Des juifs planquent peut-être dans votre voisinage, renseignez-vous! |
Sur le site de Dov Hikind, député de l'Etat de New York à l’initiative de ce projet, on peut lire en lettres capitales blanches sur fond rouge: «Les Nazis vivent librement parmi nous» (http://www.slate.fr/monde/84283/campagne-chasser-nazis-etats-unis). En juin 2013, nous avions relayé sur Slate une information du New York Mag, affirmant en effet qu'«il pourrait rester des centaines de nazis aux Etats-Unis». Dov Hikind est élu dans un district qui compte une majorité de juifs orthodoxes. Lui-même fils de rescapés de la $hoah (et un de plus!), il milite depuis plusieurs années pour que les nazis qui vivent encore aux Etats-Unis soient jugés et expulsés. Sur son site, il s’exprime: «C’est inacceptable. Je suis certain que les gens honnêtes, quelle que soit leur nationalité, penseraient eux aussi que c’est inacceptable, s’ils étaient au courant de cela. Je tente donc d’attirer l’attention de tout le monde sur cette situation répréhensible. Les gens honnêtes ne veulent pas d’un nazi comme voisin.» Dans ses discours, il fait notamment référence à Jakiw Palij, ancien nazi originaire de Pologne, dont parlait le Huffington Post en novembre 2013. Dix ans auparavant, le Département de la Justice révélait que cet homme, aujourd’hui âgé de 92 ans et originaire de Pologne, avait été gardien d'un camp nazi. Palij dément avoir «porté l’uniforme SS» et a toujours prétendu avoir été «enrôlé de force dans l’armée allemande». Pas de quoi attendrir Dov Hikind, qui s’indignait fin 2013: «Il vit en Amérique, il profite de l’Amérique, alors qu’il a ôté la vie de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants». En parallèle de sa campagne «publicitaire», le député a lancé une pétition à signer en ligne sur change.org. Mais les affaires controversées dans lesquelles a trempé Hunkind semblent le discréditer. TV Mix nous rafraîchit la mémoire: «Il a cherché à créer la polémique ces dernières années en défendant le profilage racial des individus d’“apparence” musulmane, et a voté contre une loi autorisant le mariage gay, clamant que si elle passait, cette mesure pouvait conduire à accepter l’inceste.» Le site évoque également une affaire de détournement de fonds dans lequel Hikind serait impliqué. Le député avait en outre fait scandale en février 2013, en débarquant à la fête juive de Pougrim grimé en noir (le blackface). Il avait alors été vivement critiqué de toutes parts. Enfin, son implication dans le groupe terroriste de la Ligue de défense juive dans les années 1970 l’a souvent desservi, en témoigne le titre de The Nation en février 2013. Quoi qu’il en soit, Dov Hikind poursuit sa lutte contre les nazis: «Il n’est jamais trop tard pour obtenir justice pour les victimes de la $hoah». Ce sont à peu près les mêmes mots qu'utilisait une campagne semblable dont Slate vous parlait en juin 2013, l’«Opération Last Chance II». Des affiches indiquant «Tard, mais pas trop tard» avaient été placardées en Allemagne, dans les rues de Berlin, Hambourg et Cologne, dans le but de retrouver d’anciens nazis, et de les punir.
On a aussi appris la mort d'Alain Resnais à l'âge de 91 ans, il avait réalisé en 1955 Nuit et Brouillard, premier documentaire de ce type réalisé sur les camps nazis, dont le ton met en lumière l'effrayante banalité de ces lieux de mort (http://www.lepoint.fr/cinema/resnais-nuit-et-broui...mort-02-03-2014-1797009_35.php). Issu d'une commande à l'occasion du 10 ème anniversaire de la libération des camps de concentration, ce film de 32 minutes, mêlant images d'archives en noir et blanc et séquences en couleurs tournées sur place, reste une référence. Il montre des arrestations, les convois, les monceaux de cheveux, de valises, de vêtements stockés à Auschwitz, les fours crématoires, les baraquements, et aussi les survivants hagards et les morts entassés. Le commentaire, écrit par Jean Cayrol, lui-même rescapé des camps, est lu par Michel Bouquet. "Toute la force du film réside dans le ton adopté par les auteurs: une douceur terrifiante. On sort de là ravagé, confus et pas très content de soi", a écrit François Truffaut, alors critique aux Cahiers du cinéma. Les historiens actuels notent toutefois qu'en 1950 on parlait des déportés dans leur ensemble sans insister sur les critères raciaux. Ils rappellent qu'à l'époque, le souvenir de la déportation était porté par les associations de déportés politiques bien plus que par les rescapés juifs. En dépit de sa sobriété, le film n'a pas échappé à la censure: il n'a obtenu son visa d'exploitation qu'après le maquillage d'une photo montrant un policier français convoyant des familles dans le camp de transit de Pithiviers. Autre mésaventure, le film avait été sélectionné pour représenter la France au Festival de Cannes en 1955, mais il a finalement été montré hors compétition à la suite de protestations de la RFA pour ne pas nuire à la réconciliation entre les deux pays. Nuit et Brouillard, en allemand "Nacht und Nebel", est le titre du décret du 7 décembre 1941, signé par le maréchal Wilhelm Keitel, ordonnant la déportation pour tous les ennemis ou opposants au Reich. Le titre du décret était lui-même une référence à un personnage de Wagner qui se change en fumée et disparaît en chantant "nuit et brouillard, je disparais". Heureusement qu'il nous reste encore Faurisson pour le prochain festival de Cannes avec Derrick dans le rôle principal.
