55 tonnes de cocaïne saisies dans les valises d'un juif. |
En 1985, et après une petite décennie passée à la tête du cartel de Medelin en tant que dirigeant de la branche import-export, Max Mermelstein négocia avec la justice américaine en témoignant contre ses anciens complices. On estime qu'il est responsable de l'acheminement d'au moins 55 tonnes de cocaïne vers les Etats-Unis, pour une valeur de 360 millions de $. (http://www.radioislam.org/thetruth/23drug.htm). Très curieusement, la ville de Medelin fut fondée par des juifs espagnols en 1616. Cocaïne en Amérique du Sud, Héroïne en Afghanistan, la drogue comme le terrorisme ne sont que des moyens de contrôle de pays, de populations, et en aucun cas des cibles à abattre.
Si les acteurs du trafic de l’opium semblent avoir changé, la CIA n’en a pas moins accru son emprise… et, depuis la fin de la guerre froide, sa connivence avec l’intégrisme musulman pour lequel le contrôle de l’opium est vital (http://www.contre-info.com/la-cia-et-lempire-de-la-drogue#more-27570). Le territoire afghan a vu depuis sa libération une augmentation de 59 % de sa production d’opium sur une superficie de 165 000 hectares. En termes de production annuelle, cela représente 6 100 tonnes, soit 92 % de la production mondiale. L’ONU rapporte que dans la province de Helmand, la culture de l’opium a augmenté de 162 % sur une superficie de 70 000 hectares. Ces statistiques sont d’autant plus alarmantes que ce sont seulement 6 des 34 provinces afghanes qui en sont productrices. Les Nations-Unies ont bien entendu proposé une aide au développement économique pour les régions non encore touchées par cette culture. Ce à quoi le président afghan Hamid Karsai a répondu de manière très explicite et franche que l’on devait d’abord réviser les succès du «camp anti-drogue»… Les Skulls and Bones, mais surtout les services secrets israélo-américains …. L’implication des Etats-Unis dans la production et la consommation de la drogue n’est pas récente. Pour en comprendre les raisons, il faut remonter plus de 150 ans en arrière, car elle fait partie intégrante de l’histoire des Etats-Unis et de celle des sectes supra-maçonniques. Des noms très célèbres apparaissent sur le devant de cette scène très macabre. Ce sont pour la plupart des membres de la société initiatique des Skull and Bones (Les Crânes et les Os) de l’Université de Yale qui se partagent le monopole de la commercialisation de l’opium. L’instigatrice de cet ordre est la famille Russell, érigée en trust. Les Russell en constituent encore l’identité légale. De quoi s’agit-il? En 1823, Samuel Russel fonde la compagnie de navigation Russell & Company qui lui permet de se ravitailler en Turquie en opium et d’en faire la contrebande avec la Chine. En 1830, avec la famille Perkins, il crée un cartel de l’opium à Boston pour sa distribution avec l’Etat voisin du Connecticut. A Canton, leur associé s’appelle Warren Delano jr, le grand-père de Franklin Delano Roosevelt. En 1832, le cousin de Samuel Russell, William Hintington, fonde le premier cercle américain des Skull and Bones qui rassemble des financiers et des politiques du plus haut rang comme Mord Whitney, Taft, Jay, Bundy, Harriman, Bush, Weherhauser, Pinchot, Rockefeller, Goodyear, Sloane, Simpson, Phelps, Pillsbury, Perkins, Kellogg, Vanderbilt, Bush, Lovett. D’autres familles influentes comme les Coolidge, Sturgi, Forbes, Tibie rejoindront cette nébuleuse fermée. Ces noms démontrent qu’au fil des générations la démocratie reste l’affaire de cercles pseudo-élitistes. Le pouvoir ne se partage pas!
A noter aussi que tous ces membres du Skull and Bones ont toujours entretenu des liens très étroits avec les services secrets judéo-américains… L’ancien président des Etats-Unis George Bush sr., ancien étudiant à Yale, a par exemple été directeur de la Central Intelligence Agency (CIA) en 1975-76. Ajoutons que pour cet établissement, tout a commencé quand quatre diplomates y ont formé le Culper Ring, qui est le nom d’une des premières missions des services secrets américains montée par George Washington dans le but de recueillir des informations sur les Britanniques pendant la Guerre d’Indépendance. En 1903, la Divinity School de Yale monte plusieurs écoles et hôpitaux sur tout le territoire chinois. Le très jeune Mao Tse Toung collaborera plus tard à ce projet. La diplomatie actuelle de ces deux pays en est-elle une des conséquences? Quoi qu’il en soit, le commerce de l’opium se développe. Son sous-produit, l’héroïne, est un nom commercial de l’entreprise pharmaceutique Bayer qu’elle lance en 1898. L’héroïne reste légalement disponible jusqu’à ce que la Société des Nations l’interdise. Paradoxalement, après sa prohibition, sa consommation augmente de manière exponentielle: on crée un besoin et une population dépendante ; des textes définissent ensuite les contours d’une nouvelle législation, fixent de nouvelles interdictions, afin d’accroître la rentabilité d’un produit ou le cas échéant d’une drogue. L’implication des hauts commandements militaires …. Imitant leurs homologues américains, les services secrets français développent en Indochine la culture de l’opium. Maurice Belleux, l’ancien chef du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE), confirme le fait lors d’un entretien avec le Pr Alfred Mc Coy: «Les renseignements militaires français ont financé toutes les opérations clandestines grâce au contrôle du commerce de la drogue en Indochine.» Ce commerce sert à soutenir la guerre coloniale française de 1946 à 1954. Belleux en révèle le fonctionnement. Nos paras sont contraints de prendre l’opium brut et de le transporter à Saïgon à bord d’avions militaires, où la mafia sino-vietnamienne le réceptionne pour sa distribution. Nous constatons une fois encore que la République n’a aucune honte à souiller la nation. De leur côté, les organisations criminelles corses, sous couvert du gouvernement français, réceptionnent la drogue à Marseille pour la transformer en héroïne avant sa distribution aux Etats-Unis. C’est la French Connection. Les profits sont placés sur des comptes de la Banque centrale. M. Belleux explique que la CIA a récupéré ce marché pour en continuer l’exploitation en s’appuyant au Vietnam sur l’aide des tribus montagnardes. Cet élément doit être conjugué à l’évidente supériorité de l’armée américaine pendant la guerre du Vietnam. Une seule année aurait suffi pour que les Etats-Unis remportassent ce conflit. Mais cette logique n’est pas celle des Affaires étrangères et des cercles d’influence mondialistes. En 1996, le colonel Philip Corso, ancien chef de l’Intelligence Service ayant servi dans les troupes commandos d’Extrême-Orient et en Corée, déclare devant le National Security Council que cette «politique de la défaite» entrait dans les plans de la guerre froide. C’est après 1956 que le colonel Corso, assigné au Comité de coordination des opérations du conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, découvre cette politique de la «non-victoire» opérée au profit de la guerre froide et de l’expansion du communisme. En revanche, la lutte pour le monopole de l’opium s’intensifie. Dans ce trafic, nous trouvons des militaires appartenant au haut commandement de l’armée vietnamienne, comme le général Dang Van Quang, conseiller militaire du président Nguyen Van Thieu pour la sécurité… Quang organise un réseau de stupéfiants par l’intermédiaire des Forces spéciales vietnamiennes opérant au Laos, un autre fief de la CIA. Le général Vang Pao, chef de tribu des Meo, reçoit l’opium à l’état brut cultivé dans toute la partie nord du Laos et le fait acheminer à Thien Tung à bord d’hélicoptères appartenant à une compagnie de la CIA, Air America. Thien Tung est un énorme complexe construit par les Etats-Unis. Il est appelé le «Paradis des espions». C’est ici que l’opium du général Pao est raffiné pour devenir de l’héroïne blanche. La CIA intervient à ce stade de la fabrication pour sa distribution. Et Vang Pao dispose à cet effet d’une ligne aérienne personnelle. Dans le milieu, elle est nommée «Air Opium». De l’héroïne dans le cercueil des GI’s! Les points essentiels du trafic sont établis à proximité des bases aériennes américaines comme celle de Tan Son Nhut. Une partie de la drogue est d’ailleurs destinée à la consommation des militaires américains. Chapeauté par les réseaux de Quang, la plus grande part de la production est expédiée à Marseille d’où elle part à Cuba, via la Floride. Là-bas, le gang des Santos Trafficante contrôle le marché. Ce détour est essentiel; il faut récupérer les paquets d’héroïne dissimulés à l’intérieur des corps des soldats américains morts que l’on rapatrie. De plus, leur sort indiffère les représentants politiques. Le secrétaire d’Etat Henri Kissinger déclarera aux journalistes Woodward et Berristein du Washington Post que «les militaires sont stupides, ils sont des animaux bornés dont on se sert comme des pions pour les intérêts de la politique extérieure». Les bénéfices seront investis en Australie, à la Nugan Hand Bank. Le cas du Cambodge est semblable à celui de ses voisins. Après son invasion par les Etats-Unis en mai 1970, un autre réseau voit le jour. Des régions entières sont destinées à la culture de l’opium. La contrebande est contrôlée par la marine vietnamienne. Elle dispose de bases à Phnom Penh et le long du Mékong. Une semaine avant le début des hostilités, une flotte de cent quarante navires de guerre de la Marine vietnamienne et américaine commandée par le capitaine Nyugen Thaanh Chau pénètre au Cambodge. Après le retrait des troupes américaines, le général Quang, considéré dans son pays comme un grand trafiquant d’opium, séjourne quelque temps sur la base militaire de Fort Chaffee dans l’Arkansas, et s’installe à Montréal. Concernant la Birmanie, elle produit en 1961 quelques mille tonnes d’opium, que contrôle Khun Sa, un autre valet de la CIA. Le gouvernement américain est son unique acquéreur.
L’éradication de la concurrence..... Devons-nous croire aux principes d’une politique anti-drogue? En 1991, le Pr Alfred Mc Coy dénonce à la radio un rapport institutionnel volontairement trop proche entre le Drug Enforcement Administration (DEA) et la CIA. Avant la création de ce premier organisme, dans les années 1930, est fondé le Federal Bureau of Narcotics (FBN) qui a pour fonction gouvernementale et secrète la vente des narcotiques. Le FBN emploie des agents dans le cadre d’opérations clandestines. Ils seront transférés après 1945 dans le nouvel Office of Strategic Services (OSS), précurseur de la CIA. Ces imbrications rendent impuissant le DEA contre les magouilles de la CIA. Car la drogue qui entre aux Etats-Unis est sous le monopole de la CIA qui en détient tous les circuits de distribution depuis le sud-est asiatique et la Turquie. Quand, en 1973, le président Richard Nixon lance « la guerre à la drogue », il provoque la fermeture du réseau de la contrebande turque qui passait par Marseille. Le résultat en est une augmentation directe de la demande d’héroïne provenant du Triangle d’Or et particulièrement de Birmanie. Aujourd’hui, nous avons suffisamment de recul pour nous interroger lucidement et remettre en doute le rôle officiel de la CIA et la politique des Etats-Unis dans le monde. Nous observons que le commerce de l’opium et des autres drogues, par des cartels dont les populations blanches et européennes sont la cible, s’opère depuis toujours entre la CIA et des partenaires présentés au grand public comme des «ennemis à abattre»: le communisme et l’Islam. Cet état de fait est d’autant plus grave qu’il intervient après les événements du 11 Septembre 2001, le conflit du Kosovo dont l’emblème national sous Tito était un pavot, et l’invasion de l’Irak par l’armée américaine. La CIA et la drogue apparaîtraient donc comme les piliers cachés mais bien réels d’une stratégie mondialiste ayant pour but l’asservissement des peuples. Enfin, les arguments étudiés prouvent d’une part que le pouvoir n’est pas l’affaire du peuple et d’autre part, que notre actualité et notre avenir ne sont pas le fruit du hasard, mais le résultat de plans mis en œuvre secrètement par des groupes d’influence extrêmement dangereux. Comme nous trouvons cet article de Laurent Glauzy pas assez explicite sur les réels commissionnaires de ce trafic, nous avons décidé de poursuivre chez Egalité et Réconciliation (http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-opium-en-Chine-1088.html).
Ce sont des marchands arabes qui introduisirent l’opium en Chine, en tant que médicament, durant la dynastie des Tang (619-907), ou durant la dynastie des Song (960-1279). Durant la dynastie Qing, ou Mandchoue (1644-1912), des édits impériaux, visant les Portugais et les Britanniques, et mettant hors la loi tant le tabac que l’opium, furent publiés en 1729, en 1780, en 1796 et enfin en 1800. Dans les années 1820, la Compagnie britannique des Indes orientales commença à exporter de l’opium produit en Inde vers la Chine en grande quantité, mais elle se retira peu après de ce marché, en en confiant la franchise à la compagnie Jardine, Matheson and Co., fondée en 1832 par les deux Écossais qui lui donnèrent sa raison sociale. Durant les premières décennies du dix-neuvième siècle, des juifs originaires de Bagdad commencèrent à arriver aux Indes. Parmi les familles qui allaient atteindre une indéniable prééminence tant à Bombay qu’à Calcutta, notons les Kadouri, les Cohen, les Ezra, les Solomon, les Gubbay, les Elias et, surtout, les Sassoon. David Sassoon (1792-1864), fuyant l’oppression de Daud Pasha, le gouverneur (ottoman) de Bagdad, arriva à Bombay en 1832, où, empruntant 10 000 roupies, il se lança dans le tissage, la culture et le transport du coton, mais aussi dans la culture de l’indigo et du pavot à opium. Voilà qui plaça la David Sassoon and Co. en compétition directe avec la Jardine, Matheson and Co. Signalons au passage qu’une autre compagnie, impliquée dans la production et le commerce de l’opium, la Russell and Co., avait notamment dans ses actionnaires le grand-père du président américain Franklin Delano Roosevelt, ainsi que plusieurs mécènes ayant financé les universités Princeton et Columbia. Dans les années 1830, le commissionnaire de l’empereur Daoguang en matière d’opium, Lin Zexu, prit des mesures visant à mettre un terme au trafic, à punir les trafiquants et à désintoxiquer et réadapter socialement les opiomanes. Les entrepreneurs en opium britanniques et juifs, rejetant d’un revers de manche les mesures prises par Lin, n’y voyant que pitié déplacée, et s’abritant derrière le sophisme selon lequel le fait de vendre de l’opium sur le pont de navires ancrés au large des ports n’aurait pas été constitutif de contrebande (!), poursuivirent leur commerce. Cela entraîna la Première Guerre de l’opium (1839-1842), conclue par le traité de Nankin, imposé à la Chine par la Grande-Bretagne victorieuse. Aux termes de ce traité, des réparations de guerre devaient être versées par la Chine aux Britanniques, et Hong-Kong leur était cédée. Toutefois, l’opium restait illégal. Vers 1850, la David Sassoon and Co. était sur un pied d’égalité avec la Jardine, Matheson and Co. En 1851, la révolte Taiping, dirigée par Hong Xiuquant, lequel était inspiré par les enseignements du christianisme, éclata dans la province du Guizhou, et fit rapidement tache d’huile en direction de l’Est, jusqu’à rejoindre la mer de Chine. Bien que visant au premier chef au renversement des gouvernants mandchous, et donc non-chinois, de la Chine, les rebelles avaient notamment adopté l’objectif de débarrasser le pays du fléau de l’opium. D’un côté, les Britanniques (sans doute conseillés en cela par les juifs), œuvrèrent afin d’apaiser la rébellion, de crainte de perdre leur lucratif commerce de l’opium. Mais sur un autre front, ils firent ouvertement la guerre. La Deuxième Guerre de l’opium (1858-1860) aboutit au traité de Tianjin, signé en 1858. La mise en œuvre de ce traité eut le don de faire se prolonger la guerre jusqu’en 1860. Ce traité « légalisait » l’opium, c’est-à-dire qu’il ne l’interdisait pas spécifiquement. En 1864, cette rébellion Taiping, une des guerres civiles les plus sanglantes de toute l’histoire de l’humanité, ayant causé plus de trente millions de morts, prit fin. Il serait exagéré d’affirmer que cette rébellion avait été causée par les Britanniques ou par les juifs. Reste que le fait qu’ils aient continué à réaliser des profits astronomiques durant ce conflit intestin n’est pas vraiment quelque chose à porter à leur crédit. Bien que les cultures d’opium eussent fait leur apparition en territoire chinois, à cette époque-là, les Britanniques et les juifs en expédièrent par bateau non moins de 4 800 tonnes, en 1859. Vers 1880, ce chiffre atteignit le chiffre astronomique de 6 700 tonnes. La compagnie David Sassoon and Co., désormais entre les mains de ses héritiers et ayants droits, s’était arrogée plus de 70 % du commerce de l’opium, et un certain nombre de compagnies juives, elles aussi avaient été créées. Dans le dernier quart du dix-neuvième siècle, la Jardine, Matheson and Co. et les autres compagnies britanniques furent évincées du business de l’opium par la concurrence juive, et elles durent soit se diversifier, soit boire le bouillon. Vers 1900, en Chine, l’opium était virtuellement un monopole juif. Aussi, à partir de 1858, Sassoon commença à vendre de l’opium au Japon, à Nagasaki et à Yokohama, où son entreprise décida d’ouvrir une succursale. Vers 1900, il y avait, estime-t-on, au minimum vingt-cinq millions d’opiomanes en Chine. En 1907, le Bengale et les Provinces Unies cultivèrent, eux aussi, produisirent quelque 3 600 tonnes d’opium, produites par leurs champs de pavot. Cet opium fut intégralement exporté, par bateau, vers la Chine. La Commission de Shanghai sur l’opium, ratifiée par Teddy Roosevelt, en 1908, en vue de régler ce problème, qui était devenu de notoriété mondiale, aboutit à la Convention internationale sur l’opium de La Haye, signée en 1912. Mais ce n’est qu’en 1919 que le dernier ballot d’opium fut détruit par le feu, et que les juifs bagdadiens furent contraints de rentrer dans la légalité, après avoir accumulé des fortunes fabuleuses. Par Thomas Keyes
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