported the revolution and actively participated in it. Earlier this week, an interim government was announced ahead of election scheduled for May, including ministers from several minority groups. Volodymyr Groysman, a former mayor of the city of Vinnytsia and the newly appointed deputy prime minister for regional policy, is a Jew, Rabbi Azman said. “There are no signs for concern yet,” said Cohen, “but the West needs to make it clear to Ukraine that how it is seen depends on how minorities are treated.” On Wednesday, Russian State Duma Chairman Sergey Naryshkin said Moscow was concerned about anti-Semitic declarations by radical groups in Ukraine. But Delta says the Kremlin is using the anti-Semitism card falsely to delegitimize the Ukrainian revolution, which is distancing Ukraine from Russia’s sphere of influence. “It’s bullshit. I never saw any expression of anti-Semitism during the protests, and the claims to the contrary were part of the reason I joined the movement. We’re trying to show that Jews care,” he said.

Maïdan a-t-il embauché des snipers pour tirer sur la police? Selon le site russe rt.com, une conversation téléphonique du 25 février dernier entre la vice-présidente de la Commission européenne, Catherine Ashton, et le ministre estonien des affaires étrangères, Urmas Paet, permet de le croire (http://www.lesobservateurs.ch/2014/03/05/maidan-t-...ipers-pour-tirer-sur-la-police). Au cours de cette conversation (dès 08:20), Paet déclare: "On sait aujourd'hui de façon de plus en plus certaine que, derrière les tireurs d'élite, il n'y avait pas Ianoukovitch, mais quelqu'un de la nouvelle coalition." "Je pense que nous voulons enquêter là-dessus. Je veux dire, je ne savais pas, c'est intéressant. Mon Dieu", a répondu Ashton. "Ce qui est assez troublant, cette même Olga [Bogomolets, principal contact de Paet lors de son voyage en Ukraine] dit aussi que tous les éléments de preuve montrent que les gens qui ont été tués, des deux côtés, par des tireurs embusqués, qu'ils soient policiers ou manifestants, ont été tuées par les les mêmes tireurs d'élite", souligne encore Urmas Paet. "Elle m'a aussi montré des photos, sur lesquelles, en tant que médecin, elle dit qu'elle peut reconnaître la même signature, le même type de balles, et c'est vraiment perturbant que, maintenant, la nouvelle coalition ne veuille pas enquêter sur ce qui s'est réellement passé " Ashton réagit en ces termes: "Eh bien, oui ... c'est, c'est terrible." La conversation aurait été téléchargée sur internet par des officiers des services secrets ukrainiens loyaux au président Ianoukovitch. 94 personnes ont été tuées à Kiev le mois dernier. Apparemment pas au courant de la fuite, Urmas Paet faisait encore il y a peu le tour des rédactions, déclarant son soulagement que l’Europe ait caractérisé l’attitude de la Russie d’«agression». Au moment où nous écrivons cet article (15:51), il confirme à la presse estonienne la véracité de l'enregistrement. Le terrorisme sionisme s'appuie sur deux composantes essentielles: le fusil à lunette, et le pain de plastic!

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