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«Que Dieu est petit face à cet homme!»

Суббота, 04 Января 2014 г. 12:39 + в цитатник

BHL, certainement l'acronyme juif le plus connu au monde derrière RIP (Rest In Peace), devenu play-boy du verbe creux, spécialiste de la gravitation mentale par un manque certain de courage et de matière grise. Selon lui, il n'y aurait pas de colonies en Israël, mais une armée d'antisémites en Europe prêts à croire aux théories fumeuses d'un Faurisson, ou à rire à gorge déployée aux blagues d'un Nègre. Au travers des deux articles qui suivent, nous avons décidé de confronter ses accointances communautaires à la réalité internationale et plus particulièrement russe. En voyant Mikhaïl Khodorkovski, l'ex-oligarque gracié par Vladimir Poutine, faire, juste avant Noël, ses premiers pas d'homme libre et prononcer ces mots si prudents et si étrangement conciliants, on ne pouvait pas ne pas penser à l'arrivée tonitruante et superbe, il y a presque quarante ans, du scientifique Vladimir Boukovski qui, sommé de "choisir son camp", déclara qu'il n'était ni du camp de la gauche ni de celui de la droite, mais du camp de concentration (http://www.lepoint.fr/editos-du-point/bernard-henr...vski-02-01-2014-1776029_69.php). A Leonid Pliouchtch échangé, la même année, contre un dirigeant communiste chilien et qui, sonné par les années passées en hôpital psychiatrique, abruti par les doses massives d'insuline et de sulfazine qu'on lui avait quotidiennement administrées, électrochoqué, cassé, quasi trépané, par les docteurs Folamour du KGB, eut le génie de déclarer, en une formule qui fit le tour du monde parce qu'elle résumait toute une séquence d'Histoire, que le coup du siècle, le vrai coup, aurait été d'échanger Brejnev contre Pinochet. A Andreï Sakharov, bien sûr, intraitable malgré les grèves de la faim à répétition, l'attente infinie, l'exil intérieur. A Iosif Begun et Natan Sharansky, indignés jusqu'au bout, réfractaires à tout compromis, victorieux même quand on les croyait à terre. A Natalia Gorbanevskaïa, poétesse récemment disparue et qui avait, en 1968, en pleine terreur, osé manifester, presque seule, sur la place Rouge. On ne pouvait pas ne pas songer à tous ces dissidents dont les noms sont, aujourd'hui, oubliés mais dont l'arrivée à l'Ouest, les premières phrases qu'ils prononçaient, les silences, l'ironie cinglante ou glacée, étaient comme autant de coups de tonnerre dont les effets, les répliques, les ondes de choc ou les échos se faisaient sentir d'un bout à l'autre des deux mondes. Faut-il que l'ancien patron de Ioukos ait, pour adopter ce profil bas, conclu un accord secret avec son bourreau? A-t-il compris qu'il doit désormais vivre avec une épée, non de Damoclès, mais de polonium, au-dessus de la tête? Ces dix ans de détention ont-ils eu raison de la belle combativité qui lui avait permis, au faîte de leur commune puissance, de défier Vladimir Poutine? Est-ce Chalamov qui, dans son cas, a eu raison? Le Chalamov objectant à Soljenitsyne qu'il n'y a rien à tirer du passage par les camps, absolument rien, aucune élévation de l'âme, aucune forme d'endurcissement ni d'apprentissage du courage? Est-ce une autre sorte d'homme, tout simplement? Juste une autre sorte, saisie dans un autre métal, plus businessman que dissident, plus cynique que militant? Est-ce un grand fauve qui aurait échoué? Un joueur d'échecs qui aurait perdu et à qui le fair-play interdirait de pleurer sur un gambit raté? Ou est-ce nous qui sommes comme ces dreyfusards qui, lorsque leur héros revint de l'île du Diable, le trouvèrent "décevant"? et aurions-nous commis l'erreur d'idéaliser un personnage somme toute assez ordinaire et qui n'aurait, maintenant qu'il est sorti de l'enfer, d'autre projet que de passer la suite de sa vie - et pourquoi pas - à jouir, en famille, de ce qui lui reste de fortune? Tout cela est en partie vrai, sans doute. Toutes ces hypothèses sont plausibles pour expliquer l'étrange retenue de ce prisonnier politique dont on attendait tant et dont les premières déclarations auront été pour dire que sa libération, immédiatement suivie de celle des Pussy Riot, rend le pouvoir de Poutine "plus humain". Mais il y a autre chose. Il y a une autre explication qui tient, non à la qualité de l'homme, à son caractère plus ou moins trempé, mais à la différence des situations et des époques. Car je me souviens aussi de Brejnev et des hiérarques du Kremlin au temps des dissidents. Je me souviens de leurs visages bouffis, de leurs corps énormes et emmitouflés, sur les tribunes officielles de la place Rouge, les jours de grande parade. Je les revois, quand ils arrivaient en Occident, tenant à peine debout, drogués eux aussi, suivis par des hôpitaux ambulants chargés de remédier à leurs moindres défaillances. Et si je les compare, si je confronte ces hommes de plomb à notre Poutine tout feu tout flamme, jouant et surjouant de sa féroce santé, accumulant, de la Syrie à l'Iran et à l'Ukraine, les succès diplomatiques les plus insolents et poussant l'outrecuidance jusqu'à offrir, entre Check Point Charlie et le pont de Glienicke, un remake sans frais d'une des grandes scènes de cette guerre froide que nous sommes censés avoir gagnée, je ne peux pas ne pas conclure qu'il y a, dans cet écart, tout l'abîme qui sépare un régime à l'agonie d'un autre qui n'en est qu'à l'aube de son règne et de ses ravages. Jadis, on pensait le soviétisme éternel: les dissidents le savaient déjà condamné. Aujourd'hui, on croit le poutinisme fragile, colosse aux pieds d'argile, miné par la corruption, la démographie négative, la misère: erreur, nous dit Khodorkovski avec son sourire mécanique et d'autant plus énigmatique! symétrique mais non moins grossière erreur qui nous fait sous-estimer un adversaire redoutable et qui a son bel avenir devant lui! Auquel cas il serait, lui, Khodorkovski, un dissident du troisième type et de la nouvelle époque dont la prudence serait à l'image de la violence de l'état des choses en Russie: un opposant au grand souffle et, comme il est dit dans des textes qu'il connaît bien, longanime, long de narines et qui n'aurait, en conséquence, pas dit son dernier mot.

