Méfiez-vous, les 9 et 10 février, l’Ecole Normale Supérieure sera en quarantaine! |
La $hoatite est une forme de délire collectif qui enfièvre les illuminés de la $hoah. Chez ceux qu’elle frappe, elle provoque des manifestations d’intolérance et de violence à l’égard du reste de l’humanité. Pour la plupart, ceux qui en sont principalement affectés s’imaginent appartenir à un peuple d’élite choisi de Dieu et doté d’un supplément d’âme, d’intelligence et de cœur: le peuple juif. Ils s’estiment les victimes, depuis l’aube des temps, d’une inexplicable haine universelle. Le fait est qu’en tout temps, tout lieu, tout régime ils ont d’abord été plus ou moins bien reçus par leurs hôtes, puis, peu à peu, leurs hôtes ne les ont plus tolérés et sont allés jusqu’à décider de leur expulsion. Par la suite, les «victimes», donnant à leurs souffrances une dimension épique, ont créé une saga sans fin où on les voit, telles des offrandes à Yahweh, brûler, à cause de leurs ennemis, du feu d’un éternel Holocost. Bref, à les en croire, Yahweh «gâte» les juifs dans tous les sens du terme. Au vingtième siècle, une nation hautement civilisée, l’Allemagne, leur a d’abord permis de se développer en son sein et de prospérer. Mais, finalement, comme tant d’autres auparavant, cette nation s’est encolérée contre «le peuple élu». Selon la thèse historique officielle, durant la Seconde guerre mondiale les Allemands auraient décidé, organisé et tenté l’anéantissement physique des juifs d’Europe (et même des juifs d’Afrique du Nord, selon l’Holocost Memorial Museum de Washington). Cette thèse née de la propagande de guerre, certains historiens juifs ont d’abord essayé de la défendre sur le plan historique et scientifique. Mais ils se sont rendu compte que, sur ce plan-là, il n’existait aucune preuve de leurs assertions sans compter, disons-le, qu’un grand nombre de faits infligeaient un net démenti à ladite thèse; tout au plus ces historiens pouvaient-ils invoquer des «témoignages» à l’appui de leurs incroyables accusations. Ils se sont donc mis au service de ce qu’ils ont appelé «la Mémoire», c’est-à-dire d’un amas d'élucubrations, toutes plus échevelées les unes que les autres, à base essentiellement de grils, de pals, de fours, de fumées, d’eau bouillante, de gaz, d’électricité, d’air comprimé, de chaux vive, de poisons divers. Ils se sont aussi tournés vers le cinéma, le théâtre, le sport (avec ses nageuses synchronisées de la $hoah, sa boxe à Auschwitz, son football de l’Holocauste, sa $hoah solennellement commémorée par le Bayern de Munich ce 27 janvier 2013 après les larmes des footballeurs italiens l’été dernier à Auschwitz, …). Ils ont retrouvé et proposé à la vente les recettes de cuisine de l’Holocost, la pâtisserie de la $hoah. Ils nous ont suffoqués d’Holocost ou de $hoah par la danse, l’opéra, le guignol, le roman, le radiotage, la fiction télévisuelle, le documenteur, les concours de Miss Survivante de la $hoah, le racket bancaire ou financier, les prestations larmoyantes de «témoins» dans les établissements scolaires, et ici, enfin, à Paris, dans l’étude psychanalytique de la $hoah. A ce sujet une rencontre, ces 9 et 10 février à l’Ecole Normale Supérieure, nous promet un régal de sabir exclusivement casher. (http://robertfaurisson.blogspot.com/2013/01/crise-...tite-aigue-lecole-normale.html)
Participera à cette rencontre le Père Patrick Desbois, ce sacré farceur de «la $hoah par balles [à l’Est]» ainsi que de «la $hoah par étouffement [sous édredon]». Il expliquera une fois de plus comment il a découvert à l’Est au moins huit cents charniers comptant au moins un million et demi de squelettes juifs. Mais il ne s’agit pas de lui réclamer une seule preuve, un seul rapport criminologique, une seule photo des restes d’un seul juif exhumé. Un certain rabbin Schlesinger qu’il a consulté à Londres lui a déclaré qu’il est interdit d’ouvrir un charnier juif supposé contenir des «saints» ; or, toutes les victimes de la $hoah étant réputées saintes, leurs sépultures «doivent être laissées intactes afin de ne pas déranger leur quiétude» (Porteur de mémoires / Sur les traces de la $hoah par balles, Editions Michel Lafon, 2007, p. 186). D’après le bon Père, les SS en charge de rouvrir certaines fosses pour en faire disparaître ensuite les cadavres de juifs en les brûlant étaient diaboliquement ingénieux: ils informaient Berlin des progrès de leurs travaux par l’envoi de télégrammes rédigés dans le langage de … la météorologie: «Le nombre de nuages indiquait le nombre de fosses ouvertes et la hauteur de la pluie, le nombre de corps qu’ils avaient brûlés» (p. 227). Par ailleurs, à ses yeux, toute douille allemande glanée sur le terrain dans une région où s’étaient autrefois déroulées de terribles batailles attestait nécessairement de l’exécution d’un juif; par exemple, à tel endroit, trois cents de ces douilles retrouvées prouvaient, à elles seules, l’exécution de trois cents juifs (p. 77, 84, ...). Et le Père Patrick est à croire sur parole.
