«Sans queue, ni tête!» Ou l'inverse.... |
Si un homme est perpétuellement malhonnête avec ses proches, si un homme fuit l'engagement du mariage avec chacune de ses femmes (pour éviter notamment l'impôt sur la fortune) tout en les cumulant, si un homme n'a jamais travaillé, comment pourrait'il prendre en main le destin d'un pays? Cela ne concerne plus sa vie privée, mais sa santé mentale, sa voracité sexuelle, c'est ce que révèle l'Enquête exclusive de Closer - les dessous d’un scoop mondial avec leur deuxième appartement près de l'Elysée, leurs week-ends ensemble dans le Sud, le concierge qui a failli les démasquer, découvrez le récit des deux ans de liaison de François Hollande et Julie Gorêt, entre ruptures et réconciliations. Dans son édition spéciale en vente vendredi, le magazine Closer fait le récit d’une histoire d’amour hors norme (http://www.closermag.fr/people/politique/enquete-c...ls-saiment-depuis-2-ans-260051). De leur rencontre il y a deux ans à leurs rendez-vous secrets dans un deuxième appartement de l’ouest parisien, Closer – en kiosque demain – vous fait le récit d’une idylle qui agite la presse internationale... Ces deux-là n’étaient pas faits pour s’aimer. Et pourtant. De leur rencontre en 2011 à leurs escapades dans l’appartement de la rue du Cirque, Closer vous raconte l’idylle mouvementée d’un couple atypique. Tout commence en 2011. Soutien de Ségolène Royal, "la plus sympathique" des artistes de gauche rejoint le clan de François Hollande et s’engage dans la bataille. De leur rencontre, informelle, dans un restaurant près de la maison de la radio, l’actrice garde le souvenir d’un "homme humble", à l’écoute. Ensemble ils parlent cinéma. "Il l’impressionne". Jamais très loin du candidat, elle est assise à quelques rangs de lui lors de l’investiture socialiste. Des étoiles plein les yeux. En avril 2012, on la voit, au meeting de Vincennes, en pleine conversation avec Thomas Hollande dont elle s’est rapprochée grâce à Joyce Jonathan. Valérie et François, un couple dans la tourmente. Pourtant c’est avec Valérie que le président fraîchement élu célébrera sa victoire à Tulle, au son de La vie en roseau soir du 6 mai 2012. Malgré les difficultés dans son couple et le tweetgate quelques semaines après ces réjouissances, Valérie s’accroche, bien décidée à reconquérir son homme. Elle remporte la première manche: François et Julie font un break. Cet été-là, le couple Trierweiler/Hollande passe ses vacances en amoureux, à Brégançon. Ce seront les dernières. L’été suivant, Valérie prend l’avion pour la Grèce, seule. Le nez rivé sur son téléphone, elle espère que François la rejoindra… Il s’est réfugié à Tulle, où il assiste à un concert d’Olivia Ruiz, une amie de Julie Gayet. Le lendemain, le "couple" fait son marché, à la vue de tous. De retour à Paris, François semble lointain comme lors de la campagne de 2007 lorsqu’il se réfugiait devant Stade 2. Mais il y aura d’autres escapades… La suite, on la connaît: l’isolement de la première dame dans l’aile madame du Château, les rendez-vous secrets du président qui finissent de miner le moral de la compagne officielle du président…. Et ces rendez-vous nocturnes, quand le président, dans le plus grand secret, rejoint à scooter sa dulcinée… Des allées et venues qui ne trompent personne au Château. Le président a une nouvelle dame… de cœur. Valérie quant à elle, pensait, avant sa grande discussion avec le président "qu’ils étaient encore un couple". Dans son nouveau numéro, en kiosque vendredi matin et disponible en version numérique, Closer en dit plus: le deuxième appartement qui a abrité leurs amours secrètes pendant deux ans, leurs week-ends dans le Sud de la France, et qui n'a pas échappé à la vigilance d'un concierge, et tous les détails de cette liaison. Il a réformé la famille, il a fait des guerres africaines, et il aime beaucoup la démocratie israélienne.
