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Les empires médiatiques aux mains des protocoles.

Воскресенье, 16 Декабря 2012 г. 00:02 + в цитатник

Voici le début d'un article sorti chez Konigsberg que l'on s'autorise à reproduire en partie: Depuis plus de quarante ans, la compagnie fondée et construite par Walt Disney proposait un divertissement populaire, de bonne qualité, qui exprimait les valeurs et les traditions américaines. Ses films et ses programmes télévisés -- même s'ils étaient parfois un peu doucereux -- incarnaient, pour reprendre une expression souvent moquée, un divertissement pour toute la famille. Ce fut en grande partie l'oeuvre d'un seul homme, Walter Elias Disney (1901-1966), un illustrateur doué, un brillant réalisateur de films et un entrepreneur génial, qui laissa une marque durable dans la culture populaire américaine. Ses bandes dessinées, ses dessins animés, et ses parcs d'animations sont connus partout dans le monde. En 1928 il lança le personnage de Mickey Mouse dans un dessin animé, «Steamboat Willie», qui eut un succès immédiat. Dans les décennies qui suivirent, Disney domina le dessin animé avec des films novateurs et très populaires comme «Blanche Neige et les Sept Nains» (1937), «Pinocchio» (1940), «Fantasia» (1940), et «Bambi» (1942). Il supervisa aussi la production de films à l'impact durable tels que «L'île au trésor» (1950), «Robin des Bois» (1952), «20 000 lieues sous les mers» (1954), «La famille suisse des Robinson» (1960), «Le professeur distrait» (1960) et «Mary Poppins» (1964). Politiquement conservateur et ardemment anti-communiste, Disney, travailleur acharné, s'impliquait habituellement à tous les stades de la production et de la direction. Lui et son travail furent honorés par 39 Prix de l'Académie, et des centaines d'autres prix et hommages. Une nouvelle équipe de direction. La période de stagnation qui suivit la mort du fondateur se termina en septembre 1996, lorsque Michael Eisner devint le président et le dirigeant principal de la compagnie Disney. Eisner commença rapidement à installer des camarades juifs à des positions-clés dans la machinerie Disney, et bientôt le dernier studio chrétien de Hollywood passa dans les mains des Juifs. [Image: Michael Eisner.] Comme le critique de cinéma Michael Medved l'a souligné, «la célèbre organisation Disney, qui fut fondée par Walt Disney, un chrétien du Middle-West qui nourrissait, dit-on, des sentiments antisémites, affiche maintenant un personnel juif à presque tous les postes les plus importants» (voir «Les Juifs dirigent Hollywood. Et alors ?», Moment Magazine, août 1996). Sous cette nouvelle direction, les ventes et les bénéfices de la compagnie Disney grimpèrent en flèche, et la firme ragaillardie retrouva une place dirigeante dans le monde du divertissement.
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Un puissant empire médiatique. Avec l'acquisition en 1995 de Capital Cities / ABC, Disney devint la plus grande firme de divertissement dans le monde. La Compagnie Walt Disney est aujourd'hui un empire commercial international tentaculaire et hautement rentable (le bénéfice pour l'année fiscale 1998 fut de 23 milliards de dollars, et le revenu net de 1,9 milliards de dollars). Avec des participations majoritaires dans les films, la télévision, la radio et l'édition, la compagnie a un formidable impact sur l'esprit et le comportement de centaines de millions de gens autour du globe. Par l'intermédiaire de Walt Disney Pictures (dirigé par Joe Roth), Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, Miramax (dirigé par les frères Weinstein), et Caravan Pictures, c'est l'un des plus grands producteurs et distributeurs de films dans le monde. Par la fusion de 1995, Disney fit l'acquisition du réseau de télévision ABC, qui possède pleinement dix chaînes de télévisons. Elle a aussi 225 chaînes de télévisions qui lui sont affiliées [c'est-à-dire des chaînes qui n'appartiennent pas à Disney, mais qui diffusent de nombreux productions réalisées par Disney] aux Etats-Unis, et possède des parts dans plusieurs chaînes de télévision en Europe. Parmi ses autres filiales de télévision figurent Walt Disney Television, Touchstone Television, et Buena Vista Television. Disney contrôle aussi trois réseaux majeurs de télévision câblée avec plus de 100 millions de souscripteurs: ESPN (dirigé par Steven Bornstein), Lifetime Television, et Arts & Entertainment (A&E and the History Channel).

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Riche et machiavélique: Michael D. Eisner, né en 1942 dans une bonne famille juive, fut élevé dans l'Upper East Side à Manhattan et fit ses études dans des écoles privées. Son père était un juriste de Harvard qui servit à un poste officiel élevé dans l'administration du président Eisenhower. En tant que président de Disney, Eisner a été fabuleusement rétribué -- certains disent scandaleusement. Son salaire de base annuel de 750 000 dollars est seulement une petite partie de ses revenus lui venant de Disney, la plus grande part venant de ses bénéfices sur des stock options. En 1993, par exemple, le gain total de Eisner fut d'un montant stupéfiant de 203 millions de dollars, et en 1997 il prit des options dans des parts de 21,9 millions de dollars, pour un bénéfice de 550 millions de dollars. http://konigsberg.centerblog.net/2083-le-detournement-de-heritage-de-walt-disney    http://www.theoccidentalobserver.net/authors/Conne...-Sanchez-Jews-Media-Power.html

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 Avec de nombreuses similitudes, voici l'histoire d'un autre entrepreneur Blanc dépouillé lui aussi par les juifs. Dix ans après sa faillite dans la télévision payante en Allemagne, Leo Kirch est enfin vengé, à titre posthume! Décédé le 14 juillet 2011 à l'âge de 84 ans, l'empereur de KirchMedia n'aura pas vécu assez longtemps pour voir un tribunal de Munich reconnaître la responsabilité de la Deutsche Bank dans sa déroute industrielle. Ses héritiers viennent d'obtenir réparation. Le montant des dommages et intérêts devra être évalué par un expert. La justice estime que ceux-ci pourront varier de 120 millions à 1,5 milliard d'euros. La décision du tribunal n'est pas susceptible d'appel. Kirch passe pour l'inventeur de la télévision payante en Allemagne. Ce fils de viticulteur, intrépide entrepreneur, s'était lancé dans l'acquisition de droits sportifs très chèrement payés, comme la Formule 1 ou les droits de la Coupe du monde de football auprès de la Fifa. Mais en 2002, son banquier, Rolf Breuer donne une interview à la télévision mettant en question la solvabilité du groupe KirchMedia. La crédibilité de l'entreprise s'effondre. C'est la panique qui contraint le vieux Bavarois, très endetté, à mettre la clef sous la porte.Coup de poker: Sur les débris de son empire, deux groupes vont prospérer: son bouquet de chaînes payantes, rebaptisé Sky Deutschland, est aujourd'hui entre les mains de Rupert Murdoch (juif). Et son empire dans les droits sportifs - notamment les droits de la Coupe du monde de football 2006 - a été racheté par Robert Louis-Dreyfus (juif) qui fonde Infront, désormais possédé par le fonds Bridgepoint. Souffrant du diabète, Leo Kirch a fini ses jours en ayant perdu la vue et amputé d'un pied. Après sa faillite, il avait tenté de se relancer avec un énorme coup de poker. En 2007, il mit 3 milliards d'euros sur la table pour ramasser les droits de la Bundesliga pour cinq ans. Cependant, l'office anti-cartel allemand lui barra la route. http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/emmanu...hume-14-12-2012-1580748_52.php
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