Je souhaite qu’on participe à cette rencontre de l’ENS et qu’on m’en adresse un compte rendu. On contiendra son émotion. Vu le nombre et la qualité des responsables et des intervenants, on pourra se réjouir de constater à quel point Adolf Hitler a échoué dans son – incroyable – projet d’exterminer le «peuple (auto)-élu». Quant à son ordre d’extermination, on n’en a jamais trouvé la moindre trace. Raul Hilberg, le Number One des historiens orthodoxes, auteur de la bible shoatique intitulée The Destruction of the European Jews, a bien d’abord parlé, à l’esbroufe, de «deux ordres» de Hitler de tuer les juifs; il l’a fait à la page 177 de la première édition de son ouvrage, en 1961. Mais, par la suite, il s’est ravisé. En 1982, dans un entretien avec le journaliste français Guy Sitbon, il a été amené à déclarer: «Je dirai que, d’une certaine manière, Faurisson et d’autres, sans l’avoir voulu, nous ont rendu service. Ils ont soulevé des questions qui ont eu pour effet d’engager les historiens dans de nouvelles recherches. Ils nous ont obligés à rassembler davantage d’informations, à réexaminer les documents et à aller plus loin dans la compréhension de ce qui s’est passé» (Le Nouvel Observateur, 3-9 juillet 1982, p. 71). Du coup, en 1985, dans sa seconde édition – «revised and definitive» –, il a procédé à une spectaculaire révision en déclarant qu’en réalité cette extermination s’était faite sans aucun ordre, sans plan, sans instruction autre qu’orale, sans concertation formelle, sans budget, sans rien et seulement à l’initiative de la vaste bureaucratie allemande qui a veillé à ne laisser aucune trace écrite et agi de manière spontanée «par une incroyable rencontre des esprits, une transmission de pensée consensuelle» (by an incredible meeting of minds, a consensus-mind reading). R. Hilberg passait ainsi d’une première interprétation exigeant des preuves à une seconde interprétation qui ne demandait plus que les yeux de la foi. Quant à la décision d’exterminer les juifs prétendument prise à Wannsee le 20 janvier 1942 par Reinhard Heydrich, l’historien juif Yehuda Bauer a fini par la qualifier de «silly story» (Canadian Jewish News, 30 janvier 1992, p. 8) ; d’ailleurs, dans le procès-verbal de la conférence de Wannsee il n’est nullement question de tuer des juifs; au contraire, on y spécifie qu’«ainsi que l’enseigne l’histoire», après la guerre en cours et le travail forcé, « à leur remise en liberté» (bei Freilassung), les survivants endurcis par l’épreuve seront à considérer comme la «cellule germinative d’un renouveau juif» (Keimzelle eines neuen jüdischen Aufbaues) quelque part hors d’Europe. Plus courageux que R. Hilberg, bien d’autres historiens orthodoxes, constatant qu’ils s’étaient trompés, ont reconnu leur erreur. Tel Arno Mayer qui a conclu: «Les sources pour l’étude des chambres à gaz sont à la fois rares et douteuses» (rare and unreliable) (The “Final Solution” in History, New York, Pantheon Books, 1988, p. 362). Tel Michel de Boüard qui a déclaré: «Le dossier [du système concentrationnaire] est pourri » par trop de mensonges (Ouest-France, 2-3 août 1986, p. 6). Tel Jean-Claude Pressac qui a fini par capituler et par écrire: «La forme actuelle, pourtant triomphante, de la présentation de l’univers des camps est condamnée» car trop de «faits» non établis y sont «destinés aux poubelles de l’histoire» (Valérie Igounet, Histoire du négationnisme en France, Seuil, 2000, p. 651-652).
Il serait sage de suivre l’exemple de ces derniers historiens, juifs comme non juifs.
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