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Boris Le Lay

Дневник

Суббота, 07 Февраля 2015 г. 13:01 + в цитатник

Évangile selon Saint-Jean (16:11) “Au sujet du jugement, parce que le Prince de ce monde est déjà jugé.” Ceci est un texte très personnel qui n’engagera que moi. Ce texte sera imparfait, contestable, mais définitif. Celui de mon choix personnel, malgré les nombreuses réserves qui sont les miennes, pour la Sainte Russie comme dernière puissance chrétienne contre l’Occident juif, athée et matérialiste. Ce que l’on appelle de nos jours, la “démocratie”. La Russie est le dernier rempart de l’Europe blanche et chrétienne (http://breizatao.com/2015/02/06/pourquoi-jai-choisi-la-russie-par-boris-le-lay). Toute la Russie n’est pas blanche et toute la Russie n’est pas chrétienne. Mais l’est-elle moins que nos régimes écroulés et voués à la mort raciale et spirituelle que lui promettent les forces occultes de la maçonnerie, du marché, du socialisme ou du marxisme? Quiconque me dira que le poison juif cosmopolite prend racine à Moscou n’aura, de ma part, qu’un sourire dubitatif. Qu’y a-t-il en face? Je choisis, sans idéalisation, la Russie de Vladimir Poutine plutôt que le faux Occident du demi-nègre Obama, idiot utile des juifs et de la finance internationale et de leurs laquais de la ploutocratie systématique. En tant que Breton, en tant que Celte, en tant que Catholique je coupe mes derniers ponts avec le parlementarisme maçon, socialiste et athée qui m’a, dès l’origine, condamné à la mort sociale pour déviationnisme. Je le fais avec d’autant plus de difficulté que j’admire le Peuple Américain à la liberté duquel a contribué mon mentor, le Colonel Armand Tuffin de la Rouërie, Général de la Continental Army. Avec d’autant plus de difficulté que j’aime les nations britanniques. J’aime l’aspiration libératrice des hommes fondateurs de l’Amérique comme celles des individus libres de Grande-Bretagne. Je suis, comme Breton, frère des Gallois et proche des Gaëls d’Ecosse ou d’Irlande. Je les comprends. Je suis un Celte de l’Extrême-Occident. Mais je ne reconnais plus l’élan libérateur de ces peuples dans leur allégeance à l’apostasie démocratique et matérialiste du marché et à l’indifférentisme religieux. De Valera accepterait-il cette insupportable perversion? Non. Breton, ma race est d’abord et avant tout contemplative, voué au service de la Vérité et des spéculations mystiques. Pour moi, Moscou l’Orthodoxe est devenue le dernier phare de la race blanche chrétienne et de sa mission sur terre. L’empire du Mal réside à New York, Londres, Paris et Tel Aviv. Pas à Saint-Pétersburg ou Moscou. En tant que Breton, face à la république des loges et à l’Axe ploutocratique perverti, mon choix est fait. Je choisis le Christ car je choisis la foi de nos 7 saints fondateurs de la Sainte Bretagne. Je ne me reconnais pas davantage dans ce Pape qui couronne les damnés de l’homosexualité et célèbre les socialistes et les maudits de la synagogue. Ce Pape qui bénit l’invasion islamique au lieu d’appeler à la Croisade comme Dieu le lui commande. Cette église faussement catholique, marche-pied de Satan sur la Chrétienté, qui mène à la perdition. Je souhaite que les armées saintes de la Russie chrétienne marchent sur l’Europe athée et l’écrasent dans le sang et qu’elles fassent la volonté de Dieu et de l’Archange Saint Michel. Ne me demandez plus ce à quoi j’aspire, je vous l’ai dit: à la destruction de la démocratie impie et à la victoire des armées chrétiennes sur les chiens qui combattent le Bien décrété par le Ciel. Vous serez avec nous ou contre nous. Peu importe où je me trouve et où se trouvent les Chrétiens. Vous choisirez la Croix ou l’apostasie. Pour ma part, j’ai choisi la Sainte Russie. Vous les traîtres, les laquais des juifs, de l’islam, de la ploutocratie, les traîtres à toutes les patries, il ne vous reste plus qu’à mettre une cible sur ma tête. C’est le moins que vous puissiez faire. Que nos ennemis puissent périr dans le feu éternel préparé pour eux par le Christ. Je me charge, avec des millions d’autres, de les y précipiter. Et toi, Breton, Français, Européen, choisis ton camp. Voici que l’heure est venue. Signé Boris le Lay.

