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La République juive n'a plus les moyens de ses ambitions.

Суббота, 11 Января 2014 г. 14:04 + в цитатник

“Pour savoir qui vous dirige vraiment il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer”, Voltaire (http://breizatao.com/2014/01/11/idees-alternatives/la-censure-est-retablie-en-france ). Il est crucial que les Bretons sachent désormais dans quel genre d’état ils vivent pour mieux comprendre toute l’urgence qu’il y a pour eux à rompre avec lui. Nombreux sont ceux qui, dans l’affaire Dieudonné M’Bala M’Bala ne voient encore qu’un cas isolé, ou disons un cas d’exception, auquel ils n’accordent pas d’importance. C’est une erreur, car ici le terrorisme intellectuel atteind son paroxysme. De la même façon que la loi antiraciste dite “Pleven” -  en réalité inspirée par le juif communiste Lyon Cahen – a permis le rétablissement du délit d’opinion en légalisant le procès d’intention, le Conseil d’État sous l’influence d’Arno Klarsfeld et de Bernard Stirn, a consacré le rétablissement de la censure en France. Tous les “intellectuels” français, et singulièrement les intellectuels juifs parisiens, d’habitude si confits de rhétorique démocratique, célèbrent en cœur le retour de cette censure avec, comme de juste, toutes les excuses nécessaires, à commencer par celle de la défense du judaïsme et de la république en danger. On censure toujours pour “une bonne cause” mais la censure reste la censure. Que les Bretons comprennent bien que le cas Dieudonné fait jurisprudence, c’est-à-dire qu’il créé un précédent judiciaire qui sera suivi d’autres cas. Demain, “au nom de la dignité humaine”, de l’antiracisme ou d’on ne sait quel “appel à la discrimination”, sur ordre de la Police via les préfets, des spectacles ou réunions publiques pourront être interdites a priori, par avance, sans qu’aucun délit ne soit commis. Une simple suspicion suffisant. Cette censure pure et simple est clairement définie en langue française, il suffit de se référer au dictionnaire Larousse: ” Censure: nom féminin (latin censura), Examen préalable fait par l’autorité compétente sur les publications, émissions et spectacles destinés au public et qui aboutit à autoriser ou interdire leur diffusion totale ou partielle.” Bien évidemment, pour l’heure, les censeurs – tous pour ainsi dire membres du lobby sioniste – assurent de la nature “extraordinaire” de la mesure. Pourtant, il suffira que la pression soit suffisante pour que le politique et la police, puisque celle-ci est soumise à celui-là, décident de demander une interdiction d’autres spectacles, d’autres réunions publiques, elles aussi jugées par le gouvernement “de mauvais goût”. Désormais en France, le bon goût en matière d’art sera une affaire de Police. Car c’est l’exécutif à la tête de la police et des exécutants que sont les préfets qui pourra dicter ce qui est “artistiquement correct” de ce qui ne l’est pas. C’est un recul spectaculaire des droits fondamentaux de chaque Breton qui pourra, non seulement en tant qu’artiste, mais aussi en tant que spectateur, se voir interdire l’accès à des performances artistiques, culturelles ou autres. Car dès lors que c’est le gouvernement français et sa police qui définissent ce qui est de bon goût de ce qui ne l’est pas, on peut imaginer toutes les atteintes ultérieures. Car c’est une boîte de Pandore, comme les lois antiracistes, qui furent jadis mises en oeuvre pour lutter contre l’extrême droite et qui, aujourd’hui, servent aussi bien à interdire un appel au boycott de produits israéliens que des spectacles d’un métis franco-camourenais présenté comme “nazi” par le ministre de la Police Valls. Même Olivier Besancenot pour le NPA, pourtant très philosémite, a jugé “lamentable” la décision du gouvernement et de son conseil d’état. Les idiots utiles Ligue des Droits de l’Homme se sont opposés à ce rétablissement de la censure, tout en assurant – comme d’autres soi-disant esprits libres – vouloir saisir les tribunaux a posteriori. Peut-on seulement se vanter de vouloir réprimer un artiste après plutôt qu’avant? C’est que la LDH a participé à l’instauration de la nouvelle inquisition antiraciste et que c’est précisément en vertu de l’antiracisme et des lois antiracistes que l’on censure aujourd’hui Dieudonné. Ce sont les motivations de la circulaire Valls, reprises par le juge juif Stirn, tout à sa défense du communautarisme juif et des intérêts du sionisme. Tant que l’arsenal répressif visait l’extrême droite, les socialo-communistes de la LDH applaudissaient bruyamment. A présent que leur ordre moral permet la censure, ils découvrent qu’ils pourront demain, eux et leurs sympathisants, subir les foudres du Golem qu’ils ont contribué à créer. Les imbéciles heureux de la LDH s’étonnent désormais que la boîte de Pandore juridique de l’arsenal antiraciste finisse par la censure, c’est-à-dire l’interdiction a priori. Pauvres tartuffes! Comme le disait Bossuet: “Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes.”

