-Поиск по дневнику

Поиск сообщений в eternelle_2012

 -Подписка по e-mail

 

 -Статистика

Статистика LiveInternet.ru: показано количество хитов и посетителей
Создан: 08.09.2012
Записей:
Комментариев:
Написано: 719


La CGT dans une entreprise, c'est comme un croque mort qui vous fait un prix!

Вторник, 26 Ноября 2013 г. 05:41 + в цитатник

Vous connaissez la différence entre Al Qaïda et les Syndicats? Aucune, les premiers menacent les juifs mais tapent sur les Goys, et les seconds menacent le patronat juif mais tapent sur les employés Goys! (http://zebuzzeo.blogspot.ru/2013/11/syndicats-corrompus-par-le-medef-seule.html) Avec moins de 5% de travailleurs français encartés, on apprend que les financements des syndicats seraient en grande partie occultes, sans blague! L'historien Jacques Marseille rapporte qu'en juin 1936, Alfred Lambert-Ribot, délégué général de l'UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie), rencontra grâce à Léon Blum les représentants des syndicats. De ces rencontres découla un «modèle où l'État, le patronat de la grande entreprise industrielle et le syndicalisme alors ouvrier s'entendirent pour "fluidifier" au mieux le dialogue social tout en jouant, pour la galerie, le spectacle de l'accord arraché». L'UIMM a été accusée en octobre 2007 d'avoir retiré des sommes s'élevant entre 18 et 20M€ en liquide de 2000 à 2006. Ces sommes auraient servi, entre autres, à financer des syndicats. Yvon Gattaz, ancien patron du CNPF (ancêtre du Medef) a estimé à propos des retraits: «C'est le financement des syndicats. [..] Ce sont les entreprises qui finançaient des caisses destinées aux syndicats». Selon ses propos tenus sur France Inter, ce mode de financement des syndicats par le patronat serait vieux comme la loi Waldeck-Rousseau. Daniel Dewavrin, ancien président de l'UIMM, a été dans le même sens que Denis Gautier-Sauvagnac à propos de l'utilisation de ces fonds pour «fluidifier les relations sociales» Cet argent sert à «mettre de l'huile dans les rouages et à prévenir les grèves», ou si vous préférez «de la vaseline dans le cul du salarié». Après la grande grève de 1986, le Canard Enchaîné nous rappelait que les syndicats sont financés à 88% par l'État, ce dernier étant, selon Marx, l'arme de la bourgeoisie contre le prolétariat. C'est bien pourquoi les syndicats font tout pour qu'il n'y ait pas grève ou que la grève soit la plus inoffensive possible. C'est bien pourquoi les syndicats n'appellent jamais à la grève générale. C'est bien pourquoi , et en toute circonstance, les syndicats veulent toujours préserver l'outil de travail. C'est bien pourquoi les syndicats sont toujours contre la radicalisation des luttes. C'est bien pourquoi les syndicats sont toujours contre le sabotage, même quand il est destiné à interdire aux jaunes de travailler à la place des grévistes. C'est bien pourquoi les syndicats sont contre les grèves insurrectionnelles. C'est bien pourquoi les syndicats veulent toujours faire croire que les émeutiers sont TOUS des policiers déguisés en manifestants. C'est bien pourquoi les syndicats aident les CRS à coincer les émeutiers et les livrent eux-mêmes à la police. C'est bien pourquoi, et même quand l'Assemblée Générale en a décidé autrement, avec les gros bras de son SO aussi terrible que les CRS (et dans le même camp), il arrive si souvent que la CGT force manu militari les travailleurs à reprendre le travail. C'est bien pourquoi pour vaincre le patronat, nous devons toujours commencer par vaincre les syndicats!