L’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky a annoncé la tenue d’une “marche anti-crise” contre Vladimir Poutine et le gouvernement russe auprès de la mairie de Moscou. Une marche aux allures de tentatives d’agitation révolutionnaire parfaitement coordonnée avec le gouvernement américain comme nous en parlions encore récemment (http://breizatao.com/2015/02/02/russie-loligarque-...onnaire-au-mois-de-mars-moscou). En septembre dernier, l’ancien oligarque gracié par Vladimir Poutine faisait part au journal Le Monde de sa volonté de devenir président de la Fédération de Russie: “S’il apparaissait nécessaire de surmonter la crise et de conduire une réforme constitutionnelle, dont l’essentiel consiste à redistribuer le pouvoir présidentiel en faveur du système judiciaire, du parlement et de la société civile, alors je serais prêt à assumer cette partie du travail.” Cette candidature au démantèlement du régime présidentiel russe fut suivi en octobre 2014 d’une annonce formelle, à Washington, de sa candidature à la prise de pouvoir en Russie (source). Reçu par la fondation Freedom House, une organisation liée à la CIA créée par Roosevelt pour préparer l’opinion US à l’entrée en guerre en 1941, l’oligarque juif y présenta son “manifeste” d’essence libérale, promettant d’en finir avec le régime néo-bonapartiste de Vladimir Poutine. Dans ce manifeste, soigneusement rédigé pour satisfaire toutes les branches de l’opposition au Kremlin, Mikhail Khodorkovsky énumère un certain nombre de lignes directrices. Pour satisfaire la diplomatie américaine, il s’y engageait à abandonner toute politique de puissance de Moscou, notamment en Ukraine. Pour s’attirer les sympathies de l’opposition nationaliste comme la bienveillance de la CIA et des multinationales occidentales, il récusait le partenariat sino-russe menaçant selon lui la Russie de transformer celle-ci en “protectorat chinois”. Dans la foulée, voulant donner la part belle aux oligarques pro-occidentaux – les “business men” – et les entrepreneurs russes comme à la finance anglo-américaine et juive, il dénonçait la forme “fasciste” du régime et assurait vouloir rapidement mettre au coeur de la gouvernance “la justice, le parlement et la société civile”. Ce qu’il qualifiait de forme “libérale” de l’état. Khodorkovsky fait consensus chez les opposants de gauche, libéraux et nationalistes, tant dans les organisations politiques qu’au sein de l’élite. Il est le choix des USA et de la finance internationale pour mener la révolution en Russie. Comme juif, il est sûr pour les intérêts transnationaux qui savent qu’il ne mènera pas une politique nationaliste et indépendantiste, à la différence de Vladimir Poutine.Sa candidature annoncée à Washington, comme la vaste stratégie d’étouffement économique de la Russie décidée par les oligarchies occidentales, visaient à préparer le terrain à une révolution dans ce pays. D’où la thématique “anti-crise” de la marche que Khodorkovsky a décidé de lancer à Moscou dans les prochaines semaines aux côtés de l’opposant Alexei Navalny (source). Il évite d’évoquer toutefois le fait que les difficultés économiques du Kremlin sont le fruit d’un plan stratégique américain reposant sur des sanctions et une baisse coordonnée des cours de l’énergie mondiale, avec l’aide de l’Arabie Séoudite.Tout laisse cependant à penser que Vladimir Poutine a saisi le drapeau que les Américains lui tendaient en Ukraine. Ce prétexte a marqué le point de départ d’une campagne globale d’embargo progressif permettant de déclencher une agitation populaire, avant de s’en servir au profit d’éléments pro-américains menés par Khodorkovsky. Le Kremlin, l’armée et les services de renseignement russes sont parfaitement au courant de ce que préparent Washington et ses alliés. Aussi, le gouvernement russe a d’ores et déjà lancé la création de groupes paramilitaires composés de vétérans des guerres d’Afghanistan, de Tchétchénie, de gangs de motards – connus comme les “Loups de la Nuit” – et de jeunes militants nationalistes fidèles au maître du Kremlin pour briser violemment les factieux agités par l’étranger en cas de tentative de putsch sur le modèle ukrainien.


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Un juif découvre une webcam

Дневник

Суббота, 29 Ноября 2014 г. 18:55 + в цитатник

Nos lecteurs connaissent peut-être le petit plumitif cosmopolite Guy Birenbaum qui s’en est pris à plusieurs reprises à un de nos éditorialistes, Boris Le Lay. L’élément précité n’avait en effet pas supporté de s’être vu qualifier du terme de “juif” – bien qu’il le soit – considérant que c’était une insupportable “injure”. Ce qui n’est pas sans ambiguïté(http://breizatao.com/2014/11/27/tyrannie-sioniste-...faire-emprisonner-boris-le-lay). Sans surprise et sans regard pour la parfaite légalité d’une telle qualification, l’histrion – avec l’appui du lobby sioniste qui dirige l’État Français – a chargé depuis plusieurs avocats – dont l’agent israélien Patrick Klugman – d’organiser la répression extra-légale. Las, cette petite frappe a récidivé, en assurant sur Twitter que Boris Le Lay “irait au trou”, dixit: Il est un fait établi que ces bienfaiteurs de l’humanité ont tendance à ne pas supporter la critique, exercice dont ils estiment être les seuls et uniques bénéficiaires. Et si les mêmes nous rappellent jusqu’à la nausée leurs origines sur tous les plateaux de télévision, ils ne goûtent paradoxalement pas qu’on les mentionne. Les lecteurs de l’essayiste Hervé Ryssen le savent cependant: ces gens sont constamment pétris de contradictions et il ne faut pas chercher à les comprendre outre-mesure. Malgré les procès, les menaces et les mandats d’arrêt lancés contre notre éditorialiste, la seule conclusion que l’on peut d’ores et déjà tirer, c’est à quel point l’hystérie judiciaire de cette clique a permis une visibilité médiatique toujours plus accrue de nos positions. Avec l’accroissement spectaculaire du soutien qui s’en suit et l’augmentation constante du lectorat. De fait, le tableau général a un air de “Masada hexagonal”, la clique étant assiégée et d’autant plus agressive qu’elle est résolument passée à la défensive. Vers une répression générale de tous les antisionistes. Et la liste est longue de ceux qui sont actuellement ciblés par la pieuvre. L’écrivain Hervé Ryssen est à nouveau la cible d’une plainte de la LICRA (association pro-israélienne) au sujet de son dernier livre sur les forfaits de la mafia israélienne.

Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac, chefs du mouvement Jeune Nation, sont actuellement visés par le gouvernement d’occupation pour une fallacieuse “reconstitution de ligue dissoute”, en l’espèce l’Oeuvre Française. La semaine dernière, c’était le professeur Robert Faurisson, historien critique de “l’Holocauste”, qui était victime de deux descentes de police, du haut de ses 86 ans, afin de confisquer ses ordinateurs. Tout comme son confrère, l’historien Vincent Reynouard auquel, au surplus, on a imposé une “expertise psychiatrique” comme c’était d’usage dans les démocraties populaires du Bloc de l’Est. On notera que l’écrivain Hervé Ryssen a été menacé d’une expertise similaire par la “juge” d’application des peines suite à sa condamnation à de la prison ferme, commuée depuis en Travaux d’Intérêts Généraux. L’essayiste Alain Soral est harcelé judiciairement par la même mafia, tout comme l’humoriste Dieudonné qui a été condamné il y a quelques jours à 28 000 euros d’amende. Soulignons aussi qu’en septembre le leader noir Kemi Seba a purgé une peine de plusieurs semaines de prison sur ordre du lobby israélien. Au mois de septembre, c’était le rédacteur du journal nationaliste Rivarol, Jérôme Bourbon, qui était condamné à de la prison ferme – moyennant caution – pour avoir utilisé le mot “sioniste” dans un sens qui déplaisait au lobby. Les magistrats en ont profité pour menacer explicitement le rédacteur de Rivarol de ce que son emprisonnement n’était guère plus qu’une question de temps. En octobre encore, c’était le dessinateur Jo Le Corbeau qui était la cible de la répression. La roche tarpéienne est proche du Capitole. Ce rapide tour d’horizon – non exhaustif – suffit pour mesurer l’état de panique du lobby qui ne peut plus compter que sur la servilité des magistrats et du gouvernement français pour ralentir l’irrésistible montée de l’antisionisme politique. Une erreur probablement décisive tant elle offre une tribune inédite à ceux qui combattent la tyrannie sioniste qui tient lieu de régime à la France. N’oublions pas que le seul fait que nous puissions nous exprimer sur quantité de blogs, de réseaux sociaux, que les fichiers PDF faisant la lumière sur l’implication de la pieuvre dans quantité de fléaux contemporains soient échangés chaque jour, constitue en soi une victoire éclatante. Qu’on songe ensuite à l’explosion sur les plateformes de partage vidéos (youtube, dailymotion, rutube, etc.) du nombre de documentaires, montages, analyses du même ordre pour mesurer le chemin parcouru. Pourquoi la secte maudite exigerait-elle du gouvernement français, comme c’est régulièrement le cas, qu’il agisse de la sorte si elle ne sentait serrer sur sa gorge le poing des masses, sorties de leur sommeil artificiel ? Tout simplement parce qu’elle sait qu’une nouvelle fois le dénouement s’approche. En guise de clin d’œil, songeons également qu’en termes de courage politique et de loyauté, la magistrature n’a jamais démontré une grande constance dans l’histoire. Viendra donc le moment – et il vient – où les rôles s’inverseront et où ce sera le procès du sionisme qui sera dressé.


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Parole de Breton

Дневник

Суббота, 15 Ноября 2014 г. 14:30 + в цитатник

Une guerre sociale et raciale est à l’œuvre mais peu nombreux sont ceux qui osent la présenter ainsi. Cette guerre trouve son origine dans la politique suivie par les bourgeoisies urbaines, généralement acquises au Parti Socialiste Français, de ségrégation territoriale des classes blanches populaires et moyennes. Majoritaires, ces classes ne permettent plus la constitution de majorité politique en adéquation avec les désirs des oligarchies urbaines. Ruptures à tous les étages: sociale, identitaire et territoriale (http://breizatao.com/2014/11/11/comment-la-bourgeo...tion-des-populations-de-souche). La France est désormais organisée autour de 14 “métropoles” dont Paris, rebaptisé le “Grand Paris”. Cette refonte administrative, encore accélérée par la pseudo “réforme territoriale”, vise à donner à ces ensembles les leviers politiques accompagnant ceux dont elles disposent au plan économique. Pourtant, ces métropoles, qui comptent 7% des communes, ne concentrent que 39% de la population française, 61% se situant en dehors, dans les “périphéries” rurales, périurbaines, etc... Dans le même temps, ces métropoles produisent les deux tiers de la production nationale annuelle. Comme le résume le géographe Christophe Guilluy: “Pour la première fois dans l’histoire la population ne se retrouve pas là où est produite la richesse”. Et de décrire la population des grandes agglomérations : cadres moyens et supérieurs administrant un appareil de production très efficace à forte valeur ajoutée, nourrissant à leur suite des populations immigrées chargées des tâches peu qualifiées payées à bas coût. Les classes populaires et moyennes ont été progressivement évincées des banlieues de ces grandes agglomérations, les poussant à aller vivre à 40 ou 50 kilomètres de là, ou plus. Contrairement à une idée reçue véhiculée par les médiats institutionnels contrôlés par la bourgeoisie urbaine, la pauvreté ne se concentre pas dans les banlieues immigrées. 85 % des ménages pauvres – qui gagnent moins de 993 € par mois, soit moins de 60 % du salaire médian – ne vivent pas dans les quartiers «sensibles». C’est donc dans les périphéries rurales ou périurbaines que se concentrent 61% de la population, en augmentation continue. Territoires où ne sont produits qu’un tiers de la richesse annuelle, même s’ils représentent 93% des communes. Vers une crise politique majeure où la fracture est donc territoriale, sociale et ethnique. Elle est aussi explosive. Dans un système démocratique relatif, la majorité politique découle de l’adhésion majoritaire du corps électoral. Or l’oligarchie urbaine, qui dispose des leviers politiques et économiques de par sa situation avantageuse au sein des métropoles, est de moins en moins en mesure de constituer une majorité autour d’elle. Ce qui se traduit parfois par la progression du vote Front National, mais surtout par l’abstentionnisme de masse. La partie “utile” de la population se résume donc à 39% des habitants de l’Hexagone résidant dans les grandes agglomérations. Forts du contrôle des deux tiers de la richesse produite annuellement, le sort de ces 61%, rejetés par delà les murs des grandes villes, les indiffère. Voire les inquiète dans la mesure où, dans un système présidentiel unitaire où le suffrage universel est la règle, ces 61% ont un poids sans commune mesure avec leur influence économique. En somme, 61% des Français posent un problème politique structurel. Problème d’autant plus alarmant pour l’oligarchie urbaine que leur profil politico-idéologique s’éloigne de plus en plus de celui de la bourgeoisie citadine des grandes villes dont l’univers mental est une sorte de morale humanitaire, cosmopolite et libertaire. La réforme territoriale: l’organisation de la ségrégation des classes moyennes blanches. La réforme territoriale en région Bretagne a tourné à l’affrontement entre les maires des métropoles, Brest, Nantes et Rennes, et les tenants d’un régionalisme intégré.

