Les minables de la République |
Loin d'une star métissée à la Yanick Noah qui a depuis longtemps posé cartes sur table (et billets en Suisse), mais qui, bizarrement, reste toujours l'égérie de la gauche judéo-caviar, notre Depardieu national, lui, a tenté jusqu'au bout de s'accrocher au paquebot France: il a peuplé les salles obscures des rires et des larmes de toutes les générations pendant des décennies, il a fait rayonner notre intelligence au-delà des frontières, il a fait vivre le commerce et la bonne chair. Et maintenant qu'il n'en peut plus de se faire lessiver (145 millions d'euros pour assumer le social), on lui fait payer sa gueule de Blanc. C'est drôle que ce soient les représentants de la République, théoriquement garants de la célèbre devise Liberté-Egalité-Fraternité, qui viennent vous faire la morale d'être un peu trop «libre». La France est devenue un corridor humanitaire, solidement gardée par quelques kapos aux ordres qui, avec un éventail de mesures disciplinaires ( vindictes médiatiques, contrôles fiscaux, réquisitions de biens, prélèvements confiscatoires, procès verbaux, …...) peuvent se payer sur la bête un salaire de nanti (non imposable, évidemment). Derrière leur terme fétiche: solidarité, qui leur suinte par tous les orifices, ils veulent surtout financer la mise en place du Nouvel Ordre Européen, téléguidé depuis Jérusalem.
Il a fait ce que des millions de vrais Français rêvent de faire: "Dire merde au pouvoir jacobin, dire au revoir à Jacob le Youpin!" Nous sommes tous devenus des vaches à lait culpabilisées par une Histoire perpétuellement revisitée suivant les besoins de quelques groupes ethniques. Mais le vent commence à tourner, comme on dit "Tant va la cruche au puits qu'elle se brise!" ou comme me disait un rescapé: "Tant va le pyjama à la sur-victimisation qu'il s'effiloche!" Par toutatix, pourquoi a-t'il foutu le camp?
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