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Создан: 08.09.2012
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En tuant Dieu, ils ont pris sa place le temps d'une vie.

Il est important de comprendre que l'élément fondateur de toute communauté juive est le trauma qui se matérialise au début de son existence par la circoncision: « La mutilation d'un être sans défense », et qui sera maintenu par la suite de manière artificielle, et éternelle au travers d'histoires de destruction, d'holoco$t , d'invraisemblances, de mensonges et de croyances. Le but étant double :
   -Entretenir la paranoïa vis à vis des autres pour renforcer les liens de la communauté
   -Le préparer à s'exhiber en victime de l'humanité avec ses larmes, ses tatouages, ses témoignages à coucher dehors,
Peuple élu dans sa haine des Goys, il a appris à faire le spectacle, à se vendre partout, à occuper les esprits pour détourner toute enquête objective sur ses crimes.
Il n'est pas intelligence, il n'est qu'émotionnel et lamentations !

« Parce que l'antisémitisme est la haine de la criminalité juive, pleure Youpin! »

 


«Attention, changement d'adresse!»

Пятница, 01 Июля 2016 г. 05:09 + в цитатник

Suite à une courte censure de ce blog (accessible pour les lecteurs, mais non modifiable par les administrateurs), et ne sachant pas combien de temps cette situation allait perdurer, nous avons pris la décision d'ouvrir un autre site qui au final se montre plus fonctionnel. Le vieil adage «Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort» est à nouveau vérifié. Avec toutes nos plus plates excuses, et maintenant, suivez le guide: www.eternelle.umi.ru. Comme d'habitude, collez ce lien dans votre navigateur, ou cliquez dessus et lorsque l'avertissement (en russe) s'ouvre, cliquez à droite (adresse en rouge). Merci.


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Du bon usage de ce blog.

Среда, 01 Июля 2015 г. 23:28 + в цитатник

Si par intention ou par hasard, vous atterrissez sur cette page Internet, sachez que chacun de ces articles ont été validés par les autorités gouvernementales compétentes, c'est à dire la Licra, le MRAP, et l'OFAP (l'Organisation des Femmes à Poil). Pour toute récrimination, erreur syntaxique, ou inexactitude, adressez-vous à: 6 millions de consommateurs, 2 impasse de l'Anous, 75 016 Paris. Tous nos liens Internet vers d'autres sites fonctionnent aussi correctement, il suffit juste de cliquer sur le bon bouton, faîtes l'essai avec (https://bibliothequedecombat.wordpress.com). La fenêtre suivante s'ouvre:

Et là, vous arrivez de suite sur l'un de nos sites partenaires:

Bonne lecture, et bon partage!


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Charles Maurras, un exemple pour notre jeunesse.

Суббота, 28 Марта 2015 г. 15:12 + в цитатник

Certains s’étonnent encore, ou feignent de s’étonner, soixante-dix ans après les faits, que Charles Maurras, le contempteur le plus acharné du germanisme, ait pu être condamné en 1945 après avoir été accusé d’ «intelligence avec l’ennemi». Ceux qui s’indignent de cette condamnation ignorent sans doute que la Deuxième Guerre mondiale n’a pas tant été une guerre entre nations qu’une guerre de religions, et la plus sanglante de toutes. Les querelles entre les nations européennes, si l’on regarde bien, sont à reléguer à l’arrière-plan, loin derrière les enjeux planétaires qui opposent, aujourd’hui encore, les peuples libres aux fanatiques du globalisme et de l’unification mondiale. On ne comprendra jamais rien au XXe siècle sans remonter d’abord à la révolution bolchevique de 1917, et à toutes ces atrocités commises par une poignée de juifs (Lénine, Trotsky, Kamenev, Zinoviev, Sverdlov, etc.) à l’encontre des chrétiens de Russie: 30 millions de morts, au bas mot, sur une trentaine d’années. Hitler, à juste raison, s’était opposé à la domination du judéo-communisme en Allemagne. Il s’était aussi opposé aux démocrates socialisants, qui avaient laissé l’Allemagne entre les mains des agitateurs cosmopolites et des financiers internationaux (https://herveryssen.wordpress.com/2013/07/01/le-proces-de-charles-maurras). En 1945, la minuscule Allemagne était écrasée par la monstrueuse coalition des quatre plus grands empires de la planète: l’Empire américain, l’Empire soviétique, l’Empire britannique et l’Empire français; tout quatre travaillés de l’intérieur par des financiers juifs, des politiciens juifs, des journalistes juifs, dont le seul but avait été l’écrasement de l’Allemagne hitlérienne. Dans ces conditions, on comprend mieux la condamnation de Charles Maurras, qui a évidemment été jugé, d’abord et avant tout pour avoir osé critiquer les juifs avant et pendant la guerre. En avril 1925, quatre militants patriotes avaient été tués par des communistes. Le 9 juin 1925, dans L’Action française, Maurras se lâchait contre Abraham Schrameck, ministre de l’Intérieur, qui venait d’interdire le port d’armes. “J’ai vu, sur leurs civières, sur leur lit d’hôpital, le corps inanimé de Marius Plateau, de Philippe Daudet et d’Ernest Berger. Deux de ces bons Français ont été tués, en partie à cause de moi. […] J’ai vu les yeux rougis et les poings serrés d’une pieuse multitude française gonflée des révoltes de la justice, des sentiments de la plus sainte des vengeances. Cette foule énergique n’attendait qu’un signe de nous, j’oserais presque dire un signe de moi, pour se ruer sur les responsables et les châtier. J’ai cru de mon devoir de m’interdire ce signe et d’arrêter cette colère. (…) Mais vous êtes le Juif. Vous êtes l’Étranger. Vous êtes le produit du régime et de ses mystères. Vous venez des bas-fonds de police, des loges et, votre nom semble l’indiquer, des ghettos rhénans. (…) vous êtes ainsi devenu, monsieur Abraham Schrameck, l’image exacte et pure du Tyran qui a exercé de tout temps son droit contre les peuples opprimés. (…) Et, comme voici vos menaces, monsieur Abraham Schrameck, comme vous vous préparez à livrer un grand peuple au couteau et aux balles de vos complices, voici les réponses promises. Nous vous répondons que nous vous tuerons comme un chien. Dans Mes Idées politiques, publié en 1937, Maurras avait cité le polémiste Henri Béraud: “Peut-on se rappeler sans frémir que le premier chambardeur de la Russie s’appelle Kerensky; que la chambardeuse de l’Italie s’appelle Rosa Italie; que le chambardeur de la Bavière s’appelle Kurt Eisner; que le chambardeur de l’Italie s’appelle Otto Bauer; que le chambardeur de la Hongrie s’appelle Bela Kun; que le chambardeur de l’Italie s’appelle Claudio Trèves et que le chambardeur de la Catalogne s’appelle Moise Rosenberg «et que tous «ont un maître unique, Marx?» Et il ajoutait immédiatement: “Agitateurs ou idéologues, ou les uns et les autres, attestent la même pression violente de l’Orient sémite sur un Occident qu’elle dénationalise avant de le démoraliser. Ce messianisme de Juifs charnels, porté au paroxysme par sa démence égalitaire, prescrivant de véritables sacrifices humains, a tout osé pour imposer une foi absurde et, quand vient l’heure du désespoir inéluctable, l’énergumène juif casse tout.” Le 17 janvier 1944, il critiquait le Comité français de la libération nationale (CFLN) parce que “son premier acte serait de rendre aux juifs l’intégralité des biens dont ils n’ont cessé de nous dépouiller pendant cent cinquante ans.” Le 2 février, dans un paragraphe titré “menaces juives”, il dénonçait avec force les manigance des juifs du monde entier: “Le rôle joué par la juiverie des deux mondes entre Moscou, Londres et New York doit être observé de plus près que jamais. C’est à elle que remonte une grande part de la responsabilité de la guerre. C’est par elle que tient la paradoxale alliance de l’Amérique, de l’Angleterre et des Soviets.” Et il poursuivait: “Nous disons plusieurs fois par semaine que la meilleure manière de répondre aux menaces terroristes est de leur opposer une légitime contre-terreur. L’axiome est applicable aux violences de parole et d’attitude dont se rendent coupables les hordes juives: le talion.” Dans sa biographie de Maurras (2006), l’ignoble Stéphane Giocanti se couche devant ses maîtres, et ose parler de “l’aveuglement catastrophique de Maurras”, d’“obstination coupable”: “Maurras délire, parfois avec un accent paranoïaque, en dévoilant l’irrationnelle xénophobie qu’abritait la théorie de l’antisémitisme d’État.” (pages 447, 448). Le procès de Charles Maurras se tint du 21 au 27 janvier 1945. Il avait été «arrêté en 1944 par le Commissaire du gouvernement à Lyon, Yves Farge (Elie Cohen) nommé par De Gaulle (et révélé être du KGB)», écrit l’Ancien Camelot du roi François Marie Algoud (Actualité et présence de Charles Maurras (tome II, page 66). Il imposa alors à ses juges, pendant sept heures, la lecture de son mémoire. Dans notre livre sur La Guerre eschatologique, nous avons aussi cité ce passage, tiré du livre d’Henri Amouroux (La Page n’est pas encore tournée, La grande histoire des Français après l’Occupation, janvier-octobre 1945, Robert Laffont, 1993, p. 479). Au président qui lui faisait la leçon, Maurras avait ainsi répliqué: “Monsieur le président, la prochaine fois, je dirai à mes lecteurs: si les juifs vous menacent, ne les menacez pas, parce que les juifs sont chez eux, tandis que vous, vous n’êtes pas chez vous. Je leur dirai: Écoutez tout, supportez tout, ne posez même pas un regard sur eux, parce qu’ils sont vos maîtres et vos rois. C’est-à-dire qu’à l’occupant allemand nous substituerons un autre occupant, l’occupant juif. ” François Marie Algoud écrit encore que Maurras avait finalement lancé au président: “Pour moi, cela m’est égal, je suis un vieil homme: douze balles dans la peau ou rien… ce n’est rien du tout! J’ai consacré à la France ma vie, mes sueurs, mes forces. Si je pouvais lui donner mon sang, je vous assure que rien ne serait plus glorieux ni plus agréable pour moi.” (page 43). Maurras s’était comporté en bon Français, et avait affronté la justice républicaine comme un héros de notre histoire. À 77 ans, il fut condamné à la réclusion à perpétuité pour “intelligence avec l’ennemi”. Il resta 2749 jours en prison, avant de mourir à l’âge de 84 ans. François Marie Algoud est mort le 5 janvier 2012. Après la parution des Espérances planétariennes, en 2006, il nous avait envoyé son livre, avec une carte sur laquelle est écrit: “Avec mes vifs remerciements pour votre extraordinaire travail.” Il y aurait donc encore des royalistes fidèles à la pensée de Charles Maurras. Affaire à suivre!


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George Soros est un démocrate, un parasite démocrate

Суббота, 28 Марта 2015 г. 14:22 + в цитатник

George Soros pousse l’Europe à faire la guerre contre la Russie. Au nom de la démocratie et des droits de «l’homme», les judéo-sionistes ont poussé les Occidentaux à faire la guerre contre l’Irak (1991), la Serbie patriote (1999), l’Afghanistan (2001), à nouveau l’Irak en 2003, puis la Libye en 2011, le Mali en 2013, l’État islamique en 2014. L’Iran et la Syrie y seraient passés (en 2006 et 2013) si il n’y avait eu un danger d’embrasement général. Et on ne parle pas de ce qui s’est passé en 1940. Bref, vous l’avez compris, tous les ennemis de la démocratie multiculturelle à la sauce judéo-sioniste sont des ennemis de «l’homme» (http://www.interet-general.info/spip.php?article21247). Dans un article de Paris Match du 12 novembre 2014, on lit ceci: Le plus célèbre des investisseurs mondiaux, et l’un des hommes les plus riches de la planète grâce à son hedge fund Quantum, est aussi un européen convaincu. Juif hongrois, né à Budapest en 1930, il n’a jamais cessé d’intervenir en Europe de l’Est via des actions caritatives. Pour lui, l’attaque de l’Ukraine par la Russie met le monde en danger. Et menacerait l’existence même de l’Union européenne. Concernant le conflit entre l’Ukraine et la Russie, George Soros explique: L’Union européenne ne fonctionne pas. Et elle vit aujourd’hui sous la menace de la Russie, un pays qui a recours à la force et non au droit… Les dirigeants européens, pas plus que les citoyens, ne semblent avoir conscience de ce danger. L’Europe doit se réveiller d’urgence. S’armer. Les États membres de l’Union Européenne devraient agir comme des pays placés indirectement en situation de guerre. Car la Russie incarne désormais le modèle d’une société post-démocratique qui ébranle les valeurs fondatrices de l’Europe en s’appuyant sur le nationalisme. C’est la négation de la liberté. Déjà, dans les années 1930, les Allemands accusaient les juifs de pousser les démocraties occidentales dans une guerre contre leur pays. Les témoignages sur ces fauteurs de troubles sont innombrables. Commentaire supplémentaire de Frank Brunner: George Soros est un agent israélien qui mène des campagnes de désinformation et finance des oppositions bidons principalement constituées de politiciens corrompus et de crapules payées pour se livrer à des émeutes dans les pays pris pour cible par le lobby juif. En Ukraine, le lobby juif n’a eu aucun scrupule à s’associer à des néo-nazis pour fomenter un coup d’état. Cela permet d’apprécier à sa juste valeur le blabla de Gorges Soros et de ses pareils sur la démocratie et la liberté. En décrivant la Russie comme «un pays qui a recours à la force et non au droit», George Soros affecte hypocritement la vertueuse indignation, alors que sa formule pourrait surtout s’appliquer aux États-Unis et à Israël, deux pays qui mènent ouvertement des campagnes d’assassinat dans le monde entier et passent leur temps à semer la dévastation sur cette planète. Mais cela, George Soros ne veut surtout pas le voir. Ce qui est frappant, chez les sionistes, c’est leur propension à se donner des airs de références morales, alors qu’ils sont manifestement dénués de tout sens moral.







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Benjamin Netanyahu réélu pour poursuivre le génocide palestinien.

Суббота, 28 Марта 2015 г. 13:48 + в цитатник

Les accords d’Oslo, qu’Yitzhak Rabin et Yasser Arafat avaient imposé à leurs peuples, sont morts durant la campagne électorale israélienne. Benjamin Netanyahu a emmené les colons juifs dans une impasse qui sera nécessairement fatale au régime colonial de Tel-Aviv. De même que la Rhodésie ne vécut que 15 ans, les jours de l’État hébreu sont désormais comptés. Durant sa campagne électorale, Benjamin Netanyahu a affirmé avec franchise que, lui vivant, jamais les Palestiniens n’auraient d’État à eux. Ce faisant, il a mis fin à un «processus de paix» qui traînait en longueur depuis les accords d’Oslo, il y a plus de 21 ans. Ainsi s’achève le mirage de la «solution à deux États» (http://www.wikistrike.com/2015/03/netanyahu-sonne-...-la-solution-a-deux-etats.html). M. Netanyahu s’est présenté comme un fier-à-bras, capable d’assurer la sécurité de la colonie juive en écrasant la population autochtone. Il a apporté son soutien à al-Qaïda en Syrie. Il a attaqué le Hezbollah à la frontière du Golan, tuant notamment un général des Gardiens de la Révolution et Jihad Moghniyé. Il est allé défier le président Obama en dénonçant au Congrès les accords que son administration négocie avec l’Iran. Les électeurs ont choisi sa voie, celle de la force. Pourtant, à y regarder de plus près, tout cela n’est pas glorieux et n’a pas d’avenir. M. Netanyahu a remplacé la force d’interposition des Nations unies par la branche locale d’al-Qaïda, le Front al-Nosra. Il lui a offert un soutien logistique transfrontalier et s’est fait photographier avec des chefs terroristes dans un hôpital militaire israélien. Cependant, la guerre contre la Syrie est une défaite pour l’Occident et les pays du Golfe. Selon les Nations unies, la République arabe syrienne ne parvient qu’à sécuriser 60% de son territoire, mais ce chiffre est trompeur puisque le reste du pays est massivement un désert, par définition incontrôlable. Or, toujours selon les Nations unies, les «révolutionnaires» et les populations qui les soutiennent, qu’il s’agisse de jihadistes ou de «modérés» (c’est-à-dire d’ouvertement pro-Israéliens), ne sont que 212 000 sur les 24 millions de Syriens. C’est-à-dire moins d’1 % de la population. L’attaque contre le Hezbollah a certes tué quelques personnalités, mais il a été immédiatement vengé. Alors que M. Netanyahu affirmait que la Résistance libanaise était embourbée en Syrie et ne pourrait pas répliquer, le Hezbollah avec une froide précision mathématique a tué quelques jours plus tard, à la même heure, le même nombre de soldats israéliens, dans la zone occupée des Fermes de Chebaa. En choisissant les Fermes de Chabaa, la zone la mieux sécurisée par Tsahal, le Hezbollah lançait un message de puissance absolument dissuasif. L’État hébreu a compris qu’il n’était plus le maître du jeu et a encaissé ce rappel à l’ordre sans broncher.

Enfin, le défi lancé au président Obama risque de coûter cher à Israël. Les États-Unis négocient avec l’Iran une paix régionale qui leur permette de retirer l’essentiel de leurs troupes. L’idée de Washington, c’est de parier sur le président Rohani pour faire d’un État révolutionnaire une simple puissance régionale. Les États-Unis reconnaîtraient la puissance iranienne en Irak, en Syrie et au Liban, mais aussi à Bahreïn et au Yémen, en échange de quoi Téhéran cesserait d’exporter sa Révolution en Afrique et en Amérique latine. L’abandon du projet de l’imam Khomeiny serait garanti par une renonciation à son développement militaire, particulièrement mais pas uniquement, en matière nucléaire (encore une fois, il ne s’agit pas de la bombe atomique, mais des moteurs à propulsion nucléaire). L’exaspération du président Obama est telle que la reconnaissance de l’influence iranienne pourrait aller jusqu’à la Palestine.Benjamin Netanyahu endosse les habits de Ian Smith qui, en 1965, refusant de reconnaître les droits civiques des noirs de Rhodésie, rompit avec Londres et proclama son indépendance. Mais Ian Smith ne parvint pas à gouverner son État colonial qui fut dévoré par la résistance de l’Union nationale africaine de Robert Mugabe. Quinze ans plus tard, M. Smith devait renoncer tandis que la Rhodésie devenait le Zimbabwe et que la majorité noire arrivait au pouvoir. Les gesticulations de M. Netanyahu, comme jadis celles de Ian Smith, visent à masquer l’impasse dans laquelle il a plongé les colons. En gagnant du temps, durant les six dernières années, au lieu d’appliquer les accords d’Oslo, il n’a fait qu’accroître la frustration de la population indigène. Et en annonçant qu’il a fait patienter l’Autorité palestinienne pour rien, il provoque un cataclysme. D’ores et déjà, Ramallah a annoncé qu’il cesserait toute coopération sécuritaire avec Tel-Aviv si M. Netanyahu était à nouveau nommé Premier ministre et appliquait son nouveau programme. Si une telle rupture a lieu, la population de Cisjordanie, et bien entendu de Gaza, devrait se heurter à nouveau à Tsahal. Ce serait la Troisième Intifada. Tsahal craint tellement cette situation que ses principaux officiers supérieurs à la retraite ont constitué une association, Commanders for Israel’s Security, qui n’a cessé de mettre en garde contre la politique du Premier ministre. Ce dernier s’est avéré incapable de constituer une autre association pour le défendre. En réalité, c’est toute l’armée qui s’oppose à sa politique. Les militaires ont bien compris qu’Israël pourrait encore étendre son hégémonie, comme au Sud-Soudan et au Kurdistan irakien, mais qu’il ne pourrait plus étendre son territoire. Le rêve d’un État colonial du Nil à l’Euphrate est irréalisable et appartient à un siècle révolu. En refusant la «solution à deux États», Benjamin Netanyahu croit ouvrir la voie à une solution à la rhodésienne. Or, cet exemple a montré qu’il n’était pas viable. Le Premier ministre peut célébrer sa victoire, elle sera de courte durée. En réalité, son aveuglement ouvre la voie à deux autres options: soit une solution à l’algérienne, c’est-à-dire l’expulsion de millions de colons juifs dont beaucoup n’ont pas d’autre patrie pour les accueillir, soit une solution à la sud-africaine, c’est-à-dire l’intégration de la majorité palestinienne dans l’État d’Israël selon le principe «un homme, une voix»; la seule option humainement acceptable.

Même le petit singe a son avis sur la question ….




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Premiers résultats des élections départementales, et la soirée risque d'être longue

Воскресенье, 22 Марта 2015 г. 19:41 + в цитатник

L'abstention, c'est le premier parti de France. Faut dire qu'au bout d'un certain temps, l'anus du socialo de base, il finit par dire stop! Pourquoi se déplacer à l'isoloir? Suffit de se retenir, et c'est l'assurance pour lui de ne pas doubler ses pertes dans les deux ans qui viennent, comme disait Coluche: «Vaut mieux faire le dos rond que le cul large!», alors que les militants FN, eux, ne savent pas encore ce qu'ils ont à y gagner, mais ils sont plein d'espoir, et ça fait vivre!


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Soldes avant liquidation totale.

Суббота, 21 Марта 2015 г. 17:50 + в цитатник

Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, et l'ancien chef de l’État, Nicolas Shalom Sarkozy, ont dit jeudi soir à Toulouse leur amour à la communauté juive meurtrie par les attentats antisémites. Lors de la soirée d'hommage aux sept victimes, militaires et juifs, tués en mars 2012 par Mohamed Merah à Toulouse et Montauban, les deux responsables politiques ont conjuré les Juifs, à quelques minutes d'intervalle, de ne pas quitter le pays pour trouver plus de sécurité ailleurs, particulièrement en Israël. "Vous appartenez à l'Histoire de la France, ses malheurs, son miracle: la France ne serait pas la France sans la présence du judaïsme et des Juifs de France", a déclaré M. Sarkozy. "Partir, quitter la France offrirait une insupportable victoire posthume aux assassins", a encore déclaré l'ancien chef de l’État en ajoutant: "à travers vous, la France est attaquée, si vous partez c'est la France qui se met à genoux". Comme en écho le ministre de l'Intérieur a lancé aux 1.500 présents: "La France a besoin de tous ses enfants et elle a besoin des Juifs de France (...) elle sait parfaitement que si vous deviez quitter ses bras la France ne serait plus la France".

Le président de l'UMP, comme M. Cazeneuve ont été ovationnés en soulignant leur volonté de protéger les juifs contre les antisémites, avec les forces de police, de gendarmerie et l'armée. "Nous n'entendons pas céder à l'effroi que veulent semer les terroristes et resterons debout comme l'a démontré la mobilisation du 11 janvier", a réaffirmé M. Cazeneuve. - "Sans concession" - (http://www.lepoint.fr/politique/cazeneuve-et-sarko...ance-20-03-2015-1914335_20.php) Relevant de son côté que la mobilisation n'avait pas été de la même ampleur après l'assassinat de trois enfants juifs et d'un adulte par Mohamed Merah le 19 mars 2012, Nicolas Sarkozy n'a pas pour autant rompu le consensus de cette soirée de souvenir. "C'est parce qu'à quelques jours de l'élection présidentielle personne n'a voulu prendre une initiative risquant de constituer une récupération: "On ne récupère pas la mort de trois enfants, on la pleure, c'est l'honneur de tous les candidats", a lancé Nicolas Sarkozy. Le président de l'UMP a réaffirmé que sa formation voterait le projet de loi présenté jeudi par le gouvernement sur le renforcement du renseignement. M. Cazeneuve s'en est réjoui soulignant que "quand l'essentiel est en jeu les Républicains doivent s'exprimer d'une seule et même voix". Le ministre a réaffirmé que le gouvernement serait "sans concession à l'égard de la haine s'exprimant sur internet avec la sensation qu'on peut se dissimuler derrière des adresses IP pour déployer sa haine sans conséquence". "Bloquer ces sites c'est l'honneur de la France", a-t-il ajouté. Le ministre a aussi souligné la détermination du gouvernement à s'assurer que ceux qui sont partis faire le jihad en Irak et en Syrie "ne puissent pas revenir sur le territoire sans qu'ils soient judiciarisés et que la justice passe". L'ancien Président de la République, souvent adepte des phrases choc avait formulé sa pensée de manière plus catégorique quelques minutes plus tôt en déclarant: "tous ceux qui sont partis faire le jihad, s'ils sont français, c'est la prison quand ils reviennent, et s'ils sont binationaux, nous n'en voulons pas sur le sol de la République".

Le 30 janvier 2015, Panamza était le premier média francophone à dévoiler une information troublante, relative aux mystérieux attentats de Paris et basée sur un article -passé sous silence par la presse hexagonale- du New York Post: Michel Edmond Mimoun Emsalem, président et actionnaire unique (depuis 2010) du magasin Hyper Cacher -dans lequel s’est déroulé l’attaque terroriste imputée à Amedy Coulibaly- avait vendu son entreprise un jour avant. Précisément: "le 8 janvier, à 9 heures", lors d’une "assemblée générale extraodinaire". Ces précisions inédites sont extraites d’un document officiel que s’est procuré Panamza (moyennant paiement d’une dizaine d’euros) auprès du tribunal de commerce de Paris: le procès-verbal de la réunion, déposé le vendredi 13 mars (et consultable dans son intégralité ici) (http://www.interet-general.info/spip.php?article21214). Deux jours plus tard, le dimanche 15 mars, le magasin réouvrait ses portes en présence de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, et de Laurent Mimoun, un homme vaguement présenté par le site Actualité juive comme l’un des "repreneurs, peu avant le drame". Curieusement, ce n’est pas le nom de ce dernier qui figure dans le PV de l’AG extraodinaire: seul est mentionné le patronyme d’un certain Julien Aboulker, jeune homme de 35 ans -déjà gérant de l’entreprise Sodiam et désormais en charge du groupe Hyper Cacher- dont la particularité réside dans son implantation commerciale en Floride (16), auprès de son frère Serge Aboulker. Ce dernier, citoyen de Miami Beach et soutien de la dernière opération militaire israélienne contre Gaza, a d’ailleurs été récemment interviewé par la chaîne américaine NBC à propos des Français juifs exilés aux États-Unis. Dans son entretien accordé au New York Post, Michel Emsalem -un homme âgé de 50 ans qui indique vouloir bientôt rejoindre sa famille installée (depuis avril 2015) aux États-Unis- évoquait une simple "coïncidence" pour expliquer la vente opportune de son magasin la veille de l’attentat. Une opération opportune, pour cause: le secteur de l’alimentation casher a été négativement impacté par l’attaque du 9 janvier. "J’observe une baisse de fréquentation, même si je n’ai encore pas de chiffres. Et vous savez, les clients qui viennent ne s’éternisent plus beaucoup", faisait remarquer -début février 2015- la gérante d’un établissement parisien interrogée par France Télévisions. Détail singulier que révèle le PV: on y apprend que l’AG extraordinaire a été convoquée "quinze jours" auparavant via un courrier adressé par Michel Emsalem à … Michel Emsalem. Associé unique de l’entreprise, l’homme était à la fois président de l’Assemblée générale, gérant de l’Hyper Cacher et président de la holding ME Invest, alors détentrice du magasin (comme le précise le PV). Autre élement d’information atypique dans l’affaire: le dernier salarié embauché par Michel Emsalem pour diriger son magasin de la Porte de Vincennes est également celui qui a fait savoir, le premier, sa décision de ne plus y revenir. Selon Le Parisien, Patrice Oualid -présent dans l’épicerie depuis seulement quatre jours- prépare dorénavant son exil en Israël. Quant à Emsalem, bientôt installé à New-York, le mystère demeure sur la nature et l’envergure exacte de ses réseaux. Une chose est pourtante assurée: son épouse Dinah fait partie d’un maillage singulier. Cadre dirigeante (en charge des opérations nord-américaines) du groupe français de mode SMPC, elle travaille ainsi pour le compte d’un actionnaire principal inattendu: un puissant fonds d’investissement dénommé KKR. Fondé et présidé par deux richissimes cousins juifs américains (Henry Kravis et George Roberts), ce groupe financier a réussi, à l’instar de ses illustres prédécesseurs, à embaucher en 2013 -au sein de sa gouvernance- une personnalité dotée d’une connaissance intime des services secrets occidentaux: David Petraeus, ancien directeur de la CIA. Toute cette histoire sent la manipulation à plein nez!


Nos consignes de vote

Суббота, 21 Марта 2015 г. 16:35 + в цитатник

Comme disait le p'tit Jésus: «Il faut aujourd'hui défricher pour demain planter». Dimanche, on votera FN, car c'est un pas dans la bonne direction, mais en aucun cas une finalité. Marine Le Pen a autant de charisme qu'un chewing-gum dans la niche du chien. Entre pédés, franc-maçons, immigrés sub-sahariens, Musulmans, elle accumule plus qu'elle ne rassemble. Ce ne sera pas un vote d'adhésion, mais le coup d'envoi d'un grand nettoyage des parasites, un travail de longue haleine, où les dominos d'une République pourrie tomberont les uns sur les autres. Les socialistes qui ont bridé la liberté d'expression, asséché l'épargne des Français, vendu nos entreprises, détourné les lois vers leurs comptes bancaires, déclenché des guerres partiales aux motifs troubles, prouvé mille fois leur allégeance à Israël et à l'OTAN, doivent disparaître des organes décisionnaires, et il est évident que leurs relais médiatiques et culturels suivront rapidement. Les laisser au pouvoir, eux et leur philosophie d'un humanisme judéo-bolchévique, et c'est garantir l'expropriation de tous pour loger un Tiers-Monde qui se tape l'incruste en subsistant d'aides sociales.



Dans une question parlementaire qu’il vient d’adresser à la garde des Sceaux, Christiane Taubira, le député du Pas-de-Calais Guy Delcourt (PS) propose d’étendre le blocage administratif aux sites diffusant “des contenus injurieux ou diffamatoires pour les élus”. Il demande dans le même temps de basculer ces infractions dans le Code pénal afin de muscler la réponse judiciaire. En somme d’interdire toute critique envers les représentants du régime et le classement des opposants en “brigands idéologiques” (http://breizatao.com/2015/03/11/france-un-parlemen...s-envers-les-hommes-politiques). La récente loi sur le terrorisme a entrepris plusieurs réformes d’ampleur dans notre droit. Spécialement, elle a transféré dans le Code pénal l’apologie du terrorisme et son incitation. L’intérêt? Outre la comparution immédiate, cela fait jouer une prescription étendue à trois ans afin de frapper des propos nettement plus anciens. Aujourd’hui, comparativement, les messages vieux de trois mois ne sont plus attaquables au titre de la diffamation publique. La même loi a aussi activé le blocage et le déréférencement par la police politique des sites diffusant ce genre de contenus, et donc sans intervention du juge. Cette brèche ainsi ouverte devrait prochainement être exploitée pour d’autres infractions. François Hollande et le gouvernement voudraient par exemple l’étendre aux injures et diffamations à caractère raciste ou antisémite. La ministre de la Justice a de même suggéré de «confier à l’autorité administrative la possibilité de bloquer les sites et messages de haine raciste ou antisémite». Guy Delcourt, député PS, voudrait cependant qu’on aille un peu plus loin encore. Selon lui, «avec le développement croissant des nouvelles technologies et des supports d’informations et de publications libres, se multiplient et se banalisent presque les injures et propos diffamatoires envers les élus de la République». De tels propos fleuris agacent justement ce parlementaire: «Les élus (…) subissent des propos de plus en plus violents qui portent atteinte à notre démocratie, et ce sans véritable possibilité de faire cesser ces agissements, compte tenu de la lourdeur et de la complexité des recours existants». Du coup, il demande au gouvernement s’il ne serait pas possible d’étendre ces mesures aux injures et diffamations visant les représentants du peuple. Une telle démarche, qui n’a pas encore obtenu la réponse de l’exécutif, montre une nouvelle fois la banalisation de ces réponses juridiques à caractère parfois exceptionnel, comme le blocage administratif. Rappelons que l’élu en question avait été indigné par une banderole anti-ch’tis lors d’un match de football opposant Paris et Lens en mars 2008 au Stade de France. On pouvait lire dans les tribunes, le message « Pédophiles, chômeurs, consanguins: Bienvenue chez les Ch’tis». Si l’affaire avait conduit à la condamnation de plusieurs personnes, l’élu du Pas-de-Calais regrettait avoir «aussi fait l’objet de menaces sur Internet via les forums de certains groupes de supporters ultras de Paris». Un an plus tard, il décidait de bouder d’ailleurs une rencontre entre les mêmes équipes, car il avait «reçu des insultes sur un site Internet». Souvenons-nous que cet élu avait affiché son intention de porter plainte contre Gérard Dalongeville, auteur du livre Rose Mafia qui dénonçait un dispositif, dit-il, devenu habituel, avec enveloppes d'argent en espèces, marchés truqués et clientélisme. "Selon lui, les "affaires" se traitent souvent entre élus et entrepreneurs au sein de loges maçonniques".


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La mayonnaise socialiste ne prend plus

Пятница, 20 Марта 2015 г. 08:56 + в цитатник

BREIZ ATAO avait abordé le 11 mars dernier le cas d’un musulman somalien menaçant de faire sauter un immeuble dans la région rennaise. Notre article avait été largement partagé, l’opinion publique sachant pertinemment que les médiats du régime font œuvre de propagande, en étroite coopération avec le ministère de Police. La presse aux ordres avait suivi les consignes des services de sécurité du régime afin de maquiller l’affaire. Riposte Laïque a publié l’interview d’un journaliste autrichien, Jan Dietrich, présent sur les lieux. On apprend entre autre chose que ledit “déséquilibré” ne cessait de crier “Allahou Akbar” (voir vidéo ci-dessous) et que seuls les journalistes validés par le ministère de la Police ont pu interroger le GIPN. Comme dans tout régime de type soviétique, il faut donc se rapporter aux médiats étrangers pour être réellement informés quant aux agissements du gouvernement français (http://breizatao.com/2015/03/19/rennesislamiste-so...-flics-et-de-la-securite-detat). Fait révélateur, le témoignage du journaliste indique que la population n’est absolument plus dupe des manipulations du régime et de la coopération entre les services de sécurité de ce dernier et les médiats d’état: Jan Dietrich nous explique dans un entretien ce qu’il a vu et nous a envoyé des images du lieu et surtout un entretien montrant le déni de réalité voulu des médias et nous explique avoir constaté que seuls des journalistes accrédités par le ministère de l’Intérieur sont habilités à poser des questions aux forces de l’ordre même en étant dans la rue! Bonjour Jan Dietrich. Vous avez vu quoi à Rennes ce mardi 10 mars? J’étais là sur place pour faire des images pour mon agence qui est basée en Autriche et qui publie au niveau international sur des faits de société mais aussi culturels. La police avait ceinturé le lieu tout autour de l’immeuble où vivait le Somalien. Le GIPN était partout armé jusqu’aux dents. Ils ont dit quoi vos témoins? J’ai fait l’entretien d’une voisine qui habite au premier étage de cet immeuble. Le GIPN a investi son appartement pour négocier avec le Somalien. Cette voisine a expliqué que cet homme était depuis longtemps déjà très bizarre, qu’il regardait les gens d’un regard méchant et froid. Et durant mon entretien avec la voisine je fus assez surpris de l’entendre dire de manière directe et spontanée que le Somalien hurlait souvent chez lui en parlant de dieu et que ce mardi 10 février à partir de 17 heures il a hurlé dans la rue de son balcon Allahou akbar. Pourquoi votre surprise? Je dis surpris car les médias locaux ne parlaient que d’un type dérangé… suivi en psychiatrie. Ouest-France avait annoncé dans son édition un fou retranché dans son appartement et n’avait surtout pas parlé de l’hypothèse d’un djihadiste en train d’hurler Allahou akbar en menaçant les voisins! Et j’ai vu les autres journalistes sur place travailler, enfin sucer les pompes des autorités! Je pense être le seul à avoir recueilli le témoignage de cette voisine qui était sous le choc et qui se tenait à quelques mètres du groupe du GIPN. Hyper surpris non pas de voir que Ouest-France ou France 3 Rennes ne disent pas la vérité sur les faits mais surtout hyper surpris de voir que sur place les journalistes ne faisaient pas leur travail (pas un journaliste ne hurlait au scandale de l’information quand ils voyaient que l’information était encadrée) et aussi de voir le comportement du GIPN à l’égard de mon travail de journaliste. J’avais la confirmation que les journalistes en France sont des relais des flics ou de la sécurité d’Etat, système rencontré dans des dictatures comme en Roumanie ou en Allemagne de l’Est à l’époque. Quel était le comportement du GIPN à votre égard? J’ai demandé l’autorisation pour 1 entretien comme d’habitude. On m’a demandé d’attendre. Puis j’ai vu que «mon» gars du GIPN donnait un entretien à ce qui ressemblait à un journaliste avec caméra. J’ai filmé puis quand le «journaliste» a terminé de poser ses questions qui me paraissaient d’ailleurs à côté de la plaque (il s’occupait de savoir comment est le travail du GIPN au lieu de savoir comment est la menace djihadiste ici) j’ai posé la mienne. «Avez-vous trouvé des armes au domicile de l’homme?», j’ai demandé au gars du GIPN. Il a refusé de me répondre. Je lui ai alors signifié qu’il avait répondu à un journaliste avant moi. «Lui, il est accrédité par le ministère de l’Intérieur», fut sa réponse! J’en ai donc conclu qu’en France seul un journaliste accrédité par le ministère de la police peut poser des questions sur des faits graves comme sur le djihadisme en France. C’est assez sidérant comme situation! Puis j’ai parlé à d’autres voisins qui m’ont bien dit que ce Somalien n’était pas du tout fou! Ces gens sont parfaitement conscients de la manipulation médiatique, politique, et policière qui se joue en ce moment.




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On est tous un peu survivant, pas de favoritisme

Пятница, 20 Марта 2015 г. 08:52 + в цитатник

Des Italiens nous parlent de l’imposture du Yad Vashem, une grosse pompe à fric. Le site révisionniste italien Olodogma, dans sa millième mise en ligne en date du 19 mars 2015, article intitulé "La catena di montaggio dei morti olocaustici, "Magda Goebbels"... nel database dello Yad Vashem?" (La chaîne de montage des morts holocaustiques, "Magda Goebbels"... dans la base de données du Yad Vashem?"), raconte un bien joli coup dont il est l’auteur. Le quotidien italien "Corriere della sera", dans sa livraison du 11 novembre 2004, ayant invité les personnes ayant perdu de la famille ou des amis dans "l’Holocauste" à signaler au mémorial du Yad Vashem de Jérusalem les noms de ces disparus "con la promessa che verranno verificati e inseriti nel database" (avec la promesse que ces noms seront vérifiés puis insérés dans la base de données), le responsable du site Olodogma s’est livré à une plaisanterie (ce n’était d’ailleurs pas la première fois), dans l’intention de démontrer que cette base de données du Yad Vashem était tout sauf fiable. Voici ce qu’il écrit (traduction rapide): (http://olodogma.com/wordpress/2015/03/19/1000-la-c...-nel-database-dello-yad-vashem) "Aujourd’hui nous apportons la démonstration (une fois de plus) que le nombre des morts de l’Holocauste avancé par le musée de l’Holocauste de Jérusalem, le Yad Vashem, n’est pas crédible puisque N’IMPORTE QUI, en quelques clics, peut introduire un faux nom dans cette base de données... depuis 1 nom jusqu’à l’infini, ce n’est qu’une question de temps et de volonté... ou de nécessité!" Et Olodogma de publier une capture d’écran du site du Yad Vashem (mais sera-t-elle longtemps accessible?) démontrant l’enregistrement d’une fausse gazée inventée par le site, une certaine Edith Frolla: 1) le nom de Edith Frolla est... l’anagramme d’Adolf Hitler; 2) la date de naissance, 20 avril 1889, est... celle d’Adolf Hitler; 3) la profession: peintre... comme Hitler; 4) a vécu à Rome, au 29 via della Lungara, qui est... l’adresse de la prison romaine Regina Coeli; 5) la photo fournie à l’appui est la photo mondialement connue de... Magda Goebbels, femme de Goebbels! Cette Edith Frolla est censée avoir été gazée au camp de Majdanek au moyen de monoxyde de carbone. Et le site de conclure: "PERSONNE n’a procédé à la moindre vérification! Aucun contrôle! Même pas à propos de la photographie! Quand on vient nous dire que ce Vatican de l’Holocauste, le Yad Vashem, renferme les "preuves" de ces millions de victimes dudit Holocauste, on peut tranquillement en rire, ou transmettre l’adresse de cette 1000e mise en ligne". Quant à la loi anti-révisionniste qui était récemment sur le point d’être votée, elle semble dormir dans quelque tiroir du ministère, à Rome...


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Mensonges électoraux et gueule de bois.

Пятница, 20 Марта 2015 г. 08:49 + в цитатник

Un plan secret d’ultra rigueur est prévu par Valls après les élections et c'est Mélenchon qui le dit. Le gouvernement prépare un plan caché pour après les départementales. Pour le dire crûment, «ça va saigner». En effet, la Commission européenne exige de la France de nouveaux «efforts». Les 28 ministres des Finances de l’Union européenne ont validé le 10 mars la proposition de la Commission concernant la France. Quelle est cette proposition? Accorder un délai supplémentaire de deux ans pour ramener le déficit public sous la barre des 3% de la richesse du pays en 2017 au lieu de 2015. Comme toujours avec l’Union européenne, il ne faut pas croire aux bonnes nouvelles. Cette décision s’accompagne d’un chantage toujours plus odieux. D’autant que les maîtres allemands (financiers juifs) ont beaucoup froncé les sourcils (http://zebuzzeo.blogspot.ru). Et ça, ça ne pardonne pas dans l’Europe actuelle. La Commission exige un nouveau plan d’austérité pour la France. Elle exige 30 milliards d’euros de coupes budgétaires de plus que les 50 milliards d’euros déjà prévus par le gouvernement Valls d’ici 2017. Et pour commencer, la Commission exige 4 milliards d’euros de coupes supplémentaires dès cette année 2015. Dans son interview au Parisien, mercredi 4 mars, François Hollande a déjà accepté le nouveau diktat de la Commission. Il a déclaré que «si Bruxelles demande 4 milliards de plus pour respecter nos engagements en matière de réduction des déficits publics, ils seront trouvés par des économies nouvelles». Ce n’est pas tout. La Commission exige surtout de nouvelles «réformes structurelles». Dans son viseur figurent notamment de nouvelles réformes des retraites, de l’assurance-chômage et du marché du travail. Plus précisément, la Commission veut rendre plus difficile le départ à la retraite, réduire les indemnités des chômeurs, et faciliter les licenciements. Le commissaire européen Pierre Moscovici a été chargé de faire passer le message à la une du Figaro et sur France Info. En insistant sur la menace de «sanctions» contre la France si elle ne se conforme pas aux exigences des androïdes libéraux de la Commission. La Commission proposera une recommandation aux ministres des 28 pays de l’Union européenne le 10 juin. Avant cela, le gouvernement français doit présenter ses propositions de budget et de réformes à la Commission en avril et mai. Juste après les départementales. C’est pour cela que je parle de «plan caché». Pourquoi François Hollande et Manuel Valls ne disent-ils pas dans quels budgets ils vont couper avant les départementales? Pourquoi n’annoncent-ils pas précisément les réformes qu’ils préparent? Pourquoi attendre le lendemain des élections pour annoncer les mauvais coups? Le peu qu’on connaît fait froid dans le dos. Couper 30 milliards d’euros de plus dans les budgets publics et sociaux replongerait le pays dans la récession alors qu’il n’en est pas encore réellement sorti. Ce serait porter un coup peut-être fatal à certains services publics. Je pense en particulier à l’Hôpital public. Les coupes déjà programmées par le gouvernement équivalent à 22 000 suppressions d’emplois alors que les urgences sont déjà saturées, et les personnels hospitaliers n’arrivent déjà plus à faire face aux besoins malgré leur dévouement. Réduire l’indemnité chômage alors que 6 millions de personnes sont inscrites à Pôle Emploi serait un désastre social aggravant la pauvreté. Poursuivre le gel des retraites complémentaires serait un nouvelle violence contre les retraités déjà durement frappés ces dernières années. Durcir les conditions de départ en retraite aggravera le chômage, tout comme faciliter les licenciements. D’une manière générale, la poursuite de la politique d’austérité ne peut que provoquer plus de chômage et plus de misère. (source BRUXELLES2) La conférence de presse du Premier ministre français, Manuel Valls, qui rendait visite à la Commission européenne à Bruxelles, ce mercredi (18 mars), a tourné au désastre. Quasiment personne dans la salle de presse (immense, il est vrai). Heureusement qu'il y avait une vingtaine d'assistants et de stagiaires, français pour l'essentiel, et une partie de l'équipe du Premier ministre (près du podium) pour garnir la salle et éliminer l'impression de vide. Du rarement vu, pour la visite d'un Chef d’État ou de Gouvernement à Bruxelles. Même un commissaire européen, au portefeuille obscur, fait mieux!

