Vous avez tous dû vous apercevoir que les médias d'information traversent une mauvaise passe, pas celle à 30 euros au Bois de Boulogne, non, celle à 55 millions d'euros au Bordel de l'Elysée. Les mauvaises langues diront: "Pourquoi payer pour quelque chose que l'on peut avoir gratuitement?", quelle honte de penser ainsi, c'est insulter le grand travail du journaliste qui s'est creusé les méninges, pendant des heures, pendant des jours, pour censurer, retravailler les mots, changer les noms, insulter les ennemis d'Israël. Sur ce site, nous demandons le respect des auteurs, et de tous leurs articles.....

Et heureusement que nous ne sommes pas seuls, Tancrède Lenormand nous rejoint dans notre lutte, celle d'une information qui nous coûte la peau des fesses, mais qui reste objective suivant les valeurs de la République. (https://penserrendlibre.wordpress.com/2013/02/16/m...e-pour-la-liberte-de-la-presse). Médiapart doit faire du bon boulot pour le Système en place et notamment l’État républicain puisque ce dernier verse à Médiapart la modique somme de 200 000 €, contre 249 000€ pour Rue89 fondé par son co-religionnaire Pierre Haski. Naturellement il s’agit d’argent publique que les donneurs de leçon bobos gauchisants de Médiapart et de Rue89 acceptent sans broncher. Malgré cela, Médiapart et son co-fondateur, Edwy Plenel ont eu la chutzpah, pardon, le culot d’organiser une conférence à Marseille pour dénoncer la main-mise de Bernard Tapie sur la presse locale. Pour mobiliser la Gôche populaire, éternelle cocu du Système, les patrons des journaux en ligne subventionnés comme Médiapart se sont transformés pour la cause en histrions révolutionnaires et ont ressorti les bons vieux slogans qui font mouche à tout les coups dans les milieux gauchistes : Et c’est au cri de « face à Tapie, libérons la presse! » qu’ils ont rallié quelques centaines d’Idiots bien utiles au Système. Les journaux n’aiment pas qu’on dévoile ces chiffres, surtout quand des centaines d’usines ferment les portes sans autres considération de l’État. En trois ans, Le Monde a cumulé plus de 55 millions d’euros d’aides, directes et indirectes, a calculé le ministère de la culture et de la communication. Sans cette manne financière contraire aux principes libéraux, les grandes enseignes journalistiques auraient déjà fermé boutique. Comment cela ce fait-t-il que seules les banques et les médias qui maintiennent le courant de pensée officielle soient sauvés de la faillite par l’État? C’est bien simple. Les banquiers sont les patrons des politiciens et les médias sont là pour orienter le vote des électeurs. Il suffit de beaucoup d’argent et de l’appui des médias pour faire un président. Etienne Chouard, enseignant et chercheur sur la démocratie, a expliqué clairement que le candidat qui bénéficiait du plus long temps d’antenne était le vainqueur. Certains Français, notamment ceux qui lisent l’ont compris. C’est pour cela qu’ils n’achètent plus les journaux, mais qu’ils se tournent vers les sources d’informations alternatives. Autre conséquence de l’abrutissement et de la crétinisation des esprits voulu et organisée, la majorité des citoyens ne lisent plus. Ils préfèrent rester étalés devant leur poste de télévision, incapables qu’ils sont devenus, de réfléchir. Les journaux aux ordres sont donc moribonds, mais ils faut les alimentés en fric coûte que coûte, de toute façon c’est toujours le contribuable qui paye.