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Ici ou ailleurs, la déchéance n'est pas une fatalité!

Суббота, 07 Декабря 2013 г. 07:01 + в цитатник

En grande partie, les juifs arrivèrent de Lituanie au tournant du 19ème siècle.... Si dans un premier temps, ils furent bien vu, au milieu des années 30, ce n'était déjà plus le cas. Majoritairement implantés en zone urbaine, notamment à Johannesburg, où ils constituaient 17% de la population, ils étaient suffisamment visibles pour que parfois, on ne surnomme plus la ville Jo'Burg, mais Jewburg. Ils excitèrent les envies, et les rancœurs durant la grande dépression en contrôlant une grande partie du business des villes importantes. L'antisémitisme se nourrissait du mécontentement économique.... Sans oublier l'ingrédient essentiel: leur apparente contradiction à être d'un côté sur-représentés dans la finance, dans l'exploitation minière, dans les postes à responsabilités économiques, et d'un autre côté, à s'investir dans les mouvements raciaux et révolutionnaires. Dès le début, les juifs colonisèrent le parti communiste, et toutes ses excroissances, sous-entendu associations humanistes qui luttaient pour l'abolition des frontières entre races. La propagande antisémite (ou haine de la mafia juive) trouva alors beaucoup d'écho dans la population méfiante en décrivant le youpin comme un être déraciné, avide de profits faciles au détriment dé la civilisation Blanche. En 1948, leur situation empira lorque les Boers s'emparèrent démocratiquement du pouvoir avec l'élection du «Parti National». L'ethno-racialisme pris son essor notamment dans les années soixante avec le gouvernement d'Hendrik Verwoerd qui défendait des politiques raciales séparées mais égalitaires. Ses décisions transformèrent l'Afrique du Sud en nation la plus puissante du continent africain, et donnèrent aux Noirs et aux Blancs un niveau de vie nettement plus confortable que leurs voisins. Dans cette histoire, les crochus ne pouvant se résoudre à voir le pays se développer se mirent à «Comploter!» La politique de Verwoerd rencontra alors l'opposition farouche de deux juifs: Harry Oppenheimer et Anton Ruppert. Tous deux avaient la main mise sur le cartel bancaire du pays, et voulaient donner de nouveaux droits aux sud-africains noirs dans le but d'élargir leur système de prêt et d'endettement, Oppenheimer était en cheville avec la famille Rothschild, et la CIA, qui des années 1970 aux années 1990 supportèrent le renversement des valeurs Sud Africaine Blanche, en suivant la direction édictée par le juif Henry Kissinger. Oppenheimer fit pression sur les Rothschild pour renverser Verwoerd, célèbre pour avoir publiquement dénoncé la finance juive devant le parlement. Les Rothschild s'assurèrent le support des Rockfeller, des Carnegie et d'autres familles britanniques exilées aux USA pour appuyer leur stratégie. Rockfeller usa de toute son influence sur le Conseil des Relations Etrangères du gouvernement américain pour s'opposer aux «lois blanches». En 1963, un groupe de juifs fonda l'ANC (African National Congress), il s'agissait de Lionel Bernstein, Bob Hepple, Dennis Goldberg, Arthur Goldreich, Hazel Goldreich et James Kantor, avec quelques Africains en hommes de paille -- Nelson Mandela, Walter Sisulu, Govan Mbeki (père de Thabo Mbeki), Raymond Mhlaba, and Ahmed Kathrada. L'ANC se calquait sur le modèle américain du NAACP, en étant beaucoup plus violente, et ouvertement communiste. Ce groupuscule hautement médiatisé reçu des aides et du financement à la fois de l'Union Soviétique, et de la CIA. Et c'est même la femme d'un colonel du KGB, Ruth First, qui mit en place l'acheminement de fonds secrets vers l'ANC. En 1966, la CIA finança l'assassinat du président Verwoerd, au travers d'un patsy, Demetrio Tsafendas, immigrant grec recruté par Van Den Bergh, et par John Vorster, (respectivement chef de la Police, et ministre de la justice), le tout arrosé par une multitudes de pots de vin.

Dans les années 70, la campagne de subversion juive restait sans effet, le pays ne subissait pas le contre coup des sanctions économiques, et les troubles communistes se cantonnaient au domaine du folklore, malgré tous les efforts des médias américains. En 1978, la CIA recruta Pik Botha, le ministre des Affaires Etrangères, comme espion, et l'utilisa pour pourrir le gouvernement sud-africain en collaboration avec Samuel Huntington et Chester Crocker. Leur but étant d'altérer la vision gouvernementale sur les «lois des Noirs». Botha recruta de son côté le ministre des sports Piet Koornhof, ainsi que le général Tienie Groenewald, chef des services secrets, qui passa les noms des Afrikaaner militants nationalistes au MI6 et à la CIA, et mis en place des actes de violence et d'intimidation à leur encontre. Vers la fin des années 70, début des années 80, les dynasties bancaires, Oppenheimer en tête commencèrent à spéculer sur la monnaie dans le but de la dévaluer. L'inflation atteignit 16%, et la croissance tomba à 3%. En 1989, Frederik De Klerk, Franc-Maçon en cheville avec la loge B'nai B'rith, (fraternité juive qui contrôle entre autre l'ADL, l'anti-diffamation league) était élu président. Le fossoyeur du pays se trouvait dans les murs. Avec l'aide de la finance sioniste, De Klerk œuvra avec réussite dans le renversement des valeurs blanches au profit d'une classe dirigeante hébraïque aux larbins métissés. Aujourd'hui, on retrouve tout un lot de juifs aux postes clefs. Le système bancaire est géré par Gill Marcus, avec comme guichetier Tito Mboweni. Trevor Manuel est ministre des finances. Alec Erwin est ministre du commerce et de l'industrie. Helena Dolny, ex-femme du Colonel Joe Slovo, gère le développement agraire. Ronnie Kasrils est ministre de l'agriculture. Louise Tager est directrice des transports ferroviaires. Michael Katz est ministre des impôts, Meyer Kahn dirige les services de police. Richard Goldstone, Arthur Chaskalson, et Albert Sachs – siègent à la court suprême du pays. Ce qu'il s'est passé en Afrique du Sud sous l'appellation «démocratie et diversité», ce ne fut qu'une prise de pouvoir de la juiverie aux dépens de la race Blanche. Au final, comme dans toutes les nations dirigées par la classe juive, l'Afrique du Sud est maintenant économiquement et criminellement défaillante. Les gauchistes vous parleront de fatalité, mais nous, nous vous parlerons de Projet Juif qui mène des guerres contre tous ceux qui s'opposent à leur domination économique mondiale. Ils travaillent à s'assurer le contrôle des pays développés dans ce bas monde en usant de tous les leviers de la culpabilisation occidentale: de l'Oh Low Cost à la Colonisation, en passant par l'humanisme béa des fonctionnaires de notre sangsue républicaine.

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