Et si vous comparez avec la venue de la Chancelière Merkel ou du président du Conseil italien, avec une salle bourrée à craquer, la comparaison fait (très) mal. Ne confiez jamais à l'équipe de communication de Valls d'organiser un spectacle, vous êtes assurés du bouillon! (Sauf si c'est un spectacle comique pour Dieudonné!) (http://www.bruxelles2.eu/2015/03/18/la-communication-valls-a-bruxelles-un-flop/ ). Une attribution des questions .....Pour éviter tout dérapage, le service du porte-parole de la Commission (sur instruction du service de communication du Premier ministre?) a eu recours aux bonnes veilles méthodes, éprouvées par plus d'un régime un tantinet peu regardant sur la liberté de la presse: l'attribution des questions par avance. Un confrère d'un quotidien économique qui avait peine levé le doigt de son clavier s'est ainsi vu attribué une question. A côté de lui, mon confrère de France 2 qui levait la main, lui franchement, a été ostensiblement oublié. Un autre journaliste d'un grand quotidien français s'est vu rappelé, par SMS, qu'elle pouvait poser une question. Et, histoire de donner (un peu) une touche internationale à ce déplacement, un journaliste du Wall street journal a pu interrogé. En tout et pour tout, 3 questions… histoire de ne pas gâcher l'horaire du Premier ministre. Il faut dire que les journalistes de la presse européenne (hors la presse française) se comptaient sur les doigts de la main. Et Manuel Valls n'aime pas tellement la presse européenne, trop tatillonne à son goût (et qui n'auto-célèbre sans doute pas assez son génie, sa valeur et ses qualités). Un vide sidéral de fond. Sur le fond, on ne peut qu'être assez déçu. Manuel Valls s'engage à faire tout ce qu'il faut faire pour revenir dans le droit chemin. Il promet le «retour de la croissance pour 2015». (NB: Il faut y croire! Depuis 2009, c'est à peu près la 4e fois que j'entends ce genre d'affirmation qui ressort tout autant de la méthode Coué que de la réalité économique). Histoire de rappeler qu'il est à gauche, il explique que «l'Europe reste trop faiblement lisible par nos citoyens», «l'Europe ne doit pas être punitive!» gronde-t-il. Et il prend à partie les journalistes à Bruxelles «si amateurs de comparaison» en demandant «quel pays a fait en six mois une réforme comme la France faisant passer de 22 régions à 13!» Au final, un certain manque d'enthousiasme. Manuel Valls avoue d'ailleurs une «conversation utile, franche et directe» avec Jean-Claude Juncker. «Franche et directe sûrement» lui rétorque le président de la Commission européenne. Et d'ajouter un rien perfide: «Je pense qu'elle a été utile»… Heureusement qu'il existe d'autres indicateurs de l'influence française. Mais si elle devait se jauger aux trois critères habituels d'une communication réussie — du monde, du dialogue, du fond — force est de constater que ce déplacement du Premier ministre français à Bruxelles est un échec, un peu comme la bataille de Nerwinden il y a 222 ans…Il ne nous reste plus que Taubirat (ministre du tourisme syrien et des Dom-Tom français) pour relancer l'économie souterraine, le seul truc qui fonctionne encore dans ce pays.


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Manuel Valls matraque ses opinions.

Вторник, 17 Марта 2015 г. 09:44 + в цитатник

Une trentaine de militants nationalistes ont protesté lors de la venue du premier ministre français, Manuel Valls, lors de son déplacement à Yffiniac. Voici le récit des événements par un des militants présents: “Moi et 2 camarades avons été pour dire un petit bonjour à Valls lors de son meeting. Il y avait aussi des bonnets rouges avec nous, on était 30 environ à l’entré de l’hippodrome d’Yffiniac. On n’avait absolument rien dit lorsque subitement 30 gendarmes sont arrivés en courant, un d’entre eux nous a dit très sévèrement de reculer, les autres avançant vers nous de façon à nous faire reculer puis nous mettant à l'écart dans un champ. Ensuite, ils nous ont encerclé et bloqué ainsi pendant une heure avec au passage un contrôle d’identité. Lorsqu’on était encerclés, j’ai chanté le Bro Gozh et les autres on suivit. On a scandé des “Breizh Atav” également. Pour finir il nous ont ordonné de quitter les lieux sous peine d’utiliser la force” (http://breizatao.com/2015/03/16/yffiniac-des-milit...ice-lors-de-la-visite-de-valls).

BHL (Philosophe, écrivain, journaliste, essayiste, metteur en scène de théâtre, cinéaste, homme d'affaires, etc, etc..., né en 1948). «Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bérets, bourrées, binious – bref franchouillard ou cocardier – nous est étranger voire odieux». In le manifeste de présentation du premier numéro de GLOBE. «Qu’y a-t-il de plus imbécile, de plus bêtement obscurantiste qu’un nationaliste qui, dans les œuvres de l’esprit, dans un livre ou dans une toile, s’attache à retrouver la trace d’un hypothétique génie français? C’est un régionaliste qui dans les même œuvres de l’esprit, dans le même livre ou la même toile, ne hume plus que les parfums de Lorraine, des grasses terres de Beauce ou des embruns bretons». In l’ «Idéologie française», publié chez Grasset en 1981. «Ma religion est faite: entre l’État et la Bourse je choisis la Bourse». Dans le n° 9 du mensuel GLOBE de juillet/septembre 1986. «Je suis un cosmopolite résolu. J’aime le métissage et je déteste le nationalisme. Je ne vibre pas à «la Marseillaise». J’espère que le cadre national sera un jour dépassé». Dans une interview au Nouvel Observateur du 4 octobre 2007. «Nous sommes tous des juifs français exterminés par les nazis». Le Point 21/02/2008. «Ce n'est pas moi qui trouverai des circonstances atténuantes à la recrudescence de ces fièvres racistes qui, dans les démocraties européennes, voire aux États-Unis, ciblent, ici les minorités d'origine arabe, là les turcs, là encore les Roms». In le Point du 18/11/2010. «C’est en tant que juif que j’ai participé à l'aventure politique en Libye, que j’ai contribué à définir des fronts militants, que j’ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques. Je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas été juif». Déclaration pendant la première Convention nationale organisé par le Conseil représentation des organisations juives de France (CRIF) le dimanche 20 novembre 2011. «J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël!» Déclaration pendant la première Convention nationale organisé par le Conseil représentation des organisations juives de France (CRIF) le dimanche 20 novembre 2011. «La machine européenne est venue s'inscrire contre ces nationalismes mystiques et a commencé à les renvoyer au musée des horreurs historiques. Avec la mort de ces nationalismes, les Juifs perdent le plus redoutable de leurs adversaires». Récidives, 2004. «Il faut détruire les bosquets sacrés». In son livre "Le testament de Dieu", Grasset 1979. «Marine Le Pen ridiculise la France en montrant qu’un électeur sur cinq se reconnaît dans un programme débile, porté par un parti fétide et incarné par une candidate dont l’entourage reste, souvent, constitué des mêmes anciens de la Droite radicale, du GUD, de tels groupuscules négationnistes ou de telles bandes à Gollnisch ou à Mégret». Sur son blog la règle du jeu, le 23 avril 2012. «Il faut tout faire pour éviter de nouveau le cauchemar et la honte de voir un Le Pen au second tour des présidentielles. C’est un appel que nous avons lancé aux citoyens français fiers de leur pays et qui ne veulent pas le voir tomber entre les mains de voyous». «La France profonde, comme on dit, est une expression que je n’aime pas beaucoup». BHL, dans C à vous de France 5, février 2012.


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Вторник, 17 Марта 2015 г. 09:40 + в цитатник

L'accès à cinq sites internet accusés de faire l'apologie du terrorisme est bloqué depuis la fin de la semaine dernière, une première depuis la mise en place de cette mesure administrative le 6 février, a-t-on appris lundi auprès du ministère de l'Intérieur. Parmi ces sites internet figure celui d'al Hayat Media Center, une branche du groupe État islamique chargée de sa communication, ou encore le site islamic-news.info, selon cette source. Tous sont catalogués par la place Beauvau comme "se livrant à l'apologie du terrorisme" et diffusant des images de décapitation et relayant la propagande et les discours d'EI. L'ordre de blocage a été émis par l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC), chargé de la lutte contre la cybercriminalité à la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) (http://www.lepoint.fr/societe/terrorisme-la-france...-web-16-03-2015-1913186_23.php). Les fournisseurs d'accès, auparavant identifiés par les services de renseignements, ont ensuite eu 24 heures pour appliquer la décision."Nous sommes en phase d'évaluation et de rodage", a insisté un représentant du ministère de l'Intérieur devant la presse, "nous allons voir comment cela va répondre en face". Il a reconnu que l'ordre de blocage a été donné au fournisseur, mais pas à l'hébergeur ou l'éditeur des sites - ce qui serait plus efficace - "qui n'ont pas été identifiés". En dépit de cette faiblesse dans le dispositif, Beauvau a précisé que d'autres opérations de même type allaient viser d'autres sites, "plusieurs dizaines" étant potentiellement concernés. "Ce ne sont pas des sites d'opinion", dit-on à l'Intérieur afin d'anticiper d'éventuelles critiques sur la liberté d'expression sur internet. "L'apologie est un délit, il n'y a aucune ambiguïté possible sur ces sites là." "C'est la déclinaison concrète de la loi antiterroriste de novembre 2014", a déclaré le député socialiste Sébastien Pietransanta, un spécialiste de ces questions récemment chargé par le Premier ministre Manuel Valls de travailler, auprès du "patron" de la place Beauvau Bernard Cazeneuve, sur les phénomènes de radicalisation islamiste. "Il faut continuer dans cette voie", a-t-l dit. Cette possibilité de blocage administratif des sites internet soupçonnés d'apologie du terrorisme est l'une des mesures phares de la loi antiterroriste adoptée en novembre. Elle avait été critiquée par la commission consultative des droits de l'homme, autorité administrative consultative du gouvernement, qui estimait l'intervention d'un juge nécessaire pour ordonner et contrôler le retrait d'un contenu illicite et le blocage d'un site internet. Parmi les autres mesures de cette loi antiterroriste figure l'interdiction administrative de sortie du territoire des candidats au djihad. Six Français âgés de 23 à 28 ans qui s'apprêtaient à partir en Syrie ont ainsi vu leurs passeports confisqués à la mi-février pour six mois renouvelables pendant deux ans. Mercredi en conseil des ministre sera présentée une loi sur le renseignement, conséquence directe des attentats survenus en janvier en France et qui ont fait 17 morts. Aujourd'hui contre le terrorisme islamique, demain contre le nationalisme français, et après-demain contre les frondeurs PS: La censure, une solution extrême pour faire taire toute critique de l'affairisme et du clientélisme d’État! Les futurs Cahuzacs peuvent dormir tranquille.


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«Je visite la France, quand même!»

Суббота, 14 Марта 2015 г. 18:00 + в цитатник

Le Premier ministre Manuel Valls a martelé vendredi soir son ambition de faire campagne pour les départementales "jusqu'au bout, pour mobiliser, sans relâche" lors d'un meeting dans les Côtes d'Armor, à dix jours du premier tour. Il est partout, en ville avec les immigrés analphabètes, en campagne avec les cochons et les poules, même à l'hippodrome d'Yffiniac devant 500 militants séniles, tout près de Saint-Brieuc. Là-bas, notre juif a d'abord rendu hommage à Claudy Lebreton, président PS du conseil général des Côtes d'Armor et qui ne se représente pas: "Tu as fait beaucoup pour ce département. Mais tu as aussi fait beaucoup pour les départements dont tu présides l'association". "Nous avons beaucoup discuté, et nous sommes entendus sur l'essentiel", a-t-il souligné. "Les régions sont une force inouïe pour notre pays (...). Un échelon dont l'histoire puise au plus profond de notre République" (http://www.lepoint.fr/politique/valls-je-ferai-cam...ache-13-03-2015-1912689_20.php). Le Premier ministre a ensuite souligné "deux promesses tenues (...): le non cumul des mandats et la parité". "Oui, la parité, c'est nous qui l'avons faite". "Il est temps de réhabiliter la politique", a ajouté Manuel Valls en faisant applaudir les candidats par l'assistance. "Le choix, désormais, il appartient aux électeurs de le faire", a-t-il dit. "A nous aussi de rappeler que chaque élection a des conséquences!" "Mobilisons-nous aussi pour notre pays, pour dire aux Français que nous avançons. Dans le dialogue", a-t-il ajouté. "L'objectif, c'est une France plus juste et plus forte". "Quand on a été Président de la République, on respecte le peuple, on fait un choix, on ne fait pas de ni ni", a-t-il dit en allusion à son co-religionnaire Nicolas Sarkozy. "Je ne veux pas laisser le Front national gravir une marche de plus à l'occasion de ces élections!", a-t-il poursuivi. "Je ne veux pas que ce soit cela l'image de la France, en Europe, dans le monde". "Je ne veux pas laisser le champ libre à ce parti qui tolère dans ses rangs des propos - et un seul propos, c'est déjà trop! - racistes, antisémites, sexistes, homophobes", a-t-il ajouté, affirmant que "l'abstention, c'est faire le jeu du FN". Une longue litanie de formules creuses sorties tout droit de la bouche d'un parasite de la politique rémunéré à vie.

Il y a une semaine, lors de la journée internationale des droits des femmes, ce sont deux hommes qui se sont écharpés dans les médias. Manuel Valls a accusé le philosophe Michel Onfray de "perdre les repères" et de préférer l'intellectuel de la Nouvelle Droite, Alain de Benoist, à Bernard-Henri Lévy. "Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu'Alain de Benoist, qui était le philosophe de la Nouvelle Droite dans les années 70 et 80, qui d'une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l'Horloge, le Grece, (...) au fond vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu'on perd les repères", a dénoncé le Premier ministre sur Europe 1/i>Télé/Le Monde (http://www.lepoint.fr/politique/valls-accuse-miche...eres-08-03-2015-1911200_20.php). "Dans ce moment-là, mon rôle, le rôle des formations politiques, c'est de faire en sorte qu'on comprenne quels sont les enjeux", a-t-il confié. Ces propos du Premier ministre font suite à une interview de Michel Onfray au Point, où il affirmait "préfére(r) une analyse juste d'Alain de Benoist à une analyse injuste de Minc, Attali ou Bernard-Henri Lévy" (la basse cours juive). "Les Papous vont hurler! Mais ils ne me feront pas dire que je préfère une analyse injuste de BHL sous prétexte qu'il est dit qu'il est de gauche (...)", ajoutait-il. "Manuel Valls, l'ami de BHL, perd les pédales!" a réagi dimanche après-midi dans un communiqué le philosophe. "S'il faut une explication de texte à Manuel Valls (...) je disais que, moi qui suis de gauche, je préférais une idée juste, fût-elle de droite, à une idée fausse même si elle est de gauche, surtout si elle est de gauche. Quel philosophe, quel citoyen même, pourrait soutenir le contraire d'ailleurs, sauf à préférer l'erreur et le faux pour des raisons idéologiques?" s'est-il défendu. La gauche politique prouve une nouvelle fois qu'elle n'a pas de projets pour la France, et qu'elle se contente de critiques faciles envers ses opposants. Heureusement que ces départementales vont nous offrir l'occasion de passer un bon coup de balai sur les pourris du système: Francs-Maçons, Juifs et Associations de la Mémoire sélective. Tous dehors!


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Une âme d'artiste

Суббота, 14 Марта 2015 г. 17:54 + в цитатник

Le site d’information de Jeune Nation rapporte un nouvel épisode de la répression toujours plus brutale de l’expression nationaliste par le régime républicain. Voici ce que publie Jeune Nation: “Deux jeunes hommes ont été arrêtés pour avoir peint quelques slogans à Challans (Vendée), dans la nuit du 17 au 18 janvier 2015. «Ici c’est la France» – mais malheureusement occupée comme le montre ce jugement – proclamaient justement plusieurs inscriptions, agrémentées de croix celtiques, quand d’autres affirmaient: «La France aux Français». Jugés en comparution immédiate, ils ont écopé de 18 mois de prison dont six mois ferme, une peine d’une lourdeur jamais vue pour de simples slogans peints sur des murs. Ils devront par ailleurs indemniser les victimes et verser 3 500 euros de dommages et intérêts” (http://breizatao.com/2015/02/28/tyrannie-socialo-c...-un-tag-la-france-aux-francais). Ces faits sont un élément parmi de très nombreux autres qui attestent de la fuite en avant du régime face à la crise générée par ses contradictions internes. Écrivains, militants politiques, blogueurs, conférenciers ou journalistes liés aux forces d’opposition nationalistes ou identitaires, mais aussi chrétiennes, sont explicitement visés par le gouvernement qui n’a plus recours qu’à la répression pour se maintenir au pouvoir. Comme le fait observer Jeune Nation: “Les nationalistes se doivent de respecter ce qui est respectable, les biens privés notamment. Mais il est impossible de ne pas dénoncer l’injustice de ce verdict, à l’heure où les casseurs d’extrême gauche de Toulouse et de Nantes, agissant en réunion, avec préméditation, souvent en récidive, taguant, caillassant les policiers, détruisant des voitures et des scooters, incendiant des conteneurs à poubelles, ont écopé ces derniers jours au minimum de peines inférieures et le plus souvent de peines très inférieures pour des faits nettement plus graves. Comment ne pas être indigné quand tout près de là, un pédocriminel vient d’écoper de seulement un an de prison ferme pour des viols commis contre sa propre fille – morte à 25 ans après être tombée «accidentellement» dans un escalier avant le jugement –, et alors que ce criminel est actuellement en «arrêt maladie» et vit de l’argent des Français? Il est à noter que l’agent du gouvernement d’occupation, visiblement à la recherche d’une rapide promotion, avait requis trois ans de prison de prison dont 18 mois ferme, c’est-à-dire plus que le policier pédocriminel et incestueux. Alors que les violeurs d’enfants, les traîtres et les corrompus paradent dans les ministères et les parlements de leur République juive, les deux jeunes Français ont été immédiatement conduits en prison.” Personnellement, nous ne cautionnons pas ces graffitis, puisque pour nous, le seul qui vaille le coût d'être taguer, c'est «Mafia Juive», et je peux même vous en donner l'ISBN!


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Les 2 mobylettes de la «Solution Finale»

Суббота, 14 Марта 2015 г. 14:00 + в цитатник

Comme disait Jésus: «le Diable se cache dans les détails!». Regardez la $hoah, c'est l’événement le plus célèbre de l'histoire de l'humanité, et pourtant on connaît très peu de choses dessus à part les documentaires émotionnels et les films de science fiction à la Spielberg! Pour sûr, c'était de la mort industrielle, mais la machine était loin d'être infaillible. On apprend ainsi que les Nazis ont utilisé deux mobylettes d'appartement pour couvrir les cris des suppliciés, malheureusement elles sont rapidement tombées en panne, et tout le camp a alors pu comprendre que les juifs chantaient faux sous la douche.



Un mois jour pour jour après que quelque quatre millions de Français eurent défilé dans les rues de France pour défendre la liberté d’expression, le 11 février 2015, le révisionniste Vincent Reynouard était condamné par le tribunal correctionnel de Coutances (Manche) à deux ans de prison ferme pour avoir contrevenu à la loi Gayssot interdisant depuis un quart de siècle toute contestation publique de l’“Oh Low Cost” en postant sur la Toile des vidéos pédagogiques historiquement incorrectes (http://www.interet-general.info/spip.php?article21118). Qui connaît un tant soit peu Vincent sait à quel point ce quadragénaire souriant et travailleur est un homme pacifique, apôtre de la non-violence. Le condamner à une peine aussi lourde, alors qu’il n’a commis d’autre crime que de dévoiler les conclusions de ses recherches historiques et de dire publiquement, à visage découvert, sa sympathie sincère pour les puissances de l’Axe est une infamie. Aux conséquences désastreuses, puisque Reynouard, du fait de cette condamnation judiciaire, vient de perdre les deux activités professionnelles qu’il avait réussi non sans mal à obtenir et qu’il se voit condamné à un dilemme cornélien: soit retourner derrière les barreaux d’ici quelques mois, lorsque la cour d’appel de Caen aura, hélas selon toute vraisemblance, maintenu une peine de prison ferme et que la cour de cassation l’aura confirmée, soit s’exiler pour toujours. Que l’on nous permette dans cet éditorial de rappeler à cette occasion —car ils le méritent— les noms des courageux militants révisionnistes actuellement embastillés pour avoir refusé de brûler leur grain d’encens devant l’idole holocaustique (merci à Bocage de nous avoir considérablement aidé dans ce travail). L’Allemagne est sans surprise le pays le plus hostile à la libre expression du révisionnisme. A la prison de Brandenbourg-sur-Havel est détenu depuis le 25 février 2009 l’héroïque avocat Horst Mahler, 79 ans, ancien membre de la Fraction armée rouge dans les années 1970, condamné à 12 ans et 11 mois de prison (qui dit mieux?) et qui ne pourra être libéré qu’en 2021, à 85 ans! Il risque même davantage depuis qu’une affaire a été ouverte contre lui pour avoir été à l’origine de la diffusion sur la Toile —et par la suite sur papier!— d’un livre, Das Ende der Wanderschaft [La fn de l’errance], qu’il a écrit en prison en guise de réponse au livre de Gilad Atzmon, Quel juif errant?, qui lui avait été envoyé à la prison. En Allemagne encore, mais cette fois à la prison de Bützow: Axel Möller, 49 ans, ancien responsable du site Altermedia Deutschland, a été condamné à 3 ans et demi et est incarcéré depuis le 7 décembre 2011 (il devrait normalement sortir le 29 mai 2015). Outre-Rhin toujours, à la prison de Nuremberg est détenu Gerd Ittner, 56 ans (qui a fait des études d’archéologie, de sanskrit et d’indologie). Condamné en 2005 à 2 ans et 9 mois de prison, Ittner s’est enfui, a été en exil pendant 7 ans, arrêté au Portugal le 11 avril 2012 où il reste incarcéré 5 mois, puis est extradé en Allemagne le 18 septembre 2012. Il avait en principe terminé sa peine le 15 octobre 2014, mais on le prévient, deux jours avant sa sortie, qu’une autre affaire est ouverte contre lui et qu’on le maintient en prison en attendant le procès (vraisemblablement pour éviter qu’il n’échappe à la justice): en effet, pendant son incarcération au Portugal il a envoyé à des personnalités des courriers contestant les crimes contre l’humanité, courriers pour lesquels il devrait être jugé prochainement. En Autriche, à la prison de Krems-sur-Stein est incarcéré Wolfgang Fröhlich, 63 ans, ingénieur chimiste (spécialiste des questions de désinfection!). Il a fait l’objet de plusieurs condamnations, toutes pour révisionnisme, condamné au total à plus de 8 ans de prison, incarcéré depuis août 2007 et ne devrait pas sortir avant janvier 2016. Il envoie des courriers à toutes sortes d’autorités —au président de la République Heinz Fischer, au chancelier, à une «commission épiscopale», dépose plainte contre le faux expert Jagschitz, etc.— mais n’obtient jamais aucune réponse à aucun de ses écrits… A cette liste, il convient d’ajouter tous les révisionnistes qui ont déjà été emprisonnés dans le passé pour leurs travaux: le fondateur et directeur du Courrier du Continent Gaston-Armand Amaudruz (Suisse, emprisonné à l’âge de 83 ans!), René-Louis Berclaz (Suisse), Frank Brunner (Suisse), Günter Deckert (Allemand), Dietlieb Felderer (Suédois), le directeur de Révision Alain Guionnet (Français), Gerd Honsik (Autrichien), David Irving (Anglais), Walter Ochensberger (Autrichien), Franz Radl (Autrichien), Ahmed Rami (Suédois), Fritz Rebhandl (Autrichien), Vincent Reynouard (Français), Manfred Roeder (en tout 12 ans de prison), Germar Rudolf (Allemand), Hans Schmidt (Germano-Américain), Herbert Schweiger (Autrichien), Simon Sheppard et Steven Whittle (Anglais), Sylvia Stolz (Allemande), Fred Toben (Australien), Pedro Varela (Espagnol), Siegfried Verbeke (Flamand), Udo Walendy (Allemand), Ernst-Hubert Zafke (Allemand), Ernst Zündel (Germano-Canadien, 7 ans). Le cas de Jürgen Graf, l’auteur de L’Holocauste au scanner, est particulier car il n’a pas réellement été embastillé: condamné à 15 mois de prison ferme le 16 juillet 1998, confirmé le 23 juin 1999, J. Graf s’est exilé, n’a pas été extradé du lieu de son exil et devrait enfin pouvoir rentrer en Suisse prochainement car la prescription de sa condamnation est acquise depuis le 2 septembre 2014. Seize actuellement dans le monde punissent pénalement le révisionnisme. Il s’agit de l’Allemagne, de l’Autriche, de la Belgique, de l’Espagne, de la France (qui fut la première nation à voter une loi antirévisionniste, dès 1990, il n’y a pas de quoi s’en vanter!), de la Hongrie, d’Israël, du Liechtenstein, de la Lituanie, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la Pologne, du Portugal, de la République tchèque, de la Roumanie, de la Suisse. Un dix-septième État pourrait bientôt s’ajouter à cette liste impressionnante: l’Italie. La loi antirévisionniste a en effet été approuvée le 11 février 2015 par le Sénat et doit repasser devant la Chambre sous peu… Notons toutefois que les persécutions peuvent prendre bien d’autres formes, parfois bien plus insidieuses: les révisionnistes, on les assassine (François Duprat en 1978, vraisemblablement le Polonais Ratajczak), on les vitriole (Michel Caignet), on les roue de coups (Robert Faurisson en 1989 à Vichy), on les chasse de leur emploi (Bernard Notin en 1990, Vincent Reynouard en 1997 et tant d’autres), on les dépossède de leurs titres universitaires ou professionnels (Wilhelm Stäglich, Henri Roques, Eric Delcroix), on s’attaque à leur femme ou à leurs enfants… et/ou on les accable d’amendes et de dommages-intérêts pour les ruiner (Jean-Louis Berger, Martin Peltier, Georges Theil, Fredrick Töben, David Irving, et tant d’autres). Il ne faut pas compter sur les grands media pour évoquer le cas de ces martyrs des temps modernes. Même dans la mouvance dite d’extrême droite combien croient plus sage, plus habile, plus efficace de ne jamais parler du révisionnisme ni même de la redoutable répression qui frappe les révisionnistes! Ce ne sont que des lâches ou des imbéciles, des jeanfoutre pour lesquels nous n’avons que mépris. Si le révisionnisme n’était pas essentiel, si l’“Oh Low Cost” n’était pas la clé de voûte du système mondial, une contre-religion et une contre-morale universelle, croit-on vraiment que le Système se donnerait tant de peine pour faire taire par tous les moyens une poignée de libres chercheurs imperméables à toutes les pressions avouables et inavouables? Les juifs ne peuvent pas argumenter la $hoah, car on n'argumente pas l'émotionnel! Texte de Jérôme BOURBON.




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Pyjama contre quenelles!

Суббота, 14 Марта 2015 г. 13:49 + в цитатник

Sept heures de spectacle gratuit! Les admirateurs d'Alain Soral n'en demandaient pas tant. L'essayiste d'extrême droite, fondateur du site Égalité et Réconciliation, était convoqué devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. Il y comparaissait pour avoir publié une photographie le mettant en scène au mémorial de l'Oh Low Cost de Berlin en train de faire une quenelle. Ce geste, assimilé à un salut nazi inversé par le président de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), a été popularisé par Dieudonné (http://www.lepoint.fr/justice/soral-et-dieudonne-d...es-13-03-2015-1912456_2386.php). Ça tombe bien. "Le créateur de la quenelle", comme il se proclame, a fait le déplacement entouré de cinq gardes du corps. Pour l'occasion, il s'est constitué partie civile. À la barre, vêtu d'un tee-shirt gris auréolé de larges traces de transpiration, Alain Soral s'empresse de dénoncer la manipulation dont il serait la victime. Le cirque ne fait que commencer. Pire, ce "national-socialiste" revendiqué serait "harcelé par la communauté juive". Ce n'est pas lui qui aurait rendu publique la photographie incriminée. C'est un hacker, travaillant pour JSS News (un site d'opinion israélien francophone), qui l'aurait subtilisée en piratant son compte privé Facebook. Mais Alain Soral semble avoir oublié de s'être servi du cliché à plusieurs reprises sur son site internet. Les avocats des parties civiles se chargent de le lui rappeler. Prise en septembre 2012, la photo circule quelques mois plus tard sur les réseaux sociaux. L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) et l'association J'accuse saisissent aussitôt la justice pour injures publiques à caractère racial. Pourtant, Alain Soral le jure, la quenelle n'est pas un geste antisémite. Feignant une gêne toute relative, il explique qu'il s'agit d'un hommage au "fist-fucking", une pratique qu'il assimile au yoga. À l'entendre, le mémorial serait un lieu uniquement fréquenté par la communauté gay. Dans la foulée, Alain Soral dévoile sa bisexualité au tribunal. Tout sourire, il se retourne vers son fan-club et lui adresse un clin d’œil. Piqûre de rappel, Alain Soral cible régulièrement les homosexuels, qu'il surnomme les "tapettes", à travers ses nombreuses interventions. Peu avare en explications, l'essayiste offre une nouvelle signification de la quenelle, moins personnelle celle-ci. Ce serait un "geste d'insoumission envers les manipulateurs sionistes des victimes de la $hoah". Comprenne qui pourra. La larme à l’œil, il rappelle être fils et neveu de résistants. Grincement de dents. C'est au tour du "créateur" de la quenelle de prendre la parole. Dieudonné se vante d'en "glisser" à longueur de journée comme "toutes les plus grandes stars du sport". Le tribunal ferait fausse route, prétend-il. La quenelle n'est pas un salut nazi inversé mais "le geste d'insoumission de l'esclave des champs". L'huissier fait entrer un premier témoin. Nicolas Roth, juif hongrois déporté à Och-Birk'Now, s'avance à la barre. Il a été cité, comme deux autres rescapés des camps de la mort, par l'association Mémoire 2000, qui s'est constituée partie civile. Les années écoulées n'ont pas effacé l'horreur: la fumée s'échappant des fours crématoires, l'odeur de la chair brûlée, la mort de ses parents et de sa petite soeur. "C'est évident que la quenelle évoque le geste hitlérien", confie-t-il. Pour seule question, Lahcène Drici, l'avocat d'Alain Soral, l'interroge sur sa sensibilité quant à la souffrance des Palestiniens. Isabelle Choko, elle aussi déportée, d'une voix empreinte d'émotion, s'insurge contre le geste d'Alain Soral. Jamais elle n'aurait pu imaginer qu'un homme puisse faire autre chose que de se recueillir dans ce lieu de mémoire. Un peu plus tôt, Élie Buzyn est revenu sur ses terribles souvenirs. Prenant la parole, Dieudonné, tout en assurant avoir été bouleversé, lui demandera: "Hitler était-il un comique?" Incident de séance, et réponse cinglante: "Non, Hitler n'était pas un comique." Au milieu des traditionnelles associations, d'improbables parties civiles se sont glissées dans la procédure. Toutes du côté d'Alain Soral. À commencer par Dieudonné qui, choqué par la signification sexuelle donnée à sa quenelle, réclame un franc CFA de dommages et intérêts à son compère. Un sketch grotesque. Jacques Bidalou, un ancien magistrat révoqué en 1987 et qui hante aujourd'hui les couloirs des tribunaux, s'étonne du procès fait à Alain Soral. Il est évacué manu militari après avoir prononcé un mot de trop. Dieudonné en profite pour lever le camp. L'essayiste d'extrême droite suit le même chemin peu de temps après. "Nous avons affaire à un nazi, et je pèse mes mots", plaide Stéphane Lilti, l'avocat de l'UEJF. Nicolas Salomon, conseil du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNVCA), affirme à son tour que "la quenelle est un geste antisémite". Au total, les demandes des parties civiles s'élèvent à un peu moins de 250 000 euros. Dans ses réquisitions, la procureur Annabelle Philippe rappelle que le prévenu a déjà été condamné à deux reprises pour des propos visant la communauté juive. S'avouant peu convaincue par les explications d'Alain Soral, elle conseille au tribunal d'entrer en voie de condamnation sans pour autant préciser la peine. Pour Me Lahcène Drici, il ne s'agit ni plus ni moins que de la mise à mort de son client. Fort de son physique de boxeur, il tient à informer le tribunal qu'Alain Soral jouit d'un public beaucoup plus important que les associations ici présentes. Selon lui, "SOS Racisme relèverait de l'escroquerie". Dominique Sopo, assis dans la salle, manque de s'étouffer en avalant sa banane. L'essayiste d'extrême droite fait son retour. Il présente ses excuses et menace aussitôt: "Plus vous me persécuterez, plus mon audience montera." Fin du show. Les fans de Soral applaudissent à tout rompre, pendant que l'association «Adopte un rescapé» distribue ses tracts en s'égosillant: «tatoué, vacciné, propre dans sa caisse, et ça fera plaisir aux enfant». En attendant le délibéré du 12 mai 2015.



Le tribunal de grande instance de Paris qu'a pas beaucoup de sens de l'humour, a interdit mercredi la commercialisation du DVD du spectacle du polémiste controversé Dieudonné, Le Mur, dont la représentation avait déjà été interdite, a-t-on appris de source judiciaire. Saisi par la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme), le tribunal a jugé certains passages du DVD constitutifs de provocation à la haine et à la violence raciale ou religieuse, d'apologie et contestation de crimes contre l'humanité, d'apologie des délits de crimes de collaboration avec l'ennemi (http://www.lepoint.fr/justice/le-dvd-du-spectacle-...te-04-03-2015-1909996_2386.php). Début janvier 2014, plusieurs arrêtés avaient été pris pour interdire les représentations du spectacle de l'humoriste, baptisé Le Mur, dans plusieurs villes. Dieudonné M'Bala M'Bala, 49 ans, les avait contestés devant la justice administrative, jusqu'au Conseil d'État, qui avait confirmé la validité des arrêtés. Le polémiste s'était ensuite engagé à ne pas reprendre les passages attentatoires à la dignité humaine et de nature à provoquer la haine et la discrimination raciale, mais le Conseil d'État avait de nouveau validé l'interdiction d'une autre représentation. Il n'a plus joué depuis ce spectacle, mais le DVD a été mis en vente sur le site internet de Dieudonné à partir de la fin du mois de juillet 2014. Le tribunal a ordonné le retrait du DVD de la vente et l'interdiction de sa commercialisation, des mesures rares. Dieudonné et les productions de la Plume ont en outre été condamnés à verser solidairement 5 000 euros de dommages et intérêts à la Licra et 2 500 euros pour les frais de justice. Les juges de la 17e chambre civile ont estimé que certains propos de Dieudonné, qui font un lien entre la $hoah et l'argent qu'aurait recueilli la communauté juive, relèvent de la provocation à la haine envers les juifs. Un passage dans lequel Dieudonné émet un doute sur la responsabilité respective des nazis et des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale a été jugé constitutif de contestation de crimes contre l'humanité. Le tribunal a jugé un autre passage, dans lequel il s'en prend au journaliste Patrick Cohen, constitutif de l'apologie de crime contre l'humanité. Ces mêmes propos - "si le vent tourne, je ne suis pas sûr qu'il ait le temps de faire sa valise. Quand je l'entends parler, Patrick Cohen, je me dis, tu vois, les chambres à gaz... Dommage" - ont également donné lieu à des poursuites pénales contre Dieudonné. Le jugement doit être rendu le 19 mars. Par ailleurs, le 18 mars, le tribunal correctionnel de Paris rendra son jugement concernant les poursuites engagées contre Dieudonné pour apologie du terrorisme pour son message sur Facebook "Je me sens Charlie Coulibaly", posté le 11 janvier, alors que des millions de personnes défilaient en France pour rendre hommage aux 17 victimes des attentats ayant visé Charlie Hebdo, des policiers et des juifs. Rendu célèbre dans les années 90 par ses sketches avec l'humoriste juif Élie Semoun, Dieudonné, d'origine camerounaise, a ensuite exprimé de plus en plus ouvertement des positions antisémites. Il s'est aussi rapproché du Front national, dont l'ancien président, Jean-Marie Le Pen, est le parrain de l'un de ses enfants. Dieudonné a lancé récemment un parti politique avec l'essayiste d'extrême droite Alain Soral.


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«Faut'il rééduquer la population française?»

Четверг, 12 Марта 2015 г. 21:21 + в цитатник

Le gouvernement a affiché son intention d’extraire les discours haineux de la loi de la presse de 1881, cadre classique de la liberté d’expression, pour en faire des délits de droit commun. Juristes et associations s’inquiètent d’une justice expéditive. Le projet était dans les cartons du ministère depuis l’été et les manifestations contre l’attaque israélienne de Gaza, en marge desquelles des propos antisémites ont été proférés. Tout s’accélère après les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher. Christiane Taubira veut agir vite: la ministre de la Justice annonce vouloir durcir la répression des propos racistes et antisémites en les faisant basculer du droit de la presse, plus spécialisé, au code pénal, plus répressif (http://www.liberation.fr/societe/2015/03/03/propos...i-tout-noir-tout-blanc_1213501) . Sévir contre les racistes et les antisémites? L’idée semble consensuelle. Depuis les attentats de janvier, les actes islamophobes ont augmenté de 70% par rapport à janvier 2014, indique le Collectif contre l’islamophobie. Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) note, lui, un doublement des actes antisémites en un an seulement. C’est justement lors du dîner annuel du Crif, le 23 février, que François Hollande reprend à son compte la promesse de sa garde des Sceaux. La bonne solution? «Il y a quelque chose de très politique à s’imaginer que tous les problèmes sont solubles dans la loi et que celle-ci peut changer le réel», estime le philosophe François de Smet, auteur de Reductio ad Hitlerum (PUF, 2014), ouvrage sur le point Godwin, procédé visant discréditer les propos d’un adversaire en les associant à Hitler. Le plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme du gouvernement Valls sera précisé dans une dizaine de jours : les propos racistes et antisémites, mais peut-être aussi homophobes, devraient donc devenir des délits de droit commun et les sites racistes, antisémites ou homophobes pourront être bloqués administrativement (lire page 5). Toutefois, deux mois après les attentats, le ministère de la Justice avance avec un peu plus de prudence. Le cabinet de la ministre a dû en effet recevoir la Ligue des droits de l’homme, dont le président, l’avocat de gauche Henri Leclerc, est vent debout contre ce projet qu’il juge être une atteinte à la loi sur la presse. La Commission consultative nationale des droits de l’homme n’est pas plus enthousiaste : «Les infractions incriminant les discours de haine, abus de la liberté d’expression, présentent une spécificité telle qu’il n’est pas permis de les intégrer dans le code pénal». Même SOS Racisme ne soutient pas le gouvernement: «Je perçois depuis les attentats une volonté de remise en ordre de la société qui n’est pas de bon aloi, estime Dominique Sopo, le président de l’association. Le problème de la répression des discours racistes n’est pas que les peines sont trop légères, mais qu’il est difficile de faire reconnaître ces délits. Leur entrée dans le droit pénal n’y changera rien». La Ligue contre le racisme et l’antisémitisme comme l’Union des étudiants juifs de France soutiennent en revanche, le projet: «On ne cesse de dire que le racisme n’est pas une opinion mais un délit. Pourquoi alors ne le juge-t-on pas comme tel?» s’interroge son président Alain Jakubowicz (lire son interview page 4). Toucher au vieil édifice protégeant la liberté d’expression n’est pas sans risque. Aujourd’hui, la répression de l’injure, de la diffamation ou de l’incitation à la haine raciste, antisémite ou liée à la religion est définie par la loi sur la liberté de la presse de 1881. Comme tout délit, ces abus à la liberté d’expression sont jugés au pénal. Mais la loi sur la presse organise un système protecteur pour la liberté d’expression: ses abus ne peuvent pas être jugés en urgence, par le biais de la comparution immédiate, les délais de prescription sont raccourcis, les suspects ne peuvent pas être mis en garde à vue et, dans les grandes juridictions, les juges et avocats sont souvent spécialisés dans ces affaires. La raison en est historique: à la fin du XIXe siècle, après des décennies de censure royale et impériale, il s’agissait de protéger la presse d’opposition, la liberté d’imprimer ou d’afficher. Elle est aussi symbolique: ce régime dérogatoire venait jusqu’à présent rappeler que, même s’ils sont odieux, les discours ne peuvent être jugés comme les autres délits, parce qu’ils touchent à une liberté fondamentale de la démocratie: la liberté d’expression. Ce qui ne veut pas dire, d’ailleurs, qu’ils ne peuvent pas être très sévèrement punis: l’ex-candidate FN Anne-Sophie Leclère, qui avait comparé Taubira à un joli singe sur Facebook, a été condamnée à neuf mois de prison ferme (elle a fait appel). En transférant la répression des discours de haine dans le code pénal, le gouvernement voudrait les transformer en délits de droit commun, comme un viol ou un vol de bicyclette. Au-delà du symbolique, cette réforme aurait des impacts très concrets. Le mois dernier, les tribunaux ont eu l’occasion de donner un piteux exemple de cet engrenage répressif en sanctionnant tous azimuts l’apologie du terrorisme. La loi contre le terrorisme votée en novembre, rédigée par le juif Valls et défendue par Cazeneuve, avait justement fait passer le délit d’apologie du terrorisme de la loi de 1881 sur la presse vers le code pénal. Ce durcissement visait les recruteurs djihadistes sur Internet. Mais ce sont avant tout des cas psy et des alcooliques égarés qui se sont retrouvés en comparution immédiate, et parfois même en prison pour avoir beuglé «je suis Kouachi» (lire page 5). Christiane Taubira, qui avait pourtant demandé aux procureurs de poursuivre avec célérité ces délits, a elle-même été catastrophée par les excès de cette nouvelle loi. Certains points du projet actuel sont donc toujours en discussion. Le ministère réfléchit sérieusement à limiter la portée de son texte en rendant impossible la comparution immédiate dans les dossiers réprimant les discours antisémites et racistes. «L’enfer est pavé de bonnes intentions, prévient Jean-Yves Dupeux, président de l’Association des avocats praticiens du droit de la presse. Il faut évidemment lutter contre le racisme. Mais la loi sur la presse de 1881 est équilibrée, elle a fait ses preuves. Le formalisme juridique qu’elle impose est très utile à la formation d’une décision pesée dans des dossiers parfois délicats». On ne devrait pas pouvoir répondre en quelques minutes à la question: tel dessin est-il diffamant pour les croyants ou participe-t-il de la liberté d’expression? «Gardons-nous de toute superstition textuelle: la loi de 1881 ne doit pas devenir une vache sacrée à laquelle il serait interdit de toucher, prévient Gwenaële Calvès, professeure de droit public à l’université de Cergy-Pontoise. C’est vrai que c’est une loi faite de sédimentations successives, mal rédigée, pleine de dents creuses». Depuis la fin du XIXe siècle, quoi de commun en effet entre l’expression de journalistes couchée sur du papier et la prise de parole de tous via, notamment, le numérique et les réseaux sociaux? «Un toilettage ne serait pas du luxe, résume la juriste. Mais la délocalisation vers le code pénal est dangereuse: la loi de 1881 organise délibérément une lenteur qui permet aux parties de se calmer et à la justice de passer plus sereinement».




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Face à 3 kilos de savoir, c'est le cafard qui perd!

