New-York: Les Pussy Riots font escale à la «Maison» |
Toute à leur diabolisation de la Très Sainte Russie, les USA ont accueilli en grande pompe les “Pussy Riots”, groupe d’agitatrices anarcho-nihiliste soutenue par le Département d’Etat. Celles qui se sont fait connaître en Russie pour se mettre, face caméra, des poulets morts dans le vagin ou se livrer à des copulations publiques à Moscou, ont ainsi donné un “concert” à New York, ville qui compte la plus grande communauté juive du monde (http://breizatao.com/2014/02/06/international/puss...able-se-produisent-a-new-york/). Les Pussy Riot ont pour soutiens actifs en Russie les juifs Alexei Plutser-Sarno, Viktor Shenderovitch, Gary Kasparov et Marat Gelman. A la veille de l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, deux des membres de ce pseudo groupe punk (il n’a jamais produit de chansons), les “Pussy Riot” ont “défié”, mercredi 5 février, le président russe Vladimir Poutine lors d’un concert à New York, sous l’égide de Madonna. «Nous n’allons pas pardonner et nous n’allons pas oublier ce que le régime fait à nos concitoyens. Nous demandons une Russie qui soit libre», a lancé Nadejda Tolokonnikova, avant de chanter avec Maria Alekhina devant les milliers de spectateurs l’une des plus grandes scènes musicales de la ville: «Maintenant, la Russie est libre.» Les Etats-Unis sont la dernière étape de la tournée internationale de Maria Alekhina, 25 ans, et Nadejda Tolokonnikova, 24 ans, débutée peu après leur libération au terme de vingt et un mois de détention. Trois des cinq Pussy Riot avaient été emprisonnées pour avoir chanté en février 2012 une «prière punk» contre Vladimir Poutine dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou. Avant le concert, les deux Pussy Riot ont été reçues pendant une demi-heure par la représentante des Etats-Unis à l’ONU, Samantha Power, pour s’entretenir de la situation en Russie. L’occasion pour l’ambassadeur de Russie à l’ONU, Vitali Tchourkine, d’ironiser sur l’initiative de son homologue américaine en feignant de s’interroger: «Elle n’a pas rejoint leur groupe?» «Je m’attends à ce qu’elle [Samantha Power] les invite à se produire à la cathédrale nationale de Washington. Peut-être pourrait-elle leur organiser une tournée mondiale. La basilique Saint-Pierre de Rome, puis La Mecque peut-être, avant un concert de gala au mur des Lamentations à Jérusalem», a-t-il poursuivi.
En France, nous, on a les «Bonnes sœurs de la $hoah», les Femens. Dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 février 2014, les militantes parisiennes du Renouveau Français ont joué l’acte III de l’opposition «Françaises VS Femen». Ce troisième acte dévoile, comme il se doit, le nœud de l’intrigue. Après une enquête assidue, nos militantes ont découvert des éléments pertinents dissimulés par les médias, dont le rôle joué par Julien Boucher, maire PS du XVIIème arrondissement, dans l’hébergement des Femen. C’est un véritable scandale qui éclate: celui-ci leur offre gracieusement un gîte, dans un «squat» que les activistes voudraient tenir secret! Nous avons donc, sans trop de peine, su exploiter cette piste pour en apprendre davantage. En effet, Julien Boucher est déjà connu des tribunaux pour un jeu trouble de sous-locations illégales et de demandes de subventions suspectes. Il n’en est donc pas à son coup d’essai en hébergeant ces jeunes femmes sous la bienveillance de la mairie de Paris, et l’œil sans doute approbateur de son collègue et ami Bertrand Delanoë. Faudrait-il donc que la corruption généralisée soit passée sous silence? Le Renouveau Français dit NON. Nous avons donc trouvé sans peine au 4 rue du port, à Clichy, le nouveau pied-à-terre des hystériques. Nous nous sommes empressés de leur faire l’honneur d’une visite. Nous avons eu la courtoisie de les aider à rendre plus visible ce nouveau local au moyen d’une banderole «FEMEN MILICE, PS COMPLICE». Nous avons également agrémenté la devanture du «squat des effrontés», 35 rue Maurice Ripoche dans le XIVème, lieu de réunion LGBT régulièrement fréquenté et sollicité par les Femen, de quelques messages laissés à leur intention sur le bitume: «FEMEN, PAYE TON LOYER», «FEMMES MAIS PAS FEM’HAINE» et un ironique «LA REVOLUTION OUI, MAIS SUBVENTIONEE». Donner un local aux FEMEN, aux frais du contribuable, c’est se rendre complice des profanations qu’elles opèrent et qu’elles ne manqueront pas de réitérer. Rejoignez-nous derrière notre banderole samedi, lors de la manifestation pour la dissolution de ce groupuscule, organisée par l’Agrif. Montrons à nos gouvernants que nous ne sommes pas dupes. Ils vont maintenant devoir répondre de ce soutien inconditionnel offert à une milice enragée d’anti-chrétiennes primaires. Faut dire qu'avec un bon missel et son taiser, on peut affronter n'importe quelle situation d'urgence. Il paraitrait même qu'elle baragouine pas français..mais plutôt un vieux dialecte hébraïque. Notre conseil: Avant de nous chauffer les oreilles, faites vous tatouer le numéro de téléphone du Crif, ça peut toujours servir!
« Пред. запись — К дневнику — След. запись » | Страницы: [1] [Новые] |