En parlant de Robert, on ne peut que vous conseiller la lecture de Préface au volume VII d’Écrits révisionnistes (2008-2010) (http://robertfaurisson.blogspot.ro/2013/10/la-victoire-du-revisionnisme-sur-le.html). Les quatre premiers volumes de mes Écrits révisionnistes (1974-1998), publiés, pour la première édition, en 1999 ont connu en 2004 une seconde édition de 2 082 pages. Le cinquième volume (1999-2004), paru en 2009, contenait 522 pages. Le sixième volume (2005-2007), paru en 2011, comprenait 383 pages. Ce septième volume (2008-2010), publié en 2013, contient 375 pages. Soit, pour le moment, un total de 3 362 pages. Le huitième volume (2011-2013) devrait paraître en 2015. Les commandes sont à adresser aux Éditions Akribeia, 45/3, route de Vourles, 69230 Saint-Genis-Laval (site Internet: www.akribeia.fr). Peuvent également se commander à la même adresse une dizaine d’ouvrages ou opuscules d’inspiration révisionniste (en littérature ou en histoire) que j’ai fait paraître de 1961 à 2007 sans compter nombre d’ouvrages d’auteurs français ou étrangers qui ont leur place dans une bibliothèque révisionniste. C’est grâce à Jean Plantin, responsable d’Akribeia, à son énergie, à son courage dans l’épreuve que ce tour de force a été réalisé. Saura-t-on jamais lui en être assez reconnaissant? À près de 85 ans, à l’heure où la Parque noire (l’inflexible Atropos) me gratte le fil, je m’interroge encore sur la raison pour laquelle, né en 1929, j’ai décidé vers 1974, à l’âge de 45 ans et après bien des années de recherches, surtout au Centre de documentation juive contemporaine de Paris (CDJC), de sacrifier le reste de mon existence au profit d’une aventure intellectuelle qui, je dois en faire l’aveu, relevait d’une forme de donquichottisme. Dès le premier instant de mon combat en faveur de la cause du révisionnisme historique, j’ai eu conscience de la faiblesse de mes moyens et j’ai pensé que, de mon vivant, jamais je ne verrais le triomphe d’une si vaste entreprise. Mais qu’en serait-il plus tard? J’ai d’abord longtemps douté des chances que pouvait avoir notre cause d’atteindre le grand public, même après ma mort, quand un jour, en 1995, aux États-Unis, constatant sur place la prodigieuse expansion d’Internet, j’ai par la suite, peu à peu, acquis la certitude que plus rien ne pourrait arrêter le cours du révisionnisme. Les révisionnistes n’étant pas des prévisionnistes, surtout à long terme, je ne saurais dire quand, au XXIe siècle, notre cause aura gagné la partie mais inéluctablement l’heureux événement se produira, non toutefois sous la forme spectaculaire d’une soudaine apocalypse. La révélation se fera graduellement de la même façon que, soudain, un beau jour, on finit par découvrir qu’une croyance générale et de nature religieuse, comme, par exemple, celle du communisme stalinien, au fond, tout bonnement, vient de «faire son temps». Il en va parfois des mouvements de l’histoire comme des cycles biologiques. Proust a su décrire ces longs sommeils, ces cauchemars persistants, qui se prolongent au-delà du réveil et qui continuent de nous tromper jusqu’au moment où, de manière progressive, il nous est enfin donné de constater notre retour à la lumière, à la conscience, à la vie, à la vérité physique des êtres et des choses. Le révisionnisme: son vrai sens, sa consolidation. Les trois années qui vont de janvier 2008 à décembre 2010 témoignent de la montée en force et de la consolidation, en France comme ailleurs, du révisionnisme, un phénomène que, pour le dénigrer, ses adversaires appellent le «négationnisme». Ce néologisme ou ce barbarisme prétend stigmatiser le refus de l’évidence. Or, dans leur matérialisme, pour ne pas dire leur positivisme, les révisionnistes acceptent pourtant tout ce qui est de l’ordre de l’évidence (un fait, un document, une photographie, un film, un témoignage) mais ils se font aussi une obligation de n’accepter de croire à cette évidence que sous bénéfice d’inventaire. Après avoir vu, lu ou entendu, ils s’astreignent à revoir, à relire et, quand c’est possible, à réentendre. Ils pèsent ou soupèsent. Ils examinent ou scrutent. Il est bien connu qu’en temps de guerre la première victime à succomber sera la vérité; aussi, quand il se voit demander de croire en une «évidence» qui est en rapport avec une guerre, le révisionniste redouble-t-il, dans son