Понедельник, 02 Марта 2015 г. 01:08 + в цитатник

Le livre qui a servi de base idéologique au nazisme du IIIe Reich, le tristement célèbre "Mein Kampf" ("Mon combat") d’Adolf Hitler, va être réédité en Allemagne pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale. L’interdiction de sa réimpression vient récemment d’être levée. Le livre était interdit de réimpression en Allemagne depuis la fin de la guerre 39-45 (http://www.rtbf.be/info/medias/detail_mein-kampf-d...remiere-depuis-1945?id=8916018). La première réimpression allemande depuis la mort de son auteur (à vérifier) est dès lors attendue pour la première partie de 2015. La nouvelle réédition, dans sa version originale, est densément annotée par toute une tripotée de juifs. Selon l’Institut d’Histoire Contemporaine de Munich, citée par le Washington Post, plutôt qu’un guide pratique pour les nazis en herbe, l’ouvrage réédité sera un "outil académique vital", riche de 2000 pages au sein duquel les critiques et analyses de l’œuvre du Führer occupent bien plus de place que le texte original lui-même dans le but de protéger le modèle économique de la «$hoah business». Mais malgré ces précautions académiques, des voix critiques craignent que ce ne soit là une initiative qui permette à la voix d’Hitler de se faire réentendre d’outre-tombe. Notamment parmi les survivants de l’Oh Low Cost dont les voix se sont élevées à la suite de cette annonce. La question de cette réédition a donc suscité la polémique et provoque des débats politiques délicats outre-Rhin. "Je comprends que l’on se sente mal à l’aise lorsqu’un livre qui a eu des conséquences aussi dramatiques est rendu à nouveau accessible au grand public”, a déclaré Magnus Brechtken, le directeur adjoint de l’Institut d’Histoire Contemporaine au Washington Post. “Mais d’un autre côté, je pense que c’est également une moyen utile de pratiquer l’éducation à l’histoire et de mettre en exergue, avec les commentaires appropriés, exactement comment prévenir de tels évènements traumatisants pour éviter qu’ils ne se reproduisent un jour". Même si on s'en fiche un peu, puisque personnellement, l'on dispose dans notre bibliothèque municipal d'un original dédicacé avec son p'tit marque page Joséphine Baker. Et cette année, pour le brevet des collèges, catégorie littérature européenne et romantisme germanique, ce sera Tonton qu'est de retour!




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Roland Dumas gaze le prétoire.

Понедельник, 02 Марта 2015 г. 01:00 + в цитатник


L'ancien ministre socialiste des Affaires étrangères Roland Dumas n'en finit plus de faire la tournée des médias pour son dernier livre. Invité n'importe où, il dit parfois (un peu) n'importe quoi... Ancien président du Conseil constitutionnel, il a estimé lundi sur RMC et BFM TV que Manuel Valls était "probablement" sous influence juive, évoquant ses "alliances personnelles" et, sans la nommer, l'épouse du Premier ministre, Anne Gravoin. Le Premier ministre est-il sous influence juive? demandent RMC et BFM TV. "Probablement, je peux le penser", a répondu l'ancien président du Conseil constitutionnel. "Il a des alliances personnelles qui font qu'il a des préjugés. Chacun sait qu'il est marié avec quelqu'un, quelqu'un de très bien d'ailleurs, qui a de l'influence sur lui", a-t-il également déclaré. Manuel Valls est régulièrement attaqué avec cet argument dans les milieux proches de l'extrême droite et ceux proches de Dieudonné M'Bala M'Bala, qui avait qualifié l'actuel Premier ministre "de petit soldat israélien veule et docile" (http://www.lepoint.fr/politique/dumas-valls-est-pr...uive-16-02-2015-1905415_20.php). Dans un dossier consacré à Manuel Valls le 30 janvier 2014, le très droitier hebdomadaire Valeurs actuelles écrivait notamment: "De nombreuses sources, Place Beauvau, attestent du jusqu'au-boutisme d'Anne Gravoin, elle-même membre de la communauté juive, dans la lutte contre l'humoriste controversé (Dieudonné, NDLR). Une influence qui expliquerait que Manuel Valls ait mis tout son poids dans un combat pourtant loin d'être prioritaire." "Sous le prétexte que je défendais à une époque les Arabes, les Palestiniens, contre les Israéliens, (Manuel Valls) m'a agressé un jour alors que je le connais à peine, c'est un copain de parti. (...) Le père (de Manuel Valls) était un républicain espagnol formidable, c'était un bon peintre, il est resté en France, il a toujours refusé de revenir en Espagne du temps de Franco. Cela signifie quelque chose pour moi. Lui a pris le point de vue contraire. C'est sa vie, ça le regarde", a raconté lundi Roland Dumas. "Il m'avait attaqué en disant que ce n'était pas la position des socialistes. En quoi il est socialiste, lui? Moi, j'ai refait le Parti socialiste en 1942", a dit l'ancien ministre de François Mitterrand, âgé de 92 ans. Roland Dumas a par ailleurs rejeté l'expression "islamo-fascisme" employée lundi matin par Manuel Valls. "Le fascisme, ce n'était pas ça, l'hitlérisme, non plus, il ne faut pas exagérer. Il y a une sorte d'escalade qui se produit, moi, j'appelle à la raison", a-t-il dit. Il s'est enfin dit "assez sévère" sur la politique extérieure actuelle de la France, qui n'est "plus indépendante". "La meilleure preuve: elle a des complexes dans la politique actuelle. Elle devance et va plus loin" que les États-Unis. Dans le dossier syrien, "c'étaient les Américains qui nous freinaient, c'est un comble". Le Premier ministre a réagi aux propos de Roland Dumas en fin d'après-midi. "L'antisémitisme n'est pas une opinion, ce n'est pas une petite plaisanterie", a affirmé Manuel Valls devant des élus, critiquant "les propos d'un homme dont on connaît le passé et qui ne font pas honneur à la République depuis bien longtemps". La ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a pour sa part dénoncé sur Twitter des propos "atterrants". "Roland Dumas nourrit l'antisémitisme ordinaire. Soutien à tous ceux qui combattent la haine." Ce sont des "propos inacceptables", qui "dépassent l'entendement en mettant en cause le Premier ministre avec un vocabulaire d'extrême droite", a renchéri le PS dans un communiqué. Ils sont "indignes d'un socialiste décoré par la République" et "constituent une profanation morale de notre histoire nationale". Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, s'est dit "révulsé par les propos de monsieur Dumas". Proche de Manuel Valls, le sénateur PS Luc Carvounas a dénoncé des "propos nauséabonds", en rappelant que M. Dumas avait "apporté son soutien à Dieudonné en 2006" tandis que l'ex-ministre Benoît Hamon a lâché: "Dumas est écœurant." Claude Bartolone, le président PS de l'Assemblée nationale, s'est dit, également sur Twitter, "révolté" par des propos "qui relèvent d'un antisémitisme ordinaire et d'un complotisme délirant", appelant à "ne rien laisser passer". Jean-Jacques Urvoas, le président PS de la commission des Lois de l'Assemblée, proche du chef du gouvernement, a ironisé en postant sur Twitter: "Pour la 1ère fois je me sens gaulliste: la vieillesse est un naufrage. Dumas le démontre." Pour Carlos Da Silva, porte-parole du PS, "Roland Dumas a perdu les pédales". "Il faut qu'il arrête de s'exprimer. Des tombes ont été profanées, des citoyens français attaqués parce qu'ils étaient juifs, voilà de quoi on parle!" a dénoncé ce proche de M. Valls. Jérôme Guedj, juif et président PS du conseil général de l'Essonne, a pour sa part jugé que "les mots choisis de Dumas sont assassins. Pas d'excuse dans l'âge: vieux ou jeune, c'est le même antisémitisme, qui va des mots au meurtre." À droite, les propos de l'ancien ministre de François Mitterrand ont également été condamnés: "#antisémitisme Les propos de Roland Dumas sur #Valls sont inadmissibles et proprement scandaleux Quel naufrage!" a tweeté l'ancien ministre UMP des Transports Dominique Bussereau. "Roland Dumas va avoir 93 ans... L'âge du silence médiatique... ou de la révélation de la vraie personnalité? Ses propos sont odieux... comme lui?" a réagi le sénateur et ex-ministre UMP Roger Karoutchi. Roland Dumas avait été proche de François Mitterrand, ce qui n'empêchait pas ce dernier de porter un regard sévère sur lui: "J'ai deux avocats, Robert Badinter (juif) pour le droit, Roland Dumas pour le tordu", disait l'ancien chef de l'État.



Face à l'évidence même d'un gouvernement français aux mains des sémites pro-israéliens, Ruth Elkrief, autre grande prêtresse médiatique de la secte rentre en crise d'hystérie, et de négation de la réalité.




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Pour 69% de Français, il y'a trop d'immigrés sur le territoire.

Суббота, 28 Февраля 2015 г. 14:31 + в цитатник

Le moral des Français reste très bas et la défiance pour la politique massive en dépit de ce qu'on a appelé "l'esprit du 11 janvier" après les attentats du début 2015, selon l'enquête annuelle d'OpinionWay pour le centre de recherches de Sciences Po (Cevipof) publiée jeudi. Établi pour la sixième année consécutive, ce "baromètre de la confiance politique" dresse un tableau peu reluisant de l'état de l'opinion et montre une suspicion en hausse à l'égard de l'islam, même si la confiance demeure majoritaire. Invités à décrire leur humeur, les Français, qui pouvaient donner plusieurs qualificatifs, répondent "méfiance" à 32 %, "morosité" dans la même proportion et "lassitude" à 29 %. Par rapport à décembre (le Cevipof a fait refaire l'enquête réalisée avant les attentats), la méfiance gagne six points(http://www.lepoint.fr/politique/69-des-francais-pe...gres-26-02-2015-1908159_20.php). Toutefois, la confiance à l'égard d'autrui, y compris "les gens d'une autre nationalité" ou "d'une autre opinion religieuse", reste très nettement majoritaire. Dans le même sens, l'estime de soi est plutôt majoritaire. Mais 32 % seulement sont optimistes pour leur avenir, "un score très, très bas", a commenté devant la presse le directeur du Cevipof, Martial Foucault. Le "vivre-ensemble" cherche ses marques: 62 % (+ 4 sur décembre) trouvent que "la plupart des gens font leur possible pour se conduire correctement", mais 70 % pensent qu'"on n'est jamais assez prudent à l'égard d'autrui". Scepticisme énorme à l'égard de la politique, qui suscite "méfiance" (40 %), "dégoût" (25 %, en recul de huit points sur décembre), "ennui" (11 %). Pour 85 % des sondés, "les responsables politiques ne se préoccupent pas" de leur opinion. Au classement de la confiance envers les institutions politiques, les structures locales sont les mieux notées (68 % pour le conseil municipal). Mais l'institution présidentielle redore son blason (40 %, 11 points de plus qu'en décembre), signe d'"un sursaut" post-11 janvier, note Martial Foucault. Même regain pour la police (+ 11) et l'armée (+ 7). 59 % disent n'avoir confiance "ni dans la droite ni dans la gauche pour gouverner le pays". Il existe "une sorte de divorce profond entre les Français et leurs représentants politiques. Les attentats n'ont pas modifié cette tendance", relève Martial Foucault. À la faveur des événements de janvier, l'UMP (38 %) est toutefois repassée devant le Front national (32 %) quand il s'agit de désigner le parti qui représente le mieux l'opposition de droite. En deux mois, la première a gagné quatre points, le second en a perdu cinq. La tentation du repli et de l'ordre est forte. Ainsi, pour 69 %, "il y a trop d'immigrés" (20 points de plus qu'en 2009), "il faudrait rétablir la peine de mort" (50 %, + 18 en cinq ans). Pour un Français sur deux exactement, "la France doit se protéger davantage du monde d'aujourd'hui". C'est dix points de plus qu'en décembre. Conservatisme s'agissant de l'école, qui doit "donner avant tout le sens de la discipline et de l'effort" (64 %) plutôt que "former des gens à l'esprit critique" (35 %). Les Français plébiscitent la République, symbole positif pour 81 % d'entre eux, mais pas du tout l'islam, perçu négativement par 69 %. Si, pour 87 %, "les Français juifs sont des Français comme les autres", 68 % sont de cet avis s'agissant des musulmans (75 % en 2000). "On trouve un tiers des Français en désaccord avec l'idée que les islamistes radicaux ne représentent qu'une petite minorité des musulmans de France", observe le directeur du Cevipof, qui parle d'une "montée anti-islam". Montée, en parallèle, du sentiment national. 82 % des sondés se déclarent "fiers d'être français", en hausse de dix de points par rapport à décembre. Sondage réalisé du 26 janvier au 4 février par internet auprès d'un échantillon de 1 524 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus et inscrite sur les listes électorales (méthode des quotas). Il ne faut être très intelligent pour corréler les vagues immigratoires avec les associations antiracistes juives qui mettent ainsi de la main d’œuvre servile au service du cousin patron.


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Ils ont tombé le masque: par un sentiment d'éternité et de supériorité.

Суббота, 28 Февраля 2015 г. 13:34 + в цитатник

Au mois de février 2015, le lobby sioniste international était aux prises avec d’innombrables états et ce simultanément, dont la superpuissance américaine, l’Iran, l’Argentine, l’Ukraine, la Russie, le Vatican, l’Australie ou la France. Netanyahou au congrès américain sans avoir été invité par Obama. Les USA sont fortement ébranlés par une polémique qui oppose la présidence américaine d’une part et le lobby juif de l’autre. Le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a décidé de se rendre aux USA sans avoir reçu d’invitation de la part du président américain. Les règles diplomatiques veulent qu’un chef de gouvernement ou un chef de l’état d’un pays désirant en visiter un autre s’accorde avec les autorités locales. C’est la première fois qu’un chef de gouvernement étranger se comporte de la sorte aux USA. Netanyahou entend venir aux USA pour tenir un discours au parlement américain sur la question du nucléaire iranien, malgré l’opposition du président des États-Unis qui dénonce une ingérence flagrante. Ce discours vise à appeler les parlementaires américains à contrer la Maison Blanche dans sa recherche d’un compromis diplomatique avec l’Iran au sujet de son programme nucléaire. L’ingérence du gouvernement israélien est à ce point humiliante pour le chef de l’État Américain, que ce dernier n’assistera pas au discours prévu. Une première dans l’histoire des relations diplomatiques des deux pays qui se retrouvent à un plus bas historique (http://breizatao.com/2015/02/24/guerre-sainte-juiv...ance-laustralie-liran-la-syrie). Le lobby sioniste mobilise ses figures de proue les plus fameuses, comme le Prix Nobel de la Paix Elie Wiesel – dont les récits sur l’holocauste sont largement remis en cause. Le milliardaire juif américain Sheldon Adelson a menacé d’user de tout son argent pour humilier et empêcher la réélection de tout élu au Congrès qui boycotterait le discours du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Israël tente de renverser la présidente de l’Argentine. Au même moment, Israël et le lobby sioniste international sont lancés dans une vaste campagne visant à renverser le gouvernement argentin et sa présidente, Cristina Kirchner. Kirchner est une opposante déterminée au lobby sioniste et à l’Etat d’Israël (source) et entretient à ce titre de bonnes relations avec l’Iran. Israël a tenté à plusieurs reprises de déstabiliser Kirchner afin d’enrayer le soutien diplomatique de l’Argentine à Téhéran. Pour cela, Tel Aviv a tenté d’agiter la communauté juive locale contre la diplomatie de Buenos Aires ou encore d’accuser le gouvernement de complaisance face à l’attentat ayant visé l’ambassade d’Israël en 1992. Kirchner a récemment critiqué les chefs de la communauté juive pour placer les intérêts d’Israël avant ceux de l’Argentine. Mais la situation a pris une tournure spectaculaire ces dernières semaines. Les services secrets israéliens ont lancé une campagne autour de l’assassinat d’un juge argentin d’origine juive qui accusait la présidente de couvrir l’Iran dans un attentat contre un centre communautaire juif en 1994. Tel Aviv accuse Téhéran d’avoir mené ces attentats et soutient depuis des années un magistrat argentin d’origine juive, Alberto Nisman, qui était parti en croisade, sur ordre d’Israël, contre le gouvernement argentin. Son assassinat, présenté par le lobby juif comme le fait d’agents iraniens soutenus par Kirchner, a servi à mobiliser des centaines de milliers d’Argentins lors de manifestations anti-gouvernementales. Kirchner a dénoncé une “ingérence israélienne” dans les affaires intérieures du pays. Elle a notamment souligné une lettre communiquée par Alberto Nisman au gouvernement américain et israélien demandant d’intégrer dans les négociations autour du nucléaire iranien l’affaire de l’attentat de 1994. Le but: torpiller les négociations en cours entre Téhéran et Washington, actuellement très avancées, dont nous parlions précédemment. Kirchner a également souligné, lors d’une visite d’une centrale nucléaire, que “certaines personnes veulent que l’Argentine demeure sans plan nucléaire, une Argentine qui ne se développe pas scientifiquement, une Argentine avec de bas salaires et un faible coût du travail”. Il s’avère en réalité que l’Argentine a noué un partenariat stratégique avec l’Iran pour développer son propre programme nucléaire civil. L’Argentine, en échange d’une étroite coopération bilatérale dans le domaine, soutient logiquement la normalisation du programme nucléaire iranien. Tant pour y accéder elle-même que pour continuer de bénéficier de l’appui de Téhéran dans son propre programme. Cette coopération constitue un obstacle considérable qui entrave les projets israéliens contre l’Iran et émoussent les sanctions visant Téhéran décrétés par les USA. Le lobby juif combat le gouvernement australien sur la liberté d’expression. Le gouvernement conservateur mené par Tony Abbott en Australie entendait redonner leur liberté d’expression aux Australiens en abolissant les lois dites “antiracistes” relatives au débat intellectuel. Partisan d’une vision libérale d’inspiration américaine de la liberté d’expression, Tony Abbott voulait en finir avec les lois liberticides imposées par la gauche travailliste. Las, le chef du gouvernement australien a subi une violente campagne de presse menée par le lobby juif qui entend maintenir la pression sur les Blancs du pays, en dressant contre eux les minorités raciales immigrées. Le lobby juif, suite à la guerre menée par Israël à Gaza, estime également que toute libéralisation de la liberté d’expression aboutirait à des critiques massives de l’état juif. En 2014, l’ancien premier ministre australien Bob Carr avait dénoncé le “lobby pro-israélien de Melbourne” qui exerçait une “formidable influence sur la diplomatie de l’Australie”. L’ancien chef de gouvernement avait dénoncé un niveau de pression “malsain” de la part du lobby juif sur la conduite des affaires diplomatiques du pays. Le résultat du recul du premier ministre australien Tony Abbott a mené à une prise de conscience en Australie sur la mise en danger de la liberté d’expression. Ainsi un sondage récent montre que pour 39% des Australiens, la liberté d’expression est le droit fondamental le plus en danger dans leur pays. Pire, opérant un retournement complet, le même premier ministre a annoncé vouloir “durcir” les lois sur la presse dès lors qu’il s’agirait de propos “incitant à la haine”. Un virage à 180° qui a profondément choqué les citoyens et les médiats qui dénoncent l’opportunisme de l’actuel chef du gouvernement, au plus bas dans les sondages.

En France, le lobby juif a ordonné au gouvernement français de suspendre la liberté d’expression. Le gouvernement socialiste du juif Manuel Valls devrait suspendre purement et simplement le principe fondamental de pouvoir s’exprimer librement. Christiane Taubira, le 22 février dernier, a annoncé devant le représentant de l’Union des Étudiants juifs de France et la LICRA, la censure générale d’internet. Hier, François Hollande présent au dîner du CRIJF – le lobby juif français – a annoncé que les écrits ou publications “racistes et antisémites” quitteraient la loi sur la liberté de la presse de 1881. Ce qui constitue la conclusion logique de 40 ans de répression de la presse libre. Cette annonce formelle fait suite à celle formulée par le même François Hollande lors des célébrations du 70ème anniversaire de la conquête de la prison d’Auschwitz par les troupes staliniennes. Mais en faisant basculer les publications des écrivains, journalistes, blogueurs ou conférenciers dans le droit commun, une rupture fondamentale est opéré dans la loi française. Après 134 ans d’un régime qui se voulait encore protecteur de la vie intellectuelle – fruit de la Troisième République – le gouvernement français a annoncé que tout écrit déviant serait désormais un délit de droit commun passible de 7 ans de prison. Un recul jamais vu depuis le XIXème siècle en France. Il est à noter que c’est le précédent du passage du délit d’opinion dit “d’apologie du terrorisme” de la loi sur la presse de 1881 au droit commun qui motive cette volonté de faire de même avec tout écrit déviant. Comme pour cette “apologie”, elle s’appliquerait aussi dans le cas de propos tenus en privé entre deux individus. L’Etat pourra donc réprimer les conversations entre deux amis sur internet, s’il le désire. La récente condamnation à deux ans de prison de l’historien révisionniste Vincent Reynouard pour deux vidéos publiées sur internet fait suite aux nombreuses condamnations des auteurs considérés comme idéologiquement déviants par le gouvernement et le lobby juif français. Ce recul est si spectaculaire, que même les associations antiracistes – sauf la LICRA – ont dénoncé une “dérive grave”. Il n’est pas jusqu’au Syndicat de la Magistrature – extrême-gauche – qui ne se soit publiquement déclaré hostile à cette évolution. Pire encore, a été annoncé le blocage par la police, sans possibilité d’appel, des sites désignés “racistes”, “antisémites”, “islamophobes”, “homophobes” ou autres par le gouvernement et à sa discrétion. Le procédé, avec ou sans juge, relevant de la censure pure et simple.

L’Ukraine: un coup d’état réalisé par le lobby sioniste international. Le coup d’état en Ukraine, au printemps dernier, a permis à de nombreux oligarques juifs d’accéder au pouvoir, en lien avec la CIA. Ainsi Piotr Poroshenko, d’origine juive et ami de Bernard Henri Lévy, est-il le nouveau président du pays. Son premier ministre, Arseny Yatsenyuk est également juif. Le nouveau maire de Kiev, la capitale, Vitali Klitchko, est également d’origine juive. La première fortune du pays, le juif Viktor Pinchuk, est un des grands soutiens de l’actuel gouvernement. Il a financé un documentaire réalisé par Steven Spielberg sur “l’holocauste en Ukraine”. L’ancienne premier ministre du pays, l’oligarque corrompue Julia Timochenko, est également une juive balte. On pourrait citer Vadim Rabinovich, vice-président du congrès juif européen, ennemi juré de “l’extrême-droite” et fondateur de la chaîne de télévision Jewish News One. On pourrait aussi citer Igor “Benya” Kolomoysky, milliardaire et parrain de la pègre de la région de Dnipropetrovsk. Il a fondé sa fortune sur la spoliation du peuple ukrainien à la chute de l’URSS. Ces individus sont soutenus depuis l’origine par des membres éminents du judaïsme américain. A commencer par la juive Victoria Nuland (Nudelman) qui représentait les USA en Europe lors du coup d’état, ou encore du millionnaire John Kerry (Kohn), l’actuel ministre des Affaires Etrangères américaines. Ils ont également reçu le soutien de l’Anti-Defamation League, la LICRA américaine. Il ne faut pas oublier le soutien déterminé du millionnaire juif Laurent Fabius-Mortimer, actuel ministre des Affaires Etrangères français ou du juif David Cameron (Levita), actuel premier ministre britannique. Un rabbin vit en permanence avec le Pape François au Vatican. Il est un autre lieu où le lobby sioniste a acquis une influence colossale et mène une guerre permanente: le Vatican. Le Pape François est le premier à s’être rendu sur la tombe de Theodor Herzl en Israël, un des pères du sionisme, explicitement rejeté par le Pape Saint Pie X. L’allégeance du Vatican au judaïsme va si loin que désormais un rabbin loge à plein temps au Vatican aux côtés du Pape François. C’est ce qu’indique un soutien de Bergoglio, le procureur argentin Señor Jack Tollers dans une interview publiée sur le blog “From Rome”: “Le rabbin Abraham Skorka se trouve vivre avec lui (le pape François) à Santa Maria, croyez-le ou non”. Abraham Skorka est un rabbin d’Argentine, familier de Bergoglio, servant d’intermédiaire au profit du judaïsme mondial. En guise de hors d’oeuvre signalons que Skorka a fait étudier la Torah à Bergoglio qui l’a fait Docteur de l’Université Pontificale d’Argentine afin de démontrer “qu’un juif peut enseigner des Catholiques”. C’est ce que le rabbin résidant au Vatican indiquait récemment au Jewish Journal. Il ne se passe pas une semaine sans que des délégations juives ne paradent au Vatican, devant un Jorge Bergoglio extatique. Ainsi en est-il de représentants de l’Université Hébraïque de Jérusalem le 26 janvier dernier (source). C’est à un rabbin, Alvin Berkun, que Bergoglio faisait une déclaration emphatique contre “l’antisémitisme” lors d’une rencontre en juin 2013 (source). Détail évocateur, Berkun est un des architectes de la pression exercée sur la Maison Blanche pour libérer l’espion israélien Jonathan Pollard (source). Ce dernier a volé des secrets d’état américains pour les délivrer à l’entité sioniste et est depuis emprisonné aux USA. Le Pape François comme son meilleur ami, le rabbin Skorka, étudient l’oeuvre du rabbin Joshua Heschel. Heschel est connu pour avoir mené les discussions avec les éléments anticatholiques situés dans la diplomatie vaticane, juste avant l’ouverture du Concile Vatican II. Concile qui annoncerait l’effondrement intérieur et extérieure de l’Église Catholique et le triomphe des juifs au sein de celle-ci, tant au plan diplomatique que théologique. La maçonnerie juive, pourtant formellement décrétée comme antichrétienne, est devenue – par son organe officiel qu’est le B’naï Brith – un interlocuteur permanent du Vatican depuis ce concile. En 2006, le Pape Benoît XVI accordait une audience spéciale à celle-ci, le même Benoît XVI qui rappelait en 1983, en tant que cardinal en charge du dogme, l’incompatibilité de la maçonnerie avec la Foi Catholique. Pour en revenir à Heschel, celui avait notamment déclaré: “Heschel expliqua ensuite la stratégie derrière sa référence à Auschwitz: “Les Chrétiens ont correctement compris que je les comparais aux Nazis. Si j’avais fait une déclaration frontale en leur disant: “Vous êtes des Nazis”, cela aurait eu l’air ridicule. Mon style d’écriture repose sur des indices, parce que la vérité se trouve dans les profondeurs. Il y a ceux qui veulent attaquer leurs corps, moi je veux attaquer leurs âmes.” ( Interrogé par Geula Cohen pour le journal Ma’ariv le 4 janvier 1965). Heschel, maître à penser de Bergoglio, était l’architecte des futures relations entre judaïsme et Catholicisme, ou plus exactement de la prise de contrôle du Vatican par le judaïsme. Le Cardinal Bea et Heschel se rencontrèrent le 13 juillet 1961 dans les sous-sols du Vatican pour “expurger de la liturgie catholique” tous les “éléments antijuifs”, c’est-à-dire incompatible avec le judaïsme (source). Furent ciblées les références au meurtre de Jésus par les juifs et la revendication de ce meurtre lors des célébrations de Pâques, sur la base de l’évangile selon Saint Matthieu: “Et tout le peuple répondit: Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants !” (Saint Matthieu 27:25) L’on sait depuis que le judaïsme international n’a de cesse de faire pression pour que la prière pour la conversion des juifs, faite le Vendredi Saint, soit définitivement abandonné. Il s’agit là de vaincre définitivement le Catholicisme car si les Chrétiens ne prient plus pour la conversion des juifs, cela signifie que l’erreur juive est admise comme juste par l’Église et avec cette erreur disparaît la Vérité dont est dépositaire le Catholicisme. Comme on le voit, si le Vatican a été subjugué par le judaïsme mondial, l’avènement de Bergoglio a signifié l’entrée des rabbins antichrétiens au plus haut sommet de l’Eglise Catholique ou du moins de son siège. La tentative de résistance traditionnaliste menée par Monseigneur Lefebvre avec la fondation de la Fraternité Sacerdotale Sainte Pie X n’a pas empêché les juifs de neutraliser ce dangereux mouvement. Ainsi, c’est désormais un juif américain connu pour son soutien radical à l’Etat d’Israël qui gère les finances de cette fraternité: Maximilien Krah. Depuis son avènement, ladite fraternité cherche à rallier le Vatican de Bergoglio, malgré ses déclarations et initiatives objectivement hérétiques (synode sur la Famille, etc.). Le sionisme international plus que jamais en guerre. Ce serait oublier que dans le même temps, le lobby sioniste international mène une guerre par procuration contre la Syrie et le Hezbollah libanais. Ou qu’il la fait directement – contre des civils désarmés – dans le camp de concentration de Gaza. Il faudrait aussi évoquer la grande guerre menée contre la Russie dont notre éditorialiste Boris Le Lay a parlé extensivement dans cette vidéo. Cette débauche d’énergie au niveau mondial dépasse – et de loin – le seul état d’Israël et ses quelques millions d’habitants. Cette Internationale Noire, à l’œuvre sur tous les continents, déclarant une guerre ouverte ou fermée à tous ceux qu’elle entend réduire en soumission – individu, église ou état – dispose de moyens matériels quasi illimités. Ainsi contrôle-t-elle les finances de la première puissance planétaire, en l’occurrence la Réserve Fédérale des USA. Ses trois derniers directeurs ont été des juifs: Alan Greenspan, Ben Bernanke et Janet Yellen. Ce à quoi s’ajoute la puissante place financière juive qu’est New York et son vaisseau amiral qu’est la Goldman Sachs. Si l’on y ajoute l’action de cette puissance satanique dans l’appareil d’état américain, il n’est pas exagéré de dire que l’Amérique n’est plus qu’une proie dont ce vampire se nourrit des forces vitales jusqu’à la dévorer vivante. Il en va de même de la France, subjuguée par cette force des ténèbres. A mesure que la tyrannie du sionisme international devient chaque jour plus agressive, carnassière et arrogante, la résistance – autrement appelée “antisémitisme” par la presse dévouée à la pieuvre mondiale – explose. Plus la guerre progresse et plus l’antique haine des juifs se répand, enflammant un pays après l’autre. Ce n’est pas là un phénomène accidentel: c’est bien le Sionisme le moteur de l’Antisémitisme et c’est à la confusion entre cause et conséquence que travaillent les propagandistes de ce vaste empire invisible. Il y a là une évidence qu’il faudrait aveugle pour ne pas voir, sourd pour ne pas entendre.


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«Mayday, mayday, mayday, on a perdu les Bougnoules pour le pique-nique!»

Суббота, 28 Февраля 2015 г. 13:01 + в цитатник

Le président du Crif, Roger Cukierman, a réitéré lundi soir ses propos sur les jeunes musulmans et jugé sur RTL "pas du tout raisonnable" la décision du Conseil Français du Cul Musulman (CFCM) de ne pas se rendre au dîner annuel de son organisation. "Je regrette cette décision et j'avoue qu'elle me surprend beaucoup, car j'ai certes dit que la quasi-totalité ou l'immense majorité des actes de violence physique commis en France contre des juifs sont commis par des jeunes musulmans, mais j'ai également ajouté que c'était une infime minorité de la communauté musulmane qui en était responsable", a déclaré le président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) (http://www.lepoint.fr/societe/propos-sur-les-jeune...igne-23-02-2015-1907339_23.php). Indiquant s'être entretenu au téléphone avec le président du CFCM, Dalil Boubakeur, il a expliqué lui avoir dit qu'il trouvait "que c'était une décision pas du tout raisonnable et réfléchie" et lui avoir demandé de revoir sa position. Dans une interview à Europe 1 lundi matin, Roger Cukierman avait affirmé que "toutes les violences, et il faut dire les choses, toutes les violences aujourd'hui sont commises par des jeunes musulmans, et bien sûr c'est une toute petite minorité de la communauté musulmane et les musulmans en sont les premières victimes". Le CFCM a annoncé dans l'après-midi qu'il ne se rendrait pas au dîner du Crif lundi soir. "Considérer que toutes les violences aujourd'hui sont commises par des jeunes musulmans et son approbation de l'expression islamo-fascisme sont des déclarations irresponsables et inadmissibles", a estimé dans un communiqué le bureau exécutif du CFCM. Se défendant sur RTL, Roger Cukierman a insisté: "il faut nommer les choses", ajoutant qu'"on ne peut pas guérir d'une maladie si on ne la nomme pas". Le président du Crif a également précisé ses déclarations concernant Marine Le Pen, qu'il a jugée lundi matin sur Europe 1 "irréprochable". "Je voulais dire irréprochable juridiquement parce qu'elle n'a jamais été condamnée", a-t-il expliqué. Il lui a "reproché" de "ne s'être jamais désolidarisée des propos tenus par son père", d'avoir "accepté qu'il y ait au sein du Front national des négationnistes, des vichystes, des pétainistes", avant de conclure: "Et nous continuerons à ne pas inviter Marine Le Pen au dîner du Crif, car ici, on ne mange pas de cochon!"

La polémique née des propos de Roger Cukierman, qui souligne la complexité du dialogue entre juifs et musulmans de France, à fleur de peau depuis les attentats de janvier, a vu mardi l'entrée en scène de François Hollande pour tenter de l'éteindre. Le président de la République le reçoit mardi après-midi avec le président du Conseil français du Cul Musulman (CFCM) Dalil Boubakeur et compte adresser aux deux hommes un "message de rassemblement", a annoncé l'Élysée (http://www.lepoint.fr/politique/francois-hollande-...keur-24-02-2015-1907525_20.php). Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s'est retrouvé lundi dans la tempête pour ses propos ambigus sur Marine Le Pen, qualifiée d'"irréprochable personnellement", et sur les jeunes musulmans, auteurs selon lui de "toutes les violences". La polémique a pris d'autant plus d'ampleur qu'elle intervenait le jour même du 30e dîner annuel du Crif, événement œcuménique et politique chargé d'une symbolique particulière après les attentats de Paris, qui ont fait du 7 au 9 janvier 17 morts, dont 4 juifs tués dans un magasin casher. Indigné par la stigmatisation des jeunes musulmans, le président du CFCM a préféré boycotter le dîner. Les précisions du président du Crif, qui a assuré vouloir renouer le dialogue, n'ont en effet pas éteint la polémique. "On veut des excuses publiques. Ce n'est pas en catimini qu'on appelle le recteur de la Mosquée de Paris", a affirmé mardi Abdallah Zekri, le directeur de l'Observatoire national contre l'islamophobie. "Nous sommes des citoyens de la République, il faut nous considérer comme tels. Nous, on ne commet pas d'actes terroristes", a-t-il ajouté. Le président d'honneur du CFCM, Mohammed Moussaoui, a lui aussi souhaité "des propos apaisants qui permettent d'ouvrir le dialogue sur des bases saines". "Une autre façon de vivre ensemble". Les responsables musulmans s'inquiètent d'un amalgame entre islam et terrorisme, et s'exaspèrent depuis janvier de l'injonction de réaffirmer leur adhésion aux valeurs de la République. L'emploi de l'expression "islamo-fascisme" par Manuel Valls a aussi fait grincer des dents. Et à l'accusation de Roger Cukierman - selon laquelle "toutes les violences aujourd'hui sont commises par des jeunes musulmans" - ils rétorquent que la récente profanation du cimetière de Sarre-Union n'avait rien à voir avec l'islam. Pour leur part, les juifs constatent une flambée des actes antisémites, qui ont doublé l'an dernier par rapport à 2014. Les morts de janvier à Paris et devant la synagogue de Copenhague le 14 février, rappellent que les juifs sont une cible du djihadisme. Et la France, qui abrite la première communauté juive d'Europe (un demi-million de membres) a vu le nombre de candidats à l'émigration vers Israël plus que tripler depuis 2012. "On est dans un moment de vérité en France. On ne peut pas dire, faire comme si l'islamisme radical n'existait pas", a déclaré mardi le président du Consistoire israélite de France, Joël Mergui. "C'est une question de transparence de dire que quand des actes sont commis en disant Allah Akbar ils sont commis au nom de l'islam", a-t-il ajouté. "Quand des meurtres ont été faits en France, ou dans différents pays, en instrumentalisant l'islam, on a le devoir de le dire." L'"esprit du 11 janvier" est-il en train de s'effriter? Pour Malek Chebel, anthropologue des religions, "pendant les deux ou trois semaines qui ont suivi (les attentats, ndlr), il n'y a pas eu de débordement, on avait l'impression que le bon adversaire avait été identifié", mais "maintenant ça se relâche un peu et on rentre dans le mode habituel de la suspicion". Depuis le 7 janvier, "on est devenus plus visibles les uns pas rapport aux autres", note-t-il, et cela a permis "une prise de conscience plus aiguë" des souffrances de la communauté juive d'une part, et du tort causé aux musulmans par les amalgames d'autre part. Sans vouloir se prononcer sur la polémique Cukierman en elle-même, il note la nécessité d'une mutation du dialogue entre juifs et musulmans. "On est dans deux mouvements distincts: on règle un passif douloureux où les gens ne s'écoutaient pas mutuellement, une sorte d'autisme des deux côtés de la barrière, et en même temps il s'agit de créer une autre façon de vivre ensemble." Pas sûr que les tous les Musulmans acceptent ces excuses alambiquées. Je pense même qu'ils ont compris depuis longtemps qu'on les a juste relégués au rôle de poids électoral en particulier, et au rôle de pois chiche en général!


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Révolution Judéo-Bolchévique et messianisme juif sécularisé.

Суббота, 28 Февраля 2015 г. 12:17 + в цитатник

Texte intégral du discours prononcé par Alexandre Soljenitsyne, le samedi 25 septembre 1993, aux Lucs-sur-Boulogne, pour l’inauguration de l’Historial de Vendée. «M. le président du Conseil général de la Vendée, chers Vendéens, Il  y a deux tiers de siècle, l’enfant que j’étais lisait déjà avec admiration dans les livres les récits évoquant le soulèvement de la Vendée, si courageux, si désespéré. Mais jamais je n’aurais pu imaginer, fût-ce en rêve, que, sur mes vieux jours, j’aurais l’honneur inaugurer le monument en l’honneur des héros des victimes de ce soulèvement. Vingt décennies se sont écoulées depuis: des décennies diverses selon les divers pays. Et non seulement en France, mais aussi ailleurs, le soulèvement vendéen et sa répression sanglante ont reçu des éclairages constamment renouvelés. Car les événements historiques ne sont jamais compris pleinement dans l’incandescence des passions qui les accompagnent, mais à bonne distance, une fois refroidis par le temps. Longtemps, on a refusé d’entendre et d’accepter ce qui avait été crié par la bouche de ceux qui périssaient, de ceux que l’on brûlait vifs, des paysans d’une contrée laborieuse pour lesquels la Révolution semblait avoir été faite et que cette même révolution opprima et humilia jusqu’à la dernière extrémité (https://bibliothequedecombat.wordpress.com). Eh bien oui, ces paysans se révoltèrent contre la Révolution. C’est que toute révolution déchaîne chez les hommes, les instincts de la plus élémentaire barbarie, les forces opaques de l’envie, de la rapacité et de la haine, cela, les contemporains l’avaient trop bien perçu. Ils payèrent un lourd tribut à la psychose générale lorsque fait de se comporter en homme politiquement modéré – ou même seulement de le paraître – passait déjà pour un crime. C’est le XXe siècle qui a considérablement terni, aux yeux de l’humanité, l’auréole romantique qui entourait la révolution au XVIIIe. De siècles en siècles, les hommes ont fini par se convaincre, à partir de leur propre malheur, que les révolutions détruisent le caractère organique de la société, qu’elles ruinent le cours naturel de la vie, qu’elles annihilent les meilleurs éléments de la population, en donnant libre champ aux pires Aucune révolution ne peut enrichir un pays, tout juste quelques débrouillards sans scrupules sont causes de mort innombrables, d’une paupérisation étendue et, dans les cas les plus graves, d’une dégradation durable de la population. Le mot révolution lui-même, du latin revolvere, signifie rouler en arrière, revenir, éprouver à nouveau, rallumer. Dans le meilleur des cas, mettre sens dessus dessous. Bref, une kyrielle de significations peu enviables. De nos jours, si de par le monde on accole au mot révolution l’épithète de «grande», on ne le fait plus qu’avec circonspection et, bien souvent, avec beaucoup d’amertume. Désormais, nous comprenons toujours mieux que l’effet social que nous désirons si ardemment peut être obtenu par le biais d’un développement évolutif normal, avec infiniment moins de pertes, sans sauvagerie généralisée. II faut savoir améliorer avec patience ce que nous offre chaque aujourd’hui. II serait bien vain d’espérer que la révolution puisse régénérer la nature humaine. C’est ce que votre révolution, et plus particulièrement la nôtre, la révolution russe, avaient tellement espéré. La Révolution française s’est déroulée au nom d’un slogan intrinsèquement contradictoire et irréalisable: liberté, égalité, fraternité. Mais dans la vie sociale, liberté et égalité tendent à s’exclure mutuellement, sont antagoniques l’une de l’autre ! La liberté détruit l’égalité sociale – c’est même là un des rôles de la liberté -, tandis que l’égalité restreint la liberté, car, autrement, on ne saurait y atteindre. Quant à la fraternité, elle n’est pas de leur famille. Ce n’est qu’un aventureux ajout au slogan et ce ne sont pas des dispositions sociales qui peuvent faire la véritable fraternité. Elle est d’ordre spirituel. Au surplus, à ce slogan ternaire, on ajoutait sur le ton de la menace: «ou la mort», ce qui en détruisait toute la signification. Jamais, à aucun pays, je ne pourrais souhaiter de grande révolution. Si la révolution du XVIIIe siècle n’a pas entraîné la ruine de la France, c’est uniquement parce qu’eut lieu Thermidor. La révolution russe, elle, n’a pas connu de Thermidor qui ait su l’arrêter. Elle a entraîné notre peuple jusqu’au bout, jusqu’au gouffre, jusqu’à l’abîme de la perdition. Je regrette qu’il n’y ait pas ici d’orateurs qui puissent ajouter ce que l’expérience leur a appris, au fin fond de la Chine, du Cambodge, du Vietnam, nous dire quel prix ils ont payé, eux, pour la révolution. L’expérience de la Révolution française aurait dû suffire pour que nos organisateurs rationalistes du bonheur du peuple en tirent les leçons. Mais non ! En Russie, tout s’est déroulé d’une façon pire encore et à une échelle incomparable. De nombreux procédés cruels de la Révolution française ont été docilement appliqués sur le corps de la Russie par les communistes léniniens et par les socialistes internationalistes. Seul leur degré d’organisation et leur caractère systématique ont largement dépassé ceux des jacobins. Nous n’avons pas eu de Thermidor, mais – et nous pouvons en être fiers, en notre âme et conscience – nous avons eu notre Vendée. Et même plus d’une. Ce sont les grands soulèvements paysans, en 1920-21. J’évoquerai seulement un épisode bien connu : ces foules de paysans, armés de bâtons et de fourches, qui ont marché sur Tanbow, au son des cloches des églises avoisinantes, pour être fauchés par des mitrailleuses. Le soulèvement de Tanbow s’est maintenu pendant onze mois, bien que les communistes, en le réprimant, aient employé des chars d’assaut, des trains blindés, des avions, aient pris en otages les familles des révoltés et aient été à deux doigts d’utiliser des gaz toxiques. Nous avons connu aussi une résistance farouche au bolchévisme chez les Cosaques de l’Oural, du Don, étouffés dans les torrents de sang. Un véritable génocide. En inaugurant aujourd’hui le mémorial de votre héroïque Vendée, ma vue se dédouble. Je vois en pensée les monuments qui vont être érigés un jour en Russie, témoins de notre résistance russe aux déferlements de la horde communiste. Nous avons traversé ensemble avec vous le XXe siècle. De part en part un siècle de terreur, effroyable couronnement de ce progrès auquel on avait tant rêvé au XVIIIe siècle. Aujourd’hui, je le pense, les Français seront de plus en plus nombreux à mieux comprendre, à mieux estimer, à garder avec fierté dans leur mémoire la résistance et le sacrifice de la Vendée».


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Juif marital de par sa femme.

