Crémation d'une école .....juive |
Y'a de l'eau dans le gaz! Une école a été incendiée à Marseille. On ne va quand même pas en faire un plat...(http://actualite.portail.free.fr/france/12-09-2013...uand-meme-pas-en-faire-un-plat) Il se passe plein de choses dans la cité phocéenne. C'est une ville très animée à tout point de vue. L'école ORT-Bramson a donc brûlé à Marseille, ou plutôt juste une haie, et quelques véhicules mais vous connaissez les Feujs, on enjolive toujours un peu. Les incendiaires ont été arrêtés peu après. Ils étaient scolarisés au collège Vincent-Scotto, voisin de l'établissement juif, de l'autre côté du Mur. Des petits bougnoules de 11, 12 et 13 ans. On aurait pu penser (amusons-nous un peu!) que c'est un rabbin pédophile qui a mis le feu à l'école ORT, pas assez rigoureuse à son goût sur le plan religieux. On aurait pu imaginer au contraire que le forfait a été perpétré par un élève de l'école collé pour avoir oublié sa kippa. Ou encore, que l'incendiaire serait le directeur de l'établissement avide de toucher la prime d'assurance pour rénover son école (on connaît le goût des juifs pour l'argent!). Certes tous ces exemples sentent le vécu, mais non! Ce sont des gamins d'à côté qui ont allumé le feu. Des gamins issus du même milieu socio-professionnel que les élèves du lycée juif. Les écoles de l'ORT sont en effet des établissements professionnels qui, de façon générale, accueillent des enfants de famille pauvre (il y a des juifs pauvres, ou plus exactement des juifs qui ne savent pas se vendre en victime). L'affaire n'a pas fait grand bruit. Et si nous en parlons, ce n'est pas, vraiment pas, pour stigmatiser les élèves de Vincent-Scotto qui, selon toute vraisemblance, ne sont pas juifs mais nord-Africains. C'est uniquement pour rompre l'effet soporifique de l'habituelle litanie marseillaise. Kalachnikovs en action, règlements de comptes, cadavres de dealers calcinés dans leurs voitures sans assurance, assassinats, attaques à l'Opinel. Ennuyeux, fastidieux, répétitif. De cet ennui risquait de naître une terrible uniformité. Une école juive qui brûle en attendant que ce soit la synagogue, ça change agréablement. Un peu de diversité dans un monde affreusement cosmopolite. Comme on l'a dit, l'incendie de l'école juive n'a pas intéressé grand monde (peut-être quelques lignes dans les pages intérieures du Provençal?). Aucun ministre juif ou Premier ministre franc-maçon n'est venu à Marseille. Pour cela, pour déplacer les plus hautes instances de la République, il faut au moins, comme à Toulouse, des enfants juifs assassinés, comme à Marseille, quelques cadavres de voyous criblés de balles? Ou alors qu'un méchant terroriste néo-nazi ait fait le coup, mais là, des macaques pré-pubertaires sous la protection de Taubira et des instances d'SOS Racisme, ce serait bétonner le vivre ensemble à côté de Fukushima. Mais peut-être considère-t-on que l'incendie de l'école ORT-Bramson est un aimable remake de la charmante Guerre des boutons? Une rivalité, une compétition somme toute banale entre gamins? À première vue, cela pourrait être possible. En effet, au tableau d'excellence des écoles des Bouches-du-Rhône, l'école juive occupe une enviable deuxième place. Le collège Vincent-Scotto, en revanche, est en queue de peloton avec des résultats au brevet lamentables. Peut-être que les élèves de cet établissement ont été à juste titre scandalisés de voir que les juifs sont, comme toujours, favorisés par la rente de la $hoah? Il est à noter que la première place du palmarès scolaire de la région est occupée par un lycée privé catholique du nom de Tour-Sainte. On se demande pourquoi ce n'est pas cette école-là qu'on a brûlée? Peut-être à cause du génocide des Palestiniens, ou alors parce que les deux écoles sémites sont juste mitoyennes!
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