Ce clivage a été si profond qu’il a littéralement divisé le Parti Socialiste Français et même la gauche régionale dans son ensemble. En vérité, la bourgeoisie urbaine contrôlant ces trois grandes villes n’a rien de “socialiste” au sens où elle développerait l’idée d’une solidarité réelle, y compris entre territoires. Au contraire, les trois maires de ces villes ont fortement poussé à accroître les ruptures spatiales afin de “libérer” Nantes, Brest et Rennes de la menace d’un pouvoir régional fort capable de les dominer et donc de capter une part de leur production pour développer l’ensemble du territoire breton. Les oligarchies métropolitaines de ces trois villes ne veulent pas avoir de rapports avec l’hinterland composé des “perdants” de la métropolisation et de la mondialisation. Au contraire, leur succès dépend étroitement de leur capacité à conserver le fruit de leur production dans le grand jeu de la concurrence entre grandes villes. Il y a donc eu une “entente” entre Brest, Rennes et Nantes pour combattre l’état régional breton et protéger les intérêts de leurs oligarchies respectives. En lieu et place, les trois édiles de ces villes ont donc promu l’idée d’une région” Grand Ouest”. Le but étant de créer une région si vaste et si hétérogène qu’elle ne disposerait pas d’un socle politique suffisant pour imposer sa volonté aux trois métropoles. De fait, le “socialisme festif” métropolitain relève d’une animation culturelle chargée de masquer une politique de prédation et d’égoïsme structurels. Son humanitarisme moraliste ne trouve aucune déclinaison dans les faits, bien au contraire. Les seules populations trouvant grâce aux yeux de la bourgeoisie de gauche de ces centres urbains sont celles des quartiers immigrés qui leur fournissent la main d’œuvre pas cher dans les services dont elles ont besoin. Si bien que cette défense des immigrés est pour le moins ambiguë. La ségrégation territoriale des classes moyennes blanches, par ailleurs en voie de déclassement, est donc une réalité, même si elle ne dit pas son nom et n’est bien souvent même pas conscientisée par ceux qui la mettent en place. La crise a été temporairement réglée à Lorient, lors d’une rencontre au sommet entre partisan d’un “pouvoir ducal” fort et les comtes de Rennes et Nantes, aidé de l’édile de Brest. Jean-Jacques Urvoas, représentant l’ancien président de région Jean-Yves Le Drian a défendu le maintien de la région administrative tandis que ses opposants exigeaient sa disparition. On a donc décidé de ne pas décider. Ce que Jean-Jacques Urvoas traduit, dans une belle langue de bois devenue insupportable pour le peuple, par la formule “le débat doit se poursuivre”. Leur but étant d'abolir le régime présidentiel et marginaliser l’électorat populaire. Logiquement, les oligarchies urbaines veulent se débarrasser du système actuel. Il ne fonctionne plus car la répartition du pouvoir politique ne recoupe pas celle du pouvoir économique. Et nous retrouvons les lignes de fracture à l’œuvre durant la Fronde ou la Révolution, les mêmes qu’avaient parfaitement identifiées Charles De Gaulle, architecte de la Cinquième République contre les partisans de la Quatrième. C’est précisément cette compréhension qui l’avait poussé à proposer, en contrepoids à l’émergence de la bourgeoisie urbaine, un début de régionalisation. Les grands féodaux, remplacés par les grands bourgeois, ont identifié le régime actuel comme devenu foncièrement ingérable. Un régime monarchiste absolu comme jadis, ou présidentiel fort comme aujourd’hui, s’appuie par définition sur le soutien du peuple contre les corps intermédiaires. Or ce peuple, de plus en plus majoritairement, ne soutient plus un chef de l’État Français qui, lui, provient également de cette grande bourgeoisie et sert les intérêts de celle-ci. Le fossé entre le gros des masses populaires, ségréguées territorialement et socialement mais aussi identitairement, et les élites urbaines dirigeantes est devenu tel que la rupture menace. La question qui se pose de plus en plus est simple: soit le président brise la grande bourgeoisie urbaine, ce qu’il ne peut ni ne veut, soit la présidence disparaît popour être remplacée par un théâtre d’ombres parlementaire. Une “monarchie de Juillet” républicaine en somme. Sans surprise, les grands bourgeois, comme hier les grands féodaux, veulent une mutation du régime.