Суббота, 28 Февраля 2015 г. 12:02 + в цитатник

Manuel Valls a déploré jeudi le "faux procès" fait au président François Hollande après son utilisation de l'expression "Français de souche". "C'est un faux procès que l'on fait au président de la République. Il a tout simplement voulu dire - et je crois qu'il a bien fait de le dire - après les déclarations du président du Crif, Roger Cukierman, qu'il n'y avait pas que des jeunes de confession ou de culture musulmane qui avaient commis des actes antisémites", a déclaré le Premier ministre au micro de BFM TV et RMC (http://www.lepoint.fr/politique/francais-de-souche...ande-26-02-2015-1908122_20.php). "Il faisait référence bien sûr à la profanation de ce cimetière en Alsace. Donc il a prononcé les mots qui s'imposaient pour bien faire la distinction et pour ne pas qu'il y ait, là aussi, des amalgames", a insisté M. Valls, à qui il "est arrivé, sans doute, de prononcer" l'expression "Français de souche". Lors du dîner du Crif lundi soir, le chef de l'État est revenu sur la profanation d'un cimetière juif du Bas-Rhin par des adolescents: "J'étais la semaine dernière à Sarre-Union, dans ce cimetière dévasté par de jeunes lycéens, Français de souche comme on dit, ignorants au point de ne pas avoir vu les écritures en hébreu, inconscients pour ne pas avoir remarqué l'étoile de David, mais à ce point intolérants pour renverser le monument dédié aux victimes de la $hoah." Sur RTL, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS et lui aussi de nature hébraïque, a déploré jeudi "un mauvais procès". "Que faisait François Hollande? Il parlait devant un président du Crif qui venait de dire qu'il n'y avait rien à reprocher à Marine Le Pen. Et, sortant de son texte, il voulait indiquer que certains - c'est-à-dire le Front national, mais il le fait de manière diplomatique - disent qu'il y a des Français de souche et des Français de papier. C'était un clin d'oeil - qui n'a pas été compris -, évidemment un clin d'oeil à la nature profonde du FN qui sépare les Français en deux", a-t-il plaidé. Est-ce embêtant de ne pas être compris? "Oui, c'est embêtant parce que ça crée des polémiques, même si ça n'a pas lieu d'être", a répondu le député de Paris. Sauf que les Français de souche qui ont profané le cimetière juif étaient surtout des …..... antifas! Et merde, une chasse au trésor qui tourne mal pour quelques dents en or.

(…)  A Sarre-Union, 3 000 habitants, tout le monde se connaît. Et personne ne comprend. Gaëtan Wilsius, élève de 1re L au lycée Georges Imbert, a organisé dans la ville une marche silencieuse «de solidarité et d’indignation» qui a rassemblé dans la ville des centaines de lycéens, mardi. Sur les cinq suspects, il en connaît quatre. Ils étaient tous ensemble au collège Pierre-Claude de Sarre-Union, deux d’entre eux sont comme lui au lycée situé juste à côté (http://www.fdesouche.com/564567-les-profanateurs-d...arre-union-etaient-ils-antifas). Il a beau chercher des signes distinctifs, il n’en trouve pas. Sauf peut-être qu’ils étaient «fans de metal», et «se tenaient un peu à part à cause de ce centre d’intérêt». Pierre, précise Gaëtan, «c’était la personne juste un tout petit peu bizarre parmi des gens normaux. Mais rien de méchant». Les cinq mineurs n’ont aucun antécédent judiciaire. La justice ne leur connaît pas «de convictions idéologiques qui pourraient expliquer leur comportement» note le procureur. Ils sont issus de «familles bien», qui «ne posent pas de problèmes particuliers et ne sont pas dans le besoin», affirmet-on à la mairie de Sarre-Union. L’un est le fils d’une institutrice, l’autre le petit-fils d’un proviseur. Tous sont «calmes, discrets, pas bagarreurs, n’ont rien de spécial», disent leurs camarades. Quatre sur les cinq habitent Sarre-Union, trois y sont scolarisés dans l’unique lycée. Les élèves de catégorie socio-professionnelle (CSP) favorisée y sont légèrement en dessous de la moyenne académique, les CSP défavorisés sont légèrement au-dessus, mais le taux de réussite au bac se situe entre 90 % et 100 %. «Un établissement sans problèmes particuliers», assure Jacques-Pierre Gougeon, recteur de l’Académie de Strasbourg. Pierre B. avait étrangement un ennemi déclaré: «le fascisme». Il portait des slogans antifascistes sur ses vêtements. «On ne parlait pas politique mais si on évoquait le Front national, il se mettait sur ses deux pattes arrière et se mettait à grogner, raconte Gaëtan. Il prétendait se battre contre le fascisme et était très remonté contre la police. Il traitait les policiers et les militaires de fascistes, avec une hargne qui me mettait mal à l’aise». De toute évidence, une rééducation sociale s'impose pour ce jeune homme qui amalgame trop de concepts antinomiques. Même si personnellement, ce groupe d'adolescents a servi de bouc émissaire dans un cimetière abandonné et mille fois visité. Quand aux saluts et chants nazis qu'ils auraient soit disant «effectués» sur place, désolé, mais cela ne colle pas aux personnes décrites précédemment, on les a juste habillés pour l'hiver (http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20150218.OB...saluts-nazis-des-crachats.html).


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Intègre et courageux.

Воскресенье, 22 Февраля 2015 г. 00:51 + в цитатник


Vincent Reynouard, frappé de plein fouet par la justice française, continue à argumenter intelligemment ses positions politiques et historiques, alors même qu'en face, ses adversaires ont abandonné depuis longtemps toute logique mentale pour se réfugier dans l'émotionnel des témoignages sans queue, ni tête, ni zyklon. En bonne République bananière, la France abuse pour un temps encore de sa dernière arme: la répression, qui ne pourra nous mener, nous Nationalistes, qu'à plus de clandestinité, et de radicalité.

C'est la dernière initiative du conseil général des Alpes-Maritimes à l'adresse des scolaires ayant perturbé la minute de silence au lendemain des attentats de début janvier ou manifesté de la solidarité envers les tueurs des journalistes de Charlie Hebdo. Signalés pour de telles attitudes, quatre jeunes Azuréens, une fille et trois garçons, viennent de participer au voyage de la mémoire organisé le 10 février par le département. Installés en dernière minute dans l'avion affrété pour la Pologne, ils ont visité en compagnie d'autres collégiens le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau (http://www.nicematin.com/nice/quatre-jeunes-azuree...dauschwitz.2103737.html?page=1). "Ils nous ont été proposés par l'Éducation nationale", précise Eric Ciotti, président du conseil général et la commission d'enquête parlementaire sur les filières djihadistes. "Ils étaient bien sûr volontaires, il ne peut être question en la circonstance de punition. Il s'agissait simplement de leur faire entamer un travail pédagogique, de les aider à mesurer la gravité de leurs propos ou de leurs comportements antérieurs." L'expérience se serait révélée profitable. "À l'origine de l'incident le plus sérieux, la jeune fille a pris la mesure de ce qu'on souhaitait lui montrer", avance une accompagnante. "Lors de la minute de silence, cette élève de quatrième avait crié" Allah Akbar "". L'initiative devrait être renouvelée lors du dernier voyage 2015 de la mémoire, prévu le 12 mai. Pourquoi ne pas l'étendre à d'autres départements ou collectivités organisant des visites d'Auschwitz? En ce sens, Eric Ciotti a écrit hier à la ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud Belkacem. "Ce pourrait être", lui suggère-t-il, "une alternative à des sanctions disciplinaires". "Pour ces perturbateurs, parfois en danger dans leur milieu familial, ce serait dans tous les cas l'occasion de toucher du doigt l'absurdité des résultats d'un génocide, de voir où mène l'embrigadement massif des consciences."


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Justice partiale et galvaudée.

Суббота, 21 Февраля 2015 г. 23:19 + в цитатник

Un homme de 38 ans a été interpellé et écroué à Fleury-Mérogis (Essonne) pour un viol dans un train de banlieue, a indiqué, lundi 16 février, une source judiciaire. Il a été identifié grâce aux caméras de vidéosurveillance (http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/une-etudia...d-autres-voyageurs_826037.html). Les faits, révélés par le journal Le Parisien, remontent à la nuit du 4 au 5 février. Ils se sont déroulés dans le compartiment d'un train Paris-Melun, en présence de plusieurs passagers. La jeune femme, une étudiante de 22 ans, aurait été accostée par son agresseur alors qu'elle se trouvait sur le quai à attendre son train. Elle l'aurait ignoré, mais ce dernier aurait insisté pour engager la conversation, en s'asseyant à côté d'elle dans le wagon. Au cours du trajet, il l'aurait embrassée de force avant de l'agresser. "Elle a fait l'objet d'une pénétration digitale", a expliqué la source judiciaire, qui précise que les faits ont pu "échapper" à l'attention des voyageurs en "l'absence de réaction visible de la victime". Selon cette source, la jeune femme aurait, dans un premier temps, réussi à se débarrasser de son agresseur. Mais à l'arrivée du train à Melun, l'homme l'aurait suivie et aurait à nouveau tenté de la violer dans le quartier de la gare, cette fois sans y parvenir. Choquée, la jeune femme ne s'est confiée que deux jours plus tard à des amies, qui l'ont convaincue de prévenir la police. L'agresseur, identifié grâce aux images de vidéo-surveillance, a été interpellé lundi dernier, puis mis en examen et écroué. Autre fait divers, autre type de violence mais toujours sur des femmes blanches – Enceinte de 8 mois, elle est agressée à Lens aux cris de "Je vais t’éclater ton gros bidon!" Une future maman a reçu trois coups de genou au ventre, vendredi à la sortie de l’école Jean-Macé, à Lens. En cause, une supposée mauvaise manœuvre pour se garer. Personne n'est intervenu pour la défendre (http://www.lavoixdunord.fr/region/lens-laura-encei...-agressee-a-ia35b54051n2627081). Une agression aussi gratuite que sadique. Laura, une future maman, enceinte de 8 mois, a été agressée pour un motif futile, ce vendredi, à la sortie de l’école Jean-Macé, à Lens. Selon La Voix du Nord, il est environ 15 heures lorsque la jeune femme, âgée de 24 ans, accompagne sa belle-sœur à la sortie de l'établissement scolaire. Elle arrête le véhicule sur une place et là, tout bascule. Depuis sa voiture, une femme l'interpelle, en lui lançant: "Tu t’es garée comme une clocharde!" Laura sort pour vérifier. L'autre femme abandonne son volant et s'approche. Laura tend le bras pour conserver une distance de sécurité, mais l'agresseuse lui rétorque violemment: "Je vais t’éclater ton gros bidon !" S'ensuivent trois coups de genou dans le ventre et un coup de tête. Après lui avoir pris le bras, elle ne s'arrêtera que pour aller chercher ses enfants. "Il y avait du monde autour et personne n’a bougé, a déclaré Laura, dans La Voix du Nord. Je n’ai plus de goût à rien. Je ferme les yeux et je la revois me mettre des coups dans le ventre". Au final, l'enfant va bien, mais pourrait naître avec des hématomes, selon les médecins. L'agresseuse, dont la plaque d'immatriculation a été relevée, va être prochainement entendue par la justice. En attendant, la future maman reste traumatisée. Bien sûr, le journaliste n'a pas révélé la nature négroïde ou maghrébine des agresseurs. Comme vous le voyez au travers de l'actualité quotidienne, lorsqu'il ne s'agit pas d'un acte «antisémite» supposé ou avéré, l'on s'aperçoit que la justice française reste bizarrement inerte. C'est donc à nous dans un premier temps de dénoncer ces crimes Anti-Blancs, puis d'agir en conséquence tant que toutes nos forces de l'ordre seront occupées uniquement à sécuriser les lieux de vie juifs.


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On a enfin vendu des Rafales.

Суббота, 21 Февраля 2015 г. 18:44 + в цитатник

Mais pourquoi donc l’Arabie saoudite et les Émirats offrent'ils des Rafales à l’Égypte? Le président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, a signé, le 16 février 2015, au Caire, cinq contrats d’achat d’armement avec la France portant sur: 24 Rafales de Dassault Aviation, 1 frégate multi-missions Fremm, fabriquée par DCNS, des missiles air-air Mica et de croisière Scalp produits par MBDA, des missiles air-sol 2ASM de la Sagem, des systèmes de leurre pour les Rafales produits par Lacroix. Le montant total des contrats est de 5,2 milliards d’euros alors que l’Égypte est en faillite et est déjà contrainte de solliciter de l’aide extérieure pour parvenir à nourrir sa population(http://www.interet-general.info/spip.php?article21050). La première moitié de cette somme sera versée au départ, tandis que la seconde moitié sera empruntée auprès des banques françaises et garantie par l’État français. La presse française s’étonne de la rapidité avec laquelle ces contrats ont été conclus. Elle salue la qualité exceptionnelle des Rafales pour mieux taire les raisons de ce marchés. En réalité, les États-Unis ont décidé de créer un Pacte militaire régional, sous l’autorité d’Israël, incluant les régimes sionistes musulmans (notamment la Jordanie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis), de manière à garantir la sécurité de la colonie juive de Palestine après le déplacement des troupes états-uniennes vers l’Extrême-Orient. Mais il est hors de question que le général al-Sissi, qui a fait campagne sous les auspices de feu le président Nasser, y fasse adhérer l’Égypte. Washington a donc confié à Riyad le soin de stabiliser le pays du Nil de manière à l’empêcher de rejoindre son allié historique, la Syrie. La commande égyptienne sera donc intégralement payée par l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis et sa livraison s’étalera sur au moins deux ans. Le choix des Rafales s’explique par le fait que l’Égypte ne pouvait accepter de matériel états-unien et que la France est le seul membre de l’Otan à avoir conservé son industrie de défense aéronautique à haut niveau, tous les autres l’ayant abandonnée dans l’espoir de participer au F-35 états-unien. Depuis 30 ans, les États-Unis ont dissuadés tous les acheteurs potentiels du Rafale de l’acquérir. La négociation d’un important contrat avec l’Inde a été interrompue après que la France a refusé de livrer à la Russie des Mistrals qu’elle avait commandés et payés. Jusqu’ici, la France considérait le général al-Sissi comme un dictateur qui réprime les Frères musulmans qu’elle soutient pour sa part en Libye, en Syrie et en Turquie. Cependant, l’Arabie saoudite et les Émirats, qui ont aussi été menacés par des tentatives de coups d’État des Frères musulmans, se sont rapprochés de l’Égypte précisément pour les combattre.

Le PSF est entré dans une phase de déclin accéléré et les projections électorales pour les scrutins départementaux et régionaux de 2015 confirment ce retournement historique. Après avoir lentement conquis tous les échelons territoriaux de l’Hexagone, le parti majoritaire est menacé jusqu’en terre bretonne, un de ses bastions les plus durement acquis. Pour la gauche socialiste française, Le Drian est le dernier espoir pour ce qui concerne la région administrative. Car le PSF est un parti vieillissant, dirigé essentiellement par des fonctionnaires de soixante ans et plus. Sclérosé par les thématiques idéologiques de la seconde moitié du XXème siècle et hanté par une aile gauche marxisante et étatiste, il a été abandonné pour l’essentiel par la classe moyenne (http://breizatao.com/2015/02/17/le-drian-dernier-e...andidat-officiel-du-telegramme). En 2014, deux ans après sa victoire de 2012, le parti gouvernemental a été écrasé aux élections municipales et européennes. En région Bretagne où il y a encore deux ans François Hollande récoltaient jusqu’à 70% des suffrages, le PSF n’a récolté aux dernières élections européennes que 16% des votes. La radicalisation fiscale, le clientélisme politique, la corruption, l’amateurisme, le mouvement des Bonnets Rouges ou encore l’échec de la réforme territoriale ont convaincu le principal parti de gauche français d’obsolescence. Il ne suscite plus que la colère ou, au mieux, n’inspire que de la défiance. Aux élections municipales, des bastions historiques réputés imprenables sont tombés. Rosporden, aux mains du PSF depuis un demi-siècle, a vu son candidat battu à 58% par une illustre inconnue. L’enjeu était si symbolique que Le Drian lui-même s’y était déplacé pour soutenir le candidat socialiste. En vain. Le conseiller de François Hollande Bernard Poignant, symbole de la morgue des apparatchiks du socialisme français, a été écrasé à Quimper. Partout, le PSF a massivement reculé. Dans un contexte de chômage en constante augmentation, d’effondrement de l’industrie agro-alimentaire et d’exil de la jeunesse bretonne, aucun début de proposition n’a été formulé. Une candidature sans relief. Il y a encore peu de temps, le Parti Socialiste Français jouissait d’une dynamique historique en faveur des idées marxistes et socialistes. Phénomène générationnel oblige. Avec le vieillissement de la population et la droitisation massive de la jeunesse – qui plébiscite le vote FN – les bataillons électoraux du PSF fondent comme neige au soleil. Il n’y a plus guère que ses clientèles de la fonction publique et les tributaires du guichet social qui continuent de voter pour le “parti de l’État”. Mais les populations rurales ou vivant dans les zones périurbaines ont rompu. Dans ce contexte, le PSF n’a plus aucune proposition à faire autre que celle du “notable”. Ce notable c’est Jean-Yves Le Drian dont la gauche socialiste espère qu’il puisse, sur sa seule personnalité, contenir l’écroulement électoral. Jean-Yves Le Drian n’a aucun bilan à la tête de la région administrative, hormis une communication qui ne mange pas de pain. Lors de la réforme territoriale, il a négocié un jugement de Salomon auprès de François Hollande pour maintenir la région Bretagne aux côtés de celle, artificielle, des “Pays de la Loire”. Hormis cela, quelques déplacements et des propos rassurants aux uns et aux autres. Jean-Jacques Urvoas a pu résumer: “Si Le Drian ne se présente pas, le PSF perdra”. Pas de programme, pas de personnalités de talent et un seul nom pour seul et unique espoir. Espoir politicien s’il en est car il n’est question que de sauver la bureaucratie locale d’un parti dont Le Drian dit “qu’il lui doit tout”. Les Bretons dans cette affaire sont quantité négligeable. Une variable d’ajustement dans une carrière politique parmi des milliers d’autres semblables qui constellent la vie politique française d’une Cinquième République décadente. L’allégeance des Le Drian, Urvoas et autres va invariablement à une organisation auxiliaire de l’état central. Il aura fallu à Le Drian 40 ans de carriérisme pour devenir ministre comme l’obscur fonctionnaire devient chef de service. Dès lors, il est pour lui question de pantoufler vénérablement à la tête d’une région Bretagne croupion dont la fonction se résume à faire vivre des troupeaux d’élus inutiles. On se récupère un socialisme régional complètement discrédité. Seulement voilà, Le Drian hésite. Et il attend de voir les résultats des élections départementales de mars pour étudier la configuration générale en Bretagne administrative. Sa candidature est probable mais pas certaine. Il a conseillé à ses personnels de cabinet de “prospecter” en anticipation de son départ, à l’été. Mais il devrait affronter un opposant de poids : Marc Le Fur. Le chef désigné par l’UMP pour mener le combat aux élections régionales de 2015 est réellement populaire, si bien qu’il a été un des rares députés de ce parti à se maintenir en 2012 dans des Côtes-d’Armor acquise à la gauche française. Très présent sur toutes les thématiques bretonnes, portant le Bonnet Rouge et défilant pour la Réunification, ce Vice-Président de l’Assemblée Nationale a une visibilité institutionnelle forte et un ancrage territoriale réel. Les sondages donnent l’UMP et le Centre à 30% dès le premier tour en cas d’alliance. Le PSF et EELV évoluent autour de 26%. Le FN est à 17%, peut-être davantage. L’usure du socialisme et une présidence exercée deux fois ont lassé l’opinion bretonne autour d’un Le Drian qui a toujours fait beaucoup de déclarations mais qui, au final, s’est toujours rallié à son maître de l’Ouest: Jean-Marc Ayrault. Le Drian est un adepte de l’enfumage médiatique, ce dont il a usé et abusé en instrumentant à son profit l’image de la Bretagne. Il y a eu la “Breizh Parade”, avec la complicité des associations culturelles largement subventionnées par le PSF. Et pas grand chose de plus. L’enseignement de la langue bretonne a accusé sous sa présidence un retard toujours plus grand par rapport à l’Alsace ou le Pays Basque, aucun pole télévisuel public breton n’existe. Economiquement, la région Bretagne est sinistrée et ne peut établir de stratégie compte tenu de son inexistence politique. Le Drian n’a jamais fait de l’autonomie régionale une proposition politique alternative à la crise structurelle du centralisme et de l’étatisme. En somme Le Drian, hormis des effets de manche, n’a rien à faire figurer dans son bilan. L’électorat breton aura-t-il oublié que Le Drian a abandonné sa présidence pour un marocain de ministre en 2012, en plein mandat régional? Cette usage détestable, symptôme d’une interchangeabilité des élus politiques en France, n’en démontre pas moins l’opportunisme de celui qui le pratique. L’énorme farce de la réforme territoriale socialiste a achevé de discréditer le meneur du PSF régional. Certes a-t-il exigé et obtenu le maintien du statu quo – ce qui était bien le minimum – mais il ne s’en est pas moins gardé pour autant de rompre avec le pitoyable jeu de chaises musicales lancé par Ayrault et sa clique nantaise. Le Drian a opté pour le maintien de l’existant afin de ménager les apparatchiks socialistes des métropoles de Brest, Rennes et Nantes. Ceci au nom d’un “patriotisme socialiste” exigeant de protéger d’abord et avant tout l’unité partidaire au détriment de l’intérêt breton. Qu’aurait à offrir Le Drian lors d’un troisième mandat à la tête d’une région qu’il a désertée il y a à peine deux ans? Une région dont son Premier Ministre de tutelle, Manuel Valls, a fait une entité administrative devenue incomparablement plus faible face aux 12 autres nouvelles régions hexagonales. Personne n’a jamais entendu la moindre critique argumentée de la part de ce possible candidat à sa propre succession quant au désastre que représente cette pseudo-réforme. Solidarité de parti ou Solidarité oligarchique entre membres d’une même caste devrait-on dire. Au travers de réseaux médiatiques et sémitiques. Le Télégramme, journal du PSF et des réseaux de domination en Bretagne, a d’ores et déjà entrepris – avec l’agent de la Défense et du Quai d’Orsay qu’est le “journaliste” Jean Guisnel – de lancer la candidature Le Drian. Ainsi peut-on lire un papier dithyrambique à la gloire du “Guide” dans un récent numéro du journal appartenant à la famille Coudurier, elle aussi inquiète de l’effondrement du PSF au plan régional. Relatif à la vente de 24 Rafale à l’Égypte – dont les standards démocratiques chers à la gauche ont été effacés du tableau – l’article de Guisnel explique sans rire que c’est Le Drian qui a rendu la chose possible. “Réglée en moins de trois mois” précise-t-il. Sobrement intitulé “Rafale. Jean-Yves Le Drian au premier rang”, Guisnel se laisse à un plaidoyer pro domo extatique. Que l’Égypte cherche à diversifier ses appuis diplomatiques face aux USA n’a semble-t-il pas effleuré l’esprit de notre agent d’influence, trop occupé il est vrai à encenser son maître. Que les USA aient peut-être demandé à leur vassal français d’offrir une alternative à l’armement russe – Washington ne pouvant pas encore admettre la destruction de ses alliés qu’étaient les Frères Musulmans par le nouveau pouvoir – est une autre piste non étudiée par le “journaliste”. On peut ainsi lire dans l’article précité des phrases mirobolantes telles que “Jean-Yves Le Drian n’est pas un homme politique comme les autres” ponctuées de descriptions ampoulées tentant grossièrement de représenter un moderne Duguesclin: “Le Drian gère, en connétable, pour son ami président la conduite des crises et des guerres. Entre-temps, il négocie des ventes d’armes. Le week-end, c’est la Bretagne qui l’occupe si les autres affaires lui en laissent le… loisir”. Le gogo, lecteur du Télégramme, est ainsi invité à voir en Le Drian une sorte de Vice-Roi des Indes, stratège et bon père de famille, veillant sur ses dépendances bretonnes tandis qu’il guerroie de par le monde. Guisnel, au passage, évoque un des bras droit de Le Drian – maçon du Grand Orient et membre du Siècle – le juif Lewandowski. Certes la judaïté de ce dernier est soigneusement tue, pour effacer du tableau ministériel le puissant lobby juif qui y agit comme au Quai d’Orsay. Si Guisnel juge bon d’en parler, c’est pour le flatter à la suite de Le Drian car c’est grâce à lui que Guisnel dispose, comme “journaliste ès Défense” de l’accès privilégié à Le Drian. Ce juif de cour est ainsi chargé de “vendre l’image” du prince du sang socialiste Le Drian à la plèbe hébétée. Guisnel conclut son article par cette déclaration tapageuse: “Les Britanniques ont une formule, pour parler d’un homme dans la situation de l’ancien président du Conseil régional de Bretagne. Ils évoquent «the right man in the right place»: la bonne personne au bon endroit”. La modération du propos est à saluer. Le Drian, un simple administrateur atlantiste sans relief. Guisnel évite, par pudeur sans doute, de détailler le rôle de Le Drian dans l’armement des djihadistes en Syrie – singulièrement de la FSA – notamment grâce aux livraisons de missiles antichar Milan. Exécutant sans relief du plan de Washington contre Damas, Le Drian a activement soutenu le renversement de régime en Syrie pour le compte des pétromonarchies. Objectif de cette guerre: le maintien du monopole de l’US Dollar comme monnaie des transactions énergétiques mondiales et réduire le partenariat euro-russe dans le domaine. Le Drian n’a jamais été qu’un simple administrateur ayant maintenu l’armée française dans le rôle de force auxiliaire qui lui a été dévolue par Washington. Guisnel rend même hommage au rôle qu’il prête à Le Drian dans la non-livraison du Mistral à la Russie. Il faut dire que Guisnel, agent atlantiste connu, poursuit de ses foudres la Russie chrétienne avec la même force qu’il cire les pompes des forces atlantistes triomphant en France. Oubliée également la sombre affaire de népotisme touchant le fils de l’actuel ministre de la Défense ayant bénéficié de l’entregent du paternel pour le lancement de sa carrière. La campagne électorale a donc commencé et plus que jamais les Bretons se voient soumis aux manœuvres de leurs ennemis fondamentaux: le socialisme cosmopolite et ses souteneurs.


Odeurs nauséabondes.

Суббота, 21 Февраля 2015 г. 17:07 + в цитатник

Rokhaya Diallo: "La France est une mère-patrie qui ne reconnaît pas une partie de ses enfants". Après avoir fondé Les Indivisibles, association de lutte contre les préjugés ethno-raciaux, Rokhaya Diallo est devenue journaliste (RTL, Canal+…) et réalisatrice (Les marches de la liberté, Les réseaux de la haine). Elle a créé et présenté le magazine Égaux mais pas trop (http://mejliss.com/rokhaya-diallo-france-une-mere-...ait-pas-une-partie-ses-enfants). Membre de l'ENAR (European Network Against Racism), mouvement antiraciste européen, elle a également publié Racisme mode d'emploi (2011), Comment parler du racisme aux enfants (2013). C'est une militante en veille sur l'ensemble de ces questions. Quels sont vos espoirs et vos craintes après la vague d'attentats qui a frappé la France? Je pense évidemment aux victimes et à leurs familles dans l'épreuve qu'elles endurent. Pour le reste, j'avais des craintes sur le fait qu'on place une partie de la population sur le banc des accusés. Ça a commencé avec Nicolas Sarkozy dans un entretien sur RTL qui a distingué «l'islam en France» de «l'islam de France». Très honnêtement, j'ai le sentiment qu'on refuse de comprendre que le problème qui s'est produit aujourd'hui est un problème français. Ce sont des gens qui sont nés en France. Ils ont grandi en France. Ils ne revendiquent pas des valeurs ni un islam qui leur ont été transmis par leurs familles. Cet islam est au contraire la production de notre modernité et d'éléments qui circulent sur Internet. C'est la France qui a permis l'avénement de ces drames, à force de déni et de politique de l'autruche. Il y a dix ans, une partie de la jeunesse s'est soulevée dans les quartiers populaires et pas seulement à Clichy-sous-Bois, mais dans toute la France, pour protester contre la relégation et l'injustice sociale, les violences policières etc. Les policiers qui sont à l'origine de la mort de Zyed Benna et de Bouna Traore (le 27 octobre 2005) n'ont pas été sanctionnés. Et ça, c'est le meilleur moyen d'installer du ressentiment chez une partie de la population. Il n'est pas question de trouver des excuses ou des justifications à ce qui s'est produit la semaine dernière, mais on est obligé de s'interroger sur la manière dont notre pays produit des gens désespérés au point de ne voir leur salut que dans la production de massacre. Notre pays est malade: la France est une mère-patrie qui ne reconnaît pas une partie de ses enfants. Dans ces cas là, quand on n'a pas l'attention de ses parents, on va se chercher d'autres parents… Et parfois ces parents, ce sont des extrémistes qui encouragent des actes abominables. C'est ce qui s'est produit. Quelles mesures devrait on-prendre pour lutter contre ces extrémismes? D'abord cesser d'être dans le déni. La France s'est toujours vendue comme un pays qui vit en harmonie avec ses minorités. Mais je suis désolée, il y a eu une marche pour l'égalité en 1983: il ne s'est rien passé après. Il y a eu des émeutes aux début des années 90: il ne s'est rien passé après. Puis des révoltes en 2005, en 2007, en 2009… Toujours rien. Il n'y a pas eu de réponse politique à toutes ces expressions de colère, de rage parfois, qui ont été manifestées par les habitants des quartiers populaires. De façon concrète, je pense qu'il faut vraiment adopter aujourd'hui une vraie politique d'égalité. La crise économique creuse les inégalités entre les citoyens. François Hollande a été élu sur un programme de gauche mais il ne montre aucun signe d'intérêt pour les populations les plus fragiles, or la pauvreté est l'un des terreaux de ce type de comportement. Tant qu'il y aura des inégalités criantes, l'existence de discriminations économiques et politiques, on donnera des arguments pour séduire les personnes les plus instables psychologiquenemt, les plus fragiles et les plus enragées. En 2011, lorsqu'un coktail molotov avait été lancé sur les bureaux de Charlie Hebdo, vous aviez signé l'appel «Pour la défense de la liberté d’expression, contre le soutien à charlie hebdo!», pourquoi? Quand j'ai signé cet appel en 2011, je m'étais exprimée avec des mots et j'avais fait un usage simple de ma liberté d'expression. Les journalistes de Charlie Hebdo sont morts parce qu'ils ont usé de leur liberté d'expression. C'est faire injure à leur mémoire de me reprocher de faire usage de la mienne. Je suis assez étonnée de cette chasse aux sorcières qui commence à s'organiser contre ceux qui ont été critiques à l'égard de Charlie Hebdo, cela m'inquiète. On vit dans un pays démocratique, les débats ne doivent pas être censurés.

La mise au pas idéologique de la population hexagonale en général et bretonne en particulier est un travail de chaque jour. Les médiats d’état y jouent un rôle central. Un exemple en date du 12 février, celui de la radio gouvernementale “France Bleu” Breizh Izel qui se livre à un de ces événements d’embrigadement des masses dont l’URSS et les démocraties populaires avaient le secret. Voici comme est présentée la Journée spéciale “Comment bien vivre ensemble” sur le site de la radio d’état: (http://breizatao.com/2015/02/13/propagande-detat-l...-comment-mieux-vivre-ensemble/). Au fil de cette journée spéciale, France Bleu Breizh Izel vous raconte des histoires qui symbolisent le “mieux vivre ensemble” au coeur de notre Bretagne, véritable terre d’ouverture et d’accueil. Histoires de personnages qui à leur manière favorisent l’intégration en terre bretonne, qui ont vécu des intégrations réussies en Bretagne ou les deux. Reportages et témoignages de ceux qui œuvrent pour construire demain. Comment mieux vivre ensemble? Dans les émissions de France Bleu Breizh Izel: La matinale avec les invités de la Rédaction: 7h24 Kofi Yamgnane. Il est arrivé à Brest en Septembre 1964…le Togolais Kofi Yamgnane quittait son village pour entreprendre des études à Math Sup au Lycée Kerichen….L’Ancien secrétaire d’État aux Affaires sociales et à l’Intégration (1991-1992) puis à l’Intégration (1992-1993) dans les gouvernements Cresson et Bérégovoy, député PS du Finistère de 1997 à 2002. 8H10 Pascale Maunier-Barrau, coordinatrice de la Formation à l’Abaafe. Vivre Ensemble, il existe sur le terrain des associations qui oeuvrent de manière forte et concrète dans ce sens? comme l’Abaafe, Association brestoise pour l’alphabétisation et l’apprentissage du Français pour les étrangers. 8h40 “Toute première fois” avec Farid Aït Siameur, un artiste étranger installé en Bretagne. C’est en 1992 que démarre l’expérience Tayfa (plus ou moins “sales mômes” en berbère). En juillet de cette année-là, le chanteur kabyle Farid Aït-Siameur, installé à Ploemeur, et le percussionniste breton de Quimper, Jacques Moreau, décident de créer un groupe qui marquerait la rencontre des cultures musicales celtes et berbères. Depuis les années 80, chacun de leur côté, les deux hommes avaient cherché à unir les deux musiques qui, indéniablement, sont riches de points communs au pur niveau musical: les rythmes, les instruments. Mais aussi dans l’esprit: l’amour de la tradition et une forte identité qui doit parfois lutter pour survivre. Farid est actuellement en résidence à La Citrouille à St Brieuc avec les nouveaux membres de Tayfa, sur les répétitions du prochain spectacle du groupe. 9h30 Les experts: “Les liens sociaux se dégradent” entend-on ici et là! et il semblerait que l’indifférence et le chacun pour soi dominent, d’autant que l’avenir s’annonce plutôt morose… L’élan de solidarité qui s’est créé après les attentats du mois dernier à Paris et cette belle unanimité vont-t-il perdurer? Comment arriver à mieux vivre ensemble: n’est-ce pas dès le plus jeune âge, dès la petite enfance qu’il faudrait inculquer la notion de respect des différences? Un retour à davantage d’écoute et de tolérance dans nos relations aux autres ne devrait-il pas être une priorité? Avec Jean-Jacques Bataille, ancien enseignant et directeur de SEGPA (Sections d’Enseignement Général et Professionnel Adapté). Le 10/11h: Témoignage d’Anne Tréguer, journaliste: oui, la cuisine et les cours de cuisine peuvent être des vecteurs d’intégration, de “Mieux vivre ensemble”. Michel éducateur spécialisé à l’IME de Dirinon travaille auprès de jeunes mineurs handicapés. Les ateliers de cuisine ont apporté pleines de bonnes choses pour les enfants individuellement mais aussi collectivement. Laurence Vignon, elle est venue plusieurs fois avec son fils. Son fils est un fan de cuisine et elle n’était pas une passionnée au départ. Elle est revenue car les ateliers vont bien au delà de la cuisine, ce sont des moments de partages, de mieux vivre et de découverte de l’autre. Elle a pris conscience que la cuisine pouvait aussi être un plaisir et pouvait contribuer à améliorer son quotidien. Le 11/12h avec le jeu “Kouizz Breizh” spécial consacré à de célèbres étrangers de Bretagne. Le 17/19h: La culture est aussi un traditionnel vecteur d’intégration. France Bleu Brerizh Izel reçoit en studio 3 organisateurs bien connus: Jacques Guérin pour le Festival du Bout du Monde de Crozon, BDM, le Festival de Cinéma et des Minorités de Douarnenez et Pierre Morvan du Festival du Chant de Marins. Le 19/21h: La langue bretonne pour mieux vivre ensemble. Ils sont nombreux, ces étrangers qui se sont installés en Bretagne et qui ont même fait l’effort d’apprendre la langue bretonne. Pour eux, ce long apprentissage était un essentiel vecteur d’intégration! Qu’ils viennent des Usa, d’Irlande, d’Europe de l’Est ou du Maghreb, ils parlent aujourd’hui un breton teinté d’un petit accent sympa. Et bien sûr toute la journée, vous aurez le droit à de la musique celtique, vecteur de rapprochement et de fraternité. Au fil de la journée, France Bleu Breizh Izel diffusera aussi de nombreux titres de musique traditionnelle bretonne et celtique. L’originalité réside dans le fait que ces titres sont totalement métissés: des morceaux bretons joués par des musiciens étrangers ou des morceaux étrangers joués par des formations traditionnelles bretonnes. Nous recevrons des musiciens qui nous feront partager leurs expériences, leurs échanges.

Une bérézina: à peine une vingtaine de personnes s’étaient réunies, en novembre dernier, sur le campus de Poitiers pour assister à l’assemblée générale constitutive d’un comité local de SOS Racisme. Il est loin le temps où les «potes» défilaient par milliers dans les rues de Paris pour créer un «cordon sanitaire» autour du FN. Aujourd’hui, à Poitiers comme ailleurs, l’association ne fait plus recette. SOS Racisme ne fait plus recette mais a besoin d’argent et même de beaucoup d’argent si on se réfère aux demandes de subventions que l’association a adressées il y a un an à l’ACSÉ (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances, sur cette agence lire notre article «L’ACSÉ, un guichet à subventions») (http://www.contre-info.com/sos-racisme-touche-touj...imum-de-subventions#more-36733). Dans ce document, que Les Enquêtes du contribuable sont parvenues à se procurer en exclusivité, l’association qui table sur un budget prévisionnel de près de 1,4 million d’euros en 2013, ouvre grande sa sébile. Après avoir encaissé 177 500 euros en 2011, puis 235 800 euros en 2012, elle réclame à nouveau, le 19 mars 2013, 160 000 euros au titre des aides qu’elle dispense aux victimes de racisme ou de discrimination; 100 000 euros pour ses actions d’éducation populaire au nom du «vivre ensemble» et 75 000 euros pour une «mobilisation citoyenne par l’action militante». Selon une note interne, il semble que Naïma Charaï, présidente de l’ACSÉ et conseillère régionale PS d’Aquitaine ait décidé de bien beurrer la tartine des potes en leur accordant immédiatement 150 000 euros d’aides. L’histoire ne dit pas si d’autres rallonges ont été accordées après le 19 mars 2013, l’association de Dominique Sopo quémandant aussi des subsides à travers un satellite comme la Fédération nationale des maisons des potes (FNDMP). L’ACSÉ n’est pas la seule instance gratifiant cette association qui est progressivement passée de la défense des immigrés à la stigmatisation des autochtones. Si on se fie au budget prévisionnel que l’association a présenté à l’agence lors de sa demande de subventions, elle est aussi perfusée par le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de la Jeunesse et des Sports, la Ville de Paris, le Conseil régional d’Île-de-France, sans qu’il soit possible d’évaluer ce qu’elle touche aux échelons locaux puisque le total de ces aides n’est pas comptabilisé. A côté de ces monceaux d’argent public, SOS Racisme a estimé que les cotisations, dons et legs représenteraient une somme nulle lors de l’élaboration du budget prévisionnel 2013, ce qui en dit long sur son assise populaire. La criminalité est corrélée à l'immigration afro-maghrébine voulue par les juifs.


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Double discours et schizophrénie juive.

Суббота, 21 Февраля 2015 г. 16:07 + в цитатник


Il serait intéressant de connaître le montant exact que nous coûte la protection militaire des lieux juifs de France. Parce que d'un côté, la racaille talmudique nous vend l'immigration afro-maghrébine pour un formidable terrain d'enrichissement économique et culturel, et de l'autre, ce sont les premiers à crier à l'antisémitisme dès qu'un musulman critique la position d'Israël. On ne peut pas être gagnant sur tous les tableaux, et là, le moment est venu de choisir! Il va falloir qu'ils comprennent qu'on ne peut pas lustrer du Bougnoule en France, et se le fourrer au phosphore blanc en Palestine (http://www.opex360.com/2015/02/09/loperation-sentinelle-coute-million-deuros-par-jour) D’habitude, la sous-estimation des surcoûts liés aux opérations extérieures (OPEX) fait débat. Pour cette année, il a été prévu 450 millions d’euros pour les financer alors que les forces françaises sont engagées dans le Sahel, au Liban, en Centrafrique, en Irak, en Guinée, etc.. En un mot comme en 100, cette enveloppe ne devrait pas être suffisante, comme cela a été le cas par le passé. Mais ce sera aussi le cas pour les opérations intérieures (OPINT)… Pour 2015, il est un peu compliqué de trouver le montant de l’enveloppe qui leur a été allouée. Avant, elles relevaient de l’action 7 du programme 178 «Préparation et emploi des forces». Mais depuis cette année, il faut regarder le programme 212 étant donné qu’elles sont essentiellement constituées de dépenses de personnels (titre II). Bref, il a été prévu 11 millions d’euros, essentiellement pour financer les patrouilles Vipirate (au niveau «normal»), la mission de lutte contre les feux de forêts Héphaïstos ainsi que de possibles interventions ponctuelles. Seulement, avec les attentats de janvier, ces 11 millions seront bien évidemment insuffisants. Et pour cause: le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian a ainsi indiqué que l’opération Sentinelle, lancée dans la foulée, coûte «à peu près 1 millions d’euros par jour»… Et qu’elle durera «le temps nécessaire» (autant dire qu’on ne sait pas quand elle prendra fin…). En un mois, ce sont donc plus de 30 millions qui ont été dépensés, soit un montant 3 fois supérieur à celui qui avait été prévu pour les surcoûts «OPINT» . Et ce n’est pas fini. Pour rappel, plus de 10.500 militaires sont mobilisés sur le territoire national afin de surveiller et de protéger environ 830 lieux sensibles. Or, il faudra composer avec les relèves sur le front des opérations extérieures, les préparations opérationnelles, les permissions, etc… Quoi qu’il en soit, tant que cette opération se prolongera, la facture s’alourdira d’autant. Quand le budget prévu pour les OPEX est dépassé, un mécanisme de financement interministériel se met en place. Le schéma est connu. Mais qu’en sera-t-il pour les «OPINT» cette année? On est encore reparti comme en 40 pour aller les planquer entre le pinard et les patates.



Le lundi 16 février 2015, la plupart des médias français ont relayé une vidéo (visionnée par plus d’un million d’internautes en 48 heures) censée illustrer "l’épreuve de l’antisémitisme" vécue dans les rues de Paris par un homme en kippa. L’auteur du document qui affirme avoir ressenti, lors de son "reportage", de "la peur et du dégoût" (http://panamza.com/api)  Zvika Klein, est généralement présenté comme un simple "journaliste" ou "reporter" israélien. Éléments d’information reliés par Panamza et passés sous silence par l’ensemble des médias français qui ont relayé la vidéo: Klein, un Israélo-Américain vivant à Jérusalem et issu de la colonie israélienne de Ginot Shomron (Cisjordanie), est un ex-militant d’organisations sionistes internationales et un ancien employé du ministère israélien des Affaires étrangères devenu "journaliste" au sein de NRG, un site possédé par le milliardaire américain Sheldon Adelson (http://panamza.com/ape)  et (http://panamza.com/apf) Petite précision: la vidéo propagandiste de Klein et son relais complaisant par la presse hexagonale interviennent en plein essor de l’émigration des Français juifs vers Israël (http://panamza.com/7887).


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La Grèce rentre à la niche!