enquête, de prudence et de lenteur. En outre, les images d’atrocités «nazies» de la Seconde Guerre mondiale, assorties de commentaires haineux, surtout quand ces atrocités sont mises sur le compte d’un vaincu qui se retrouve à la merci de son vainqueur, exigent de la part de l’historien un redoublement d’attention, de prudence et de lenteur. Le révisionniste ne croit pas en la justice du plus fort telle qu’elle s’est exprimée, par exemple, à l’occasion du «procès de Nuremberg» (1945-1946) ou de mille autres procès de même calibre où les vainqueurs jugent le vaincu sans lui accorder, sinon en apparence, le droit de se défendre. En droit, le «procès de Nuremberg» (1945-1946) – à proprement parler le «procès-spectacle de Nuremberg» – est une «voie de fait» comparable, toutes proportions gardées, au «traité de Versailles» (1919), lequel, pour sa part, devrait être appelé le «diktat de Versailles». Comme j’ai eu l’occasion de l’écrire, le vainqueur est toujours un bon boucher et le vaincu, un moins bon boucher; à la fin d’une guerre, le vainqueur peut, au vaincu, administrer des leçons de boucherie mais il ne saurait lui infliger des leçons de droit, de justice ou de vertu. Quand les Américains tuent et mentent.
Le «procès de Nuremberg» a été, pour l’essentiel, une opération américaine. Le film qu’en lever de rideau les Américains ont présenté dès le 29 novembre 1945 sous le titre de Nazi Concentration Camps n’a été que l’une des plus audacieuses impostures que l’Histoire ait jamais connues. Encore aujourd’hui, soixante-huit ans plus tard, des millions d’enfants auxquels on prétend enseigner l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ingurgitent de force le poison instillé par les auteurs de ce film. J’ai suffisamment traité de ce sujet pour n’y pas revenir ici [1]. Cela dit, la prouesse de Truman et d’Eisenhower dans le lancement officiel de ce mensonge aux proportions hollywoodiennes mérite qu’on la salue au passage. Pas un pays au monde, y compris l’Union soviétique, alors alliée des États-Unis, n’est parvenu avec un succès aussi durable au renversement de la vérité vérifiable sur le compte de l’Allemagne vaincue. Pour commencer, tout au long d’une bonne partie du XXe siècle et au début de ce XXIe siècle, les États-Unis d’Amérique auront été, sur le chapitre des horreurs et des atrocités de la guerre, les champions du monde en presque tous les points du globe et par tous les procédés imaginables. Ce n’est pas que le peuple américain soit plus inhumain que tout autre peuple. Pour être juste, c’est sa puissance économique, bancaire, industrielle et scientifique qui lui a permis de tuer et de mutiler plus d’hommes, de femmes et d’enfants que toute autre nation au monde. Sa force, également remarquable, dans le maniement de la propagande, du cinéma, des moyens modernes de communication lui a en grande partie permis de donner au caractère exceptionnellement inhumain de ses propres actions guerrières l’apparence d’une guerre pour les droits de l’homme. Comme bien d’autres, les Américains claironnent que, s’ils font la guerre, c’est pour la paix. Cependant, chez eux, où tout s’automatise si vite, il s’agit, comme on peut le constater, d’une guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle. La bouche en cœur – mais cette bouche est celle de la Gorgone –, ils nous font valoir que pas un peuple ne serait plus aimant que le leur. «We are good!» (Nous sommes bons!), «We love you!» (Nous vous aimons!) ou «God is love» (Dieu est Amour!): c’est le thème du discours qu’ils nous tiennent en préambule avant d’ajouter: «Do love us!» (Aimez-nous bien!). Sous-entendu: si vous êtes durs au point de fermer vos cœurs à nos décisions, vous le paierez, selon les cas, du boycott de votre pays, de l’embargo, de la famine, de l’excommunication humanitaire ou encore, si nécessaire, nous nous ferons comprendre à la bombe, au napalm, à l’agent orange, à l’uranium appauvri, aux missiles lancés de nos drones et, le cas échéant, à la bombe atomique. En outre, c’est, la Bible à la main ou dans le cœur, que nous vous châtierons pour l’amour de Dieu ou, plutôt, de Yahweh. Car, s’il est un pays au monde où le Dieu vétéro-testamentaire de haine et de vengeance, incapable de clémence, garde encore une bonne part de son crédit, c’est l’Amérique. L’agent de transmission du mal y est la religion de «l’Holocauste», dont la jeunesse du pays est imprégnée. Pas un peuple aujourd’hui n’est plus dangereux que le peuple américain en la personne de ses dirigeants. S’il lui arrive en telle circonstance de renoncer à telle aventure guerrière, ce n’est que partie remise; tôt ou tard, il reviendra à sa «mission», à sa «croisade» messianique. Le révisionnisme prémunit contre le mensonge et la guerre. Le révisionnisme historique, lui, est salutaire: il tend à prémunir contre la haine et le mensonge, contre la guerre et les guerres. Non sans l’accent de la gouaille, Louis-Ferdinand Céline en a fait la remarque: le bien comme le mal se paie tôt ou tard et «le bien, c’est beaucoup plus cher, forcément». Il nous rappelle par là que de remarquables bienfaiteurs de l’humanité ont cher payé le bien qu’ils ont fait à l’homme. Il faut voir à quel point, des siècles durant, on a cruellement traité les novateurs et tous ceux qui, ne se contentant pas de «chercher», ont eu le malheur de «trouver» et de révéler au grand public combien celui-ci était abusé par les apparences. Céline, pour sa part, songeait en particulier à Harvey, à Galilée ou à Philippe-Ignace Semmelweis, ce médecin hongrois (1818-1865), peut-être juif, qui allait, pour son malheur, découvrir les causes de la fièvre puerpérale (à force de persécutions exercées par les sommités médicales et les esprits forts de son temps, il aurait, selon certains de ses biographes, mis fin à ses jours). Parce qu’ils font le bien, tout en s’attirant l’hostilité des puissants, les révisionnistes sont condamnés à le payer cher. Sitôt après avoir lu Le Mensonge d’Ulysse de Paul Rassinier [2], Céline a compris que l’auteur allait lourdement payer son donquichottisme et la générosité de son entreprise révisionniste ; il suffit à ce propos de lire la lettre qu’il adresse le 8 novembre 1950 à Albert Paraz [3]. Il faudra rendre justice au révisionnisme. Le jour viendra où les nouvelles générations rendront justice aux révisionnistes. Le flot des ordures déversées sur P. Rassinier et ses successeurs, la répression qui s’exerce à leur encontre, le conformisme et la couardise dont font preuve devant cette répression les autorités politiques, religieuses, judiciaires et universitaires de notre temps susciteront alors l’incompréhension ou l’indignation. Cette forme de tyrannie exercée contre les révisionnistes ne sera pas plus admise qu’on n’admet aujourd’hui, chez bien des Occidentaux, la tyrannie judéo-sioniste en terre de Palestine. Voilà soixante-huit ans depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale que, jusqu’aux jeunes enfants du monde occidental, on ose imposer comme une vérité d’évidence la Sainte Trinité du prétendu «Holocauste» des juifs. Selon nos religionnaires, 1) pendant la Seconde Guerre mondiale un ordre aurait été donné par les plus hautes instances allemandes, et transmis par leur bureaucratie, de tuer tous les juifs, et un vaste programme de tuerie systématique aurait été ainsi établi et exécuté; 2) l’arme spécifique de ce crime spécifique et sans précédent aurait été la chambre à gaz homicide; 3) le total des victimes juives aurait atteint soit six millions soit, à tout le moins, plusieurs millions. Le scandale réside dans le fait qu’au bout de soixante-huit ans on reste encore incapable de fournir une seule preuve à l’appui de cette triple accusation. Les révisionnistes, de leur côté, ont accumulé victoires sur victoires et preuves sur preuves de ce que leurs adversaires ont triché [4]. S’il fallait aujourd’hui prendre exemple sur ces magistrats français qui, appartenant à un syndicat de gauche, ont récemment affiché, dans leur local privé, sur un «Mur des cons», des photographies de personnalités leur ayant déplu, les révisionnistes, eux, pourraient un jour, afficher une interminable «Liste des imposteurs» à la manière d’Élie Wiesel, de Simon Wiesenthal, de Claude Lanzmann, du père Patrick Desbois et d’une foule de trompeurs et de trompeuses en tout genre. Peut-être le jour viendra-t-il où une encyclopédie en ligne nous fournira une liste exhaustive de ces gens avec le rappel, références à l’appui, de leurs mensonges, de leurs calomnies et de leurs violences ainsi que des crimes légaux ou illégaux qu’ils ont commis contre les révisionnistes. Déjà, chez les historiens, la chambre à gaz nazie se fait de plus en plus rare.