Il n’est que de lire la presse française, et singulièrement le journal Le Monde – il est vrai détenu par le banquier juif Pigasse – pour constater la désinformation massive en faveur de l’oligarque juif Khodorkovski que Vladimir Poutine vient de faire libérer après que ce dernier ait demandé sa grâce et donc reconnu sa culpabilité (http://breizatao.com/?p=16694 ). Comment ne pas sourire lorsque cette presse acquise aux intérêts d’Israël et du judaïsme international se fait cyniquement l’avocate du « respect des droits de l’homme » quand une des figures de la mafia juive russe est jugée et condamnée pour des faits extrêmement graves? Comme de juste, on ne dit rien de ce qui a valu à Khodorkovski dix ans de prison, les médiats dominants préférant vendre aux foules l’image d’un “dissident” persécuté! A en croire cette presse, Khodorkovski serait le digne successeur de Soljenitsyne… L’ascension du juif Khodorkovski: un empire mafieux bâti sur le démantèlement de l’État Russe. Khodorkovsky est né le 26 juin 1963 à Moscou dans une famille juive appartenant à la classe moyenne, diplômé du Mendeleev Institute of Chemical Technologies en 1986, il a connu une ascension fulgurante en devenant le 16ème plus riche milliardaire au monde en 2004 alors même qu’il était en prison. Quand le dirigeant de l’Union Soviétique, Mikhail Gorbachev , a commencé à libéraliser l’économie soviétique en 1986, Khodorkovsky était alors sous chef du comité local de la Ligue de Jeunesse Communiste à Moscou. Les entreprises privées se développant peu à peu, le jeune communiste s’est transformé en jeune entrepreneur libéral trafiquant de jeans, brandy, et d’ordinateurs. Alors que l’ex-Union Soviétique s’effondrait, il s’est rapidement enrichi grâce notamment à ses liens avec la mafia juive de Russie. Le blanchiment d’argent et le trafic de femmes faisaient également partie de ses autres activités très lucratives. Avec la bénédiction de Gorbachev, Khodorkovsky et ses partenaires en affaires tous aussi véreux les uns que les autres ont crée la Menetep Bank en 1988 l’une des premières banques privées de l’Union Soviétique dont il est devenu le président de 1989 à 1993. L’une de ses premières tâches a été de s’occuper des indemnités versées aux victimes de la catastrophe nucléaire de Chernobyl. Par la suite Menetep est devenue Rosprom, une société d’investissement qui a géré et modernisé des centaines de sociétés de l’aire post soviétique et qu’il a dirigé de 1994 à 1996. Grâce au capital de cette société et ses liens politiques croissants, notamment avec le président Boris Yeltsin dont il a financé la campagne, il a acheté Yukos Oil Corporation, une Compagnie pétrolière, pour une bouchée de pain – cadeau de Yeltsin – se plaçant lui même à la tête de cette entreprise qu’il va diriger de 1996 à 2003. Grâce à des acquisitions et surtout en utilisant des méthodes agressives parfois illégales dans la plupart des pays, Yukos est rapidement devenue la deuxième plus grande entreprise pétrolière russe. Comme les autres oligarques russes, pour la plupart juifs, tels Boris Berezovsky et le magnat des médias, Vladimir Gusinsky, Khodorkovky a principalement utilisé des méthodes de gangsters pour évincer ses adversaires en affaires et s’enrichir dans la Russie de l’alcoolique invétéré, Boris Yeltsin. Devenu le défenseur du libéralisme en Russie il a commencé à financer des partis d’opposition politiques laissant entendre qu’il pourrait se présenter lors des élections de 2008. Ce qui lui a immédiatement attiré la sympathie des élites dirigeantes libérales occidentales qui ont vu en lui un futur président russe à leur botte très coopératif pour livrer les ressources énergétiques russes au pillage des multinationales. Khodorkovski avait d’ailleurs l’intention de vendre 51% des parts de Yukos à l’américain Exxon Mobil. L’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine, désigné par Boris Yeltsin pour son apparente soumission aux oligarques désirant démanteler la Russie, va changer la donne. Poutine entreprend de redonner au peuple russe le contrôle de l’Etat en restaurant sa souveraineté. Pour les Occidentaux, Américains en tête, c’est la fin d’opportunités colossales en matière d’énergie. Dès lors, la presse aux ordres d’Europe de l’Ouest et d’Amérique n’aura de cesse de présenter les procès contre les oligarques, majoritairement juifs, comme une “atteinte aux droits de l’homme”. Le passé criminel de Khodorkovski rejaillit donc à la faveur d’enquête d’une ampleur jamais en Russie sur les fortunes accumulée par nombre d’oligarques juifs ayant prospéré sur le démantèlement de l’État Russe. Après des mois d’enquête Khodorkovsky est arrêté en Octobre 2003 puis condamné à 8 ans de prison pour détournement de fonds, vol et évasion fiscale. Après son emprisonnement Yukos a continué à prospérer et du fond de sa cellule Khodorkovsky a continué de s’enrichir grâce à la flambée des prix du pétrole en 2004. Mais les avoirs de Yukos ont été gelés par le gouvernement russe. En 2004, Khodorkovsky- juif communiste devenu par opportunisme capitaliste et utilisant des méthodes mafieuses pour s’enrichir sans scrupule sur le dos du peuple russe – était à la tête d’une fortune estimée à 15 milliards d e $ classé 16ème homme le plus riche du monde par le magazine Forbes alors qu’il occupait la 26ème place avec une fortune estimée à 8 milliards de $ en 2003. Khodorkovsky lors d’un deuxième procès vient d’être reconnu coupable de vol de pétrole et risque de passer 14 ans de plus en prison. A nouveau bien sûr les « élites » libérales occidentales dirigeantes crient au procès politique en brandissant leur épouvantail propagandiste de violations des droits de l’homme. Leonid Nevzline, un de ses complices, a fui en Israël comme d’autres oligarches juifs car le parquet russe voulait le juger aussi pour une série de meurtres et pour évasion fiscale. Il vit depuis août 2003 en Israël. Leonid Nevzline est devenu, au fil des ans le chef de file des oligarques juifs de Russie en exil qui ont juré la perte de Vladimir Poutine. La fortune de cet exilé, évaluée en 2003 à 2 milliards de dollars par le magazine Forbes a subi le contrecoup des poursuites judiciaires et des saisies d’actifs visant Yukos, mais elle reste néanmoins importante et suffisamment conséquente pour financer des campagnes de soutien à Khodorkovsky. C’est lui qui tente de fédérer l’opposition au président russe Vladimir Poutine depuis l’étranger, coordonnant autour de lui les oligarques juifs déchus. Lors d’un entretien, le président russe compara Khodorkovski à un autre juif, Bernard Madoff, désormais incarcéré aux USA pour une escroquerie colossale évaluée à 50 milliards de dollars. “Prenez Bernard Madoff aux Etats-Unis, il a reçu la perpétuité, et personne n’a bougé“, déclara un jour Vladimir Poutine, alors qu’il répondait à une question portant sur Mikhaïl Khodorkovski. “L’activité de ceux qui figurent dans ces affaires criminelles a causé un préjudice à la Russie de milliards de dollars”, souligna-t’il, évoquant clairement l’affaire Ioukos. Le président russe avait également mentionné, pour étayer son propos, “d’atteintes à la vie et à la santé d’autres personnes dans le cadre de leurs prétendues activités commerciales”. “Comme vous le savez, dans les années 1930 aux Etats-Unis, al Capone a été jugé pour fraude fiscale, officiellement. Mais en pratique, pour tous les crimes qu’il avait commis. Dans le respect de la loi”, a ajouté le Premier ministre russe. “Tout ce qui se passe chez nous se fait dans le respect de la loi”, avait-il encore dit. En demandant sa grâce au président russe Vladimir Poutine, Khodorkovski met fin à dix ans de dénégations quant à sa culpabilité. Une grâce ne pouvant être obtenue que lorsque l’on se reconnait coupable. Selon le journal Kommersant, c’est la perspective d’un troisième procès, pour une série de meurtres, qui a convaincu l’oligarque juif déchu d’assumer sa culpabilité et – ce faisant – de se voir offrir le droit de quitter la Russie et d’abandonner toute ambition politique dans ce pays. Il a aussitôt rejoint l’Allemagne où certaines puissances d’argent l’ont soutenu, espérant de lui qu’il offre à Berlin d’énormes contrats pétroliers à bon marché, moyennant un soutien politique inconditionnel. Tel est le portrait réel de Khodorkovski, dépeint comme un “dissident persécuté” par la presse occidentale, Occident qui perd avec lui un de ses meilleurs agent contre la Russie. "Allez, viens prendre ta tartre à la crème, le cuistre!"

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