Суббота, 21 Февраля 2015 г. 15:28 + в цитатник

Après les nombreux effets de manche du gouvernement d’extrême-gauche grec de ces derniers jours, la réalité s’est imposée à Athènes. Tsipras a accepté de se soumettre lors de la rencontre des ministres des Finances de l’Eurozone. Ayant accepté toutes les conditions fondamentales de l’Eurogroupe (états membres de la zone euro), Tsipras doit présenter la semaine prochaine des réformes qui devront être validées par la “Troïka” (http://breizatao.com/2015/02/21/tsipras-capitule-t...plan-de-sauvetage-de-la-troika). Sur quoi a capitulé la Grèce? (1) La Grèce a globalement accepté de compléter la restructuration entreprise avec l’aide de la Troïka. Celle-ci repose sur un soutien financier via des taux à intérêts très bas en échange de réformes structurelles. Syriza avait campagne contre le “memorandum” – du nom du programme négocié entre la Grèce, la Commission Européenne, la BCE et le FMI – et pour mettre fin au “plan de sauvetage” qu’il détaillait. Tsipras déclarait encore la semaine dernière que ce plan était “fini” et que la Grèce n’accepterait plus d’argent de ses créditeurs. La faillite inéluctable qui pointait à l’horizon en cas d’échec hier a eu raison du démagogue d’extrême-gauche. (2) La Troïka, que Tsipras avait présenté comme “morte”, est toujours bien en place. Dans les documents officiels elle est désormais désignée sous le terme “institutions” (BCE – UE – FMI), pour modérer l’humiliation de Syriza. Il n’empêche, les institutions en charge de veiller à la mise en oeuvre du plan de sauvetage ne sont rien moins que celles qui constituent la Troïka. C’était une condition sine qua none de tout soutien à Grèce: difficile en effet d’aider un pays qui refuse de discuter avec ceux qui le financent. (3) La Grèce remboursera la totalité de sa dette. Alors que Tsipras annonçait que la dette ne serait pas remboursée puis qu’il escomptait un abandon de la part des créditeurs du pays de 50% de celle-ci, son gouvernement a accepté par écrit hier d’honorer la totalité de sa dette qui s’élève à 320 milliards d’euros.(4) Les fonds de recapitalisation des banques grecques demeurent sous contrôle européen. Le gouvernement d’extrême-gauche voulait que les fonds de l’actuelle tranche du plan de sauvetage restants soient donnés au Fonds Hellénique de Stabilisation Financière. Une manœuvre évidente pour disposer de liquidés très rapidement et arroser ainsi à sa discrétion ses clientèles électorales. Les Européens ont refusé et Tsipras a du là encore capituler. On ne rasera pas gratis ces prochains mois en Grèce. (5) Le gouvernement grec accepte que le FMI continue d’intervenir dans le processus économique grec. Tsipras a signé le document de l’Eurogroupe stipulant: “Nous acceptons que le FMI continue de jouer son rôle”. Un revirement à 180° puisque cet acteur essentiel de la Troïka continue d’agir. (6) Le gouvernement grec ne prendra “aucune initiative unilatérale”. C’est-à-dire qu’il accepte de ne pas voter de lois sans l’aval des capitales européennes d’ici à juin, du genre de celles qu’entendait appliquer Tsipras. Le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, et le commissaire européen à l’économie, Pierre Moscovici, ont annoncé en conférence de presse que cela s’appliquerait aussi aux annonces tapageuses faites par Tsipras lors de son discours au parlement grec dans lequel il voulait remettre en cause les réformes du marché du travail réalisées précédemment. (7) 4 mois plutôt que 6 mois. Le gouvernement grec demandait une allonge de 6 mois de son financement sans droit de regard de la part de ses créditeurs européens, le temps pour elle de mettre en place “ses” réformes qui se chiffrent à 20 milliards d’euros. C’était seulement “après ces six mois”, que le gouvernement grec entendait “renégocier” son “plan de sauvetage”. Comme on l’a vu, ces réformes ne verront jamais le jour hormis celles d’ordre cosmétique. L’Eurogroupe a refusé d’étendre à 6 mois son plan d’aide en le réduisant à 4 mois et ce sous condition. C’est un point fondamental car cela signifie que le plan transitoire expire au mois de juin. Or la Grèce doit rembourser la Banque Centrale Européenne de 6,7 milliards d’euros en juillet et août. En d’autres termes, le plan de sauvetage défendu par l’Eurogroupe est maintenu pendant 4 mois, sans condition. Et au mois de juin, le gouvernement grec sera dans une situation encore plus difficile financièrement qu’à présent et ses soutiens en Grèce auront largement déchanté quant aux promesses de campagne de Syriza. Comme l’a déclaré le ministre allemand des Finances, très satisfait: “le gouvernement grec aura beaucoup de difficultés à expliquer l’accord à ses électeurs”. Le Parti Communiste Français, membre du Front de Gauche, était quant à lui trop occupé à sauver la face pour rentrer dans le détail de l’accord:

De la même manière, Jean Luc Mélenchon s’est empressé de faire passer cette capitulation de Syriza en “victoire”, au risque de se solidariser de l’énorme désillusion qui va s’emparer de l’électorat d’extrême-gauche:


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La $hoah effectue une sortie de route. La chambre à air aurait explosé.

Суббота, 14 Февраля 2015 г. 16:39 + в цитатник

Comme un poisson n'a jamais prouvé l'existence du monstre du Loch Ness, un cadavre n'a jamais prouvé l'existence des chambres à gaz! L’ancien enseignant révisionniste Vincent Reynouard a été condamné mercredi à deux ans de prison ferme pour avoir diffusé sur Internet des vidéos contestant les crimes contre l’humanité de 39-45, diffusées l’an dernier, avant le 70 ème anniversaire du Débarquement en Normandie. La loi ne prévoyant pourtant une peine d’une année de prison au maximum, la justice a donc rendu un verdict parfaitement illégal, signe de la répression généralisée de la parole (http://breizatao.com/2015/02/12/liberte-dexpressio...-prison-2-fois-la-peine-legale). Le tribunal correctionnel de Coutances (Manche), devant lequel comparaissait Vincent Reynouard, 45 ans, déjà condamné à un an ferme pour une brochure négationniste en 2007, a doublé la peine d’emprisonnement réclamée par le parquet. Cet ancien professeur, radié de l’Éducation Nationale il y a une quinzaine d’années parce qu’il développait ses thèses négationnistes durant ses cours de mathématiques, a été condamné à verser en outre des dommages et intérêts à plusieurs associations, dont les plus élevés (3.500 euros) à la Licra (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme). Son matériel informatique a été confisqué, il devra aussi payer la publication du jugement dans cinq quotidiens nationaux et régionaux. Bien connu en France et à l’étranger, Vincent Reynouard avait déjà été condamné à un an de prison en 2007 et 10.000 euros d’amende pour diffusion d’une brochure contestant l’Oh Low Cost, purgeant sa peine à Valenciennes après avoir été extradé de Belgique où il s’était réfugié. Début 2014 il avait posté une vidéo de 45 minutes dans laquelle il s’insurgeait contre la «propagande» diffusée selon lui à l’occasion du 70e anniversaire du D-Day, et critiquait des voyages d’études de collégiens et lycéens normands dans d’anciens camps de concentration, y voyant un «embrigadement». «Nous sommes très satisfaits de la condamnation de ce forcené du nazisme», a déclaré Christophe Collet, président de l’association Westlake Brothers Souvenir (WBS), qui promeut la mémoire des libérateurs, notamment canadiens, et qui figure dans la vidéo. Néanmoins il ne se fait pas d’illusions. «Dans quelque temps il y aura de nouvelles vidéos du même type», a-t-il pronostiqué. Vincent Reynouard, qui habite Saint-Lô (Manche), s’est défendu sans l’aide d’un avocat: la classe!



Même le dieu Faurisson y va de sa prose pour défendre notre historien face à une religion de l'Oh Low Cost de plus en plus mytheuse! Il y a un mois, des millions de manifestants exprimaient ou même clamaient, notamment à Paris, leur attachement à la liberté d’expression. Aujourd’hui que peuvent bien penser ces braves gens du fait qu’un tribunal français vient de condamner un père de famille (très) nombreuse et sans ressources (ou presque) à deux ans de prison ferme et à de lourdes peines financières essentiellement parce que ce dernier a publié, sur un point d’histoire, le résultat de ses recherches? Vincent Reynouard a été ainsi condamné sur le fondement de la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 qui prévoit au maximum un emprisonnement d’une année. Il serait intéressant de voir comment le tribunal a pu justifier une telle décision. Pour sa part, le procureur semble craindre un cas de nullité et qu’à ce compte sa proie ne lui échappe. Il tient à ce que le coupable aille pour de bon en prison. Il insistera pour obtenir satisfaction (http://www.interet-general.info/spip.php?article21034). Le piquant de l’affaire est que la loi du socialiste Fabius et du communiste Gayssot (aussi appelée "loi Faurisson" 1) interdit la contestation des "crimes contre l’humanité" tels que définis et condamnés en 1945-1946 par le Tribunal militaire international de Nuremberg (trois mensonges en trois mots). Renseignez-vous sur la gredinerie de ce tribunal (1) qui était juge et partie, (2) qui, dans les articles 19 et 21 de son statut, spécifiait qu’il ne serait pas lié par les règles techniques relatives à l’administration des preuves et qu’il n’exigerait pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété publique mais les tiendrait pour acquis, (3) qui refusait aux condamnés toute possibilité d’appel, (4) qui instituait le principe de responsabilité collective et celui de culpabilité d’office, (5) qui a considéré comme preuves authentiques tant de documents et rapports qui, par la suite, se sont révélés faux comme cela s’est trouvé être le cas pour les quatre millions d’Auschwitz, pour les chambres à vapeur de Treblinka, pour les six millions attribués par le tribunal lui-même à Eichmann, pour le crime de Katyn attribué aux Allemands (non mentionné dans le jugement), (6) qui n’était en rien "international" mais "interallié", (7) qui n’avait de militaire que les deux juges soviétiques dont l’un, Nikitchenko, avait été procureur aux abominables "procès de Moscou", (8) qui n’était que "la continuation de l’effort de guerre des Alliés" (procureur Jackson, organisateur dixit), etc., etc., etc. Moi, Robert Faurisson, je suis prêt à témoigner en faveur de Vincent Reynouard en cause d’appel et à démontrer que, sur le plan scientifique, il ne reste plus, en 2015, pierre sur pierre de l’atroce édifice de calomnies (1) du prétendu génocide des juifs, (2) des prétendues chambres à gaz hitlériennes et (3) des prétendus six millions. Un exemple parmi des millions: après la mésaventure de l’expertise médico-légale de la scène du crime et des cadavres juifs du Struthof conduite par le professeur René Fabre, doyen de la Faculté de pharmacie de Paris, expertise terminée le 1er décembre 1945 [1], il ne s’est plus trouvé un seul magistrat pour ordonner et obtenir une quelconque expertise médico-légale démontrant l’existence et le fonctionnement d’une telle arme de destruction massive par le gaz. On s’est passé de preuves au profit de "témoignages" ou d’"aveux". Note de la rédaction: L’expertise de René Fabre visait à établir si les cadavres de prétendus «gazés» du camp de concentration du Struthof, en Alsace, avaient réellement été victimes d’un gazage. L’expertise a démontré que tel n’était nullement le cas. Rudolf Höss a été l’un des commandants du camp de concentration d’Auschwitz. Après son arrestation, les Alliés l’ont torturé pendant des mois, lui faisant «avouer» qu’Auschwitz était un camp d’extermination, que les vieillards, les femmes et les enfants y étaient gazés dès leur arrivée, que les détenus chargés de vider les chambres à gaz y pénétraient aussitôt après une exécution, sans masque à gaz, en mangeant des sandwichs et en fumant des cigarettes, etc... Par la suite, Rudolf Höss a été pendu. Les révisionnistes ont depuis démontré que ses «aveux» étaient mensongers, voire carrément absurdes …. Comme disait Barbie, Klauss pas la poupée: "Un mauvais scénar de série B."


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Il est temps de revenir aux fondamentaux

Суббота, 14 Февраля 2015 г. 16:30 + в цитатник

L’Antisémitisme a eu le sort de toutes les grandes choses, et de toutes les doctrines élevées. Il a rencontré sur son chemin des calomnies ridicules et des paradoxes ineptes. On a voulu le caricaturer comme une excentricité, une passion basse, une dépravation du sens moral. Les Juifs ont représenté les Antisémites tantôt comme des envieux, tantôt comme des fous ou des imbéciles. Du reste, les Israélites sont imbus de cette idée qu’eux seuls ont le droit de se juger et qu’ils échappent au jugement des autres hommes. Comment l’Antisémitisme ne serait-il pas, à leurs yeux, un crime et un blasphème? (https://bibliothequedecombat.wordpress.com) Quoi qu’il en soit, l’Antisémitisme n’a plus besoin de réfuter ces absurdités trop palpables. Il a pris possession de l’opinion, mais le rang qu’il y occupe est loin de celui qu’il occupera, lorsqu’on comprendra qu’il est au plus haut degré, par essence, une force régénératrice, un puissant et irrésistible essor de l’Idée nationale. L’Antisémitisme, c’est la France qui ressaisit sa personnalité historique, son génie aryen et sa tradition chrétienne. C’est l’or, insolent et faux, qui descend de son trône. C’est la corruption politique et judiciaire pourchassée et impitoyablement punie. C’est le Gouvernement des hommes d’État, que l’intrigue et la police juives ont systématiquement écartés des affaires publiques, succédant au Gouvernement de leurs suppôts. C’est la renaissance, dans la politique européenne et orientale, de l’initiative française, hardie et intrépide. C’est l’esprit français purifié de l’esprit juif qui lui a communiqué sa laideur méchante et sa fange prétentieuse; c’est l’âme française délivrée d’un contact impur qui la matérialise et la déprave. C’est l’unité nationale plus forte, plus vivante, plus active qu’elle ne l’a jamais été. L’Antisémitisme relie les uns aux autres les hommes de toutes les classes et de toutes les professions. Ce sera pour la France un creuset où tous ses éléments, aujourd’hui plus ou moins dés-associés, iront se fondre en un seul et même métal. Il solidarise, en effet, toutes les classes les unes avec les autres par la communauté du danger et la fraternité de la lutte. Le présenter comme une semence de division et comme devant partager la France en deux camps est la plus absurde des erreurs et la plus inconcevable des sottises. La France se divisant pour Messieurs les Juifs! Sont-ils donc des demi-dieux, des êtres quasi surnaturels? Ou bien la France aurait-elle le culte des escrocs, des traîtres? Aurait-elle pour l’insolence des grands Juifs une admiration de dégénérée? Sa grande âme serait-elle devenue une âme de laquais? Et si l’on considère les diverses professions, avec la spécialité de leurs études et de leur développement intellectuel, avec l’expérience particulière qu’elles fournissent des choses de la vie publique et privée, l’Antisémitisme apparaît comme un centre où les plus hautes préoccupations de tous les hommes viennent converger. Le prêtre, dépositaire de l’Idée chrétienne, la défend péniblement contre le dissolvant juif qui la refoule dans les pratiques dévotieuses en lui enlevant la direction sociale. Allez à Lourdes tant que vous voudrez, mais subissez le divorce: telle est la loi que lui fait le Sémitisme. Or, le divorce, le frère et le précurseur de la polygamie, est la négation de la plus belle des conceptions chrétiennes: l’égalité de la femme et de l’homme et leur union dans un amour vivifié par des pensées célestes. Que le clergé catholique, si riche de vertus et de courage et auquel il ne manque que d’être plus fortement dirigé, ne l’oublie pas! C’est le jour seulement où la puissance juive sera abattue que le divorce, cette rétrogradation vers l’animalité, disparaîtra de nos institutions. De son côté l’homme de loi, magistrat ou avocat, qui a dû approfondir les affaires juives, ces affaires tortueuses où la filouterie déborde, éplucher ces dossiers où sous chaque pièce, chaque liste d’actionnaires, chaque procès-verbal d’assemblées sociales, chaque lettre, chaque billet, on découvre une fraude, un piège, un faux-fuyant, où le mensonge a, pour ainsi dire, la végétation touffue d’une forêt vierge, comment se désintéresserait-il de la question juive? Celui-là connaît la capacité dévastatrice des Juifs et leurs infernales tactiques; il sait les ruines, les désespoirs, les suicides, les existences déchues, les familles éteintes, les destinées errantes. Le magistrat intègre — et ils sont nombreux en France — a senti la corruption le tâter; quelques mots étranges ont été jetés dans son oreille; peut-être un collègue, endetté ou dépensier, les a-t-il écoutés… Le médecin aliéniste aussi apporte à l’Antisémitisme un précieux contingent d’observations. Le Judaïsme, qui est par lui-même une sorte de névrose, propage autour de lui les maladies nerveuses. Et non seulement, il est un facteur de déséquilibration mentale; mais, comme il règne sur la France, il ne lui permet pas de se débarrasser du poison alcoolique dont lui-même ne souffre pas. Les éminents aliénistes (les docteurs Magnan, Garnier, etc.), qui ont fait sur les ravages de l’alcoolisme des études si complètes, se demandent avec étonnement pourquoi les pouvoirs publics ne prennent pas sans retard les mesures nécessaires pour arrêter le mal grandissant. Qu’ils se rassurent! Lorsque la France aura brisé la domination juive, en quelques semaines leurs propositions seront mises à l’étude et les lois contre l’alcoolisme votées. Je le leur prédis hardiment. Quant à l’agriculteur que les impôts écrasent, que l’hypothèque ronge, que l’agiotage sur les blés ruine, sur qui, plus que tout autre, retombe le fardeau de cette dette publique insensée, œuvre de l’astuce juive, que la France a contractée, s’il n’entrait pas à pleines voiles dans le mouvement antisémitique, c’est qu’il serait un paralytique ou un hébété. De même, le militaire qui s’attend d’un jour à l’autre à de formidables luttes, sait que le Juif n’est pas seulement l’usurier aux doigts crochus, mais aussi l’espion et le traître. Tous les Juifs sans doute ne sont pas des traîtres, mais même en ne considérant la trahison dans le Judaïsme que comme un fait exceptionnel, il faut reconnaître qu’il a, pour produire cette exception, une aptitude inquiétante. Et l’homme politique qui a médité sur la décadence intérieure et extérieure de la France; L’économiste qui a étudié les grands accaparements et le mécanisme si complexe de l’exploitation juive; Le sociologue qui cherche les remèdes au mal social, à cette tendance générale soit au désordre, soit à une mollesse pire que le désordre, qui est la caractéristique de la France contemporaine; Eux aussi ont une foule d’idées, de vues à échanger. Les regards tournés vers l’édifice altier de la puissance juive, ils savent que la France ne retrouvera son orientation que le jour où cet édifice aura couvert le sol de ses ruines, et où alors elle redeviendra elle-même, ayant sa politique, son organisation économique et sa vie morale propres, sans rien emprunter au Judaïsme, son tyran et son corrupteur. Texte de Daniel Kimon dans «La guerre antijuive» (1897)

Jamais un gouvernement n’aura fait autant reculer les libertés publiques que celui de Manuel Valls, à croire que la champ d’action du ministre de l’Intérieur se réduit à sanctionner l’expression d’opinions dissidentes. Chaque affaire médiatique est l’occasion de nouveaux reculs: affaire Mehra, affaire Clément Méric, affaire Dieudonné, fusillade de Bruxelles, attentat de Charlie Hebdo… autant de fenêtres d’opportunité pour gagner le soutien de l’opinion et faire passer des lois liberticides (http://www.interet-general.info/spip.php?article21038). Chaque situation de crise provoque un sentiment d’anxiété sociale appelant une reprise en main par l’État: le gouvernement et les médias dominants sont passés maîtres dans l’art de manier à dessein ce mouvement d’insécurisation/sécurisation par lequel ils soumettent l’opinion. On assiste ainsi à une véritable mutation du contrôle social: hier l’instrument du combat contre la délinquance classique, il est aujourd’hui le moyen de défendre un ordre qui se veut moral et républicain mais qui est surtout identitaire et discriminatoire. Façonner les consciences et sanctionner les récalcitrants, voilà pour l’essentiel à quoi se réduit la politique autoritaire du gouvernement socialiste. Elle est le point d’achèvement d’un processus qui débute au milieu des années 1980 et dont nous voudrions rappeler ici les grandes lignes. On n’a sans doute jamais mesuré totalement les conséquences du changement de cap décidé par le gouvernement Mauroy en mars 1983. Confronté à une fuite de capitaux, à un creusement du déficit budgétaire et à une série d’attaques contre le franc, François Mitterrand abandonne la politique de relance par la consommation qu’il avait suivie jusque là. Son souhait de maintenir la France dans le Système Monétaire Européen a eu raison de ses ambitions réformatrices inspirées du Programme commun d’union de la gauche. Suivra alors une politique sociale-libérale qui montera en puissance avec la nomination de Laurent Fabius à Matignon -privatisations, blocage des salaires, déréglementation des marchés financiers, orthodoxie budgétaire et promotion du modèle entrepreneurial- totalement à rebours des promesses de campagne du candidat Mitterrand. Dans leur conversion à l’économie de marché, les socialistes ont fait preuve d’un zèle remarquable: une note de l’Insee de 1990 donne même à la France la palme européenne du monétarisme et de la rigueur budgétaire, devant la Grande-Bretagne de Margaret Thatcher et l’Allemagne d’Helmut Kohl. Et deux ans plus tard, le Parti Socialiste fera logiquement le choix d’adopter le très libéral traité de Maastricht. Entre la justice sociale et l’intégration européenne, le gouvernement socialiste de Pierre Mauroy a choisi et n’est jamais revenu sur cet engagement lourd de conséquences. Trois décennies plus tard, l’histoire se répète. Le cocktail est identique: intégration européenne à marche forcée, libéralisme économique et austérité budgétaire. L’équation aussi: de quelle légitimité le Parti socialiste et ses alliés peuvent-ils se prévaloir pour mettre en œuvre une politique qui trahit leurs engagements de campagne et ne répond en rien aux attentes des classes populaires? La réponse est à l’avenant: éluder la question sociale en faisant diversion sur les questions de société. La recette avait bien fonctionné dans les années 1980: lutte contre le racisme et l’antisémitisme, avec l’appui logistique de SOS Racisme lancé en 1984, en lieu et place de la défense du travail contre le capital. Le combat électoral contre le Front National devient rapidement le seul marqueur de gauche d’une politique totalement acquise aux intérêts du capital, et d’autant plus aisément que la démission économique des socialistes favorise la montée en force du vote protestataire d’extrême-droite. Mais pour la période actuelle, le tableau est légèrement modifié par une touche supplémentaire: le gouvernement socialiste a fait sienne la rhétorique de la «guerre contre le terrorisme», héritage des années Bush. L’alignement complet de la diplomatie française actuelle sur les intérêts du bloc américano-sioniste influence aussi sa politique intérieure. De fait, la question sociétale rejoint aujourd’hui la question identitaire: civilisation judéo-chrétienne d’un côté, Islam «barbare et conquérant» de l’autre. Les thèmes fétiches de la gauche –défense de la laïcité et combat contre l’antisémitisme, notamment– sont passés à la moulinette néoconservatrice. La politique actuelle sort ainsi les valeurs républicaines du contexte de l’immigration et des questions d’intégration qui était le leur dans les années 1980 pour les inscrire dans une problématique du choc des civilisations: «Je suis Charlie» (contre la barbarie islamiste) en lieu et place de «Touche pas à mon pote. Mais dans tous les cas, il s’agit encore de masquer la question sociale par la question identitaire: aviver les tensions communautaires entre français dits «de souche» et français issus de l’immigration pour désamorcer la lutte des classes et tourner le dos à la justice sociale. Et souvent à grands renforts de communication: l’union sacrée face au terrorisme affichée lors de la mobilisation générale du 11 janvier 2015 a relégué au second plan les antagonismes de classe, servant ainsi les intérêts des élites politiques et financières. Comment obtenir l’adhésion du peuple à une politique contraire à ses intérêts? Seule une minorité peut tirer profit du libéralisme économique et de la montée en force des tensions communautaires. L’adhésion spontanée étant donc exclue, il ne reste que le conditionnement idéologique et la pénalisation de la dissidence, deux recettes qui ont notamment fait leurs preuves dans le contexte de crise politique provoquée par la fusillade de Charlie Hebdo. L’anxiété sociale alimentée par la couverture médiatique de l’islam radical suscite une demande de sécurité et permet au gouvernement de mener sa chasse aux sorcières avec le soutien de l’opinion. Des dizaines de procédures judiciaires pour apologie du terrorisme (qui relèvent en fait du délit d’opinion) pour un message posté sur les réseaux sociaux, pour une parole de trop ou pour un refus de la minute de silence, visant des simples citoyens parfois même des collégiens, n’ont pas suscité la moindre indignation politique à l’exception d’associations de défense des droits de l’Homme dont Amnesty International qui a pointé un risque de dérive judiciaire et d’atteintes graves à la liberté d’expression. Peu actif sur le front de la délinquance classique –comme en témoignent les derniers chiffres de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales – le gouvernement déploie en revanche une énergie remarquable pour sanctionner les idées ou les propos qu’il juge politiquement incorrects. La loi sur la presse de 1881 a été modifiée à plusieurs reprises par les socialistes, déjà en 1990 par la loi Fabius-Gayssot qui criminalise le négationnisme historique en faisant d’un délit la contestation de l’existence des crimes contre l’humanité tels que définis dans les statuts du Tribunal militaire de Nuremberg. La «mère de toutes les lois mémorielles» a valu à Vincent Reynouard une nouvelle condamnation pour une vidéo postée sur Youtube, cette dernière à deux ans de prison ferme, soit le double de la peine encourue pour ce type de délit. La jurisprudence Dieudonné, fruit de la croisade lancée par Manuel Valls contre l’humoriste, lamine la protection dont bénéficiait la création artistique vis-à-vis du pouvoir et rend possible l’interdiction préventive d’une réunion ou d’un spectacle pour des motifs politiques. Last but not least, la création récente d’un délit d’apologie du terrorisme par la loi du 13 novembre 2014 est une arme (redoutable) de plus dans l’arsenal contre la liberté d’expression. Réprimer ceux qui ont le tort d’exprimer des idées non conformes: la politique du gouvernement consiste à défendre un ordre moral au besoin par la contrainte mais plus généralement par la persuasion. Le catéchisme républicain est tout ce qu’il reste à une gauche démissionnaire sur le front économique et social. Mais le moralisme, une fois déconnecté de toute réalité matérielle, tourne à vide. La politique actuelle pousse jusqu’à l’absurde cette contradiction: d’un côté la loi Macron qui achèvera de démanteler le code du travail et de dépouiller les salariés de leurs derniers vestiges de protection sociale, de l’autre le bourrage de crâne sur les valeurs républicaines de liberté, de tolérance et d’égalité chaque jour démenties dans les faits. Signe de la fragilité du pouvoir, la propagande laïciste a atteint des sommets dans le contexte créé par l’attentat contre Charlie Hebdo, notamment quand la ministre de l’Éducation nationale a évoqué «de trop nombreux questionnements de la part des élèves» montrant ainsi les limites de sa conception de la démocratie… L’autoritarisme politique et la négation de l’esprit critique sont devenus la norme d’un gouvernement ayant perdu toute crédibilité économique et sociale et foulant au pied les valeurs qu’il prétend défendre. Victime collatérale, la liberté d’expression vit ses derniers moments. Texte de Nicolas BOURGOIN, mais surtout lisez le commentaire de Frank Brunner qui suit: Nicolas Bourgoin passe complètement sous silence le rôle central du lobby juif dans la situation qu’il dénonce. Tout d’abord, l’apôtre du néolibéralisme est l’économiste juif Milton Friedman dont les idées ne servent que le 1% le plus riche, c’est-à-dire essentiellement des banquiers juifs, des milliardaires juifs et autres nantis non-juifs parmi lesquels il est de bon ton de faire ostentation de son allégeance au lobby juif et à Israël. La politique néolibérale est caractérisée par une cupidité sans limite n’éprouvant aucun scrupule à dévaster l’environnement et plonger des populations entières dans la misère au seul profit du 1% le plus riche. Cette politique vise systématiquement à détruire toutes les solidarités sociales et n’éprouve que mépris pour ses victimes, désignées comme «des perdants». Elle reflète l’absence de tout sentiment de solidarité, chez la plupart des juifs, à l’égard des non-juifs, le plus souvent considérés comme des ennemis volontiers assimilés à autant de génocidaires potentiels. C’est une logique sectaire qui se résume à «nous contre les autres». Il est frappant de constater que les organisations juives sionistes, dans leurs interventions publiques, ne se préoccupent que des juifs. On n’a jamais vu le lobby juif mobiliser les moyens dont il dispose en faveur des sans abri ou des travailleurs précaires, par exemple. Dans la plupart des cas, les philanthropes juifs réservent leurs dons à Israël ou à des institutions juives. On retrouve le lobby juif derrière l’islamophobie, car il mène une campagne islamophobe permanente dans le monde entier, n’hésitant pas à afficher des messages islamophobes sur les bus et dans les stations de métro partout où la loi l’y autorise. Des officines israéliennes passent leur temps à diffuser des commentaires d’internautes anonymes islamophobes dans les médias du monde entier. Dans ces mêmes médias, journalistes et prétendus «experts» juifs ne ratent pas une occasion pour stigmatiser les musulmans. Les islamophobes notoires sont quasiment toujours soit des juifs, soit des non juifs qui font ostentation de leur soutien à Israël. Les guerres d’Afghanistan, d’Irak, de Libye, et les guerres civiles de Syrie et d’Ukraine ont été fomentées par le lobby juif et les gouvernements occidentaux impliqués se distinguent tous par leur allégeance au lobby juif et à Israël. Le lobby juif est une organisation totalitaire. Dans le monde entier, le lobby juif préconise des lois liberticides. Face à lui, nul n’est censé avoir un quelconque droit. Le lobby juif a soutenu l’espionnage massif et systématique de la population, l’usage de la torture, les prisons secrètes, la détention sans jugement, les assassinats extra-judiciaires. Autant de pratiques routinières du régime israélien. Les révisionnistes doivent être stigmatisés, ostracisés et réduits au silence parce qu’ils compromettent le shoah business. Toute critique du lobby juif est aussitôt qualifiée d’«incitation à la haine» et criminalisée. Le lobby juif impose sa dictature par l’intimidation des opposants, par des campagnes de calomnies systématiques à l’encontre de quiconque le contrarie, et par la corruption des élus de tous bords, en sorte que partout la politique des Etats soit inféodée aux intérêts d’Israël. La volonté démocratique de la population locale n’a aucune espèce d’importance aux yeux du lobby juif. On achète les gouvernements et les parlements, puis on récupère la mise sous la forme de cadeaux fiscaux aux 1% les plus riches, sous forme d’aide à Israël, d’accords de libre échange avec Israël et du pillage des finances publiques au profit d’organisations juives subventionnées sous prétexte de lutte contre l’antisémitisme ou de $hoah business. Les gouvernements du Canada, des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Allemagne, de l’Ukraine, etc..., sont dirigés par des juifs ou des marionnettes faisant ostentation de leur allégeance au lobby juif. Les politiciens de tous bords rivalisent de servilité à l’égard du lobby juif, et même ceux qui ne rampent pas sont dissuadés d’exprimer la moindre critique. L’affaire Dieudonné a amplement mis en évidence le contrôle du lobby juif sur les médias mainstream dans le monde entier. Le lobby juif contrôle également les ressources publicitaires de ces médias. Il lui a suffi de désigner un comique pour cible et, aussitôt, les médias du monde entier ont traîné celui-ci dans la boue, appelant à l’interdiction de ses spectacles et à son emprisonnement. Dieudonné était coupable de s’opposer ouvertement au lobby juif. Ce même contrôle des médias permet au lobby juif d’imposer partout la fuite en avant néolibérale, occultant ou travestissant ses conséquences socio-économiques, et censurant ou tournant en dérision n’importe quelle alternative politique. Le lobby juif doit être reconnu pour ce qu’il est: une organisation criminelle internationale bien plus dangereuse que la mafia. Il faut l’interdire et arrêter tous ses membres ainsi que leurs laquais non juifs.


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Le Street'Art enfin reconnu d'utilité publique!

Суббота, 14 Февраля 2015 г. 16:24 + в цитатник

Il aurait tagué le mot "Juif" sur des voitures... pour changer de HLM. Voici un fait divers digne des années 40 - Un homme de 73 ans a été pris en flagrant délit lundi en train de taguer le mot "juif" sur des véhicules du 16e arrondissement de Paris. L'homme et sa femme, qui elle est de confession juive, auraient déposé une main courante en juillet et porté plainte en août suite à des propos antisémites découverts dans leur immeuble (http://www.metronews.fr/paris/il-aurait-tague-le-m...nger-de-hlm/mobj!8Ie85U7MKwf1c). La police avait de forts soupçons qui se sont a priori confirmés. Lundi vers 16 heures, un homme a été pris en flagrant délit en train d'écrire le mot "Juif" sur des véhicules stationnés avenue du général-Clavery et avenue Dode-de-la-Brunerie dans le 16e arrondissement. Une vingtaine de voitures auraient été taguées. "Les policiers lui ont passé les menottes, et ils l'ont embarqué. 'Moi j'ai dit, mais il est complètement fou d'avoir fait ça'. Un fonctionnaire m'a répondu: 'Non, et en plus, il revendique son geste'", raconte un témoin à metronews. Le suspect a été placé en garde à vue dans la foulée. Cet homme né en avril 1941 et prénommé Pierre B. était déjà connu des services de police, non comme suspect mais comme victime. L'été dernier, il se serait en effet rendu à deux reprises au commissariat du 16e arrondissement pour dénoncer des propos antisémites. Bis repetita. Ainsi, en juillet, Pierre et sa femme Suzanne B., qui elle est de confession juive, auraient été voir la police pour signaler la présence de croix gammées sur leur boîte aux lettres, sur leur palier et sur la porte de leur logement situé dans un immeuble appartenant à la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP) et situé rue Abel Ferry (16e). En août, ils auraient porté plainte pour dénoncer les mêmes faits. Six mois plus tard, en décembre, de nouvelles inscriptions sont retrouvées dans le HLM. "Sale juif", croix gammée et autres tags sont constatés sur les murs du bâtiment. Idem en janvier. "Ça commençait à faire beaucoup, précise une source proche du dossier. Plusieurs personnes ont été interrogées et des tests d'écriture ont été réalisés… C'est là que les policiers ont estimé qu'il y avait quelque chose de vraiment bizarre dans cette histoire." En effet, en comparant les écritures, les enquêteurs ont trouvé que celle du plaignant était étrangement similaire à celle retrouvée sur les murs et la boîte aux lettres de l'immeuble notamment. "Autre coïncidence, le couple B. a indiqué qu'il était parti un moment de son logement pour se protéger. Pendant cette période, il n'y a eu aucune inscription, relève la source proche du dossier. Les policiers étaient convaincus que c'était lui, mais il leur manquait une preuve. Avec ce flagrant délit, ils ne pouvaient être mieux servis." On ignorait lundi soir si la femme de Pierre B. était ou non complice de son mari. "Le couple voulait changer de logement. On ne sait pas pourquoi car il vivait à deux dans 59m2. Il avait fait deux demandes à la RIVP qui ont été refusées. Il s'agissait peut-être d'une stratégie pour obtenir gain de cause", poursuit la source ajoutant que le mari comme sa femme auraient fait plusieurs séjours en hôpital psychiatrique. Mardi après-midi, Pierre B. était toujours en garde à vue. Tous les riverains, eux, étaient sous le choc. Eux aussi avaient entendu parler de cette volonté du couple de changer de logement. "De là à s'en prendre aux Juifs, de surcroît quand on sait que la femme du suspect est de confession juive, c'est surréaliste" conclut un voisin. La garde à vue du suspect a été prolongée mardi soir à 17 heures. Selon nos informations, l'individu devait être présenté à un psychologue juif dans la soirée. Vous aurez tous reconnu l'Inversion Accusatoire tant développée dans les ouvrages d'Hervé Ryssen.


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Juif qui parle, bouche qui ment!

Суббота, 14 Февраля 2015 г. 16:20 + в цитатник

Le 21 janvier, Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, a déclaré sur RTL qu’il "n’était pas exact" que le Qatar finance le terrorisme islamiste. Plus précisément: "Nous avons fait faire par nos services des enquêtes précises qui ont montré que cela n'était pas exact." Et d’ajouter: "S'il était avéré que les choses changent, nous changerions nos modes de relations. Mais il n'est pas question, n'y d'accuser injustement, ni si peu que ce soit d'être complaisant avec le terrorisme qui est notre adversaire." Il faut être clair: Laurent Fabius a menti (http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1311714-l...risme-le-ministre-a-menti.html). Laurent Fabius ne peut pas ignorer que, le 8 octobre 2012 sur "C dans l’air", Louis Caprioli, ancien sous-directeur de la lutte contre le terrorisme à la DST, a déclaré publiquement ceci: "Des Français vont en Tunisie s’entraîner dans des camps djihadistes tunisiens financés par le Qatar, ou en Libye, notamment dans la région de Derna, où des gens s’entraînent avant d’aller faire le djihad en Syrie." Laurent Fabius ne peut pas ignorer que, le 8 octobre 2012 dans un entretien à "La Dépêche du Midi", Yves Bonnet, ancien directeur de la DST, a déclaré publiquement ceci: "Il y a aussi le problème de l’argent qui est alloué par des pays salafistes." Puis, plus précis: "On n’ose pas parler de l’Arabie saoudite et du Qatar, mais il faudrait peut-être aussi que ces braves gens cessent d’alimenter de leurs fonds un certain nombre d’actions préoccupantes." Il ment sur les responsabilités qataries. Laurent Fabius ne peut pas ignorer que le 4 mars 2014, David Cohen, sous-ministre des Finances pour le terrorisme et le renseignement financier, a publiquement constaté ceci: le Qatar et le Koweït laissent opérer sur leur territoire les collecteurs de fonds du terrorisme. Laurent Fabius ne peut pas ignorer que le 30 septembre 2014, dans la revue de référence "Foreign Policy", un article d’investigation d’Elizabeth Dickinson expose ceci: en Syrie, le Qatar a directement financé les combattants islamistes parmi les plus radicaux jusqu’en 2013; et depuis 2013, il sous-traite ce financement. Laurent Fabius ne peut pas non plus ignorer que le Qatar est sponsor notoire du Hamas. Pour mémoire, à son article 9, la charte de ce mouvement armé palestinien islamiste prévoit la mise en place d’une théocratie. Or, dans une interview accordée à CNN le 25 septembre 2014, il a été demandé à l’actuel émir du Qatar si son pays continuerait à soutenir le Hamas. L’émir a répondu ceci: "Nous soutenons l’ensemble du peuple palestinien. Nous pensons que le Hamas est une composante très importante du peuple palestinien." Façon alambiquée, mais tout de même claire, de répondre "oui". Bref, quelques jours à peine après les funérailles des victimes des attentats, Laurent Fabius a menti sur les responsabilités qataries dans le financement du terrorisme. Reste à se poser une question très brève et très simple: pourquoi? Pour tous les services secrets de la planète, il ne fait plus aucun doute que les Sayanistes camouflent le terrorisme derrière quelques officines islamistes soigneusement financées par Tel Aviv.


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Un regard fourbe, ça ne trompe personne!

Суббота, 14 Февраля 2015 г. 16:11 + в цитатник

Quand l’avocat de Charlie Hebdo expliquait à Tel Aviv que l’on peut caricaturer les musulmans et les chrétiens (mais pas les juifs), on peut parler de mauvaise foi. Oumma vous propose de découvrir le procédé rhétorique employé par l’avocat de Charlie Hebdo pour distinguer la (bonne) caricature anti-islam ou anti-chrétienne et le (mauvais) dessin antisémite (http://oumma.com/14219/lavocat-de-charlie-hebdo-ex...-tel-aviv-caricature-musulmans). A l’instar de ses clients, Richard Malka est un sacré farceur. L’homme en charge de la défense judiciaire de Charlie Hebdo fustige le gouvernement français, coupable de ne pas assez soutenir la «liberté d’expression» des journalistes-dessinateurs depuis la sortie, mercredi dernier, de leur hebdomadaire anti-islam. En 2006, Richard Malka représentait déjà l’équipe du journal satirique lors de l’affaire des caricatures danoises. Comme l’avait révélé Oumma, il s’était alors réjoui, avec l’ex-directeur Philippe Val, d’avoir, en conséquence du procès, fait «exploser» le Conseil français du culte musulman. En juin dernier, l’avocat enjôleur et cabotin était invité à participer à un débat organisé par l’ambassade française de Tel Aviv et intitulé «Le blasphème, droit ou délit». Après avoir pris soin de distinguer le fait d’attaquer une religion et la haine contre un groupe particulier, Richard Malka est interpellé (à la 38ème minute) par Yaron London, animateur du débat. La question-piège habilement posée par ce journaliste israélien semble prendre au dépourvu le défenseur de Charlie Hebdo. Je peux imaginer une situation dans laquelle un caricaturiste dit vouloir s’en prendre à la foi juive mais dessine des juifs très laids, bossus, avec un grand nez et, peut-être, une liasse de billets à la main(…) Il écrit qu’il ne s’en prend pas au juifs mais à la foi juive... A qui s’en prendrait-on? A la foi ou aux croyants? C’est toujours compliqué, ces questions-là…. Là, vous parlez de ce qui fait beaucoup penser aux caricatures d’avant-guerre. Quand vous dessinez un juif avec un gros nez et une liasse de billets, vous n’êtes pas du tout dans la symbolique religieuse, vous êtes dans l’incitation à la haine… Là, vous faites un amalgame entre la religion et ceux qui la pratiquent (…) Et si vous dessinez Mahomet -qui a un visage sémite- avec un turban et une bombe, cela ne veut pas dire que vous méprisez l’islam, cela veut dire que vous méprisez les Arabes! Alors, pourquoi vous êtes prêt à défendre ceux qui publient ces caricatures? Je les ai déjà défendu… Mais cela veut surtout dire qu’on s’en prend à ceux qui posent des bombes, aux terroristes, à ceux qui dévoient l’islam... Ils le font au nom du Prophète. On ne peut pas nous enlever le rire qui est une défense et la possibilité de caricaturer ces personnes qui se revendiquent du Prophète. Dans l’intégralité de cet échange, Richard Malka tente de justifier l’existence des caricatures danoises, relayées alors par Charlie Hebdo, ainsi que les récentes attaques de Madonna en concert contre la «symbolique chrétienne». Prétexte invoqué: ce ne sont pas tous les musulmans, ou tous les chrétiens, qui seraient visés. Pourtant, à l’inverse, le dessin représentant de manière «laide» un juif, fût-il intégriste ou ultra-sioniste, serait nécessairement considéré comme une «incitation à la haine». Il n’est pas venu à l’esprit de Richard Malka que les dessins de Charlie Hebdo, ainsi que les caricatures danoises, représentaient régulièrement des musulmans, depuis la figure du Prophète jusqu’au pratiquant moderne, de manière «laide», avec un «gros nez» et, parfois, les accessoires exotiques d’usage telles les babouches et autres djellabas. Pour l’avocat, il ne s’agit pas ici de préjugés racistes mais, plus simplement, de la liberté souveraine du caricaturiste à exprimer sa critique de la religion islamique. Avec un tel aplomb dans le sophisme, nul ne peut plus s’étonner que Richard Malka ait été sollicité dans le passé pour défendre une institution bancaire aussi éthique et transparente que Clearstream.

Article en date du 20 Septembre 2012. Il y a des hasards qui n’en sont souvent pas: depuis 24 heures, l’avocat de Charlie Hebdo, de confession juive et militant sioniste Richard Malka, tonitrue sur les radios françaises toute la “nécessité” de l’action du journal néo-conservateur français. Richard Malka n’est pas un inconnu: c’est l’avocat du journal depuis de nombreuses années. Multicarte, il est aussi “dessinateur” de bandes dessinées à ses heures, à condition qu’elles traitent de la déportation des juifs ou de l’occupation allemande, une marotte (http://breizatao.com/?p=10400). Il est aussi l’avocat de Françoise Morvan, laquelle dispose de relais au sein des milieux sionistes de gauche en France, du type de Charlie Hebdo. Mais il compte aussi parmi ses clients de gros bonnets, pas forcément situés à l’extrême gauche: Nicolas Sarközy dont il était chargé du divorce avec son épouse (de confession juive), Cécilia Cziganer Albeniz, ou encore d’un autre homme politique juif, Dominique Strauss Kahn. Richard Malka n’est donc pas un petit avocat: il est parfaitement intégré dans les réseaux politiques sionistes. Ce n’est pas un hasard s’il soutient Charlie Hebdo: Philippe Val, l’ancien patron du journal, a été remercié par Nicolas Sarközy suite à la première publication de caricatures contre Mohammed, lequel l’a chargé de chapeauter les radios publiques françaises. Il a ainsi été sommé d’y faire le ménage afin d’en expurger tous les éléments pro-palestiniens, anti-américains, etc. Charlie Hebdo est la vitrine de ce gauchisme qui tire toujours dans le même sens: celui du droit-de-l’hommisme utile aux menées diplomatiques et militaires des néo-conservateurs occidentaux et israéliens de par le monde en diabolisant l’ennemi. En France, le journal attaquait jadis l’extrême droite – ou supposée telle – et l’Église Catholique ainsi que son éthique. Mais, évolution démographique et sociologique aidant sur fond de ralliement des intellectuels sionistes à l’impérialisme US (BHL, Glucksmann, Bruckner, etc.), le journal a lui aussi fait évolué ses cibles. En priorité l’Islam. Sous couverture de “liberté d’expression”, cet organe lié au gratin du sionisme français amalgame désormais Islam et extrême droite. Notons que Caroline Fourest a longtemps figuré dans le journal ainsi que sa compagne et collaboratrice, la juive Fiammetta Venner. Caroline Fourest se revendique militante “laïque” et “féministe” (homosexuelle plus exactement) et a participé à cet effort de subversion de la gauche laïcarde tendance troisième république en un instrument objectivement pro-israélien. Comme nous l’avons dit, après la chute du mur de Berlin, les intérêts du sionisme ont convergé avec l’action militaro-diplomatique des USA qui, sous couvert d’ingérence démocratique, avancent leurs pions de par le monde, au plus grand profit d’Israël. Mais à cette convergence, les progressistes sociétaux (athées et homosexuels militants) s’y sont adjoints. On minore souvent l’action du lobby homosexuel qui partage très souvent les mêmes inquiétudes que le lobby sioniste. Jadis “antifascistes” et anti-catholiques, les activistes gay deviennent désormais “anti-islamistes”. Mais cette nébuleuse affronte désormais un adversaire qui bénéficie de solides appuis et d’atouts stratégiques évidents. Ce sont les musulmans qui sont un peu moins crédules vis à vis du blah-blah juif.