Le dogme de la Trinité holocaustique continue de s’imposer à une grande partie du monde mais il trouve de moins en moins d’historiens pour le soutenir et pour argumenter en sa faveur. Telle est la leçon que le lecteur attentif peut tirer des récents ouvrages – d’apparence historique ou scientifique – de la bibliographie holocaustique. Je suis frappé par la raréfaction, depuis quelques années chez ces historiens, de mots tels que «chambre à gaz», «gazer», «gazages». Manifestement ils perdent foi en « la magique chambre à gaz ». On la mentionne parfois encore, cette arme de destruction massive, mais à la va-vite. On ne s’y attarde plus. On marmonne encore ces mots mais comme dans les formules rituelles du moulin à prières. Dans l’avant-dernier programme trimestriel du Mémorial de la Shoah de Paris (avril-août 2013, 60 pages) on ne rencontrait pas même une seule fois les mots de la famille de «chambre à gaz», «gazage », «gazer»; dans la version en ligne, à la recherche automatique du mot «gaz» et de ses dérivés, la réponse était: «introuvable». Dans la dernière livraison du même programme (septembre-décembre 2013, 52 pages) on ne relève qu’une fois ce mot, sous la forme «gazés» (p. 25), et cela à propos d’un gazage qui, comme l’a établi dès le 1er décembre 1944 une expertise du professeur René Fabre, n’a jamais pu avoir lieu [5]. À la date, mémorable entre toutes, du 27 décembre 2009, «le dernier des Mohicans», parmi les historiens et chercheurs, à vouloir prouver l’existence de «l’Holocauste», a fini par capituler. À cette date, en effet, le professeur Robert Jan van Pelt [6], juif néerlandais établi au Canada, qui avait voué toute une partie de sa vie à la sauvegarde du mythe d’Auschwitz, centre mondial de l’extermination des juifs, a fini par rendre les armes ; il a écrit qu’au lieu de dépenser pour la conservation d’Auschwitz tant d’efforts et d’argent, on ferait mieux de laisser la nature y reprendre ses droits car, tout bien réfléchi, 99 % de ce que «nous savons» sur ce camp (ses chambres à gaz, etc.) ne trouve pas sa preuve sur le terrain [7]. Le grand public, lui, a évidemment été tenu dans l’ignorance de cette capitulation. Au contraire, plus que jamais on invite le monde entier et surtout la jeunesse à venir voir sur place, à Auschwitz, les prétendues preuves, rassemblées sous la forme d’entrepôts de reliques: à défaut de fournir des preuves matérielles on y fait parler des chaussures, des brosses à dents, des cheveux qui n’étaient en réalité que de purs objets de «récupération» ou de «recyclage» en temps de guerre (les cheveux, en particulier, pour l’industrie textile). Dès 1992, apprenant qu’allait s’ouvrir à Washington un gigantesque bunker-musée de «l’Holocauste», j’avais publiquement annoncé que j’attendais de voir comment on allait nous y représenter sous une forme physique le mécanisme nécessaire au fonctionnement d’une chambre à gaz conçue pour mettre à mort, jour après jour, nuit après nuit, des foules de détenus à Auschwitz. Or, en 1993, à l’ouverture officielle de l’énorme musée, il se révélait que mon défi n’avait pu être relevé [8]. Au lieu d’une chambre à gaz homicide dans son intégralité on nous offrait en guise de consolation le fac-similé de la porte de ce qui, en fait, n’avait été qu’une simple chambre à gaz d’épouillage du camp de... Majdanek. Il est vrai qu’en outre une maquette artistique était censée nous représenter un amoncellement de cadavres dans une pièce du crématoire II ou III d’Auschwitz-Birkenau mais cette pièce était dépourvue de tout dispositif, mécanique ou autre, soit