L'important n'est pas de savoir si c'est moral de manger tel animal ou pas, mais plutôt de savoir dans quelles conditions d'hygiène je vais le déguster? L'histoire des lasagnes a prouvé qu'au nom du profit, l'on peut faire rentrer dans la chaîne alimentaire industrielle tout et n'importe quoi, et cela en toute impunité. Là où vous pensez payer la qualité, vous payez seulement pour des intermédiaires qui ont baladé la bidoche premier prix à travers toute l'Europe dans un temps plus ou moins long suivant les cours de la «bourse». Situation assez incompréhensible aux vues de tous les contrôles sanitaires qui sont censés être effectués à l'intérieur de nos frontières communes. Mais encore une fois, les contraintes européennes sont destinées aux gens du bas de l'échelle (c'est à dire nous), aux éleveurs qui doivent pucer leurs animaux, leurs fournir des carnets de santé, mais pas à ceux qui pratiquent la liberté de commerce. Ce fut du cheval, et ils en ont fait un scandale en espérant cacher la véritable bombe à retardement qui est la contamination  de la viande par les matières fécales dans les abattoirs Kashers et Allals qui pullulent à travers l'Europe. Par complaisance des autorités vis à vis d'une immigration étrangère massive, et par profit rapide de quelques entrepreneurs juifs, la chaîne alimentaire ainsi polluée, devient source potentielle d'intoxications qui peuvent tuer par des germes nocifs tels que l'e-coli les personnes les plus faibles physiquement. Les adeptes de la théorie du complot pourront mettre en parallèle ces empoisonnements voulus avec le business des puissants lobbys pharmaceutiques, et le contrôle de la population mondiale tant désirée par une certaine élite. Voici un communiqué de la fondation Brigitte Bardot sur les rites halal et casher qui accentuent le risque E.coli (https://cindy23401.wordpress.com/category/politiqu...alal-accentue-le-risque-e-coli). Le 10 novembre 2010, sept organisations françaises de protection animale* alertaient les autorités, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée Nationale, sur les risques sanitaires graves dus à la présence de germes d’origine digestive, comme les E. coli, présents dans les steaks hachés. Cette infection des viandes est accentuée par la généralisation de l’égorgement rituel des bêtes car l’impossibilité matérielle de ligaturer l’œsophage des animaux entraîne un «épanchement de matières stercoraires en provenance de l’estomac qui s’écoulent à travers la section béante de l’œsophage». La Fondation Brigitte Bardot a remis, fin 2010, aux ministres de l’Agriculture et de l’Intérieur, ainsi qu’au Chef de l’État, le dossier de presse «De la souffrance des animaux… à la tromperie des consommateurs» dans lequel l’alerte est donnée (pdf): «Certains germes d’origine digestive pouvant être très pathogènes pour l’homme risquent ainsi d’être retrouvés dans des pièces de découpe (collier notamment) ou dans des steaks hachés préparés avec celles-ci. Avec l’abattage rituel, il y a donc un danger potentiel pour la santé humaine, tout particulièrement pour les enfants, les personnes âgées et les populations immunodéprimées». Ces propos ont été confortés par la déclaration de Pascale Dunoyer, Chef du bureau des établissements d’abattage à la Direction Générale de l’Alimentation, dans le bulletin de l’Académie Vétérinaire de France: «Des pratiques liées à la mise en œuvre du rituel d’abattage peuvent avoir des conséquences en termes de salubrité et de sécurité des carcasses. Nous pouvons citer à ce titre le tranchage de la trachée et de l’œsophage qui peut provoquer le déversement du contenu gastrique (voire pulmonaire) sur les viandes de têtes, de gorge et de poitrine». Face à ces mises en garde répétées et à l’attitude irresponsable des autorités devant ce grave problème de salubrité publique et de protection animale, la Fondation Brigitte Bardot demande au ministre de l’Agriculture de rendre publique les méthodes d’abattage des animaux en France et de ne plus s’opposer, comme il le fait actuellement, à la mise en place d’une traçabilité pour le consommateur via un étiquetage européen. * Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs, Fondation Brigitte Bardot, Confédération Nationale des SPA de France, Conseil National de la Protection Animale, Fondation Assistance aux Animaux, Protection Mondiale des Animaux de Ferme, Société Nationale pour la Défense des Animaux. Pour continuer votre enquête sur le monde des abattoirs clandestins, voici un excellent livre sur le Blood Libel, et tous les sacrifices humains non déclarés au Fisc (par Ariel Toaff).

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