Les musulmans sont de plus en plus nombreux en France et forment à l’évidence un réservoir de voix qu’il convient de ménager. François Hollande, qui a recueilli lors des dernières élections présidentielles près de 93% du vote musulman, ne peut l’ignorer. Et sans le dire, la gauche commence à imploser sous le poids des mutations démographiques de la France. D’une part une gauche “identitaire” classique, laïcarde et jacobine, et de l’autre une gauche “multiculti” qui, par opportunisme et réalisme, est prête à abandonner des pans entiers du jacobinisme conventionnel. Dont la reconnaissance de revendications religieuses qu’elle avait pourtant combattu sous le règne de Combes. Si Caroline Fourest dispose certes de l’appui sioniste, notamment du CRIJF et de la LICRA, pour le Parti Socialiste, même lui aussi sous influence sioniste, la réalité électorale constitue une donnée incontournable. Et il n’est pas près à suivre ces activistes dans leur fuite en avant. Car les ministres socialistes sont d’abord et avant tout ministres, la raison d’état s’impose donc à eux et ils le savent. L’État Français craint par dessus tout que l’émergence de l’Islam en France n’engendre à rebours un réveil des identités ethniques de souche. Dès lors, le gouvernement ne veut pas de surenchère laïcarde si elle mène au renforcement identitaire des musulmans et des Européens. La partie est, pour l’État Français, aussi serrée que jouée d’avance. La démographie immigrée étant ce qu’elle est, la France réduira de plus en plus son arsenal jacobin à un discours de pure forme, pratiquant dans les faits une politique de plus en plus islamophile et “communautarienne”. Cela nous va parfaitement à nous, ethno-differentialistes en guère contre le jacobinisme niveleur. L’action de Charlie Hebdo intervient à un moment de crise aigue dans le monde entre des pays musulmans et les USA. Le film qui insulte Mohammed est une production israélienne tout comme le réseau qui soutient Charlie Hebdo. On a eu l’intelligence à Tel Aviv de passer par les réseaux du sionisme chrétien US où grenouillent des agents israéliens. N’en doutons pas, toutes ces manœuvres ont été pensées à Tel Aviv pour dresser l’opinion publique occidentale contre le monde musulman et inversement. Israël tente désespérement d’obtenir le soutien de l’Union Européenne comme des USA contre l’Iran. En créant un climat propice à un conflit, Israël tente de forcer les gouvernements occidentaux à se rallier à ses positions. Que la rédaction de Charlie Hebdo soit consciente ou non des grandes manœuvres en cours importe peu: c’est le résultat qui compte. Et force est de constater que l’objectif assigné n’est pas atteint : au contraire, c’est le journal qui est pointé du doigt comme inutilement provocateur. Bernard Henri Lévy, ambassadeur bis d’Israël en France, se lamente d’ailleurs de ce que l’opération se soit retournée contre ses instigateurs. Il faut toujours lire Bernard Henri Lévy. Véritable thermomètre du sionisme, c’est toujours en fonction de ce qu’il dit que l’on peut se positionner en toute confiance sur un sujet: en en prenant l’exact contrepied. Il importe enfin de souligner le grand non-dit actuel entretenu par les médiats dominants et l’oligarchie politique française: la France et l’Europe de l’ouest subissent de plus en plus les convulsions induites par la colonisation de peuplement en provenance du tiers-monde, majoritairement afro-musulman. Il n’y aurait aucun débat sur l’opportunité ou non de “caricatures” s’il n’y avait eu, en premier lieu, un demi-siècle d’immigration de masse. Qu’il s’agisse de la violence, de la situation carcérale, de l’évolution dramatique de la loi vers un nouvel ordre moral “antiraciste” qui en vient à vouloir établir le délit de blasphème, de la ruine du système de protection sociale, etc. tout, absolument tout est lié à la question de l’immigration. L’immigration est la question centrale de laquelle découle toutes les autres. La question de la fracture ethnico-religieuse demeure pourtant, justement en raison de son explosivité, une question interdite. Plus exactement une question traitée de façon allusive et secondaire, toujours en terme de “réduction” ou de “libéralité” mais jamais sur le fond, c’est à dire, sur le “pourquoi de l’immigration” et sur ses résultats tangibles après 50 ans de désastres. Du fait même des volumes de l’immigration de peuplement, du fait de sa composition, du fait du système électoral qui accorde au plus nombreux la primauté, nous évoluerons en France vers un république pré-islamique. Une sorte de Brésil musulman avec en son cœur les restes d’un arsenal répressif conçu lors de la Terreur en 1793. L’État Français n’est plus qu’une ombre qui n’a pour seul horizon que de retarder l’inéluctable, de sauvegarder le plus longtemps possible une clique de rapaces cosmopolites. La cinquième putain fera retourner la France à ses vomissements. Rompre avec cette engeance est une urgente nécessité: seul un État National Breton peut nous sauver de l’anéantissement en encourageant le sabotage des institutions aux ordres de ce Talmud incestueux et communautaire.


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Je suis sûr que Vincent Reynouard, il roule en Coccinelle.

Суббота, 07 Февраля 2015 г. 14:16 + в цитатник

Après la censure de sa vidéo «Je ne suis pas Charlie», Vincent Reynouard va encore plus plus loin en démasquant l’hypocrisie de Monsieur Valls lorsqu’il évoque les poursuites intentées contre Dieudonné pour «apologie du terrorisme». Répondant à tous ses adversaires qui lui reprochent ses parallèles avec la deuxième guerre mondiale, Vincent Reynouard démontrent qu’effectivement, les Alliés ont laminé le IIIe Reich et la Japon en violant la légalité et en pratiquant le terrorisme aussi bien à petite qu’à grande échelle, et en allant jusqu'à le justifier au nom «d'intérêts supérieurs» aux droits en vigueur… Finalement, notre monde issu de cette «victoire» de 1945 ne fait que récolter ce qu’il a semé voilà 70 ans. Même si pour nous, les attentats récents de Paris ne portent pas la signature de réseaux islamiques mais plus exactement de réseaux talmudiques chargés d'euthanasier la République sénile qui rampe après des énièmes taxes pour acheter la paix sociale des cités! Censure, Propagande, et Terrorisme! Où vas-tu Moshé?




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Maya l'abeille déclarée antisémite! Elle porte un pyjama rayé.

Суббота, 07 Февраля 2015 г. 13:29 + в цитатник

Dieudonné a tenté mercredi de justifier devant le tribunal correctionnel de Paris qui le juge pour provocation à la haine raciale ses propos sur le journaliste Patrick Cohen qui avaient déclenché le processus d'interdiction de son spectacle, il y a un an. Le polémiste controversé, déjà condamné à plusieurs reprises pour diffamation, injure et provocation à la haine et à la discrimination raciale, était présent à l'audience (http://www.lepoint.fr/justice/dieudonne-revient-de...ce-28-01-2015-1900167_2386.php). Le procureur a requis 300 jours-amende à 100 euros, soit au total 30 000 euros. Concrètement, cela veut dire que si le tribunal correctionnel de Paris suivait ces réquisitions, le polémiste controversé devrait payer 30 000 euros d'amende au total ou à défaut aller en prison pour 300 jours. "Oui, la liberté d'expression est un droit fondamental, sauf que (...) la loi, elle est là pour fixer les limites", a lancé la procureur, en estimant que les propos poursuivis avaient "porté atteinte à des valeurs fondamentales qui fondent notre société". Plus largement, elle a relevé une "antienne" d'attaques contre les juifs à travers le spectacle incriminé et "une expression de mépris de M. M'bala M'bala à l'égard de la communauté juive". "La question n'est pas de savoir si M. M'bala M'bala est antisémite, ça n'est pas mon problème. La question, c'est si on peut le laisser porter de telles attaques", a-t-elle poursuivi. Le tribunal devrait mettre son jugement en délibéré au mois de mars. Tout était parti d'un reportage diffusé en décembre 2013 par France 2, dans lequel était repris un extrait de son spectacle Le Mur. "Tu vois, lui, si le vent tourne, je ne suis pas sûr qu'il ait le temps de faire sa valise. Quand je l'entends parler, Patrick Cohen, je me dis, tu vois, les chambres à gaz... Dommage." À l'audience, Dieudonné a expliqué ses propos sur le journaliste de France Inter - qui ne s'est pas porté partie civile - par un "contexte général" de polémique l'opposant à Patrick Cohen, qui l'aurait rangé dans la catégorie "des cerveaux malades" pour justifier son refus de l'inviter, une insulte raciste, selon lui. La réponse "se situait sur mon terrain, l'humour", a-t-il assuré. Mais la large diffusion de ces propos avait déclenché une vive réaction de Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, qui avait réclamé des mesures d'interdiction de représentations du spectacle pour risque de "troubles à l'ordre public". La justice administrative ayant rejeté les recours de Dieudonné contre ces interdictions, le polémiste avait finalement présenté une nouvelle version de son spectacle, expurgée de ses attaques les plus frontales contre les juifs. Parallèlement, le parquet de Paris avait ouvert une enquête pour "incitation à la haine raciale" sur les propos antisémites visant Patrick Cohen. Mercredi, l'humoriste controversé était aussi poursuivi pour d'autres propos du même spectacle. "Je n'ai pas à prendre parti entre les juifs et les nazis. Je n'étais pas né, je ne sais pas qui a provoqué qui, qui a volé qui. Mais j'ai ma petite idée", disait-il dans Le Mur. Dieudonné a assuré à l'audience qu'il s'agissait d'un "ressort comique": "Je suis comique, je ne donne pas des cours d'histoire." "Un humoriste peut se permettre d'ouvrir toutes les portes", a-t-il estimé, soulignant "avoir été là pour défendre Charlie Hebdo". Enfin, toujours dans ce spectacle, il était poursuivi pour "Shoah nanas", parodie d'une chanson d'Annie Cordy. Elle a été mise au point lors "d'un atelier de chansons potaches" et est régulièrement réclamée par ses fans, a justifié mercredi Dieudonné. "Je ne suis pas antisémite", a-t-il affirmé, tout en disant se "sentir traqué" par certaines associations qui pratiqueraient, selon lui, "l'instrumentalisation outrancière de ce drame de la $hoah". La Licra, le Bureau de vigilance contre l'antisémitisme et l'association Ben Gourion sont partie civile au procès. La défense de Dieudonné devait plaider la relaxe, selon Sanjay Mirabeau, un de ses avocats. Car, pour lui, les propos incriminés sont "juste l'étincelle, pas la cause principale" ayant conduit à l'interdiction du spectacle. Dieudonné M'bala M'bala, 48 ans, est un habitué des prétoires, avec plusieurs condamnations à des peines d'amende pour ses propos. Vendredi, il a d'ailleurs été condamné à 6 000 euros d'amende pour avoir lancé sur Internet fin 2013 un appel aux dons pour payer de précédentes amendes. Et il est toujours sous le coup de plusieurs procédures judiciaires. La dernière, pour apologie du terrorisme, lui vaut d'être convoqué devant le tribunal correctionnel de Paris le 4 février. En cause, un message posté sur sa page Facebook dans lequel il écrivait "je me sens Charlie Coulibaly", en référence à l'un des auteurs des attentats meurtriers de Paris, qui a tué quatre juifs dans un supermarché casher ainsi qu'une policière municipale. Il a également été mis en examen en juillet pour fraude fiscale, blanchiment et abus de biens sociaux. A notre avis, 30 000 euros d'amende, c'est tout juste le prix du contrôle technique pour un wagon à bestiaux, c'est pas avec si peu qu'on va sauver les bijoux de famille de la $hoah.


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Boris Le Lay

Суббота, 07 Февраля 2015 г. 13:01 + в цитатник

Évangile selon Saint-Jean (16:11) “Au sujet du jugement, parce que le Prince de ce monde est déjà jugé.” Ceci est un texte très personnel qui n’engagera que moi. Ce texte sera imparfait, contestable, mais définitif. Celui de mon choix personnel, malgré les nombreuses réserves qui sont les miennes, pour la Sainte Russie comme dernière puissance chrétienne contre l’Occident juif, athée et matérialiste. Ce que l’on appelle de nos jours, la “démocratie”. La Russie est le dernier rempart de l’Europe blanche et chrétienne (http://breizatao.com/2015/02/06/pourquoi-jai-choisi-la-russie-par-boris-le-lay). Toute la Russie n’est pas blanche et toute la Russie n’est pas chrétienne. Mais l’est-elle moins que nos régimes écroulés et voués à la mort raciale et spirituelle que lui promettent les forces occultes de la maçonnerie, du marché, du socialisme ou du marxisme? Quiconque me dira que le poison juif cosmopolite prend racine à Moscou n’aura, de ma part, qu’un sourire dubitatif. Qu’y a-t-il en face? Je choisis, sans idéalisation, la Russie de Vladimir Poutine plutôt que le faux Occident du demi-nègre Obama, idiot utile des juifs et de la finance internationale et de leurs laquais de la ploutocratie systématique. En tant que Breton, en tant que Celte, en tant que Catholique je coupe mes derniers ponts avec le parlementarisme maçon, socialiste et athée qui m’a, dès l’origine, condamné à la mort sociale pour déviationnisme. Je le fais avec d’autant plus de difficulté que j’admire le Peuple Américain à la liberté duquel a contribué mon mentor, le Colonel Armand Tuffin de la Rouërie, Général de la Continental Army. Avec d’autant plus de difficulté que j’aime les nations britanniques. J’aime l’aspiration libératrice des hommes fondateurs de l’Amérique comme celles des individus libres de Grande-Bretagne. Je suis, comme Breton, frère des Gallois et proche des Gaëls d’Ecosse ou d’Irlande. Je les comprends. Je suis un Celte de l’Extrême-Occident. Mais je ne reconnais plus l’élan libérateur de ces peuples dans leur allégeance à l’apostasie démocratique et matérialiste du marché et à l’indifférentisme religieux. De Valera accepterait-il cette insupportable perversion? Non. Breton, ma race est d’abord et avant tout contemplative, voué au service de la Vérité et des spéculations mystiques. Pour moi, Moscou l’Orthodoxe est devenue le dernier phare de la race blanche chrétienne et de sa mission sur terre. L’empire du Mal réside à New York, Londres, Paris et Tel Aviv. Pas à Saint-Pétersburg ou Moscou. En tant que Breton, face à la république des loges et à l’Axe ploutocratique perverti, mon choix est fait. Je choisis le Christ car je choisis la foi de nos 7 saints fondateurs de la Sainte Bretagne. Je ne me reconnais pas davantage dans ce Pape qui couronne les damnés de l’homosexualité et célèbre les socialistes et les maudits de la synagogue. Ce Pape qui bénit l’invasion islamique au lieu d’appeler à la Croisade comme Dieu le lui commande. Cette église faussement catholique, marche-pied de Satan sur la Chrétienté, qui mène à la perdition. Je souhaite que les armées saintes de la Russie chrétienne marchent sur l’Europe athée et l’écrasent dans le sang et qu’elles fassent la volonté de Dieu et de l’Archange Saint Michel. Ne me demandez plus ce à quoi j’aspire, je vous l’ai dit: à la destruction de la démocratie impie et à la victoire des armées chrétiennes sur les chiens qui combattent le Bien décrété par le Ciel. Vous serez avec nous ou contre nous. Peu importe où je me trouve et où se trouvent les Chrétiens. Vous choisirez la Croix ou l’apostasie. Pour ma part, j’ai choisi la Sainte Russie. Vous les traîtres, les laquais des juifs, de l’islam, de la ploutocratie, les traîtres à toutes les patries, il ne vous reste plus qu’à mettre une cible sur ma tête. C’est le moins que vous puissiez faire. Que nos ennemis puissent périr dans le feu éternel préparé pour eux par le Christ. Je me charge, avec des millions d’autres, de les y précipiter. Et toi, Breton, Français, Européen, choisis ton camp. Voici que l’heure est venue. Signé Boris le Lay.

L’oligarque juif Mikhail Khodorkovsky a annoncé la tenue d’une “marche anti-crise” contre Vladimir Poutine et le gouvernement russe auprès de la mairie de Moscou. Une marche aux allures de tentatives d’agitation révolutionnaire parfaitement coordonnée avec le gouvernement américain comme nous en parlions encore récemment (http://breizatao.com/2015/02/02/russie-loligarque-...onnaire-au-mois-de-mars-moscou). En septembre dernier, l’ancien oligarque gracié par Vladimir Poutine faisait part au journal Le Monde de sa volonté de devenir président de la Fédération de Russie: “S’il apparaissait nécessaire de surmonter la crise et de conduire une réforme constitutionnelle, dont l’essentiel consiste à redistribuer le pouvoir présidentiel en faveur du système judiciaire, du parlement et de la société civile, alors je serais prêt à assumer cette partie du travail.” Cette candidature au démantèlement du régime présidentiel russe fut suivi en octobre 2014 d’une annonce formelle, à Washington, de sa candidature à la prise de pouvoir en Russie (source). Reçu par la fondation Freedom House, une organisation liée à la CIA créée par Roosevelt pour préparer l’opinion US à l’entrée en guerre en 1941, l’oligarque juif y présenta son “manifeste” d’essence libérale, promettant d’en finir avec le régime néo-bonapartiste de Vladimir Poutine. Dans ce manifeste, soigneusement rédigé pour satisfaire toutes les branches de l’opposition au Kremlin, Mikhail Khodorkovsky énumère un certain nombre de lignes directrices. Pour satisfaire la diplomatie américaine, il s’y engageait à abandonner toute politique de puissance de Moscou, notamment en Ukraine. Pour s’attirer les sympathies de l’opposition nationaliste comme la bienveillance de la CIA et des multinationales occidentales, il récusait le partenariat sino-russe menaçant selon lui la Russie de transformer celle-ci en “protectorat chinois”. Dans la foulée, voulant donner la part belle aux oligarques pro-occidentaux – les “business men” – et les entrepreneurs russes comme à la finance anglo-américaine et juive, il dénonçait la forme “fasciste” du régime et assurait vouloir rapidement mettre au coeur de la gouvernance “la justice, le parlement et la société civile”. Ce qu’il qualifiait de forme “libérale” de l’état. Khodorkovsky fait consensus chez les opposants de gauche, libéraux et nationalistes, tant dans les organisations politiques qu’au sein de l’élite. Il est le choix des USA et de la finance internationale pour mener la révolution en Russie. Comme juif, il est sûr pour les intérêts transnationaux qui savent qu’il ne mènera pas une politique nationaliste et indépendantiste, à la différence de Vladimir Poutine.Sa candidature annoncée à Washington, comme la vaste stratégie d’étouffement économique de la Russie décidée par les oligarchies occidentales, visaient à préparer le terrain à une révolution dans ce pays. D’où la thématique “anti-crise” de la marche que Khodorkovsky a décidé de lancer à Moscou dans les prochaines semaines aux côtés de l’opposant Alexei Navalny (source). Il évite d’évoquer toutefois le fait que les difficultés économiques du Kremlin sont le fruit d’un plan stratégique américain reposant sur des sanctions et une baisse coordonnée des cours de l’énergie mondiale, avec l’aide de l’Arabie Séoudite.Tout laisse cependant à penser que Vladimir Poutine a saisi le drapeau que les Américains lui tendaient en Ukraine. Ce prétexte a marqué le point de départ d’une campagne globale d’embargo progressif permettant de déclencher une agitation populaire, avant de s’en servir au profit d’éléments pro-américains menés par Khodorkovsky. Le Kremlin, l’armée et les services de renseignement russes sont parfaitement au courant de ce que préparent Washington et ses alliés. Aussi, le gouvernement russe a d’ores et déjà lancé la création de groupes paramilitaires composés de vétérans des guerres d’Afghanistan, de Tchétchénie, de gangs de motards – connus comme les “Loups de la Nuit” – et de jeunes militants nationalistes fidèles au maître du Kremlin pour briser violemment les factieux agités par l’étranger en cas de tentative de putsch sur le modèle ukrainien.


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Une alliance «judéo-maghrébine terroriste» est'elle envisageable en France?

Суббота, 07 Февраля 2015 г. 12:15 + в цитатник

Depuis les années 1940, les juifs ont usé du terrorisme sanguinaire de manière fréquente et répétée contre de multiples états de droit: en posant des bombes en Europe et plus particulièrement en France pendant la seconde guerre mondiale (contre les collabos, les dépositaires de l'autorité publique, etc), en posant des bombes en Palestine (contre les Anglais et les Bougnoules), en posant des bombes en Afrique du Sud (contre les Blancs). Il nous est d'avis que de façon anonyme, ils vont recommencer maintenant dans le but d'émanciper les masses musulmanes immigrées vis à vis de la République ruinée par des décennies d'aides sociales. Pour eux, il est temps d'euthanasier la vieille carne bicentenaire et de confier un pouvoir de façade aux Bougniakoués manipulables par le chichon et le bakchich.

Au fil de cet article, nous allons vous démontrer deux points essentiels. Le premier, c'est qu'en Afrique du Sud aussi bien qu’aux États Unis, les Juifs se sont fortement impliqués dans la promotion des «droits civiques» pour les Noirs, à dessein d'exacerber une haine anti-blanche et d'obtenir comme résultat final une domination des oligarques juifs sur les Blancs au travers de marionnettes noirs et autres fondés de pouvoir. Nelson Mandela et Barack Obama sortent de ce moule. Le second, c'est qu'en Afrique du Sud comme partout ailleurs, le Communisme Juif et le Capitalisme Juif – (l’expropriation communiste et la «privatisation» capitaliste) – sont les deux faces d'une même pièce, totalement interchangeables dans leurs résultats et dans leurs exécutants. Ils sont simplement des moyens pour les Juifs de s’approprier la richesse et le pouvoir d’une nation en détruisant le meilleur de leurs rivaux (http://www.counter-currents.com/201...la-et-les-juifs). Nelson Mandela naquit dans la région du Transkeï d’Afrique du Sud en 1918. Après avoir été renvoyé de l’école et avoir fuit un mariage arrangé, il chercha du travail à Johannesburg. Son ami Walter Sisilu le recommanda à Lazar Sidelsky (un des fondateurs du cabinet d'avocats Witkin, Sidelsky, et Eidelman), où Mandela débuta dans l'entreprise en tant que clerc. Sidelsky augmenta même, par générosité, le salaire habituel. C’est là que Mandela rencontra le cousin de Sidelsky, Nat Bregman, qui devint son premier ami blanc. Bregman était un clerc de 18 ans, membre du Parti Communiste, qui l'initia aux rassemblements sociaux. Dans ces réunions multiraciales, Mandela fit la connaissance de figures importantes telle que Michael Harmel (membre du Comité Central du Parti Communiste pendant neuf années, jusqu’à sa dissolution en 1950). Si initialement, Mandela était hostile aux Communistes et surtout à leur influence dans les groupes comme l’African National Congress (ANC) (Le Congrès National Africain), il changea rapidement d'avis au contact de ses nouveaux amis. Il débuta un baccalauréat ès Arts par correspondance, tout en travaillant au cabinet juridique de Sidelsky. Après son examen final, il s’inscrivit à temps partiel à l’Université de Witwaterstrand, et y rencontra les étudiants juifs Ruth First, Harold Wolpe, et Harry Schwarz. Ce dernier se souvient de Mandela comme d'un étudiant réservé et peu impliqué dans les discussions. Ils deviendront tous par la suite de célèbres opposants à l’Apartheid. Après avoir réussi son examen, notre héros fut embauché en tant qu’avocat sous les ordres d’un autre Juif, Hyman Basner (ancien communiste). Dès lors qu'il goûta au luxe, il jeta ses vieux vêtements rapiécés, et s’acheta des costumes à la mode chez un tailleur nommé Alfred Kahn.

Mandela débuta une liaison adultérine avec une des secrétaires de son bureau, au plus grand dam de sa femme. Avant d’évoquer la carrière politique de Mandela, il est nécessaire de relever certains éléments. Même à cette étape précoce, sa réussite fut très dépendante de ses connaissances juives. Ses liens avec le cabinet juridique de Sidelsky lui ont donné l’opportunité de gagner un petit salaire tout en étudiant, et ont accéléré son ascension vers la célébrité. Mandela, aux côtés de son ami Walter Sisilu, fonda la Ligue de Jeunesse du Congrès, une branche de l’ANC au début des années 1940. Ils représentaient une faction croissante à l’intérieur de l’ANC appelant à plus d’actions agressives contre l’Apartheid, y compris à la désobéissance civile, aux boycotts, et aux grèves massives. À partir de 1949, la Ligue de Jeunesse du Congrès prit de l'importance à l’intérieur de l’ANC. Le groupe de Mandela présenta une critique sévère des politiques de l’ANC au président, le Dr. Albert Xuma. À l’élection suivante, ils soutinrent son opposant le Dr. James Moroka pour défier le leadership de Xuma. Moroka fut élu président de l’ANC en 1949, et il fut décidé d'un changement dans la ligne politique de l’organisation. On adopta alors le «Programme d’Action» pour remplacer les anciennes politiques modérées. En 1952, l’ANC s’embarqua dans la Campagne de Défiance. Elle passa d’une organisation de 7.000 personnes en un mouvement de masse estimé à 100.000 membres. Mais cette nouvelle agitation politique dégénéra rapidement en des manifestations illégales et des comportements indisciplinés. En 1956, l’ANC adopta «la Charte de la Liberté» pour remplacer l’ancien «Programme d’Action». La Charte était une collection d’exigences qui furent écrites sur un document par Lionel «Rusty» Berstein. Berstein n’était pas seulement juif, il était également membre du Comité Central clandestin du Parti Communiste, et aussi son expert en chef de la propagande.

Mandela et le reste des dirigeants de l’ANC adoptèrent le document de Berstein avec seulement quelques petits ajustements. Dans un article de 1956, il défendit les positions d’extrême gauche de la «Charte de la Liberté». Il déclara que seule la «nationalisation des banques, des mines d’or et des terres» pourrait porter un «coup fatal» aux «monopoles financiers, aurifères et aux intérêts terriens qui ont pendant des siècles pillé le pays et condamné son peuple à la servitude». Il affirma ensuite que leur succès ne serait possible qu'à la condition ultime que «ces monopoles soient cassés, et que la richesse nationale soit rendue au peuple». Malheureusement, cet affichage de juifs à l’intérieur de l’ANC ne faisait pas l'unanimité, et pendant la conférence de 1956 (ayant pour but de ratifier la Charte de la Liberté), un groupes d’Africanistes «manifesta bruyamment … aux cris de «L’Afrique aux Africains!» Ces derniers exigeaient un retour au «Programme d’Action» adopté en 1949, et pour un mouvement africaniste purifié qui définirait l’Afrique du Sud comme appartenant seulement aux Noirs. À cause des tactiques de confrontation de l’ANC, et son appel à nationaliser les industries Sud-Africaines, des cadres de l'organisation furent arrêtés en 1956, et accusés d’avoir adoptés «une politique visant à renverser l’État par la violence, avec appartenance à une organisation communiste.» On compta 156 accusés au procès, ou plus précisément:105 Noirs, 21 Indiens, 7 Métisses, et 23 Blancs majoritairement juifs. Ces derniers s’appelaient Jacqueline Arenstein, Yetta Barenblatt, Hymie Barsel, Lionel Berstein, Sonia Bunting, Ruth First, Lionel Forman, Isaac Horvitch, Léon Lévy, Norman Lévy, Ronald Press, Sydney Shall, Joe Slovo, et Ben Turok. Une prépondérance, non seulement en tant qu’accusés, mais aussi en tant qu’avocats et contributeurs financiers. Au début du procès, la défense comptait dans ses rangs les Juifs Maurice Franks et Norman Rosenberg, rejoints plus tard par Israël Maisels et Sydney Kentridge. Le procès dura jusqu'en 1961. C'est Alex Hepple qui émit l'idée la création d'un comité de soutien pour les accusés. Cet appel fut le plus réussi des années 1950, et il a représenté la première attaque majeure contre l’Apartheid. Bizarrement, des 22 signataires, 7 étaient Juifs, et c'est à cette époque que la forte présence juive à l’intérieur du mouvement anti-Apartheid commença à attirer l'attention du public Sud-Africain. Dans une lettre de 1956 à l’éditeur Die Tansvaler, on pouvait lire: «Que le soutien des Juifs soit accordé d’emblée aux forces qui veulent la chute des Boers [les Blancs], ce doit être déduit du comportement des Juifs.» Elle continuait: «Quand les photographies de processions de résistance apparaissent dans les journaux, ou de chants et de danses communs avec les ‘Africains’, ou des tableaux calomnieux des ‘Black Sash’ [1], le type facial juif est clairement visible. Quand un livre est publié sur les ‘mauvaises conditions de vie’ en Afrique du Sud, on a neuf chances sur dix que l’écrivain soit Juif. Sous les pétitions protestant contre la politique Boer, se cachent toujours de nombreux noms Juifs. Les professeurs Juifs, les maîtres de conférence, les médecins, les Rabbins et les avocats se bousculent pour aller signer. Derrière les tables dans la rue collectant les signatures contre la politique Boer, trône habituellement la bigote juive.» Il est à noter que des événements importants se déroulèrent pendant le Procès pour Trahison, puisqu'en 1959, la faction africaniste quitta l’ANC pour former le Pan Africanist Congress (le Congrès Pan Africain.) Ils estimaient que l’Afrique se devait d'être libérée par les Africains, sans l’aide des ‘Blancs’ ou des communistes. Sa direction se lança dans une campagne de résistance aux politiques d’Apartheid, visant plus particulièrement le système de passeport appliqués aux Noirs. Le 21 mars 1960, le PAC organisa une journée de manifestation générale appelant les Noirs à brûler leurs passeports, et à se faire arrêter. Robert Sobukwe et les principaux leaders du PAC qui marchaient en tête de la manifestation furent parmi ceux arrêtés. L’appel à la manifestation fut peu suivi à travers le pays, exception faite à Sharpeville, où les organisateurs avaient réussi à regrouper plusieurs milliers de Nègres agressifs. Face à une police traumatisée par le meurtre de 9 des siens dans la banlieue de Durban deux mois auparavant, le face à face dégénéra, et une douzaine de manifestants succombèrent. Mandela, cependant, accusa le PAC d’avoir volé l’idée de l’ANC et rejeta les sacrifices du PAC comme “un exemple flagrant d’opportunisme.” L’ANC suivit les manifestations du 21 Mars par une campagne d’opposition de son cru le 28 Mars. Le 30 Mars, le gouvernement déclara l’État d’urgence et le 8 avril, les deux organisations furent interdites. Le PAC, cependant, n’était pas totalement défait. Ils commencèrent rapidement à former une aile militaire connue sous le nom de ‘Poqo’, un mot Xhosa signifiant ‘seul’ ou ‘pur.’ Le 29 Mars 1961, le tribunal acquitta Mandela et d’autres accusés. Le long «Procès de la Trahison» était maintenant achevé. Mandela se terra dans la clandestinité. Un appel à la grève générale fut lancé, mais s’avéra décevant du fait des mesures préventives prises par le gouvernement. Ce fut cet échec qui poussa Mandela à utiliser des méthodes violentes. Drôle d'ironie, quand on sait qu'il sortait d'un procès marathon où toute sa défense reposait sur la présentation d'une ANC non violente. Dans ces circonstances extrêmes, Mandela ne se fia presque exclusivement qu’à ses contacts juifs, surtout ceux de l’appareil clandestin du Parti Communiste. Les Juifs de son premier cercle, adhérèrent à sa campagne de violence avec enthousiasme. Joe Slovo devint “la figure clé de la conception de la lutte armée militaire du Parti” et fut choisi comme Chef de l’aile militaire de la nouvelle armée, connue sous le nom d’Umhonto we Sizwe, ou MK. La constitution du MK fut largement rédigée par Mandela, Slovo et Bernstein. Les quartiers généraux du MK s'établirent dans la banlieue de Johannesburg à Lilliesleaf, dans une ferme qui avait été achetée en juillet 1961 sous un nom d'emprunt, avec une société bidon par Harold Wolpe et Michael Harmel, pour servir à l’appareil clandestin du Parti Communiste. La ferme était occupée principalement par Arthur Goldreich, sa famille, et les ouvriers agricoles noirs. Goldreich avait passé sa jeunesse au Palmach, une branche de l’appareil clandestin de l’armée juive en Palestine. Mis à part les ouvriers agricoles, tous étaient Juifs et membres du Parti Communiste. Jack Hodgson, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, devint le premier instructeur du MK en explosifs. Avec d'autres, ils fabriquaient des bombes pour le MK et les testaient dans une briqueterie à l’est de Johannesburg, propriété du frère de Wolfie Kodesh, Juif et aussi membre du Parti Communiste. Mais c’était seulement le début du terrorisme industriel. Dans une propriété nouvellement acquise à Krugersdorp, on donna la responsabilité à Denis Goldberg de fabriquer les armes de la nouvelle organisation clandestine. Cet ingénieur de trente ans, acquit les matières premières sous beaucoup de noms d’emprunt: 144 tonness de nitrate d’ammonium, 21,6 tonnes de poudre d'aluminium, et 15 tonnes de poudre noire, qui devaient servir à construire 1.500 bombes à retardement, 48.000 mines antipersonnel, et 210.000 grenades. Le financement de toutes ces activités provenait, bien sûr, du Parti Communiste Clandestin et de leurs sponsors de l’étranger.

Les juifs renouaient ainsi avec leurs vieilles racines de terrorisme aveugle sur les populations civiles. Ils estimèrent que les attentats à la bombe sur les bâtiments d’État engendreraient une fuite des capitaux étrangers, et par effet domino pousseraient l’Afrique du Sud à la capitulation. La vague d’attentats à la bombe et l'acte de naissance du MK durent être retardées de plusieurs semaines, le temps que le président de l’ANC, Albert Luthuli, qui voyageait à Oslo reçoive son Prix Nobel de la Paix! La cérémonie de remise des médailles se tint le 11 décembre 1961, et les attaques terroristes commencèrent cinq jours plus tard. En juillet 1963, la campagne de sabotage avait déjà frappé près de 200 cibles: installations de communication, de transport, les dépôts de carburant, services publics, et bâtiments gouvernementaux. On sait que dès mars 1961, une cellule de soutien avait été mise sur pied pour gérer l'existence clandestine de Mandela sous divers noms d'emprunt dans ses déplacements, ou ses caches. Des Juifs tels que Wolfie Kodesh, Bob Hepple Michael Harmel, Arthur Goldreich lui apportèrent de saines lectures révolutionnaires. En janvier 1962, la vague d'attentats à peine lancé, Mandela partit au-delà des frontières dans le but de faire connaître son mouvement, et à sa grande surprise, le PAC était en réalité plus populaire à l’étranger que l’ANC, qui était largement considérée comme une organisation dominée par les Communistes. C'est à son retour en Afrique du Sud, le 5 Août 1962, que Mandela fut capturé. Il fut condamné à trois ans de prison pour incitation à la grève de 1961, et de deux ans pour avoir voyagé à l’étranger sans papiers. Le gouvernement d’Afrique du Sud déclara l’ANC comme étant une organisation de “communistes et de terroristes.” Curieusement, certains historiens rejettent encore ces affirmations comme de la pure propagande. Joe Slovo et un ami proche de sa femme, Govan Mbeki, développèrent un plan de guérilla à grande échelle connu sous le nom «d’Operation Mayibuye» alors que Mandela était incarcéré. Dans le même temps, Arthur Goldreich fit du lobbying en visitant des pays amis tels que la Chine, la RDA, et l’Union Soviétique, il récolta 2,8 millions de dollars. En 1963, les autorités sud-africaines firent un raid à la ferme de Lilliesleaf, et interpellèrent sur place 19 membres dirigeants de l’ANC et du MK, dont cinq Israélites (Lionel Bernstein, Hilliard Festenstein, Denis Goldberg, Arthur Goldreich, et Bob Hepple). Toutes les arrestations qui suivirent, notamment celles de James Kantor et Harold Wolpe, furent un revers dévastateur au mouvement de libération “Africain.” Wolpe et Goldreich, laissés sous la garde d’un jeune soldat réussirent à prendre la poudre d'escampette, en lui promettant un pot de vin conséquent. Ils trouvèrent refuge pendant 2 jours chez Barney Simon, avant de fuir à l'étranger. Simon, comme Benjamin Pogrund, avait été un membre de la Habonim dans sa jeunesse, et c'est lui qui édita The Classic, le “premier magazine de littérature non racial” en Afrique du Sud. Pendant ce temps, Ronald Kasril, juif Sud-Africain chargé du Commandement Régional du MK au Natal avait été forcé de quitter le pays avec sa petite amie Eleanor Anderson en toute urgence, après qu’un de ses camarades terroristes, Bruno Mtolo, ait été arrêté lors d'une beuverie en ville. Mtolo en savait beaucoup pour avoir visité les quartiers généraux du MK à Rivonia, et pouvait se vanter d'un CV long comme le bras en petite délinquance. Il se mit à table, et accepta de témoigner quelques heures seulement après son arrestation. Kasrils expatrié joua un rôle dans la coordination du mouvement à l’étranger avec ses amis Juifs Joe Slovo et Gill Marcus. Nelson Mandela fut finalement amené au nouveau procès Rivonia, à cause des nombreux documents signés de sa main qui avaient été saisis à Lilliesleaf. D’autres documents comprenaient les plans de «l’Operation Mayibuye». Deux des trois avocats de la défense, Arthur Chaskalson et Joel Joffe, ainsi que le procureur en chef, Percy Yutar, étaient Juifs. Lors d’une interview de 1988, ce dernier affirma qu’il avait délibérément réduit les charges, de trahison à sabotage, pour éviter aux accusés la peine de mort. Et le 11 juin 1964, le verdict tomba pour Mandela, Sisulu, et Mbeki: prison à vie. Interné jusqu’en 1990, Mandela maintint toujours ses positions d’extrême gauche: «La nationalisation des mines, des banques, et le monopole des industries est la politique de l’ANC, et le changement ou la modification de nos opinions sous cet aspect est inconcevable. L’autonomisation des Noirs est un but que nous soutenons et encourageons complètement, mais dans notre situation le contrôle de l’État sur certains secteurs de l’économie est inévitable». Deux semaines plus tard, Mandela fut relâché de prison par F. W. de Klerk. Le gouvernement Sud-Africain légalisa les organisations politiques telles que l’ANC, le Parti Communiste, et ses anciens amis communistes tels que Slovo, Kasrils, et Marcus furent autorisés à rentrer au pays. A ce moment là, Mandela débuta une série de rencontres régulières avec Harry Oppenheimer, ancien président d’Anglo American et de De Beers, et il effectua un virage à 180 degrés sur la position économique de l’ANC. Dans sa première interview post-élection en tant que président, Mandela déclara: «Dans nos politiques économiques…il n’y a pas la moindre référence à des choses telles que la nationalisation, et ce n’est pas un accident…» Après l’élection de 1994, où Mandela fut élu président, l’ANC soumit son programme économique à Oppenheimer “pour approbation.” Ironiquement, entre 1997 et 2004, 18 entreprises publiques subirent une privatisaZion, levant 4 milliards de dollars. Encore plus étrange, le Ministre des Finances élus pendant les élections de 1994 ne fut personne d’autre que Gill Marcus. Et c'est sous cette nouvelle équipe que la Banque centrale de Réserve Sud-Africaine fut privatisée. Marcus d'abord Gouverneur Adjoint de la Banque de Réserve en 1999, devint son Gouverneur en 2009.


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Juden Kapitalist: Karl Marx roule en Porsche!

Вторник, 03 Февраля 2015 г. 09:22 + в цитатник

L’extrême-gauche grecque semble être parvenue à nouer un pacte avec la finance juive et anglo-saxonne contre Berlin. Soutenu par le banquier juif Mathieu Pigasse – qui a offert ses bons offices au nom de la la banque Lazard et auquel le premier ministre grec a demandé une “expertise” – Tsipras exige l’effacement de 50% de la dette du pays, détenue essentiellement par la France et l’Allemagne. Il a reçu le soutien de l’administration américaine. Tout ceci n'est que manœuvre de Wall Street contre Berlin (http://breizatao.com/2015/02/02/obama-et-la-banque...pas-rembourser-paris-et-berlin). La City et Wall Street semblent percevoir dans l’arrivée au pouvoir de Syriza à Athènes le moyen politique et diplomatique de contraindre les Allemands à capituler quant à leur politique monétaire fort peu accommodante pour la finance londonienne, juive et new-yorkaise. Cette offensive diplomatique a été préfigurée par l’annonce de Mario Draghi – ancien de Goldman Sachs – contre la volonté de la Banque Centrale d’Allemagne, de l’impression de 1 140 milliards d’euros. Tsipras, dans les petits papiers de la grande finance. Alexis Tsipras avait semble-t-il déjà mis au point sa stratégie, en étroite collaboration avec Londres et Washington. Le 25 janvier 2013, il s’était rendu à Washington au Brookings Institution, un des nombreux groupes de réflexion liés au gouvernement américain. Il y avait déclaré: “J’espère vous avoir convaincu que je ne suis pas aussi dangereux que certaines personnes pensent que je ne le suis”. Tsipras avait envoyé ses émissaires à Londres pour convaincre La City de ce qu’elle avait tout intérêt à soutenir un gouvernement d’extrême-gauche à Athènes (source). Et de fait, son programme fort simple repose sur l’abandon par la France et l’Allemagne de la moitié de la dette grecque détenue par ces pays. Une annonce de campagne immédiatement reprise par Mathieu Pigasse dont la banque Lazard a accompagné le gouvernement grec dans la restructuration de sa dette en 2012. C’est cette même banque que Tsipras a choisi pour opérer une alliance entre la banque juive et anglo-saxonne de New York et le gouvernement grec. Alliance entre l’extrême-gauche grecque et la finance internationale. Cette alliance repose sur un programme fort simple: Tsipras finance son programme d’extrême-gauche par les dons généreux de Paris et Berlin. Ces dons seraient le résultat d’un rabais de 50% sur la dette de son pays, ce qui revient de facto à une validation d’une relance par l’emprunt puisque le gouvernement grec ne serait plus tenu à ses engagements en échange des “tranches d’aides” mutuellement convenues avec les Européens. La finance juive et anglo-saxonne quant à elle utilise la Grèce – et à sa suite l’Italie, l’Espagne et le Portugal – comme “bélier” politique pour faire s’effondrer la politique de sérieux budgétaire décidée par Berlin et Paris en échange du refinancement accordé à ces économies surendettées. Moyennant quoi, elle entend bien contraindre l’Europe du Nord à prendre à sa charge les dettes du Sud. Sud qui s’endetterait auprès de cette même finance anglo-américaine et juive pour sa relance, comme lors des décennies précédentes. Un fantastique transfert de richesses depuis l’Europe vers New York et Londres au détriment des travailleurs européens. Outre que cela fragiliserait le leadership allemand en Europe et l’unité même de l’eurozone – ce à quoi aspirent Londres comme Washington – cela engendrerait un report de capitaux vers la zone dollar. Obama apporte son soutien à l’extrême-gauche grecque. Symbole du soutien de la haute finance aux idiots utiles de l’extrême-gauche des pays du Sud de l’Europe, le président américain Barack Obama a apporté son soutien à Athènes (source). Le chef d’État américain a déclaré sur CNN: “Vous ne pouvez pas continuer à presser des pays qui se trouvent au milieu d’une dépression. A un moment donné, il doit y a avoir une stratégie de croissance afin qu’ils puissent payer leur dette et effacer certains de leurs déficits”. On ne voit pas très bien de quelle dette il s’agirait puisque les mêmes demandent aux Allemands et aux Français de les effacer. Quant à une “stratégie de croissance”, elle revient bien sûr à relancer l’emprunt pour mettre en oeuvre un nouvel enrichissement ne reposant que sur un nouveau flot de dettes. Flot auquel espère bien pouvoir s’abreuver Wall Street et La City. Paris se retourne contre Berlin. Le gouvernement français, soucieux de retrouver un semblant de crédibilité en Europe, s’est alliée au gouvernement d’extrême-gauche grec comme à la finance anglo-américaine, pour faire “payer Berlin”. A ce titre – et à l’initiative de François Hollande – le gouvernement français recevra Tsipras mercredi. Ce dernier tente de rallier Rome et Paris à la ligne de Washington et Londres pour encercler Berlin. Recevant son homologue grec, Michel Sapin – ministre des Finances français – a évoqué dimanche un “nouveau contrat avec Athènes”. Un contrat anti-allemand qui vise à s’allier avec Londres et New York pour désenclaver un gouvernement socialiste lorgnant désespérément sur l’argent allemand pour relancer sa propre économie. Pour le gouvernement socialiste, complètement discrédité en Europe, il s’agit de tenter de jouer à nouveau la carte “de l’Europe du Sud” contre l’Europe du Nord. Carte qui avait été rejetée par Rome notamment. La nécessité de la résistance allemande. Le gouvernement allemand doit adopter un ton intransigeant face aux mendiants d’Athènes et à l’alliance anti-européenne instiguée par la finance internationale contre Berlin et l’Europe continentale. Pour l’heure Angela Merkel a adopté un langage d’autorité vis-à-vis des gauchistes grecs, parfaitement consciente de ce qu’ils ne sont que les idiots utiles de Londres et Washington. Depuis Trotsky (de son vrai nom Bronstein) et la révolution bolchevique, chacun sait que le communisme n’est que l’instrument de Wall Street.