Une mutation qui puissent sauver les apparences démocratiques afin de prévenir une révolution. Cette mutation consisterait à “compter les voix différemment”. Non pas qu’il faille revenir au vote censitaire, ce serait trop brutal et maladroit. Mais en redéfinissant le rapport entre représentation politique et aire géographique, ce qui revient au même. Pour cela, la réduction du nombre de députés serait une heureuse et habile manœuvre: sous couvert d’une mesure très populaire car hostile aux élites dirigeantes, on donnerait un poids beaucoup plus important aux élus des grands villes. Le nombre de députés des zones périurbaines et rurales pouvant être drastiquement réduit. Dans le même temps – cela va de paire – permettre aux étrangers, concentrés dans ces mêmes métropoles, de voter à toutes les élections. A défaut, on naturalise à rythme accéléré pour s’assurer qu’ils solidifient toujours plus l’assise politique de l’oligarchie urbaine dont ces étrangers dépendent économiquement. Pour faire bonne mesure, on reviendrait au régime des partis. Ce qui, grâce à une carte électorale réalisée avec finesse, permettrait de relativiser le poids de la majorité des électeurs populaires et de donner le dernier mot aux boutiques politiques tenues par l’oligarchie urbaine, singulièrement parisienne. On assiste à une montée du socialisme identitaire dans les couches populaires. Quoiqu’il en soi, il ne faudra plus très longtemps pour que l’oligarchie hexagonale ne décide de prendre les devants en proposant une réforme en profondeur de l’ordre politique en France. Faute de quoi, les couches moyennes en voie de déclassement la feront. Puisque ségréguées, majoritaires, écartées du processus de production concentré dans les grandes villes, les classes populaires et moyennes qui se paupérisent entrent en dissidence. D’abord en conscience, de plus en plus électoralement. Résolument en termes de valeurs et de conceptions idéologiques. Pour les classes dominantes urbaines, la menace est trop sérieuse. Il est logique, voire légitime, que ces catégories demandent à profiter des fruits de la production générées dans les grandes villes. Cela donne par nécessité une coloration sociale et égalitariste à leur demande. Dans le même temps, la concurrence par le bas à laquelle l’immigration les soumet, notamment pour ce qui concerne le logement et la jouissance du soutien de l’état-providence, les pousse naturellement vers un réflexe de défense collective autour d’une identité commune. On peut sans se tromper y voir un socialisme identitaire, pas nécessairement collectiviste d’ailleurs, en voie de constitution. Ce qui explique pourquoi la gauche radicale ne parvient pas à capitaliser électoralement: l’immigration est voulue et validée par la bourgeoisie urbaine et sert les intérêts de cette dernière. La valider, c’est valider l’ordre établi et la répartition actuelle du pouvoir politique et économique. Les classes populaires et moyennes blanches ne peuvent naturellement pas s’y retrouver. On glisse tranquillement vers toute une série de Clivages caducs. Le rapport de force n’est donc plus bipartisan. Il n’y a pas d’un côté “la gauche” et de l’autre “la droite”. Il y a d’une part un “socialisme identitaire”, qui ne vise pas tant à l’étatisation qu’à une demande profonde de solidarité naturelle et libre qui profite aux populations autochtones fragilisées. De l’autre, une bourgeoisie urbaine, cosmopolite, moralement humanitariste et économique ségrégationniste. Peuvent s’y retrouver des grands élus “de droite” ou “de gauche”, en fonction de sensibilité de détail. On comprend dès lors pourquoi la crise au sein du Parti Socialiste Français s’aggrave, notamment entre élus ruraux et urbains, et plus généralement au sein de la gauche française. Car même lorsqu’elle conteste la métropolisation voulue par la bourgeoisie, la gauche est si viscéralement égalitariste, tiers-mondiste et antiraciste, qu’elle ne peut qu’être favorable à l’immigration par principe. Or cette position est globalement rejetée par les couches populaires et moyennes qui formaient souvent son électorat. Le cas breton a été particulièrement significatif et révélateur. L’apparition du mouvement des Bonnets Rouges a eu lieu dans la partie occidentale bretonne, soit en dehors de l’aire d’attraction rennaise et nantaise. Elle a été particulièrement aiguë dans le Kreiz Breizh. Elle n’a cependant pas mordu sur Brest mais a pu déborder en revanche sur Quimper. Sa composition sociologique est à l’image de ces classes populaires et moyennes évoquées: des paysans, des ouvriers, des artisans, des petits entrepreneurs et commerçants, des chômeurs et de jeunes étudiants, des retraités. Tous en voie de déclassement, tous unis par un puissant sentiment identitaire, base d’une solidarité revendicative. Très logiquement, ce mouvement a sonné comme un coup de tonnerre pour la gauche institutionnelle régionale et singulièrement celle du Finistère. Le PSF du Finistère n’a jamais pu ni ne pourra jamais mobiliser 20 000 ou 30 000 personnes. Fait révélateur, la section quimpéroise du parti manifestait encore le 18 novembre 2013 contre “le racisme”, rassemblant avec toute la gauche institutionnelle, quelques centaines de personnes. Le peuple, lui, n’était pas là. En novembre 2013, alors que les Bonnets Rouges se rassemblaient à Quimper, cette même gauche institutionnelle, syndicats et partis, se retrouvait à Carhaix pour manifester contre le meneur, Christian Troadec. Elle s’est retrouvée à manifester contre le peuple et l’opinion publique, seule. Depuis, elle n’a eu globalement comme réflexe que d’abreuver d’injures un phénomène politique et social qui traduit son désaveu. Qualifiant les Bonnets Rouges de “Benêts Rouges”, le dernier carré du socialisme masque mal son profond désarroi. Et a renforcé encore d’avantage l’impression d’arrogance de classe d’un clergé du Progrès autoproclamé que plus personne n’écoute. Bien loin d’améliorer la situation, cela a encore accru le fossé entre cette gauche et le peuple. Que quelques paysans, aidés du maire de Carhaix, Christian Troadec, parviennent à avoir l’oreille des masses est un signe des évolutions en cours. La presse régionale, par définition dépendante de l’oligarchie pour ses subventions, a raillé “l’échec” de Troadec aux élections sénatoriales. Mais ces élections sont la caricature même d’un suffrage fermé où le peuple n’est pas convié et où les élus des grands partis se cooptent. Le déni de l’établissement est total. La gauche française ne comprend plus rien de ce qui se passe. Enfin, plus récemment et toujours à Quimper, les événements autour de la mosquée islamiste ont porté à son paroxysme l’incompréhension de la gauche institutionnelle pour la réalité sociale et idéologique dans laquelle elle évolue. Par antiracisme, conformément aux canons de beauté moraux de la bourgeoisie urbaine, la gauche institutionnelle a pris fait et cause pour l’édification d’une mosquée, symbole d’une religion qui, selon les critères classiques de la gauche, est objectivement misogyne, patriarcale et cléricaliste. Que les tenants historiques du slogan “A bas la calotte et vive la sociale” en viennent, en 2014, à défiler à une petite centaine pour l’édification d’une mosquée donne la mesure de l’effondrement idéologique et dialectique de la gauche. Qu’ils en appellent à la préfecture pour faire interdire l’opposition, donne celle de leur impuissance. En plus de passer pour partisans d’une religion “réactionnaire”, cet affolement se traduisant par un appel à la censure achève de convaincre l’opinion publique locale, déjà suspicieuse, de se démarquer électoralement. Surtout dans au sein de son électorat historique pour qui la laïcisme et l’athéisme sont des valeurs structurantes de la gauche historique. Aveuglée, humiliée, arrogante, les cadres de cette gauche refusent de se rendre à l’évidence et persistent, ce qui loin d’améliorer leur situation, la fragilise encore davantage. Cela va si loin que même le bon sens politique, qui voudrait qu’on ne se mouille pas à ce point pour quelques éléments issus de la communauté turque de peur de s’aliéner les couches populaires, ne parvient pas à calmer ce jusqu’au boutisme de chiens enragés. Il faut être lucide, la rupture territoriale est déjà là. La rupture politique, sociale et identitaire se profile. Les partis français tels qu’ils sont organisés ne recoupent plus la réalité économique et politique de notre temps. La “gauche” rennaise n’a rien à dire à la “gauche” carhaisienne, quand bien même les deux se revendiqueraient du Parti Socialiste ou du Parti Communiste. La logique territoriale, identitaire, sociale et économique débouche sur une révolution politique. Ce que les tenants du statu quo, naturellement situés dans les partis institutionnels soumis aux oligarchies urbaines, refusent de voir et à tout le moins, de valider. La voie est donc ouverte pour une nouvelle offre politique. Une offre identitaire, sociale, territoriale, trouvant l’équilibre entre les libertés individuelles et le Bien Commun des populations de souche européenne.


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Дневник

Воскресенье, 02 Ноября 2014 г. 21:21 + в цитатник

«On n'est pas dans la merde, mais on étudie les recours!»

Le Jerusalem Post s’est fait l’écho des différents procès contre le publiciste Boris Le Lay, l’écrivain Hervé Ryssen ou encore l’artiste Dieudonné. Le journal israélien a applaudi à la vague de répression politique qui s’abat contre ceux qui critiquent l’influence délétère du lobby sioniste dans la vie publique française (http://breizatao.com/2014/11/02/le-jerusalem-post-...-le-lay-herve-ryssen-dieudonne). Le Jerusalem Post s’est d'ailleurs félicité de l’annulation par un tribunal des dédommagements accordés à Dieudonné par la justice. Ce jugement faisait suite à l’annulation préventive par le ministre de la Police, Manuel Valls, de ses spectacles début 2014. Le même journal a en revanche répandu 6 millions de larmes sur le jugement autorisant la diffusion des affiches “La Mafia juive”, du nom du livre éponyme de Hervé Ryssen. Une victoire certaine que notre compatriote a justement annoncé sur son compte Facebook. Enfin, le cas de la condamnation délirante à 3 mois de prison fermes de notre éditorialiste, Boris Le Lay. Cette répression mondiale a également touché cette semaine le Royaume-Uni où Garron Helm, un militant nationaliste, a été arrêté et emprisonné pour avoir écrit sur Twitter que la député juive de gauche pro-immigrationniste Luciana Berger était… “juive” et “communiste”! Oui, dans le pays de l’Habeas Corpus constater qu’une juive est juive et qu’une communiste est communiste suffit à vous mener désormais en prison. Une vaste campagne menée depuis les USA sur Twitter, a contraint le gouvernement britannique à relâcher Garron Helm. Dans le même temps, un activiste antisioniste australien, Brendon O’Connell, a été lui aussi interpellé pour avoir critiqué l’État d’Israël dans une conversation téléphonique qu’il a enregistré et diffusé sur le net. Il a depuis été relâché, faute d’éléments solides. Nous sommes clairement entrés dans une nouvelle phase de répression de ceux qui dénoncent haut et fort le rôle joué par le lobby sioniste mondial. Le lobby est pris de panique et ne sait plus où donner de la tête pour contenir la libération de la parole, en France, en Australie ou en Grande-Bretagne, comme on l’a vu. C’est trop tard, les peuples du monde entier se réveillent et ne se soumettront plus.


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Parce que le mensonge a assez duré!

Дневник

Воскресенье, 08 Июня 2014 г. 22:43 + в цитатник

Je prends ma plume ce jour pour honorer le fascisme. Fascisme, arme des pauvres dotés de leur seule volonté face au destin funeste auquel ils furent promis par la coagulation des intellectuels juifs et des banquiers, des bourgeois catholiques et des désespérés de tous bords (http://breizatao.com/2014/06/07/parce-que-le-fasci...es-peuples-libres-boris-le-lay). A la face des porcs du démocratisme et du marxisme, je répète cette vérité: les trois millions de chemises brunes allemandes d’avant 1933 étaient les gueux vomis par l’ordre bourgeois qui décidèrent de choisir leur destin. Je suis, moi aussi, une chemise brune. Ou plutôt un cœur brun. Je suis du peuple, uniquement du peuple, je ne veux être que cela. Fascisme, en toi, je salue le sursaut de vie de tous les Européens refusant de capituler leur destinée! Je ne signe ici aucun chèque en blanc à quelque pays que ce soit pour on ne sait quelque planification meurtrière. Non, je signe en lettres de lumière l’élan de jeunesse d’une idée qui bouleverse le monde et que les bandes coalisées de la banque craignent encore: l’idée du fascisme. Fascisme jusqu’à la mort. Certes, notre fascisme ne sera plus fasciste demain, il sera au delà du fascisme, fascisme intégralement fasciste, devenu totalement spirituel. Il veut le peuple, il est le peuple. Je crois au grand retour du religieux, au grand retour des Croisés d’hier. Les fascistes d’hier annoncent cette grande restauration. Le Christ, Dictateur de l’Univers, est le grand modèle du fascisme comme réaction au Mal gouvernant le monde. Qu’on ne me parle pas “d’extrême droite”. Elle bien trop pourrie de modérantisme pour qu’elle mérite le moindre assentiment. Fascisme européen d’abord, fascisme spirituel surtout, jeunesse comme chair de l’avenir uniquement. Quand on me demande ce qu’il nous faut accomplir, je réponds: créer. Et quand on me demande comment, je réponds: en détruisant. Je veux voir des bûchers de livres illuminer les rues de Brest, Nantes et Rennes, de tout l’Occident, pour illuminer la renaissance de cet Occident Chrétien qui doit renaître. Je veux voir la pourriture de l’intellectualisme juif chauffer à grandes flammes les brasiers accouchant d’une pensée archaïque svelte et souple comme le lévrier, audacieuse comme le faucon, prudente comme le serpent. Je veux le fascisme spirituel intégral, inconditionnel, passionnel, harmonieux, bâtisseur. En un mot, je veux la beauté dont le fascisme est la forme dynamique. Je veux les bourgeois pendus, traqués, assaillis. Je veux des jeunes de vingt ans procureurs et juges de tribunaux révolutionnaires préposés à cette grande tâche de renouvellement. Je veux la pourriture de l’ordre ancien massacré le plus absolument, le plus parfaitement, le plus intégralement possible. Je veux les commissaires de police jouer aux dés leur exécution sommaire. Je veux les journalistes assassinés sur les foyers alimentés par le fumier de leurs manuscrits. Je veux l’Europe européenne, dressée, debout, conquérante, fiévreuse, impériale, raciste. Je veux l’Europe blanche, c’est-à-dire la seule Europe. On ne m’a jamais fait reproche de modérantisme. La tendresse est une honte. Le fascisme fut et demeure, en esprit, l’école du renouveau et de la jeunesse. Mes trois mots d’ordre: fascisme, fascisme fascisme! Plus dur, plus intrépide, plus conquérant. Et je vois dans un nouvel ordre des choses établi au sein d’une jeunesse bretonne enfin exposée à cette saine doctrine la plus fine race de notre continent, la plus sûre élite de cette entreprise. Les corsaires des temps nouveaux. Le fascisme est cette fleur qui naît du fumier de la démocratie. Les poux la fuient, les aigles la protègent. Jeunesse fasciste: lève-toi!


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La République juive n'a plus les moyens de ses ambitions.

Дневник

Суббота, 11 Января 2014 г. 14:04 + в цитатник

“Pour savoir qui vous dirige vraiment il suffit de regarder ceux que vous ne pouvez pas critiquer”, Voltaire (http://breizatao.com/2014/01/11/idees-alternatives/la-censure-est-retablie-en-france ). Il est crucial que les Bretons sachent désormais dans quel genre d’état ils vivent pour mieux comprendre toute l’urgence qu’il y a pour eux à rompre avec lui. Nombreux sont ceux qui, dans l’affaire Dieudonné M’Bala M’Bala ne voient encore qu’un cas isolé, ou disons un cas d’exception, auquel ils n’accordent pas d’importance. C’est une erreur, car ici le terrorisme intellectuel atteind son paroxysme. De la même façon que la loi antiraciste dite “Pleven” -  en réalité inspirée par le juif communiste Lyon Cahen – a permis le rétablissement du délit d’opinion en légalisant le procès d’intention, le Conseil d’État sous l’influence d’Arno Klarsfeld et de Bernard Stirn, a consacré le rétablissement de la censure en France. Tous les “intellectuels” français, et singulièrement les intellectuels juifs parisiens, d’habitude si confits de rhétorique démocratique, célèbrent en cœur le retour de cette censure avec, comme de juste, toutes les excuses nécessaires, à commencer par celle de la défense du judaïsme et de la république en danger. On censure toujours pour “une bonne cause” mais la censure reste la censure. Que les Bretons comprennent bien que le cas Dieudonné fait jurisprudence, c’est-à-dire qu’il créé un précédent judiciaire qui sera suivi d’autres cas. Demain, “au nom de la dignité humaine”, de l’antiracisme ou d’on ne sait quel “appel à la discrimination”, sur ordre de la Police via les préfets, des spectacles ou réunions publiques pourront être interdites a priori, par avance, sans qu’aucun délit ne soit commis. Une simple suspicion suffisant. Cette censure pure et simple est clairement définie en langue française, il suffit de se référer au dictionnaire Larousse: ” Censure: nom féminin (latin censura), Examen préalable fait par l’autorité compétente sur les publications, émissions et spectacles destinés au public et qui aboutit à autoriser ou interdire leur diffusion totale ou partielle.” Bien évidemment, pour l’heure, les censeurs – tous pour ainsi dire membres du lobby sioniste – assurent de la nature “extraordinaire” de la mesure. Pourtant, il suffira que la pression soit suffisante pour que le politique et la police, puisque celle-ci est soumise à celui-là, décident de demander une interdiction d’autres spectacles, d’autres réunions publiques, elles aussi jugées par le gouvernement “de mauvais goût”. Désormais en France, le bon goût en matière d’art sera une affaire de Police. Car c’est l’exécutif à la tête de la police et des exécutants que sont les préfets qui pourra dicter ce qui est “artistiquement correct” de ce qui ne l’est pas. C’est un recul spectaculaire des droits fondamentaux de chaque Breton qui pourra, non seulement en tant qu’artiste, mais aussi en tant que spectateur, se voir interdire l’accès à des performances artistiques, culturelles ou autres. Car dès lors que c’est le gouvernement français et sa police qui définissent ce qui est de bon goût de ce qui ne l’est pas, on peut imaginer toutes les atteintes ultérieures. Car c’est une boîte de Pandore, comme les lois antiracistes, qui furent jadis mises en oeuvre pour lutter contre l’extrême droite et qui, aujourd’hui, servent aussi bien à interdire un appel au boycott de produits israéliens que des spectacles d’un métis franco-camourenais présenté comme “nazi” par le ministre de la Police Valls. Même Olivier Besancenot pour le NPA, pourtant très philosémite, a jugé “lamentable” la décision du gouvernement et de son conseil d’état. Les idiots utiles Ligue des Droits de l’Homme se sont opposés à ce rétablissement de la censure, tout en assurant – comme d’autres soi-disant esprits libres – vouloir saisir les tribunaux a posteriori. Peut-on seulement se vanter de vouloir réprimer un artiste après plutôt qu’avant? C’est que la LDH a participé à l’instauration de la nouvelle inquisition antiraciste et que c’est précisément en vertu de l’antiracisme et des lois antiracistes que l’on censure aujourd’hui Dieudonné. Ce sont les motivations de la circulaire Valls, reprises par le juge juif Stirn, tout à sa défense du communautarisme juif et des intérêts du sionisme. Tant que l’arsenal répressif visait l’extrême droite, les socialo-communistes de la LDH applaudissaient bruyamment. A présent que leur ordre moral permet la censure, ils découvrent qu’ils pourront demain, eux et leurs sympathisants, subir les foudres du Golem qu’ils ont contribué à créer. Les imbéciles heureux de la LDH s’étonnent désormais que la boîte de Pandore juridique de l’arsenal antiraciste finisse par la censure, c’est-à-dire l’interdiction a priori. Pauvres tartuffes! Comme le disait Bossuet: “Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes.”

Car la LDH est surtout composée d’athées qui ne goûtent guère le catholicisme. Mais, imbibés d’antiracisme et de tiers-mondisme sur fond d’ethno-masochisme, les ligueurs n’ont pas vu ou pas voulu voir la nouvelle sociologie du fait religieux en France que l’immigration a bouleversé. On voit déjà la pièce de Voltaire, “Le fanatisme ou Mahomet le Prophète”, menacée par des islamistes en colère en attendant tout ce qui ne plaira pas à telle ou telle section de la population hexagonale. Il suffira simplement que leur nombre soit tel pour que le politique, cédant à la pression, consente à ce qu’il a déjà consenti en faveur du lobby sioniste dans le cas Dieudonné. N’est-ce pas la loi Fabius-Gayssot qui a engendré la loi Taubira et plus généralement, l’ingérence du politique et du gouvernement français dans ce qui est “historiquement juste” de ce qui ne l’est pas? Là encore, la boite de Pandore de l’antiracisme a créé un précédent qui n’est plus à la veille de s’arrêter. Mais l’on peut imaginer que des réunions publiques portant sur la remise en question des frontières de l’Etat Français pourront être censurées au motif que c’est là remettre en cause l’unité nationale française. Car c’est cette argument unitariste qui a été notamment utilisé par le ministre français de la Police, Manuel Valls. De tpute évidence, nous allons vers une fin des libertés d’expression, de réunion, d’association. Les lois antiracistes ont rétabli le délit d’intention, la fameuse motivation “haineuse”. C’était ce même délit de conscience dont usait l’Inquisition qui cherchait à établir si les gens poursuivis étaient hérétiques, c’est-à-dire pécheur en conscience et non en actes. Le droit positif avait garanti l’inviolabilité de la conscience au nom de sa liberté et fait des actes la seule mesure du droit. L’antiracisme a aboli cet acquis pour revenir à un droit d’essence religieux, placé cette fois sous l’ombre de l’idéologie. Ces lois antiracistes ont détruit le droit civil français hérité du Code Napoléon. Ce fut là le résultat du fanatisme du lobby sioniste, aidé en cela des terroristes du PCF. Puis les lois anti-négationnistes ont frappé de prison les historiens déviants. D’autres batteries de lois sont venues interdire de parole ceux qui ne goûtent pas l’homosexualité. Récemment, des livres vieux de plus de cent ans ont été condamnés à la destruction, toujours par un tribunal sur requête de la LICRA donc du lobby sioniste. Enfin, le ministre de la Police a dissous des groupes politiques, là encore accusés de déviationisme, bien que n’ayant rien de “milices armées”, seul critère légal pour dissoudre une organisation. A présent, avec le précédent Dieudonné, la censure est rétablie en France. Et ce en moins de deux heures, par un juge unique, descendant d’Alfred Dreyfus…Nous sommes, nous Bretons, face à un état de force et non plus face à un état de droit. Ce n’est pas nouveau pour nous dont les droits ont été détruits par un état étranger. A tout le moins, le droit positif reconnaissant à l’individu breton une certaine liberté à défaut de pouvoir s’émanciper en tant que peuple. Mais voilà que ce maigre lot de consolation est lui aussi aboli. La loi française n’avait pas de légitimité chez nous, pour des raisons historiques. A présent, elle n’a plus de valeur au regard de son propre esprit, car quand elle n’est pas violée sciemment par les puissants pour briser toute opposition, elle est tout simplement sabotée pour en revenir à la situation juridique de l’Ancien Régime voire des régimes autoritaires. Dès lors la résistance devient, de facto, illégale et frappée de l’arbitraire des puissants. Ce n’est pas absolument nouveau pour nous Bretons, mais cela a pris des proportions telles que désormais nous pouvons dire sans trembler que l’Etat Français est un régime autoritaire n’ayant rien à envier à la Chine communiste. D’ailleurs, la France est le troisième état le plus condamné par les cours européennes de justice pour les violations des libertés fondamentales, devant la Russie que pourtant la grosse presse française ne cesse d’accuser des pires dérives autoritaires. L’heure de la résistance à cette république livrée aux forces cosmopolites du sionisme, aidés en cela par le socialo-marxisme ou le lobby de l’argent, a sonné. Camarades, sortez les cordes!


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