A tous ceux qui ne comprennent pas le sens d'une nouvelle guerre: La France a changé de gouvernement, pas de maîtres! Après une décennie de droite, la gauche reprend la relève et poursuit tranquillement l'agenda en exécutant les basses œuvres telle une république bananière bien dressée. Bizarrement, s'il n'y a pas de race, ce sont encore les Niakoués qui vont s'en prendre plein la gueule à coups de «guerres humanitaires» et de frappes chirurgicales. Le colonialisme, Hollande a craché dessus le mois dernier lors de sa visite à Alger, pas assez tendance, il nous invente donc le néo-colonialisme, cette fois-ci pour de bonnes raisons: la lutte contre l'Islamisme. Notez bien la nuance, car en Syrie, la France est un soutien inconditionnel et aveugle à l'Islamisme mené par des mercenaires étrangers au travers d'attentats à la voiture piégée, de décapitations, de fusillades familiales, de haine anti-chrétienne. Faut dire qu'au Mali, c'est devenu insoutenable, quantité de radicaux musulmans ne croient plus à la $hoah, démontent les mausolées le dimanche, et créent des zones de non-droit (je veux dire des zones en dehors du pouvoir de notre axe Atlantico-sioniste). Ils ont détruit la Libye, la cohésion de ses peuplades, fait 50 000 morts, libéré quantité d'armes dans toute l'Afrique, et subitement, ils s'en émeuvent. A un moment ou un autre, il faudra peut-être que notre président comprenne que l'on ne peut pas définir le bien et le mal en fonction de ses besoins personnels, et ponctuels.

Cette schizophrénie qui frappe l’Elysée, et le quai d'Orsay ne pourra durer éternellement, surtout que la situation sécuritaire de la France se dégrade de jour en jour: trois femmes kurdes abattues en plein Paris, les magasins se font dévaliser en plein Marseille, et les pompiers se ramassent les pavés. Manuel Valls a beau rôle de jouer le petit rat d'opéra plein de détermination devant les caméras, mais pour couvrir toutes les banlieues sensibles, il va plutôt falloir lui greffer des ailes comme à un pigeon voyageur. Pour nous, Hollande est écartelé par une gestion calamiteuse de ses ingérences en pays souverain, et ce n'est que le début. Dans cette histoire, espérons que les otages ne vont pas passer à la casserole.

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