Ce qu'il se passe là-bas, c'est comme si le Qatar décidait d'entraîner et d'armer nos banlieues à commettre des attentats terroristes dans l'hexagone, que l'armée française rentre dans les HLM's pour récupérer les stocks de fusils mitrailleurs, d'explosifs, que les médias maquillent la réalité, et au final que l'armée américano-sioniste largue quelques bombes atomiques sur la France soit disant pour sauver la population civile. C'est du grand n'importe quoi, en un mot, c'est du juif!

La tension en Syrie est brutalement montée depuis une semaine, suite aux allégations d’usage d’armes chimiques par l’armée syrienne contre des terroristes islamistes et des civils. Ces allégations ne sont pas nouvelles: le journal Le Monde (Pierre Bergé) affirmait déjà il y a quelques semaines qu’un tel usage était “prouvé”, tentant par là de provoquer une intervention américaine (http://breizatao.com/?p=15017). Chacun sait que les reporters du Monde et du Figaro ne sont que les télégraphistes du Quai d’Orsay. Sur le terrain, l’armée syrienne a remporté bataille après bataille. Celle-ci étant sur le point de monter une offensive finale dans le nord pour en finir avec les groupuscules islamistes agités par la Turquie, le Qatar, l’Arabie Saoudite et les puissances pro-israéliennes occidentales, France, Grande-Bretagne et USA. Il paraît comme une évidence qu’il n’était aucunement dans l’intérêt du gouvernement syrien de se lancer dans une telle attaque, qui sur le plan militaire n’offre aucun résultat majeur mais qui, en revanche, s’avérerait désastreux sur le plan politique.Le fait par ailleurs que les vidéos de l’attaque aient été diffusées sur Youtube un jour avant qu’elles aient lieu démontre la nature grossière de la manœuvre. La plupart des observateurs s’accordaient à dire que militairement, les islamistes sont vaincus, n’opposant qu’une résistance disparate, se livrant en outre à des luttes intestines farouches. Russes et Américains préparaient une conférence internationale à Genève dite “Genève 2″ en vue d’une paix négociée délimitant les zones d’influence. Rien ne laissait présager un revirement occidental. L’on sait cependant que le Pentagone avait indiqué que seule “un courant d’opinion publique fort” suscité par un “événement” pourrait inverser la politique américaine de non-intervention. S’il est difficile de connaître les rouages du scénario de guerre à l’œuvre, il n’est pas interdit de penser que des groupes de pression aient agi pour mettre l’administration américaine dans une position publique telle qu’elle n’ait plus d’autre choix que d’agir. C’est précisément ce que fait Le Monde depuis plusieurs semaines. Peu importe, il semble que la décision soit prise. Le ministre des Affaires Étrangères, Sergueï Lavrov, a fait état hier dans une conférence de presse d’urgence d’une “concentration massive de forces occidentales” qui ne laissait guère de doutes sur les intentions des USA et de leurs alliés. Globalement, les états sunnites s’opposent aux états chiites ou pro-iraniens, ces états étant appuyés par Israël et les puissances occidentales, essentiellement États-Unis, France et Grande-Bretagne. La Syrie est le dernier état doté d’une constitution laïque dans la région. C’est un rempart contre le fanatisme islamiste des Frères Musulmans et autres éléments pro-Qatar. La Syrie de Bachar Al Assad est un allié de l’Europe européenne. Son gouvernement est le meilleur atout des Syriens. Son renversement signifierait le triomphe des conflits sectaires ou ethniques au détriment d’une République capable de faire face aux Israéliens et aux groupuscules islamo-terroristes. Ce serait ruiner la prospérité de ce pays et de ses populations. C’est précisément l’objectif. L’Égypte est elle aussi en lutte contre les mêmes ennemis. L’armée égyptienne représente le dernier rempart contre l’obscurantisme islamistes des Frères Musulmans. Et pourtant, l’Occident a choisi de soutenir les fanatiques religieux. Ce n’est ni aider ces pays, ni aider l’Europe ou l’Amérique, bien au contraire. Cette politique du pire a un parfum de judaïsme.

Et Israël, ce singe qui scie la branche sur laquelle il est assis, soutient activement les islamistes à l’œuvre en Syrie, espérant détruire cet état et triompher sur ses ruines. Nous pensons quant à nous que cette fuite en avant sera funeste pour Israël. Il devra affronter l’Iran, la Syrie et le Liban du Hezbollah. Mais aussi nombre de musulmans à travers le monde qui, en cas d’attaque contre la Syrie, se solidariseront avec elle contre l’entité sioniste et les agresseurs occidentaux. Nous ne pouvons, dans ce conflit, qu’agir à notre modeste échelle : en dénonçant l’agression israélo-occidentale contre la Syrie et contre tous les peuples arabes et musulmans de cette région dont on excite les divisions artificiellement. Si demain nous ne voulons pas d’une Europe ravagée par le fondamentalisme salafiste, il faut dès aujourd’hui choisir le bon camp. Et ce camp c’est celui d’Assad, d’Al Sissi, de Nasrallah et non celui de Netanyahou, Fabius ou du quart de juif Cameron.