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Stéphane Hessel nous a quitté!

Четверг, 28 Февраля 2013 г. 07:21 + в цитатник

Rien ne peut dépasser la $hoah!/5046362_Starwarrior (700x586, 227Kb)Stéphane Hessel est connu du grand public pour ses prises de position concernant les droits de l’homme, le problème des «sans-papiers» et le conflit israélo-palestinien, ainsi que pour son manifeste "Indignez-vous!", paru en 2010, au succès international. Il naît à Berlin durant la Première Guerre mondiale. Son père, l'essayiste et traducteur allemand Franz Hessel, est le troisième fils d'Heinrich Hessel, polonais d'origine juive, ayant fait fortune dans le commerce des grains. La famille est installée à Berlin depuis 1889 et est parfaitement assimilée (elle mange du porc). Franz est baptisé dans la religion luthérienne. Sa mère, Helen Grund, est la fille cadette d'un banquier d'origine silésienne dont la famille a eu du mal à accepter l'origine juive de Franz. Helen est l'héroïne anticonformiste de Jules et Jim, le roman autobiographique d'Henri-Pierre Roché racontant l'histoire du trio amoureux formé par Henri-Pierre («Jim»), Helen («Kathe») et Franz («Jules»). Cette histoire a été popularisée par le film de François Truffaut, où le rôle féminin («Catherine») est interprété par l'actrice Jeanne Moreau. Dans l’œuvre, en grande partie inédite, de Roché, Stéphane Hessel est figuré par le personnage de Kadi. Stéphane Hessel voit son père comme un homme merveilleusement bon, sage, érudit mais avec lequel il gardera peu de contacts. Il se sent plus proche de sa mère dont il admire l'irrespect et l'ingéniosité. Il la voit comme un être brillant, exigeant et volontaire. En mars 1944, il est déposé à Saint-Amand-Montrond dans le cadre de la mission Gréco pour organiser la dispersion des émetteurs de la résistance. Dénoncé sous la torture par un compagnon de lutte, il est arrêté à Paris le 10 juillet et sous le supplice de la baignoire, il parle à son tour. Le 8 août, il est déporté, en même temps que trente-six autres agents secrets britanniques, français et belges, en train, à Buchenwald, où ils sont détenus au bloc 17. Seize d'entre eux sont pendus le 11 septembre, onze autres sont exécutés le 5 octobre. C'est alors que deux prisonniers, l'opposant allemand Eugène Kogon, et le résistant Alfred Balachowsky, qui avaient été affectés aux expériences médicales (essais cliniques de médicaments contre le typhus avec injections de l'agent pathogène), obtiennent la complicité du kapo Arthur Dietzsch et du médecin du camp pour opérer des substitutions entre des agents secrets condamnés à mort et des prisonniers morts du typhus. Trois prisonniers sont ainsi sauvés: Forest Yeo-Thomas, Harry Peulevé et Stéphane Hessel. Stéphane Hessel prend alors l'identité de Michel Boitel, mort du typhus le 20 octobre 1944. Il est transféré à Rottleberode dans le Harz comme comptable dans l'usine de trains d'atterrissage. En janvier 1945, après une tentative d'évasion ratée, il est transféré à Dora où il échappe de peu à la pendaison et où il est affecté au nettoyage du camp. L'avancée des armées américaines provoque, le 4 avril, le transfert du camp vers Bergen-Belsen. Dans le train en marche, se prenant pour Mac Gyver, il démonte deux lattes du plancher, glisse entre les bogies, rejoint les lignes américaines à Hanovre. C'est de son régiment américain qu'il est renvoyé à Paris où il arrive le 8 mai 1945. Selon l'historien Sébastien Albertelli, Stéphane Hessel sera par la suite l'une des deux personnes à trier les archives du BCRA avant leur ouverture partielle. Il entre au Quai d’Orsay en 1945 et fait une partie de sa carrière diplomatique auprès des Nations unies (dont le siège est à l’époque installé en France, à Paris au Palais de Chaillot) où il assiste comme témoin privilégié à la constitution de la charte des droits de l’homme et du citoyen. Homme de gauche et européen convaincu, il est ami de Pierre Mendès France et Michel Rocard. Notre avis est qu'il a eu de la chance de survivre à deux camps de la mort, la substitution des identités étant assez répandue dans le monde carcéral nazi (voir Simone Veil, Elie Weisel, et puis les cousins d'Anne Frank). Par contre son histoire de testage de dose de Typhus, c'est plus difficile à croire. Mais bon, chez tous les héros, il faut une part de mythe! Pour nous, il restera un excellent journaliste, doublé d'un sublime talent pour la photographie.

Paparazzi à Auschwitz./5046362_Paparazzi_Auschwitz (700x691, 370Kb)Malheureusement, tous ces hommages ont été souillés par la fiente sioniste de quelques dégénérés (http://jssnews.com/2013/02/27/hessel-il-puait-des-bras-il-pue-le-mort). Voici leur point de vue: Avant toute chose, que les choses soient claires: je n’ai pas pour habitude de me réjouir de la mort de quelqu’un. Surtout quand il s’agit d’un vieillard malade, tant au niveau physique que psychologique. Mais là, franchement… C’est Stéphane Hessel! C’est le mec qui puait le plus (non pas des aisselles mais de ses doigts inquisiteurs à l’égard des juifs d’Israël). Ce papi qui dénonçait la présence de juif en Israël (la Palestine devrait être purifiée de ses juifs), auteur de «Indignez-vous!», est mort dans la nuit de mardi à mercredi à l’âge de 95 ans. Il faut croire que ce faussaire de l’histoire a fait son temps. L’ancien diplomate et résistant, « est mort dans la nuit », a confirmé son épouse Christiane Hessel-Chabry. Totalement silencieux sur les massacres en Syrie qui ont fait plus de70.000 morts, sur les exactions dont sont victimes les Chrétiens dans le monde musulman depuis le pseudo printemps arabe, l’apôtre de l’indignation à 3€10 avait repris, il y a peu, son bâton de pèlerin pour diaboliser, comme à sa sacre sainte habitude, Israël, dans son dernier livre «Le rescapé et l’exilé» co-écrit avec son grand ami et diplomate palestinien, Elias Sambar. Selon l’Elu des médias, «l’antisémitisme est un sentiment totalement naturel» pour les Juifs. Nous ne sommes plus dans une simple critique de la politique de l’Etat d’Israël mais dans une abjecte et sournoise accusation que l’antisémitisme serait de la faute des Juifs de par leur vision erronée d’eux sur les autres. Non, l’antisémitisme n’est pas un sentiment, monsieur Hessel, mais une menace constante, une épée de Damoclès au-dessus de tous Juifs, enfants ou adultes. Le massacre commis à l’école Ozar HaThora de Toulouse ayant couté la vie à trois jeunes enfants juifs et à leur maître nous le rappelle, hélas, tragiquement. En 2011, agacé par des questions qui le dérangeaient, il avait été filmé à deux doigts de cogner sur un jeune militant des droits de l’homme. A présent qu’il n’est plus, espérons que l’odeur de mort qui l’entoure ne va pas étouffer la France sous une nouvelle vague d’Indignation sélective. Par Avi Retschild – JSSNews

On sait tous pourquoi ils visitent Auschwitz!/5046362_DieuGrands (700x558, 175Kb)

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