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L'Iran compare Auschwitz à un 5 étoiles.

Вторник, 03 Февраля 2015 г. 08:26 + в цитатник

La République islamique a une bien curieuse manière de surfer sur la vague Charlie Hebdo. Après avoir tout d'abord condamné l'attaque sanglante contre le siège de l'hebdomadaire satirique, l'Iran n'a pas manqué de dénoncer par la suite la publication, en couverture du journal, d'une caricature de Mahomet brandissant une pancarte "Je suis Charlie". Et joint désormais le geste à la parole. Ainsi le Tehran Times révèle que la Maison de la caricature, un organisme lié à la mairie de la capitale iranienne, et le centre culturel ultra-conservateur Sarcheshmeh ont lancé un nouveau "concours international" de caricatures remettant en cause la religion de l'Oh Low Cost (http://www.lepoint.fr/monde/iran-contre-charlie-he...uste-02-02-2015-1901685_24.php). "Après la publication de caricatures danoises dénigrant [notre Prophète], nous avons été témoins d'un incident similaire de la part, cette fois, de la publication française Charlie Hebdo", affirme le directeur de la Maison de la caricature, Massoud Shojaei Tabatabaei, dans le quotidien iranien ultraconservateur Keyhan. "En sachant que l'Occident est très sensible à propos de l'Oh Low Cost, nous proposons de les tester sur ce sujet." Le "vainqueur" du concours se verra remettre la somme de 12 000 dollars, le second 8 000 et le troisième 5 000 dollars. Les participants auront jusqu'au 1er avril pour envoyer leurs "œuvres", qui seront présentées au musée d'Art contemporain de la Palestine à Téhéran. Soufflant volontiers sur les braises, Massoud Shojaei Tabatabaei ne manque pas de préciser qu'il a choisi cette date parce que le 1er avril est "la journée du grand mensonge". Et l'organisateur d'affirmer que " l'Oh Low Cost est aussi le grand mensonge des sionistes pour occuper la Palestine". Le ton est donné. L'homme est coutumier du fait. En janvier 2013, il avait déjà lancé un concours similaire après la publication d'un hors-série de Charlie Hebdo sur "La vie de Mahomet". Mais son initiative était alors tombée dans l'oubli, et n'est même plus mentionnée aujourd'hui. "Shojaei est un des plus anciens caricaturistes d'Iran, proche des milieux les plus conservateurs qui le soutiennent", explique Mana Neyestani*, dessinateur iranien arrêté et contraint à l'exil après la publication d'une caricature en 2006. Son fait d'armes le plus retentissant, Massoud Shojaei Tabatabaei l'a réalisé en février 2006. En réponse à la publication par le quotidien danois Jyllands-Posten de caricatures de Mahomet qui avaient embrasé le monde musulman, il organise, en coopération avec le quotidien iranien Hamshari, un concours intitulé "Jusqu'où peut aller la liberté d'expression occidentale?" Le thème est déjà celui de la remise en cause de la $hoah. Le comité d'organisation reçoit 1 193 dessins en provenance de 62 pays, les plus nombreux venant d'Iran, puis de Turquie et du Brésil. Premier prix, le dessinateur marocain Abdellah Derkaoui, avec un dessin qui décrit une grue israélienne posant des pans du mur de séparation entre Israël et la Cisjordanie. Sur chacun d'entre eux figure un morceau de l'entrée du camp d'Auschwitz, où un million de juifs auraient été exterminés durant la Seconde Guerre mondiale, même si l'on soupçonne de nombreux juifs d'avoir émigrer en Israël sans laisser d'adresse, et d'être ainsi toujours comptabilisés dans l'Oh Low Cost.

Le deuxième prix a, quant à lui, été attribué à la dessinatrice française Chard, dont l'"œuvre" représente un décor de théâtre en forme de chambre à gaz portant l'inscription "mythe des chambres à gaz". Consterné, un juif demande alors: "Qui l'a mis par terre?" "Faurisson", lui répond un autre, en référence au sinistre négationniste français. "Beaucoup des dessins envoyés n'étaient que des insultes", se souvient Mana Neyestani. Outré, le dessinateur publie à l'époque sur Internet une lettre ouverte critiquant sévèrement l'initiative. "Qu'ils le veuillent ou non, l'Oh Low Cost est un fait historique avéré qui s'est vraiment déroulé. S'ils possèdent des doutes sur son ampleur, cela ne signifie pas qu'ils peuvent ainsi le remettre en question, et faire souffrir les familles de victimes." Fait étonnant, le caricaturiste se souvient d'avoir été interrogé, au cours de son séjour en prison, sur son billet incendiaire. "Il est clair que ces concours sont organisés par une partie du pouvoir iranien", assure-t-il aujourd'hui. "Ces différents courants parallèles, en compétition entre eux, ruinent les tentatives d'ouverture du nouveau gouvernement iranien." En effet, depuis son élection en juin 2013, le président iranien "modéré" tente à tout prix d'effacer des tablettes les diatribes enflammées de son prédécesseur Mahmoud Ahmadinejad, qui avait notamment qualifié l'Holocauste de "mythe". Et multiplie depuis les gestes d'apaisement en direction des Juifs d'Iran, plus grande communauté juive du Moyen-Orient avant la création d'Israël avec 150 000 membres, et qui ne sont plus que 8 500 aujourd'hui. Pour se démarquer de son prédécesseur ultraconservateur, Hassan Rohani a souhaité dès septembre 2013 sur Twitter - pourtant interdit en Iran - "un joyeux Rosh Hashana" à "tous les juifs, en particulier les juifs iraniens". Quelques jours plus tard, il persiste et signe en qualifiant sur CNN de "répréhensibles et condamnables" les "crimes commis par les nazis envers les juifs". Dernier événement en date, l'inauguration en décembre dernier, au cœur du cimetière juif de Téhéran, d'un mausolée en souvenir des dix Juifs iraniens morts depuis le 11 février 1979. Des efforts qu'entendent réduire à néant les plus ultra-conservateurs en Iran.

Et pendant ce temps-là en Pologne ..... Riccardo Pacifici, le représentant officiel de la communauté juive de Rome, est resté enfermé dans l'enceinte du camp d'Auschwitz après une interview tardive. Interrogé par la police dans les locaux du camp jusqu'à 5 heures du matin: "une honte", dénonce-t-il. Une délégation juive enfermée à Auschwitz le soir même du Jour de la mémoire: ce n'est pas une mauvaise blague, et d'ailleurs, ça n'a pas du tout fait rire les intéressés (http://t.getmyinsuran.com/fQ7qJEOrFv). En marge de la commémoration des 70 ans de la libération du camp d'Auschwitz, la délégation juive de Rome s'est retrouvée enfermée dans l'ancien camp de la mort. Restée tard pour tourner une interview, elle aurait été tout simplement oubliée sur place. Au soir des cérémonies d'hommage, le 27 janvier, le représentant de la communauté juive romaine Riccardo Pacifici est interviewé dans le camp par des journalistes de la chaîne italienne Canale 5 pour une émission, "Matrix". Ils ne sont alors pas installés dans un bâtiment mais à l'extérieur, entre des miradors et des clôtures barbelées. Vers 23 heures, le travail terminé, ils se rendent compte qu'ils sont enfermés dans l'enceinte du camp, par des températures bien en-dessous de zéro. Le journal israélien Haaretz rapporte qu'après un long moment, passé à chercher une sortie et à appeler d'éventuels agents de sécurité, Riccardo Pacifici a tenté de pousser les fenêtres de la billetterie. L'une d'elles s'est ouverte et les prisonniers ont pu entrer. Leur intrusion ayant déclenché une alarme, les représentants italiens et les journalistes ont pensé être sortis d'affaire: au moins, un policier viendrait les délivrer. Des agents de sécurité sont bien arrivés peu de temps après, mais les choses n'ont fait qu'empirer. "Au lieu de nous libérer, ils nous ont gardés ici pendant des heures. Ils ont commencé à nous interroger et nous ont traités comme de véritables criminels", témoigne Fabio Perugia, qui appartenait à la délégation juive, à la correspondante italienne de CNN. "Ils n'ont pas su distinguer de vrais criminels de ceux qui sont simplement venus ici pour faire une interview et rendre honorer le Jour de mémoire". Les policiers, inflexibles, les ont interrogés jusqu'à 5 heures du matin au commissariat. Toute l'aventure a été racontée en direct sur Twitter par Riccardo Pacifici en une dizaine de messages. Son premier message, la colère est palpable: "Nous sommes séquestrés depuis une heure par la police polonaise à Auschwitz après la transmission de Matrix. Une honte."L'administration du camp présente une version légèrement différente. Pawel Sawicki, porte-parole du musée, explique que les visiteurs avaient l'autorisation de filmer jusqu'à 23h30, l'heure à laquelle des agents de sécurité devaient les récupérer pour les faire sortir. Cependant, les journalistes auraient terminé leur reportage plus tôt que prévu, et se seraient présentés trop tôt au rendez-vous à la porte de sortie. Ne voyant pas arriver les agents, ils auraient donc trouvé refuge dans un bâtiment. Selon le musée, ils n'auraient pas été coopératifs avec les agents de sécurité et auraient refusé de leur présenter leurs papiers d'identité. C'est alors que la police est arrivée pour reprendre les choses en main. Par ailleurs, Pawel Sawicki précise qu'ils auraient de toute façon pu utiliser une sortie de secours située à 150 mètres du bâtiment dans lequel ils se sont introduits. La diplomatie italienne serait intervenue pour sortir le groupe de cette situation. Mais pour Riccardo Pacifici, cette histoire de délégation juive enfermée à Auschwhitz reste "une honte". Qu'ils sont cons ces juifs, même sans gardien nazi, ils sont incapables de trouver la sortie. C'était pourtant simple, tu longes la piscine, tu passes devant la morgue (où c'est écrit chambre à gaz), tu tournes devant l’abri antiaérien (où c'est écrit chambre à gaz), tu contournes les douches (où c'est écrit chambre à gaz) et tu tombes nez à nez avec le plus grand spécialiste du Trauma Artificiel et Perpétuel Juif, j'ai nommé le professeur Robert Faurisson. Le seul habilité par l’Éducation Nationale à parler de la $hoah aux jeunes de 7 à 77 ans (de la maternelle à la maison de retraite) (http://robertfaurisson.blogspot.com/).


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François Hollande arme juste les terroristes modérés, pas les autres!

Четверг, 29 Января 2015 г. 10:04 + в цитатник

Le Président a justifié cela par la nécessité pour ces habitants de se défendre face, à la fois, aux forces de Bachar al-Assad et à l’État islamique. François Hollande a confirmé jeudi 21 août 2014 la livraison d’armes par la France à des «rebelles syriens» pris «en tenaille» entre le régime de Bachar al-Assad et l’État islamique, lors d’une visite à La Réunion. Ces livraisons sont intervenues «il y a plusieurs mois, quand des rebelles syriens faisaient face à la fois aux armées du dictateur Bachar al-Assad et au comportement de ce groupe terroriste, l’État islamique», a déclaré le chef de l’État (http://www.liberation.fr/monde/2014/08/21/hollande...a-des-rebelles-syriens_1084340). «On ne pouvait pas laisser les seuls Syriens, qui préparaient la démocratie (...), être sans armes», a-t-il fait valoir devant la presse, sur l’aéroport de Pierrefonds, à Saint-Pierre (sud). Le président Hollande, qui avait déjà évoqué ces livraisons dans une interview au Monde parue lundi, a précisé avoir pris cette décision «conformément» à ses «engagements» et «aux règles de l’Union européenne», affirmant que la France avait livré «un certain nombre de matériels autorisés à ces rebelles» syriens. «Aujourd’hui encore, c’est terrible ce qui se passe en Syrie», a-t-il poursuivi, avec «d’un côté, l’État de Bachar al-Assad qui continue de pilonner et de massacrer, (de l’autre) l’ État islamique et, au milieu, celles et ceux qui étaient supposés préparer l’avenir et qui sont pris en tenaille». «Donc nous ne devons pas relâcher le soutien que nous avions accordé à ces rebelles qui sont les seuls à participer à l’esprit démocratique», a enchaîné François Hollande. La France, a-t-il toutefois ajouté, ne peut «pas le faire seule» et «ça se fait en bonne intelligence avec l’Europe et les Américains». Évoquant cette fois les livraisons d’armes françaises aux forces kurdes engagées contre les combattants de l’Etat islamique dans le nord de l’Irak, le président français a observé que «paradoxalement, les terroristes sont mieux armés que les pays organisés qui les combattent». Ce n’est toutefois, selon lui, «qu’un paradoxe apparent, parce qu’ils ont pris les armes des États qui les combattent». François Hollande a indiqué aussi qu’un «premier convoi est arrivé» en Irak. «Nous avons été les premiers à fournir ces matériels», a-t-il encore souligné, estimant que Paris avait «fait son devoir». La France, a-t-il encore déclaré, a «entraîné l’Europe» dans son sillage avec «maintenant, un pays comme l’Allemagne (qui) accepte aussi de faire ces livraisons» et «beaucoup d’autre pays européens» qui s’apprêtent à le faire. «Il n’est pas question que ces armes puissent servir à d’autres causes», que la lutte contre EI a cependant insisté François Hollande, qui a rappelé que ces livraisons se faisaient avec «le plein assentiment des autorités de Bagdad, parce qu’il ne faudrait pas créer je ne sais quel séparatisme supplémentaire». Pour résumer, notre président outille les djihadistes en Syrie pour qu'une fois totalement opérationnel, ils reviennent bouter les juifs hors de la France. Ç'aurait été pourtant plus simple de livrer les armes directement dans les quartiers sensibles français.

Téhéran (FNA) - Le général Mohammad Reza Naqdi, commandant des forces de mobilisation de la résistance (Basij), a déclaré que l'ambassade américaine à Baghdad était le centre de commandement des terroristes takfiri de l'État islamique (EI) en Irak et au Levant. «Les États-Unis apportent un soutien direct à l'EI en Irak, et les avions américains larguent des fournitures et des armes destinées à l'EI en Irak», a affirmé le général Naqdi lundi dernier, alors qu'il s'adressait à un groupe des forces Basij, à Téhéran (http://www.wikistrike.com/2015/01/l-ambassade-amer...s-a-destination-des-terrori.ht). Il a ajouté que les forces irakiennes avaient même récupéré certaines des fournitures larguées par des avions américains et destinées aux terroristes de l'EI. La semaine dernière, un député de la Commission parlementaire irakienne a révélé qu'un avion américain avait fourni à l'organisation terroriste de l'EI des armes et des munitions dans la province de Salâh ad-Dîn. Selon l'agence de presse Iraq TradeLink, le député Majid al-Gharawi a affirmé que, d'après les informations disponibles, des avions américains fournissaient une aide matérielle à l'EI, non seulement dans la province de Salâh ad-Dîn, mais aussi dans d'autres provinces. Al-Gharawi a ajouté que la coalition américaine et internationale ne «combattait pas sérieusement l'EI, parce qu'elle possède la puissance technologique qui lui permet de déterminer la présence de soldats de l'EI, et qu'elle pourrait les détruire en un mois». […] La commission de sécurité de Salâh ad-Dîn a également révélé que des «avions inconnus larguaient des armes et des munitions destinées aux soldats de l'EI au sud-est de la ville de Tikrit». Fin décembre, un haut législateur irakien avait émis des doutes quant au sérieux de la coalition anti-EI menée par les États-Unis, déclarant que le groupe terroriste recevait toujours des aides matérielles, larguées par des avions non identifiés. «La coalition internationale n'est pas sérieuse dans ses frappes aériennes contre les terroristes de l'EI, et cherche même à évincer les forces populaires de Basij qui combattent les takfiri, de sorte que le problème de l'EI persiste toujours, a déclaré Nahlah al-Hababi à Fars News Agency (FNA). «Les terroristes de l'EI reçoivent des aides larguées par des avions de combat non identifiés en Irak et en Syrie», a t-elle ajouté. Hababi a déclaré que les frappes aériennes de la coalition n'étaient précises que lorsqu'elles visaient les régions où les Peshmergas kurdes étaient présents, tandis que les frappes militaires effectuées dans d'autres régions n'étaient pas aussi précises. Fin décembre, la coalition menée par les É-U avait largué des fournitures à l'intention des militants takfiri au nord de Baghdad. Des sources sur le terrain en Irak ont affirmé à al-Manar que des avions de la coalition internationale larguaient des fournitures à destination des militants terroristes à Balad, une zone située dans la province de Salâh ad-Dîn, au nord de Baghdad. En octobre, un commandant supérieur iranien avait également fustigé les É-U pour l'aide matérielle et militaire qu'ils apportaient à l'EI, ajoutant que les allégations des É-U selon lesquelles des armes avaient été envoyées à l'EI par erreur étaient mensongères. Les É-U et la soi-disant coalition anti-EI prétendent avoir lancé une campagne contre ce groupe terroriste criminel - tout en lui fournissant des armes, de la nourriture et des médicaments dans la région de Jalula (une ville située dans la province de Diyala, en Irak). Ce fait démontre de façon très explicite le caractère mensonger des allégations de la coalition et des É-U, a déclaré le brigadier-général Massoud Jazayeri, vice chef d'État-major des Forces armées iraniennes. Les É-U affirment avoir largué des armes et des fournitures médicales aux combattants kurdes en guerre contre l'EI à Kobani, près de la frontière turque, dans le nord de la Syrie. Le département de la Défense des É-U a déclaré avoir largué 28 colis d'armes et de fournitures, mais l'un d'entre eux n'est pas tombé dans les mains des combattants kurdes. Des vidéos ont plus tard montré que certaines des armes larguées par les É-U avaient été réceptionnées par des militants de l'EI. Le commandant iranien a insisté sur le fait que les É-U ont tous les renseignements nécessaires concernant le déploiement de l'EI dans la région, et que les allégations selon lesquelles ils auraient envoyé des armes à l'EI par erreur étaient aussi improbables que mensongères. Cette histoire nous rappelle Ben Laden, ce grand terroriste entraîné, équipé, protégé, et soigné par la CIA-Mossad qui en 2010 n'avait même pas de caméra pour se filmer (genre bas de gamme à 300 euros), mais qui préférait par modestie envoyer des «cassettes audio». Balaise le type!

Des politiciens américains de tous bords ont lancé une campagne pour que toute la lumière soit faite sur le financement des attentats du 11 septembre. Ils exigent la déclassifaction de 28 pages du rapport du Congrès de 2002. Aux États-Unis, un vaste mouvement pour obtenir la déclassification de documents secrets concernant les attentats du 11 septembre 2001 prend une ampleur sans précédent (http://www.parismatch.com/Actu/Insolite/11-septemb...-attentats-du-11-09-01-683070 ). L'objet de la polémique tient en 28 pages dans le rapport du Congrès de 585 pages sur la tragédie qui ont été censurées avant sa parution en décembre 2002. Ce court passage pointerait les responsabilités directes ou indirectes de l'Arabie Saoudite, allié traditionnel des Etats-Unis au Moyen-Orient, dans ces attentats. Mercredi, le Républicain (ex démocrate) Bob Graham, ancien vice-président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats du 11 septembre, tiendra une conférence de presse au Capitole afin d'exiger que ces 28 pages soient rendues publiques. Il sera rejoint par le représentant républicain de Caroline du Nord, Walter Jones, et le démocrate Stephen Lynch. Des familles des victimes du 11 septembre seront également présentes pour demander à Barack Obama de «faire toute la lumière» sur ce dossier. "Le maintien du secret ne fait que renforcer la théorie selon laquelle le gouvernement américain protège l'Arabie Saoudite". D'après le sénateur Bob Graham, les 28 pages censurées à la demande de l'administration Bush, démontreraient que l'Arabie Saoudite aurait participé au financement des attaques terroristes de 2001. Toujours selon Bob Graham, les documents mettraient en cause le consulat saoudien à Los Angeles, l'ambassade d'Arabie Saoudite à Washington ainsi que de riches Saoudiens installés à Sarasota en Floride. Il y a un an, une résolution du Congrès soutenue par 21 élus républicains et démocrates demandant la déclassification de cet extrait du rapport avait été déposée. Walter Jones et Stephen Lynch ont annoncé qu'ils allaient soumettre une résolution similaire au Congrès nouvellement élu. Pour le sénateur démocrate Charles Schumer, qui en 2003 avait rédigé une lettre ouverte au président Bush cosignée par 46 sénateurs demandant la déclassification du passage litigieux, «le maintien du secret ne fait que renforcer la théorie selon laquelle le gouvernement américain protège l'Arabie Saoudite». Avec toutes ces rumeurs, et ces false flag, notre avis, c'est qu'il n'y a pas que les Bédouins qui sentent mauvais dans cette histoire, nos resquilleurs SNCF de la grande époque ne sont pas loin non plus!




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L'antisémitisme n'existe pas! Bye-bye

Суббота, 24 Января 2015 г. 21:49 + в цитатник

Au tribunal, le chef d'inculpation ne devrait jamais être «l'agression d'un juif, d'un Musulman, ou d'un Maoïste, etc ... » puisqu'en France, au nom de l’Égalité, nous ne sommes que des Citoyens de la République «une et indivisible», et rien d'autre. On n'agresse pas le membre d'une communauté, on agresse un Citoyen, et dès lors les peines encourues se doivent d'être absolument équivalentes. Par contre, vous pourriez évoquer le terme d'antisémitisme pour caractériser le délit, mais dans ce cas, et toujours par principe d’Égalité, il vous faudrait alors caractériser tous les autres délits inter-ethniques, or on en est à l'opposé. Qu'un juif se fasse molester par un Maghrébin, et l'on parlera d'acte antisémite. Qu'un Maghrébin se fasse insulter par un Blanc, et l'on parlera d'acte islamophobe. Qu'un Nègre se fasse singer par un Blanc, et l'on parlera d'acte raciste. Mais que des jeunes des cités séquestrent et torturent un couple de retraités blancs, et l'on parlera d'acte gratuit avant de gommer le prénom des agresseurs pour quelque chose de plus franchouillard. Vous l'aurez compris: l’Égalité pour le juif, oui, pour ses officines anti-racistes et pro-sionistes, oui, mais l’Égalité pour le Blanc, jamais! Au final, l'expression «Antisémite» est un passe droit que le juif utilise pour protéger son business mafieux derrière le paravent d'une justice partiale, et complaisante, acquise aux loges! La longue littérature d'Hervé Ryssen devrait d'ailleurs rapidement vous en convaincre.


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Puisque le but est défini, il suffit maintenant de s'en donner les moyens!

Суббота, 24 Января 2015 г. 16:12 + в цитатник

La nation bretonne fut forgée par ses saints fondateurs et ses rois et l’on peut avancer sans se tromper qu’il n’est pas de nation bretonne puissante sans une foi vive dans le peuple et ses chefs. Il est illusoire de vouloir ériger sur les principes de 1789 une nation bretonne authentiquement bretonne (http://breizatao.com/2015/01/01/sur-les-ruines-de-...n-libre-national-et-catholique). Nous assistons depuis deux siècles à une guerre réellement religieuse contre les fondements spirituels de notre nation, de quoi a logiquement découlé l’effondrement de l’ordre traditionnel breton qui avait fait la grandeur et la beauté de notre peuple. Il n’est pas davantage exagéré d’affirmer que le triomphe temporaire de l’athéisme matérialiste de la Gauche française au sein des masses bretonnes est transitoire. Qui n’est pas avec le Christ est contre Lui. C’est sans surprise que désormais l’islam pénètre partout chez nous, dans nos villes même les plus modestes. Coalition des apostats et des infidèles, voici le socialo-marxisme et la maçonnerie pavant la voie à l’islamisation rapide de notre vieille nation catholique. Islamisation logiquement induite par la progression fulgurante de la colonisation de peuplement dont nous sommes victimes à laquelle oeuvre avec acharnement le faisceau des gauches, aidée des idiots utiles du pseudo conservatisme français. Il est vrai de dire qu’en ce début de 21ème siècle, l’Église Catholique pour ce qui concerne notre pays, ou plus exactement son clergé soumis à l’autorité étatique républicaine, n’oppose aucune forme de résistance à la conquête afro-musulmane. Et le socialisme irénique qui tient désormais lieu de théologie à nombre de prélats dits catholiques ne doit pas tromper sur leur apostasie et leur trahison. Mais il ne faut confondre les agissements de ces mauvais clercs avec l’Église Catholique qui est le Corps Mystique du Christ et qui ne se saurait se réduire aux curés de gauche diarrhéiques. Comme toute être humain, sans âme, aucune nation ne peut exister. Sitôt que l’ordre traditionnel est contesté spirituellement, voici la multiplication des factions et la guerre civile qui se généralise. Les traîtres pullulent, prétendant agir au nom du bien commun quand ils agissent pour le mal objectif et la perte du peuple. Ainsi en est-il depuis que le christianisme a été chassé de l’ordre social. Qu’on ne s’y trompe pas: il y a toujours un ordre spirituel, une idée force, qui préside à la destinée d’une nation et d’une civilisation. Ce n’est pas parce que le Catholicisme a été chassé de l’ordre social que la religion a cessé d’exister. Il n’y a aucun pouvoir “laïque”. La laïcité est elle-même une religion, la religion des ennemis du Catholicisme. La religion existe plus que jamais: elle a ses prêtres, ses tabous, son inquisition. Cette religion, ce sont les droits de l’homme. Ses prêtres, les militants de cette religion qui se trouvent dans les médiats, les pouvoirs publics et les partis. Son inquisition, c’est la presse aidée d’une magistrature qui se charge des procès à grand spectacle des déviants. Le peuple, dûment rééduqué, chuchote et craint les colères des nouveaux seigneurs dont le pouvoir repose sur l’autorité morale qu’exerce cette religion athée dite des “droits de l’homme” et qui envahit tout. Mais cette religion du vide, ce nihilisme qui ne repose sur rien d’autre que sur la destruction de l’ordre traditionnel – naturel et surnaturel – annonce en réalité l’avènement d’une autre religion: le fanatisme mahométan. Ayant tout détruit au sein de notre peuple, voici les mêmes qui combattaient la Foi Catholique chercher mille bienfaits dans le surgissement de l’islam chez nous. En réalité, ce qui suscite chez eux cette obséquiosité vis-à-vis des mahométans, c’est la peur. Ils sont déjà psychologiquement soumis à ce fanatisme allogène et n’osent lui faire les reproches dont par ailleurs ils abreuvent l’Église Catholique et les nationaux. Sans surprise, les impies de la maçonnerie sont en première ligne dans cette imposture. L’Ennemi attaque à la fois sur le plan surnaturel la Foi Catholique des peuples européens et – a minima – la foi chrétienne de ceux-ci et sur le plan naturel, tout ce qui relève de leurs caractéristiques propres: identité, famille, communautarisme social et professionnel. Il est donc logique que les athées internationalistes combattent les chrétiens et les nationalistes, les deux devant par nécessité se confondre sur le plan pratique selon le couple traditionnel prêtre / guerrier. Notre tâche, à nous nationaux bretons, consiste à ériger sur les ruines de la faillite de l’état républicain pré-musulman un état breton libre, nationaliste et catholique, c’est -à-dire un état réellement breton, fidèle à sa tradition millénaire. Nous avons besoin de croisés et ce n’est pas par les élections que nous créerons le nouveau type d’hommes traditionnels qui feront surgir du néant cet état breton. C’est par la pratique du combat. Il n’est pas exagéré de dire que c’est par la croisade, dans des conditions exceptionnelles à tous les égards, que nous ferons advenir la résurrection de notre peuple en tant que nation. Notre nation est la seule du monde à avoir été créée par 7 saints évêques, 7 étant le chiffre de Dieu lui-même. Ce que Dieu a fait, l’homme ne peut le défaire et la Providence offrira à notre nation une renaissance spectaculaire et elle sera plus puissante qu’elle n’a jamais été dans l’histoire. Les croisés doivent désormais s’avancer pour le salut de notre peuple.




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Le 27 Janvier, n'oubliez pas la célébration des commémorations.

Суббота, 24 Января 2015 г. 15:22 + в цитатник

Voici venir la journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l'humanité. Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie; aux vice-rectrices et vice-recteurs; aux inspectrices et inspecteurs d'académie-directrices et directeurs académiques des services de l'éducation nationale. Le 18 octobre 2002, les ministres européens de l'éducation ont adopté, à l'initiative du Conseil de l'Europe, la déclaration créant la Journée de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité dans les établissements scolaires des États membres. La France et l'Allemagne ont choisi de fixer cette commémoration annuelle au 27 janvier, date anniversaire de la «libération» du camp d'Auschwitz (http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=85240). Cette Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l'humanité fournit l'occasion d'une réflexion sur les valeurs fondatrices de l'humanisme moderne, telles la dignité de la personne et le respect de la vie d'autrui, qu'il importe de faire partager aux enfants de notre pays. Cette démarche conditionne l'établissement et la perpétuation de la «culture commune» qui, selon l'expression du socle commun de connaissances, de compétences et de culture, a pour rôle «d'éclairer le sens des enseignements». L'année 2015 sera marquée par la commémoration du soixante-dixième anniversaire de la libération des camps et de la victoire sur la barbarie nazie. Ce sera également le centenaire du début du génocide des Arméniens. La Journée de commémoration du mardi 27 janvier 2015 est l'occasion de se souvenir de ces événements tragiques mais aussi de rappeler le rôle crucial de tous ceux qui ont contribué à protéger les persécutés et parfois à les sauver au risque de leur vie. L'histoire ne manque pas d'offrir aux jeunes de notre pays des modèles qui incarnent face à la barbarie et à la violence, les valeurs positives de l'humanité, la solidarité, le courage et l'engagement. La communauté éducative dans son ensemble, est invitée à s'associer à cette commémoration. Les enseignants engageront une réflexion avec leurs élèves sur les génocides et les crimes contre l'humanité, en liaison avec les programmes d'enseignement. À l'échelle de l'école et de l'établissement, des manifestations ou des activités pédagogiques spécifiques pourront être organisées: rencontres avec des témoins, conférences, mais aussi débats autour d'un film, d'une exposition ou d'une représentation théâtrale, etc. Les équipes pédagogiques seront bien sûr attentives à ce que les activités proposées aux élèves soient adaptées à leur âge. Dans chaque académie, le référent «mémoire et citoyenneté» assurera la coordination et le suivi des actions menées par les établissements scolaires. Il veillera à promouvoir auprès des équipes éducatives les ressources culturelles et patrimoniales que constituent localement les services des archives, les musées ou les lieux de mémoire. Il veillera également à valoriser, notamment sur le site Internet académique, les actions remarquables. Bon nombre d'écoles et d'établissements ont su, depuis 2003, faire de cette journée un moment d'enrichissement et d'échange pour l'ensemble de la communauté éducative: ainsi convient-il de faire partager et de valoriser ces pratiques exemplaires. Les actions significatives pourront également être portées à la connaissance de la direction générale de l'enseignement scolaire par le référent académique, pour être valorisées à l'échelon national. Les ateliers Canopé (ex CRDP/CDDP) sont des centres ressources mobilisés par la commémoration du Centenaire de la Première Guerre mondiale et du Soixante-dixième anniversaire de la libération des camps et de la victoire sur la barbarie nazie. L'ensemble du réseau organise, le mercredi 28 janvier 2015, une journée thématique, à l'intention des équipes éducatives, portant sur l'enseignement de l'Histoire de la Shoah (présentation des outils pédagogiques, sensibilisation aux actions éducatives, conseils pratiques, etc.). Les équipes éducatives sont invitées à consulter l'ensemble des ressources référencées sur le site Eduscol, à l'adresse suivante: (http://robertfaurisson.blogspot.ca). La note de service n° 2014-005 du 13 janvier 2014 portant sur la Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l'humanité du 27 janvier 2014 est abrogée. Je vous remercie de votre engagement personnel et de celui de l'ensemble de la communauté éducative dans votre académie à l'occasion de cette importante commémoration et vous invite à diffuser la vidéo du professeur qui suit dans le seul but de lutter contre ces images antisémites qui pullulent sur le Web. Pour la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche et par délégation, La directrice générale de l'enseignement scolaire, Florence Robine.




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On ne fait pas assez d'effort pour intégrer nos immigrés selon le président des Etats-Unis.

Суббота, 24 Января 2015 г. 14:47 + в цитатник

Barack Obama et le Premier ministre britannique David Cameron («I'm a zionist, and I'm proud of it») ont dit vendredi leur détermination à contrer "l'extrémisme violent qui radicalise, recrute et mobilise". Le président américain a toutefois souligné la nécessité pour l'Europe de veiller à une meilleure intégration des musulmans (http://www.lepoint.fr/monde/terrorisme-obama-et-ca...ance-16-01-2015-1897274_24.php). Soulignant que la grande majorité des musulmans croyait en la tolérance, le président des États-Unis a estimé que certains pays européens devaient faire plus pour les intégrer, mettant en avant un processus d'intégration faisant partie de la "tradition" américaine. "Notre principal avantage est que notre population musulmane n'a pas de problème à se sentir américaine", a-t-il lancé, soulignant que ce n'était pas le cas dans certaines parties de l'Europe. "La force des liens d'un Nord-Africain ou d'un Français d'origine nord-africaine avec les valeurs françaises jouera un rôle, dans la durée, face à ce problème" de la radicalisation, a-t-il ajouté. Le président américain n'a, à aucun moment, évoqué la marche contre le terrorisme qui a rassemblé un million et demi de personnes dimanche à Paris: son absence lors de ce rassemblement historique a fait couler beaucoup d'encre aux États-Unis. Quelques heures avant le début de la conférence de presse dans la capitale fédérale, la chef de la diplomatie américaine John Kerry (alias John Kohn de son nom de jeune fille) avait multiplié, à Paris, les gestes de solidarité avec la France. "Nous partageons la douleur du peuple français", avait déclaré M. Kerry, francophile et francophone, en rencontrant le président François Hollande. MM. Obama et Cameron ont affiché leur volonté de "renforcer et approfondir" leur coopération en matière de lutte contre la cybercriminalité, "nouvelle menace" qui vise les entreprises comme les États. Ils ont annoncé la création d'une cellule commune regroupant des unités des services de renseignements des deux pays et qui sera présente de part et d'autre de l'Atlantique. Des membres de l'Agence britannique d'espionnage électronique (GCHQ) et du service de sécurité intérieur MI5 travailleraient avec leurs homologues américains de la police fédérale (FBI) et de l'Agence d'espionnage électronique (NSA), afin d'améliorer le partage d'informations. Comme pour illustrer cette future coopération, un jeune cybercriminel soupçonné d'avoir pris part aux cyberattaques fin décembre contre les services en ligne des consoles de jeux PlayStation de Sony et Xbox de Microsoft a été arrêté vendredi par la police britannique avec la coopération du FBI. Les deux dirigeants ont plaidé pour le maintien de "fortes sanctions" contre la Russie, accusée par ces deux pays de soutenir les insurgés dans l'est de l'Ukraine. "La Russie a choisi de bafouer la souveraineté d'un État, cela menace notre stabilité et notre prospérité", a souligné le Premier ministre britannique. L'est séparatiste pro-russe de l'Ukraine s'enfonçait vendredi dans la violence, avec onze nouveaux morts en 24 heures, alors qu'aucune date n'était avancée pour une réunion du groupe chargé des négociations de paix. Insistant sur leurs convergences de vue, les deux hommes ont aussi souligné à l'unisson qu'ils étaient opposés à l'imposition de nouvelles sanctions contre Téhéran sur le programme nucléaire iranien controversé, jugeant qu'elles compromettraient "la possibilité d'une solution diplomatique à l'une des plus difficiles questions de sécurité nationale". M. Obama a appelé le Congrès américain à faire preuve de patience, indiquant clairement qu'il opposerait son veto à tout texte de loi en ce sens. Les grandes puissances occidentales et l'Iran sont en pleines négociations et ont jusqu'au 1er juillet pour parvenir à un accord sur le dossier nucléaire iranien.


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Vous pouvez rigoler de tout, sauf du ....

Суббота, 24 Января 2015 г. 14:15 + в цитатник

Alors que Manuel Valls n’en avait pas dit un mot mercredi lors de la présentation du nouveau plan de lutte contre le terrorisme, Harlem Désir a confirmé jeudi à l’ONU que la France mettrait en place “à brève échéance” le blocage de sites racistes et antisémites sur simple ordonnance de l’État, sans contradictoire ni vérification judiciaire de l’illégalité des sites bloqués. Une exception qui devient la norme (http://breizatao.com/2015/01/23/sur-ordre-de-berna...ion-de-la-censure-sur-internet). Pour faire taire l’opposition à la gauche et au lobby sioniste, en deux mots: au pouvoir en place. A cette occasion, le secrétaire d’état aux affaires européennes, Harlem Désir, a prononcé un discours dans lequel il a confirmé les pistes avancées la semaine dernière par la ministre de la Justice Christiane Taubira, qui n’ont pourtant pas été évoquées mercredi lors de la conférence de presse de Manuel Valls. En particulier, Harlem Désir a confirmé qu’à “brève échéance”, la France mettrait en œuvre “la possibilité d’un blocage administratif des sites internet et des messages à caractère raciste et antisémite”. Ce blocage administratif, qui se matérialise par un ordre du ministère de l’intérieur non soumis au contrôle d’un juge, fut d’abord prévu pour les seuls contenus pédopornographiques. Dès 2008, il y a sept ans, Numerama avait mis en garde contre l’ouverture de la boîte de Pandore, en prévenant que la lutte nécessaire contre la pédophilie, que le blocage n’aide en rien, ne serait qu’un moyen de légitimer un processus qui serait ensuite étendu à d’autres types de contenus. L’histoire du fichier des empreintes génétiques (FNAEG) qui compte aujourd’hui plus de 2,5 millions d’enregistrements l’avait déjà démontré. Une censure du gouvernement socialiste calquée sur le modèle chinois. Nos craintes se sont vérifiées l’an dernier avec l’adoption d’une loi contre le terrorisme qui adopte le mécanisme du blocage extrajudiciaire à l’encontre des sites de propagande terroriste, dont la liste à bloquer sera établie par le gouvernement, sans contrôle d’un juge. Et donc, selon Harlem Désir et Christiane Taubira, il sera très bientôt étendu à des sites racistes et antisémites, avec la forte tentation de bloquer également des sites très critiques contre le sionisme et Israël, sans qu’un juge ne puisse s’y opposer (sauf recours ultérieur une fois la mesure déjà appliquée). A l’ONU, Harlem Désir a déclaré que l’antisémitisme “est toujours là, présent, avec son cortège de préjugés, de haine et de violence, parfois comme la résurgence d’un vieil antisémitisme qui remonte du fond des siècles, mais aussi, désormais, sous des formes nouvelles, se répandant sans barrière sur internet et les réseaux sociaux, à l’abri de l’anonymat ou non, prenant parfois prétexte du conflit israélo-palestinien ou s’appuyant sur le dévoiement fanatique de l’islam ancien ou nouveau”. Selon Les Echos, le secrétaire d’état a expliqué en marge de son discours qu’il fallait étendre la responsabilité pénale des intermédiaires tels que les réseaux sociaux. “Nous devons limiter la dissémination de ces messages. Nous devons établir un cadre légal afin que ces plate-formes sur internet, les grandes compagnies qui gèrent les réseaux sociaux, soient appelées à agir de manière responsable”, a-t-il demandé. Il sollicite la convocation d’une conférence internationale dédiée à ce sujet. Déjà en novembre dernier, le Conseil de Sécurité de l’ONU avait demandé un renforcement de la lutte contre la propagande terroriste sur Internet, en laissant entendre que les plateformes qui seraient trop ouvertes à la liberté d’expression pourraient être accusées de terrorisme par complicité. Le Conseil avait par ailleurs demandé à l’ensemble des 192 membres de l’ONU “d’agir de façon coopérative pour empêcher les terroristes de recruter, pour contrer leur propagande et leur incitation extrémistes violentes sur Internet et les médias sociaux, y compris en développant des contre-récits efficaces”. Moi, je vous l'dis, on ne peut même plus critiquer Israël, et ses habitants sans finir en tôle, et là, c'est le singe qui vous portera des bananes!

Bernard Henri-Lévy, intellectuel controversé et lobbyiste sioniste, a appelé jeudi la communauté internationale à lutter contre l’anti-sionisme, principale cause selon lui de l’antisémitisme, lors de l’ouverture d’une session spéciale de l’Assemblée générale des Nations unies, consacrée à «la montée de l’antisémitisme dans le monde» (http://www.wikistrike.com/2015/01/a-l-onu-bhl-declare-la-guerre-a-l-antisionisme.html). BHL essaie ainsi d’attiser l’amalgame sous-jacent «juif = sioniste», postulat faux mais nécessaire à l’entreprise sioniste -et potentiellement mortifère pour le peuple juif-. Cet homme tient des propos dangereux. «L’antisémitisme n’est pas une variété de racisme, il faut le comprendre pour le combattre», a-t-il prétendu*, brocardant à la fois «l’islamisme radical» et «le vieux monstre» datant du régime de Vichy. Selon Bernard Henri-Lévy, «les racines de l’antisémitisme ne sont pas nécessairement dans le monde arabe» mais «l’ONU doit utiliser son immense pouvoir pour déconstruire les hystéries antisionistes de Durban»; «Même si le peuple palestinien se voyait attribuer l’État qui lui revient de droit, l’antisémitisme ne disparaîtrait pas», a-t-il tenté de faire valoir. Au cours de cette session extraordinaire, la première du genre dans l’histoire de l’instance internationale,le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki-moon, a estimé que les Nations unies «avaient pour devoir de lutter contre l’antisémitisme si elles voulaient rester fidèles à leur idéal et à leur principe fondateur». Pour terminer, je vous laisse apprécier (ou non) cette saillie verbale de l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Ron Prosor, qui a lancé aux participants que «dans les années 1930, les antisémites scandaient ‘Les Juifs en Palestine!’, alors qu’aujourd’hui ils scandent ‘Les Juifs hors de Palestine!»… Seule une bonne thérapie pourra nous le ramener à la raison.


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Communiqué de presse du Syndicat de la magistrature publié le 20 janvier 2015.

Суббота, 24 Января 2015 г. 13:17 + в цитатник

C’est plus que jamais lorsque l’effroi nous saisit et bouscule tous les repères que la justice doit faire preuve de sérénité et résister à la vague de l’émotion. Las, la ministre de la Justice a fait le choix d’entonner le discours de l’intransigeance de principe et d’enfermer les tribunaux dans la justice de l’urgence (http://reseauinternational.net/apologie-du-terrori...te-syndicat-de-la-magistrature). Des consignes diffusées le 12 janvier soumettent les magistrats du parquet à des injonctions contradictoires de «systématisme» et «d’individualisation», de «pédagogie» et «d’application ferme de la loi», dont seul l’appel à la répression paraît être entendu, comme il fallait naturellement le craindre. C’est ainsi que depuis quelques jours s’enchaînent les procédures expédiées, où l’on a examiné et jugé le contexte, à peine les circonstances des faits, si peu l’homme, poursuivi pour avoir fait l’apologie du terrorisme. Non pas pour avoir organisé une manifestation de soutien aux auteurs des attentats, élaboré et diffusé à grande échelle des argumentaires, pris part à des réseaux, mais pour des vociférations, lancées sous le coup de l’ivresse ou de l’emportement: en fait, des formes tristement actualisées de l’outrage. Les lourdes condamnations pleuvent, assorties d’incarcérations à l’audience. Telle est la désastreuse justice produite par le recours à la comparution immédiate dont la loi du 13 novembre 2014 a fait une nouvelle arme de lutte contre le terrorisme. Comme si la justice pénale, devenue l’exutoire de la condamnation morale, pouvait faire l’économie d’un discernement plus que jamais nécessaire en ces temps troublés. Comme si certains de ses acteurs avaient brutalement oublié qu’elle doit être rendue avec recul, sur la base d’enquêtes approfondies, en se gardant des amalgames – entretenus jusque dans cette circulaire, qui englobe violences urbaines et apologie du terrorisme – et, surtout, des réactions hystérisées qui la délégitiment et la société avec elle. Pourtant, loin de tirer les conséquences de ces condamnations aveugles et démesurées, d’interroger leur effet sur ceux qui, ainsi labellisés «terroristes», en retirent surtout la certitude légitime de l’injustice, la ministre surenchérit. Elle annonce sa volonté de modifier le régime juridique des insultes et de la diffamation, qui pourront également être poursuivies en comparution immédiate dès lors qu’elles comportent un caractère raciste, antisémite ou homophobe. S’il est légitime que la République condamne clairement le racisme, l’antisémitisme et l’homophobie, la répression la plus dure de leurs manifestations les moins construites est un aveu de faiblesse inutile et dangereux. Et une société qui, par millions, descend dans la rue proclamer son attachement à la liberté d’expression ne peut, sans se contredire, emprisonner sur l’heure celui qui profère des mots hostiles à la loi qui affirme ses valeurs. Source: Syndicat de la magistrature. Personnellement, nous sommes pour une justice forte et indépendante.

Un adolescent de 16 ans, Julien L., a été inculpé pour apologie du terrorisme après avoir publié un dessin ‘représentant un personnage avec le journal Charlie Hebdo, touché par des balles, en l’accompagnant d’un commentaire ironique. La situation actuelle est pour le moins paradoxale. Le week-end dernier, à la suite des terribles attentats qui ont eu lieu en plein Paris, d’importants rassemblements se sont déroulés sur tout le territoire pour dénoncer le terrorisme et rappeler à la face du monde l’attachement des Français envers les principes fondamentaux que sont la liberté d’expression et la liberté de la presse. Mais, depuis une semaine, force est de constater qu’un raidissement s’est opéré en France avec l’apparition de plusieurs dizaines d’actions en justice reposant sur le délit d’apologie du terrorisme, qui prévoit une peine maximale de 5 ans de prison ferme et 75 000 euros d’amende (ou 7 ans de prison et 100 000 euros d’amende si Internet est impliqué, car ce dernier est devenu une circonstance aggravante) (http://reseauinternational.net/apologie-du-terrori...-cause-dun-dessin-sur-facebook). L’Associated Press a par exemple recensé en milieu de semaine 54 procédures en cours sur ce motif, avec parfois d’autres griefs retenus contre les personnes interpellées. Dans certains cas, le jugement a d’ores et déjà été rendu: quinze mois de prison ferme pour cet Ardennais, trois mois de prison ferme pour ce Toulonnais ou encore un an de prison ferme pour ce Nanterrois. Le nombre de cas a depuis augmenté. Le Monde en recensait par exemple 70 dans un article publié quelques heures après celui de l’AP. Un simple dessin sur Facebook suffit. Dernièrement, c’est un jeune homme de 16 ans qui a été arrêté et placé en garde à vue. France 3 indique que l’adolescent a été présenté jeudi devant un juge pour enfants en vue de sa mise en examen pour apologie du terrorisme. De son côté, le parquet des mineurs de Nantes a demandé le lendemain son placement sous liberté préjudicielle. Son tort? Avoir publié sur son profil Facebook «un dessin ’représentant un personnage avec le journal Charlie Hebdo, touché par des balles, en l’accompagnant d’un commentaire ’ironique’», explique la chaîne de télévision. A gauche: liberté d’expression, à droite: apologie du terrorisme.

La liberté d’expression et ses limites. La multiplication des procédures pour apologie du terrorisme pose la question des limites de la liberté d’expression, dont la surface semble s’être réduite depuis les attentats. Une situation qui alarme plusieurs organisations non gouvernementales, comme la Ligue des Droits de l’Homme, qui craint le réflexe sécuritaire, et Amnesty International. «La liberté d’expression ne doit pas être réservée à quelques privilégiés. L’heure n’est pas à l’ouverture de procédures inspirées par des réactions à chaud, mais plutôt à la mise en place de réponses mesurées qui protègent des vies et respectent les droits de chacun», explique l’ONG, qui craint que certaines arrestations faites sous le coup de l’émotion et de la fermeté ne violent en fait la liberté d’expression. Car si tout le monde s’accorde à défendre la liberté d’expression lorsque celle-ci va dans le sens du vent, il ne faudrait pas oublier qu’elle s’applique aussi à des messages qui peuvent s’avérer déplaisants ou révoltants. «Si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout», explique ainsi le philosophe Noam Chomsky. Cela veut-il dire qu’il faut rester les bras ballants? Non, bien sûr. Certains cas méritent vraisemblablement une sanction judiciaire s’il y a matière à punir (en particulier si d’autres griefs sont mêlés à la procédure). Mais l’émotion suscitée par les attentats laisse craindre un manque de discernement général qui ne contribue pas à rendre la justice dans de bonnes conditions. Le terrorisme médiatique et manipulé, c'est maintenant!


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Les évangélistes de la $hoah te causent

Четверг, 22 Января 2015 г. 23:29 + в цитатник

Le prochain numéro de Charlie Hebdo mercredi comportera "évidemment" des dessins sur Mahomet et des moqueries sur les politiques et les religions, a dit lundi sur France Info l'avocat de l'hebdomadaire, Richard Malka. "On ne cédera rien", "l'état d'esprit Je suis Charlie" cela veut dire aussi le "droit au blasphème", a-t-il déclaré (http://www.lepoint.fr/societe/richard-malka-l-espr...heme-12-01-2015-1895767_23.php). Le travail sur le numéro en préparation, qui sera imprimé à un million d'exemplaires, est "compliqué, car il faut gérer l'avenir, les enterrements qui ont lieu toute cette semaine, mais ça avance, ce sera bouclé ce soir", a affirmé Me Malka. "La une sera définie ce soir (lundi), et mercredi les auditeurs pourront trouver leur Charlie dans les kiosques en France et dans le monde. La diffusion sera exceptionnelle et c'est un geste de vie, de survie", a-t-il ajouté. "Je suis Charlie, c'est un état d'esprit, cela veut dire aussi le droit au blasphème", a-t-il poursuivi au lendemain de la marche républicaine qui a rassemblé près de quatre millions de personnes en France contre le terrorisme. Interrogé sur l'éventualité de la présence de dessins de Mahomet dans le prochain numéro, il a répondu: "Évidemment. On ne cédera rien, sinon tout ça n'aura pas eu de sens." "Une pancarte Je suis Charlie veut dire vous avez le droit de critiquer ma religion, parce que ce n'est pas grave. On n'a jamais le droit de critiquer un juif parce qu'il est juif, un musulman parce qu'il est musulman, un chrétien parce qu'il est chrétien. Mais vous pouvez dire tout ce que vous voulez, et les pires horreurs, et on les dit, sur le christianisme, le judaïsme et l'islam, car au-delà de l'unité des beaux slogans, c'est ça, la réalité de Charlie Hebdo", a-t-il déclaré. "L'humour sans auto-dérision, ce n'est pas de l'humour. Nous nous moquons de nous, des politiques, des religions, c'est un état d'esprit à avoir", a-t-il ajouté. "Il y a aura tout le monde, même ceux qui ne sont plus là", a dit encore Richard Malka en évoquant le contenu du prochain numéro du journal satirique. "Après, c'est une nouvelle histoire. Mon combat est de faire en sorte que cela se poursuive, pas un autre, peut-être un nouveau chapitre, mais pas celui-là. Je mettrai toute mon âme et mon énergie à faire en sorte qu'il y ait un avenir à Charlie", a-t-il affirmé.

Dans le rôle                     Religion catholique           Religion de la Shoah

… de l’innocence sacrifiée         Jésus                                                 Peuple juif

… de l’importance du crime       Dieu incarné                                     Peuple élu de Dieu

… de l’instrument du crime        Croix                                                   Chambre à gaz

… du lieu du crime                       Golgotha                                            Auschwitz

… du bourreau                              Caïphe                                                Hitler

… du peuple déicide                    Les juifs                                             Les nazis

… du collabo                                  Ponce Pilate                                     Pie XII (revisité par les communistes)

… des victimes expiatoires         Les martyrs                                      Les 6 000 000 de morts

… du livre sacré                             Evangiles                                         Jugement du tribunal de Nuremberg

… des héros                                   Les Saints                                       Les Justes des Nations

… des lieux de mémoire         Pèlerinages, processions                 Visite des camps de concentration

… des souvenirs                Reliques des saints, Saint Suaire,…     Cheveux, dents, chaussures des déportés

… des théologiens             Pères, Docteurs de l’Eglise                    Serge Klarsfeld, Elie Wiesel,…

… de la loi                                      10 Commandements                     Déclaration des Droits de l’Homme

… des damnés                              Les mécréants                                Les antisémites, les révisionnistes

… de la cité sainte                         Rome (cité céleste)                        Jérusalem (cité terrestre)

… des Archanges                          Saint Michel                                      Tsahal

… des temples       Cathédrales, basiliques, églises, chapelles     Mémoriaux de la Shoah, camps de concentration

… des prédicateurs                       Papes, évêques, prêtres            ONU, LICRA, SOS Racisme,…

… des juges                                   Tribunaux catholiques                 Médias et tribunaux judéo-maçonniques

… de la défense du sacré            Interdiction du blasphème         Loi Fabius-Gayssot

… du slogan                                   La Vérité rend libre                       Le travail rend libre (Arbeit macht frei)

… de la fin heureuse                    Résurrection du Seigneur          Résurrection du Peuple juif en Israël


Vous l'aurez compris, il s'agit du tout nouveau jeu de société de 7 à 77 ans: "Etudie les évangiles, et monte ton Business $hoah!". Vous pouvez dès à présent commander votre exemplaire fait main chez: (https://bibliothequedecombat.wordpress.com/2013/01/09/la-religion-de-la-shoah). Manuel Valls veut des débats "partout", y compris "dans nos quartiers", pour distinguer la liberté d'expression et les "délits" comme le racisme, l'antisémitisme, l'apologie du terrorisme, le négationnisme, a-t-il déclaré lundi 19 Janvier 2015 à l'AFP (http://www.lepoint.fr/politique/valls-veut-des-deb...lits-19-01-2015-1897880_20.php). Interrogé sur "cette France +qui n'est pas Charlie+ et elle aussi revendique la liberté d'expression", le Premier ministre a répondu: "Mais c'est la France. La liberté d'expression c'est de pouvoir dire qu'on est Charlie ou qu'on ne l'est pas". "L'immense majorité des Français dans la rue, dans l'expression, ont dit qu'ils étaient Charlie, ont dit qu'ils étaient policiers, ont dit qu'ils étaient juifs", a-t-il souligné, en marge de la cérémonie du 70e anniversaire de l'Agence France-Presse. "Mais la possibilité de s'exprimer, c'est évidemment de pouvoir donner son avis", a poursuivi le chef du gouvernement, en soulignant qu'"il y a une grande différence entre pouvoir s'exprimer et vouloir assassiner des journalistes". Le Premier ministre a répondu au reproche adressé par certains d'un Etat qui défend la liberté d'expression de Charlie Hebdo publiant des caricatures de Mahomet mais qui fait des poursuites pour "apologie du terrorisme" contre le polémiste Dieudonné pour avoir dit qu'il se sentait "Charlie Coulibaly". "On nous demande +Pourquoi Charlie+? Et de l'autre côté +pourquoi Monsieur (Dieudonné) Mbala Mbala?+", a-t-il dit. "Il faut mener un débat partout dans notre société, dans nos quartiers, pour expliquer qu'il y a une différence entre la liberté d'expression et ce que sont des délits: le racisme, l'antisémitisme, l'apologie du terrorisme, le négationnisme. Ce ne sont pas des opinions, ce sont des délits qui doivent être condamnés par la loi, et encore plus sévèrement puisque nous voulons durcir la législation dans ce domaine", a affirmé le Premier ministre. Dans un discours prononcé lors de la cérémonie organisée par l'AFP, François Hollande a assuré lundi que la France n'"insult(ait) personne" quand elle défendait ses "idées", évoquant à demi-mot les manifestations à travers le monde contre la publication d'une nouvelle caricature du prophète Mahomet à la Une du Charlie Hebdo des "survivants" du massacre du 7 janvier 2015. Dans la République des Sémites franchouillards, la $hoah doit être la seule religion dont le blasphème est interdit par la loi ! Pour les autres, on vous chie dessus au nom de la liberté d'expression et de la laïcité.

En ce vendredi, jour saint pour les musulmans, une prière en faveur de la République française a été faite dans de nombreuses mosquées en France (http://actualite.portail.free.fr/france/24-01-2015...ue-dans-les-mosquees-en-france). Une manière pour les fidèles musulmans de mettre une distance avec les attentats islamistes de Paris. Le Rassemblement des musulmans de France (RMF) appelle à une prière hebdomadaire, chaque vendredi, pour la République. Dans la grande mosquée de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), le responsable de la mosquée, Karim Djermani a prêché aux fidèles: "ce pays instruit nos enfants, soigne nos malades, assiste les plus faibles d'entre nous et surtout dans ce pays vous avez trouvé la liberté de culte et de conscience". "Nous disons tous les jours aux musulmans qui viennent nous voir, vous n'êtes pas à côté des Français, vous êtes des Français", confie-t-il au micro de France 3. Depuis de nombreuses années, chaque vendredi, les mosquées affiliées à la Fédération musulmane de Gironde prononçaient déjà une prière pour la France. Une habitude qui tend à se généraliser dans toutes les mosquées du territoire français. Avec tous ces faux-semblants, si la classe politique et dirigeante s'estime sauvée, elle se trompe lourdement. Toutes ces masses d'immigrés ont pour l'instant la reconnaissance du ventre dans cet État providence, jusqu'à ce que les caisses de ce dernier soient vidées définitivement, et alors la propagande judéo-socialiste s'effondrera d'un seul bloc avec sa litanie de fausses libertés d'expression et de mensonges historiques.




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Cauchemar en Bavière

Суббота, 17 Января 2015 г. 15:54 + в цитатник

L'efficacité et la logique allemandes peuvent parfois aboutir à des résultats malheureux. Pour abriter vingt et un demandeurs d'asile sans dépenser une petite fortune, la mairie de Schwerte a eu l'idée de les faire dormir dans... un ancien baraquement de gardes SS datant de la Seconde Guerre mondiale! Le camp de travail de cette petite ville située près de Dortmund était rattaché à l'énorme camp de concentration de Buchenwald dans lequel plus de 55 000 personnes sont mortes (http://www.lepoint.fr/monde/en-allemagne-des-deman...s-ss-16-01-2015-1897142_24.php). Les sept cents prisonniers, principalement originaires de Pologne et d'Union soviétique, basés à Schwerte réparaient des locomotives. Si leurs dortoirs ont été détruits après la Seconde Guerre mondiale, les bâtiments qui servaient de logement aux SS ont été conservés. D'où l'idée de la municipalité de les utiliser pour abriter des demandeurs d'asile plutôt que d'installer des conteneurs tout équipés. Ce projet a déclenché, assez logiquement, une vaste polémique en Allemagne. Il "rappelle de mauvais souvenirs et des images sinistres", condamnait sur les ondes de la radio Mitteldeutschen Rundfunk Birgit Naujoks, directrice du Conseil des réfugiés de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. La mairie affirme, elle, ne pas comprendre le problème que peut soulever son programme. Les baraquements ont en effet déjà abrité par le passé des studios d'artistes, une école maternelle et même des réfugiés il y a deux décennies. L'Allemagne dans son ensemble ne sait plus où loger les étrangers qui tentent de trouver refuge sur son territoire. Leur nombre a quadruplé ces trois dernières années pour atteindre environ 200 000 personnes en 2014 et les solutions les plus originales sont actuellement testées pour protéger ces familles des frimas hivernaux. En octobre, le conseil d'entreprise de Siemens a ainsi proposé de mettre à la disposition des pouvoirs publics 30 000 mètres carrés de bureaux vides équipés d'une cantine et de sanitaires dans l'est de Munich. Une tente montée à l'occasion de la Fête de la bière a, elle aussi, été utilisée comme abri temporaire ainsi qu'une ancienne caserne de l'armée. Ces initiatives ne parviennent toutefois pas à gérer l'arrivée dans la capitale bavaroise de 300 nouveaux demandeurs d'asile chaque jour. Ce problème touche aujourd'hui l'ensemble du pays. Les municipalités cherchent donc à trouver des solutions d'urgence dans l'improvisation la plus complète. Certaines sont plus heureuses que d'autres... Espérons qu'ils n'utiliseront pas les douches demain matin mais plutôt l'évier de la cuisine! Et interdiction formelle de toucher à la plomberie, elle est peut-être en cuivre, mais elle vaut de l'or. L'avantage, c'est qu'ils sont en pleine zone touristique, ce sera plus facile pour eux de décrocher un job.


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Nous aussi...

Суббота, 17 Января 2015 г. 15:17 + в цитатник


Chiez dans les crèches.
Achevez les handicapés.
Fusillez les militaires.
Étranglez les Imams.
Écrabouillez les flics.
Incendiez les banques.





Tout comme Charlie de 1975!

L'obscénité sexuelle et l’obsession des Nazis sont les deux piliers jumeaux de l'Anarchisme moderne qui rebutent 99% de la population française (http://www.lepoint.fr/societe/obseques-de-charb-vo...z-le-16-01-2015-1897111_23.php). Vous êtes Charlie? "Prouvez-le" en faisant naître "des milliers" de nouveaux Charlie Hebdo, a exhorté vendredi Luz, l'un des dessinateurs survivants lors d'un hommage mordant, tout en humour et irrévérence, à l'ancien directeur, Charb, lors de sa cérémonie d'obsèques. "L'esprit de Charlie Hebdo est vivant!" a lancé Luz devant les centaines de personnes rassemblées à Pontoise (Val-d'Oise) en hommage à son "copain" Charb, tué le 7 janvier dans l'attaque du journal. "Je suis Charlie, prouvez-le! Prenez vos crayons, vos papiers, un scan, un ordi, exprimez-vous... En texte, en dessin, en vidéo, que sais-je...", a-t-il poursuivi, à l'intention des millions de personnes, "lecteurs et lectrices de toujours ou d'un jour", qui ont soutenu Charlie Hebdo depuis l'attaque. Charb aurait espéré "que des milliers de Charlie Hebdo surgissent des lycées, des facs, des imprimeries", "que d'autres Charb, Cabu, Honoré, Wolinski, prennent la plume", a-t-il poursuivi. Luz, qui signe la couverture du premier numéro de Charlie Hebdo sorti depuis l'attaque dont il a réchappé, car il était en retard à la conférence de rédaction, s'est plu à imaginer les dessins qu'aurait pu produire son "copain de beuverie, copain de connerie" Charb. "J'imagine et je me marre. (...) Tu aurais dessiné Netanyahou et Mahmoud Abbas. Dans ton dessin, ils ne se tiendraient pas la main, mais ils tiendraient la bite à Sarkozy." "Tu aurais dessiné Marine Le Pen. Une grosse gueule de Marine Le Pen, avec un tout petit panneau "je suis Charlie", sous le nez", comme une moustache d'Hitler, a-t-il imaginé. "Tu aurais dessiné le pape, qui nous chie dans les bottes (...), tu aurais continué à dessiner des couilles, des bites, des chattes et des nichons", a-t-il dit. "Charb, mon vieux pote, on ne va plus trop s'enculer tous les deux, mais l'humour bande encore!" a-t-il encore lancé face aux centaines d'anonymes et de proches, aux hommes politiques de gauche et aux ministres venus assister à ces obsèques, qui oscillaient entre émotion, humour et hommage à l'engagement de Charb. Avant que ce fan de rock ne conclue: "Too drunk to fuck, but too funny to die!" ("Trop bourré pour baiser, mais trop marrant pour mourir!"). On a donc décidé de poser nous aussi notre pierre à l'édifice avec ce dessin, mélange de nazis sexuels en camp de travail polonais.


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Cagoules et suicides en pagaille!

Суббота, 17 Января 2015 г. 14:38 + в цитатник

Du casque de Mohamed Merat aux cagoules des frères Kouachi, on retrouve l'alibi du terrorisme d’État, et cela même si le profil des tueurs est totalement différent. Pour Merah, son seul tort fut d'être indic à la solde du gouvernement, et quand les assassinats sur des soldats français débutèrent, bien que sa corpulence ne corresponde pas au portrait robot dressé, on le balança aux médias, et le GIGN passa récupérer ses étrennes. Quand aux frères Pieds Nickelés, cette idée de se balader en tenue paramilitaire en plein Paris nous interpelle, alors qu'au vu de leur faciès, un simple pastiche et une casquette leur aurait suffi pour se fondre dans la rue jusque dans une bouche de métro, mais eux canardent pendant 15 minutes puis reprennent tranquillement la voiture. 15 minutes largement suffisantes en théorie pour mettre en place des barrages dans la capitale. En gros, la théorie officielle, c'est de rester anonyme, mais pas trop. T'as pas le droit de montrer ton visage, mais si tu pouvais laisser ton relevé de Caisse d'Allocations Familiales derrière toi, ce serait cool. Aujourd'hui, le seul conseil que l'on puisse donner à nos lecteurs est de bien surveiller vos papiers d'identité. Parce que les perdre et il ne serait pas étonnant que vous deveniez comme par enchantement propriétaire d'un hôtel au Yémen! (http://lesmoutonsenrages.fr/2015/01/16/black-out-p...ntre-charlie-hebdo/#more-76099) On en a parlé dès le 08 Janvier, le commissaire Helric Fredou qui enquêtait sur Charlie Hebdo s’est suicidé dans un grand silence, combien de médias en ont parlé? Une chaîne de télévision a-t-elle consacré quelques minutes à ce commissaire? Étrangement non, rien, alors que de nombreux médias à travers la planète ont mis en avant ce suicide comme étant un fait important, comme le journal américain NSNBC pour ne citer que lui. Il suffit de chercher le nom de ce commissaire dans un moteur de recherche pour bien s’en rendre compte…Le commissaire de police Helric Fredou, numéro deux du Service régional de la police judiciaire de France (JP), à Limoges (Haute-Vienne), s’est suicidé dans la nuit de mercredi à jeudi sur son lieu de travail. Il enquêtait sur l’attaque terroriste contre le journal Charlie Hebdo. Les frères Cherif et Saïd Kouachi qui ont été abattu par la police le 9 Janvier, ont passé leurs années de lycée dans la région de Limoges. Nul doute que c’était l’objet de l’enquête de la police de Helric Fredou. Pourtant, la police et les médias affirment que ce même mercredi, il a participé à une réunion avec la famille de l’une des victimes Charlie Hebdo. Le mercredi, dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Charlie Hebdo, il a dépêché une équipe de fonctionnaires de police sous sa juridiction. Il aurait attendu le retour de son équipe pour un débriefing. Immédiatement après le débriefing, il a commencé à rédiger de son rapport de police. Selon les rapports des médias, il s’est suicidé à environ 1 heures du matin le jeudi, quelques heures après le débriefing. Il a utilisé son arme de police, un SIG-Sauer. Au moment de sa mort, la police a prétendu ne pas connaître la raison de son suicide présumé. Cela s’est reflété dans leurs déclarations officielles aux médias: «On ne connaît pas à ce moment les raisons de ses actions». Cependant, la police a ensuite déclaré à la presse que Fredou était «déprimé et surchargés de travail. Pour tout agent de l’application des lois en France, il serait assez étrange que quelqu’un souhaite manquer le plus grand événement unique terroriste du siècle. (Wire 21e siècle, ) Une autopsie a été pratiquée à l’Hôpital de l’Université de Limoges, «confirmant le suicide». Les médias français ont décidé ou ont été chargé de ne pas couvrir l’incident. Black Out total? Voilà pour le «Je suis Charlie» et «la liberté d’expression» dans le journalisme. De même, les médias occidentaux, y compris tous les services d’information majeurs (AP, AFP, Reuters, Deutsche Welle, etc.) n’ont pas couvert la question. Un rapport isolée dans Le Parisien présente l’acte de suicide comme étant totalement sans rapport avec l’enquête autour de Charlie Hebdo. Bien que décrit comme étant dépressif et souffrant d’un épuisement professionnel, les rapports de police indiquent que le suicide de Helric Fredou était totalement inattendu.

S’est-il réellement suicidé ou a-t-il été suicidé? Son rapport a-t-il été publié? Ce sont des questions pour les journalistes français. Ce est ce qu’on appelle le journalisme d’investigation. Ou est-ce pure et simple censure des médias? «Des papiers pourris», rétorque la soeur du défunt. Mercredi 14 janvier, au lendemain des obsèques d’Helric Fredou, Panamza a contacté sa soeur -qui préfère demeurer non identifiée- afin de clarifier l’implication du policier, vaguement évoquée par la presse régionale, dans l’enquête relative à l’attentat de Charlie Hebdo. Extraits principaux de l’échange téléphonique avec sa sœur (http://lesmoutonsenrages.fr/2015/01/17/suicide-du-...view-de-la-famille/#more-76149). «Sur le coup, je me suis dit c’est pas possible, quelqu’un l’a flingué mais on est pas dans un film»:la sœur refuse de croire en la possibilité angoissante d’un meurtre mais continue de s’interroger sur les circonstances exactes de la mort du policier. «Pas de courrier laissé ni de plaque sur son bureau»: Helric Fredou n’a laissé aucune lettre pour expliquer son geste.  De même, il n’a pas déposé sa plaque de police en évidence comme le font parfois certains de ses collègues retrouvés suicidés. «C’était quelqu’un de calme, avec un grand esprit de discernement selon son formateur»: la soeur a plusieurs fois souligné le sang-froid du policier -tenu en estime par son formateur en raison de sa perspicacité- et le fait qu’il n’était ni violent ni impulsif. «On nous a enlevé les ordinateurs et son portable perso, on nous a tout pris, ça nous a choqués mais c’est la procédure, nous a-t-on dit»: dans l’après-midi du 8 janvier, les policiers ont fouillé le domicile du défunt, en présence de sa mère et de sa soeur, avant d’emporter son matériel informatique et son smartphone personnel. «Ma maman, qui était très fusionnelle avec lui, est retournée contre la terre entière: elle veut savoir comment il s’est tué. Il a un pansement sur le front. Sur le côté, c’est trépané à cause de l’autopsie. À l’arrière du crâne, il n’y a rien»: informée vers 5 heures du matin du décès, la soeur rapporte avoir dû insister pour accéder au corps du défunt. C’est seulement en fin de journée qu’elle et sa mère ont été autorisées à voir le corps d’Helric Fredou. «Mon frère avait lui-même trouvé deux suicidés -dont l’un à Melun- et avait dit  à maman ‘je te ferai jamais un truc comme ça’, à savoir me tuer et te laisser seule. Il n’était pas dépressif»: en novembre 2013, Helric Fredou avait effectivement été le policier qui avait découvert le corps de son collègue Christophe Rivieccio, retrouvé mort dans le même commissariat de Limoges. «Mon frère était chez lui ce soir-là et comme il était de permanence, ils l’ont appelé et il est venu au commissariat vers 23h30… La journée avait été très tendue selon ses collègues…. Des policiers de Paris étaient présents dans la soirée… Il devait rédiger un rapport mais il y a eu des frictions, je ne sais pas sur quoi… Il leur a dit qu’il devait passer de toute urgence un coup de téléphone et comme ils ont vu qu’il ne revenait pas, un collègue est allé le chercher à son bureau et l’a découvert mort»: ce mercredi soir, des policiers partis procéder à des vérifications de sécurité auprès d’une famille de victime de l’attentat ont été débriéfés par Helric Fredou. Le témoignage de sa soeur apporte deux éléments troublants : des «frictions» se seraient manifestées entre policiers au sujet du rapport (finalement jamais entamé) que devait rédiger Helrou; dans ce contexte tendu, l’homme a été retrouvé mort quelques minutes après avoir déclaré à ses collègues qu’il devait à tout prix téléphoner à quelqu’un de non identifié. «Des gens de Paris sont descendus pour nous expliquer comment cela s’est passé»: la sœur souligne que des cadres de la police nationale se sont déplacés expressément le lendemain à Limoges et ont tenu à lui certifier qu’il s’agissait d’un suicide. Encore un suicide accidentel pour notre République exemplaire, ça commence à faire beaucoup! Et vous, vous n'auriez pas une petite idée?


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Peut'on encore longtemps tolérer les ...

Суббота, 17 Января 2015 г. 13:59 + в цитатник

Les nouveaux chiffres publiés par le ministère palestinien de la Santé à la fin de 2014 ont révélé que le nombre de victimes de l’agression israélienne de cet été sur la bande de Gaza, était significativement plus élevé que ce qui avait été indiqué précédemment. Durant 51 jours cet été, Israël a pilonné la bande de Gaza - par air, terre et mer - avec l’objectif officiellement déclaré de mettre fin à des tirs de roquettes depuis l’enclave côtière sous blocus (http://www.oragesdacier.info). L’offensive israélienne a pris fin le 26 août avec un accord de cessez-le feu parrainé par l’Égypte. Les premiers rapports ont indiqué que plus de 2 160 habitants de la bande de Gaza, dont 70 pour cent d’entre eux étaient des civils, ont été tués - et que plus de 10 000 ont été blessés - au cours des attaques israéliennes ininterrompues sur la bande assiégée cet été. Toutefois, selon le ministère de la santé de Gaza, un nombre de victimes recalculé fait grimper le nombre de Gazaouis assassinés à 2 310 et à 10 626 le nombre de blessés. Depuis août, des dizaines de Palestiniens sont morts de blessures reçues lors de l’agression israélienne ou à la suite d’explosions de munitions israélienne restées au sol. En outre, les corps de Palestiniens qui avaient disparu ont été tirés des décombres dans la bande de Gaza à la suite de l’accord de cessez le feu. Des familles entières ont été massacrées. Le ministère a également déclaré que 145 familles palestiniennes ont perdu trois membres ou plus en une seule frappe israélienne, avec des familles qui ont été entièrement rayées de l’état civil. Selon les Nations Unies, sur les 505 enfants tués lors de l’assaut, 138 étaient inscrits dans des écoles de l’UNRWA. Le porte-parole de l’UNRWA Christopher Gunness, a déclaré que 814 étudiants de l’UNRWA ont en plus été blessées et que 560 sont devenus orphelins à cause de l’attaque israélienne. «La vie de famille pour beaucoup d’entre eux a été dévastée», a déclaré Gunness, ajoutant que 241 000 enfants avaient besoin d’un soutien psychosocial. Dans le même temps, 32 médecins et infirmiers ont été tués et 102 ont été blessés dans l’offensive, a affirmé le ministère, ajoutant que 36 ambulances et véhicules de la protection civile ont été complètement détruites ou endommagées lors de l’agression. Les frappes israéliennes ont ciblé 13 hôpitaux publics, 17 hôpitaux privés, dont l’hôpital al-Wafa qui a été complètement détruit, 23 centres gouvernementaux de santé, dont quatre ont été complètement détruits, et quatre centres de santé privés, dont la clinique Khalil al-Wazir qui a été complètement détruite. Toujours selon des estimations basées sur des informations préliminaires, plus de 80 000 maisons palestiniennes ont été endommagées ou détruites pendant les jours de bombardement, un chiffre plus élevé qu’on ne le pensait précédemment. Au moins 20 000 d’entre ces maisons sont à présent inhabitables. La majorité des 110 000 sans-abri de Gaza sont des enfants. Suite à l’offensive d’été d’Israël contre Gaza, de nombreux sites antiques dans le territoire assiégé, dont des lieux de culte, des tombeaux et cimetières, ont été laissés en ruines. Des lieux de culte ont été bombardés et détruits intentionnellement. Les mosquées historiques de Gaza, remontant à l’époque des premiers califes islamiques et de l’Empire ottoman, étaient les plus touchées. Selon le ministère palestinien des Affaires religieuses, Israël a ciblé délibérément les lieux de culte, endommageant partiellement 130 mosquées et en détruisant complètement 73. La destruction des anciennes mosquées de Gaza ont porté le total des pertes subies par le ministère des affaires religieuses à environ 50 millions de dollars. Trois églises de Gaza ont également été endommagées au cours du dernier conflit, y compris la plus ancienne église dans la bande de Gaza, l’Église orthodoxe de Saint Porphyre, qui remonte aux années 1150. Personnellement, et pour résumer:


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La République Française est entrain d'imploser.

Суббота, 17 Января 2015 г. 13:16 + в цитатник

En ayant favorisé l'immigration de population fondamentalement étrangère à ses préceptes de base que sont la Liberté, l’Égalité, et la Fraternité, elle s'est condamnée à dépenser toujours plus d'argent et de crédit dans des cités crasseuses pour maintenir un semblant d'intégration au nom du consumérisme. Mais désormais les caisses sont vides, et le grand banditisme se transforme peu à peu en terrorisme domestique dans des centaines de quartiers abandonnés sous la verve d'Imams et de repris de justice haineux des mécréants et des laïcards enjuivés. Comme toujours, on peut prédire que les réactions de la République seront excessives et inadaptées vis à vis des vrais problèmes, et des vrais responsables, et l'on doit s'attendre à ce que le gouvernement nous cible, nous les Nationalistes, dans les dommages collatéraux de la censure.

Je l’avais prédit. On me pardonnera de me vanter d’avoir fait preuve de lucidité, mais j’y vois la confirmation de mon analyse des événements actuels en France. Vous pouvez voir à ce titre ma vidéo “Charlie Hebdo: Retourner la mobilisation populaire contre le peuple” (ci-dessous) à partir de 22′ jusqu’à 28′. J’y expliquais en substance que la gauche socialiste et le régime républicain, au bord de l’abîme, retournerait la mobilisation populaire pour désigner les forces de résistance nationales et identitaires comme l’ennemi principal. Le début de l'Opération socialo-républicaine contre le peuple (http://breizatao.com/2015/01/17/defense-de-la-libe...s-et-identitaires-boris-le-lay). J’y annonçais concrètement, sur la base du précédent législatif que constituait le transfert du délit d’apologie de terrorisme dans le droit commun, un régime identique pour la presse nationaliste ou identitaire. Ce précédent, très grave, rendu possible par l’action subversive de Jean-Jacques Urvoas (Grand Orient) en lien avec le PSF et le régime français, appelait mécaniquement une généralisation de la censure d’état et son extension à toute parole critique. Nous y sommes.



Christiane Taubira vient de formuler trois propositions amenant à la censure d’état de la presse nationaliste, conservatrice ou identitaire. J’en annonçais dans la vidéo précitée. Je souligne d’ailleurs que j’avais déjà évoqué cette perspective lorsque les lois antiterroristes étaient votées à l’assemblée nationale française. Voici ces deux propositions: (1) Sortir les injures et diffamations du droit de la presse – loi 29 juillet 1881 – pour les introduire dans le code pénal lorsqu’elles sont aggravées par une circonstance liée au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie. Ainsi, les infractions de ce type pourront être poursuivies selon la procédure de droit commun. La réponse pénale gagnera ainsi en efficacité. (2) Confier à l’autorité administrative la possibilité de bloquer les sites et messages de haine raciste ou antisémite. Nous entrons dans une dictature socialo-républicaine, au nom de la défense de la “liberté d’expression”. La première proposition vise à faire des écrits prétendument racistes – ou décrétés comme tels par le pouvoir politique socialo-républicain – des infractions de droit commun. La loi sur la presse, déjà largement liberticide, garantissait à tout le moins que ces pseudo “délits” conservent leur nature politique. Ce ne sera plus le cas. Un blogueur, journaliste, chroniqueur dont les propos seront jugés politiquement déviants par le gouvernement français sera considéré comme un délinquant de droit commun au même titre qu’un violeur ou un assassin. Le but étant de nier la nature “politique” de l’opposition et de la ramener à du brigandage. La dépénalisation des délits de presse était un des acquis de celle-ci, largement reconnue depuis par le monde. Le mécanisme induit par les lois de censure dites “antiracistes” à partir de 1972 devait aboutir à ce scénario de répression généralisée. La censure est un processus dynamique dont les circonstances se chargent de maximaliser progressivement l’étendue. La seconde proposition vise à réaliser ce qui se fait déjà en Chine communiste. A savoir la censure des sites d’opposition, en dehors de tout contrôle judiciaire et donc sans possibilité pour les individus de se défendre des accusations de déviationnisme idéologique. Accusations déjà parfaitement illégitimes. La pseudo “autorité administrative” étant un euphémisme pour désigner le gouvernement français, c’est le pouvoir qui veut désormais détruire l’opinion librement exprimée qui ne collerait pas à l’idéologie officielle du régime. Le régime républicano-socialiste pourra ainsi interdire arbitrairement n’importe quel site, de façon extra-judiciaire. Une évolution naturelle d’un régime républicain qui puise ses racines dans les procédés de 1793. On leur fait peur, c'est bon signe!


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Agissez contre la criminalité étrangère!

Четверг, 15 Января 2015 г. 22:59 + в цитатник

Le Réseau JORD – intéractif breton de renseignement et d’action – fondé par le colonel de Gendarmerie Gérard Hirel, indique, conformément à la ligne de conduite définie en 2006, l’attitude à adopter face aux pouvoirs publics français par les nationalistes bretons. Si ces derniers luttent pour la création d’un état national propre, ils doivent dans des conditions particulières apporter leur soutien aux forces de l’ordre françaises contre toute menace visant les intérêts objectifs du peuple breton. Il en va ainsi de la neutralisation des criminels de droit commun mais aussi des terroristes musulmans (http://breizatao.com/2015/01/14/reseau-jord-appel-...tion-des-terroristes-musulmans). Rappel: “La position bretonne est hors classement, elle constituerait un huitièmement si son cas n’était pas spécifique. En effet la présence de la France en Bretagne est illégitime car elle est le résultat de multiples coups de force qui s’échelonnent de 1488 à 1789 la Bretagne politique ayant été rayée de la carte européenne dans la sanglante tourmente générée par la sanguinaire révolution française . L’application des lois françaises y est donc illicite et les actes accomplis par les pouvoirs publics français illégaux. Cependant et paradoxalement la prise en main de l’ordre public par ces derniers puise dans les coutumes de la guerre une forme particulière de légitimité: les puissances occupantes doivent assurer dans les pays conquis ou contrôlés la continuité de la vie publique et de ce fait peuvent y prendre les mesures nécessaires. Mais elles ne doivent pas tenter d’altérer ni le peuplement ni la culture ni la religion ni l’économie du pays occupé ce que la France n’ a eu cesse de faire en force depuis 1789 notamment. Cette dernière particularité induit un terrible corollaire : le droit et le devoir pour le peuple breton de reprendre le combat pour la Libération Nationale. Étant bien entendu que si ces droits et devoirs sont imprescriptibles le combat national doit être actualisé en fonction de la conjoncture et ne pas constituer un remake romantique, anachronique ou irrationnel. Au préalable les millions de Bretons présents en Bretagne ainsi que les millions de Bretons expatriés ont besoin d’ être éclairés sur la véritable nature de leur patrie, des ennemis de cette dernière, des dangers qui la menacent enfin des renégats qui la trahissent. Ce sont ces derniers, les plus dangereux, qui doivent être les premiers désignés à la clameur publique et à la vindicte populaire. Le but technique global étant de neutraliser tous les acteurs œuvrant à la destruction de l’âme bretonne et de positionner le mouvement nationaliste breton avec un rapport de forces inversé imposé par la volonté du peuple rassemblé et offensif.” A cette fin le Réseau JORD publie un communiqué général: “Tout individu présent sur le territoire breton, se signalant par une marque de sympathie vis-à-vis des terroristes islamistes ou formulant un soutien à leurs actions armées doit être immédiatement signalé aux forces de sécurité françaises présentes sur le territoire breton. On veillera particulièrement à analyser les propos tenus par les éléments de la mouvance marxiste et apparentée en Bretagne. A cet effet, l’utilisation de capture d’écran est recommandée. Copies à l’appui, la population bretonne est invitée à se rendre ensuite, dans les plus brefs délais, auprès de la brigade de gendarmerie ou du commissariat de police en charge de leur zone de résidence.”


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Déjà en vacances?

Четверг, 15 Января 2015 г. 22:54 + в цитатник

Dieudonné sera jugé en correctionnelle pour "apologie du terrorisme", après avoir écrit sur Facebook qu'il se sentait "Charlie Coulibaly", en référence à l'un des auteurs des attentats de Paris. Le parquet de Paris a décidé de convoquer Dieudonné à "une audience ultérieure" à l'issue de sa garde à vue, en cours d'achèvement mercredi soir (http://www.lepoint.fr/societe/dieudonne-sera-juge-...isme-14-01-2015-1896616_23.php). Dans sa déclaration sur Facebook, qui a ensuite été supprimée, Dieudonné avait assuré avoir participé à la manifestation historique dimanche en hommage aux victimes du terrorisme, tout en la tournant en dérision, la qualifiant d'"instant magique comparable au big-bang", "comparable au couronnement de Vercingétorix". "Sachez que ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly", avait-il ajouté, détournant le slogan de soutien à Charlie Hebdo, "Je suis Charlie", en l'associant au nom du djihadiste Amedy Coulibaly. Adepte des provocations, le polémiste a déjà été condamné par la justice pour des propos antisémites. Le parquet de Paris avait ouvert une enquête pour le même délit d'apologie du terrorisme début septembre après la diffusion d'une vidéo où Dieudonné ironisait sur la décapitation du journaliste américain James Foley par l'organisation État islamique (EI). Dans une autre vidéo en 2010, l'humoriste controversé avait aussi appelé à la libération de Youssouf Fofana, condamné pour le meurtre d'Ilan Halimi, jeune Juif séquestré, torturé et tué en 2006. Poursuivi pour cette vidéo, il a été relaxé début février, mais il doit comparaître en appel jeudi sur le volet civil de ce dossier. Dans le viseur du gouvernement fin 2013, Dieudonné M'Bala M'Bala avait vu plusieurs de ses spectacles interdits par la justice. Parmi d'autres déboires judiciaires, il a été mis en examen en juillet par le juge financier Renaud Van Ruymbeke pour fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux. Selon une source proche du dossier, il est soupçonné d'avoir minoré ses revenus à l'égard du fisc et ses biens vis-à-vis de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), qui s'applique aux patrimoines supérieurs à 1,3 million d'euros. Contacté par l'AFP, son avocat, David de Stefano, avait répondu que son client était "totalement en règle au niveau fiscal" et assurait qu'"il n'était pas soumis à l'ISF un peu comme la majorité du gouvernement socialiste actuel". Comment peut'on au XXIème siècle laisser un homme noir se faire martyriser par une secte préhistorique?


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