Car la LDH est surtout composée d’athées qui ne goûtent guère le catholicisme. Mais, imbibés d’antiracisme et de tiers-mondisme sur fond d’ethno-masochisme, les ligueurs n’ont pas vu ou pas voulu voir la nouvelle sociologie du fait religieux en France que l’immigration a bouleversé. On voit déjà la pièce de Voltaire, “Le fanatisme ou Mahomet le Prophète”, menacée par des islamistes en colère en attendant tout ce qui ne plaira pas à telle ou telle section de la population hexagonale. Il suffira simplement que leur nombre soit tel pour que le politique, cédant à la pression, consente à ce qu’il a déjà consenti en faveur du lobby sioniste dans le cas Dieudonné. N’est-ce pas la loi Fabius-Gayssot qui a engendré la loi Taubira et plus généralement, l’ingérence du politique et du gouvernement français dans ce qui est “historiquement juste” de ce qui ne l’est pas? Là encore, la boite de Pandore de l’antiracisme a créé un précédent qui n’est plus à la veille de s’arrêter. Mais l’on peut imaginer que des réunions publiques portant sur la remise en question des frontières de l’Etat Français pourront être censurées au motif que c’est là remettre en cause l’unité nationale française. Car c’est cette argument unitariste qui a été notamment utilisé par le ministre français de la Police, Manuel Valls. De tpute évidence, nous allons vers une fin des libertés d’expression, de réunion, d’association. Les lois antiracistes ont rétabli le délit d’intention, la fameuse motivation “haineuse”. C’était ce même délit de conscience dont usait l’Inquisition qui cherchait à établir si les gens poursuivis étaient hérétiques, c’est-à-dire pécheur en conscience et non en actes. Le droit positif avait garanti l’inviolabilité de la conscience au nom de sa liberté et fait des actes la seule mesure du droit. L’antiracisme a aboli cet acquis pour revenir à un droit d’essence religieux, placé cette fois sous l’ombre de l’idéologie. Ces lois antiracistes ont détruit le droit civil français hérité du Code Napoléon. Ce fut là le résultat du fanatisme du lobby sioniste, aidé en cela des terroristes du PCF. Puis les lois anti-négationnistes ont frappé de prison les historiens déviants. D’autres batteries de lois sont venues interdire de parole ceux qui ne goûtent pas l’homosexualité. Récemment, des livres vieux de plus de cent ans ont été condamnés à la destruction, toujours par un tribunal sur requête de la LICRA donc du lobby sioniste. Enfin, le ministre de la Police a dissous des groupes politiques, là encore accusés de déviationisme, bien que n’ayant rien de “milices armées”, seul critère légal pour dissoudre une organisation. A présent, avec le précédent Dieudonné, la censure est rétablie en France. Et ce en moins de deux heures, par un juge unique, descendant d’Alfred Dreyfus…Nous sommes, nous Bretons, face à un état de force et non plus face à un état de droit. Ce n’est pas nouveau pour nous dont les droits ont été détruits par un état étranger. A tout le moins, le droit positif reconnaissant à l’individu breton une certaine liberté à défaut de pouvoir s’émanciper en tant que peuple. Mais voilà que ce maigre lot de consolation est lui aussi aboli. La loi française n’avait pas de légitimité chez nous, pour des raisons historiques. A présent, elle n’a plus de valeur au regard de son propre esprit, car quand elle n’est pas violée sciemment par les puissants pour briser toute opposition, elle est tout simplement sabotée pour en revenir à la situation juridique de l’Ancien Régime voire des régimes autoritaires. Dès lors la résistance devient, de facto, illégale et frappée de l’arbitraire des puissants. Ce n’est pas absolument nouveau pour nous Bretons, mais cela a pris des proportions telles que désormais nous pouvons dire sans trembler que l’Etat Français est un régime autoritaire n’ayant rien à envier à la Chine communiste. D’ailleurs, la France est le troisième état le plus condamné par les cours européennes de justice pour les violations des libertés fondamentales, devant la Russie que pourtant la grosse presse française ne cesse d’accuser des pires dérives autoritaires. L’heure de la résistance à cette république livrée aux forces cosmopolites du sionisme, aidés en cela par le socialo-marxisme ou le lobby de l’argent, a sonné. Camarades, sortez les cordes!

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