Notre position: Racialiste, oui. Nationaliste, peut-être! |
Parce que le véritable Nationalisme ne peut exister en dehors du socle racial! C’est une politique constante du Front National que d’être une caricature de la république jacobine de 1793 (http://breizatao.com/?p=15486). Si du temps de la présidence de Jean Marie Le Pen les ambiguïtés étaient entretenues, laissant parfois flotter comme un parfum de provincialisme maurrassien, l’avènement de sa fille à la tête du Front National comme de ses proches, issus du radicalisme maçon ou du socialisme méridional, a fait définitivement passé ce parti dans le national-cosmopolitisme républicain le plus strict. Finalement, le FN est cohérent. Il reprend à son compte la vérité d’évidence qui veut que le nationalisme français soit un produit de la modernité politique et singulièrement de la révolution française. Ce nationalisme sorti des Loges et de l’Encyclopédie, arrachant l’individu à ses communautés d’appartenance naturelle pour le fondre dans un tout totalisant, voire totalitaire, qu’est l’Etat, devenu omnipotent, a plus en commun avec le soviétisme qu’avec les nationalismes européens traditionnels, fondés sur la communauté ethnique. Ce n’est pas une découverte, le nationalisme français est un nationalisme géographique, conséquence hasardeuse d’une histoire chaotique, qui récuse race ou ethnie comme ciment fondateur pour le remplacer par le fait politique, la construction politique. Le contrat social rousseauiste est venu formuler a posteriori ce qui s’opérait déjà sous l’absolutisme royal. Ce que la praxis avait fait naître du temps des rois, le jacobinisme révolutionnaire le transforma en esprit de système, en idéologie. Le FN est donc, classiquement, un parti jacobin, républicain, hostile aux valeurs de l’Europe traditionnelle qu’est la structuration organique et naturelle de la société. Il est, en somme, pour un “socialisme dans un seul pays”, sorte de “national communisme” tempéré de pragmatisme économique et d’un soupçon de libéralisme, juste ce qu’il faut, comme en Chine, pour que l’essentiel de l’appareil politico-idéologique puisse tenir dans le concert des nations occidentales. Marine Le Pen s’est illustrée très tôt, et explicitement, contre tout usage de la langue bretonne dans l’espace public, poursuivant là la volonté de destruction de notre peuple entrepris voilà deux siècles par les révolutionnaires parisiens cosmopolites. Très en pointe contre cette émancipation des peuples réels de l’Hexagone, le quart de juif pied noir Louis Aliot. Naturellement, comme pour tout immigré n’ayant du son salut qu’à cette internationale au rabais qu’est la république française, Aliot voit dans la francisation jacobine une mesure de quasi sécurité personnelle, étant entendu que tout retour aux racines ethniques aurait pour premier effet d’interroger certains individus sur leur présence en Europe. La coalition des métèques a pu donner à fond avec la question de la Charte des Langues Minoritaires. Le pied noir Mélenchon a dénoncé, comme Aliot, un complot “ethniste” contre la république cosmopolite. Là encore, on le comprend. Ce que défend le FN français c’est l’Etat-Nation français et non pas les “Peuples de France” comme les appelait lui-même Louis XIV. C’est la froide machine administrative sur laquelle règne une minuscule clique de métèques échoués à Paris qui craint le vent contre-révolutionnaire de la race et du sang, de l’histoire et de la mémoire. Voir dans le FN une formation “d’extrême droite”, voire “anti-républicaine” relève de l’hallucination collective, tant le FN est outrageusement sans culottard, nostalgique des pires heures de la gauche française, éloigné en tout de ce que put être une droite contre-révolutionnaire monarchiste. C’est d’ailleurs le reproche essentiel fait à Philippe Vardon, tête de file des Identitaires Nissards. C’est au nom d’un “insoutenable régionalisme”, que le FN a rejeté sa récente demande d’adhésion. Bref, c’est le mythe de “la France seule”, délirante caricature de nationalisme faisant préférer le dernier des Congolais naturalisé se disant “patriote” à un Blanc philo-européen. C’est la suite logique du stato-nationalisme, du primat accordé à l’instance sur la substance. Il est vrai que pour nombre de Français touchés par une pathologie de la grandeur, mieux vaut une France puissante composée à moitié d’Afro-musulmans qu’une France blanche dans une Europe Fédérale. Le FN, conformément au logicel “national communiste français”, entend fondre la totalité de la masse cosmopolite hexagonale en un tout créolisé, rangé derrière le drapeau tricolore. On pourrait en rire si ce n’était un programme proposé avec le plus grand sérieux. Ce qui nous pousse à nous interroger: ne serait-il pas temps, pour les Français, de créer un mouvement d’extrême droite, un mouvement de préférence raciale? Parce que là, les deux zozos commencent sérieusement à nous pomper l'air.
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