Alarmées par la contestation "populiste" et anti-impôt, qu'elles condamnent et sur laquelle elles n'ont pas de prise, la CGT et la CFDT resserrent les fesses pour être plus audibles, mais leur appel à l'unité syndicale est déjà rejeté par FO et la CFE-CGC (http://www.lepoint.fr/economie/la-cgt-et-la-cfdt-a...nite-23-11-2013-1761060_28.php). Cet appel à l'unité est conforté par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault qui donne une plus grande visibilité aux syndicats en ouvrant lundi avec eux sa concertation sur la réforme fiscale. En quelques jours, les alliances syndicales nouées depuis le début de l'année se sont inversées: la CGT et la CFDT, divisées sur les réformes du marché de l'emploi et des retraites, se sont rapprochées, se disant "alertées" par la situation de "la société en proie au désarroi" qui "peut se laisser entraîner par l'expression des pires populismes". Dans un courrier commun, leurs leaders, Laurent Berger (CFDT) et Thierry Lepaon (CGT), ont appelé tous leurs homologues à se réunir lundi soir au siège de la CFDT pour "échanger" sur les moyens d'y "remédier", pointant "l'inquiétude" des Français sur "l'emploi et le pouvoir d'achat". Quatre organisations ont répondu présentes: les réformistes (Unsa et CFTC), les alliés de la CGT (FSU et Solidaires). Mais Force ouvrière, éphémère frère de combat de la CGT depuis le début de l'année, a renoué avec sa stratégie de cavalier seul. "Je ne crois pas aux choses artificielles", a affirmé son numéro un Jean-Claude Mailly, rappelant les "désaccords" de fond. Et si le but est un affichage d'unité, "désolé, je n'ai pas le temps d'aller chez le coiffeur pour être sur la photo d'ici lundi!" a-t-il ironisé vendredi. Le Premier ministre "n'invite pas les représentants des jacqueries, mais les syndicats pour les remettre en selle", selon lui. Entre 6 500 et 13 000 personnes ont battu le pavé samedi 23 Novembre 2013 en Bretagne, une mobilisation inférieure à celles des Bonnets rouges début novembre à Quimper, alors que les syndicats espéraient reprendre la main en exigeant des mesures sociales dans le "pacte d'avenir" lancé par l'État (http://www.lepoint.fr/societe/journee-de-mobilisat...agne-23-11-2013-1761023_23.php). Mais, répartis samedi entre Rennes (Ille-et-Vilaine), Lorient (Morbihan), Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) et Morlaix (Finistère), les manifestants n'ont pas réussi à égaler en nombre les 15 000 à 30 000 personnes réunies le 2 novembre à Quimper sous la bannière du collectif Vivre, décider et travailler en Bretagne. "Ce qui compte, ce n'est pas les chiffres, c'est de recentrer le débat sur l'emploi, le volet social du pacte d'avenir", a assuré le leader régional de la CFDT, Louis Baron. Sous une mer de banderoles et de drapeaux flottant dans un soleil froid, les manifestants ont dénoncé la vague de restructurations qui frappe des entreprises bretonnes et les syndicats ont fustigé la démarche "poujadiste" des Bonnets rouges. Les manifestations, à l'appel de sept syndicats régionaux - CFDT, CGT, Solidaires, CFTC, Unsa, CFE-CGC et FSU -, ont rassemblé dans la matinée à Rennes 2 200 manifestants selon la police, 3 000 selon les organisateurs. Ils étaient entre 750 et 2 000 à Saint-Brieuc, et entre 1 100 et 3 000 à Lorient. Dans l'après-midi, à Morlaix, le cortège a rassemblé entre 2 500 et 5 000 personnes. Les manifestants, sans bonnet rouge, malgré la présence de Christian Troadec à Lorient et à Morlaix, et avec quelques rares drapeaux bretons, mettaient en avant des mots d'ordre pour l'emploi: "Zéro chômage", "Interdiction des licenciements, "Partage du travail entre tous", "Putes gratuites" et dénonçaient "La mort de l'emploi". Face aux revendications des syndicats, le ministre délégué à l'Agroalimentaire Guillaume Garot a assuré sur Europe 1 qu'une "dimension sociale" serait donnée au pacte d'avenir, notamment dans l'industrie agroalimentaire. À Lorient, le leader de la CFDT, Laurent Berger, et celui de la CGT, Thierry Lepaon, ont défilé côte à côte derrière une banderole disant: "Pour l'avenir de la Bretagne, mobilisons-nous pour un pacte social en faveur de la Bretagne". "Il y a une montée des poujadismes", a lancé à la presse Laurent Berger au départ du cortège lorientais, alors qu'il était interrogé sur la présence dans le cortège de Christian Troadec. Ce dernier a été sifflé par des manifestants. "C'est une manifestation syndicale, il faut arrêter de mélanger les genres", a ajouté Laurent Berger. Thierry Lepaon s'est rendu à la manifestation de Morlaix dans l'après-midi, au cœur de la zone la plus touchée par "la crise bretonne". Christian Troadec y était également et a été pris à partie par les manifestants. La manifestation finistérienne s'est disloquée peu avant 17 heures dans le calme. Seule Force ouvrière-Bretagne s'était désolidarisée de l'intersyndicale. FO a aussi rejeté, au niveau national, l'appel de la CFDT et de la CGT à constituer un front uni face à la "gravité de la situation" du pays et "la menace populiste". Avec cette journée de mobilisation, l'intersyndicale entendait peser sur le "pacte d'avenir pour la Bretagne" lancé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault à la mi-octobre pour tenter de trouver des solutions pérennes à la crise, amplifiée par le rejet de l'écotaxe. De leur côté, les Bonnets rouges ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation le 30 novembre, à Carhaix, la ville de Christian Troadec.

Метки: