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En France, les Judarabes persécutent les Nationistes.

Суббота, 23 Марта 2013 г. 13:25 + в цитатник

Serait-ce la revanche des Séfarades contre les Ashkénazes? A l'image d'une Véronique Genest (alias Véronick Boukobza) trop franche dans sa haine du bougnoule,  politiquement morte-née sur le plateau de l'émission de Laurent Ruquier (le seul qui ne touchera jamais à la ménagère de moins de 50 ans!).  Ou d'un Nicolas Sarkozy, certes coupable de multiples crimes et prises d'intérêts, mais rattrapé (de manière fortuite) par les griffes de la justice, sous la délectation suprême de notre gauche Caviar & Cités représentée par la litanie de parasites, de Taubira à Harlem Désir en passant par Cécile Duflot, Jew-Luc Mélenchon ou David Assouline. Le gouvernement socialiste chercherait'il à détourner l'attention du peuple sur les problèmes économiques en proposant un peu de sang bleu. (http://www.lepoint.fr/politique/mise-en-examen-de-...rete-22-03-2013-1644156_20.php)

Nicolas Sarkozy est acclamé comme le juif prodigue./5046362_Acclamazions (658x700, 199Kb)Notre ex-président aurait abusé quelques petites vieilles, pour fouiller sous le matelas. La droite se dit choqué, et crache sur la justice, pendant que la gauche essuie. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a même estimé que les attaques émanant de l'UMP n'étaient "pas dignes d'hommes et de femmes politiques républicains". La ministre de la Justice Christiane Taubira a tenu à assurer les magistrats de son soutien et à rappeler que l'indépendance de l'autorité judiciaire est "garantie par la Constitution", précisant: "Les juges d'instruction sont des magistrats du siège qui assurent leur mission en toute indépendance et conformément au droit." Le porte-parole du Parti socialiste, David Assouline, a estimé que l'objet de la mise en examen de Nicolas Sarkozy était "grave pour un ancien président de la République", tout en appelant au respect de la présomption d'innocence. "On peut défendre la présomption d'innocence sans dénigrer la justice", a répliqué à l'UMP, sur Twitter, le député Olivier Faure, proche du Premier ministre Jean-Marc Ayrault. De même, Harlem Désir, numéro un du PS, a jugé "insupportable" de laisser entendre que la justice ne fait pas son travail dans le dossier Meyers-Bettencourt contre Sarkozy, de "mettre en cause la probité et l'indépendance des juges". Sur Canal+, le premier secrétaire a mis en garde la droite contre toute "pression".

SOS Sionisme ne fait pas dans la dentelle de Palestiniens./5046362_Flotteur (700x589, 211Kb)"Je dis que c'est normal", a déclaré, pour sa part, la ministre du Logement Cécile Duflot, interrogée vendredi matin sur la mise en examen de Nicolas Sarkozy dans le cadre de l'affaire Meyers-Bettencourt. Cette mise en examen, prononcée la veille, signifie que "la justice fait son travail librement", a estimé la ministre sur BFTM TV/RFM, critiquant les "cris d'orfraie" des proches de Nicolas Sarkozy. Jew-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de gauche, a lui aussi insisté sur le motif de la mise en examen "extrêmement grave moralement". Pour lui, "la racine des problèmes est dans un modèle démocratique où l'argent règne sur tout". "Vivement l'heure du coup de balai général sur le système et la refondation de notre République", a-t-il ajouté dans un message adressé à l'Agence France-Presse. Pourtant, Sarko avait beaucoup fait pour les étrangers, mais sans doute pas assez du point de vue de certains.