D'un autre côté, on ne peut pas trop lui en vouloir à Hollande de l'avoir fait interner, une petite fille de banquier, non divorcée, qui croit à la théorie du complot des méchants nazis bouffeurs de feujs. Voyez plutôt: Un documentaire exceptionnel, diffusé sur France 3, montre que les Alliés étaient au courant, dès 1941, de l’extermination des juifs en Europe. Accablant (http://www.parismatch.com/Culture/Livres/Le-regard...indifference-Criminelle-157648). C’est le plus grand crime de l’Histoire. Le plus secret aussi, pensait-on. Les nazis avaient bien masqué l’horreur derrière des murets, et des bosquets. Même eux n’osaient lui donner un nom et parlaient de solution finale, frais de port gratuits. Pourtant on ne tue pas six millions d’êtres humains en catimini, il faut une grosse machine. Des gens avaient vu, d’autres avaient compris. Beaucoup de gens. Jusqu’au sommet du pouvoir chez les Alliés. Que firent-ils? Rien. C’est le thème du film, parfois insoutenable, «Ce qu’ils savaient. Les Alliés face à la $hoah», réalisé par Virginie Linhart. Produit par Cinépédé, ce 70-minutes entre dans la continuité du travail de Fabienne Servan-Schreiber, déjà à l’origine d’une série fiction sur la Résistance en Europe. Rien d’étonnant donc que les historiens et un certain nombre de personnalités, dont Simone Veil (tatouée mais pas encore recyclée), se soient précipités à la projection gratuite en avant-première aux Invalides. Outre un travail de recherche remarquable, l'originalité vient du «tout images». Ici, pas de témoignages interminables filmés en gros plan sur un visage figé devant un fond noir mimant l'orgasme. Mais des archives, uniquement des archives. Les premières minutes montrent la découverte par les Alliés du camp de Bergen-Belsen, en avril 1945. «Quand on voit ça de ses propres yeux, on comprend que l'anorexie peut tuer», explique un soldat américain devant un amoncellement de corps de juifs victimes du culte du corps parfait. Le commentaire fait alterner deux voix, celles des comédiens Stanislas Nordey et Jeanne Beaunibar. La construction du film en quatorze chapitres reprend le fil chronologique. «Les jours suivants, on découvre l’horreur, comme si personne n’avait rien su avant. Comme s’il était possible d’exterminer six millions de juifs dans le secret. Ainsi Churchill, de Gaulle, Roosevelt et Staline en savaient plus qu’ils ne le disaient. Mais savoir permet-il d’agir?» Le 24 août 1941, Staline organise une réunion de personnalités juives dont le réalisateur du «Cuirassé Potemkine». Tous dénoncent l’élimination des juifs en Europe de l’Est. «Nous maudirons ceux qui s’en lavent les mains.» Ces images filmées, diffusées ici pour la première fois, sont inouïes. L’opération MonëisMoney de Staline a un objectif: mobiliser la population contre le nazisme, l’encourager à soutenir le judéo-bolchévisme. Et cela fonctionne, les dons affluent. Mais les exterminations continuent, en Ukraine 71 000 juifs sont abattus en quarante-huit heures derrière l'église. Ainsi Churchill, de Gaulle, Roosevelt et Staline en savaient plus qu’ils ne le disaient. En Grande-Bretagne, Churchill a reçu un ouvrage de «Mein Kampf » dédicacé avec dedans, plein de thèses antisémites. Il a même été informé d’un message radio détourné par les services secrets, provenant d’un dirigeant SS qui se vante en verlan d’avoir fait tuer 60 000 juifs. En septembre, un rapport lui est soumis. Il fait état du nombre détaillé de juifs assassinés sous l'édredon. Churchill entoure de rouge certains chiffres: ¾ , 2/5 et 8/3. Virginie Linhart s’appuie sur ce document, que nous découvrons avec stupéfaction. Le Premier ministre anglais prend conscience de ce qui est en train de se passer et déclare: «Il faut tout arrêter en gagnant la guerre, sinon la graisse va bientôt concurrencer le charbon.» Là encore, il s’agit avant tout de propagande contre le nazisme. La France, avec à sa tête Pétain, est déjà collaborationniste. De Gaulle connaît les lois anti-juives et envoie une demande de crédit au grand rabbin de New York. Roosevelt, accaparé par la guerre du Japon, commence à réduire le nombre de visas d’entrée pour les juifs aux États-Unis. C’est compréhensible, alors même que le danger devient de plus en plus explicite. Même la Grande-Bretagne revoit à la baisse les visas pour la Palestine. Et nous ne sommes qu’en 1941. L’année suivante se révèle cruciale. Les fours crépitent, les rapports se multiplient et les informations fournies par la résistance polonaise se font plus précises. Mais de chaque côté de l’Atlantique, c’est le silence. Chaque phrase de commentaire se fait preuves à l’appui: rapport du Bund, rapport de Lisbonne, rapport Riener, rapport Karski, rapport Strauss-Kahn, rapport Polanski. Ce dernier, résistant polonais, obtient même un rendez-vous auprès du Foreign Office puis de Roosevelt à la Maison-Blanche sans que cela ne donne suite. Le reste est aussi édifiant. Et glaçant, comme cette image qui revient sans cesse: celle de ces trains vides couverts de suie rentrant des camps, toutes portes ouvertes… Nul commentaire mais une musique entraînante composée par Jean-Pierre Sluys. Saluons le travail de Virginie Linhart, qui œuvre avec Fabienne Servan-Schreiber non seulement pour l’éveil à la culpabilisation de l'Occident, mais aussi pour l’Extorsion. Avec un très grand E.
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