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Hollande nous rappelle que la seconde guerre mondiale n'est pas terminée.

Суббота, 22 Февраля 2014 г. 14:41 + в цитатник

On a peut-être une chance de raffler la mise! La religion de l’holocauste a ses prêtres, Germaine Tillion en fait partie. C’est à ce titre que la république française, renaissant de ses cendres par le coup d’état gaullo-communiste et anti-américain de 1944, a décidé de faire entrer sa momie au Panthéon (http://breizatao.com/2014/02/20/les-bobards-resist...-et-autres-pourris-au-pantheon). Les bobards de Germaine Tillion. Pour juger de la crédibilité de Germaine Tillion, déportée et “témoin de la mémoire”, il faut se reporter à ce que dit d’elle Olga Wormser-Migot. Cette dernière est née en 1912 au sein d’une famille juive d’origine russe et a fait des études d’histoire puis commence à enseigner. Révoquée par Vichy, elle rejoint l’enseignement catholique mais reste liée au marxisme. En 1944 elle est désignée par le Ministère des Prisonniers, Déportés et Réfugiés du nouveau gouvernement provisoire pour une enquête sur les camps de concentration ce qui, en 1945, l’amène en Allemagne. Elle sera une des premières à étudier le système concentrationnaire national-socialiste. Sa thèse est consacrée à ce sujet qui sera son principal thème d’étude. Elle a notamment été conseillère historique pour le film “Nuit et Feu de Brouillard”. Quand elle parle de Germaine Tillion et de son témoignage en tant qu’ancienne détenue à Ravensbrück, elle décrit sa méthode “historique” comme le fruit “d’un mécanisme psychologique quasi hallucinatoire relevant plus de la psychanalyse que du témoignage historique“. Germaine Tillion, en plus d’affirmer l’existence de deux chambres à gaz à Ravensbrück, maintint fermement l’existence d’une chambre à gaz à Dachau et que celle-ci fonctionna. L’historien Martin Broszat – une source officiellement reconnue comme faisant autorité par les tenants de l’histoire officielle – affirma en 1960 dans une lettre à un journal allemand: “Ni à Dachau, ni à Bergen-Belsen, ni à Buchenwald des juifs ou d’autres détenus n’ont été gazés. La chambre à gaz de Dachau n’a jamais été complètement terminée ni mise “en service”.” L’autre historien Pierre Vidal Naquet affirme lui qu’une chambre à gaz existait à Dachau mais “ne fonctionna jamais“, “même pas pour des tests“. L’entrée au Panthéon de Tillion et autres résistantialistes, c’est le processus de sanctification de l’Eglise du Progrès des figures qui la légitiment. Il s’agit, encore et toujours, de maintenir en vie la sacralité – dont découle l’autorité de l’Inquisition en place – des origines du nouvel ordre idéologique né en 1944 en France. Manuel Valls, ministre de la Police franco-espagnol se déclarant “lié de façon éternelle à Israël”, pouvait d’ailleurs déclarer récemment que l’État Français devait “sacraliser la $hoah”, usant sans équivoque du vocable religieux, et qu’à cette fin toute mesure coercitive était la bienvenue. Qu’il faille une loi – la loi Fabius-Gayssot, rédigée par un millionnaire juif et un communiste – pour imposer une vérité historique (mais point d’autres) relève du paradoxe intenable : la vérité, par définition, se suffit à elle-même pour être. Mais nombreux sont ceux qui comprennent qu’il ne s’agit plus là de science, l’histoire en est une, mais de “croyance”, d’un mythe devenu religion. Une religion qui a son clergé et qui par définition ne peut être questionnée puisqu’elle ne relève pas de la raison mais de l’acte de foi. Au terme de nombreux débats contre l’historien révisionniste Robert Faurisson, des historiens orthodoxes dont Léon Poliakov, tenant acharnés de la ligne officielle, pouvaient ainsi commettre cette imposture logique: «Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu» (Le Monde, 21 février 1979, p. 23). On passe sur le fait qu’il était demandé aux scientifiques que sont les historiens de ne pas démontrer la réalité matérielle du fait étudié – “Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible” – pour en venir à cette imposture logique: la conséquence – “un tel meurtre de masse” – précède la cause – “il a été possible techniquement” dans la démonstration scientifique. La thèse – c’est-à-dire la proposition subjective abstraite – succède à la synthèse, c’est-à-dire à la réalité objective concrète. Pour simplifier : les faits sont subordonnés à l’opinion affirmée en premier lieu. Puisqu’il n’est nul besoin de démonstration matérielle et que la réalité découle de la conviction et non l’inverse, ces historiens demandaient à tous de simplement “croire” à cette “vérité” révélée. Le juif Jean Zay: le franc-maçon fuyard de 1940. Parmi les autres ordures canonisés par la Gueuse, le juif et franc maçon du Grand Orient Jean Zay, ministre de “l’Education” qui se chargea d’embrigader les jeunes dans une vaste entreprise de lavage de cerveaux anti-catholique. C’est en toute logique que le non moins juif et franc-maçon Vincent Peillon, actuellement en charge du même ministère, pouvait se placer sous son patronage en 2012: “Il est important que François (- Hollande, NDLR) s’inscrive dans une histoire, affirme le député européen, chargé des questions d’éducation auprès du candidat socialiste. Or à qui rendre hommage sur ces questions? Après Jules Ferry, un nom s’impose: Jean Zay.” (Source : Le Monde 9 février 2012). Réfugié à Bordeaux comme de nombreux politiciens français en 1940, Jean Zay s’embarque le 20 juin avec de nombreux juifs – dont Mendès France et Mandel – sur le Massilia pour fuir d’abord vers l’Angleterre contrairement à ce qu’ils déclareront par la suite, à savoir leur volonté de “continuer la guerre depuis l’Afrique du Nord”. Ce n’est que le 21 juin que le paquebot peut quitter le port du Verdon, après une grève d’une journée des marins, scandalisés par l’attitude des fuyards. Les Anglais refuseront les demandes des déserteurs de pouvoir rejoindre l’Angleterre. Déserteurs, ils le sont bien puisque le 21 juin, la France est encore en guerre, l’armistice n’étant signé que le lendemain. Vincent Auriol, ministre socialiste du Front Populaire et premier président de la IVème république, à son arrivée à Bordeaux qualifie de “fuyards” les membres de bande qui s’est égayée devant l’avance allemande à bord du Massilia (Source : Georges Monnet, 3 février 1949 devant une commission d’enquête, “Bordeaux Capitale tragique, p. 201). L’annonce de leur fuite atteint rapidement l’Afrique du Nord. Considérés comme des déserteurs, les juifs Mendès, Zay et Mendel sont accueillis au Maroc par une énorme foule en colère, prête à les lyncher. Le gouvernement du Maréchal Pétain doit les exfiltrer vers un grand hôtel de Casablanca pour leur éviter le lynchage. La bande en fuite, mobilisée comme tous les autres soldats, est mise aux arrêts pour “désertion devant l’ennemi” et condamnée. En 1944, la milice française liquide Jean Zay en laissant un écriteau évocateur: “Le juif paie toujours”.

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