Nicolas Sarkozy a trop fait pour la banlieue, sauf d'y habiter./5046362_SecuritTelavie (700x684, 256Kb)
Porte-parole de Nicolas Sarkozy pendant la campagne pour l'élection présidentielle, Nathalie Kosciusko-Morizet a fait part vendredi de son désarroi: "Comme beaucoup de Français, c'est avec une grande incompréhension que j'ai appris hier la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Il ne m'appartient pas de commenter l'opportunité d'une telle décision mais rien ne me paraît plus difficile à croire qu'imaginer Nicolas Sarkozy se livrer à un abus de faiblesse sur une vieille dame." Premier à donner le ton à l'UMP , le député Lionnel Luca, par un tweet accusateur: "La seule chance de FH (François Hollande) en 2017, c'est d'éliminer par tous les moyens la possibilité d'une candidature du seul adversaire qui peut le battre." En moins de 140 caractères, Lionnel Luca a mis en cause le vainqueur de Nicolas Sarkozy le 6 mai dernier, ouvrant la porte à la théorie du complot. Un credo repris, avec moins de virulence toutefois, par Geoffroy Didier, coprésident du collectif UMP La droite forte, qui s'est dit sur BFM TV "choqué" par "l'acharnement judiciaire contre Nicolas Sarkozy". Pour lui, il y a "un traitement à part à l'endroit de Nicolas Sarkozy, un homme parfaitement intègre". "Sans doute pour avoir dit un certain nombre de vérités, sans doute pour avoir condamné les dérives du milieu judiciaire, aujourd'hui, certains ont décidé de régler des comptes personnels avec Nicolas Sarkozy", a-t-il accusé. Le plus dangereux dans cette histoire est l'apparition de la Théorie du complot, qui de plus en plus souvent vient concurencer le point Goldwyn. Sur la même ligne, l'ex-ministre et président de l'association des Amis de Nicolas Sarkozy Brice Hortefeux a estimé vendredi que la mise en examen de l'ancien chef de l'État tombait étrangement "bien à propos". Dans un message sur le site de l'association, Hortefeux souligne: "Depuis maintenant plusieurs semaines, au travers de plus d'une dizaine d'enquêtes d'opinion allant toutes dans le même sens ou encore la multiplication impressionnante des adhésions que nous enregistrons, une confiance croissante envers Nicolas Sarkozy apparaît clairement et fortement. Or, aujourd'hui, alors qu'après les perquisitions multiples et des auditions particulièrement longues tout paraissait clarifié, voici qu'une mise en examen bien à propos voudrait remettre en cause cette confiance grandissante. Comment ne pas y voir l'acharnement de quelques-uns, de tous les instants, qui, d'ailleurs, ne peut me surprendre tant il est apparu constant et permanent tout au long de ces dernières années? Comment ne pas s'étonner d'un traitement aussi exceptionnel et exclusivement à charge?" Christian Estrosi, député-maire UMP de Nice et membre de l'association Les Amis de Nicolas Sarkozy, a dénoncé des "méthodes au relent politique évident" en ajoutant toutefois "espérer que la justice de notre pays ne permettra pas longtemps encore l'instrumentalisation de cette affaire". Il a fait remarquer que la mise en examen de Nicolas Sarkozy était intervenue "48 heures après la mise en cause d'un ministre socialiste", Jérôme Cahuzac, contraint de démissionner de son poste de ministre du Budget. "Sans doute pour faire compensation", a glissé Christian Estrosi. L'ancien Premier ministre UMP François Fillon a, lui, estimé que la mise en examen de Nicolas Sarkozy était "aussi injuste qu'extravagante". "Je suis stupéfait par cette décision de mise en examen qui m'apparaît aussi injuste qu'extravagante", a écrit François Fillon dans un message à l'Agence France-Presse. Henri Guaino, proche de Nicolas Sarkozy, a déclaré que le juge Jean-Michel Gentil avait "déshonoré la justice" en mettant en examen l'ex-chef de l'État pour abus de faiblesse. "Je conteste la façon dont il fait son travail", a lancé le député UMP et ex-conseiller spécial de Nicolas Sarkozy à l'Élysée sur Europe 1. "Je la trouve indigne, je trouve qu'il a déshonoré un homme, les institutions, la justice. Est-ce qu'on pouvait imaginer une qualification plus grotesque, plus insupportable?" s'est emporté l'élu des Yvelines. "Aucun homme sensé dans ce pays ne peut imaginer un instant que Nicolas Sarkozy s'est livré sur cette vieille dame richissime à un abus de faiblesse. Ce serait risible si cela ne salissait pas l'honneur d'un homme qui, ayant été président de la République, entraîne dans cette salissure la France et la République elle-même", a tonné l'ancienne "plume" de Nicolas Sarkozy.

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