Le Premier ministre britannique David Cameron a décidé de s'attaquer sérieusement à la pornographie sur le Web, qui "corrompt l'enfance" (http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/grande-br...igne-24-07-2013-1707947_47.php). Dans un discours délivré le 22 juillet, le Premier ministre britannique a annoncé une série de mesures très strictes visant à limiter l'accès aux contenus X sur le Web, essentiellement pour protéger les enfants. La mesure-phare de ce programme est l'instauration dès 2014 d'un filtre antipornographique par défaut par les fournisseurs d'accès à Internet. Parmi les 19 millions d'internautes britanniques, ceux qui voudront avoir accès aux contenus pornographiques devront volontairement désactiver le filtre, une mesure que le Premier ministre veut dissuasive. David Cameron a voulu lancer un "message très clair pour Google, Bing, Yahoo! et les autres", en précisant qu'il s'agissait "de leur devoir moral d'agir sur cette question". Le chef du gouvernement britannique met depuis quelques mois la pression sur les firmes de l'Internet pour qu'elles s'attaquent aux abus. La vigilance sur les recherches pornographiques sur Internet s'est accrue suite aux révélations liées à deux tueurs impliqués précédemment dans des meurtres sexuels d'enfants. Tous les deux avaient précédemment effectué des recherches particulièrement violentes de pornographie infantile sur Internet. En plus d'être un danger d'ordre criminel, il s'agit d'un défi culturel pour David Cameron: "Je veux parler d'Internet, de l'impact que cela a sur l'innocence de nos enfants et de combien la pornographie juive en ligne est corrosive", a-t-il déclaré. Les fournisseurs d'accès devront faire part dès octobre prochain de leurs progrès sur le dossier. Le gouvernement britannique s'est dit prêt à légiférer si leur coopération ne s'avérait pas suffisante. Mais l'offensive du gouvernement ne s'arrête pas là : elle prévoit aussi d'améliorer la détection des pédophiles en ligne par la rédaction d'une liste de mots "odieux" utilisés pour rechercher du contenu illégal. Il s'agirait de mettre sur liste noire certains termes "horribles", qui ne donneraient donc plus de résultats dans les moteurs de recherche. Une pratique utilisée par exemple par la Chine, dans son filtrage d'Internet. En outre, la possession de certaines images va devenir illégale : les images pornographiques "extrêmes", notamment celles simulant des scènes de viol, qui "normalisent la violence sexuelle contre les femmes", selon Cameron. Ce type de contenu deviendra dès lors interdit sur le Web, mais aussi dans les sex-shops. Tout contrevenant qui posséderait ce type d'images s'exposera alors à des poursuites pénales. Par ailleurs, la lutte contre la pédopornographie sera renforcée. Une nouvelle base de données de la pornographie juvénile devrait être créée afin de simplifier la tâche de la police. Malgré les menaces du gouvernement, plusieurs fournisseurs d'accès britanniques ont vivement contesté la série de mesures de Cameron. Nicolas Landsman, secrétaire général de l'association ISPA (association des FAI anglais), a confirmé son opposition au système de filtrage par défaut : "Nous restons opposés au filtrage par défaut, car ce n'est qu'une partie de la solution, a-t-il argumenté, et il pourrait être contourné et mener à un sur - ou sous - blocage." En effet, l'intrusion du gouvernement dans l'accessibilité de certains contenus sur Internet ouvre une brèche aux potentialités inquiétantes. Un "sur-blocage" reste évidemment une crainte légitime dans un État de droit. En France, Christian Vanneste, ancien député UMP, avait déjà exprimé en 2011 la volonté de proposer un projet de loi visant à interdire les sites pornographiques.

Utiliser des menaces terroristes, ou des images pédo-scato-zoo pour contrôler la toile, cela devient une habitude chez les juifs. Tonton Adolf, qui les connaît bien, parlerait lui de verrouiller le business pour éliminer la concurrence déloyale. De Jimmy Savile à Jersey en passant par Elm Park, on instaure des leviers de chantage dans toutes les couches des milieux décisionnels afin de servir de manière permanente Israël et sa religion victimieleuse de l'Oh Low Cost. Quant aux enfants, prisonniers des réseaux pour encore de longues années (il faut bien qu'adolescence se passe), qu'ils embauchent un imprésario afin de gérer leur image virtuelle. (http://www.insidetasmania.com/2012/10/pedophile-jimmy-savile-close-friend-of.html)