pour la mise à mort des victimes, soit pour la surpuissante ventilation du lieu afin qu’après le gazage un personnel chargé de manipuler, d’enlever et de transporter des milliers de cadavres puisse le faire sans risque d’empoisonnement instantané. Supposée être une «chambre à gaz nazie», elle n’était en réalité qu’un inoffensif dépositoire semi-enterré (Leichenkeller), désigné comme tel sur les plans de construction que j’avais découverts le 19 mars 1976 dans les archives du musée d’État d’Auschwitz-Birkenau [9] et qui, jusque-là, avait été soigneusement cachés. Cependant ladite maquette était d’une pauvreté, d’un schématisme et d’une abstraction si affligeants que, dans le livre-guide du musée (212 pages), seuls de vagues fragments, quasi immatériels, en avaient été reproduits. Le 24 août 1994, lors d’un entretien dans son bureau directorial, le rabbin Michael Berenbaum, à qui j’avais posé la question de savoir pourquoi mon défi n’avait pas été relevé, m’avait répondu avec un beau sang-froid que, si son musée n’abritait pas de représentation d’une chambre à gaz nazie, c’est que la décision avait été prise de ne pas y représenter une telle chambre à gaz! Il me faisait cette réponse en la présence de quatre témoins: deux Américains qui m’accompagnaient et deux hauts administrateurs du musée convoqués pour la circonstance. Sagement assis sur un sofa, ces deux derniers hommes, consternés, allaient assister à la pitoyable prestation de leur responsable scientifique, le rabbin Berenbaum, aux prises avec un révisionniste bien décidé à ne s’en pas laisser conter. Nul doute, en tout cas, que, face à la raréfaction depuis quelques années des «chambres à gaz nazies» dans les ouvrages historiques, des personnages comme Élie Wiesel et Claude Lanzmann ont dû pousser un soupir de soulagement. Les historiens paraissent avoir enfin entendu les admonestations que ces belles consciences, alarmées par les progrès du révisionnisme, lançaient au début des années quatre-vingt-dix. Ils semblent avoir compris que mieux vaut porter son attention ailleurs que sur «la chambre à gaz nazie». É. Wiesel, pour sa part, a écrit: «Les chambres à gaz, il vaut mieux qu’elles restent fermées au regard indiscret. Et à l’imagination» (Tous les fleuves vont à la mer. Mémoires, Le Seuil, Paris, 1994, p. 97). C. Lanzmann, lui, a écrit: «Si j’avais trouvé [un film nazi montrant un gazage de juifs à Auschwitz], non seulement je ne l’aurais pas montré, mais je l’aurais détruit. Je ne suis pas capable de dire pourquoi. Cela va de soi» («Holocauste, la représentation impossible», Le Monde, 3 mars 1994 [10]). «Porter son attention ailleurs que sur la chambre à gaz nazie», soit! Mais où exactement? Il ne reste à ces historiens que deux directions de recherche: 1) celle d’un ordre d’exterminer les juifs (à trouver, si possible, dans les documents des Einsatzgruppen ou «groupes d’intervention»), 2) celle de la réalité du chiffre de six millions de juifs (ou un chiffre approchant). Or, dans l’un et l’autre cas, ils ont fait chou blanc comme pour «la chambre à gaz nazie». Répétons-le: les juges-accusateurs de l’Allemagne nationale-socialiste ont échoué sur toute la ligne. Ils ont appris à leurs dépens qu’on ne saurait découvrir dans le noir un chat de couleur noire, surtout quand ledit chat ne s’y trouve pas. La suite sur le lien donné plus haut. Naturellement, tout ceci est de la fiction. Nous, on ne croit pas à la $hoah pour des raisons historiques, mais pour des raisons pénales.
« Ïðåä. çàïèñü — Ê äíåâíèêó — Ñëåä. çàïèñü » | Ñòðàíèöû: [1] [Íîâûå] |